Djé saison 4

Ep 40 : QUE DU BEAU MONDE A CE REPAS 



On revenait à l'entrée du nouvel ensemble, il y avait un monde fou, le secrétariat était en panique, les étudiants arrivaient, il fallait les inscrire, les orienter … Nous étions arrivé dans des bâtiments vides et c'est une ruche que nous laissions derrière nous ! Les bâtiments ne retrouveraient leur calme que dans trois mois, pour les premières vacances.

Un homme que je ne connaissais pas venait vers nous MLC m'appelait.

MLC : Venez donc là Djé que je vous présente votre nouveau directeur !

Je rejoignais l'avant du groupe, Bob suivait et rejoignait Luc, Antoine était toujours là.

MLC : Monsieur Lauteur, je vous présente nos deux champions Djé et son camarade Antoine, les deux derniers étudiants qui eux ne seront pas internes … Luc le jeune frère de Djé qui terminera son second sicle dans l'école secondaire locale et … ( se retournant vers Bob ) …
Luc : Bob Monsieur Le Conte, Bob un ami à moi !
MLC : Et Bob donc, un ami …

On finissait par laisser les invités de marque et on se retrouvait à la maison. Bob était passé chez lui il m'avait promis d'être là avant midi … Luc n'était plus fâché … Charles arrivait …

Charles : Changement de programme ! Monsieur Le Conte dînera chez Greg et vous êtes tous conviés … Ça veut dire qu'il est hors de question de refuser ! J'ai préparé un costume pour chacun d'entre vous ! 
Luc : Et Bob alors il était prévu qu'il vienne dîner …
Charles : Je me charge de ton ami Bob dès son arrivé !

Charles disparaissait le reste de la matinée. Vers midi moins le quart il réapparaissait et venait nous chercher … On se retrouvait tout les trois au garde à vous devant notre majordome qui s'assurait que nos tenues étaient parfaites, on descendait chez Greg.

La suite, on me l'a racontée …

Bob arrivait peu après … Stéphane lui ouvrait la porte et le toisant de haut ne disait que … '' Ah ! Oui ! Je vois ! … Charles je crois que c'est pour toi … Entrez jeune homme … On va s'occuper de vous … De toutes évidences vous en avez grand besoin ! ''. 

Bob avait envie de repartir en courant mais la porte était déjà refermée, il n'osait plus bouger. Charles Arrivait ( celui-là on le connaît ) …

Charles : Tu es Bob je suppose, viens avec moi et surtout ne t'inquiètes pas tout ira bien !

Bob avait les jambes qui commençaient à flancher, deux majordomes pour l'accueillir, c'était beaucoup ça pour lui …

Charles l'entraînait dans l'appartement du rez de chaussée .

Bob : Luc n'habite plus au deuxième ?
Charles : Bien sûr que si mais aujourd'hui c'est ici que ça se passe et on n'a pas beaucoup de temps …

D'un œil expert Charles devinait la taille de Bob, lui demandait de retirer ses vêtements, Bob n'osait ni poser de questions ni refuser il se retrouvait en slip devant  Charles qui lui donnait un costume complet …

Charles : Il y a un changement de programme suite à la présence de Mr Le Conte. Vous dînerez chez Greg, et on m'a chargé de te prendre en main … Tu étais invité et ici on n'a pas l'habitude d'annuler un invité !

Quelques instant plus tard Bob s'admirait dans un miroir … 

De notre coté Luc s'angoissait, c'est qu'il commençait à y tenir à son copain Bob … Aussi quand il arrivait en compagnie de Charles il courait pour l'accueillir. Bob paraissait visiblement déconcerté et la présence de Luc le rassurait. Évidemment Charles avait pris soin de les placer côte à côte à la table. Luc expliquait à son copain les changements depuis son retour, le majordome, Antoine qui logeait avec nous désormais … Bob m'avouera  plus tard qu'à cet instant il se demandait s'il n'était pas tombé dans la quatrième dimension !

On avait du beau monde et une grande table, le maire de la ville ainsi que le gouverneur du district étaient déjà là. Peu après c'est Justine qui arrivait à son tour, elle faisait le tour de la salle pour saluer tout le monde, elle faisait la bise à Mr Lauteur (…), à Greg , et à quelques autres personnes, parlait un moment avec Mr Le Conte puis venait vers moi, elle me faisait la bise et posant sa main sur l’épaule de Bob me disait …

Justine : Alors tu vas enfin me présenter ton petit frère ( elle ne l'avait jamais rencontré )
Moi : Alors lui, c'est Bob, c'est le petit copain de mon petit frère …

Vlan ! A ces mots Bob virait rouge comme une tomate.

Justine : Le petit copain de ton frère … Mais c'est toute la famille qui est coquine alors !

Je présentais mon frère et …

Moi : Je vous présente Justine, mon avocate .
Bob : ( Tout bas à l'intention de mon frère ) Il a une avocate en plus, j'y crois pas !
Justine : Au fait Djé, il faudra que je te vois, au sujet du procès en cours avec la presse …

Sans rien dire Bob paniquait. Il se disait, '' Un procès avec la presse … Mais je suis tombé ou moi ? …''. On passait à table ! Mon ancien directeur était là, il devait être contant il avait enfin rencontré Mr Le Conte et on l'avait placé juste à côté de lui à table ! Mathias aussi était là. Charles avaient regroupé les jeunes (nous) pour qu'on se sente plus à aise !

