Olivier épisodes 1 à 8 / 8

01 AU SAUNA



J'aime bien  passer au sauna de temps en temps, surtout en hiver, il y fait chaud, on peut se retrouver à poil, j'en connais un qui a une piscine … On peut aussi y faire des rencontres, à poil en hiver un peu comme en été à la plage … 

Il y a une sorte de labyrinthe avec plein de cabine ou on peut se détendre, se reposer, ou mieux encore, si on a rencontré quelqu'un , on peut se faire un câlin. Enfin je vous dis tout ça mais enfin vous connaissez !

Je sortais de la piscine, j'étais parfaitement détendu et je bandais à moitié, je n'avais pas bandé depuis quelques semaines aussi, je ne vous raconte pas, il ne fallait pas grand chose pour que ma queue réagisse et se manifeste. Je n'essayais pas vraiment de me retenir, je me laissais aller je n'avais par remarqué un mec qui ne me lâchait pas des yeux depuis un moment, je restais là un moment assis sur le bord de la piscine, les pieds dans l'eau. 

Je finissais par faire attention à lui. Il était de l'autre côté de la piscine, il avait les jambes refermé, comme s'il dissimulait quelques chose, il devait bandé lui aussi mais ne voulait pas que ça se voit, moi je m'en moquais. À cette idée ma queue se redressait, il le remarquait et son regard devenait encore plus insistant.

Un voyeur ? Dans un sauna ou les mecs viennent s’exhiber à poil ! Un voyeur qui vient mater des exhibitionnistes, mais c'est ridicule. J'écartais bien mes cuisses et le laissais regarder, là je bandais bien ferme. 

Comme je vous l'avais dit je n'avais pas bandé depuis huit semaines, je n'avais pas éjaculé non plus. J'avais porté non stop un dispositif de chasteté pendant deux mois. Au départ, guidé par la curiosité ou une recherche de nouvelles sensations, c'était devenu une addiction et régulièrement j'enfilais mon dispositif et ne m’autorisais alors que le plaisir anal. Bon de toutes façons je n'ai jamais réussi à me faire éjaculer de cette manière. Ce qui ne veut pas dire que je n'y prends pas de plaisir …

Mais ce week-end je m'autorisais tout, et j'avais comme l'impression que j'allais lui péter le cul à ce petit gars. Cette idée me faisais bander de plus belle.

Je lui faisais un sourire et le saluait de la main.

Il me répondait par un geste timide de la main également.

Je lui faisais alors signe de me rejoindre, il se laissait glisser dans l'eau et nageait vers moi. Je ne pouvais pas voir s'il bandait ni comment il était foutu. Il avait une bonne tête, les cheveux mi-court frisés. Un corps assez mince mais pas trop musclé, de jolies fesses …

Il s'arrêtait juste devant moi, il regardait ma bite qui était bien droite et bien raide maintenant.

Moi : Salut !
Lui : Salut !
Moi : Moi c'est Charly !
Lui : Olivier …
Moi : Tu restes dans l'eau ?

D'un geste de la main je l'invitait à venir s'asseoir à côté de moi sur le bord de la piscine. D'un mouvement rapide il sortait de l'eau et s'installait juste à côté de moi, il semblait éviter de me toucher … Timide ? …

Il gardait ses mains sur son sexe et continuait à fixer ma queue.

Moi : Fais voir !

Je lui écartait la main, il bandait en effet, pas trop mal monté le petit gars, pas énorme non, loin de là mais loin d'être ridicule. Un peu plus petit que moi il me semble. 

Voyant cela, il en profitait pour prendre ma queue dans sa main, il me masturbait doucement.  Pas pour me faire jouir, juste pour tâter.

Olivier : Pfiu ! Elle est grosse !

J'ai jamais eu l'impression que j'avais une grosse queue, je ne suis pas ridicule mais je ne suis pas non plus d'un gros gabarit. En longueur je suis tout à fait dans la moyenne, pas plus. Bon c'est vrai que en largeur … C'est une autre affaire. 

C'est pour ça que le dispositif de chasteté, c'est moi qui l'ai fait. Je trouvais des dispositif qui avaient la longueur voulue sans difficulté mais pour la largeur pas vraiment.

L'entrée de la cage fait quarante millimètres de diamètre et l'intérieur de la cage est plus large et là j'en ai pas trouvé. C'est bizarre car pour le cock-ring on en trouve qui dépassent les cinquante millimètre. Cinquante deux pour être exacte, c'est ce que je porte.

Il continuait à me tripoter, il était passé à mes couilles qui semblaient lui plaire également. Moins de cinquante millimètres, elles ne passeraient pas dans le cock-ring. Ouai peut être que finalement j'ai une grosse queue mais pour moi une grosse queue ça veut dire autre chose … 

Olivier : J'ai un gode !
Moi : Cool !
Olivier : On peut aller s'amuser dans une cabine.

Je me levais, passais ma serviette autour de mes reins, lui faisait signe de la tête. Il hésitait, c'est vrai qu'il bandait. Remarquez je bandais aussi mais moi je m'en moquais. Ça ne me dérangeait pas de me montrer comme ça. Finalement je mettais ma serviette sur mon épaule.

Ça le faisait rire, il me suivait. Arrivé à l'entrée du labyrinthe …

Olivier : Attend moi là je reviens.

Il revenait quelques instants plus tard avec une sacoche. On se trouvait une cabine, on s'y enfermait et il ouvrait sa sacoche.

Olivier : Regarde, tu en penses quoi ?

L'objet était de belle taille, cylindrique arrondi aux deux extrémités, ça avait l'air amusant, je le prenais dans la main. C'était un saucisson ! Vous savez ces saucissons à l'aïl qu'on trouve dans n'importe quel rayon charcuterie libre service. Il avait soigneusement retiré les deux agrafes qui referment l'emballage aux extrémités et avec plusieurs couche de latex dessus, ça avait l'air parfaitement fonctionnel. Fonctionnel mais de bonne taille.

Ça me faisait rire.

Moi : Au moins toi tu as l'esprit pratique !

Il me répondait par un sourire. Il avait attrapé dans le distributeur plusieurs préservatifs qu'il enfilait rapidement autour du saucisson. Il y déposait une bonne dose de gel lubrifiant puis.

Olivier : Je te montre ! … tu as une belle queue, j'aime bien.

Il se laissait distraire mais prenait position tout de même, à genoux. Il prenait quelques grandes inspirations puis posait le '' gode '' face à son cul. Il semblait avoir du mal à tenir son saucisson aussi je l'aidais.

Tout était en place, je le voyais prendre de grande respirations, en même temps il poussait son cul contre le saucisson. Ça résistait, il respirait fort. Il insistait encore un moment, il faisait des grimaces. Il faut reconnaître que l'objet choisi avait une belle taille, il n'était pas trop dur, un peu souple mais restait suffisamment ferme, je comprenais qu'il ait du mal à se l'enfiler.

Il insistait de nouveau, mais là il  poussait plus fort. Il avait l'air décidé. Là j'ai bien eu l'impression que ça rentrait et à voir sa tête ça devait rentrer en effet. Enfin un tout petit peu. Il poussait un gémissement et se relevait, il faisait une grimace à faire peur, il se relevait. Son souffle était fort, et je devinais que son cœur battait fort lui aussi. Je passais une main sur son torse et je me disait qu'on ne s'était même pas touché, pas encore... Je lui caressais le torse, je sentais son cœur. 

Il avait une petite musculation très sympathique, je me mettais à genoux devant lui, dans la même position, j'en profitais pour le caresser et pour l'embrasser. Il laissait tomber le saucisson et me branlait avec un peu plus d'ardeur que plus tôt près de la piscine. J'en faisais de même.

On se caressait, on s'embrassait. D'habitude on commence par ça mais ce soir là on avait fait le contraire. On finissait tout de même par y arriver. On passait un long moment de tendresse. Quand on se séparait je m'éloignait un peu de lui, toujours à genoux, je me penchais en arrière et les jambes bien repliées je lui offrais ma queue à sucer. 

Il se penchait vers moi et prenait ma queue dans sa bouche. Il me suçait avec douceur, beaucoup de douceur. Rapidement il avalait ma queue sur toute sa longueur, en même temps il me massait les couilles et me caressait le corps.

Il s'attardait longuement sur mes fesses et avec ses doigts bien lubrifiés il me massait l'anus, il y glissait un doigt, puis deux. J'aime beaucoup ce genre de situation. Je le laissais faire, je m'appuyais sur mes coudes et le laissais faire sans intervenir. Je sentais le plaisir monter, mon cœur battait plus fort, mon souffle devenait plus intense.

Je me retirais, avec la main j'écartais sa tête. Je ne voulais pas jouir si vite. Ça faisait déjà un moment qu'on était là mais je n'étais pas pressé. A cet instant j'ai bien failli éjaculer. Je reprenais mon souffle. J'attrapais le saucisson. 

Moi : On y retourne ?
Olivier : On y retourne ! 

Il changeait les préservatifs, les lubrifiait à mort et reprenait position. Il prenait des grandes bouffées d'air, comme pour une apnée puis le regard bien décidé il s'appuyait fermement, contre son '' gode '', d'une main je le retenais et je l'ai bien senti, il est entré. 

Il est entré mais il est ressorti aussitôt. Olivier à poussé un cri et s'est dégagé aussitôt. 

Olivier : Ça fait un mal de chien ce truc, j'ai vu trop large. Non je ne pourrais pas !

Il s'était laissé retombé sur le côté, replié sur lui même, une main sur le cul. Je le regardais avec un sourire amusé.

Olivier : Et ça te fait rire !
Moi : Bein ouai !
Olivier : Je voudrais t'y voir !
Moi : Bein ouai !

Je continuais à rigoler, il se remettais.

Moi : Mais d'abord, je vais t'enculer !
Olivier : Tu peux y aller, je suis chaud.

Il se mettait à quatre pattes devant moi. Sans faire de manières, je prenais position, enfilait un préservatif, le lubrifiais et sans prévenir je lui enfonçais ma queue dans le cul. 

Il a couiné. Mais c'est vrai qu'il était chaud et il n'a pas couiné bien fort. Au niveau longueur comme je le disais je suis dans la moyenne. C'est uniquement au niveau largeur. Au repos je fais tout de même mes cinq bon centimètres, remarquez j'en fais pas beaucoup plus en érection. De large je veux dire ...

Je poussait bien fort ma bite bien au fond de son cul et j'écrasais mon bassin contre ses fesses, ensuite je continuais à pousser de toutes mes forces. Il gémissait mais me laissait faire. Je me penchais sur lui et le serrait bien fort dans mes bras. 

Je commençais à faire des mouvement d'avant en arrière avec mon bassin, doucement au début puis plus fermement, plus fortement, plus vite. De plus en plus en plus vite, de plus en plus violent. Il semblait apprécier et gémissait de plaisir. J'avais pensé que j'allais éjaculer rapidement, très rapidement, en quelques instants seulement mais ça durait. Je ne lâchais rien, Olivier Gémissait de plaisir. Je le sentais trembler entre mes bras. Je lui caressais la queue, il jutais abondamment, il jouissait.

Je continuais à le limer encore un long moment avant d'éjaculer, avant de jouir. Je vous jure que c'était mémorable, j'avais passé huit semaines dans la plus totale abstinence mais quand je lâchais mon jus, j'ai pris un pied comme jamais. Là c'est moi qui ai gémi de plaisir, là c'est moi qui ai tremblé. J'ai éjaculé plusieurs fois et je ne débandais pas. Je restais encore un moment dans son cul avant de me retirer.

On s'est ensuite laissé tombé sur le tapis de sol. Il me regardait. 

Olivier : J'aime bien ta queue, tu es un bon coup toi.

Je me contentais de lui sourire. On ne bougeait plus pendant un long moment.

Quand je me relevais, je ramassais le '' gode ''.

Moi : Bon on y retourne !
Olivier : Non ! Non c'est bon pour moi, j'ai ma dose …

Sans me préoccuper de ce qu'il disait, je retirais les préservatifs et en enfilait plusieurs autres sur le saucisson. Olivier me regardait incrédule en faisant non de la tête. J'étais à genoux les jambes bien écartées. Je lubrifiais bien à fond le saucisson. Emballé comme ça il était bien lisse, lubrifié comme ça il glissait bien. Je me lubrifiais bien le cul et prenais position.

Le saucisson appuyé sur le sol, l'autre extrémité contre mon anus.

Olivier me regardait l'air étonné, il regardait mes yeux puis le gode. Je respirais bien à fond comme il l'avait fait peu avant. Doucement mais fermement je poussais.

Depuis huit semaines je n'avait pas touché à ma queue mais je m'étais entraîné avec des godes et des plugs. Je sentais mon anus se dilaté, s'ouvrir doucement. C'était intense, là je comprenais mieux pourquoi il n'avait pas réussi , le saucisson était de grosse taille et il était moins facile de se l'enfiler que je ne le pensais au début. 

Il entrait, doucement mais sûrement. Olivier semblait totalement fasciné par ce qu'il voyait. D’où il était il pouvait parfaitement voir sa saucisse s'enfoncer dans mon cul. Il glissait la main, comme pour s'assurer qu'il ne rêvait pas. Je le laissais faire et c'est lui qui tenait le saucisson. Je continuais à m'appuyer, le saucisson continuait à s'enfoncer. C'était divin. J'adore sentir mon anus se dilater comme ça. Je venais de jouir mais j'en voulais  plus ! 

J'avais prévu de remettre le dispositif de chasteté dès mon retour à la maison. Je l'avais emmené avec moi, il était dans la voiture au cas ou. Je ne m'en sépare jamais, si je ne le porte pas il n'est jamais bien loin. De plus je m'étais lancé un défi … Pas de masturbation de la quéquette … Et ça en permanence et définitivement. Si je devais prendre du plaisir avec ma queue, éjaculer par exemple, je devais soit y parvenir en ma taquinant le cul soit faire appel à quelqu'un. Seul, je me l'interdisais. Mais là je n'étais pas seul et j'en voulais encore. 

Sa main touchaient mes fesses, il la passait sous le saucisson et continuait à pousser. Là je ne faisais plus rien, je le laissais faire. Il appuyais et quelques instants plus tard je sentais mon cul se refermer, je me sentais rempli comme jamais. J'ai un plug de la même largeur que cette '' saucisse '' mais il n'était pas aussi long. 

Je respirais fort, je  pense même qu'à ce moment j'ai du glousser, pourtant je ne suis pas une poule … Je me relevais, Olivier n'en revenais pas. C'était particulier, c'était bon, terriblement bon . Je ressentais une étrange sensation au niveau de ma queue. Je la sentais dure, bien dure mais pas en érection. Ma queue retombait, mais quand j'appuyais dessus je la sentais dure, au moins autant qu'en érection mais pas plus grosse qu'au repos. 

Je m'appuyais contre le mur, les jambes écartées.

Moi : On s'amuse ?
Olivier : Oui ! Quoi ! Euh !
Moi : Je vais le laisser ressortir, tu le rattrapes et tu me l'enfonce de nouveau.

Ça semblait l'amuser et il faisait ce que je lui demandais. 

Lentement je sentais de nouveau mon anus se dilater, je sentais sa main contre mes fesses, il retenait le saucisson. C'était absolument génial, un massage d'une extrême douceur sur mon anus, une dilatation intense comme j'aime. Quand le saucisson allait sortir de mon cul Olivier l'enfonçait sans ménagement.

