La PK André épisodes 1 à 10 / 10

Ep 01 : L'EMBAUCHE



Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie est depuis de nombreuses années une référence dans bien des domaines. Depuis la mort de son fondateur Mr Le Conte, Mr Jérémy Brosso, ancien champion de niveau international, est vu comme un prophète et règne sur cette société et toutes ses filiales, la plus grosse fortune du monde … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices … 

On m'avait convoqué pour dix heures ce matin dans la propriété d'un des membres du conseil d'administration de la PK. Je me présentais, j'étais à l'heure et même un peu en avance … Un employé de maison me faisait entrer et me demandait d'attendre un moment dans le vestibule. La maison était somptueuse, il y avait un parc devant, par une fenêtre en face de l'entrée on pouvait voir qu'il se prolongeait de l'autre côté de la bâtisse. Sur un mur un immense portrait d'un monsieur âgé mais qui gardait une grande prestance, à côté le portrait de Mr Brosso , celui-là tout le le monde connaissait son visage, il était célèbre, plus jeune il avait fait beaucoup de publicité, et avait remporté beaucoup de coupes, médailles, décorations à de nombreuses compétitions sportives. Maintenant il dirigeait la PK. On était chez un de ses disciples … 

Je ne devais pas attendre longtemps avant que l'employé ne revienne et ne me prie d'entrer dans un bureau au bout d'un couloir du rez de chaussée. Bureau tout ce qu'il y a de classique sinon que le mobilier était visiblement de grand prix … Un homme était assis à ce bureau, il me priait de prendre place dans un fauteuil qu'il me montrait en face de lui …

C'était le secrétaire particulier de Mr Laclaque ... Nous étions chez Mr Laclaque ! 

Le secrétaire : Si vous le permettez nous allons faire connaissance ! Vous vous appelez Juste André … ( je confirmais d'un mouvement de la tête ) . André, c'est votre prénom ou c'est Juste .
Moi : Juste est mon nom de famille …
Le sec : Marié ?
Moi : Non !
Les sec : Des enfants ?
Moi : Sans être marié ?
Le sec : Ça se fait vous savez ?
Moi : Non je n'ai pas d'enfant !
Le sec : Vous fumez ?
Moi : Non !
Le sec : Vous buvez ?
Moi : Un ou deux verres dans une soirée de fête …
Le sec : C'est très bien ! Vous avez lu le règlement interne que nous vous avons fait parvenir ?
Moi : Oui !
Le sec : Cela ne vous pose pas de problème ?
Moi : Pour être honnête je n'ai jamais porté de dispositif de chasteté aussi … Je ne sais pas …
Le sec : Comme nous vous l'avons dit, vous disposerez d'une période d'adaptation, vous prendrez ensuite votre décision, à savoir si vous validez votre contrat d'une année … Renouvelable bien sûr … 

Nous passions ensuite au moment crucial, prendre mes mesures et m'équiper de ce dispositif de chasteté. J'étais gêné aussi je peux vous garantir que je ne bandais pas …

Le sec : Vous savez … C'est quelquefois à ce moment que certains de nos partenaires de la PK ont bandé pour la dernière fois ! 

J'avalais ma salive, et regardait ma queue mais … Rien ! Je ne savais pas encore que ce ne serait pas mon cas mais que jamais je ne me masturberais à nouveau … C'était un modèle PK CC, très confortable, proposé depuis peu par la PK il devenait une modèle de référence, nouveau matériau synthétique d'un contact doux et chaleureux, très résistant et surtout totalement inaltérable, on pouvait le garder en permanence et définitivement … 

Je ressortais du bureau équipé, un peu coincé aux entournures ... Entre les cuisses si vous préférez ! Mon travail consisterait à … Un peu de tout, je pouvais aider à la cuisine autant qu'au jardin ou au ménage … 

En sortant, je croisais un personnage qui semblait important, il portait un costume de grand prix, des chaussures faites sur mesure, un montre en or de grande marque …

Le secrétaire : Monsieur Laclaque, je vous présente notre nouvel homme de toutes mains … André …
Mr Laclaque : Et bien André, j'espère que vous saurez vous adapter parmi nous … Soyez le bienvenu … 

Mr Laclaque entrait dans bureau avec son secrétaire et l'employé qui m'avais reçu me conduisait à ma chambre que je partageais avec un autre employé qui était là depuis plus de six mois, me remettais ma livrée et me faisait faire le tour du propriétaire tout en m'expliquant ce que seraient mes différentes tâches … 

La première semaine passait rapidement, dans la journée tout allait bien mais la nuit, dans mon lit je la sentais cette cage de chasteté. Je ne comprenais pas comment ça marchait, il n'y avait pas de cadenas, pas de verrou visible, pas de fente pour glisser une clée … Plus les jours passaient plus j'avais envie de me branler, un bon coup, cracher ma sauce … C'est tellement bon !

Je me sentais soulagé quand arrivait le samedi. Dans la salle de bain il y avait un étrange appareil qui ressemblait un peu à un téléphone publique mais sans le combiné... C'était la clé … Son fonctionnement était simple, on se présentait nu devant le dispositif, il n'y avait pas de caméra pour respecter la pudeur de l'employé, ce dernier appuyait alors sur un bouton … Le reste était automatique ! L'appareil reconnaissait l'employé grâce à son empreinte, des capteurs détectaient si le dispositif était correctement positionné et ouvrait ou fermais alors le dispositif selon le cas … 

Tout se passait comme prévu. J'étais libre, mon colocataire arrivait dans la salle de bain au moment ou je retirais l'appareil … 

Denis : Alors tu te sens mieux ! 
Moi : Ohhhhh Oui ! Je sens que …
Denis : Tu veux que je tu suce ?
Moi : ? …
Denis : Tu veux me défoncer le cul ?
Moi : Euuuuh ?


Il se déshabillait et se glissait sous la douche, sa cage de chasteté se balançait devant lui, elle se redressait légèrement. Elle se redressait un peu comme ma bite qui se relevait complètement devant moi !

Denis : Mais c'est que tu es bien foutu toi !

Je me glissait à côté de lui sous la douche.

Denis : Défonce moi le cul !

Il se mettait à genoux à côté de moi et sans plus hésiter commençait à me lécher le gland. C'était bon, je le laissait faire. Il passait sa langue autour de ma queue, ça me chatouillait un peu mais c'était terriblement agréable. Je ne m'étais pas touché pendant une semaine, je ne m'étais pas branlé pendant un peu plus même … J'avais l'impression de bander plus fort que jamais, ma queue était dure comme un morceau de bois qui restait bien planté à la verticale, redressé contre mon ventre. Denis tirait ma bite vers lui pour bien la prendre dans sa bouche, mais quant il la relâchait elle se relevait avec force et frappait contre mon ventre. Je lui caressait les cheveux, au bout de quelques instants je devenais plus actif, je ne me contentait pas de le laisser faire. 

Quand il avançait la tête, j'avançais mon bassin et j'appuyais sur sa tête avec douceur. Il me tirait vers lui en me prenant par les cuisses, ma queue rentrait entièrement dans sa bouche, jusqu'à sa gorge, ses lèvre remontaient jusqu'à mon ventre, j'appuyais sur sa tête, c'était tellement bon.

A cet instant je me suis dit que ce boulot était génial, l'ambiance était agréable et les fins de semaines semblaient prometteuses …

Il résistait et retirait sa tête, je le laissais faire, je gardais mes mains autour de sa tête toujours en lui caressant les cheveux. Il revenait, je poussais mon bassin plus fort, un peu plus vite, il sursautait mais il encaissait, bien à fond. Je sentais le plaisir monter, je ne tendais pas de me retenir. Encore quelques mouvements et je jouissais dans sa bouche, il n'attendait que ça ! Il avalait et continuait à me biberonner avec douceur. J'étais aux anges, j'étais au paradis. Je débandais rapidement mais je sentais sa langue qui passait sur mon gland, qui me léchait ma queue sur toute sa longueur en s'attardant juste au niveau du frein, et quelquefois remontait pour me caresser le gland. Sa main me caressait également la bite au moment ou elle ressortait, il me masturbait doucement et il ne fallait pas longtemps pour que je bande à nouveau comme un fou.

Satisfait du résultat il se relevait et me tournait le dos.

Denis : Maintenant défonce moi le cul. Tu sera mignon .

Sans rien dire je prenais position, je me savonnais abondamment la queue et en faisait de même avec son cul. Je posais l'extrémité de ma bite juste sur l'ouverture de son trou de balle, il relevait la tête, je poussait, il gémissait, je forçais, ça rentrait, il râlait de plaisir …

Je poussais fort, il râlait d'autant plus fort mais ne me demandait pas d'arrêter. Mon ventre touchait ses fesses. Je me retirais rapidement et revenais à la charge tout aussi rapidement. Il encaissait, il poussait des cris. Des cris de plaisir des cris de douleur … ? J'espère pour lui que c'était du plaisir car moi je m'en moquait de lui faire mal ! A cet instant je ne pensais qu'à mon plaisir et je ne me retenais pas. Je ne retenais pas mes mouvements qui devenaient rapidement frénétiques, violents, rapides. Quand j'arrivais au font de son cul je donnais un violent coup de bassin, à chaque fois plus violent. 

Je ralentissais le mouvement qui devenait alors plus amples et plus forts. Je me retirais lentement entièrement, ma queue ressortait alors complètement de son cul puis l'enfonçait en un mouvement rapide, très rapide, mon ventre frappait bruyamment contre ses fesses. Il poussait des hurlements, tentait de se  cramponner à ce qu'il trouvait c'est à dire à rien … Il se retrouvait alors plié en deux s'appuyait les mains sur le sol pour ne pas tomber. Je le cramponnais par les hanches et mes mouvements étaient violents, rapides, doux, lents, j'alternais … 

Je devais jouir à nouveau et à ce moment mes derniers mouvements étaient particulièrement violents, il poussait alors un gémissement comme une longue plainte … Quand je me retirais je pouvais voir qu'il avait éjaculé lui aussi, un jus blanc et épais coulait des sa cage de chasteté, il s'appuyait sur le mur ses jambes tremblaient. C'est vrai que je suis bien monté, sans pour autant être un géant … Je m'étais fait du bien ! Je le regardais en lui faisant un sourire, il me rendait mon sourire en reprenant ses esprits. On terminait la douche en se savonnant l'un l'autre, il semblait apprécier de jouer avec ma bite et je le laissais faire …

Moi : Si tu me fais bander encore je recommence !
Denis : Même pas peur !

Il était lui aussi libre pour le week-end mais sa queue elle ne l'était pas !

Denis : C'est ta période d'essais ?
Moi : Oui première semaine … Et toi ?
Denis : Six mois !
Moi : Et …
Denis : Oui je me disais la même chose il y a six mois !
Moi : Mais j'ai rien dit !
Denis : Non mais tu l'a pensé très fort !

On revenait dans notre chambre.

Moi : Et le boss, tu sais quelque chose sur lui …
Denis : Sébastien Laclaque … Il a été embauché par Mr Le Conte en personne.
Moi : Mais il est mort lui !
Denis : Il aurait plus de cent ans … Son père travaillait déjà à la sécurité pour Mr Le Conte. Tu imagines que notre boss à demandé à porter régulièrement un dispositif à l'âge de quinze ans … De ce côté la règle est simple … Deux mois pour voir si tu supportes, tu n'est alors libéré que le week-end, puis des contrat d'un an.  En cas de rupture de contrat tu n'as aucune indemnité. Le salaire n'est pas très élevé mais on est logé, et assez bien même. Nourris, et très bien même. On a du temps libre pour les activités sportives, entre autre …
Moi : A condition de … 

Je regardait ma queue qui se manifestait un peu de nouveau … 



Ep 02 : CAMARADES DE BOULOT



Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie  … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices … 

On était en début de week-end, j'étais à poil, allongé sur mon lit, je bandait à moitié. Après une semaine d'abstinence je venais de jouir deux fois de suite et je me sentais bien, très bien … Denis était allongé sur son lit à côté de moi, il était à poil également sauf ce petit truc que j'avais porté pour la première fois pendant une semaine, son dispositif de chasteté PK CC … 

Il le portait depuis six mois ! Waow … ! Six mois … En fait ça reste confortable, j'en suis à une semaine, mais physiquement ça reste tout à fait confortable, le problème … C'est dans la tête !

Denis jouait un peu avec son dispositif en me regardant. Je devais lui faire envie … Je remarquais que son dispositif se relevait sur son ventre, il devait y avoir de la pression la dedans … C'est à ce moment que Florian entrait dans la chambre comme un fou sans frapper …

Florian : Alors les filles vous faites quoi ce week-end ? 

Il restait immobile un instant en nous regardant. 

Florian : Ouai je vois !

Me regardant.

Florian : Fin de la première semaine ! Période d'essais ! Je me souviens, moi c'était quelque chose … Je me suis branlé pendant deux jours. J'ai pas arrêté !

Florian est beau gosse, bien foutu et ça suffisait, en plus du fait que je venais de passer une semaine la bite enfermée dans une cage minuscule, pour me faire bander une fois de plus. Il me regardait, il avalait sa salive et d'un geste vers son entre-jambe ajustait son dispositif. Je devinais que sa bite essayait de se déployer mais que … La mienne prenait toute son ampleur et je la caressais doucement. On s'échangeait des regards.

Florian : Je peux ? 

Il se penchait sur moi et me branlait doucement, il était tout en douceur et quand je sentais sa langue toucher l'extrémité de ma queue, je penchais la tête en arrière et écartais les cuisses. Il me caressait le ventre en prenant ma queue dans sa bouche. Il faisait ça bien lui aussi et je le laissais faire, je repliais mes mains derrière ma tête et baissais les yeux pour le regarder faire. 

Ma queue entrait doucement dans sa bouche, le contact était doux, chaud et humide. Sa langue me caressait, elle tournait autour de ma bite, elle s'écrasait contre mon gland et s'attardait sur l'ouverture de mon urètre. Je sursautais de plaisir et de surprise. C'était rudement agréable. A ma plus grande surprise, ma queue que je trouvais pourtant de belle taille entrait sans problème complètement pour aller se loger juste au fond de sa gorge. La encore, un contact doux et chaud. Je jubilais.