Ceux qui ne connaissaient pas Mr Le Conte étaient impressionnés par le personnage, il savait n'oublier personne dans la discussion. Mon ancien directeur était sous le charme, il avait souhaité cette rencontre, il était vraiment ravis … Il ne cachait pas sa stupéfaction quand il apprenait que Greg et Sophie étaient ses petits neveux il me jetais un regard … discrètement … Je confirmais d'un mouvement de la tête … Il apprenait aussitôt que Mathias était le cousin germain de Greg … Je lui glissais : '' Ça je ne l'ai appris qu'il y a deux jours …''. 

Bob qui était complètement perdu avait aussi son moment d'attention, avec beaucoup de tact MLC le faisait parler … Il était en fait très timide Bob mais MLC savait mettre les gens à leur aise s'il le désirait. On l’interrogeait sur ses projets, ses goûts, ses études. MLC l'encourageait avec quelques compliments sur son travail … Bob se penchait ensuite vers moi.

Bob : Il me fait un compliment, mais comment peut-il savoir ce que je fais, il m'a vu pour la première fois il n'y a que quelques heures … 
Moi : C'est un personnage étonnant, la première fois que nous l'avons vu Antoine et moi, la rencontre n'était pas prévue mais il aurait pu nous raconter notre vie … Je ne serais pas étonné qu'il puisse déjà en faire autant pour toi ! Tu n'as rien à te reprocher j'espère ?
Bob : Non, mais tu crois qu'il sait que je suis gay ?
Moi : Je ne le crois pas ... J'en suis sûr !

Et hop … bob redevenait à nouveau tout rouge … Décidément ce garçon est très haut en couleur !

Le repas durait … Vers le milieu de l'après midi on se retirait ( On, je veux dire nous les jeunes ) et on laissait les officiels discuter entre eux. Bob retrouvait ses vêtements soigneusement pliés dans notre appartement … 

Justine venait me rejoindre un peu plus tard …

Justine : Il faut que je te parles Djé. C'est important … Tu te souviens de la compétition inter universitaire ? La presse, la télé t'avaient largement calomnié … 
Moi : Comment oublier ça ?
Justine : On n'en est pas resté là et je viens de négocier un dédommagement D'un montant non négligeable !
Moi : Alors là  tu m’intéresses !
Justine : Tu veux que je te le dise ? 
Moi : Mais tu attends quoi ?
Justine : Deux cent mille DI ( Dollars Internationaux ) 
Moi : La vache ! C'est une somme !
Justine : La somme te sera versée dans ces prochains jours … Attention, c'est net d’impôts !

Elle me faisait signer quelques documents. J'étais sonné, j'étais riche (enfin j'avais du fric), si j'avais eu des problèmes de budget, ils auraient été réglés pour un long moment. J'invitais toute mon équipe au resto ! Charles ne venait pas, il en profitait pour prendre sa soirée . On ne rentrait pas trop tard le lendemain il y avait école pour tout le monde ! Une véritable inauguration avait été programmée pour le milieu de la deuxième semaine en présence de tous les étudiants et enseignants. Le soir la Rolls était repartie et Mr Le Conte avait promis de revenir ! 

Les premiers jours, les étudiants ne portaient pas tous le dispositif … Un d'entre eux, Germain, nouveau dans la région … Il entrait en troisième année et la promesse d’excellence que la nouvelle école garantissait l'avait décidé à postuler. Ma réputation y était pour quelque chose ! Il était à un haut niveau en sport, et dans les matières plus intello, un des meilleurs de sa fac …

Germain : Tu sais Djé, c'est un peu à cause de toi si j'ai postulé ici !
Moi : Tu m'as vu à la télé ?
Germain : Tu était vraiment bon le jour de la compétition …
Moi : On leur à mis la pâtée !
Germain : Il y a un truc qui m'inquiète, je sais pas si je peux t'en parler ?
Moi : Vas y, je t'écoute, j'ai l'habitude tu sais !
Germain : Ça fait pas mal ce truc, tu es sûr ?
Moi ! J'en porte un depuis quelque temps et je te confirme que ça peut aller ! Au début il faut s'adapter ensuite on s'y fait. Le plus dur c'est que tu ne peux plus te branler, pour certains c'est pas facile mais physiquement ça ne pause pas de vrai problème. J'en ai pas vu qui ont eu de vrais problèmes …

Suivait une discussion ou je lui faisait profiter de mon expérience ! Les autres étudiants de son groupe étaient tous équipés …

Moi : Pourquoi tu n'as toujours pas ton truc ?
Germain : C'est un problème de taille !
Moi : De taille ?
Germain : Je suis bien doté !

… 

Germain : Tu veux voir ?
Moi : Oui pourquoi pas !

On se retrouvait dans une des chambre du second bloc dortoir, au dernier étage les chambres sont toutes vides et les serrures toujours pas réparées … Ma cage était déjà sous pression. Pour me montrer sa bite il se mettait torse nue … Ça me faisait rire, ensuite il baissait son pantalon, là je ne riais plus … C'était du lourd …

Sans même m'en rendre compte, je me mettais à genoux et direct commençait à le sucer, il ne bandait pas, je prenait sa queue dans ma bouche et j’aspirais pour qu'elle rentre, un peut comme avec une nouille mais là c'était une grosse nouille et quand il commençait à bander j'avais du mal à la garder dans la bouche … Il ne tardait pas à bander ferme et dur ! 