On continuait ce jeux pendant un long moment, je respirait de plus en plus fort, je tremblais de plaisir et pour finir je jouissais comme jamais ( bon je sais c'est ce que j'ai déjà dit mais je vous jure, c'était vraiment le pied ). D'habitude c'est moi qui enfonce le gode, c'est moi qui contrôle le plaisir que je me donne. Là je ne contrôlais plus rien, c'était mieux, bien mieux ! 

Je me dégageais dans un mouvement qui m'échappait. Je jutais de nouveau, cette fois je jutais je n'éjaculais pas. Je me retournais face à Olivier. Il avait le gode dans la main. Je me laissais tomber sur les fesses.  Olivier retirait les préservatifs. 

Olivier : Respect mec.

On est revenu aux douches. On s'est lavé tous les deux l'un l'autre puis on a bu un verre au bar ( un jus de fruit ) . 

Il m'a proposé de passer la nuit chez lui. J'ai accepté ! On y arrivait vers trois heures du matin, j'avais fait de la route, j'habite à plus de cent kilomètres. J'en avais pris plein le cul. Je me sentais bien, je gardais une sorte de grosse molle, pas trop grosse mais bien molle. Je me sentais bien. Il se blottissait contre moi, je recommençais à bander mais n'y prêtais aucune attention. 

Juste avant de s'endormir il me glissait à l'oreille : '' Demain c'est moi qui t'encule ''. Je souriais à cette idée et ma queue manifestait son approbation. 



02 CHEZ OLIVIER



J'étais épuisé, je m'étais levé tôt et je ne m'étais pas endormi avant trois heures de la nuit … J'ai failli dire du matin mais bon à trois heures on n'est pas encore le matin ! 

Je ne sais pas qu'elle heure il était quand je me suis réveillé. 

Il avait tenu parole. Pendant mon sommeil, il s'était glissé contre moi, tout contre, sans rien dire, sans prévenir il avait enfilé un préservatif et avec une grosse dose de lubrifiant s'introduisait délicatement. C'est ça qui m'a réveillé, il m'enculait et ça me réveillais avec le sourire.

Il y allait doucement, mais il y allait. Au moment ou j'ai réagi, il m'a donné un baiser très tendre dans le cou et s'est enfoncé bien à fond. J'en ai gémi de plaisir. Ça c'était un réveil comme je les aime. C'est trop rare ce genre de matinée. Ce genre de soirées comme la veille aussi en ce moment ça se fait rare. 

J'ai porté le dispositif de chasteté pendant plus de huit semaines. Abstinence totale, je n'ai eu aucun contact avec personne. Je n'ai encore jamais osé montrer mon truc à personne.

Olivier bougeait avec lenteur, je sentais le plaisir monter en moi. Mon anus était particulièrement sensible ce matin là. C'est vrai qu'avec le saucisson que je m'étais enfiler la veille au soir … A côté sa queue semblait toute petite, particulièrement adaptée. Elle était pourtant de taille tout à fait correcte et là ça glissait bien. Chacun de ses mouvements était un régal, un délice.

J'ouvrais la bouche et je gémissais de plaisir, des '' encore '', des '' c'est bon '', des '' vas-y défonce moi ''. Il se lâchait, il accélérait le mouvement, son bassin frappait doucement contre mes fesses … Ses mouvements devenaient plus violents et son bassin claquait fort maintenant contre mes fesses. 

Il me repoussait, je me retrouvais allongé sur le ventre les jambes écartées, lui au dessus me burinait avec violence. Je râlait de plaisir.

De tout son poids, de toutes forces il me défonçait le cul maintenant, je gueulais de plaisir, la bouche ouverte, je n'articulais plus que des sont gutturaux, j'étais aux anges. Décidément ce genre de réveil il faudra que je m'abonne. Vous connaissez une l'adresse ?

Il finissait par se lâcher, je devinais qu'il éjaculait, il se laissait retomber lourdement sur mon dos en me donnant des baisers sur les épaules. Je le sentais frissonner.

Olivier : Tu as aimé j'ai l'impression.
Moi : Génial comme réveil, en douceur puis plus vigoureusement, ça met en forme. 
Olivier : Passif-actif, c'est cool ! C'est un peu comme moi quoi !
Moi : Et toi tu es plus passif ou actif. 
Olivier : Un peu les deux. Il faut changer, explorer de nouvelles sensations. J'aime bien les grosses bite, bien large comme la tienne par exemple.

Il se laissait retomber sur le dos à côté de moi. J'avais joui, j'avais joui par le cul mais je n'avais pas éjaculé, je n'arrive pas à me faire éjaculer quand je me stimule par le cul et Olivier n'avait pas fait mieux. Il m'avait tout de même fait jouir. Mon cœur battait fort et je me sentais vraiment bien.

Il se levait, il avait lui aussi l'air reposé. Comme par réflexe ou par habitude il allumait son ordinateur. Je ne le suivais qu'un peu plus tard. Il était devant son ordinateur, a poil. J'étais à poil aussi du coin de l’œil je reconnaissais le site sur lequel il était. C'est le site ou je poste mes textes.

Je ne vous ais pas dit. J'écris des texte porno-érotique que je diffuse sur internet, je suis aussi sur Twitter. @CharlyChast . Mais là il était sur le site  Gai-Eros. J'y ai diffusé de  nombreux textes.

Je m'approchais, et je reconnaissais le titre d'une de mes histoires '' En prison ''. C'est l'histoire d'un p'tit gars qui s'appelle Philippe qui se retrouve avec une cage à bite inviolable, obligé de gardé le truc plus longtemps que prévu. La prison c'est sa cage à bite. Je ne vous raconte pas le dénouement si vous suivez l'histoire vous finirez par la lire un jour ou l'autre. (Éh, éh, éh … L'histoire ne sera pas publiée avant l'automne … Note de l'auteur )

Moi : C'est quoi ?
Olivier : Rien, un truc …
Moi : Fais voir.

Il avait l'air un peu embarrassé.

Olivier : C'est un peu spécial, ça va pas te …
Moi : Ça ne va pas me … ?
Olivier : Te choquer.
Moi : Il en faut plus que ça pour me choquer !
Olivier : C'est l'histoire d'un mec, il a dix sept ans. Son père fabrique des dispositifs de chasteté … Tu connais ?
Moi : J'ai Internet moi aussi ! Ce sont des truc dans lesquels tu enfermes ta queue … Oui je connais.
Olivier : Je parlais du site. 
Moi : Bein oui. Même si le photos c'est plus explicite ! Il n'y a pas de photo là.
Olivier : C'est toute une série, en fait il y a plein d'histoires et elles se suivent.

Il commençait à me parler de cette série : Philippe . Il me la racontait, l'histoire de son grand père : Djé. Ou encore l'histoire de son petit fils : David.

Moi : Tu as l'air de bien aimer cette série toi ?
Olivier : J'adore. L'idée d'avoir la queue emprisonnée dans un dispositif, de ne rien pouvoir faire, d'être totalement passif.
Moi : Je croyais que tu étais actif-passif ?
Olivier : Il y a des fois j'aimerais être passif-passif ! Pas en permanence, je veux dire pas d'une manière définitive mais ouai ! Histoire de découvrir de nouvelles sensations …
Moi : Comme dans ces histoires.

On prenait notre petit déjeuner et je le faisais parler. C'était un de mes lecteurs réguliers, il n'y avait pas de doute. C'était la première fois que j'en rencontrais un en contact directe, physique, sexuel même. Je savourais l'instant. 

Il connaissait bien mes histoires, et me les racontait. 

Olivier : Il y a toujours dans une série des histoires qui sont mieux que les autres. J'aime bien l'épisode ou ils arrivent au château en faisant le mur ( Djé Ep 11 : Comme des voleurs ). Ils se prennent une baffe, ça ils ne s'y attendaient pas puis ils se retrouvent sous clé pour au moins un an. Il y a aussi le personnage de Luc, le petit frère … Et puis le mec qui écrit ça il a aussi un compte Twitter, il y a des photos des son dispositif, c'est du fait maison .

Il connaissait très bien même mes histoires.

Olivier : Tu les as lu ces histoires ?
Moi : Pas vraiment !
Olivier : Ça ne t'intéresse pas ?
Moi : C'est pas …
Olivier : Tu veux que je te donne l'adresse du site ?
Moi : Non, ça va, je connais. 
Olivier : Mais tu as lu les histoires ou pas ?
Moi : Je les ai écrites !

Là il me regardait incrédule. Il faisait une tête, je pouffais de rire.

Olivier : Ouai ça va j'ai compris, tu te moques de moi !
Moi : Mais non je te jure, mon vrai nom c'est pas Charly … C'est mon pseudo d'auteur. 
Olivier : Alors tu devrais pouvoir répondre à ces questions. 
Moi : Je t’écoute.
Olivier : Là tu viens de retirer ton dispositif ?
Moi : Tu as remarqué aussi ! Lol ! Hier matin. Je l'ai dit sur mon compte Twitter !
Olivier : Exact ! Et tu le portais depuis combien de temps ?
Moi : Sachant que je prends en compte que les semaines complètes, huit. Je l'avais mis un vendredi, on rajoute trois jours qui ne compte pas. Je l'ai retiré hier matin, vendredi. Ce qui fait quatre jours qu'on ne compte pas … Donc Huit semaines auxquelles il faut rajouter 7 jours, ça fait neuf semaines mais on n'en compte que huit !
Olivier : La vache, alors c'est vrai !

Le reste de la matinée il me harcelait de questions. J'y répondais et rapidement il n'avait plus de doute. Il me croyait.

Il me montrait plusieurs dispositifs qu'il avait acheté.

Olivier : Aucun de ces dispositif ne me convient. Soit je ne les supporte pas, soit ils ne sont pas sécurisé. J'en ai six et j'ai pas envie de continuer à investir pour rien.
Moi : Tu veux que je te le fabrique ? 
Olivier : Tu voudrais bien ?
Moi : Oui mais il y aura une condition !
Olivier : C'est d'accord !
Moi : La condition …
Olivier : C'est d'accord !
Moi : Mais laisse moi te donner ma condition …
Olivier : Bon je t'écoute mais je suis d'accord !
Moi : Bon cette petite serrure qui sert à verrouiller la fausse Holly-Trainer fabriquée en Chine tu la gardes précieusement, elle servira à refermer ton futur dispositif. La condition est simple … C'est moi qui garderai les clés !
Olivier : C'est d'accord !

Il n'a pas hésité une seconde.

Olivier : Toutefois … Moi je garderai tes clés !
Moi : C'est d'accord.

On était toujours à poil et il bandait ferme, cette proposition lui faisait de l'effet. Moi aussi je bandais ferme. 

Moi : Il va falloir prendre tes mensurations ( je le faisais rapidement ), en érection là il n'y a pas de problème. Mais je voudrais aussi prendre les mesures au repos et là …
Olivier : Oui bon là il y a un petit problème. Encule moi !

J'étais en forme et même si je suis principalement passif, c'était pour rendre service et aussi par nécessité. Il prenait position, me tournait le dos et se penchait en s'appuyant contre la table. Je me plaçais derrière lui.

Moi : Garde tes jambes bien serrées, je vais te prendre comme ça. 

Il ne répondait rien mais prenait la position. Je me lubrifiais généreusement, et avec une certaine violence je le pénétrais complètement. Il râlait …

Olivier : Vas y doucement, elle est grosse …
Moi : Pas tant que ça.
Olivier : Si elle est grosse et tu me fais mal …
Moi : Petite nature, tu veux déjà que je me retire ?
Olivier : ( d'une voix crispée ) Non vas y défonce moi le cul.

Je ne m'en privais pas. A chacun de mes mouvements, surtout au début, je le sentais se contracter et je l'entendais gémir. Son cul se resserrait. Je l'avais un peu brusqué et il se refermait, il était étroit. J'aime bien, je sentais son anus se refermer fortement autour de ma queue, c'était génial. Peut être moins pour lui, mais je dois vous avouer que je m'en moquais. Moi je prenais mon pied, j'avais passé plus de soixante jours sous clé et j'avais surtout envie de me faire plaisir. 

Je bandais ferme, je limais avec violence. J'appuyais bien mon ventre contre ses fesses, le tirais vers moi, il gémissait. Quand je me retirais c'était pas complètement. Je ralentissais le rythme, mes mouvements devenaient alors amples et lents. Par moment je me retirais, je ressortais ma bite de son cul, j'en profitais pour réajuster le préservatif et pour déposer une bonne dose de gel. 

Je lui donnais un baiser sur l'épaule, je sentais à sa respiration qu'il se détendait et sans prévenir j'enfonçais de nouveau ma queue sur toute sa longueur d'un  mouvement violent et rapide. Il se crispais à chaque fois entre mes bras. 

Je sentais mon plaisir venir, je sentais son souffle qui devenait plus fort. Je Gémissais, il gueulait. Je gueulais, il hurlait. J'avais joui, j'avais éjaculé. Il avait joui et éjaculé également, il pouvait éjaculer uniquement par une stimulation anale lui. Je me disais que j'y arriverais bien un jour si je continue à m'entraîner. 

Pendant quelques instants on ne bougeait plus. Il resserrait son anus et comme je débandais ma queue se faisait expulser, ressortait et retombait en pendant entre mes cuisses. Il se retournait, il avait débandé lui aussi. On passait sous la douche et c'est avec moins de fièvre en nous que je prenais ses mesures au repos. 

On ne se rhabillait toujours pas après la douche. J'avais pris ma sacoche dans ma voiture la veille au soir. Je lui montrais mon dispositif qui était dedans, le même que je porte sur les photos sur Twitter. Il le manipulait longuement, me posait plein de questions de détails, j'y répondais. Il était visiblement excité par l'idée d'en avoir un pareil.

Vers le milieux de l'après midi on décidait de sortir prendre l'air. 

Olivier me regardait avec un petit sourire vicieux.

Olivier : Tu ne reviens pas ici après ? 
Moi : Je ne sais pas, tu ne veux plus me voir ?
Olivier : Non c'est pas ça ! Il faut que tu rentre quand ?
Moi : Je peux rester jusqu'à demain soir.
Olivier : Tu veux bien me montrer ce que ça donne ? …

Il me tendait le dispositif avec un grand sourire idiot. Je pouffais de rire, prenais le dispositif, et lui montrait comment il fallait faire pour le mettre.

D'abord on passe un testicule en tirant bien sur la peau, on tire d'un côté on pousse de l'autre … Ceux qui vous diront qu'il faut y mettre des glaçons ou une douche froide disent n'importe quoi. Les couilles on tendance à se ratatiner qu contacte du froid et là c'est plus difficile à les glisser dans l'anneau. Au contraire quand elles pendouillent mollement, au chaud par exemple, c'est plus facile. On tire sur la peau et normalement ça passe tout seul ( ou presque ). Si le dispositif est bien ajusté, comme il convient, ça passe juste mais ça passe. Ceux qui vous disent qu'il faut le dispositif soit bien ajusté, surtout pas trop grand on raison ! Il ne faut pas qu'il soit trop petit non plus …

Oui je sais … L'organe est à géométrie variable aussi c'est un peu pénible pour déterminer la taille du dispositif !