Ses lèvres touchaient mon ventre et ma bite avait totalement disparue, il était tout rouge et moi je gémissais de plaisir. Il me caressait les couilles et glissait un doigt entre mes fesses, je me raidissais et fronçait les sourcilles, il le remarquais et retirait sa main … Et surtout son doigt ! Il continuait à me masser doucement les couilles …

Sur l'autre lit Denis, nous regardais on pouvait voir l'envie dans ses yeux. L'envie d'être à ma place c'est sûr même s'il aurait bien pris la place de Florian. Il tripotait frénétiquement son dispositif, ça faisait pitié mais moi j'en profitais, je jouissais encore une fois, la troisième fois depuis tout à l'heure, dans la bouche de Florian qui avalait sans broncher et continuait avec toujours autant de douceur, je frissonnais, c'était bon. Je lui caressais les cheveux mais là malgré toute ma bonne volonté, je débandais. Florian insistait encore un moment mais c'était bon ! Pour le moment !

Denis : Il m'a enculé juste avant !
Florian : Tu récupères et tu m'encules … d'accord ?
Moi : Pas de problème, s'il n'y a que ça pour te faire plaisir …

Florian se relevais, s'essuyait la bouche, me donnait encore un dernier baiser sur le bout de ma bite et s'asseyait sur un fauteuil. Il ne pouvait pas détacher son regard de ma bite et ça se voyait, il ne se cachait pas ! Denis était dans le même état. Bref moi je venais de jouir et je me sentais bien, eux étaient en manque et ça se voyait bien ! 

Moi : Ça fait longtemps pour toi Florian ?
Florian : Six mois, on est arrivé en même temps Denis et moi … Il y a Bastien aussi qui est arrivé en même temps, mais ce soir il est de service de week-end.
Denis : Ce soir ! Je croyais que le bosse ne serait pas là ?
Florian : Il est déjà parti et ne reviendra pas avant Lundi mais tu sais comment ça se passe, il y a toujours une permanence.
Denis : Même si le gars qui est de permanence reste là comme un con à ne rien foutre …

Je les écoutais, je me tripotais toujours comme ça, sans y penser, l'air de rien … Je remarquais les regards qui régulièrement descendaient vers ma queue, je ne bandais pas, pas pour le moment … Florian se levait …

Florian : Bon il va falloir passer à table, c'est l'heure ! Ensuite si on se faisait une petit sortie, on pourrait aller boire un verre. Ensuite … Peut être que tu seras un peu plus en forme Juste …
Moi : C'est André !
Florian : Je sais mais moi je préfère Juste !

Avec Denis il ne nous fallait pas longtemps pour nous habiller. On passait à la cuisine, les autres employés étaient déjà là et prenaient place autour de la table. La discussion allait bon train.

… Vous avez vu le nouveau jardinier ? …
… J'étais dans le bureau quand ils ont pris ses mesures …
… Alors, raconte …
… Ils ont commandé un modèle spécial, très grosse taille …
… Tu parles passé un mois il sera comme nous. Grosse ou petite ça change quoi ? …
… A part ça il est comment ? …
… Beau comme un dieu …
… Mais il y avait tout ce qu'il faut en jardiniers …
… Deux jardiniers ne renouvellent pas leurs contrats … 
… Jonas qui nous quitte, il ne renouvelle pas ! Et Lionel il termine sa deuxième année dans un mois et ne renouvelle pas  non plus … 

Il allaient donc recruter un nouveau jardinier encore après ça. Il est vrai que le personnel tournait beaucoup. Presque tous les nouveaux restaient au moins an et on peut le comprendre, ils savaient à quoi s'attendre … Mais au bout d'un an il y en avait moins qui renouvelaient leur contrat … Les plus anciens étaient tous issus de l'université PK et de la formation PK … Pendant toute leur formation il devaient porter un dispositif, certains arrivaient même en portant le dispositif et ne demandaient pas à être libérés pendant la période d'essais. La preuve …

Oscar : Mais enfin quand vous postulez pour une place chez un directeur important de la PK les jeunes vous vous attendez à quoi ? Pour ma part, je suis ici depuis cinq ans … Et le dispositif je le porte sans aucune interruption depuis huit ans … Depuis le début de ma formation de majordome !

Oscar c'était l'exemple type. Le modèle de référence, on ne lui connaissait aucune soirée comme celle que que nous venions de passer Denis, Florian et moi … Un exception, ou un exemple … 

Avec Denis et Florian on sortait boire un verre, quand on ne travaillait pas le week-end on était libre de nos mouvements mais nous devions porter le dispositif jusqu'à la fin de notre contrat … C'était le règlement ! Pour ma part je devrais le remettre au plus tard pour le lundi matin, avant de reprendre mon travail. En attendant je faisais comme je voulais. J'aurais encore trois libérations, une dans deux semaines, une autre trois semaines plus tard et enfin une dernière quatre semaines après. Je validerais ensuite mon contrat pour un an à partir de cette date. Si je venais à rompre mon contrat je ne pourrais pas bénéficier de la prime prévue et si je décidais de renouveler pour encore une année, je pourrais soit voir la prime majorée d'intérêts non négligeables  soit l'utiliser … Une autre prime qui tiendrait compte de l'ancienneté me serait versée à la fin de l'année suivante … Ainsi de suite … 

On discutait longuement, les conditions de travail étaient bonnes. Le logement qui était confortable. Les nouveaux, deux jardiniers, en général il étaient bien musclés. Le chef jardinier par exemple était particulièrement bien proportionné, je l'avais souvent croisé dans le jardin, au potager quand je suis allé chercher des légumes pour la cuisine. Toujours torse nue en été, il travaille au grand air, il est bien bronzé. Il n'y avait que des hommes à travailler ici, le boss n'était pas marié … On discutait bien sûr du petit détail … Le port obligatoire du dispositif de chasteté … 

On ne rentrait pas trop tard, Florian s'invitait dans notre chambre … Denis le laissait faire et s'installait sur le fauteuil et nous regardait. Florian me repoussait sur mon lit et me sautait dessus, il me prenait dans ses bras et m'embrassai, je sentais ma queue se relever dans mon pantalon, je sentais sa cage dure comme du métal qui s'appuyait contre ma cuisse … Je lui ouvrais la chemise, il retirait alors rapidement ses vêtements, tous ses vêtements, j'en faisais de même. 

Je me retrouvais nus sur mon lit, il était nu sur moi, il m'embrassait sur tout le corps en descendant vers on sexe, il me caressait la bite et quand il commençait à me sucer la bite les lèvres de Denis se posaient sur mes lèvres. Il était nu lui aussi! Il m'embrassait sur tout le corps, me caressait et me pinçait les tétons, je caressais les cheveux de Florian qui semblait se régaler autant que je me régalait. Je caressais le corps de Denis, je m'attardais sur ses couilles que je tripotais sans lui faire mal, il y avait de la pression dans sa cage de chasteté et il mouillait.

Ils inversaient les positions, Denis me suçait la queue et Florian me prêtait ses lèvres, ses baisers étaient doux. Nos langues se caressaient longuement. Je bandais à mort comme quelques heures plus tôt et j'appuyais sur la tête de Denis. Florian manifestait de l'impatience, je lui glissait un doigt entre les fesses, il me laissait faire. Je lubrifiais avec de la salive et j'enfonçais un doigts dans son cul. Immédiatement il gémissait de plaisir et me laissait faire. Il me prenait pas la main et me relevait sans se préoccuper de Denis.

Je me relevais, Denis me lâchais. Florian me tournait le dos et prenait position, son cul en position, il tournait la tête et me faisait un grand sourire. Je me positionnais juste derrière lui et comme il l'avait demandé, je l'attrapais par les hanches et lui défonçais le cul sans préambule … J'enfonçais ma queue bien à fond en un mouvement rapide et décidé. Il gueulait de surprise. Je sais ça ne se fait pas mais j'en avais envie !

J'entendais Denis à côté de moi : '' Tu y vas fort là toi ! ''. Je continuais et commençais à lui limer le cul sans ménagement. Il faisait comme s'il voulait se dégager  mais je ne le retenais pas assez fermement pour l'en empêcher s'il le voulait vraiment. Il râlait, il  gémissait. J’accélérais le mouvement et mon va et vient devenait rapide. Denis me caressait, il était à côté de moi et me caressait en insistant sur mes partie les plus intimes pour m'encourager. Mes mouvements devenaient plus amples, je retirais ma queue complètement la lui enfonçais de nouveau avec plus de violence, en donnant un bon coup quand mon ventre touchait ses fesses. Je ne me retirais pas du tout, me contentant de me détendre puis de donner des coups de bassin. Il gémissait, et en redemandait. 

Il jutais, un flot de sperme coulait de sa cage de chasteté, un flot continu, il poussait alors un long gémissement, il tremblait, il jouissais … Moi j'avais joui trois fois déjà depuis l'après midi et il m'en fallait plus. Je ne le lâchais pas, il se cramponnait, je continuais avec douceur, avec force, avec violence. Je continuais avec des mouvements rapides, plus lents. Au moment ou je jouissais dans son cul je gueulais de plaisir et lui donnais quelques coups de bassin particulièrement violents. Au moment ou je le lâchais il se laissait tomber sur le sol. Il respirait fort, et tremblait un peu …

Denis à coté de moi regardait ça, j'avais l'impression qu'il aurait bien aimé être à la place de son camarade Florian.



Ep 03 : QUELQUES JOUETS


Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

Ce premier week-end avait bien commencé. Cinq jours la queue enfermée dans une cage à bite puis mes deux principaux camarades de travail qui me sautaient dessus pour me sucer ou se faire défoncer le cul. J'avais juté quatre fois en une demie journée. Le lendemain c'était Lilian qui me tombait dessus … Lilian c'est le camarade de chambre de Florian .

Juste après l'entraînement sportif, une règle ancienne dans la PK, je prenais ma douche et il débarquait dans la salle de bain. C'était une salle bain commune … Il ne portait sur lui qu'une tenue de sport et se retrouvait rapidement à poil.

Lilian : Tu veux que je te frotte le dos ?

Alors lui il y allait directe ! Il avait probablement parlé avec nos camarades de travail et c'est sans attendre ma réponse qu'il se glissait sous la douce à côté de moi.

Je lui caressait le torse subrepticement, lui passait la savonnette et lui tournais le dos. Je sentais ses caresses. Finalement c'est une position dingue, ils avaient tous leur cage de chasteté et moi je bandais librement, tranquille. Ils ne m'en tenaient pas rigueur, je leur faisait envie mais ils avaient surtout envie de me faire jouir en s'amusant avec ma bite. C'est vrai que j'ai une belle quéquette mais je ne pensais pas un jour la prêter à tous le monde comme ça … Enfin … Tous le monde … Il ne faut pas exagérer je ne pense pas qu'elle aurait intéressé Oscar !

Rapidement il ne me frottait pas que le dos, les fesses y passaient, les épaules, les fesses, le haut des bras, les fesses, il passait une main devant moi sur mon ventre, mes fesses … Il  passait enfin une main entre mes cuisses et me massait les couilles avec tendresse. Je me retournais, il continuait en me masturbant. Il y mettait beaucoup de savon et frictionnait avec vigueur … Cool ! Je le laissais faire.

Quand il me rinçait c'était pour pouvoir mieux me sucer. J'ai bien l'impression que c'est une manie chez ceux qui travaillent ici … Dès qu'ils voient une bite en liberté il ont envie de s'amuser avec. Je le laissais faire, c'était bien agréable. Je ne m'étais pas branlé ce matin, depuis une semaine j'avais un peu perdu cette habitude … Bon c'est pas grave je me masturberai plus tard. J'ai encore du temps à rattraper !

Je lui prenais la tête des deux mains et le guidais. Je le tirais vers moi, j'avançais mon bassin. Il se retirait en arrière pour reprendre son souffle, je reculais mon bassin. Il était en manque ! Il était comme nos deux camarades d'hier. Un instant je me demandais comment je serais dans huit jours quand je serais libéré de nouveau … Huit jours, j'ai dit huit jours non je me trompe dans deux semaines … Un instant j'avais un pincement au cœur … Deux semaines !

Après une semaine je suis excité comme jamais, après deux semaines comment je vais être. La douceur de sa langue sur la longueur de ma bite me ramenait à la réalité du moment. Il écrasait sa langue contre mon gland et pressait de toutes les forces de sa langue en insistant sur l'ouverture de mon urètre … C'était dément, j'avais déjà envie d'éjaculer, je crispais mes mains sur sa tête, je le retenais pour ne pas jouir trop vite. Il devait le ressentir car il retenait ses caresses. 

Lilian se relevait, il me prenait dans ses bras et m'embrassait. Je le serrais fort contre moi dans une étreinte très chaude. Ma queue se relevait et se glissait entre ses cuisses. Je sentais son dispositif de chasteté contre mon ventre. Il se retournait et se penchait en avant. Je lui savonnais les fesses et enfonçait rapidement ma bite bien au fond de son cul. Je le sentais se raidir, il poussait un cri, il encaissait sans difficultés. Je le prenais dans mes bras, il passait ses bras dans son dos pour me retenir, je le serrais fort contre moi en poussant bien ma bite au fond de son cul. 

Je me retirais et commençais à lui limer le cul, je revenais à la charge me retirais de nouveau avant de recommencer. Il était debout devant moi, je lui caressait le torse, le ventre, je m'attardais un moment sur ses couilles et sur sa cage. Je l'embrassais dans le coup, on partageais un moment de tendresse, de douceur. Dans la position ou on était mes mouvements étaient forcément plus doux, même si au moment ou je m'enfonçais totalement il devait le sentir passer , il se redressait sur la pointe des pieds et faisait des grimaces. Il ouvrait la bouche comme pour pousser un cri ou pour reprendre son souffle. Il était un peu plus petit que moi et je m'en amusais …

Je me retirais, il se laissait retomber. Je m'enfonçais bien à fond en me redressant, il se cambrait, se relevait sur la pointe des pieds et poussait un petit cri. Je me mettais moi-même sur la pointe des pieds, et là je le voyais paniquer, il cherchait en vain quelque chose pour se retenir avec ses mains qui parcouraient alors le mur des douches. Il gémissait, il avait le souffle court, il respirait fort. Je sentais son cul se contracter, je sentais le plaisir monter, je ne me retenais pas, je laissais le plaisir monter, je me redressais sur la pointe des pieds comme si je voulais le soulever, il paniquait encore  plus et finalement je jouissais, je jouissais comme un fou, il gémissais, il poussait quelques cris, comme une plainte qui durait dans le temps. Quand je me retirais, il se laissait aller, il se laissait retomber et s'appuyait contre le mur.

On terminait la douche en se savonnant joyeusement l'un l'autre dès qu'il avait repris ses esprits. Il partait faire son office et moi je retournais dans ma chambre ou je me laissais tomber sur mon lit, à poil, les jambes écartées …

Mes idées s'embrouillaient, je me disais que finalement j'allais aimer ce genre de vie avant de me rappeler que dès le lendemain je serai comme eux … Sous clé !