Il me prenait par les bras pour me relever et pendant que son pantalon tombait sur le sol m'embrassait sur la bouche …

Germain : Je voudrais bien en profiter un peu avant de …
Moi : Si je peux t'aider !

Il me retirait mes vêtements, mon pantalon se retrouvait sur mes chevilles j'étais nu. Eh oui, j'aime bien voyager léger … Il me caressait le torse en descendant rapidement sa main vers ma cage … Il voulait voir comment c'était. Il me caressait les couilles, il avait l'air impressionné … Il était impressionné et très excité il bandait a mort ! La pression restait douce, mon nouveau modèle restait confortable, c'était terrible, presque désespérant, c'était sans espoir mais terriblement stimulant !

Sa peau était douce, il était chaud, on se tenait serré l'un contre l'autre. Je l'embrassait partout, il en faisait de même, il se mettait à genoux devant moi, il ne pouvait pas me sucer la bite, il en profitait pour me gober les couilles, il regardait comment ça se passait, comment je réagissais … Il se relevait et me disait … 

Germain : Je vais te prendre, c'est du lourd tu as vu, ça ne te fais pas peur ?
Moi : Vas y doucement !

Je me retournais, me penchais en avant. Je sentais sa queue qui se positionnait juste sur mon anus, je sentais une pression, je me détendais, il entrais. Mon anus se dilatait, c'était fort, il fallait avoir une certaine habitude pour encaisser un truc pareil … Heureusement … Rapidement il arrivait au fond, je sentais son bas ventre frapper contre mes fesses … C'était bon, sans m'en rendre compte je gémissait de plaisir, je sentais son souffle dans mon oreille, je sentais son menton sur mon épaule. Il me tenait serré contre lui. Je glissait une main sur sa fesse et le tirais vers moi à chaque coup qu'il me portait … Je finissais par avoir l'impression d'éjaculer à chacun de ses mouvements.

Je gueulais, il râlait . Je gémissais,  il grognait … Les coups devenaient plus violents, plus rapides, un dernier mouvement de son bassin, il restait planté sans bouger. Il exerçait juste une pression de toutes ses forces puis une autre et enfin une troisième je voulais hurler, j'étais muet ! Tout mon ventre vibrait, se contractait, j'avais le souffle coupé. J'avais joui, pas une goutte de sperme mais j'avais joui !

Je me disais … '' Dommage qu'on le mette en cage celui là … ! ''. Il se laissait tomber sur moi et reprenait son souffle … 

La douche était branchée et on en profitait …

Germain : C'était pas la première fois toi ?
Moi : Non ! Et toi tu avais déjà fait ça avec un mec ?
Germain : La dernière fois j'étais à ta place !
Moi : Tu aimes aussi ?
Germain : Ouai ! J'aime aussi mais les mecs que je rencontre, quand ils voient le matos, soit ils ont peur, soit ils en veulent !
Moi : Et les filles ?
Germain : Ce sont de petites nature, j'en ai rencontré qui avaient peur quand elles voyaient la chose … Pourtant … 
Moi : Eh oui … Pourtant ... Tu l'aura quand ta cage ?
Germain : On m'a dit demain. On m'a parler d'un nouveau modèle qui serait imprimé, j'ai rien compris, il n'y avait plus de modèle à ma taille !
Moi : CTC ?
Germain : Ça me dit quelque chose, c'est bien comme modèle ?
Moi : Si c'est ça, je porte le prototype, c'est super confortable !

On redescendait tout en discutant … 

Moi : Alors tu es prêt à renoncer à ça ?
Germain : Tu peux me croire moi, je ne jouerai pas les prolongations pendant les vacances !
Moi : Fait gaffe, parfois on y prend goût ! C'est addictif ce truc !

Le premier week-end arrivait vite et le dimanche matin, Luc venait me rejoindre dans la cuisine …

Luc : Ça te dérange si le dimanche on est quatre au petit déjeuner ?
Moi : Bob ?
Luc : Oui, Bob …
Moi : Il est là ?
Luc : Oui, il est là ! Ça ne te dérange pas dis ?
Moi : Tu as l'air d'y tenir à Bob ?
Luc : Oui je crois que je suis accro !
Moi : Et bien, s'il fait partie de la famille alors … 

Luc me répondait avec un grand sourire … 

Dans les jours qui suivaient on retrouvait vite nos habitudes, Charles nous réveillait assez tôt, on partait faire un peu d'entraînement puis, quand on rentrait, un petit déjeuner copieux nous attendait. Au début Luc avait du mal à nous suivre et à plusieurs reprises on essayait de le perdre, mais il retrouvait toujours son chemin et revenait en râlant contre nous … Le lundi, le mercredi et le vendredi on, enfin quand je dis on … , je voulais dire Charles préparait un repas pour douze à quinze invités. Bob s'y retrouvait souvent et il perdait rapidement cette habitude de changer de couleur quand je le taquinais … 
Charles se réservait les autres soirées pour lui … Il avait une occupation importante il disait … Je l'ai vue son occupation importante, et elle était sexy son occupation importante … Le prof de littérature qui était arrivé à la fin de l'année précédente … 

Tous les matins après le petit déjeuner on passait prendre Mathias qui habitait toujours en face et on partais tous les quatre pour la fac, le collège de Luc était pas loin et les horaires correspondaient.