Bon le mien est parfaitement ajusté, ni trop ni trop peu. J'avais les couilles pendantes aussi je parvenais sans difficultés à les passer dans le cock-ring. C'est seulement à l'étape suivante que les glaçons ou la douche froide peuvent se montrer utiles ( bon moi je n'y crois pas mais ... ) il parait que ça aide à débander. 

Je n'avais pas ce problème, j'avais déjà joui deux fois depuis mon réveil. Je glissait donc délicatement ma queue dans le cock-ring et je l'ajustais. 

Pour l'étape suivante il ne faut surtout pas bander, là on glisse sa queue dans le tube-cage. Mon dispositif est très aéré pour me permettre de décalotter sans le retirer. C'est indispensable pour l'hygiène si on désire le porter sur une longue période, surtout si on n'est pas circoncis ( c'est mon cas ). J'avais laissé ma clé et son cadenas sur la table.

Olivier : Je peux le refermer ?
Moi : Vas y mon bonhomme !

Il glissait le cadenas dans la petite fente au dessus du dispositif, j'étais verrouillé.

C'était une drôle de sensation. C'est un peu comme avec un gode, quand c'est moi qui me donne du plaisir mais quand c'est quelqu'un d'autre, la sensation est très différente. Quand on a le contrôle on sait ce qui se passe mais quand on n'a pas le contrôle tout devient subitement très différent.

C'était la première fois que ce n'était pas moi qui refermais le cadenas !

J'éprouvais une certaine angoisse ainsi qu'un certain plaisir.

Je me disais ( dans ma petite tête ) : '' J'ai comme l'impression que je jour ou je vais lui donner la clé et de fait le contrôle de ma queue ça va être très intéressant. J'ai presque hâte ! ''

On se promenait longuement, le soir on se faisait un petit restaurant asiatique. Il n'était pas tard quand Olivier ensuite me proposais une sortie en boite , musique à fond, danse, enfin quand je dis danse on a bien gigoté, on a bien remué. Comme on était venu en tramway on ne se privait pas de picoler ... Je sais j'ai honte mais je vous jure que je ne le referai plus ( lol ). Bref la veille on s'était couché à trois heures, là il était sept du matin. On peut dire '' du matin '' à sept heures ? J'étais épuisé, à peine un petit câlin et je m'endormais. Olivier s'était peut être déjà endormi avant moi, je ne sais même plus.

Il était dans mes bras au moment ou je me réveillais. Je ressentais cette douce étreinte autour de ma bite et je me souvenais que je n'avait pas retiré le dispositif avant de sortir la veille au soir.

Ça ne me dérangeait pas vraiment au bout de neuf semaines, pardon je voulais dire huit … C'est vrai que je ne compte que les semaines qui vont du Dimanche soir au Dimanche soir … 



03 FIN DU WEEK END



Olivier était blotti contre moi. Ce garçon semble aimer le contact physique, c'est pas désagréable surtout qu'il est très câlin.

Il n'avait pas ouvert les yeux que déjà je sentais sa main se promener sur mon corps, mon torse, mon ventre … Quand il arrivait à mon dispositif de chasteté je sentais ma queue qui manifestait à l'intérieur de sa cage. Il faut dire que si elle est habituée à être enfermée, elle  n'est pas habituée à se faire réveiller de cette manière. 

Je sentais aussi la queue d'Olivier qui se réveillait à son tour. L'enfoiré, il n'avait pas de cage à bite lui. Il me semblait évident qu'il allait en profiter. C'est ce que j'aurais fait à sa place. 

J'avais aussi envie d'en profiter. C'était la première que je me réveillais à côté d'un mec alors que je portais un dispositif de chasteté. J'avais envie de m'abandonner dans ses bras, de m'offrir à lui.

Il n'ouvrais toujours pas les yeux et redoublait ses caresses. Il gardait toujours une main sur mon dispositif de chasteté ou sur mes couilles. Ma bite se sentais à l'étroit dans sa cage, c'en était presque désagréable. Surtout juste en dessous des testicules, au niveau du cock-ring. J'étais obligé de réajuster l'ensemble plusieurs fois.

Olivier plongeait la tête sous la couette et je ressentais aussitôt les caresses de sa langue sur mes couilles. Je le laissais faire, elles pendaient sous l'effet de la douce chaleur du lit. Il en gobait une, je sursautais. Il gobait l'autre je tressaillais. Il gobait les deux je me contractais, ma bite protestait et des bourrelets de peau se formaient aux ouvertures d'aération tant la pression devenait forte.

Olivier remontait la tête en m'embrassant et en me mordillant doucement. J'étais sur le dos, les jambes écartées et les bras en croix, je m'abandonnais totalement à son plaisir, à ses désirs et au plaisir qu'il me donnait.

Il était lourdement allongé sur moi, on se donnait des baisers sur la bouche, je refermais mes bras sur lui. 

C'était une sensation inconnue que je ressentais, une frustration peut être. Ça se manifestait par ce qui ressemblait à une petite angoisse, là au niveau de mon cœur. J’oscillais entre un léger mal hêtre et l'extase. Sans m'en rendre compte je respirais fort, et ce n'était pas son cœur que je sentais battre si fort, c'était bien le mien. 

D'un mouvement vif je basculais Olivier sur le dos, je m'allongeais sur lui. Il ne résistait pas, il ne résistait pas non plus quand je le couvrais de baisers. 

Ma bouche parcourait tout son corps, mes mains lui massaient déjà les couilles et je le masturbais avec douceur. Mes lèvres arrivaient à son sexe et c'est sans aucune hésitation que je prenais sa queue dans ma bouche. Ma bite protestait, je ne m'en occupais pas. 

Ce n'était peut être pas de l'angoisse que je ressentais en fait, c'était de la frustration, une douce et délicieuse frustration. C'était nouveau pour moi et c'était peut être un peu normal car même si ce n'était pas le première fois que je portais mon dispositif, c'était la première fois que je faisais l'amour avec un mec en le portant ! Et en plus lui n'en portait pas !

Un court instant je me disais que je pourrais le garder jusqu'au soir et enchaîner sur une autre période, une longue période deux fois plus longue que la dernière. Seize semaine, si je compte du Dimanche soir à Dimanche soir, j'avais encore la possibilité de me lâcher dans la journée, de me faire sucer, de me faire branler, de défoncer le cul d'Olivier … A cette idée ma queue pressait de toutes ses forces contre les parois de ma cage … 

J'avais aussi la possibilité de me priver de ce plaisir …

Je suçais goulûment la queue d'Olivier, je lui suçais les couilles en tirant doucement dessus, il gémissait de plaisir puis je revenais à sa bite que j'avalais avec plaisir. Plaisir oui, pour moi c'était évident mais pour lui les gémissements qu'il poussait montraient que pour lui aussi. Il prenait son pied.

On roulait l'un sur l'autre. Je me retrouvais sur le dos, Olivier sur moi. On roulait encore Olivier sur le dos et moi sur lui. 

Olivier : Allonge toi sur le ventre.

Je m’exécutais. Je ne m'étais jamais senti autant passif qu'à cet instant. 

Olivier : Écarte les jambes.

Je commençais déjà à gémir de plaisir rien qu'à l'idée de ce qui allait se passer. J'espère que vous voyez de quoi je parle.

Il était chaud et je ne parle pas seulement de la chaleur de son corps. Je passais ma main, il bandait ferme. Il me lubrifiait l'anus, ça se précisait cette affaire. Il s'allongeait sur moi de tout son poids, je ne résistais pas. Je sentais la pression de sa bite contre mon cul. Là encore je ne résistais pas, j'en voulais.

Il poussait et mon anus s'ouvrait pour le laisser passer. C'était terriblement bon, j'ai adoré. Ensuite je le sentais s'enfoncer, me remplir. Je savais bien que sa queue n'était pas si petite que ça. Je la sentais bien, c'était vraiment bon. Je gémissais pour l'encourager, il poussait plus fort. Finalement je râlais de plaisir au moment ou il appuyait son ventre contre mes fesses, je me sentais bien.

Mon cœur battait fort, ma queue se contractait à chacun de ses battements. Elle protestait, elle voulait sortir. Je m'était déjà godé avec ce dispositif sur moi mais ce n'était pas la même chose. Ce n'était pas du tout la même chose. Là je ne contrôlais plus rien, c'était tellement mieux.

J'ai senti le plaisir monter en moi, j'ai senti le plaisir m'envahir tout le corps.  Je sentais la chaleur de son corps, son poids, ses muscles et ce va et vient dans mon cul … J'ai joui, à ce moment j'ai joui et cette jouissance a continué encore et encore.

J'avais l'impression d'éjaculer, de juter, de pisser peut être, je ne savais plus trop. J'ai tremblé de plaisir mais je n'ai rien lâché. Pas une goutte de sperme. Décidément il n'y a rien à faire je ne parviens pas à éjaculer quand je suis stimulé par le cul uniquement ! Mais c'est bon, vraiment bon malgré tout.

Je tremblais de plaisir quand j'ai senti son corps s'écrouler sur moi, son visage à côté du mien, son menton sur mon épaule, je sentais son souffle, il respirait fort. Et ce cœur qui battait si fort, si vite, ce n'était pas que le mien.

Il restait dans mon cul, on se calmait, il m'embrassait. 

Il se relevait et je sentais sa bite se retirer, là encore c'était bon. Je me sentais vidé, comblé, mais je sentais encore en moi sa présence. Il s’allongeait à côté de moi et me regardait, je lui souriais.

Olivier : C'était quelque chose !
Moi : Terrible !
Olivier : Tu as aimé ?
Moi : On recommence quand tu veux.
Olivier : Pas maintenant, là je peux pas !

Il avait complètement débandé. Je m'amusais à tripoter sa queue, il me laissait faire, en effet il avait totalement débandé. Ce n'était pas mon cas, je bandais encore, moins fort mais je bandais encore. Ma queue remplissait encore bien la cage à bite. Lui aussi il s'amusait à me tripoter ma bite en cage, il s'amusait aussi avec mes couilles.

Olivier : Tu me le fait quand le truc ?
Moi : Tu veux vraiment le même dispositif que moi ?
Olivier : Plus que jamais !
Moi : Moi j'aimerais bien te garder comme ça !
Olivier : Moi aussi je suis passif ! En fait je suis surtout passif !
Moi : Comme moi ! Mais on peut aussi être actif !
Olivier : C'était pour te faire plaisir !
Moi : Juste pour me faire plaisir, et bien tu as réussi !
Olivier : Cool.
Moi : On recommence quand tu veux … Pour me faire plaisir …

Il rigolait.

Olivier : Et toi quand tu m'as enculé, c'était pas pour me faire plaisir ?
Moi : Si, parfaitement, juste pour te faire plaisir !
Olivier : Tu as le sent du sacrifice.
Moi : Tu peux parler.

On rigolait, on se prenait dans les bras et on se faisait un gros câlin.

Olivier : Ça aussi c'est ton sens du sacrifice.

Je le repoussais en riant. Il se levait, me prenait la main et en me tirant vers lui …

Olivier : Allez on passe à la douche, tu vas te sacrifier pour me frotter le dos.

On était dans les sacrifices aussi il s'est sacrifié pour me faire visiter sa ville. J'avais gardé mon dispositif, en fait on n'avait même pas abordé le sujet, je l'avais gardé c'est tout. Il est vrai qu'après l'avoir gardé sur moi pendant huit semaines entières soit soixante trois jours j'avais l'habitude de le porter et l'excitation sexuelle retombée je n'y faisais plus attention. 

Mais bien plus tard dans la journée, Olivier m'en parlait.

Olivier : Tu comptes la durée des périodes ou tu portes en semaines complètes du Dimanche soir au Dimanche soir ?
Moi : Exact !
Olivier : On est presque Dimanche soir ! Tu penses entamer une autre période.
Moi : Je l'ai retiré vendredi soir, et je l'ai déjà depuis hier soir.
Olivier : Et alors ? 
Moi : Je n'aurais été libre qu'une journée entière …
Olivier : Oui mais c'était quelque chose. J'aimerais bien te suivre mais je n'ai pas de dispositif qui marche sur moi.
Moi : Tu n'as pas envie que je t'encule ?
Olivier : Si mais je ne voulais pas te demander autant de sacrifice …
Moi : Tu es un marrant toi !

On se regardait dans les yeux et j'y voyais un petit reflet un peu de malice, un peu de vice, je ne sais pas. Il m'a l'air d'un petit plaisantin cet Olivier.

Moi : Je me déciderai à la maison ! Il est tard et il faut vraiment que je rentre, surtout que j'ai beaucoup de route à faire.

Il m'invitais au restaurant, je ne pouvais pas lui refuser.

Moi : D'accord mais dans ce cas je ne pourrais pas t'enculer. Je prend la route juste en sortant du restaurant.
Olivier : On fait comme ça ! Et quand tu reviens tu m'apportes mon dispositif ?
Moi : Promis !
Olivier : Quand ?
Moi : Je ne sais pas moi, je te téléphone !
Olivier : Tu n'as pas mon numéro !
Moi : Non mais je sais que tu lis mes textes, on peut correspondre sur Twitter .
Olivier : C'est ce qu'on va faire mais on s'échange tout de même nos téléphones.

Il est sympa tout de même Olivier, il choisissait un bon restaurant, pour ce dernier soir du week-end.

Pendant tout le repas je ne pensais qu'à son cul, j'avais envie de le lui défoncer, de le limer longuement, de le faire couiner. Je savais qu'il ne demandait que ça. Je savais que si je le lui proposais il accepterait avec enthousiasme. 

En fait, il est comme moi … Passif ! Pour rendre service on est prêt à se sacrifier. Oui je sais j'exagère un peu en parlant de sacrifice mais c'est un peu ça tout de même. Lui comme moi on est mieux dans la position du type que se fait défoncer le cul. 

Pendant tout le repas, ma queue protestait, ces idées me faisaient bander. Ma queue poussait contre les parois de sa cage sans avoir aucune chance de s'en sortir. A ce moment de la soirée je ne savais pas encore si j'allais repartir pour une autre période de chasteté tout de suite. 

En règle générale quand je retire le dispositif j'en profite pour me donner du plaisir. Au début, les premiers jours, j'ai comme l'impression de me forcer pour me branler, il me faut un peu de temps de remise en route. Mais rapidement au bout de quelques jours je ne me force plus, ça redevient un besoin,  pas une envie. Un besoin que j'assouvis le matin, puis le matin et le soir et enfin … Matin , Midi et Soir … Et plus même.

Oui je sais je suis un branleur !

Mais j'ai honte … ! 

Bon ça va je déconne. En fait j'ai pas honte !

Je me branle donc souvent mais c'est pas pour rattraper le temps perdu, je suis toujours comme ça. C'est juste parce que je suis addict. La privation grâce à un objet mécanique me procure d'autres plaisirs, d'autres sensation. Et ce week-end j'en avais découvert d'autres sensations … 

De plus il m'avait bien chauffé les hormones Olivier et je savais qu'il m'avait fait gagné plus d'une semaine de remise en route. 

Ce soir de retour à la maison, quelque soit l'heure ou je vais arriver je vais me branler au moins deux fois, demain matin une fois. Je n'aurais pas le temps de remettre ça. Mais je remettrais ça le midi, l'après midi, en début de soirée et en milieux de soirée … Avec des godes dans le cul !