Sous clé pour deux semaines. La première semaine s'était bien passée mais deux semaines … Ça devrait être plus laborieux. Certainement moins facile à vivre. Et je ne sais pas si un jour je ne serais pas comme mes camarades, si je n'aurais pas moi aussi le feu au cul … Comme eux !

Je ne me suis jamais fait défoncé le cul comme ça mais … J'ai déjà joué avec des mecs, et avant aujourd'hui j'avais déjà enculé un mec ou deux mais pas plus. Je me branlais tous les jours, au moins une fois, c'était le minimum,en fait souvent deux ou trois fois … Quelquefois plus et là depuis une semaine, et là pour les deux semaines qui allaient venir … Puis pour les trois prochaines semaines et encore quatre ensuite  … 

J'en serais alors à … La vache ! Un an ! … Là commencera mon contrat de un an sans interruption. Un prime d'un montant sympathique si je terminais mon année, sinon … Pas de prime ! 

Dans ma tête je réalisais , j'imaginais un peu la situation sans pour autant réaliser vraiment. Je me demandais ce qu'on peu éprouver au bout d'un an, pendant un an au fond de son cœur, dans sa tête … Ils n'avaient pas l'air malheureux … 

Denis arrivait, il était tôt mais ça faisait un moment que j'étais là perdu dans mes pensées, il avait terminé son entraînement et venait de sortir de la douche. En me voyant nu sur mon lit, il me lançait un large sourire.

Moi : Dis moi Denis, tu en souffre de porter ce truc ?
Denis : Non ! Ce n'est pas douloureux !
Moi : Je ne parle pas de douleur physique …
Denis : En fait … C'est particulier, les premières semaines sont les plus bizarres, tu es en manque, tu bande tous les matins et tu ne peux rien faire … Mais bon une semaine c'est pas trop dur. Ensuite deux semaines, à la fin de la deuxième semaine ton esprit commence à changer … Là ça dépend des gens … 
Moi : Une semaine oui j'ai vu … Demain je commence les deux semaines …
Denis : Profite en ! 

Il me regardait d'un air interrogateur.

Denis : Tu veux que je te suce ? Tu veux m'enculer ? 
Moi : Je viens juste d'enculer Lilian !
Denis : Oui lui il aime bien ça !
Moi : J'ai l'impression qu'il n'est pas le seul !
Denis : Oui mais lui il utilise des godes !

Je sursautais !

Denis : Oui des godes ! Des grosses bites en plastique ! Enfin en caoutchouc ! On en a tous mais lui il en a des très grosses.
Moi : Je veux voir ça ! Tu en as ?

Nous avions chacun une grande armoire qui pouvait se verrouiller. Il allait à son armoire et ouvrait un tiroir fermé à clé. Il en sortait une boite et la posait sur mon lit. Je me relevais, j'ouvrais la boite et … 

Il y avait un petit gode de quatre centimètre sur quinze de long à peine, je la prenais dan la main.

Denis : Idéal pour débutant. Tu te la rentres facilement dans le cul et ça peut donner pas mal de sensations très agréables …

Un deuxième gode plus gros … Celui là faisait ses dix neuf bons centimètres sur cinq …

Denis : La c'est le modèle confirmé, les débutants éviteront, ça peut faire mal. Mais je te garantis que celui il donne des sensations quand tu arrive à te l'enfiler … Il dilate déjà bien et enfoncé à fond il se fait sentir … C'est mon préféré !

Un troisième gode encore plus gros … Celui touchait les vingt trois centimètres sur six bons centimètres. Là j'arrivais à peine à en faire le tour avec les doigts.

Denis : Celui là, le modèle Expert … C'est définitivement pas pour les débutants. Là tu le sens vraiment passer, il te dilate bien le cul et un bon entraînement est indispensable. Il t'éclate la prostate ça peut être vraiment … 
Explosif … C'est clairement à ne pas mettre entre toutes les mains …

Je manipulais ce dernier modèle, par réflexe je me comparait à ce truc … J'étais loin, ma bite se classait en diamètre à peine au niveau du second en plus court … C'était déjà pas mal, raisonnable.

Moi : Il est vraiment énorme celui là !
Denis : Il y a plus gros !
Moi : Plus gros ! Mais comment plus gros ?
Denis : Beaucoup plus gros !

Je le regardait incrédule.

Moi : Plus gros ! Mais personne ne peut se l'enfoncer dans le cul !
Denis : Mais si … Je me suis fait défoncé le cul par un mec qui avait une bite un peu plus grosse que le gros que j'ai là. Je l'ai senti passé ! Au bout de six semaines il a renoncé et il n'est pas resté !

Je restais pensif devant le truc et j'essayais d'imaginer ce que ça devait faire quand ça rentrait dans un cul .

Denis : Lilian en a un plus gros …

Je le regardais avec un air de surprise, sans trop y croire.

Denis : Il fait vingt six centimètres de long, au plus large il fait sept centimètres et le reste environ six ou à peine moins … 
Moi : Et il se met ça dans le cul ?
Denis : Je l'ai essayé une fois … Tu le sens passer mais, une fois bien  dilaté, bien préparé, en y allant en douceur … Ça passe !
Moi : Et tu l'as senti passer ?
Denis : Oh ! Oui ! Mais de temps en temps ça fait du bien !

J'étais incrédule, j'avais du mal à voir ce que ça pouvait représenter, ce que j'avais dans la main était déjà énorme et je ne voyais pas avec un truc comme ça dans le cul … 

Je continuais à manipuler ces trois trucs, je bandais et Denis s'était penché, il me tripotait la bite et me biberonnait. Je le laissais faire !



Ep 04 : LE JARDINIER NOUVEAU


Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie  … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

Le reste du week-end continuait sur le même ton ! En ce moment j'étais le seul à avoir ma bite à l'air dans toute la maison, tout le monde le savait et mes plus proches collègues ne se privaient pas de me faire des avances …

C'est ça l'effet du manque après plusieurs mois ?

Il m'ont fait jouir cinq fois dans la journée du dimanche. Je n'ai rien fait, je les laissais faire. L'un préférait me sucer, un autre me branlait avec beaucoup d'efficacité. Ils étaient demandeur aussi pour se faire défoncer le cul … J'ai passé une journée géniale. 

Le lundi matin je me sentais presque soulagé quand j'appuyais sur le bouton du dispositif de contrôle. J'avais mis ma cage de chasteté, le dispositif m'identifiait grâce à mon empreinte, les détecteurs faisaient leur fonction et j'éprouvais tout de même un pincement de cœur quand je refermais le dispositif et qu'un petit clic se faisait entendre. J'étais sous clé pour deux semaines !

Dans l'après midi on nous présentait le nouveau jardinier, Ben. Il  venait d'arriver et devait prendre ses fonctions sans délais. Il était bel homme ! Grand près de deux mètres, il était large et musclé. Il avait un visage carré, bien viril, tête rasée, yeux bleus … Rien qu'à le voir j'étais déjà en manque. Je ne pensais pas que j'aurais éprouvé ça pour un homme, enfin pas en si peu de temps … Je m'étais bien vidé les couille la veille et n'étais sous clé que depuis quelques heures.
Je n'étais peut être sous clé que depuis quelques heures mais je savais que ce serait pour un long moment … Deux semaines … Quelque part dans un petit recoin de ma tête cette idée était présente en permanence … A midi la pression était à son comble dans ma cage, comme si je la portais depuis déjà deux semaines. 

Je passais au potager et je croisais Ben, il était torse nu et je restais sous le choc. Du muscle,  rien que du muscle et pas un poil sur tout le corps. Il était bronzé, il me faisait un clin d’œil en me lançant un  grand sourire … Je me retenais de ne pas tomber à la renverse … Je m'imaginais le week-end prochain dans les douches, nous serions tous les deux libérés et je nous voyais nous frictionner le dos avant de partager quelques branlettes … Je nous imaginais, c'est lui qui est suréquipé on m'avait dit, c'est pour lui qu'il avait fallu commander une grande taille à la PK. Il était sous clé et en effet il avait une grosse bosse à l'entre-jambe, c'était pas que la cage de chasteté qui le mettait en avantage, c'était naturel. Je m'imaginais avec lui puis … Et merde moi le prochain week-end je serai toujours sous clé ! … Deux semaines … Un cour instant j'avais oublié …

Le samedi arrivait vite, tôt le matin avec Denis et Ben on faisait notre entraînement, C'est une vieille habitude à la PK. Ensuite on passait sous la douche. Arrivé devant l'automate qui contrôlait l'ouverture de la PK … On était tous les trois à poil, ne portant que notre cage de chasteté.

Ben : au fait on peut le retirer quand ce truc ? On m'a dit le premier week-end … On est le premier week-end, pour moi en tous cas !
Denis : C'est simple, tu te place devant l'appareil, tu appuis sur le bouton là … Tout le reste est automatique …

On le regardait faire … L'appareil annonçait : '' Veillez recommencer à douze heures ! '' … On éclatait de rire, les week-end de liberté commencent à midi !

Après le repas, on suivait Ben qui ne traînait pas, on le suivait dans la salle de bain. Il se déshabillait puis procédait de nouveau, on entendait un très léger clic au niveau de sa cage de chasteté, elle était de belle taille comme on me l'avait dit … Ben manipulait alors son dispositif puis sans le vouloir le reverrouillait !

Ben : Merde je crois que je l'ai refermé !
Denis : Recommence !

Ben recommençait et de nouveau le dispositif se déverrouillait.

Denis : Pendant les périodes ou tu es autorisé à le retirer, il s'ouvre à chaque fois .
Ben : Vous allez voir la bête !

Ben retirait la cage, il retirait ensuite le cock ring … Une belle petite queue pendait alors devant lui, il se retournait vers un miroir pour se regarder. Se retournait vers nous. Nous avions les yeux rivés sur sa bite.

Ben : Ça vous intéresse ça les gars ? Vous allez voir, vous allez avoir peur !

Il passait ensuite sous la douche et commençait à se laver la queue ! Rapidement elle semblait se détendre, se développer, il ne bandait pas mais sa queue confinée pendant une semaine reprenait sa taille normale, c'était finalement un beau morceau qui pendait lourdement devant lui ! Il l'astiquait avec plus de vigueur et il commençait à bander. 

Denis qui m'avait montré qu'il n'était pas timide se mettait à genoux devant Ben et sans prévenir lui caressait la queue et rapidement avalait son gland et le léchait. Il enfonçait alors cette énorme bite dans sa bouche. Je regardais ça, j'y croyais pas ! Il savait y faire le gars, une semaine plus tôt il m'avait montré ce qu'il savait faire mais là, la queue était bien plus grosse que la mienne ! Ça ne semblait pas le déranger !

Je me plaçais devant l'appareil et appuyais sur le bouton. Le message : '' Non autorisé ! '' apparaissait sur l'écran … 

Ben : Ça marche pas avec toi ?
Moi : Normal, je m'en doutais mais …
Ben : Tu es là depuis combien de temps ?
Moi : Deux semaines … 

Denis ne s'arrêtait pas, il gobait maintenant la bite de Ben qui en redemandait, je me souvenais de ce que ça fait après une semaine de confinement … C'est tellement bon … Je bandais comme un fou dans ma cage de chasteté, ma queue protestait et voulait prendre la place de celle que j'avais sous les yeux, elle était de très grosse taille mais Denis la rentrait jusqu'au fond de sa gorge, il synchronisait sa respiration puis avançait son visage vers le ventre de Ben. C'était impressionnant, ça rentrait. Il donnait presque l'impression de se déboîter la mâchoire et parvenait à poser ses lèvres à la base de la bite à notre camarade. Un instant j'avais l'impression que Ben n'avait pas de queue, elle avait totalement disparue dans la bouche et la gorge de Denis.   

Il avait vraiment l'air d'aimer ça Ben, il tenait la tête de Denis mais n'appuyait pas, il lui caressait les cheveux c'est tout !

Ben : Qui veut se la prendre dans le cul ?

Je faisais non de la main … Denis se relevais, il était tout rouge. Me lançait un regard un peu fou avec un grand sourire de satisfaction, il bavait, puis il se retournait et s'appuyait sur le mur de la douche, légèrement penché en avant les jambes écartées.

J'étais pétrifié, dans ma cage c'était terrible, je bandais de plus en plus ma queue cherchait à sortir, elle ne lâchait pas elle voulait démolir de l'intérieur le dispositif. A ce moment j'avais tellement envie de me branler que j'aurais fait n'importe quoi … Sauf peut être me porter volontaire pour prendre la place de mon camarade Denis.

Ben se plaçait derrière lui, lui savonnait bien le cul, y glissait un doigt, se savonnait bien la bite, de nouveau le cul de Denis, deux doigts ce coup ci … Il revenait sur sa queue, la plaçait sur l'anus de son partenaire puis l'enfonçait. Doucement, il savait qu'avec un truc pareil il pouvait blesser ! Il y allait doucement mais sans faiblir. 

Denis gueulait de plaisir, il faisait une tête … Un court instant j'aurais voulu être à sa place … Ça avait l'air si bon, il devait certainement souffrir mais je voyais de la jouissance … Il avait la bouche grande ouverte et poussait une long cri, pas fort, mais étrange, un cri qui durait dans le temps et qui ne s'arrêtait que quand il reprenait sa respiration. Il avalait alors sa salive. Ben terminait de s'introduire et terminait par un léger coup de bassin contre les fesse de Denis. Denis poussait alors un autre cri, comme un gémissement, comme un sanglot, comme des sanglots. 

Avec beaucoup de douceur et tendresse Ben prenait son partenaire dans ses bras et l'enveloppait complètement, il le serrait fort contre lui. Denis attrapait les deux bras forts du jardinier qui continuait à faire des mouvements réguliers mais contenus de son bassin. Sa queue était entièrement entrée. J'étais en transe. Je tremblais, je frémissais, je me caressait le torse, le ventre … Ma main descendait jusqu'à mon dispositif, il était sous pression, je le réajustais en tirant sur la peau mais ce n'était pas plus confortable. Je savais que pour retrouver un peu de confort il n'y avait qu'une seule solution … Mais je savais aussi que ce n'était pas au programme, que ce ne serait pas au programme avant une semaine … Une semaine ! …

Avec force et douceur Ben appuyait sur le dos de Denis tout en le retenant par la ceinture. Denis se penchait en avant et s'appuyait contre le  mur. Ben se retirait alors, toujours doucement, toujours avec des mouvements très contenus. Je pouvais voir sa queue glisser, elle ressortait du cul de Denis. Il semblait sangloter … Elle ressortait et semblait ne jamais arriver au bout tellement elle était longue et le mouvement était lent. Puis il faisait une pause et repartait dans l'autre sens. Elle s'enfonçait dans le cul de Denis qui ne sanglotait plus, il râlait, et semblait manquer de souffle avait du mal à reprendre son souffle. 