Il ne me décevait pas mon petit frère, si au début il profitait de ma popularité, très rapidement  il devenait populaire grâce à ses propres qualités. Ses profs, son directeur, tout le monde me disait qu'il était adorable ! Rapidement il était le plus populaire de son collège et quand ses camarades apprenaient que j'étais son grand frère ils étaient tous intimidés … Pas autant que Bob la première fois évidemment !



Ep 41 : AVEC JESSY JE CRAQUE



Les deux premières semaines avaient passé très vite … Rien ne troublait la tranquillité de l'appartement … La semaine était réservée au travail et le week-ent  tout le monde faisait relâche. On était au moins cinq au petit déjeuner … Romain dormait avec Antoine et Luc n'imaginait pas passer un week-end sans Bob … J'étais encore le seul à rester raisonnable et je passais de nouveau une période de totale chasteté … De nouveau les godes restaient dans leur tiroir … J'avais la tête en feu, le cul aussi mais ça c'était normal, je retrouvais cette lucidité qui m'avait tellement stimulé quelques semaines plus tôt . 

Un jeudi je recevais un message de Justine, elle m'invitait à souper le samedi qui venait. Je n'hésitais à accepter et le soir venu je me faisais tout beau pour me présenter chez elle un bouquet de fleurs à la main.

C'est Jessy qui m'ouvrait …

Moi : Jessy, je ne savais pas que tu serais là !
Jessy : J'espère que tu n'est pas déçu !
Moi : Au contraire … Je suis absolument ravis de te revoir !
Jessy : Oh des fleurs ! Mais il ne fallait pas ! Ça me va droit au cœur !
Moi : C'est pas pour toi bourrique, c'est pour ta mère !
Jessy : Bourrique maintenant … Oui je vois en effet que je t'ai manqué !

On s'embrassait, je veux dire on se faisait l’accolade d'abord … Ensuite on s'embrassait … Justine arrivait …

Justine : Comme ils sont mignons ces deux là … Un jour il faudra penser à les marier …
Jessy : Mais tu es folle maman, je vais pas épouser une tafiole …
Moi : Tafiole maintenant …
Jessy : C'est pour le '' Bourrique '' !
Moi : Pfff … Justine, je t'ai apporté des fleurs … Tu pourrais dire à ton fils qu'il me fatigue ?

J'embrassais Justine, on passait au salon … Jessy nous servait un rafraîchissement puis on bavardait … Je lui racontait mon dernier séjour au château … 

Moi : Tu n'est jamais allé au château ?
Jes : Non jamais, on m'en a souvent parlé mais …
Moi : Tu devrais y passer, c'est un endroit génial !
Jes : Oui et il faut porter le genre de truc que tu portes toi … Tu as du te défouler toi, pendant tes vacances …
Moi : En fait je ne l'ai pas retiré cet été … Ça ne s'est pas passé comme prévu …

Je lui racontait le stage d'Antoine, le travail qu'on avait réalisé tous les deux …

Jes : On m'a parlé de ce nouveau modèle, ma mère me dit qu'il a beaucoup de succès … Il est parait-il très confortable et très sécurisé …
Moi : Mais pourquoi tu ne l'essayes pas ?
Justine : Ton ami a raison … Tu devrais essayer, tu sais il y en a beaucoup qui disait non et qui maintenant ne peuvent plus s'en passer … Vois notre amis Djé par exemple …


Finalement on passait à table … Justine me disait rapidement qu'il fallait qu'elle me voit avec mon ami Antoine, je lui proposais de passer Lundi soir … C'était réglé, Jessy viendrait lui aussi …

Je n'étais pas déçu par le repas, on mangeait aussi bien qu'au château … C'est tout dire. 

Justine : Tu sais donc Djé, le nouveau modèle que vous avez dessiné toi et Antoine a beaucoup de succès … Il devrait devenir le modèle de référence … Il est fabriqué en série dans toutes les tailles et on en vent vraiment beaucoup …
Moi : C'est pour cela que tu veux nous voir ?
Jessy : Tu va être riche mon bonhomme, tu vas être riche !
Justine : Jessy, s'il te plaît ! On va en effet parler d'argent et je pense que vous n'allez pas le regretter, ni l'un  ni l'autre !
Moi : Mais tu sais Justine, tu passes me voir quand tu veux ! La dernière fois déjà, j'avais beaucoup apprécié … Deux cent mille DI, c'était déjà bien !
Justine : Ne t'attends pas à une somme aussi élevée cette fois ci, en tout cas pour commencer !

Le repas terminé, Jessy me proposait de faire une petite sortie. Je l’entraînais dans mon bar habituel, là je retrouvais mon équipe sportive, nous étions ( moi surtout ) accueillis par des acclamations …  Julien venait vers moi, il était toujours avec William .

Jul : Et bien te voilà toi, mais on ne te vois plus, tu nous délaisse !

C'est vrai que je sortais bien moins souvent que dans le passé … Je recevais souvent, très souvent mais je sortais moins et justement Julien et son copain faisaient partie des habitués …

Moi : Tu est bien placé pour te plaindre toi alors que tu fais partie des habitués et que tu peux venir me voir quand tu veux !