Je bandais encore plus fort en m'imaginant le lendemain. Je faisais mon emploi du temps pour les semaines à venir.

Par la suite je ne prémédite rien. Je ne me dis pas : '' Charly tu es un branleur, il faut que tu arrêtes un peu, que tu te calmes … Il est temps de te remettre en cage … '' . Non je ne me dis jamais ça !

Simplement au bout de quelques semaines j'éprouve le besoin de sentir cette étreinte sévère, dure mais douce autour de ma queue. 

J'aime me réveiller et sentir ma queue qui désespérément tente son érection matinale sans y parvenir. Je la contracte alors à l'intérieur de sa cage pendant de longs moments quand je me réveille. J'aime sentir ce manque, ce désir, ce besoin. 

J'aime sentir que ce manque n'est pas rempli, que ce besoin n'est pas satisfait.

Ces idées avaient envahi mon esprit au restaurant et continuaient dans la voiture sur la route du retour. 

J'aime sentir cette frustration, j'avais hâte d'arriver. J'avais hâte de me branler avec un gros gode dans le cul. Je me sentais fort, motivé, comme je me sent fort, motivé, le jour, l'instant, la seconde ou je referme mon dispositif pour une période que je n'est pas décidé au départ mais qui, quelquefois peut être longue. 

J'aime me lancer des défis, une durée de plus en plus longue. Je venais de faire une session de neuf semaines, je sais là je compte les jours, la prochaine fois il faudra que je garde le dispositif au moins douze semaines, treize même …

Ce serait bien ça, douze, huit plus la moitié de huit. C'est une bonne progression et ça doit être terriblement jouissif. Il faudra aussi que je me trouve un partenaire qui m'encule quand je porte un tel dispositif. Là encore je pensais à Olivier …

Il était tard quand j'arrivais chez moi. La fatigue à toujours le même effet sur mes érections, ça ne les calme pas. J'en ai fait l'expérience après des nuits blanches, plus jeune il m'arrivait de me branler trois ou quatre fois de suite, j'étais épuisé mais je bandais et je bandais encore. Et cette nuit là je savais que ça me le ferait. La pression de la cage contre ma queue ne disparaissait pas. 

Depuis le restaurant je bandais et je voulais avant tout cracher ma sauce. Juter, éjaculer. Et en garant la voiture je me disais : '' Demain je serai fatigué mais, ce soir je vais me vider les couilles comme jamais … ! ''.



04 DE RETOUR A LA MAISON



J'étais chaud cette nuit là quand j'arrivais à la maison, ma queue manifestait sans s'arrêter depuis plus de deux heures. Malgré tout je prenais le temps de rester calme, de laisser le désir monter dans tout mon corps. Je me déshabillais lentement, je rangeais mes affaire, je remplissais la baignoire, je prenais mon sac, celui que j'avais quand j'étais parti, je me glissais dans l'eau, elle était chaude, j'étais épuisé mais je vibrais de désir. 

Je glissais ma main dans mon sac, j'en ressortais ma clé … 

Mon cadenas y était encore accroché. Je le reconnaissais avec certitude, la clé avait une petite encoche, c'était bien ma clé et donc mon cadenas !

Il ne me fallait pas longtemps pour comprendre que ce farceur d'Olivier avait en fait refermé mon dispositif avec sa serrure. Voilà qui à l’avantage d'être clair, je sais maintenant je n'aurai aucun scrupule à l'enfermer quand j'aurai fait son dispositif. 

Sur le coup j'étais frustré, j'éprouvais un sentiment étrange entre la déception et la vexation. Et ce désir qui continuait à monter en moi. Ma queue occupait toute la place dans sa cage et ne semblait pas vouloir se calmer. 

Là j'avais vraiment envie de me branler !

Je restais calme et déjà j'imaginais le jour de ma vengeance, je vais le défier le petit Olivier et si c'est pas un guignol il relèvera le défis. Bon c'est vrai que c'est un guignol mais … Il relèvera le défis tout de même ! Il n'aura pas le choix ! Je ne savais pas comment j'allais procéder mais je me disais que je trouverais bien. 

En attendant, j'étais dans une baignoire avec une violente envie de me faire juter la queue, et aucun moyen d'y parvenir. Elle était enfermée dans une cage. Bon il me restais bien la possibilité de couper le dispositif mais là, il n'en était pas question, uniquement en dernier recours, uniquement en cas de question de vie ou de mort, de fin du monde ou d'invasion extra-terrestre … Bon on n'en était pas là tout de même.

Je me vengeais sur un gode.

Je me relevais dans ma baignoire, me savonnais vigoureusement le cul, j’attrapais ensuite un plug, un beau plug, j'en ai un qui fait plus de six centimètres de large et je me l'enfonçais sans ménagement dans le cul.

Sans ménagement oui, j'étais un peu en colère et surtout j'étais frustré, j'avais envie de me faire du bien.

Les six centimètres j'en fais pas le tour avec les doigts, c'est à peut près la taille du saucisson. Je l'ai senti passer, surtout qu'au moment ou ça résistait je forçais. Je faisais comme j'aurais fait avec le cul d'Olivier.

C'est vraiment un farceur Olivier !

J'appuyais bien sur le plug, il était bien calé. Je me laissais retomber mollement dans ma baignoire en serrant les fesses. La petite douleur que j'avais ressenti était déjà oubliée. A ce moment je me sentais bien rempli, sensation agréable. Je poussais contre le plug comme pour le faire ressortie de force mais j'étais assis dessus. Il poussait de l'intérieur contre mon cul, c'était bon. Il se déplaçait un peu et forçait mon cul à rester dilaté, c'était très bon. 

Je pensais à Olivier, il doit être en train de se branler Olivier. Moi je vous dis comme je le pense, Olivier c'est un branleur ! On  va lui faire passer cette habitude de se branler !

Je glissais une main sous mes fesses et j'appuyais fermement sur le plug, il reprenait sa place et me donnait beaucoup de plaisir en même temps. Je refermais mon anus sur lui et de la main je continuais à le faire bouger, ça me stimulait la prostate. Un vrai bonheur. Je continuais encore un long moment. 

L'idée me venait de me faire juter en me stimulant la prostate.  J'ai déjà essayé de me masturber alors que je porte ma cage, mais en règle général j'arrive à me faire mal. Le frottement fini par m’irriter la peau sous les couilles, l’irritation peut même durer plusieurs jours. Et en plus je n'arrive pas toujours à jouir, quelquefois ça marche. La dernière fois que j'ai essayé j'ai pas réussi à éjaculer et j'ai eu mal pendant huit jours … Je ne recommence plus ça moi maintenant !

Mais par la prostate, c'est tellement bon, je prends beaucoup de plaisir. Je n'arrive pas à me provoquer une éjaculation c'est tout, c'est bon, c'est terriblement bon mais ça reste un peu frustrant. 

J'appuyais de plus en plus vite sur le plug, il ne rentrait pas ni ne ressortait mais il pressait sur ma prostate à chaque fois que j'appuyais et le plaisir montait vite. Il montait fort, très fort. Je faisais une petite pause de temps en temps puis je reprenais. Dix fois j'ai bien cru que j'allais y arriver, dix fois j'étais sur le point de juter et de prendre encore plus de plaisir.

Un orgasme violent avec la bite et le cul en même temps. 

'' Ca doit être le pied, je veux prendre mon pied là maintenant … ! ''

Je m'acharnais comme un fou, je respirais fort, mon cœur battait vite, très vite. Je prenais un plaisir fou mais du côté de la queue … Rien !

Mon corps vibrait, tremblait, je jouissais, je jouissais pendant de longues minutes. Je ne savais pas combien de temps ça durait mais j'ai vraiment pris mon pied. Avec mon cul j'ai vraiment pris mon pied mais avec la bite … que dalle !
     
Je finissais par me laisser tomber dans l'eau qui était froide maintenant, je tremblais mais là ce n'était pas qu'à cause de l'orgasme. Enfin les orgasmes, quand on joui par le cul ça peut durer longtemps. J'aime particulièrement. Avec la queue ça ne dure que quelques secondes mais c'est bien aussi. 

C'est ce plaisir que je voulais ce soir là. Ce plaisir avait un peu disparu de mon esprit pendant toutes semaines d'abstinence mais ce week-end il était revenu à mon souvenir. Ça a du se passer au moment ou j'ai enculé Olivier. Quand je lui ai juté dans le cul. C'était bon de le sentir vibrer au moment ou je déchargeais dans son cul.

C'était bon, ça n'a pas duré bien longtemps mais c'était bon et c'est ça que je voulais ce soir, c'est ça que je n'aurais pas ce soir.

Je suis sûr qu'en ce moment Olivier doit se branler tranquillement.

Il était temps de sortir de la baignoire, il faisait froid et j'allais finir par me ratatiner. Je me séchais, j'étais retourné. J'avais quand même pris mon pied !

'' Tiens je vais lui écrire à Olivier '' .

J'allumais mon ordinateur, me branchais sur la messagerie et lui envoyais un message très court : '' Tu es un branleur !'' .

Quelques secondes plus tard je recevais la réponse : '' LOL ''

Moi : Tu m'as roulé 
Lui : On avait prévu que chacun verrouillerait l'autre !
Moi : Mais tu n'est pas verrouillé toi branleur 
Lui : Au fait ça avance … Tu as commencé mon truc ?
Moi : Tu es vraiment un branleur ! Je vais me coucher !
Lui : Enfile toi un plug, ça tient tout seul et ça devrait te soulager 

'' Et en plus il se moque de moi l'animal. Il va voir, quand je vais le verrouiller … ''

Finalement j'ai très bien dormi. Le lendemain au réveil je décidais d'un  challenge de treize semaines de chasteté. Ce n'était pas prévu mais comme je vous l'expliquais plus tôt, je fais ça à l'instinct.

Les jours qui suivaient je travaillais beaucoup et le dispositif destiné à Olivier prenait forme. Régulièrement je le contactais, je lui envoyais des photos, vérifiais avec lui les dimensions exactes. Je lui demandais ce qu'il en pensais.

Il portait de temps en temps un cock-ring, et me donnais ses impressions, sa taille, enfin des informations qui pouvaient m'aider. Pour la cage à pénis c'était pareil, il avait acheté plusieurs modèles, et à partir de ceux qu'il avait réussi à enfiler ( si j'ose dire ) on en tirait des conclusions et je faisais des corrections. 

Vous devez vous imaginer que mon dispositif je ne l'avais pas fait en une fois, je veux dire que je ne l'avais pas réussi à la première tentative. J'ai fait de nombreux essais et je commence à avoir de l'expérience. Le dispositif destiné à Olivier avançait rapidement. Le jeudi soir il était terminé. 

Je contactais Olivier et lui disais de ne pas se branler, ce serait peut être plus dure de l'enfiler mais ce serait plus intéressant. Il me répondait dans la seconde.

Olivier : Pas de problème, j'ai pas joui depuis hier soir, ça fera deux jours. Tu pense que c'est suffisant.
Moi : On fera avec ! Mais tu surveillais ta boite aux lettres ou quoi ?
Olivier : Non mais j'ai une alerte sur le bureau !
Moi : Ok, alors je peux venir avec mon dispositif.
Olivier : Pas de problème, au contraire … Au fait … Je bande !
Moi : C'est moi qui te fait cet effet ?
Olivier : Pas que ! Là je regarde les photos que tu m'as envoyé, le truc est sympa.
Moi : J'ai bien travaillé !
Olivier : Tout à fait, tu peux être fier de toi. Il n'est pas tout à fait comme le tien. 
Moi : C'est du travail artisanal, les dispositifs sont tous différents. Un petit peu différents mais ils sont tous réalisés sur le même modèle, de la même manière.
Olivier : J'ai hâte de l'essayer !
Moi : Et tu penses le porter combien de temps pour la première fois ?
Olivier : Je ne sais pas moi, une soirée !
Moi : Tu es vraiment un branleur. Une soirée ! Pfff ! Et c'est pour ça que j'ai sué sans et eau pendant une semaine, pendant des heures … Pfff !

Il n'osait pas répondre ou réfléchissait à ce qu'il allait me dire.

Moi : Branleur !
Olivier : Bon d'accord, tu me conseilles combien toi ?
Moi : Au moins le week end. C'est une minimum !
Olivier : Tout le week-end !
Moi : Bein oui ! Il faut savoir ce que tu veux !
Olivier: C'est que j'avais pensé que, comme tu serais là, que toi tu serais toujours enfermé pour le week end .. ;
Moi : C'est sympa ça ! Tu avais prévu de ne pas me libérer ce week-end …
Olivier : Bein … 
Moi : D'accord mais il y aura une condition …

Plusieurs minutes s'écoulaient avant qu'il me réponde.

Olivier : Laquelle ?
Moi : Parce que tu demandes de quelle condition il s'agit toi maintenant !
Olivier : Bein …
Moi : Tu es d'accord ou pas ?

Là encore il se passait plusieurs minutes.

Moi : Branleur !
Olivier : Bon c'est d'accord. 
Moi : Ah ! Tout de même ! J'aime les mecs qui savent prendre des décisions rapidement et qui savent ce qu'ils veulent.
Olivier : Mais tu me dis, c'est quoi la condition ?
Moi : A demain, bisous !

Je fermais la connexion.

Non mais vrai ça quoi ! Je ne vais pas me laisser faire comme il l'espérait.
Je me disais aussi que si je le punissais en lui faisant porter le dispositif de chasteté, je me punissais aussi. Puis je me disais qu'il y avait les godes, qu'il y aurait sa peau que je savais douce, que je le sentirais vibrer de plaisir au moment ou je le ferais jouir par mes caresses. Je le sentirais trembler sous les désirs qui lui seraient refusés et que je partagerais sa frustration. 

J'étais décidé à me lancer dans un nouveau challenge de treize semaines.

'' Je viens de passer plus de soixante jours, si j'en rajoute cinquante pour cent de plus … Pourquoi ne pas pousser à cent ? … J'arrondis à la semaine complète … Ca ne devrait pas faire loin de quinze tout ça !

Finalement je décidais de pousser à quinze semaines. J'accorderais un peu de temps à l'autre branleur pour le laisser s'habituer à sa nouvelle vie et le défis sera de me suivre pendant cette période . Ça va le faire réfléchir, ce petit branleur !

C'est avec ces idées en tête que je m'endormais. 

Souvent quand je commence une nouvelle période de chasteté il y a un cap à passer. La première semaine, bein oui, on pourrait se dire que le pire viendrait avec le temps. Pour certains peut être mais pour moi ce sont les premiers jours les plus dures. Je venais de passer plus de soixante jours non stop avec mon dispositif sur la bite aussi j'avais conclu que ça ne me poserais aucun problème. 

Mais j'avais joui, et pas que dans le cul d'Olivier. Mon corps avait remis le compteur à zéro. C'était donc une première semaine, et la fin de la première semaine n'est pas la plus facile. 

J'étais réveillé plusieurs fois dans la nuit, je me levais pour faire pipi, ça calme. Le lendemain matin ma bite forçait d'une manière très désagréable, l'anneau me tirait sur la peau, juste sous mes couilles. Bref c'était pas le pied !

J'avais l'habitude de me réveiller le matin avec une grosse pression, une très agréable pression dans la cage. Les couilles bien détendues. Ce vendredi matin ce  n'était pas le cas. Je réajustais et réajustais le dispositif mais ce n'est que plus d'une heure après m'être levé que je commençais à me sentir à mon aise.