Peu à peu Ben accélérait le mouvement, il lubrifiait régulièrement, je lui passais du gel, c'est plus efficace … Il y allait alors plus vivement, plus rapidement, de temps en temps il donnait un coup de bassin qui faisait gueuler encore Denis. J'avais envie d'être à sa place mais j'en avait peur également. Ma queue ne cessait pas de se manifester, il n'y avait plus un millimètre de libre à l'intérieur de ma cage et la pression provoquait des renflements de peau qui ressortaient par les ouvertures … Pas de douleur mais beaucoup de gène ! J'avais envie de baiser, de me branler, de me faire sucer et le spectacle auquel j'assistais ne risquait pas de me calmer …

Ben avait accéléré mais la vitesse de ses mouvement restait raisonnable, il ne voulait pas blesser son partenaire et avec la matraque qu'il avait à sa disposition il en avait les moyens ! A chaque mouvement de Ben, Denis râlait et gueulait. Ben respirait de plus en plus fort, il tirait Denis vers lui en le tenant par les hanches tout en relevant le menton et penchait la tête en arrière, il avait la bouche ouverte et il poussait quelques gémissements au moment ou il jouissait, il donnait aussi quelques coups de rein plus violents, quelques convulsion qu'il ne contrôlait plus. Denis hurlait alors, il en prenait plein le cul. J'aurais aimé, oui, j'aurais aimé … Mais là, ça me faisait peur !

Ben se laissait tomber sur son partenaire qui gémissait comme s'il pleurait, c'est vrai qu'il était en larme mais je ne suis pas sûr qu'il pleurait vraiment. Il n'avait pas juté, il avait joui, à voir sa tête il avait joui ça ne faisait aucun doute mais il n'avait pas juté ! Ben le serrait fort dans ses bras et l'embrassait sur le dos. Peu après il se retirait, il commençait à débander mais la chose restait toujours de belle taille. J'avais envie de m'amuser avec mais je ne me sentais pas capable de me prendre cette bite dans le cul pas plus que dans la bouche !

Ben : Ne vous inquiétez pas les mecs, c'était pas la première fois pour moi … Je suis gay, les filles ne m'intéressent pas ! Si j'ai postulé c'est pour la paye et c'est aussi pour faire une expérience sur moi et sur mes sensation, pour découvrir de nouvelles sensations … 

Je tremblais, j'étais complètement retourné par la scène que je venais de voir, j'étais essoufflé … Pas autant que Denis qui récupérait lentement et me faisait un grand sourire pour me dire qu'il avait aimé … Il se relevait, on prenait alors tous les trois une douche, on se frottait le dos ou autre chose l'un l'autre. Ben m'a laissé tripoter sa queue un long moment, elle est impressionnante, elle pourrait faire peur … 



Ep 05 : BEN SE FAIT DES COPAINS


Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

Le reste du week-end se terminait pour Ben comme il s'était terminé pour moi une semaine plus tôt. J'assistais à tous les ébats ! Lilian lui passait dans les bras, suivait Florian. Ben était une force de la nature et son crâne lisse le rendait sexy. Il me faisait fondre !

Je les regardais quand Lilian lui suçait la queue, il est gourmand Lilian et Ben avait tout ce qu'il faut pour le satisfaire. Pas un poil sauf les sourcils … Un corps magnifique, bien proportionné, bien musclé et bronzé sur tout le corps … J'en aurais mangé ! Mais en attendant devant moi c'était Lilian qui y goûtait, et il aimait, il avalait la bite de Ben sans difficultés, il la suçait avec délectation. Ben avait replié ses bras derrière sa tête et regardait son camarade faire, il était allongé sur le lit et avait un grand sourire et ne cachait pas son plaisir, il respirait fort par moment et poussait quelques gémissements … 

Ben regardait dans ma direction, j'avais ma cage de chasteté sous pression, je n'arrivais pas à trouver une position confortable, je tirais sur la peau de mes couilles dans un sens puis dans l'autre mais je n'arrivais pas à mettre à l'aise. Je bandais trop fort, ce n'était pas douloureux, c'était seulement désagréable, très désagréable et totalement frustrant !

Lilian se relevait et en regardant Ben …

Lilian : Je veux que tu me défonce le cul … 
Ben : Je te laisse faire, moi je ne bouge pas. Assois toi dessus ! 

Lilian n'hésitait pas une seconde, il enjambait le corps de Ben, le chevauchait, se lubrifiait le cul, lubrifiait abondamment la queue de Ben puis repliait ses jambes et posait son cul juste sur le bout de la queue de Ben. Il relevait la tête ouvrait grand la bouche et respirait bien à fond se détendait et doucement s'empalait. 

Il respirait fort d'un coup, Ben le regardait avec un grand sourire satisfait, Lilian s'enfonçait la queue de Ben de plus en plus profond. Ma queue protestait de plus en plus. Ma cage se relevait devant moi sous l'effet de la pression interne. Lilian se crispait, il forçait ça se voyait, il devenait tout rouge, Ben semblait impressionné, moi j'étais en transe. 

Au bout de quelques minutes les fesses de Lilian s'écrasaient sur les cuisses de Ben … J'y croyais pas ! Ben aussi avait l'air impressionné. Lilian reprenait son souffle, il ne bougeait plus. Doucement il commençait à se relever, doucement presque sans bouger, la queue de Ben ne ressortait pas beaucoup. Il se laissait tomber de nouveau Ben en profitait pour soulever son bassin sans prévenir. Lilian hurlait de surprise et sans bouger reprenait son souffle la bouche grande ouverte … Puis reprenait … 

Un peu plus tard, Lilian faisait une nouvelle tentative, il se relevais un peu plus et je voyais la queue de Ben ressortir sur la moitié de sa longueur. Arrivé là Lilian ne bougeait plus, Ben donnait un coup de rein qui arrachait un cri à Lilian qui retombait en hurlant, ses fesses s'écrasait de nouveau sur les cuisses de Ben. Lilian se cramponnais sur lui même, il posait ses mains sur le torse de Ben, pas pour se retenir mais pour le retenir. Il soufflait fort Lilian !

Encore un peu plus tard, il se relevait de nouveau et commençait jouet de la queue de Ben, il se l'enfonçait, se relevait et recommençait. Rapidement il accélérait le mouvement, il était alors bien dilaté … Ben levait le bassin et suivait le mouvement que Lilian imprimait. De plus en plus ample, de plus en plus rapide, de plus en plus fort avec quelques mouvements violents. Lilian gueulait.

A un moment ou Ben soulevait très haut son bassin il tirait sur les chevilles de Lilian qui s'empalait alors de tout son poids sur la queue de Ben au moment ou ils retombaient. Lilian gémissait alors la bouche ouverte en relevant la tête en arrière. Ben relevait son torse et repliait ses jambes en tailleur, Lilian repliait les jambes dans le dos de Ben en restant bien en place, le cul bien rempli. 

J'avais la tête en feu, la cage de chasteté sous pression. Mon cœur battait comme un fou, j'en pouvais plus. J'avais envie de me faire défoncer le cul, j'avais envie de défoncer un cul, de me faire sucer de … J'avais envie de pouvoir me faire enculer comme se faisait enculer mon camarade Lilian … Ça me faisait peur aussi, un truc pareil ça ne pourrait pas entrer sans tout déchirer, ça c'est sûr !

Ils se serraient fort l'un contre l'autre, enlacés, mélangés presque fusionnés. Ils s'embrassaient, se caressaient. Ben balançait son bassin sans le soulever, Lilian suivait le mouvement et gémissait de plus en plus, je voyais un liquide blanc et épais qui coulait de sa cage de chasteté, il avait l'air essoufflé, il jouissait, il ne poussait qu'un léger gémissement un peu comme une longue plainte. Il tremblait, il se cramponnait. Ben semblait lui aussi se laisser aller, son souffle devenait plus fort, plus rapide et poussait quelques cris de plaisir quand il éjaculait dans le cul de Lilian qui à ce moment là n'en pouvait plus et avait quelques convulsions, quelques mouvements incontrôlés. 

Pour finir les deux amants ne bougeaient plus, ils se serraient dans les bras l'un de l'autre, immobiles encore un bon moment. Quand Ben voulait se retirer, il allongeait et écartait les jambes, laissait Lilian tomber en arrière. Lilian se contractait au moment ou Ben se retirait et se relevait. Lilian restait là sans bouger allongé sur le dos, il tremblait par moment, il tournait la tête vers moi … J'étais comme un fou, en manque … Lui il avait l'air bien, heureux, comblé …

Mes deux camarades partaient prendre une douche, ils étaient en sueur, je ne bougeais pas et avalais une bière … Je ne me sentais par vraiment détendu, j'aurais aimé pouvoir encaisser comme l'avait fait Lilian, il avait vraiment l'air d'avoir aimé. Il avait vraiment joui, ça devait être très fort, un truc de fou. J'avais envie d'essayer un gode, le petit par exemple … Denis m'avait  dit que celui là il pouvait passer et donnait déjà de bonnes sensations. 

Mais je n'osais pas !

Il s'amusait bien Ben … Il passait le reste du week-end à s'amuser, il me laissait lui tripoter la queue, tripoter une grosse molle comme celle là c'était un vrai délire, molle elle était aussi grosse que la mienne bien dure. Heureusement elle ne grossissait pas dans la même proportion, elle aurait été aussi grosse que sa jambe dans ce cas là !

Florian y passait aussi, je me demande si ce n'était pas par malice qu'ils me laissaient participer à leurs jeux, participer comme spectateur … Je finissais le week-end comme un fou, je bandais en permanence dans ma cage de chasteté, fou de désir je ne pouvais rien faire pour me soulager, rien faire pour me détendre sexuellement … Rien … Je pouvais bien sûr essayer un gode mais … Je n'osais pas … Ça me faisait peur ! 

J'étais bien chaud et je pensais au petit gode, il avait l'air tout petit à côté de la bite à Ben mais il avait l'air soudainement beaucoup plus gros dans la main et là, ça me faisait peur ! 

Ce dimanche là je rigolais moins, beaucoup moins que la semaine précédente. Je m'était bien éclaté une semaine plus tôt, mais là je ne rigolais plus, je me retrouvais frustré, en manque comme si je portais ce truc depuis des mois ! Mais comment j'allais faire pour tenir un an ? Comment pouvait-on faire pour tenir un an ? Ça faisait une semaine et déjà … 

C'est vrai que tout était là pour me frustrer, ils savaient jouer de leur propre frustration ici, et ils jouaient avec la mienne, ça les faisait bien rire ! Moi je ne rigolais pas … 

En une semaine j'avais compris pourquoi tout le monde était aussi en forme physique, cette énergie qui ne se libérait pas par le sexe pouvait se libérer par le corps en faisant diverses activités, des activité sportives. Le temps que nous devions passer à faire du sport était comptabilisé comme une partie entière de notre temps de travail. Nous étions aussi payés pour faire des activités sportives quotidiennes … C'était cool et mon état physique s'améliorait rapidement … Je me musclais …

A la fin du week-end Ben remettait son dispositif de chasteté comme prévu, comme je l'avais fait et reprenait son travail le lundi matin avec sa bite verrouillée pour la semaine comme moi une semaine plus tôt.

Je voyais Ben tous les jours, je le croisais régulièrement dans le jardin ou dans le potager, à l'extérieure Ben était toujours torse nue, il pouvait le faire dans la mesure ou in n'était pas dans la maison, dans le jardin, c'était une tenue acceptable … Moi je travaillais dans la maison, c'était moins acceptable … J'avais une tenue impeccable, pantalon sobre, chemise blanche, cravate, veste … Enfin une tenue conforme au protocole !

J'apprenais dans les jours qui suivaient que trois nouveau seraient recrutés d'ici peu et prendraient probablement leur service dans les jours qui venaient … Avec Denis j'en parlais le soir après notre service dans la chambre.

Denis : tu sais, tu le verras bientôt qu'il y a beaucoup de roulement parmi les employés …
Moi : Personne ne veut rester ?
Denis : C'est pas ça ! Bon quelques uns ne restent pas et démissionnent pendant la période d'essais. La période d'essais, ça sert à ça ! Voir si on peut supporter de porter le truc pendant une longue période. Il y en a qui arrivent et qui portent déjà un dispositif. Le plus souvent ceux là restent, les conditions de travail sont bonnes, la seule difficulté c'est le port du dispositif, surtout si tu n'as pas l'habitude …
Moi : C'est mon cas, je n'en avait jamais porté avant !
Denis : Et tu le sens comment ?
Moi : Je ne sais pas ? C'est dans la tête que ça se passe !
Denis : Le temps nous le dira ! Un certain nombre démissionne plus tard, quelques uns seulement renouvellent leur contrat … Là il n'y a pas de période d'essais, tu embraye sur le nouveau contrat sans période de liberté.
Moi : Même pas de vacances ?
Denis : Si tu as droit à des vacances mais tu gardes le dispositif sur toi, passée la période d'essais tu ne le retire que quand tu quittes le service de la maison. On te donne alors le dispositif, un nouveau cadenas et tu restitues ton ancien cadenas .
Moi : Tu es enfin libre quand tu sorts …
Denis : Quand tu sorts tu le porte toujours mais tu as les clés dans ta poche … 
Moi : Il y a tout un tas de protocoles …
Denis : Ouai c'est un véritable rituel … Bon, je reviens à ce que je voulais dire … Il y aura trois nouveaux, si ils n'arrivent pas demain matin il ne seront libérés que le week-end suivant ! 
Moi : Explique ?
Denis : Le règlement précise qu'il faut porter le dispositif au plus tard le mardi matin pour que la semaine soit validée … Et que le dispositif peut être retiré qu'après la première semaine complète … Complète …
Moi : Moi j'ai week-end libre à la fin de la semaine !
Denis : Et s'ils sont là demain matin vous serez quatre, libres en même temps !
On finissait par s'endormir et cette nuit là encore je rêvais de bite, de gode, je voyais arriver trois garçons monté comme Ben, je rêvais qu'un d'entre eux me défonçais le cul et que j'aimais bien, je me réveillais en pleine nuit, j'avais éjaculé. Je ne me souvenais pas vraiment avoir joui, sinon dans mon rêve. Je me levais pour me nettoyer et restais là une partie de la nuit avant de pouvoir me rendormir …

J'étais un peu fatigué le lendemain matin, les trois nouveaux n'étaient pas là ! Ce jour là je travaillais au jardin, je donnais un coup de main à Ben au potager pour être plus précis. Il est vraiment beau ce garçon, il est volontaire pour porter de truc ! Avec la bite qu'il à ? On discutait en arrachant les carottes.