Tous mes autres camarades venaient me saluer et si je les avais écouté ils m'auraient tous payé un verre … Mais bon soixante bières c'est au dessus de mes forces. Avec Jessy on passait une bonne soirée, il n'est pas timide et il sympathisait avec mes camarades … On décidait de rentrer tôt, je suivais Jessy, ma voiture était restée devant chez lui, il avait absolument voulu prendre la voiture de sa mère … Une très belle voiture allemande que j'ai souvent conduit pendant mon stage .

Arrivé devant sa maison … 

Jess : J'ai envie de te faire le coup du dernier verre !
Moi : Le coup du dernier verre ?
Jess : Tu montes prendre un dernier verre ?

J'éclatais de rire et je le suivais … Le coup du dernier verre … 

Aussitôt dans l'appartement Jessy m'entraînait vers sa chambre, il me repoussait sur le lit, retirait sa veste et sa chemise avec un sourire satisfait. Je restais là, allongé sur le dos les bras écartés sans rien dire, sans bouger. Il ouvrait son pantalon, le laissait tomber et se retrouvait à poil devant moi, il commençait déjà à bander …

Jes : Suce ma queue !

Ça avait l'avantage d'être clair ! Et il ne fallait me le redemander … Je me relevais et je m'exécutais sans attendre … Il prenait ma tête avec ses deux mains, la maintenait fermement et commençait à faire des mouvements de bassin, il m'encourageait … 

Jes : Vas-y ! C'est bon là ! Wouah tu fais ça bien ! Oui, bien à fond !

Il appuyait sur ma tête en suivant le rythme. Il ne s'arrêtait que quelques secondes de temps en temps pour me laisser le temps de respirer … Il reprenait alors, il ne cachait pas son plaisir. J'attrapais Jessy par les cuisses et je suivais le mouvement, quand il tirait ma tête vers lui, je bloquais ma respiration et tirais moi aussi ses cuisses vers moi, j'avalais sa queue complètement, presque facilement. Il aimait ça, il commençait à gémir de plaisir et à respirer de plus en plus fort. Il accélérait comme un fou, les mouvements de son bassin ressemblaient à des convulsions, il râlait de plaisir … C'est à ces moments là que je me demande toujours après coup comment je fais pour encaisser, pour avaler ! 

En tout cas, ça passait, j'encaissais je sentais sa queue me pénétrer jusque dans la gorge puis un mouvement plus violent et le goût du sperme, il maintenait ma tête, sa queue bien enfoncée, je le sentais qui se contractait tout ses muscles, il giclait de nouveau dans ma gorge puis, se penchant en avant il relâchait son étreinte, il poussait comme une gémissement … Mon premier réflexe était de me dégager … 

Je bavais, pas seulement de la salive, je bavais aussi du sperme. Je ne parvenais pas à savoir si c'était bon ou pas mais javais pas envie d'en rester là …

Jessy me regardait, il faisait le mariole …

Jess : Alors tu es toujours habillé toi ?
Moi : Tu veux que je mette à poil ?
Jess : Tu voulais quoi ?
Moi : Je pensais seulement que tu voulais me proposer un verre …
Jess : J'ai rien à boire dans ma chambre moi !
Moi : Ah, ok, c'est donc ça le coup du dernier verre !

Il rigolait de bon cœur, je me déshabillais, il s'était assis sur un fauteuil et me regardait faire. Il avait débandé et il se tripotait la queue. Je m'approchais de lui, il me caressait doucement le ventre, le torse, il me pinçait les tétons, il se relevait et m'embrassait dans le coup, me mordillait le lobe de l'oreille, m'embrassait. Nous étions nus, enlacés, on se caressait, on se frottait l'un contre l'autre, semblant danser, il se retournait me présentant son dos, je le caressais, mes mains se promenaient sur son corps depuis les épaules jusqu'à son sexe. Il bandait, je le masturbait, il basculait la tête en arrière, je lui mordillais la gorge, il gémissait de plaisir … Il se retournait, je pivotais sur moi-même  et penchais la tête en arrière. Il me caressait le torse, les tétons, le ventre, il me chatouillait le nombril mais lui ne me masturbait pas … 

Il appuyait délicatement sur ma nuque pour me basculer en avant puis avec son autre main me lubrifiait le cul … Je posais mes mains sur le fauteuil et le laissait faire. Rapidement je sentais une pression sur mon cul, je respirais à fond, la pression s'amplifiait mon anus se dilatait … Sa bite bien ferme s'enfonçait lentement dans mon cul, chaque centimètre m'arrachait un plaisir qui ne faisait que monter … Quand son bas ventre touchait mes fesses j'avais l'impression que j'allais exploser … Je gueulais, je me cambrais, me relevais, me penchais de nouveau. Je gémissais, je râlais, je gueulais … J'en redemandais et Jessy n'était pas avare … Il me limait le cul, doucement au début puis sans se retenir pour finir … Un chaleur me parcourait l'intérieur de mon ventre, ma prostate se manifestait, j'avais envie de pisser, je sentais un liquide suinter le long de mon urètre. Ma queue était en feu. Je jouissais, c'était intense, c'était bon, je n'en pouvais plus mais je ne voulais pas que ça s'arrête … Je hurlais '' Oh Oui … Oh Oui ! '' … Jessy gueulait  '' C'est bon ! Oui c'est bon ! '' . 

Je devinais qu'il jouissais quand il me prenait dans ses bras et me serrais de toutes ses forces … Deux ou trois convulsions de son bassin et je sentais tous ses muscles se détendre … Il ne bougeait plus, il se laissait retomber sur mon dos, je sentais son souffle contre mon oreille. 