'' Il faudrait ne jamais le retirer ce truc quand on le porte ! ''.

Je prenais mon petit déjeuner, réexaminais le nouveau dispositif, je prenais pour la centième fois les mesures, tout me semblait parfait. Par soucis du détail je ponçais encore quelques partie, avec du papier de verre très fin, du quatre cent ou du six cent.

On ne sentait aucune aspérité avec les doigts, je regardais bien dans les détails. Si jamais il y a un aspérité, même une toute petite, elle finit par provoquer un frottement qui au bout d'un certain temps devient une irritation qui se transforme en gène puis en douleur. La peau devient toute rouge à cet endroit et il faut retirer le dispositif, attendre que l'irritation disparaisse avant de pouvoir remettre le dispositif. 

C'est pas le but ! 

Le but c'est de verrouiller ce branleur d'Olivier qui a gardé la clé sans me le dire … 

Enfoiré, branleur, p'tit con ! Je dis ça mais c'est de l'affection ! Je vais me venger. Il va le garder une semaine pour la première fois. Une semaine c'est plus que ce que j'ai fais. Il est vrai que le dispositif de l'époque à du être modifié plusieurs fois. Avec mon expérience ça ne devrait pas être nécessaire sauf si les mesures sont fausses. 

C'est vrai qu'on n'a pas fait d'essayages.

J'espérais que le dispositif sera à la bonne taille. La taille était la seule chose qui me préoccupait. Pour le reste je savais comme l'objet devait être fait. Je savais que j'avais un peu de marge. Olivier était un peu plus petit que moi mais pas beaucoup, ça devait être bon. 

La journée n'avançais pas, quand je quittais mon boulot tout était prêt, je ne repassais pas par la maison je prenais la route, j'avais une bonne heure et demie de trajet. Dans sa cage ma bite manifestait, elle manifestait depuis le matin et j'avais envie de baiser Oliver, de lui défoncer le cul comme je l'avais fait une semaine plus tôt. Elle le savait ma bite ou on allait et elle voulait sa part de plaisir.

J'ai hésité pendant le voyage, '' Et si je retirais mon dispositif … Et si j'enculais Olivier … C'est un branleur mais il a bien aimé l'autre jour, il devrait être d'accord … Et si je laissais tomber ce projet de nouveau challenge de chasteté … ? ''.

J'arrivais chez Olivier, il m'attendait … 



05 PASSONS AUX CHOSES SERIEUSES



Il me faisait entrer avec un grand sourire. J'allais lui faire la bise, il m'embrassait sur la bouche.

Olivier : Ça c'est bien passé cette semaine ? Tu as terminé mon truc tu me disais ? Tu penses que ça va marcher, être de la bonne taille ? 
Moi : Il n'y a qu'un moyen de le savoir.
Olivier : Oui … Bien …

Je le regardais, il ne savait plus quoi dire.

Olivier : On procède comment ?
Moi : Tu hésites ?
Olivier : Certainement pas ! 

Il se gonflait le thorax pour se donner de l'importance, ou pour dissimuler une certaine fébrilité. 

Moi : Bien c'est très simple, tu baisses ton pantalon, tu mets ce truc, je le verrouille et on sort manger une pizza j'ai une faim de loup !

Il ne bronchait pas d'un poil, je lui tendais le dispositif, il le prenait dans sa main et l'examinait sous touts les angles. Il me donnait l'impression de vouloir gagner du temps. En fait il hésitait. 

Il me regardait, m'indiquait le canapé, il y avait des rafraîchissements sur la table du salon. Je m'installais, je me servais et continuais à le surveiller du coin de l’œil. Il venait vers moi, il respirait bien à fond et très lentement.

Olivier : On y va !

Il ouvrait son pantalon, le laissait tomber sur ses cheville. Pas de sous vêtements, il devait avoir un grand self contrôle. Dans une telle situation moi j'aurais bandé et je n'aurais eu aucune chance d'enfiler le dispositif. Lui avait une grosse demie molle qui pendait lourdement. 

Il procédait. D'abord une couille, puis l'autre. Ensuite il glissait sa queue, elle commençait à prendre du volume, il semblait se presser avant qu'il ne soit trop tard. Il attrapait ensuite la cage, tirait la peau de sa queue vers l'avant en appuyant sur le bout de sa queue pour la ratatiner autant que possible, il la glissait dans la cage, il était temps … Sa queue prenait de la place maintenant, la peau ainsi tirée vers l'avant reprenait sa place initiale et la queue rentrait doucement  à l'intérieur de la cage. Enfin quand je dis doucement, pas si doucement que ça. Elle prenait toute la place et il forçait pour pouvoir positionner la cage sur le cock-ring. 

Il respirait toujours avec force et lenteur, il était concentré. Avec les deux mains il maintenait le cock-ring et la cage en position.

Olivier : Bon je crois que c'est bon ! Je le retire et on va manger. Je le mettrais plus tard.
Moi : Un instant je voudrais voir quelque chose.

Il ne bougeait pas et gardait le dispositif bien refermé. Il bandais et le dispositif n'était pas verrouillé, s'il avait lâché c'était foutu. La cage était éjectée sous la pression de la queue et il n'y aurait aucune chance qu'il remette le dispositif juste après …

Je le verrouillais d'un geste rapide.

Moi : Voilà ! Pour moi c'est bon. On va manger. 

Il me regardait l'air bête.

Olivier : Mais je ne vais pas rester comme ça moi ?
Moi : Bein si ! 
Olivier : J'ai compris la condition c'était que je le porte ce week-end.
Moi : Pas tout à fait mais tu commences à comprendre.

On sortait, il n'avait pas de sous vêtements, remarquez moi non plus. Il avait l'air inquiet. Pour lui c'était la première fois et il ne savait pas comment ça allait se passer, il ne savait pas si ce serait douloureux, comme certains des dispositifs qui ne marchaient pas. Il se demandait si le dispositif lui laisserait une liberté de mouvement suffisante ou tout simplement s'il le supporterait.

En restant chez lui, il pouvait le retirer. Bon c'est moi qui avait les clés mais il pouvait toujours les réclamer. Là, à l'extérieur, dans la rue ou au restau il serait obligé de garder son truc jusqu'à notre retour.

Le dispositif semblait totalement au point. Rapidement il se détendait, quand on arrivait sur le seuil de son immeuble il marchait normalement, les premiers pas en sortant de son appartement il avait une démarche bizarre et ridicule. Mais rapidement il constatait que le dispositif ne le gênait pas du tout.

On descendait à la pizzeria de son quartier, ils ont un grand choix et elles sont très bonnes. 

On parlait de tout un tas de choses, on continuait à apprendre à nous connaître. Il se détendait et à plusieurs reprises il me glissait à l'oreille.

Olivier : C'est un truc de fou, on le sent tout le temps mais ça ne gêne pas les mouvements et en plus ça ne fait pas mal du tout. 

Je mangeais …

Olivier : C'est même agréable, il y a une douce et forte pression tout autour de ma queue …

Je continuais à manger …

Olivier : En fait, comme on peut se laver bien à fond, même si on n'est pas circoncis, on peut le garder tout le temps …

Elles sont super bonnes les pizzas ici …

Olivier : Il n'y a pas de limite dans le temps …

J'avalais une gorgée de vin italien …

Olivier : J'aurais presque envie de le garder en permanence.

Je m'essuyais bien la bouche et avant qu'il ne recommence à parler.

Moi : Un semaine complète, ensuite tu t'entraînes à le porter et pour finir tu m'accompagne dans mon prochain challenge !
Olivier : Ton prochain challenge ! Alors là pas de problème mec, je suis ton homme !

Il avalait une part de pizza. Me regardait et en se penchant vers moi il me glissait à l'oreille.

Olivier : J'ai la trique là, tu vas voir à la maison, je bande comme un fou dans ton truc, et là j'ai envie de te défoncer le cul … 
Moi : Et tu n'en feras rien !
Olivier : Et pourquoi ?
Moi : Mais tu as déjà oublié que tu portais un dispositif de chasteté ?
Olivier : Oui mais … Le challenge n'a pas commencé …
Moi : Bein si justement !

Il me regardait l'air incrédule.

Olivier : Crotte !
Moi : Crotte ? C'est tout ce que tu trouves à dire ?
Olivier : Je voulais dire merde mais on est à table aussi …
Moi : Et finalement tu l'as dit.
Olivier : Mais j'ai rien dit moi.
Moi : Si tu as dit merde et en plus on est à table.
Olivier : Tu fais chier là !
Moi : De mieux en mieux, on est à table !

On commandait un dessert.

Olivier : Tout le weed-end tu disais ?
Moi : Tu m'as mal compris. Tout le week-end et toute la semaine à venir !
Olivier : La vache ! Tu commences fort.
Moi : Dans quelques semaines tu me suivras dans mon prochain challenge. 
Olivier : C'était ça la condition ?
Moi : Exact !
Olivier : Et ton prochain challenge, il va durer combien de temps ?
Moi : C'est une surprise !

Là il n'avait plus l'air incrédule il avait juste l'air un peu con.

Il ne disait plus rien et on terminait le repas tranquillement. A chaque fois qu'il me regardait il avait un regard grave. Un peu  inquiet. On traînait ensuite sur les quais du fleuve, on prenait l'air.

Olivier : On rentre après.
Moi : Pourquoi ? Il est encore tôt !
Olivier : Oui mais j'ai un truc sur la queue là moi et …
Moi : Ah parce que moi j'ai rien sur la queue peut être. Et moi ça fait déjà une  semaines. J'ai eu ma queue libre pendant une journée en dix semaines …
Olivier : Bon d'accord, je ne dis plus rien mais …

On continuait la balade encore un long moment. Il avait envie de rentrer pour pouvoir examiner son dispositif mais je faisais traîner. Plus tard on s'arrêtait prendre un verre. Je sentais un agacement, il s'inquiétait, s’impatientait mais il gardait le sourire. Faisait bonne figure. 

On finissait enfin par revenir à son appartement. 

Olivier : Moi je me met à poil, je veux voir ce qui se passe. 

Je me servais un rafraîchissement sur la table du salon. Il revenait quelques instants plus tard, il était à poil. Je poussais un sifflement d'admiration.

Olivier : Ne te moques pas de moi. Tu m'as déjà vu à poil. 
Moi : Oui mais là tu n'es pas vraiment à poil. 
Olivier : Tu as vu ça .

Son dispositif se relevait devant lui, des bourrelets de peau qui faisaient comme des bulles ressortaient des trous d'aération destinés à l'hygiène. 

Moi : C'est douloureux ?
Olivier : Non pour le moment non.
Moi : Ça peut arriver au début …

Je lui donnais tout un tas de conseils.

Olivier : Oui je sais tout ça, j'ai lu tes histoires, j'ai lu plein de trucs sur les dispositifs de chasteté. Je pense que je sais à quoi m'attendre.
Moi : Alors heureux !

Il pouffait de rire.

Olivier : Et on fait quoi maintenant ?
Moi : Câlin.

Je lui prenais la main et le tirais vers moi. Il était à poil et sa peau était douce. Il y avait un peu comme de la tristesse dans ses yeux au moment ou je le prenais dans mes bras. 

Il m'embrassait avec passion et une extrême douceur. Il  me serrait aussi dans ses bras et rapidement commençait à me déshabiller. Je le laissais faire. 

Suivaient des baisers à chaque fois qu'il libérait une partie de ma peau. Baisers que je lui rendais. Des caresses douces sur tout le corps le mien et le sien. Une étreinte intense à la fois chaude, douce, ferme. Sa peau était douce et chaude et ses muscles étaient fermes.

Nos dispositifs se cognaient l'un contre l'autre, c'était la seule chose qui nous empêchait de nous toucher totalement. Je bandais ferme dans ma cage à bite. Je l'aurais bien enculé à cet instant, je ne pensais qu'à ça en fait. Je pense qu'il devait avoir la même envie, même si nous étions surtout passifs l'un comme l'autre. Ce soir là j'aurais joué les actifs avec plaisir.

On s'allongeait sur le lit, il ne disait plus rien et ses caresses devenaient de plus en plus … Sexe ! Pourtant le sexe, ce soir on ne le sortirait pas. Nos mains caressaient des fesses avec intensité, un doigt se glissait dans mon cul, j'en faisais de même, j'y rajoutais un deuxième doigt et je les agitais rapidement. Je tambourinais sur sa prostate. Il râlait de plaisir et se tordais, il était allongé sur le dos. Je lui écartais les cuisses et le léchais et l'embrassais partout ou ma langue et mes lèvres pouvait passer, la base de son sexe, ses couilles, dans les trous d'aération de son dispositif. Il me caressait les cheveux avec amour.

On échangeait ensuite les positions. Je sentais sa langue dans les recoins les plus intimes de mon corps. Tout comme moi il avait pris soin de bien se raser, c'est plus agréable … 

Dans mon cul le plaisir montait, il se répandait dans tout mon ventre. Olivier aussi gémissait de plaisir, j'étais pas le seul dans cet état. Le plaisir envahissait ensuite tout mon corps, je jouissais, il jutait et quelques goûtes de sperme giclaient de son dispositif. Moi pas une goûte, toujours rien mais j'avais joui tout comme lui.

Il avait bien éjaculé mais le jet s'était heurté à la cage et le sperme coulait par les ouvertures, seule une giclée avait réussi le passage par l'orifice qui sert à uriner. 

Il commençait à comprendre comment ça marchait ce truc.

Olivier : Bein dis donc ! C'était quelques chose !
Moi : Ouai !
Olivier : Mais on peut jouir alors, on peut prendre du plaisir alors.
Moi : Ouai !
Olivier : Tu n'as pas joui toi ?
Moi : Si …
Olivier : Mais tu n'as pas éjaculé ?
Moi : Je n'arrive pas à éjaculer si je ne suis stimulé que par la prostate. Pour ça il faut que je me stimule par la queue. Mais je te garantis que je peux jouir quand même.
Olivier : Il n'y a pas une heure je voulais le retirer mais là, ça va, je me sens bien, et le dispositif est agréable à porter.

On se lavait rapidement et on se couchait.

Cette sensation de bien être juste après avoir joui ne devait pas durer. Olivier se réveillait plusieurs fois dans la nuit, et me réveillait à chaque fois … A six heures du matin, il n'en pouvait plus, je lui conseillais d'aller pisser et de réajuster son dispositif. C'est vrai que ça calme.

A neuf heure du matin il était définitivement réveillé et moi aussi, je n'avais pas le choix. 

Olivier : C'est comme ça tous les matins ?
Moi : Au début seulement. Même si le dispositif est confortable ton corps le refuse, le combat. Il finira pas renoncer à la lutte et dans quelques jours, tu verras, ce sera un vêtement presque comme les autres.
Olivier : Tu es sûr ?
Moi : Oh oui ! Tu verras on ne peut plus s'en passer.
Olivier : dans combien de temps tu dis ?
Moi : Quelques temps … 



06 PREMIER VERROUILLAGE



Je savais déjà par expérience que les premiers matins étaient les plus dures, et en plus je prévoyais de faire durer une semaine complète la première partie de son entraînement. Il fallait le calmer.