Moi : Tu as déjà porté ce genre de truc toi ?
Ben : Oui j'ai un modèle d'essais à la maison …
Moi : C'est quoi ça ?
Ben : Un dispositif spécial, tout à fait utilisable mais pas vraiment adapté à une utilisation sur une longue période, manque de résistance en particulier … 
Moi : Et tu le portes souvent ?
Ben : Je l'ai déjà porté sur trois mois … Trois mois non stop … 
Moi : Tu sais un peu ou tu t'engages alors ?
Ben : Pourquoi pas toi ?
Moi : Bein … En fait je n'en avais jamais porté !
Ben : Et ça se passe comment ?
Moi : Bein … Pour le moment ça va ? Et pourtant vous m'avez chauffé la cervelle ces deux derniers jours !
Ben : Ouai ! C'était cool ! Ça s'est bien passé ! Mais tu sais, ce truc ça devient vite addictif. Je connais un mec avec qui j'ai vécu deux ans qui l'a mis un jour et ne l'a jamais retiré depuis … C'était il y a quatre ans … 



Ep 06 : TROIS NOUVEAUX


Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

Finalement les trois nouveaux n'arrivaient que le mercredi dans la journée. J'en concluais que je serais le seul à me branler à la fin de la semaine … Je m'en régalais déjà, je me demandais comment seraient les nouveaux …

Ils avaient une bonne tête et rapidement on sympathisait. 

Richard était un beau gaillard de vingt quatre ans, pour lui le port du dispositif de chasteté ne semblait pas être un problème, il en portait un depuis maintenant cinq ans … C'était un choix pas une obligation … Il avait choisi de ne plus le retirer pour des raisons qui me paraissaient obscures, aussi, le choix de travailler pour un haut responsable de la PK était logique, il pourrait au moins tirer un bénéfice professionnel et économique pour ce choix qui était personnel !

Les deux autres Lionel et Raphaël rentraient eux un peu plus dans le norme que je connaissais … Ils connaissaient bien sur les dispositif de chasteté  mais n'en avaient jamais porté … C'était un peu comme moi ! 

Tous les matin on faisait notre entraînement sportif ensemble. Nous étions logé dans le même quartier ( on appelait un quartier un groupe de chambres réunies autour d'une même salle de bainn il y avait un palier commun ). Avec Denis mon camarade de chambre, on se levait tôt on retrouvait Florian et Lilian qui occupaient une chambre à côté, suivait Ben le dernier arrivé dans cette galère il logeait avec Richard, suivaient enfin Lionel et Raphaël. Il y avait bien sûr d'autres employés dans la maison mais on formait un petit groupe de huis, nos chambres se touchaient et quand le week-end suivant arrivait j'étais le seul à être libre de mes érections … 

La semaine se terminait vite et je me retrouvais le samedi dans la salle de bain devant le dispositif  électronique de contrôle. Enfin quand je dis je me retrouvais, on n'y était tous, on était huit. Vous connaissez tout le monde désormais …

Denis qui connaissait le fonctionnement me regardait procéder d'un air amusé. Les nouveaux eux étaient attentif, même Richard qui pourtant n'avait pas prévu de retirer son dispositif de chasteté. Je me plaçais donc devant l'appareil, appuyais sur le bouton et mon dispositif de chasteté se déverrouillait.

Je me retournais alors vers mes camarades et je pouvais voir dans leurs yeux de l'amusement, de l'envie, du désir ou de la frustration. Aucun ne faisait la gueule. Un d'entre eux me tirait vers la douche et sans rien me demander me caressait le dos avec une savonnette, un autre main en faisait de même sur mon ventre, une autre encore sur mon thorax, le haut de mes cuisses, mes bras, mes épaules … 

C'est avec beaucoup de douceur qu'une main, ou deux peut être, me lavait les sexe, je bandais fort. Un corps se glissait contre moi, un autre … Je passais de mains en mains, de bras en bras et la seule chose que je pouvais faire était de rendre les caresses qu'on me donnait sans même savoir à qui je les rendais ou encore rendre les baisers que je recevais. 

Un me tirait vers lui, me serrait dans ses bras, avant qu'un autre ne le remplace me prenne à son tour dans ses bras. Il y avait des mains partout sur moi, toutes d'une grande douceur. Je ne m'étais jamais senti aussi bien. Je fermais les yeux et je m'abandonnais à ce plaisir tactile … Sept mecs me faisaient des câlins à n'en plus finir. Finalement ça a du bon cette mode de porter un dispositif de chasteté. En tout cas il y a des bons moments … Et pour moi c'en était un !

C'était un amalgame de corps nus et doux qui s'était formé autour de moi, un doigt se glissait en mes fesses, je frémissais mais je laissais faire. Une bouche me suçait la queue, j'en profitais je savais que ça ne devait pas durer. Demain soir, je me retrouverai de nouveau verrouillé pour trois semaines cette fois ci … A ce moment précis je m'en moquais complètement … Je m'offrais à cette douceur sans fin. Le plaisir montait !

J'avais envie de faire durer le plaisir et quand je sentais le plaisir monter, et l'orgasme approcher je me raidissais. Mes camarades le sentaient et continuaient. Aucun d'eux ne voulait calmer ses caresses. Je respirais plus fort, plus vite, ils me massaient le gland en insistant bien toujours avec une extrême douceur. Je me crispais quand le plaisir explosait, j'éjaculais avec une violence que je ne me connaissais pas. Un doigt s'enfonçait dans mon cul juste à ce moment et je jouissais par la queue et par le cul … Je n'avais jamais joui ainsi … C'était génial … 

La tension baissait un peu … Enfin en ce qui me concerne, pour les autres je  ne suis pas sûr ! Ils avaient l'air toujours aussi chauds, toujours aussi demandeur de sexe.

C'est Denis qui a commencé ! Il a sorti de je ne sais ou un gode, il m'avait montré qu'il en avait plusieurs, il le lubrifiait bien comme il faut et l'enfonçait dans le cul de Florian qui n'attendait que ça … Je m'étais un peu mis en retrait et je regardais la scène … J'étais le premier surpris mais je n'étais pas choqué … Surpris et intéressée … Mais pas choqué du tout ! 

Florian gémissait et se tordait dans tous les sens de plaisir. Il en redemandait et Denis ne se faisait pas prier. Je regardais le gode qui s'enfonçait bien à fond avant de ressortir totalement et le mouvement recommençait …

Lilian avait lui aussi un gode qu'il proposait à Ben. Ben se retournait et s'appuyait sur le mur. Lilian faisait de même lui enfonçait rapidement bien à fond un beau gode, plus petit toutefois que la queue de Ben qui était vraiment énorme … Ben tournait la tête vers Lilian et lui faisait une grand sourire d'encouragement : '' Vas y mon gars éclate moi la rondelle ! '' … Lilian s'exécutait.

Deux des trois derniers arrivés Lionel et Raphaël venait s'asseoir à côté de moi en retrait, et on regardait le spectacle. Richard qui se retrouvait tout seul, ne s'embarrassait pas il attrapait un gode … Mais il y en a combien de ces trucs ? … C'était un gros modèle il le lubrifiait abondamment le posait sur le sol et doucement mais d'un air décidé, s'asseyait dessus. Il faisait une grimace qui lui donnait l'air encore plus décidé … 

D’où on était on devinait le dispositif s'enfonçant lentement dans son cul, ses fesses se rapprochaient du sol … Il relevait la tête en arrière et soupirait profondément, sa respiration était forte. Il me regardait et me faisait signe de venir vers lui, il avait remarqué que je bandais de nouveau. J'étais tellement fasciné par le spectacle que je n'y avais pas prêté attention. Je m'approchais vers lui et c'est à ce moment que je remarquais que ma queue se balançait de gauche à droite et se redressait de plus en plus.

Les fesses de Richard touchaient le sol, il s'était empalé sur le gros gode qu'il avait choisi, il allongeait les jambes et reposait de tout son poids sur gode. Il me guidait, je me plaçais devant lui, les jambes écartées, je baissais les yeux pour le regarder. Il me caressait alors doucement la queue, longuement, doucement, avec tendresse avant d'ouvrir la bouche et de me la prendre entièrement dedans. J'ouvrais grand mes yeux, je n'en revenais pas. C'était doux , chaud et humide. Je sentais sa langue qui me caressait le gland, le frein et caressait ma bite sur toute la longueur.

Il me tirais vers lui, à chacun de ses mouvements il respirait fort. Je me retenais en appuyant mes mains contre le mur pour ne pas tomber en avant et je suivais le mouvement, quand il me tirait en avant je ne résistais pas, je suivais … Ces mouvements devaient durer encore un long moment et je gémissais de plaisir. J'en ai rêvé la PK l'a fait pour moi !

C'était merveilleusement bon, un doigt me caressait le cul. Un doigt appuyait sur mon cul avec un mouvement circulaire, tentait de s'introduire. Je serrais les fesses par réflexe. Ma queue entrait jusqu'au fond de sa gorge, je me détendais, son doigt poussait encore un peu … Je serrais les fesses encore plus, le doigt forçait il entrait, c'était bon je jouissais en éjaculant abondamment dans la bouche de Richard. Il avalait, son doigt continuait ses mouvements circulaires dans mon cul, c'était bon, je lâchais encore quelques giclées de sperme dans sa bouche en gémissant de plaisir. Je n'avais jamais joui comme ça … Oui je sais je me répète ! C'était pas la peine de me le faire remarqué !

C'est presque en titubant que je retournais m'installer à côté de mes deux camarades, ils s'étaient rapprochés l'un de l'autre et se faisaient des câlins. Dans leurs dispositif de chasteté il y avait une pression de dingue. Je voyais clairement les dispositifs se relever et se balancer au rythme de leurs battements cardiaques. Je m'asseyais à côté d'eux sur le sol et continuais à regarder le spectacle, je me sentais bien, ma respiration était forte et irrégulière, mon cœur battait vite et fort !

Richard repliait les jambes et se relevait légèrement, je l'entendais gémir, je gode ressortait de son cul, il s'appuyait de nouveau le gode entrait … Il continuait le mouvement et rapidement il gémissait de plus en plus fort … Pour finir je voyais un jus blanc et épais couler de son dispositif de chasteté, on pouvait lire le plaisir sur son visage, c'était une grimace de plaisir qui illuminait son visage au moment ou il jouissait.

Les quatre autres s'étaient calmés aussi. Deux d'entre eux étaient encore debout et montraient plus de frustration que de plaisir. Les deux autres étaient assis sur le sol, un gode posé à coté d'eux, et quelques goûtes de sperme qui coulaient encore de leurs dispositifs … 

Après ça on était en appétit pour passer à table et il était temps. On se dépêchait pour ne pas être trop en retard … Oscar est un peu pointilleux … Bon on arrivait trop tard on dînait donc entre nous la table était desservie. Mais on dînait de bon cœur …

Aussitôt après ça on se réfugiait dans nos chambres. Denis proposait qu'on ferme l'entrée de notre quartier. C'était possible, une porte ouvrait sur un pallier avec cinq portes, une pour chacune de nos chambres et une pour la douche. Dans la mesure ou on ne travaillait pas … Rien ne nous l'interdisait ! On fermait donc la porte d'accès à notre quartier et on ouvrait les portes de  nos chambres … On se baladait à poil, et dans cette situation j'avais un avantage sur mes camarades de chambres …

Ben était le premier à venir me retrouver pour … Selon ses propres mots … '' Abuser de moi '' ! Il voulait que je l'encule, et pour me mettre en forme il savait me sucer avec efficacité et talent. Il suçait bien le gars ! Je ne vous dis pas. Je lui limais la bouche avec vigueur pendant un long moment, je n'arrivais pas à jouir. Il se couchait sur le dos, écartait et soulevait les jambes, son cul était accessible et je m'empressais de le rempli. Je continuais à le limer encore un long moment, il repliait ses jambes dans mon dos et me serrait contre lui … Il me prenait dans ses bras, me caressait, m'embrassait … Ça durait dans le temps, régulièrement un de nos camarades rentrait dans la chambre, restait un moment à nous regarder puis repartait … Ça durait mais au moment ou j'ai éjaculé dans son cul, je ne sais pas si c'est le fait que j'avais passé deux semaines d'abstinence mais, c'était le pied ! Je n'avais jamais joui comme ça … ! 

Oui je me répète … Je sais mais bon ça va là … ! Pas de commentaire ! 

Non mais !



Ep 07 : ENCORE DEUX SEMAINES


Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

On m'a fait jouir cinq fois ce samedi après midi … Je dis '' on m'a fait '' car je ne me suis pas masturbé, pas caressé, pas stimulé d'aucune manière. Il y avait toujours un volontaire pour me faire plaisir, me tripoter, me sucer ou m'offrir son cul … C'était le pied ! Le jour suivant, le dimanche, c'était pareil, ils étaient tous déchaînés, ils m'ont fait juter six fois ! C'était un record pour moi, six fois dans une journée, trois ou quatre je ne dis pas mais six … Je n'avais jamais joui comme ça … ! ( Oui bon d'accord, je sais je me répète … Ça va j'ai compris ! ) …

Le lundi matin j'étais presque soulagé de me retrouvé dans ma cage. Enfin  … Presque … Ce serait pour trois semaines cette fois ci. Trois semaines, c'est énorme, mais le lundi je pensais surtout à me reposer les couilles et la bite … J'avais tout de même juté dix fois en moins de deux jours !

L'esprit tranquille je reprenais le boulot, je retrouvais Ben et Richard tous les jours dans le potager, Richard était le nouveau jardinier, je croisais régulièrement les nouveaux dans la journée et le soir on se retrouvait tous un petit moment avant de dormir. On échangeait nos impressions, nos expériences. On se racontait aussi notre parcours, comment nous étions tous arrivés là … 

La semaine passait vite. Le samedi qui venait c'était de nouveau Ben qui était libéré après deux semaines et les deux nouveaux pour terminer leur première semaine d’accoutumance. Richard lui avait décidé de ne pas le retirer,  il ne l'avait pas retiré depuis cinq ans et choisissait de le garder … Il faisait partie de ceux qui portaient déjà un dispositif de chasteté à leur arrivée …

On s'amusait de la cérémonie du retrait du dispositif. Comme je vous l'ai expliqué, le système est automatique. Chacun se présentait devant l'appareil, appuyait sur un bouton, l'appareil reconnaissait l'empreinte digitale des capteurs faisaient le reste et le dispositif se déverrouillait tout seul … 

Ben qui comme vous le savez n'est pas timide passait en premier, il retirait son truc et se retournait vers nous avec un grand sourire, il s'amusait à balancer sa queue de gauche à droite, après deux semaines de confinement elle se déployait rapidement et pendait lourdement. Richard ne cachait pas son plaisir de voir une aussi belle pièce. Moi je l'admirait, j'aurai aimé … Mais ça me faisait peur … Il faut me comprendre je ne m'étais jamais fait enculé et là, il y avait de quoi faire peur, même à des gens expérimentés et gourmands … 

Richard n'avait pas peur lui ! Il était le premier à genoux devant Ben qui avait à peine le temps de réagir. Rapidement Richard suçait la bite à Ben qui le laissait faire, qui bandait et qui lui enfonçait sa queue dans la gorge sans scrupules … Ben affichait un large sourire de satisfaction, retenait fermement la tête de Richard, le tirait vers lui en avançant son bassin. J'étais surpris de voir avec quelle facilité Richard avalait la queue de Ben.