Il me donnait un baiser dans le coup puis se relevait, il se retirait et m'arrachait encore un petit gémissement, je me penchais en avant, je n'avais pas éjaculé … J'avais joui mais à sec … Mais j'avais joui ! On passait sous la douche et on se savonnait l'un l'autre. Encore quelques caresses tendres, quelques baisers passionnés et on allait se coucher … Je m'endormais dans ses bras pour une nuit de rêves et de douceur … Il s'allongeait juste derrière moi, j'aime bien sentir un garçon juste derrière moi ! Il me passait un bras par dessus, je prenais sa main dans la mienne et c'est presque dans la même position qu'on se réveillait le lendemain !

On se retrouvait au petit déjeuner …

Justine : Alors vous avez bien dormi les garçon ?
Jess : Comme un loir ! ( il embrassait sa mère ) 
Justine : Et toi Djé ? Bien dormi ?
Moi : Pareil … Euh … Comme un loi ... !

Après le petit déjeuner je ne traînais pas … J'arrivais à la maison et au début j'avais l'impression qu'il n'y avait personne … 

Luc apparaissait dans le salon semblant venir de nulle part, il était à poil … 

Luc : Alors, c'est à cette heure ci que tu rentres !
Moi : Je vois qu'on est entre nous ! Tu m'as l'air bien détendu ?
Luc : On est sur la terrasse !

Je passais sur la terrasse, Bob était là aussi, Antoine aussi et son copain Romain … Ils prenaient le frais sous un parasol et de temps en temps un d'entre eux plongeait dans le bain bouillonnant bien frais … Je décidais de faire comme eux .

Le week-end passait en douceur et le lundi soir arrivait rapidement … Nous étions vingt cinq ce soir là, un record ! En temps normal on se retrouvait entre quinze et dix huit, jamais plus … Justine venait avec son fils, qui tenait absolument à s'asseoir à côté de moi. 

Justine, vous avez dû le deviner, aime bien taquiner les petits jeunes, j'y ai eu droit … Ce soir là elle ne se privait pas de taquiner Bob et semblait très amusée à le voir changer de couleur. Ils s'étaient déjà rencontré mais Bob ne la connaissait pas vraiment … Luc ne la connaissait pas d'avantage mais prenait sans hésiter la défense de son copain … Au milieu du repas elle me disait …

Justine : Ton petit frère Djé est absolument adorable et son petit copain est trop mignon …

Et c'était reparti Bob était redevenu tout rouge de confusion … Mes copains autour de la table ne savaient pas que mon petit frère était gay mais ça ne semblait déranger personne … Il faut se dire que la plupart d'entre nous se connaissaient, je veux dire ... Au sens biblique du terme !

Le repas prenait fin et tout le monde se retrouvait sur la terrasse, les discussions allaient bon train, Jessy voulait m'entretenir ( disait-il ) d'un sujet important … On se glissait dans ma chambre …

Moi : Tu voulais me parler de quelque chose ?

Pour seule réponse il s'approchait de moi et me prenait dans ses bras … Je ne le repoussais pas …

Moi : Intéressant ! Tu m'en diras tant !

On s'embrassait, je lui ouvrais sa chemise, le caressais tendrement, sa peau était douce et mon dispositif de chasteté étroit … Il ouvrait sa braguette, je plongeais et le suçais sans aucune hésitation . Il ne lui fallait que quelques instants pour manifester sa satisfaction … Tout doucement il avançait son bassin et le reculait, tout doucement, il prenait son temps … De l'autre côté de la porte il y avait tout le groupe, tous les invités et parmi eux, la mère de Jessy … Ça ne le refroidissait pas, il m'enfonçait sa queue bien profond dans la gorge. 

Il avançait son bassin, j'avançais ma figure, sa queue s'enfonçait bien profond … Il reculait son bassin, je reculais mon visage, sa queue ressortait complètement … Il se caressait un instant puis recommençait, bien à fond. Il me caressait les cheveux, je devais être tout rouge, je bavais je pleurais, j'adorais ça, je ne voulais pas lâcher, j'en redemandais. Il se masturbait juste devant mon visage et il était obligé de me retenir d'une main pour que je le laisse faire … Je la voulais sa queue, je la demandais, et quand il me la proposais c'est avec un grand plaisir que je l'avalais sur toute sa longueur … Je m'inquiétais un peu, à quelques mètres il y avait plus de vingt invités, qui devaient se demander ou j'étais rendu … La queue de Jessy me labourait la bouche, avec douceur mais avec vigueur tout de même … La mère de Jessy devait encore taquiner Bob, Jessy éjaculait dans ma gorge, il retenait ma tête un moment, sa queue bien à fond, poussait quelques gémissements puis me relâchait … Je reprenais mon souffle, j'étais ravis, il avait un grand sourire de satisfaction, je me relevais, il me donnait un baiser sur la bouche, j'allais me passer de l'eau sur la figure … 

On retrouvait mes invités, apparemment ils n'avait pas remarqué mon absence … Bob passait à côté de moi … Il avait le visage tout rouge et il me glissait à l'oreille ...

Bob : Justiiiiine !

Justine suivait, elle me faisait un grand sourire ..