Je prenais un gode dans son tiroir, le lubrifiais comme il faut. Je faisais signe  à Olivier de se retourner sur le ventre et doucement lui enfonçait le gode dans le cul. Il gémissait de plaisir, je m'amusais avec le gode que je poussais bien à fond et retirais presque complètement. 

Au début si ça résistait je lubrifiais un peu plus, par la suite si ça résistais je forçais.  Je faisais glisser le gode lentement, puis plus vite. Bien à fond, j'appuyais et lui imprimais un mouvement circulaire, à chaque mouvement il lui appuyait sur la prostate et les râles de plaisir d'Olivier m'annonçait que je touchais le bon endroit.

Suivait ensuite un long moment de mouvements lents et amples. En prenant bien le temps d'appuyer sur la prostate et, toujours, à chaque fois les gémissements d'Olivier. 

Je jouais du gode en l'enfonçant, le retirant puis l'enfonçant de nouveau. Toujours avec de lents mouvements bien amples. Là c'est l'anus que je stimulait. Une sorte de massage contre le muscle anal. Ça aussi c'est très agréable, en ce qui me concerne je pense que c'est ce que je préfère.

Le gode est plus large à son extrémité, il y a la forme du gland, ensuite il devient plus fin, pas beaucoup mais plus fin tout de même. En son milieux il est de nouveau plus large pour terminer plus fin à sa base. Quand il entre et ressort du cul il le dilate et le laisse se resserrer, même avec mouvement lent les sensations sont terrible. 

Le visage d'Olivier n'exprimait plus que du plaisir, il avait les yeux fermés, la bouche ouverte et de temps en temps un gémissement de plaisir se faisait entendre. 

J'accélérais, Olivier se redressait et gémissait plus for. Je ralentissais il se laissait retomber en avant, appuyé sur ses coudes. Il penchait la tête et la retenait entre ses mains. Il tremblait.

Je savais qu'il n'était pas loin de l'orgasme, le plaisir devait être intense. Ma queue prenait toute la place dont elle disposait et poussait contre les bords de sa cage. Elle devrait pourtant savoir depuis le temps que c'était sans espoir. J'étais frustré, concentré sur le seul plaisir de mon compagnon. 

Je lui caressais les couilles, elles formaient un boule bien ferme qui était comme attachée par le cock-ring en dessous et heurtait la cage de chasteté au dessus. Sa queue était aussi développée que la mienne. Il bandait, on ne voyait rien  mais il bandait. Avec la main je le sentais bien.

Il avait maintenant un souffle saccadé, rapide. Il poussait des gémissements qui ressemblaient à des plaintes, un peu comme s'il pleurait. Je sentais alors couler dans ma main son sperme. Il jutait, il jouissait et moi je l'enviais. Je mettais bien appliqué et j'avais réussi ce que je voulais faire.

J'aurais tellement aimé être à sa place.

Je continuais en retirant le gode de son cul puis en l'enfonçant de nouveau. Son cul résistait un peu plus et je forçais. Il râlait et me demandait d'arrêter.

Il se retournait sur le dos, le gode encore planté dans le cul. Je lui versais dans la bouche le sperme que j'avais retenu dans ma main, il avait éjaculé et son sperme était très épais. D'abord surpris, il voulait refuser puis il me faisait confiance et avalait, ensuite il me léchait la main.

Moi : Il ne faut rien laisser se perdre, c'est des protéines …

Il rigolait de mon commentaire. Je l'embrassais. Je vibrais au contact de sa peau quand je me penchais sur lui. A cet instant j'étais vraiment en manque. Sa peau me brûlait mais c'était tellement doux. Je restais un long moment allongé sur lui.

On échangeait des caresses de temps en temps. On ne bougeait presque pas. Je contractais et décontractais mon anus. La frustration était à son comble. J'avais vraiment envie de lui demander la clé, mais comment aurais-je pu lui demander de me libérer alors que lui resterait sous clé ?

Il était tard quand je me relevais, il ne bougeait plus. Je lui retirais le gode qui était resté en place, il poussait un cri de surprise.

Olivier : Ah oui, là je comprend mieux, je me disais aussi …

On s'installait dans le lit, chacun dans les bras de l'autre, je tirais la couette et je le laissais s'endormir dans mes bras. On pouvait enfin terminer la nuit.

Je n'ai pas vraiment bien dormi cette nui là mais lui oui. A chaque fois que je me réveillais, c'est à dire presque toutes les heures, je l'admirais un instant. Il était beau son sommeil, paisible, détendu. On le serait à moins ! C'était pas mon cas.

A chacun de mes réveils je devais ajuster mon dispositif. Ma queue ne se calmais pas. Je regardais le cul d'Olivier et je peux vous garantir que cette nuit là ne n'aurait pas fallu me pousser fort pour que je devienne actif. J'avais une violente envie de lui défoncer le cul. J'avais aussi une violente envie de me prendre sa queue dans le cul. Et si je le réveillais et et si je le libérais.

J'étais sûr qu'il serait d'accord mais c'était pas le programme. J'avais décidé de le frustrer pendant au moins une semaine. Je m'étais donné pour mission de l'initier à la chasteté contrainte, mécaniquement contrainte. J'avais aussi envie de voir jusqu’où il irait. Je voulais le suivre dans son aventure, mon aventure je l'avais vécu seul et je voulais partager mon expérience, aller plus loin.

'' J'avais dit combien de semaines, l'autre jour moi ? '' . Je ne me souvenais même plus. L'heure avançait et je ne dormais pas. '' Huit semaines c'est déjà beaucoup, si je réduisais … '' . On a souvent envie de tout arrêter, surtout que ce challenge n'était pas prévu . '' Moi je sais que je peux tenir des semaines, mais lui il découvre. Il va en baver ! Et puis c'est de sa faute si je me suis lancé dans ce challenge. '' . C'est vrai que au début je ne le voulais pas, je ne l'avais pas prévu.

'' J'ai passé une journée de liberté sur plus de soixante jours puis une nouvelle semaine, et encore une qui va venir … '' … Je finissais par me rendormir.

Au petit matin Olivier se réveillait et déjà il se plaignait.

Olivier : Ça fait mal ton truc !
Moi : Va pisser et réajuste le truc, c'est normal, c'est l'érection matinale.

Il revenait, toujours en râlant. 

Moi : C'est pas tous les jours facile, tu voulais découvrir, mais tu verras on fini par apprécier.
Olivier : Je ne sais pas si je vais apprécier un jour moi ?
Moi : Mais c'est ton premier matin. Et il y en a encore sept à venir pour ce qui est de la première partie, l'adaptation.
Olivier : Sept . Voilà qui m'encourage, tu ne peux pas savoir !

Je rigolais, il me regardait l'air méchant puis il rigolait avec moi.

Olivier : Je vais prendre une douche !

Je le laissais faire seul, il n'avait pas besoin de stimulations supplémentaires. Je prenais ma douche après lui. On se retrouvait dans la cuisine, il avait le visage grave et la cage de chasteté bien pleine. Sa queue occupait toute la place et tout comme la mienne devait pousser pour se libérer.

A la maison, seul, je me serais déjà calmé et je n'aurais plus qu'une grosse molle mais là à le voir, frustré, déjà en manque, je m'excitait tout seul. Par pur malice je restais à  poil toute la matinée. Il en faisait de même et aucun d'entre nous ne se calmais. 

Olivier : On fait quoi maintenant ?
Moi : Rien, on ne fait rien !
Olivier : Rien ! On va se faire chier !
Moi : Je voulais dire rien au niveau sexuel, pour le reste on peut faire ce que tu veux.
Olivier : Bon je fais une partie de console !
Moi : Tu veux toujours explorer le manque et la frustration ?
Olivier : Pour le moment c'est bien parti !
Moi : Alors je te propose une abstinence totale jusqu'à demain matin. Même pas de câlin. On reste à poil tant qu'on est à la maison mais on ne se touche pas, pas de gode, pas de plug … Rien …
Olivier : La vache ! … Rien … Ouai … Ça va pas être facile.
Moi : Frustration. Toi qui es un branleur tu vas voir.

On mangeait sur place, il jouait à la console, je somnolais, à chaque fois que je le regardais je pouvais constater que sa cage était bien remplie. Je me demandais s'il pourrait résister pendant une semaine. J'espérais qu'il n'allais pas découper le truc qui m'avait demandé des centaines d'heures à fabriquer. Bon des centaines, j'exagère un peu mais c'est juste pour dire quelque chose. 

En début d'après midi on décidait d'aller faire un tour. Olivier prenait soin de choisir un pantalon un peu large. Il avait un slip dans la main, me lançait un regard coquin et jetais son slip sur le lit. Il enfilait son pantalon sans sous vêtements. Moi j'avais un pantalon relativement moulant et pas de sous vêtement. Vous savez ces pantalon en Jeans élastiques qui moulent bien les fesses, et pas que les fesses.

Mon dispositif, tout comme celui d'Olivier à une forme légèrement anatomique et, à moins d'avoir l’œil, restait très discret. Olivier n'avait pas l'habitude de porter ce genre de truc, il jouait la prudence.

Juste avant de sortir il se retournait vers moi.

Olivier : Tu crois que c'est prudent de sortir sans sous vêtements ?
Moi : Tu ne risques pas de bander, si c'est ce que tu veux savoir !
Olivier : Ouai ! On ne voit rien ?
Moi : Tu peux sortir tranquille on ne devine rien sous ton pantalon ample.
Olivier : Dans ton cas on ne voit que ça !
Moi : Non ! C'est discret, si tu ne sais pas que je porte un dispositif de chasteté, tu n'y penses même pas. 

Je me regardais dans un miroir, c'est vrai qu'on voyait quelque chose mais on ne pouvait pas deviner ce que c'était, ça me mettait un peu en valeur c'est tout, je restais confiant. On sortait.

Promenade dans un parc, il y avait un monde fou. Olivier regardait les yeux des gens pour savoir si on n'était repéré. Personne ne montrait la moindre réaction. Il finissait pas se détendre et, peut être, à penser à autre chose … Mais là c'est pas sûr !

On s'arrêtait prendre un verre dans un bar. On discutait.

Olivier : C'est un truc de fou ton …
Moi : Tu y penses encore ?
Olivier : Pas toi ?
Moi : Bein non, je l'avais complètement oublié moi.
Olivier : Mais comment tu fais ?
Moi : L'habitude, tu verras. On fini par s'y faire et on ne peut plus s'en passer.
C'est douloureux ?
Olivier : Non plus maintenant, un peu au réveil mais maintenant ça va.
Moi : Toujours d'accord pour le défis de la première semaine.
Olivier : Plus que jamais ! 

Il me racontait ses impressions.

'' On est vraiment libre de tous ses mouvements … Là, maintenant c'est agréable cette pression tout autour de ma queue … Je ne le retire plus jamais … C'est clair … Oh j'aimerais bien me mettre un plug dans le cul … ''

Moi : Alors là stop, c'est la règle. Pour la première semaine que dalle.
Olivier : La première semaine ?
Moi : Bon demain on se fait plaisir puis …
Olivier : Demain on le retire ?
Moi : Non, il ne faut pas exagérer ! Pas avant vendredi soir prochain …
Olivier : On est samedi. 
Moi : Samedi ! Déjà, comme le temps passe.
Olivier : Tu te moques, mais moi je ne tiendrai jamais aussi longtemps.
Moi : Et il y a quelques instants tu ne voulais plus le retirer !
Olivier : Tu as raison, on fait comment alors ?
Moi : Demain on sort les jouets, et on se fait du bien. Ensuite tu ranges tes jouets et c'est l'abstinence totale jusqu'à vendredi soir. C'est pas compliqué ;

Le soir on se faisait un restau et une sortie en boite de nuit. Après le restau on était rentré à la maison. Olivier avait mis le même genre de pantalon que moi. Ça le mettait en valeur, on voyait bien ses couilles et la cage avec sa forme  discrète le mettait à son avantage un peu comme moi. Il y prenait goût  le branleur. 

Je le regardais danser, j'étais pas le seul. Le dispositif était parfaitement au point, parfaitement adapté, ajusté comme il fallait, discret mais pas invisible ( sous un pantalon moulant il ne faut pas rêver ) il y a toujours quelque chose de visible mais on n'a juste l'impression que le garçon est bien doté, sans plus. C'était pareil pour moi avec mon dispositif. 

On a traîné très tard. Olivier ne voulait pas rentrer, il avait un peu picolé et il s'appuyait sur mon épaule pour rentrer.

Olivier : Pas de câlin tu as dit. Et là j'ai le droit de m'appuyer sur toi ?

Il me donnait un baiser dans le cou.

Olivier : Non là j'ai pas le droit ! Excuse moi. Je le ferais plus !

Il me donnait encore un baiser dans le cou.

Finalement on s'endormait chacun dans les bras de l'autre. Quand il s'approchait de moi je sentais sa cage contre ma cuisse et je sentais encore plus fort ma cage qui écrasait ma bite. Je ne m'endormais pas tout de suite. Je réfléchissais à la suite que pourraient prendre ces événements.

Le lendemain au réveil c'était chaud. Olivier se tortillait dans tous les sens pour tenter de réajuster son dispositif.

Olivier : Et ce sera comme ça tous les matins ?
Moi : Non, tu verras. Moi le matin j'aime bien mes érections contrariées. 
Olivier : Érections contrariées, c'est dit avec élégance.
Moi : Oui, c'est tout à fait ça. La cage me compresse la bite, je la contracte et je la sens qui pousse contre les parois. Au bout d'un certain temps ça devient même agréable.

Il me regardait impressionné, il regardait aussi avec une grande attention ma queue dans sa cage. On pouvait deviner le mouvement de contraction que je faisais. Il y posait sa main.

Olivier : Oui je le sens, et ça ne te fait pas mal ?
Moi : Non . Au début un peu, ensuite de la gène et pour finir un certain confort, tu ne peux plus t'en passer.

Cette dernière journée de week-end on traînait encore un peu. On sortait faire une petite promenade de santé. Un petit footing pour bien commencer la journée. Il y avait du monde au parc, et la matinée était belle, un peu fraîche mais pas trop pour la saison.

Olivier échangeait ses impressions, moi mon expérience. 

Si j'avais su j'aurais gardé un plug dans le cul …
C'est bien le plug quand tu cours mais il faut être sûr de soi !
Comment ça ?
Imagine si tu as un besoin pressant, avec le massage qu'il te procure dans le cul ce besoin deviendra vite incontrôlable … Et si tu n'as pas de WC à proximité … Oulàlà !
Tu me conseilles des vêtements larges ou serrés .
Élastiques pour ne pas gêner le mouvement si tu les choisis moulants. Sinon c'est selon ton goût .


On terminait par un douche, un bon repas. Les gestes d'Olivier semblaient  plus lents que d'habitude. On se faisait un cinéma et la soirée arrivait rapidement.

Olivier : Alors la suite, ça se passe comment !
Moi : Bien ! Le défi que je te donne c'est une abstinence totale. Comme je tais dit … Aucune stimulation de la queue, des couilles, du cul. Pas de câlin avec personne, pas de contact sensuel avec personne …
Olivier : Dur, dur !
Moi : Tu crois que tu pourras tenir ?
Olivier : Mais tu me prends pour quoi ? Et c'est pour combien de temps ?
Moi : La semaine, juste la première semaine. Tu vas découvrir de nouvelles sensations.