Plus timides, les deux suivants Lionel et Raphaël suivaient. Mes quatre autres collègues ne traînaient  pas, ils les attrapaient par le bras et les entraînaient sous la douche en leur faisant des câlins. Je regardais ça avec un certain amusement et je suivais. On s’agglutinait autour de nos camarades en les caressant, en se caressant, en se glissant l'un contre l'autre, en se frottant l'un à l'autre … 

La peau est douce, ma cage était sous pression, une semaine sans pouvoir me toucher, sans pouvoir bander, sans pouvoir me faire un petit plaisir … Une semaine … ! J'aurais fait n'importe quoi pour pouvoir m'amuser comme la semaine précédente. J'avais juté dix fois mais cette semaine ça ne risquait pas de se produire … 

Ben avait attrapé un plug, un de ces truc de bizarre, la première fois que je l'avais vu je m'était demandé comment ça pouvait marcher ce truc … Mais là ça devenait très clair, il lubrifiait son plug et se l'enfonçait dans le cul. Une grimace au moment ou la partie la plus large passait, puis une air détendu qui ne cachait pas un certain plaisir. Le plug qu'il avait choisi était de grosse taille, il devait faire dans les sept centimètres de large … 

Richard ne mollissait pas et Ben en profitait pour lui enfoncer sa queue bien à fond dans la gorge en tirant son visage vers lui et en donnant des coups de bassins. Ben était surpris par la facilité avec laquelle son partenaire encaissait et ne se retenait plus. Richard avait le visage rouge et était en larme, il ouvrait sa bouche autant qu'il le pouvait et encaissait. Il poussait des cris gutturaux et respirait fort, comme il pouvait, il reprenait son souffle et relevant la tête …

Richard : Je veux que tu m'encules !  

Je me trouvais au milieu du groupe, on me caressait le dos, le torse … J'en faisait de même. Je m'accroupissais et suçais la première queue qui arrivait à ma portée, je ne savais pas à qui elle était, il y avait deux possibilité, mais je m'en moquais ! Je la suçais avec plaisir, je faisais très attention avec les dents, comme on m'avait expliqué. Elle était de belle taille mais restait dans la norme, je parvenais à la gober sans trop de difficultés. Quand le gland finissait par toucher ma gorge je me retirais pour reprendre mon souffle, aussitôt quelqu'un me prenait ma place.

Richard s'était retourné et s'appuyait contre le mur, Ben appuyait avec sa bite contre son anus, il poussait et doucement je voyais l'anus de Richard se dilater, ses fesses s'écarter et la queue de Ben entrait lentement. Richard gueulait ! Il avait mal ? Il gueulait de plaisir ? J'avais du mal à le deviner, ça me faisait peur, je m'imaginais à la place de Richard … Et là … J'avais peur. Un doigt se glissait dans mon cul, instantanément je jutais ! Instantanément je jouissais … Pas autant que le semaine précédente mais je jouissais et c'était bon ! On peut donc jouir avec ce dispositif !

Ben se retirait puis s'enfonçait. Il recommençait plus vite, il donnait des coups de bassin et Richard réagissait vivement à ce traitement, il en redemandait, Ben lui en donnait … Ben se lâchait, quand son ventre écrasait les fesses de Richard il donnait une forte pression, appuyait fermement ce qui arrachait un cri à Richard !

Je voyais couler quelques goûtes de sperme de la cage, je ne pouvais pas voir s'il éjaculait ou s'il jutais simplement. Le sperme était éjecté avec force ou coulait doucement … Je savais seulement car ça se voyait, c'était évident, il jouissait. Il respirait fort, il gémissait, il semblait pleurer presque. Ben ne se calmait pas il continuait avec force jusqu'au moment ou il criait de plaisir, il jouissait à son tour .

Je recevais une giclée de sperme sur la cuisse, je ne savais pas lequel de mes camarades venait de me gicler sur la cuisse, autour de moi c'était un amalgame de corps, de muscle, de peau, de lèvres, c'était chaud, l'eau nous arrosait tous. Je n'étais pas le seul à avoir éjaculé, je n'étais pas le seul à avoir joui, un des garçon, je ne sais même pas lequel c'était, était appuyé contre moi, il tremblait en me prenant dans ses bras, il respirait fort contre mon oreille et, je crois que c'était Raphaël qui se frottait avec intensité et douceur contre son dos … Il le sodomisait avec douceur et ce garçon qui me tenait fort dans ses bras éprouvait beaucoup de plaisir … J'aurais aimé me faire prendre comme ça, j'aurais aimé mais j'avais un peu peur . J'avais même complètement la trouille ! Ça doit faire mal ! J'en avais envie et j'en avait peur en même temps !

Je regardais dans la direction de Ben, il se retirait et je voyais sa queue ressortir du cul de Richard. Il bandait encore bien Ben, sa queue retombait doucement pour pendre lourdement entre ses cuisses. Il avait éjaculé ! Sans plus attendre il nous rejoignait sous la douche et très vite se retrouvait au centre de toutes les attendions.

Richard restait un moment là ou il était, il récupérait le pauvre. Il finissait par nous rejoindre sous la douche, nous formions une grappe de mecs à poil qui se caressaient les uns les autres. Il y en avait toujours un qui se mettait à genoux pour sucer une queue.

On finissait  bien par se calmer, surtout ceux qui pouvaient librement se masturber ou baiser leurs camarades, ceux là ils en profitaient. Ben enculait Denis au moment ou je sortais de la salle de bain, les deux autres avaient éjaculé au moins deux fois … 

Moi j'avais juté une seule fois et c'était pas suffisant pour me calmer totalement, une semaine plus tôt j'avais joui dix fois dans le week-end, je savais que cette fois ci je serais loin du compte … J'avais passé une semaine entière ma queue confinée dans une cage de chasteté et je n'avais aucune chance d'être libéré. Je me sentais frustré en regardant Ben se lâcher sur le cul de Denis !

Dans ma tête c'était un peu la folie, je n'arrivait pas à savoir si c'était Ben que j'enviais de  pouvoir cracher son jus librement dans tous les culs qu'il pouvait trouver ou dans toutes les bouches à sa disposition, ou bien si c'était Denis … Lui se faisait défoncer le cul avec plaisir, il se faisait dilater la rondelle à faire peur et semblait en tirer tellement de plaisir … Ça me faisait peur de me prendre un truc comme ça dans le cul mais j'en avais envie, j'avais envie de pouvoir me faire prendre comme ça !

Le reste de la journée et même la soirée, pour moi c'était l'horreur. Ma queue ne débandait pas dans sa cage, la cage devenait vite très petite, trop petite. Je me sentais à l'étroit, ce n'était pas douloureux. Je sentais seulement une contention permanente autour de ma bite, une pression douce et implacable. La sensation physique était plutôt agréable mais dans ma tête c'était un manque que j'éprouvais, une envie, un besoin. Quand je voyais Ben, Lionel ou Raphaël qui se baladaient à poil avec leur grosse queue qui se balançait fièrement devant eux, entre leurs cuisses, j'avais la tête en feu et le feu au cul. 

Finalement c'était un enfer délicieux que je vivais ce week-end là ! Le lendemain, dans la journée je suçais les trois queues qui étaient libres … Pas en même temps, il ne faut pas exagérer … Mais je m'amusais un long moment avec chacun de mes trois camarades. Personne ne touchait à mon cul ! Et le soir j'avais le feu au cul, à la bite et dans la tête. Je n'ai pas très bien dormi, je venais de passer une semaine verrouillé, une semaine mais avant une avant-dernière libération il me restait encore deux semaines !



Ep 08 : IL FAUDRA SE DECIDER


Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

La semaine qui suivait était longue. Il ne se passait pas une journée sans que je ne ressente cette pression dans ma cage de chasteté. Dix fois par jour, cent fois par jour je bandais. C'était sans espoir mais ma queue ne le savait pas, ne voulait pas le savoir … C'était sans espoir mais ma queue protestait, elle semblait savoir qu'elle ne sortirait bientôt plus de cette cage et elle n'acceptait pas cette éventualité !

Le soir avant de m'endormir était le pire moment de la journée. J'étais tendu et j'avais du mal à m'endormir. Quand le week-end arrivait il ne fallait espérer aucune libération, pour personne d'ailleurs … J'avais passé une première semaine verrouillé, avait suivi une seconde période de deux semaines, suivait la troisième période de trois semaines, j'en était là ! 

Mes camarades suivaient la même période d'essais mais comme nous n'étions pas arrivés en même temps … Je devais encore attendre jusqu'au prochain week-end. Ce n'était peut être qu'une impression mais il me semblait que c'était plus dur, plus long bien sûr mais plus dur aussi !

Le samedi midi je retrouvais tous mes camarades sous la douches, ils étaient souriants, et plaisantaient joyeusement. J'en faisais de même mais dans ma cage de chasteté c'était la pression, une forte pression comme je n'en avais pas encore connue. Toujours en rigolant, ils se faisaient des câlins. Je m'écartais rapidement, c'était encore pire pour moi ! C'est pas comme ça que j'allais me calmer … Je préférais sortir faire un peu de sport, là au moins je dépensais de l'énergie et ça me faisait un bien fou !

Le soir, ils avaient décidé de sortir les bouteilles. Discrètement on avait fait des courses, chacun faisait entrer discrètement un gros pack de bière … C'était pas interdit, si on était saoul il ne fallait pas se faire remarqué aussi on avait décidé de ne pas sortir de notre quartier … Le soir on se laissait aller …

Sous les effets de l'alcool, même en quantité raisonnable, on se lâchait tous les uns après les autres … C'est Ben qui commençait et se retrouvait à poil. Je restais en retrait et je picolais. Richard venait faire un câlin à Ben et se déshabillait à son tour, finalement je me retrouvais seul à avoir encore mes vêtements. Je finissais par céder à leurs sollicitations et finissais par retirer mes vêtements moi aussi …

Denis me lançait alors quelque chose que je rattrapais … C'était un gode ! Il avait choisi le plus petit de sa collection. Je le gardais dans la main. En fait j'avais envie de l'essayer, je me souvenais du plaisir que j'avais ressenti quand on m'avait glissé un doigt dans le cul. C'était bon et j'avais éjaculé instantanément. Mais je n'osais pas. Les autres osaient, eux … Et ce spectacle ne me calmait pas. L'un s'enfonçait un gode de taille moyenne, il était suivi par un autre puis encore un … 

Richard avait choisi un gode de grosse taille, il m'avait bien semblé l'autre jour avec Ben qu'il aimait bien les gros calibres. Ça me faisait peur le truc qu'il avait choisi, ça me faisait peur mais ça me faisait envie … Je le regardais avec avidité, j'aurais aimé lui défoncer le cul. Ma queue poussait de toutes ses forces contre sa prison, je respirais fort, le gode entrait doucement et Richard faisait une grimace, fermait les yeux et soufflait. Le gode entrait finalement sur toute sa longueur, près de vingt cinq centimètres … C'est pas pour débutants ce truc ! J'avais envie de me prendre un gode, j'avais envie de pouvoir me prendre une truc pareil dans le cul. A voir la tête qu'il faisait, ce devait être l'extase !

Je tripotais mon gode dans la main avec force, un peu comme on le fait avec ces espèces de petits bidules chinois anti-stress. Vous savez c'est machins, je ne sais pas comment ça s'appelle, on les malaxe, on les serre dans la main, on les tord … Il paraît que ça calme … Et bien moi vous pouvez me croire ça ne me calmait pas vraiment. 

Je finissais par remarquer Raphaël, il était dans son coin lui aussi, un peu comme moi et ne semblait pas vraiment à son aise. Il n'était arrivé que deux semaines plus tôt avec ses deux camarades. 

En fin de soirée quand tout le monde commençait à s'endormir je n'avais pas joui, pas éjaculé non plus. Raphaël me disait en allant se coucher que pour lui c'était pareil, nous devions être les seuls …

Le dimanche qui suivait, le lendemain, était frustrant, encore plus frustrant. C'était plus calme, les garçons ne passaient pas la journée à jouer avec des godes, ils passaient une journée normale, sport, repos, détente, sortie en ville … Enfin, tout ce qui constitue une journée de repos normale pour ne pas dire banale. 

La semaine qui suivait annonçait une panique … Nous étions tous convoqué le lundi matin. Tout le personnel sans exception était au garde à vous dans le grand hall d'entrée …

On nous annonçait la visite d'un personnage important de la PK … Il fallait préparer la suite présidentielle. Dans une maison normale on aurait appelé ça une chambre d'amis … Ici c'était une suite, il y avait une chambre, une salle à manger avec un coin salon, un bureau, une salle de bain … Je ne l'avais pas encore vue celle là … Elle était en marbre rose ( c'est simple ce n'est pas rare, il parait que ça n'existe plus ! ), bain moussant, baignoire douche ( ça c'est normal je sais mais là … c'était pas du normal … ) … La maison dans son ensemble était luxueuse mais là ça dépassait tout … Il est vrai qu'à cette époque je n'avais pas encore vu le chambre du boss ! Il y avait aussi une seconde chambre dans la suite présidentielle, au cas où je ne sais pas quoi mais au cas où …

Le mercredi le personnel de service était appelé dans le hall d'entrée … Oscar nous passait en revue, on devait être parfait. Notre patron Mr Sébastien Laclaque était dans son bureau quand on annonçait une voiture … Une Rolls remontait l'allée devant la maison, elle s'arrêtait juste devant l'entrée, deux valets se précipitaient pour ouvrir les portières, ils ouvraient les portières arrière mais personne n'en sortait, les deux portières avant s'ouvraient … Les deux valets rectifiaient leurs positions. Deux hommes en sortaient, et je voyais notre patron arriver vers eux pour les accueillir. Il faisait l'accolade à l'un puis au second … De toutes évidences le chauffeur n'était pas un employé !