Moi : Tu as encore embêté Bob !
Justine : Il est trop mignon, tu lui dit juste un mot de trop et il devient tout rouge, c'est amusant !
Moi : Mais laisse le un peu, tu vas nous le traumatiser !
Justine : Et toi, tu as vu la tête que tu fais … Ça me rappelle le jour ou on s'est vu pour la première fois, tu sais, quand tu es sorti des vestiaires peu après les deux chauffeurs de Rolls !

Là c'est moi qui devenait tout rouge mais pour longtemps.

Moi : Personne n'a remarqué mon absence ?
Justine : Personne n'a remarqué non plus l'absence de mon fils !
Moi : Quelle famille !
Justine : Tu sais Djé, je ne vais pas tu juger, je suis ton avocate pas ton juge !
Moi : J'en ai de la chance !
Justine : Sinon tu étais condamné sans appel ! ...

La soirée continuait, mes invités qui apprenaient qui était Justine ne cachaient pas leur surprise de voir que j'avais une avocate … Mais bon, ils m'avaient vu en Rolls, il me voyaient avec un majordome … Dans un appartement de grand standing ... Et tous connaissaient mes origines sociales relativement modestes … Il en fallait plus que ça pour vraiment les surprendre désormais … 

Nous avions tous cours le lendemain matin aussi ces soirées qui se passaient toujours en semaine se terminaient relativement tôt. Les invités venaient me saluer les uns après les autres avant de prendre congé … Ne restait plus que mes colocataires, Justine et son fils … Charles avait déjà tout rangé et s'était lui aussi retiré … 

Justine : Bien, maintenant que nous sommes entre nous, il faut que je vous parle à tous les deux … Djé et Antoine … 

Jessy rigolait dans son coin …

Jessy : Vous allez voir les gars, c'est encore une histoire de gros sous !



Ep 42 : DES SOUS



On se retrouvait à quatre autour de la table, Jessy restait à l'écart. De toutes façons il savait déjà de quoi il s'agissait … Lui il restait sur la terrasse. Justine s'était placé en bout de table, Antoine et moi juste à côté d'elle … Luc s'était installé à ma droite, il ne voulait rien louper …

Justine : Tu sais Luc, toi tu n'es pas concerné.
Luc : S'il s'agit de sous, on ne sait jamais, je suis le premier sur la liste des héritiers …
Moi : C'est malin. Si tu m'embête je te déshérite !
Luc : NAN ! Fais  pas ça Djé, je t'en supplie, je ferai tout ce que tu voudras …
Justine : Bon c'est fini les jeunes … On peut y aller ? …

… 

Justine : C'est au sujet du dispositif que vous avez conçu vous deux, toi Antoine et toi Djé, il a beaucoup de succès !
Antoine : Beaucoup, tu veux dire combien ?
Justine : C'est simple … Les modèles classiques ne sont plus fabriqués ! Ils sont ou seront remplacés par les modèles que vous avez dessinés ! Dans de nombreux pays ou il n'y a plus de stock ce sont vos modèles qui désormais sont les seuls à être disponibles, dans les autres pays les anciens modèles sont soldés tout simplement … 
Moi : C'est cool mais jusqu'à quel niveau est-on concerné, nous ?
Justine : Le big boss est très rigoureux sur ce qui est dû à chacun, vous n'étiez pas payés pour ce travail, sinon vous auriez eu une prime … On considère donc que vous avez des droits du genre … droits d'auteur. 
Antoine : Et ces droits d'auteur, ils vont s'élever à beaucoup ?
Justine : Un DI pour chacun d'entre vous …

On éclatait de rire … Un DI ( Dollar International ) … 

Justine : Après imposition à la source il vous restera tout de même un demis DI chacun …
Antoine : Et tu t'est déplacée pour nous dire ça ?

On rigolait de bon cœur, Justine aussi … 

Justine : Un demis DI pour chaque exemplaire vendu … A ce jour on en totalise déjà cent mille …

Antoine et moi nous regardions … Là on ne rigolait plus !

Antoine : La vache ! Ça fait déjà … 
Moi : A oui tout de même ! La vache !
Luc : Oué ! On est riche ! Djé je t'ai déjà dit que tu étais mon frère préféré !
Justine : C'est ton seul frère Luc !
Luc : Ce qui ne change rien, C'est quand même mon frère préféré !
Justine : Évidemment ce n'est là que le début … Monsieur Le Conte a décidé de ne pas négocier avec vous … C'est votre charisme, votre célébrité qui à lancé ce marcher. Avant il restait intimiste, c'était un marcher de niche et on n'en attendait pas grand chose. Aujourd'hui il est en train d'exploser … Aussi notre big boss vous reconnaît les droits d'auteurs sur ce marcher sans limite de temps … 
Luc : Mais c'est une super bonne nouvelle ça. Quand des millions de ces trucs auront été vendus … Des millions …
Moi : Euh … Tu crois que … Luc il dit … ???
Justine : Ton frère a tout compris … On n'a aucune idée de ce que ça pourrait donner … Des millions oui, mais on ne sait pas combien … Dans un premier temps vous allez percevoir chacun cinquante mille DI 


On ne savait plus quoi dire. Antoine et moi nous regardions, il avait un sourire béat, jusqu'à ce soir il n'avait rien gagné lui … Moi j'avais déjà reçu un joli chèque en dédommagement des calomnies dont j'avais été victime, mais seul mon nom avait été mis en cause et j'étais le seul à avoir reçu de l'argent … Si je comptais bien ça faisait déjà un quart de million perçu depuis quelques mois seulement … 

Quand Justine nous laissait ce soir là on était un peu sonnés … Jessy me lançait en partant ...