L'heure de mon départ arrivait, on se faisait un câlin pour se dire au revoir ( oui je sais, un câlin, mais je ne suis pas non plus un fanatique ). Je prenais ma voiture. A la maison je rangeais les godes et les plugs en me disant que j'allais moi aussi suivre les consignes que je lui avais donné. Pourtant, pour moi ce n'étais pas la première semaine.



07 ON FAIT RELACHE



Tous les jours j'avais un courrier d'Olivier. Il me racontait ses journées et surtout ce qu'il ressentait dans son corps. S'il ne se moquait pas de moi, je me disais rapidement qu'il devrait parvenir à tenir son engagement.

Ses sensations, je les connaissais bien. Cette gêne qui est si proche de la douleur au moment du réveil. Ces érections régulières dans la journée, au début la panique et rapidement la sérénité de savoir que rien ne pourrait se voir.

Avec ce truc il était impossible de voir si le porteur avait une érection ou pas même sous des vêtements légers ou  moulant, même au travers d'un maillot de bain. Au pire on pouvait deviner un truc sans trop savoir de quoi il s'agissait, au mieux on pouvait se dire que le monsieur devait être bien doté.

Évidemment ce que je dis n'est valable que si on ne porte pas de vêtements transparents. Il y a des sous vêtements comme ça. Remarquez moi j'aime bien et si j'en portais je pense que je choisirais ces modèles.

Le dispositif était adapté, parfaitement adapté. En dehors de ces moments de grandes tensions Olivier me disait qu'il le supportait parfaitement et que même quelquefois il l'oubliait totalement. Oh ça ne durait pas longtemps mais régulièrement dans la journée il l'oubliait et la semaine n'était pas encore terminée. 

Le vendredi arrivait. 

Je n'avais même pas le temps de sonner qu'Olivier m'ouvrait. J'entrais, il me prenait dans ses bras et me faisait un gros câlin pour m'accueillir. 

Olivier : Maintenant on peut ?

Je l'embrassais tendrement. Le contact de ce corps fort et chaud était agréable. On ne voulait plus se lâcher. 

On n'avait prévu qu'il ne me parlerait pas du dispositif, en tout cas pas pour me demander si on l'ouvrait, quand … La encore il respectait ses promesses mais je devinais dans ses yeux comme une panique. Je lui avais laissé entendre que si il le supportait bien on pourrait peut être jouer les prolongations. Et je devinais ses pensées au moment ou il m'embrassait. 

Je déposais mes affaires dans un coin.

Moi : Ça va toi ? Ça s'est bien passé ?
Olivier : Super ! 
Moi : Alors tu as bien supporté le dispositif et l'abstinence ?
Olivier : … Oui ça va j'ai bien supporté.

Il avait marqué une hésitation. Allais-je lui ordonner de garder ce truc encore une semaine ou plus ? Allais-je jouer les prolongations. Je m'amusais du léger trouble qu'il ne parvenait pas à cacher.

Moi : Tu serais prêt à continuer l'expérience, en moins sévère ?
Olivier : C'est toi qui décide, moi je te suis !
Moi : Nous verrons !

On descendait à la pizzeria. C'est déjà devenu une habitude quand je viens voir Olivier. Dans un coin tranquille tout en mangeant il me racontait.

Olivier : C'est un truc de fou. J'ai une envie de baiser ou de me faire baiser tu ne peux pas imaginer …
Moi : Mais si, mais si, mai si !
Olivier : L'autre jour au boulot un de mes collègue a relevé ses manches et j'ai vu son avant bras, il avait un léger duvet de poil très fin. J'avais une violente envie de le lui caresser. 
Moi : C'était au début de la semaine ?
Olivier : Je ne me souviens plus. Un autre jour mon regard est tombé sur l'entre jambe d'un autre de mes collègues. Il avait une jolie bosse qui me semblait très prometteuse. Je bavais d'envie d'y toucher. Je l'aurais bien sucé celui-là. Maintenant à chaque fois que je le vois je jette un œil, je te jure ça donne envie.
Moi : Bien monté ?
Olivier : Oui il est sûrement bien monté. Un autre jour c'est un autre collègue qui à réajusté sa cravate, il avait ouvert les premiers boutons, j'ai vu son cou et le haut de son torse, il n'avait aucun poil. Sa peau devait être douce, j'avais envie de le prendre dans mes bras et de l'embrasser partout.

Je l'écoutais et j'ouvrais deux boutons de plus à ma chemise. Bon moi je ne suis pas imberbe mais je voyais ses yeux se fixer sur ma fourrure.

Moi : Tu aimes bien la fourrure aussi ?
Olivier : Y'aussi !

Il ne pouvait plus détourner le regard. Je l'avais bien allumé là le gars. Je me disais que là il était à  point !

Je me souvenais qu'il m'avait enfermé sans me prévenir, j'avais là ma vengeance. Il m'avait donné sa parole et si je lui demandais de garder le dispositif plus longtemps il le ferait sans même savoir pour combien de temps. 

Mais voilà, j'avais moi aussi passé une semaine de totale abstinence et j'avais moi aussi envie de lui sauter dessus, de le baiser comme un fou, de me prendre sa queue dans le cul comme une chienne. Ma queue me faisait presque mal dans sa cage. Je bandais depuis que je l'avais pris dans mes bras à mon arrivée, et là ça commençait à faire un peu mal, comme les premier jours au réveil.

De retour à la maison je le taquinais.

Assis sur le canapé j'ouvrais ma chemise et me caressais le torse, l'air de rien, comme ça, tout en discutant. Je voyais sa frustration dans ses yeux, il avalais sa salive. 

Olivier : On … a droit … aux … câlins maintenant … ?
Moi : Oui maintenant on y a droit !

Il baissait les yeux, contrôlait son souffle et sans prévenir me sautait dessus. Je savais le rattraper, on s'embrassait  avec passion, le manque se faisait sentir à chacun de nos baisers. Il ne fallait que quelques secondes pour qu'on se retrouve torse nue, et là ce n'était plus que caresses et baiser.

Il avait promis de ne pas aborder le sujet de la cage de chasteté en premier et moi je faisais traîner. Il savait et il l'avait accepté, ce serait moi et moi seul qui déciderait quand. 

Quelques minutes plus tard on se retrouvait à poil, sauf le petit truc bien sûr. Nos mains caressaient les couilles de l'autre, ses fesses, son dos, son torse … Enfin toutes les parties de son corps. 

C'est moi et moi seul qui prendrait la décision mais il gardait le droit de refuser de me libérer si lui ne l'était pas ! J'avais concédé ce point sans difficulté, par expérience j'avais plus d'expérience que lui. Il y avait toutefois le risque d'être tombé sur un passif tellement passif qu'il adopterait le dispositif de chasteté dès la première tentative.

On avait décidé qu'il pourrait refuser d'être libéré et comme s'il n'était pas libéré il pouvait refuser de me libérer … Ces deux points n'avaient pas été négociés le même jour et c'est seulement à cet instant que j'en comprenais les risques.

Je sortais la clé de ma poche, il me souriait, me prenait par la main et m'entraînait dans la chambre. Il sortait la clé d'un tiroir, je le libérais, il en faisait de même. Je savais par expérience que ce dispositif ne me gênait pas pour assurer une bonne hygiène et je constatais que pour lui c'était pareil. Au début, avant de se lancer dans de longues périodes sous clé, il faut absolument vérifier ce détail.

Il me repoussait sur le lit et plongeait sur moi. Il visait ma queue, il la prenait dans la bouche, je ne bandais pas encore vraiment dur mais rapidement ma queue prenait tout son volume dans sa bouche. Il suce bien le mec, il passait et repassait sa langue autour de mon gland, me masturbait avec vigueur. Je le retenais quand il allait trop vite, je ne voulais pas conclure trop rapidement. 

On échangeait les place et c'est lui qui se retrouvait allongé sur le dos, les bras en croix. Je lui caressais l'intérieur des cuisses, suçais sa queue en m'attardant sur son gland. Il ne cachait pas son plaisir, sans prévenir j'étirais ses couilles et les gobais toutes les deux en même temps. Je le sentais se contracter, il me laissait faire mais il lui fallait quelques instants pour se détendre complètement de nouveau.

On se retournait l'un sur l'autre et on se retournait encore. On se retrouvait finalement en position du tête à queue, chacun avait la queue de l'autre dans la bouche. Je faisais une pause.

Moi : Au fait Olivier, il y a une règle que j'aimerais rajouter.
Olivier : Je t'écoute ! 

Il continuait à me sucer.

Moi : Interdiction définitive de la masturbation. C'est une règle que je respecte déjà.

Il ne répondait pas et me suçait toujours, je gémissais de plaisir.

Moi : Je parle de la queue bien sûr. On peut se masturber le cul.

Il marquait une pause à son tour.
Olivier : Ça marche pour moi. Et si on n'a pas de partenaire pour se faire sucer comme on le fait là ?
Moi : On garde le dispositif.
Olivier : Wouah. Et quand on est comme en ce moment ?
Moi : On laisse faire l'autre. On ne se masturbe pas soi même.
Olivier : Pour moi c'est d'accord. Plus de p'tit branlette. 

En disant ça il me masturbait, moi je continuais à le sucer.

Olivier : Pourtant, une p'tit branlette c'est sur mesure, ça fait du bien.
Moi : Et puis ça dérange jamais les voisins.
Olivier : Retourne toi je vais t'enculer.

Je m'exécutais, à quatre patte, les jambes écartées, appuyé sur les coudes je le laissais faire. Il était  rapide, il avait du gel à porté de la main et quelques instants plus tard je sentais son gland qui poussait contre mon anus. Je ne résistais pas il forçais et c'est son ventre qui frappait contre mes fesses. Je fermais les yeux et poussais un long soupir. C'était bon. 

Sans plus attendre il se retirait totalement lubrifiait de nouveau et remettait ça avec plus de violence cette fois. Ça claquait fort. Je soupirais fort également. Je respirais de plus en plus fort, il se lâchait. 

De plus en plus vite il se retirait complètement de mon cul et y revenait bien à fond sans aucun ménagement. Le plaisir montait dans mon ventre, je le ressentait jusqu'à mon sexe. A l'intérieur de mon sexe, au niveau de mon urètre, j'avais l'impression que j'allais éjaculer, mais rien ne venait, toujours rien. Je tremblais, je frémissais de plaisir mais rien ne venait.

Mes gestes devenaient fous, je ne les contrôlais plus, je me cramponnais au draps, j'agitais les bras, mes jambes voulaient courir mais Olivier me retenait avec force et en profitait pour me défoncer le cul avec encore plus de violence. Je jouissais.

Il me repoussait en avant, je m'allongeais sur le ventre. Olivier s'écroulait sur moi. J'étais bien, j'ai apprécié de sentir son corps, sa chaleur, sa douceur, sa masse. Il ne bougeait plus mais ne débandait pas pour autant.

Nous restions là je ne sais pas combien de temps, il me donnait des baiser dans le cou, je ne bougeais plus. Je me sentais bien. Il était toujours en moi.

Au bout d'un long moment, Olivier se retirait, je me sentais bien ce dernier mouvement était agréable. Il se retirait totalement et sans prévenir revenait en force, bien à fond, écrasait son ventre contre mes fesses et continuait à pousser. Je râlais de surprise, c'était le pied.

Il reprenait alors ses mouvement de va et vient sans ménagement, il ne pensais qu'à son plaisir, c'était évident. A cet instant je n'était plus qu'un jouet. J'ai aimé me sentir sex-toy. Il me limait le cul  avec vigueur. Ma queue ne pressait plus contre sa cage pourtant elle prenait toute la place et la remplissait bien. Là je sentais bien la cage mais il n'y avait aucune gêne, je la sentais mais c'était avec une grande douceur.

Olivier n'est pas du genre à mollir rapidement quand il est en forme et là, il n'était pas seulement en forme il était surtout en manque, frustré et il avait comme du temps à rattraper. Il me limait, quand il s'enfonçait il se laissait tomber de tout son poids sur moi, je m'enfonçais dans le lit. 

Quand il se retirait je rebondissais. Il s'en amusait, moi pour la seconde fois je jouissais, plus fort peut être même que la première fois. Il lui a fallu peut être  une demie heure pour jouir de nouveau et éjaculer une seconde fois dans mon cul.

Il se laissait à nouveau retomber sur moi. Je me sentais tellement bien, je retournais la tête vers lui comme je pouvais, il en profitait pour m'embrasser sur la bouche. On partageait alors un instant de pure tendresse. 

Sa queue commençait à reprendre une taille plus modeste, il se retirait, on était en sueur. On reprenait notre souffle et on passait sous la douche, j'avais oublié que je n'avais pas ma cage de chasteté et je comprenais mieux pourquoi je ne le sentais plus mon dispositif. C'est une grosse molle qui pendait lourdement entre mes jambes. Il s'amusait à la tripoter en la lavant. Il parvenait à me faire bander mais le désir n'y était plus, j'avais pris mon pied, j'avais joui et mon corps s'en satisfaisait.

On se couchait, et on s'endormait rapidement. Cette première soirée de relâche pour Olivier avait été riche de plaisirs, pour lui c'est sûr mais pour moi aussi. J'ai bien dormi moi !



08 LE DEFI POUR OLIVIER


Le reste du week-end on se lâchait.

C'est moi qui le réveillait en l'enculant sans prévenir, sans lui avoir rien demandé. Il ouvrait les yeux en gémissant de plaisir, il tournait la tête dans ma direction et je pouvais voir un large sourire.

Olivier : Je vois que tu sais comment parler à un passif toi.
Moi : Tu as bien dormi ?

J'enfonçais ma queue bien à fond d'un mouvement rapide et il me répondait par un râle de plaisir, il se laissait tomber sur le ventre et me laissait faire.

Je lui limais le cul, comme il l'avait fait la veille au soir. Sont cul était serré, je sentais son muscle anal autour de ma queue, comme un anneau souple dans lequel je glissait. Ses fesses étaient fermes quand je les écrasais contre mon ventre. Il couinait le bestiau et ça me faisait plaisir. C'était la deuxième fois que j'utilisais ma bite pour autre chose que pisser en plus de soixante semaines … Pardon je voulais dire en plus de soixante jours, soixante dix même il me semble, et j'avais bien l'intention d'en profiter. On était samedi matin et si je respectais mon propre programme, le retour sous clé était prévu pour le lendemain soir. Pour Olivier comme pour moi !

Je le limais de toutes mes force, je me glissait dans son cul en me laissant tomber sur lui de tous mon poids, je terminais avec un coup de bassin puis je me relevais dans un même mouvement. Je ressortais presque complètement avant de revenir avec la même violence.

Rapidement je sentais le plaisir monter. Cette étrange petite sensation dans l'urètre peu avant d'éjaculer. Je retenais mes mouvement, respirait bien à fond et reprenais. Le plaisir montait alors plus doucement et je parvenais à retarder l'érection un peu plus encore. 

Un peu plus mais un peu moins à chaque fois. Au bout d'un moment le plaisir continuait à monter et là je sentais que je ne me retiendrais pas plus longtemps. Je burinais alors avec violence, il râlait de plaisir et je sentais tous ses muscles se contracter, il soufflait fort, j'avais l'impression qu'il jouissait et qu'il éjaculait lui aussi au moment ou je me libérais dans son cul.