Notre patron accompagné des nos deux hôtes entraient dans le hall, on faisait les présentations …

Sebastien Laclaque : Je tiens à vous présenter, pour ceux qui ne connaîtraient pas nos hôtes, Luc Brosso et son compagnon Bob. Mais au fait bob, tu n'as pas de nom de famille ? Je n'ai jamais entendu personne t'appeler autrement que Bob !
Bob : Continue donc à m'appeler Bob et ne te complique pas la vie ! Mais je vois que Oscar est toujours parmi nous ! Vous allez bien Oscar ? ( En lui serrant la main ). 
Oscar : Très bien Monsieur Bob, pour vous servir, je suis très heureux de vous revoir !
Luc : Heureux de vous revoir aussi Oscar ! ( En lui serrant la main également )

Nos deux hôtes avaient l'air très sympathiques. C'étaient deux personnages très importants dans la hiérarchie de la PK !

SL : Mais tu as encore changé de voiture !
Bob : En ce moment il n'arrête pas ! C'est la troisième depuis le début de l'année !
Luc : Bob tu te moques de moi !
SL : Mais qu'est-ce qui s'est passé avec les deux autres ? Le réservoir était vide ?
Bob : Il trouve que c'est plus simple que de faire le plein ! ( en retenant un fou rire ).
Luc : Mais c'est fini tous les deux ! C'est quelque chose ça ! Tout ça parce que j'ai acheté trois Rolls cette année, et elles ne sont même pas de la même couleur !

Ils nous saluaient tous avant de passer au salon bibliothèque avec notre patron. Oscar nous avait averti que les hauts directeurs de la PK étaient absolument charmants et très respectueux du personnel à leur service ! C'était vrai ! Je restais pensif sur ma situation, je portais à l'essai un dispositif de chasteté depuis moins d'un mois et demi. Eux le portaient en permanence depuis … Des années … C'est même eux qui l'avaient inventé … 

Ils s'installaient dans la suite. Je portais les bagages. Ils me remerciaient et je les laissais. C'était un premier contact avec la haute direction de le PK et j'en garde encore une bonne impression. Un peu plus tard, avant de passer à table, on m'envoyais leur apporter des rafraîchissements. Je frappais à la porte, personne ne répondait, j'entrais donc en me faisant bien entendre pour ne pas surprendre les occupants, au moment ou je posais le plateau sur la table, Monsieur Bob sortait de la salle de bain, il était nu, il s'essuyait la tête. Il était bel homme ce Monsieur Bob, et … Il ne portait pas de dispositif de chasteté ! J'étais surpris … C'était donc ça la direction de la PK ? ...

Nos deux hôtes devaient rester quelques semaines, Mr Luc préparait le scénario d'une émission télé et Mr Bob s'installait dans le bureau, je ne sais pas ce qu'il faisait lui, il semblerait qu'il gérait des entreprises, je n'en sais pas plus … J'étais un peu déçu par le comportement de ce Mr Bob. Il était charmant, très courtois mais … A la PK ils étaient un peu hypocrites, un de leur directeur ne portait même pas le dispositif qui faisait leur renommé … 

Oscar m'expliquait plus tard que Mr Bob n'était pas membre du conseil d'administration, ne travaillait pas pour la PK et n'en était même pas actionnaire … C'était le compagnon de Mr Luc qui, lui non plus, n'était pas membre de la PK en fait. C'était le frère du PDG. Lui, Luc, possédait et dirigeait un groupe de chaînes de télévision, gros producteur d'émissions, et patron de presse ! Ils étaient amis de notre patron de longue date et c'est à ce titre qu'ils étaient reçus dans cette maison … 

Le quotidien de la maison reprenait. Le matin je voyais Ben et Richard au potager. Mr Luc devenait un habitué de la piscine, il s'y rendait tous les matins. Je peux vous confirmer qu'il portait un dispositif de chasteté en métal. Je l'ai en effet croisé plusieurs fois … A la piscine il s’embarrassait pas d'un  maillot de bain ! Son ami Bob non plus … Mais lui ne portait pas de dispositif de chasteté ! Il y a des privilégiés … Et j'essayais de ne pas me faire remarqué quand j'admirais sa lourde queue qui pendait et se balançait devant lui à chacun de ses mouvements.

Le week-end arrivait. Le week-end des trois semaines … Les trois derniers arrivés étaient libres également, pour eux c'était le week-end des deux semaines … On était trois, Richard ne retirait pas son dispositif. Trois mecs en rut face à cinq mecs en manque ! Le samedi après midi était chaud. 

Je passais mon temps à poil tant que je quittais pas notre quartier, une partie de mes camarades également, pas seulement les deux qui pouvaient bander librement, les autres aussi … Il ne se passait pas une heure sans qu'on me tripote la bite, ou qu'on me la suce. Je prenais bien le temps d'en profiter, je jouissais et jutais au premier coup de langue … C'était le manque, ça faisait trois semaines et trois semaines c'est long. Le second, je l'enculais et cette fois je mettais du temps avant de jouir … 

Le dimanche soir j'avais bien profité des ces heures de liberté, je ne m'étais pas branlé, cinq garçons en manque étaient prêts à me faire plaisir. C'est tout juste si on ne me proposait pas de me la tenir quand j'allais pisser … C'était pareil pour les deux autres qui étaient comme moi ! J'avais défoncé le cul des cinq mec qui étaient toujours sous clé. J'étais content ! Mes deux autres camarades ne s'étaient pas retenus non plus et il y en avait donc cinq qui en avait pris plein le cul … Mais ils l'avaient cherché !

C'est donc sexuellement repu que je mettais à nouveau ma cage de chasteté le soir, je préférais dormir avec … Bien sûr j'aurais pu attendre le lendemain matin, je n'étais pas obligé de la porter avant de reprendre mon service mais là j'avais ma dose. C'était la dernière ligne droite, les quatre semaines, un jour et demi de liberté puis … Là il faudra se décider, j'avais un peu peur de la décision. Ce soir là tout allait bien mais dans un mois … Et dans l'année à venir … ? 



Ep 09 : LA DERNIERE LIGNE DROITE


Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

Ça devenait sérieux là ! Quatre semaines … C'est long …

Moi : Non mais tu te rends compte Denis ! Quatre semaines, je sais pas, là je ne sais pas !
Denis : Franchement du rigoles ! Moi ça fait sept mois et demie ! Arrête de te plaindre, j'étais là depuis six mois quand tu es arrivé, plus la période d'essai, et j'ai été libéré combien de fois ? 
Moi : C'est vrai ! Je n'y pensais pas ! Tu fais comment pour supporter ?
Denis : Mais tu as bien vu ! J'ai des jouets ! Et du devrais toi aussi apprendre à jouir avec le cul si tu veux rester.
Moi : Je ne sais pas si je vais pouvoir ?
Denis : Dans ce cas là tu pourrais déjà envisager d'annuler ton contrat !

Ben avait l'air de bien s'adapter lui. Raphaël moins, quand on parlait ensemble il ne me cachait pas qu'il ne terminerait probablement pas sa période d'essai. 

Raphaël : Tu sais André j'ai du mal …
Moi : Physiquement ?
Raphaël : Oui physiquement, je bande toujours, ça ne se calme jamais, j'ai du mal à dormir … Et dans la tête aussi …
Moi : C'est pas toujours facile, il y a des jours ou moi aussi j'ai envie de tout abandonner !
Raphaël : Pour moi, il n'y a pas de jours ou j'ai envie de continuer ! Tu crois qu'ils nous en tiennent rigueur ?
Moi : Comment ça ?
Raphaël : Qu'ils disent du mal de nous pour qu'on ne retrouve pas facilement de boulot …
Moi : Oscar m'a certifié le contraire, il m'a dit qu'il était souvent en contact avec d'anciens candidats. Et il n'a jamais remarqué une telle chose, il m'a garanti que ce n'était pas le genre de la maison !

Ça le rassurait ! 

Le week-end suivant c'était Ben qui pouvait se libérer. On pouvait admirer sa queue magnifique, c'était pour lui le la libération des trois semaines, suivait la ligne droite. C'était son avant dernière libération … Je me sentais tout drôle en voyant sa queue se balancer, je bavais en le voyant se tripoter. Rapidement je me portais volontaire pour le sucer, ça me plaisait de plus en plus. Ma bite était sous pression et de toutes ses forces tentait de faire éclater la cage. Je bandais tous les jours et ce spectacle du beau Ben en érection ne me calmais pas vraiment ! Sentir son gland s'enfoncer dans ma gorge non plus !

Il y allait doucement, il savait que j'étais encore novice dans cette pratique et lui un géant de très grande taille. Il y allait doucement mais il y allait et me tirait la tête vers lui au moment ou il avançait son bassin. Sa bite entrait, je ne sais pas comment mais elle entrait et appuyait au fond de ma gorge. Il se retirait et revenait.

Nos autres camarades me regardaient faire dans le plus grand silence. On avait un peu l'impression que chacun attendait son tour … Ben était le seul déverrouillé, il en profitait. Il me testait, il accélérait le mouvement j'encaissais, non sans mal mais j'encaissais. J'avalais ma salive et reprenais mon souffle comme je pouvais. J'aimais de plus en plus sucer les queue ! C'était pas facile, elle était énorme mais j'y prenais vraiment du plaisir. Je sentais mon cul se contracter, tout seul, sans que personne n'y touche. Ce devait être un réflexe, dans ma tête l'idée de me faire enculer devait apparaître doucement et provoquait ce réflexe !

Ben se crispait, il serrait ma tête entre ses mains et sans prévenir d'avantage éjaculait dans ma bouche. Il ne me lâchait pas pour autant, il giclait trois fois de suite en appuyant bien ma bouche contre son ventre. J'étouffais, je retenais ma respiration et j'avalais. Une dernière petite giclée et il me lâchait …

En voyant ma tête les autres éclataient de rire et applaudissaient. Ils étaient impressionnés. Ils étaient surpris de la manière que j'avais fait ça … Moi aussi je me surprenais … 

Suivaient des câlins, tous voulaient câliner Ben et chacun s'approchait de lui, le caressant, le tripotait, le suçant ou lui offrant son cul … Tous ? Raphaël me retrouvait, je m'étais installé dans un coin de la salle de bain et remettais ma mâchoire en place … C'est qu'elle est grosse la bite à Ben !

Raphaël : Tu sais André, j'ai bien réfléchi et …
Moi : Et … ?
Raphaël : Je vais renoncer ! Je me suis décidé, lundi je m'en vais …
Moi : Tu es décidé ?
Raphaël : Oui, je sais que ça ne marchera pas !
Moi : Alors il ne faut pas insister !

Raphaël quittait ses fonctions deux jours plus tard. La semaine suivante un nouveau arrivait, il portait déjà un dispositif de chasteté d'une manière très régulière ...

La suite ?

La suite, je m'en souviens bien ! Ça fait maintenant des années de cela … J'ai aussi eu des moments d’hésitations, des moments de doutes, des moments ou j'ai bien pensé que j'allais partir moi aussi …

Ben est resté deux ans, Denis quatre ans, d'autres sont resté plus longtemps … Richard est toujours là … Les autres dont je vous ai parlé dans cette petite histoire sont tous partis. Oscar a pris sa retraite et a été remplacé, il avait le plus haut grade, son remplaçant aussi a fini par prendre sa retraite et a été remplacé … Et ce dernier remplaçant, et bien, c'est moi !

Aujourd'hui nous recevons deux personnalités de la PK … Deux vieilles connaissance … Tous les employés de la maison sont au garde à vous, en ligne, je viens de faire une inspection et je vous garanti qu'il n'y a aucun défaut, les tenues sont parfaites … C'est mon travail désormais …

Ils s'approchent de moi et viennent me saluer avec un grand sourire. 

'' Et bien André, toujours parmi nous, c'est un plaisir de vous voir ''

Moi : C'est un plaisir pour moi aussi Monsieur Luc, je vous souhaite la bienvenue et je suis convaincu que vous passerez un excellent séjour. Mais si je peux me permettre … C'est la même voiture que vous aviez déjà l'an dernier ?
Luc : Vous me taquinez André ! ( en riant de bon cœur )
Bob : Il a fini par se calmer, mais il faut dire aussi que notre garage est plein et pourtant il est grand ! Vous allez bien André ? …

Toujours aussi charmants, toujours aussi sympatriques, ce n'est pas par hasard s'ils sont appréciés partout ou ils vont ces deux là … Je me souviens de ces très beaux garçons que j'avais rencontré peu après mon arrivé … Ils avaient un peu plus de quarante ans à l'époque et ne les paraissaient pas. Aujourd'hui ils ont passé les soixante dix et ne les paraissaient toujours pas … Toujours une très belle allure, toujours un visage aimable et souriant.

Luc : Mais je ne vois pas Sébastien ? ( Mon patron Sébastien Laclaque )
Moi : Il a été appelé d'urgence au bureau de New-York et sera absent pendant quelques jours, mais vous êtes ici chez vous !

Pendant qu'on montait leur bagages, je les conviais à prendre un café et c'est finalement devant un thé que nous discutions plus longuement. Bien sûr j'assurais le service mais c'était pour le côté pratique car désormais j'étais assis à leur table. 

Moi : Votre frère va bien j'espère ? Il y a quelques temps que nous ne l'avons pas vu !
Luc : Il va très bien, il envisage de se retirer des affaires, par étape, il a déjà commencé à passer la main à son fils.
Moi : On m'a dit en effet que Monsieur Antoine avait été nommé vice président de la PK. C'est une bonne chose, je pense que tout le personnel de la PK est très attaché à votre famille !
Luc : Et vous André ?
Bob : Il parait que vous avez choisi de prendre votre retraite André ?
Moi : Oui, ça fait maintenant plus de trente ans que je sers dans cette maison, j'ai désormais les moyens de prendre ma retraite, je prépare mon successeur et quand il sera prêt je lui confierai les clés de la maison.
Luc : Trente ans, ça ne nous rajeuni pas tout ça !
Bob : Vous êtes encore jeune …
Moi : Cinquante huit ans Monsieur Bob !
Bob : Vous avez des projets ?
Moi : Voyager dans un premier temps … Et peut être écrire un livre …
Bob : Ne cherchez pas plus loin, vous avez un éditeur devant vous. Je me ferai un plaisir d'éditer votre livre … 

Ils étaient tous les deux les premières personnalité de la PK que j'avais rencontré, bien que non membre de la PK . Je les ai revus régulièrement et vous pouvez croire ceux qui vous diront qu'ils sont totalement charmants, je le confirme. Dans cette maison j'ai rencontré des chefs d'état, des intellectuels, des artistes parmi les plus connus … J'ai régulièrement servi Monsieur Jérémy Brosso ainsi que son fils Monsieur Antoine. J'ai appris à nager à son petit fils Monsieur Philippe … C'est une famille adorable, d'une grande gentillesse. 

Je tiens toutefois à préciser quelques points, je vous ai raconté certains débordements auxquels se livrent une partie du personnelle, je tiens à bien préciser que cette famille n'est en aucun cas concerné par ce genre de débordements. Ils sont tous des exemples d'intégrité totale, ce que nous nous permettons de faire, eux ne le font pas ! Ce sont des exemple d'intégrité morale autant que de gentillesse et de générosité … N'allez surtout pas imaginer que Monsieur Jérémy qu'on appelait Djé quand il était jeune s'amuse avec ces jouets, ces godes, ces plugs … 

L'abstinence dans cette famille est un sacerdoce, une grâce qui nous sert d'exemple autant que de référence ! Même si c'est un absolu vers lequel nous tendons tous mais que nous n'atteignons pas. 

Note de l'auteur : Et si vous doutez de ce dernier point … Allez donc le vérifier dans le récit biographique '' Groupe de vacances ou les aventures de Djé '' … Pffff … (lol)



Ep 10 : LA PREMIERE FOIS


Ce texte n'était pas prévu, l'histoire devait s'arrêter à la fin de l'épisode 9. Mais un lecteur me laissait ce commentaire juste après l'épisode 8 ( le jour même de sa parution ) : '' Hâte de lire le récit du premier god   '' . Il avait raison ! Je n'avais pas prévu de parler de cet événement mais il n'est pas encore trop tard pour palier à cet oublie ( André n'est encore parti en retraite, il est seulement sur le départ ) ! Donc … 

Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

Voilà mon histoire est finie. Je vais bientôt partir en retraite, jeune retraité, en pleine forme, ma santé physique est excellente, dans un autre cadre professionnel j'aurais dit  exceptionnelle mais quand on travaille pour la PK comme c'est mon cas depuis des années, on ne fume pas, on ne boit pas ( ou très peu ) on fait du sport, on mange bien … En un mot on réuni toutes les conditions pour préserver sa santé et, à moins d'être frappé par la maladie, on cumule toutes les chances de vieillir bien … C'est mon cas, ma santé est excellente !

Je pars avec un capital en plus d'une bonne retraite, Mr Bob a tenu sa promesse d'éditer mon livre, et il ne se vent pas trop mal … 

Je pars avec bien des souvenirs, oh vous imaginez bien que je ne les ais pas tous raconté dans mon livre … Je ne suis pas sûr que Mr Bob aurait édité, il aurait certainement été très amusé mais n'aurait certainement pas édité ! Au fait de vous disais que les dirigeants de la PK ne se livraient pas aux débordements sexuels auxquels nous on se livrait … Ce n'est pas tout à fait exact … 

Mr Bob, comme je vous l'avais dit ne porte pas le dispositif ! Il l'a porté quand il était plus jeune, à l'université. A l'université PK on n'a pas le choix ou alors on va dans une autre école. En fait, avec Mr Luc ils forment un couple sexuellement très actif ! Un seul des deux est vraiment actif, peut être pas hyper actif, mais actif …

Eh oui c'est aussi ça la PK …

Mais c'est de moi que je voulais vous parler. Dans les semaines qui suivait ma dernière libération, celle des quatre semaines, je me retrouvais de plus en plus en manque. Je n'étais pas le seul mais mes camarades savaient se détendre avec leur jouets. 

C'était  un dimanche, je venais de faire  une séance d’entraînement particulièrement importante, physiquement j'étais en forme un peu fatigué mais ça c'était normal, en sueur mais ça aussi c'était normal … Je me retrouvais dans la salle de bain, Ben y était déjà !

Moi : Ça va toi ce matin ? Tu ne fait pas ta séance d'entraînement ?
Ben : Mais j'en reviens, et toi tu étais ou ?
Moi: Pareil, je suis parti tôt, et j'ai fais une longue séance.
Ben : Tendu ?
Moi : Oui, tendu, pas facile …

Je baissais les yeux, ma cage de chasteté avait tendance à se relever, il y avait toujours de la pression là dedans. Je remarquais que pour Ben c'était la même chose.

Ben : Je connais une solution mais je ne sais pas si tu …
Moi : Vas y, on verra bien !

Ben me prenait alors dans ses bras, il me savonnait le corps, il était déjà recouvert de savon qui moussait un peu partout sur son corps et tout particulièrement sur son entre-jambe. Il était beau, il avait la peau douce et ma queue se manifestait encore plus, ça devenait presque douloureux …

Moi : C'est pas comme ça que tu vas me calmer tu peux me croire.
Ben : Laisse moi faire !
Moi : Mais on ne peut rien faire avec ce truc. Tu le sais bien !

Pour me faire taire il ne trouvait pas d'autre moyen que de m'embrasser. Ses lèvres étaient douces, nos deux langues se caressaient. Ma cage de chasteté se relevait et se balançait par accoues au rythme des battements de mon cœur qui devenaient plus forts. Je le sentait cogner contre mon thorax. Je savais que c'était sans issue mais sa peau était si douce, ses caresses si tendres, et ses lèvres si … 

Je me serrais contre lui. J'étais toujours convaincu que c'était une mauvaise idée mais … Je n'arrivais pas à le lâcher … Il me recouvrait de caresses, j'en faisais de même et je sentais son dispositif de chasteté qui se relevait et se balançait également … Tout comme le mien. On ne s'inquiétait pas des autres qui pourraient entrer dans la salle de bain à tout moment … Ce ne serait pas la première fois qu'un d'entre nous en surprenne deux ( ou plus ) dans une telle situation.

Nous étions recouverts de savon, nos bras semblaient se mélanger et parcouraient le corps de l'autre, glissaient sur la peau de l'autre avec force et passion.

Moi : C'est pas une bonne idée je te dis ! Là moi ça ne me calme pas, ça serait plutôt le contraire. J'ai un peu mal à la queue ...

Il m'embrasait avec encore plus de force, comme pour me faire taire. Ça marchait ! Ses mains glissaient vers mes fesses, il me tirait vers lui puis me soulevait sur sol. Ben est plus costaud que moi, beaucoup plus. Je me pendais à son cou et passais mes jambes dans son dos, s'il n'avait pas porté de dispositif il aurait pu me prendre dans cette position, il n'aurait eu qu'à m'empaler sur sa queue et c'est en fait ce que mon cul réclamait, espérait … 

Je me laissais aller même si je savais qu'il n'y avait aucun espoir. Ses doigts se glissaient entre mes fesses, il y déposait une grosse dose de savon. Il insistait d'avantage, avec plus de fermeté. Un doigt s'imposait sur l'ouverture de mon anus, le contournait, s'attardait dessus et finalement appuyait fort … Je serrais mes jambes autours de Ben et mes bras autour de son cou. Son doigt rentrait,  j'avais le souffle coupé, c'était bon, aucune douleur … 

Ben ne forçait pas plus qu'il ne le fallait, un doigt, juste un ! Il le retirait, l'enfonçait de nouveau. Il continuait de jeux un long moment, il prenait bien son temps, il surveillait mes réactions, je relevait les jambes et le serrais encore plus fort contre moi. L'eau continuait à couler sur nous, nous étions désormais rincés, plus de savon. 

Il faisait tomber plusieurs serviettes sur le sol et avec beaucoup de douceur me déposait dessus, son bras dans mon dos, son autre bras sous mes fesses, son doigt dans mon cul. Ma position, et ça me surprenait, n'était finalement pas si désagréable que ça …

Il m'embrassait sur le torse avec une grande tendresse, moi , je ne faisais plus rien … Je me laissais faire. Ma queue protestait toujours avec la même vigueur. Elle voulait sortir. J'avais par moment la très agréable impression que j'allais éjaculer, c'était une sensation qui venait de l'intérieure de ma queue, de mon urètre. C'était terriblement bon j'éjaculais … Non ! En fait rien ne venait ! Sauf le plaisir qui montait !

Ben m'avait stimulé l'anus pendant un bon moment quand il retirait son doigt. Je me sentais bien, la pression avait baissé dans ma cage de chasteté mais elle était toujours aussi pleine, ma bite était en position '' grosse molle '' et prenait toute la place mais n'était plus sous pression. C'était beaucoup plus confortable. Je n'avais pas éjaculé mais je me sentais presque aussi bien que si je venais de la faire …

Ben  attrapait un gode qu'il avait sans doute prévu pour lui et le lubrifiait.

L'inquiétude montait dans ma tête …

Ben : Tu me fais confiance ?

Je faisais oui de la tête, mais je n'osais pas ouvrir la bouche. Je me demandais quel gode il avait choisi. J'imaginais déjà une douleur intense mais je ne bougeais pas. Dans ma tête c'était un peu la panique, dans mon corps tout allait très bien, seul mon cœur battait de plus en plus fort.

Je sentais une pression contre mon anus. Je serrais les fesses. Ben se penchais au dessus de moi et me disait : '' Calme toi, et détend toi, tu vas voir ... '' … Je prenais une forte inspiration et décontractais tous les muscles de mon corps. Mon anus lâchait. Je le sentais se distendre, s'élargir anormalement, je me contractait par réflexe mais c'était trop tard, je sentais l'énorme gode se glisser dans ma plus profonde intimité.

Douleur ? Un peu oui ! Mais je savais qu'il fallait que je me détende. Ben ne bougeait plus. Mon cul se contractait et douleur, je me concentrais pour me détendre et ce n'était plus qu'une sensation intense, j'avais l'impression que mon cul allait se déchirer, je faisait confiance à Ben. Au bout d'un moment je me décontractais de nouveau. Ce n'était pas vraiment douloureux, c'était la peur de la douleur plus que la douleur elle même !

Mon cul était distendu, dilaté, élargi comme je n'aurais jamais imaginé que c'était possible. Je sentait le gode s'enfoncer encore, il devait être au niveau du nombril et rapidement je le sentais appuyer contre estomac … C'était dingue, j'encaissais ça, je ne m'en aurais jamais cru capable mais j'encaissais. Au final je sentais la main de Ben qui appuyait contre la base du gode, il l'avait rentré en entier et ne bougeait plus.

Je n'avais plus mal, j'avais peur. Mon anus était tellement étiré qu'il pourrait se déchirer à tout moment, je n'osait plus bouger. Je voyais de nouveau le visage souriant de Ben qui se penchait sur moi. Il me donnait un baiser, juste un  tout petit baiser de rien sur les lèvres. D'un geste violent je passais ma main derrière sa tête et le retenais. C'est un baiser de passion, de fous que nous échangions alors. 

Je tenais Ben dans mes bras, doucement il retirait le gode, je hurlais. Ce n'était pas la douleur, c'était … C'était la panique, mon cul se déchirait comme je le craignais, c'était l'horreur, c'était pas vraiment douloureux mais c'était l'horreur, je sentais le sang qui coulait entre mes fesses. Ben l'essuyait sans s'affoler avec une serviette qu'il posait à côté de moi … Pas de sang ! Juste une grosse dose de gel ! Pas de déchirure ! Tout allait bien !

Ce que je ressentais était tellement intense autant que nouveau pour moi que mon cerveau s'affolait et s'inventait des situations alarmantes. 

Tout allait bien! Ben retirait le gode, il était long, tellement long qu'il lui fallait un long moment, mais non là il le faisait entrer de nouveau … A ce moment je ne savais plus trop ce qui se passait, mais c'est à ce moment que le plaisir est devenu réel, c'est venu comme ça, sans prévenir, je jouissais pas la queue, j'éjaculais comme un fou, mon urètre était en feu mais pas un feu douloureux, mon cul était tellement dilaté que je ne comprenais plus si Ben enfonçait ou retirait le gode. 

Le gode, c'était le plus gros et je ne comprenais pas comment ça pouvait passer, il entrait, il ressortait et Ben accélérait le mouvement. Je relevais la tête et regardais vers ma cage de chasteté, ma bite s'était ratatinée, la cage n'avait jamais semblé aussi vide, je n'avais pas éjaculé. Je me demandais ce qui se passais, je ne comprenais plus mes sensations, j'avais pourtant l'impression que … Mais c'est vrai que j'avais la cervelle en feu, et ce n'était plus ni la panique ni la peur qui me subjuguait … C'était l'extase …

Mon cœur allait exploser, je tremblais, je respirait fort, j'avais des gestes de convulsions, des gestes que je ne contrôlais pas, d'ailleurs je ne contrôlais  plus rien mais … Nom de dieu c'était bon ! On m'avait dit qu'on pouvait vraiment jouir juste avec le cul. C'était vrai mais avant je ne savais pas à quel point. Je poussais un long gémissement, une plainte me dira plus tard Ben. Il jugeait alors que c'était bon, qu'il ne fallait pas me provoquer une crise cardiaque, il retirait le gode.

Je continuait à trembler un moment, je transpirais comme un fou. Il me fallait du temps pour reprendre mon souffle, j'étais bien et un long filet de sperme qui ne semblait pas vouloir s'arrêter coulait de ma cage depuis qu'il avait retiré le gode.

Moi : Tu m'as tué !
Ben : Mais non tu respires encore !

Il rigolait et avait l'air content de lui !

Moi : C'est fou ce truc, tu as l'impression que ça va déchirer … Et je l'ai bien senti quand il à touché mon estomac …
Ben : Ton estomac ! Mais pourquoi pas tes amygdales pendant que tu y es ? Et pour ce qui est de déchirer … C'était la première fois pour toi c'est tout !

Il me montrait le gode, c'était le tout petit, moins de quinze centimètres de long sur à peine quatre de large …


Voilà qui clôt cette histoire définitivement.
Je me permets puisque vous êtes encore là de faire un petit commentaire … Il y a peu je recevais une critique désagréable d'un lecteur … En  gros il me disait que mon histoire était déplacée parce que ( je résume ) '' pas assez de scène de cul ! ''  . Il parlait du texte '' Djé Episode 2 – VOUS AVEZ DIT VACANCES ''. Je lui ai donc répondu que en effet … Mais que ce sont des histoires que j'écris, pas juste des scènes de cul pour le cul ! Que par conséquent il y en aurait plus ou moins selon les textes, selon les moments de l'histoire … Je viens de relire ce texte là ( plus haut ) et j'espère bien que cette critique il ne va pas me la reformuler pour ce dernier épisode de la série  …  La PK André ! Sinon je me lance dans la littérature pour enfants moi ! Et toc !

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