J'ai pris mon pied comme jamais. C'est toujours ce que je dis dans ces cas là, donc il ne faut pas me croire quand je dis '' Comme jamais '' … 

Donc j'ai pris mon pied comme jamais et là je ne déconne pas, vous pouvez me croire. Je me laissais tomber sur Olivier qui m'offrait son corps comme coussin et me recevait sans rien faire avec plaisir ( pour lui aussi j'espère ).

On ne bougeait plus, ma queue était toujours dans son cul, je bandais toujours, je sentais toujours son anus, cet anneau élastique autour de ma bite. On se laissait aller et peu à peu je le couvrais de baiser sur les épaules, il me répondais, la tête posée sur une joue, par un large sourire.

Quand on se relevait c'était pour passer sous la douche, mais on y passait ensemble. Chacun caressait l'autre, chacun lavait les parties intimes de l'autre, chacun masturbait gentiment l'autre. On y prenait goût et on ne se lâchait que quand chacun avait fait éjaculé l'autre.

Pour moi c'est venu plus rapidement que quelques instants plus tôt, dans son cul. Là ça avait un peu traîné. Il jouissait en jutant abondement lui aussi. On terminait par un gros câlin sous la douche avant de se sécher l'un l'autre.

On restait à poil jusqu'au moment de sortir se promener, ce samedi matin on était vraiment à poil. Pour Olivier c'était nouveau, depuis une semaine. Pour moi aussi, ces dernières semaines ça ne m'étais pas arrivé bien souvent.

On passait le reste de la journée à une promenade au parc, dans la forêt, au centre commercial … J'avais choisi de ne pas mettre de sous vêtements. Je m'exprime mal, j'avais été un peu obligé de ne pas mettre de sous vêtements parce que tout simplement je n'en avais pas. D'habitude j'ai un sous vêtements, en PVC, fait maison refermé avec un cadenas mais là je l'avais retiré la veille. Pas de dispositif de chasteté pour ce week-end.

J'aime bien me promener comme ça, dans un pantalon large on a les couilles qui se balance et la queue qui cherche à les rattraper. Mais je portais un pantalon moulant donc rien ne bougeait.

Amusé, Olivier avait fait comme moi, il n'avait pas mis de sous vêtements non plus. Mais lui il avait un pantalon plus large et il l'a regretté. Ses couilles se baladaient sa queue tentait de les suivre et avec cette période d'une semaine passé sous clé, sa queue en profitait pour se faire remarquer. A plusieurs reprises il était un peu gêné alors que moi je rigolais. J'en profitais même pour le taquiner en lui donnant un baiser dans le cou.

De retour à la maison il mettait un sous vêtements, avant de sortir à la crêperie. Il faut changer de temps en temps, on va toujours à la pizzeria. 

On a baisé tout le week-end. Avant de sortir manger une crêpe on a baisé, après on est revenu à l'appartement pour baiser. On est ensuite allé au cinéma ou dans le noir, très discrètement on s'est peloté. On est ensuite revenu à l'appartement pour baiser puis on est sorti en boite de nuit.

Enfin juste avant de dormir … Bein oui vous avez deviné … On a baisé. Bon d'accord, on n'a pas éjaculé à chaque fois mais à chaque fois c'était plus qu'un gros câlin.

Le dimanche matin c'est lui qui me copiait en m'enculant pour me réveiller. Finalement je savais que c'était une bonne idée, et je vous jure que c'était le pied. Surtout que quand je dis '' on a baisé '' il faut bien se dire qu'il y en avait toujours un qui enculait l'autre. Enfin au moins un …

Le dimanche soir on s'était gavé de sexe. C'est le genre de gavage qui ne fait pas grossir je peux vous le garantir. Vous pouvez y aller les jeunes !

On était allongé sur son lit, nos dispositifs de chasteté n'avaient pas bougé depuis mon arrivé vendredi soir. Je prenais celui d'Olivier et le lui tendais. 

Olivier : Tu est sûr ?
Moi : Tu renonces ?

Pour seule réponse il enfilait son truc, il était détendu Olivier et sa queue ne résistait pas. J'en faisais de même. On se verrouillait en cœur puis on se faisait un gros câlin et c'est là qu'on a bandé, ensemble, sans même se concerter.

Olivier : Tu as vu ça ? Maintenant on bande. 
Moi : Il va falloir que je rentre.

On restait encore un moment  enlacé, aucun de nous ne voulait lâcher l'autre. Mais il le fallait bien, j'avais de la route à faire. 

Moi : Il faudra rallonger les périodes de chasteté !
Olivier : Beuheuheu !
Moi : Ça veut dire quoi ça ?
Olivier : Pfff, ppp, fff, Pfff !
Moi : Bon c'est pas grave ! Toujours décidé à me suivre ?
Olivier : Toujours ! 

J'allais enfin à la porte, il me rattrapais, me prenait dans ses bras et ne voulait plus me lâcher. Il faisait durer le plaisir. 

Quand j'arrivais enfin à la voiture, je me disais … '' C'était quelque chose ! Bon on va encore rester sur une semaine pour le moment ! ''

J'arrivais à la maison, j'étais un peu fatigué mais je me sentais bien. Je ne pensais plus qu'à Olivier. Et je préparais le programme, '' Encore une semaine, puis quatre et enfin je lui lance mon dernier challenge douze ! ''.

Je me demandais s'il tiendrait le coup au moment ou je m'endormais.

La semaine qui suivait on s'écrivait souvent, plusieurs fois par jour.

Olivier : Le plus dur pour moi c'est l'abstinence totale, pas de gode, de plug, de mec …
Moi : Non ça c'était uniquement pour la première semaine.
Olivier : Vrai, alors je peux me goder ou m'envoyer en l'air comme je veux ?
Moi : Comme tu veux bonhomme, une seule chose est interdite … Te stimuler la bite et les couilles pour te faire jouir. Pour le reste tu fais comme tu veux.
Olivier : Bon je te laisse je vais me garer un plug dans le cul. A plus, bisous.

Finalement ma première impression était la bonne, Olivier est un branleur.

Bon je dis ça mais ce que je ne vous dirais pas et que je n'avouerais même pas sous la torture c'est que, j'en ai fait autant !

La semaine passait rapidement, dès le vendredi matin je me préparais quand Olivier me téléphonait. 

Olivier : Salut, ça va toi ? J'ai un petit contre temps.
Moi : Oui moi ça va mais toi, qu'est-ce qui t'arrive ?
Olivier : Je viens d'apprendre que mon frère débarque ce week-end et va présenter sa fiancée à nos parents, je ne la connais pas, il m'a dit que ma présence était indispensable.
Moi : Tu pourrais en profiter pour me présenter moi aussi !
Olivier : Farceur ! 
Moi : C'est peut être un fiancé ! Hé,hé,hé !
Olivier : J'espère que  non !
Moi : Pourquoi ? Tu n'est pas homophobe j'espère ?
Olivier : Mais arrête donc de dire n'importe quoi. Mes parents sont au courant pour moi, mais ce que ma mère souhaite plus que tout, c'est de devenir grand mère, alors les deux enfants homosexuels, elle serait un peu contrariée, ça c'est sûr !
Moi : Et pour ce qui est de ton dispositif ?
Olivier : C'est un truc de fou mais je supporte bien. Les réveils ne sont plus douloureux, enfin un peu quelquefois. Mais ça va bien je me sens super bien.

On se quittait là. On passait donc à deux semaines. Ce n'était pas prévu mais comme tout allait bien. 

Le weed-end suivant, Olivier terminait donc sa seconde semaine avec la queue sous clé. j'arrivais chez lui. Il avait l'air détendu le bonhomme. 

Moi : Ta situation de passif enfermé te réussi.
Olivier : Oui pas trop mal, mais tu peux me croire cette libération je l'attends. Houla oui !
Moi : Et si je te disais que …

Olivier changeait de tête, c'est comme un angoisse qui passait dans ses yeux.

Olivier : C'est toi qui décide !

Deux minutes plus tard on était à poil sur son lit, les deux cages à bite posées sur la table de nuit. Sa queue était dans Ma bouche et la mienne dans sa bouche. On était occupé, concentré à donner du plaisir à l'autre.

Il respectait les règles, pas une fois il n'essayait de se tripoter la queue, c'est moi qui m'en chargeait. Lui il s'occupait de moi. Nos mains ne se privaient pas se promener sur le corps de l'autre comme pour ne pas l'oublier, ne pas pouvoir l'oublier, surtout les parties qui étaient le plus souvent sous clé depuis quelques temps.

Le cul lui serait toujours accessible mais ce n'était pas une raison pour le négliger. Il me glissait un doigt dedans et me massait la prostate. Je me contractais, il était rapide et me surprenait. Il n'avait pas prévenu, il n'avait pas frappé avant d'entrer. C'est seulement après qu'il frappait, sur ma prostate. Le plaisir montait rapidement, en quelques instants je tremblais de plaisir. 

J'avais l'impression de juter, d'éjaculer. Je sentais que ça allait venir, c'était bon. Je continuais à sucer la queue d'Olivier, il bandait ferme et était relevée contre son ventre, il appuyait sur ma tête. Il était plus violent que d'habitude, j'avais l'impression qu'il en profitais, il savait qu'il y retournerait.

Pour le moment il ne savait pas quand mais il savait que c'était prévu, que c'était d'ici peu et que ce serait plus long. Il ne savait pas combien de temps j'avais décidé, il savait seulement que c'est moi qui déciderais et que je ferais moi aussi ce challenge. Il ne savait pas quand le challenge allait commencer.

Il savait seulement que l'échéance était proche.

Sa queue entrait maintenant bien à fond dans ma gorge, je ne résistais pas ce qui ne l'empêchait pas d'appuyer de toutes ses forces sur ma tête. J'aime bien quand on me force un peu, quand on me bouscule un peu. J'y avais droit au point de me demander si Olivier était vraiment passif, ce soir là il était actif, très actif, viril, très viril. Je décidais de lui laisser carte blanche, de tout accepter de lui ce weed-end. Il serait le maître et je serais son sex-toy.

Il me glissait un troisième doigt dans le cul, il me dilatait bien. C'était bon, vraiment bon, même s'il me faisait un peu mal. Il se relevait l'air décidé, me tirait d'un côté puis de l'autre, je le laissais faire et me contentais de suivre. 

Il m'avait déjà bien lubrifié et sans rien dire, avec un visage décidé, il m'enfonçait sa queue jusqu'à la garde avec une grande violence, j'en frémissais de plaisir. Sans plus attendre il me burinait, me limait le cul, frappant fortement son ventre contre mes fesses.

Tout ce que je trouvais à faire c'était des petits râles de plaisir, des petits gémissements qui devenaient de plus en plus forts. Je prenais mon pied comme jamais. Oui je sais je l'ai déjà dit ça mais là je vous jure que là c'est pas des conneries.

J'étais sur mes genoux, le corps penché en avant, la tête entre les mains bien calée entre deux oreillers, le cul offert, bien offert. Il me tenait par les hanches et me tirait à lui avec force qu moment ou il avançait avec la même force son bassin et qu'il enfonçait sa queue dans mon cul.

De nouveau le plaisir envahissait tout mon ventre puis tout mon corps, comme souvent je sentais le plaisir envahir ma queue jusqu'à l'intérieur de mon urètre. Je jouissais, mais comme d'habitude rien ne jutais. Je ne prenais plus la peine de vérifier, je sais depuis longtemps par expérience que je ne jute jamais si je suis stimuler par le cul uniquement. Avec moi  ça ne marche pas ça !

Je m'effondrait sur moi même,le plaisir montait, montait encore. Olivier me tirait vers lui, me relevait et me serrait très fort contre lui. Les mouvements de son bassin ne faiblissaient pas et dans cette nouvelle position il fallait qu'il force et il forçait. Il me faisait un peu mal, je gémissais mais même si je trouvais la situation inconfortable je ne résistais pas. 

Olivier savait que bientôt pour lui ce serait la cage et n'écoutait pas au moment ou je lui demandait d'y aller plus doucement. Il n'entendait pas quand je lui disais qu'il me faisait mal. Il passait son bras autour de mon cou et me tordait le bras. La position dans laquelle j'étais rendais cette pénétration particulièrement douloureuse. Je voulais lui dire d'arrêter, il posait sa main sur ma bouche et redoublait de violence. Il me faisait vraiment mal à ce moment et je râlais.

Un incroyable plaisir m'envahissait, je je sentais ma queue juter, éjaculer dans un orgasme intense. Olivier ne faiblissait pas encore, il continuait à me buriner jusqu'au moment ou je l'entendait crier, il jouissait à son tour, il jouissait dans mon cul. En quelques mouvements de bassin supplémentaires, Olivier m'arrachait un cri de douleur et il ne bougeait plus. Rapidement il se retirait, je tremblais encore. Il m'avait fait mal le con, ça allait mieux, je passais ma main sur ma queue … J'avais éjaculé !

Je ne bandais plus après ça et je savais que ce soir là je ne lui rendrais pas la politesse. On s'effondrait l'un à côté de l'autre sur le lit. J'étais en sueur, lui aussi. On ne disait rien, plus rien.

Je ne pensais plus à rien, je prenais dans la main le dispositif de chasteté que j'avais fabriqué pour Olivier. Je suppose que j'allais lui parler de la suite, du challenge qui devait commencer le dimanche à venir, deux jours plus tard …

Encore un peu essoufflé il me le prenait des mains en me disant : '' D'accord ! ''.

Je ne réagissais pas vraiment à ce qu'il faisait mais en quelques secondes, il avait débandé, il avait passé le cock-ring puis il enfilait sa cage. Mécaniquement je le verrouillais puis je faisais comme lui. A cet instant je ne pensais vraiment plus à rien. On s'endormait.

Le lendemain, on était samedi. On se réveillait, Olivier me regardait.

Olivier : Ça y est, c'est commencé ?
Moi : Je n'avais prévu que demain soir mais il semblerait que tu étais pressé !
Olivier : C'est pas ce j'avais compris !

… 

Olivier : On l'enlève alors ?
Moi : Tu l'as fermé, on le garde fermé.
Olivier : Tu as toujours ta clé, tu peux me libérer.
Moi : Toi aussi tu peux me libérer !
Olivier : Toi d'abord !

Je lui demandais une enveloppe, j'y mettais mon adresse, j'y glissais la clé et un peu plus tard dans la matinée je postais l'enveloppe. Je me souviens de son regard à ce moment.

Olivier : On aurait pu s'amuser encore un moment ce week-end.
Moi : On aurait …
Olivier : Et le challenge il va durer combien de temps ?
Moi : Quinze semaines.
Olivier : Quinze ! Mais tu es fou, ton record c'est beaucoup moins !
Moi : Justement ! Mon record c'est plus de soixante jours, je l’incrémente de cinquante pour cent et j'arrondis au plus proche des cent jours. Quinze semaines ça fait cent cinq jours … Voilà comment j'ai calculé !
Olivier : La vache !
Moi : Tu me suis ?
Olivier : J'ai donné ma parole.

Et il a tenu parole. On s'est revu régulièrement. Pardon je voulais dire on se revoit régulièrement. Tout comme moi il est devenu un porteur régulier.

Je vous raconterai un jour certaines de nos aventures, de nos soirées … 


Pour le moment je n'ai pas prévu de suite à cette histoire mais sait-on jamais … Donc …

FIN ( peut être )

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

INDEX

                          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'...