Jess : Alors on est content ?

Antoine gardait sur la figure ce sourire béat … Le lendemain matin il l'avait encore ! Dans les jours qui suivaient nous recevions Antoine et moi une lettre de M L Conte. C'était pour nous féliciter, la section dans laquelle nous avions travaillé venait juste d'être crée. Depuis notre départ cette équipe avait procédé à de toutes petites modifications surtout destinées à la production industrielle de grande masse et travaillait maintenant sur sa présentation, sa boite de rangement, il nous informait qu'ils envisageaient d'utiliser notre image pour assurer la vente de ces dispositifs, nos visages sur les emballages et dans le cadre d'une campagne publicitaire, enfin c'était à l'étude … Moyennant rétribution bien sûr  … 

On ne s'endormait pas sur nos lauriers … A l'entraînement on restaient les meneurs, dans les matières intellectuelles on était aussi en tête … Le nouveau directeur me montrait déjà beaucoup de sympathie et d’égards, mais je n'étais plus le seul … Antoine y avait droit aussi … 

Le Week-End suivant, Antoine était retenu à l'université il y avait une conférence Greg y était également, Charles m'avait dit qu'il y serait aussi ( son petit copain participait ). Moi j'avais décidé de passer une soirée en dehors de l'école, j'y avais passé mes journées et je voulais changer d'air.

Je retrouvais Romain, il était installé à une table avec un ami que je ne connaissais pas … D'un geste il m'invitait à les rejoindre … On se faisait la bise, il me présentait Alexis, c'était un de ses collègues de travail. Il avait une bonne tête, sa carrure n'était pas celle d'un intellectuel et ses muscles montraient qu'il avait l'habitude de soulever des charges lourdes … Je m'imaginais dans ses bras, je m'imaginais dans leurs bras … Mais bon, là, pour Romain, il faudrait demander à Antoine ce qu'il en pense, on ne fait pas ce genre de coup à ses amis.

Justement Antoine, il arrivait un peu plus tard … On avait déjà bu quelques verres et l'ambiance commençait à devenir joyeuses. Il y a des soirs ou je me laisse aller, pas autant que dans le passé, mais quelquefois un verre de trop ça peut détendre … Un verre de trop pas plus, il faut savoir rester raisonnable, et pas tous les soirs, j'ai déjà donné et le résultats n'était pas une grande réussite ! Antoine venait nous rejoindre. Mes amis de l'équipe de sport … ma bande … étaient tous là. Ça chantait, ça dansait, un grand nombre de ces garçons avaient leur copine avec eux, quelques uns avaient aussi leur copain … Alexis ne me lâchait pas des yeux … Chaque fois que je le regardait il me répondait avec son œil rieur et quelquefois aussi avec un franc sourire … 

Plus tard dans la soirée on prenait la route de l'appartement, Romain suivait comme tous les week-end et Alexis faisait de même, sans avoir rien demandé à personne, sans qu'on ne lui ait rien demandé, ça se faisait d'une manière vraiment naturelle … Il avait l'air vraiment sympa, on discutait de choses et d'autres, on n'avait pas abordé le sujet du dispositif de chasteté mais je supposais qu'il devait savoir qui j'étais. Et en effet il le savait … 

Arrivé à l'appartement on rentrait tout les quatre, Romain invitait Alexis à entrer … On s'installait sur la terrasse, on discutait, peu à peu Antoine et Romain se rapprochaient l'un de l'autre … Au début ils se touchaient la main … Puis l'air de rien l'un caressait l'avant bras de l'autre qui lui répondait d'abord par un sourire puis lui rendait sa caresse avant de lui donner un baiser … Alexi et moi nous regardions … Nos deux camarades avaient rapproché leurs chaises et ne se contentaient plus de contacts furtifs … Ils se pelotaient et s'embrassaient sans plus se retenir … Ça me faisait sourire, je me penchais vers Alexis pour lui dire quelque chose … Il en profitait pour me donner un baiser sans prévenir, il avait mal interprété mon geste … J'en étais ravis et je lui rendais son baiser … C'était par pur réflexe vous imaginez bien, par politesse aussi vous savez que vous pouvez me croire … Et puis si vous ne me croyez pas … Je m'en moque !

On s'approchait l'un de l'autre, on s'embrassait, se prenait dans les bras, il me retirait mon T-shirt et je ne résistais pas … Je lui ouvrais puis lui retirais sa chemise et il ne résistait pas … Romain s'était lui aussi retrouvé torse nue, il était allongé sur un transat et Antoine le chevauchait, se penchait vers lui, le caressait et le couvrait de baisers, Romain lui en donnait tout autant … Alexis me tenait dans ses bras, on se caressait, on s'embrassait … Sans prévenir il m'ouvrait mon pantalon qui tombait sur mes chevilles, j'étais nu … Je ne sais plus si je vous ai déjà dit que je ne porte pas de sous vêtements ? Oh si sûrement !  … Il me semble !

Il se rapprochait de moi, me serrait fort contre lui et me pelotait les fesses … C'était agréable de sentir ma bite qui pressait contre ma cage de chasteté, c'était sans aucune douleur désormais … Juste une sensation de pression ferme, forte, douce mais sans pitié … 

Romain et Antoine étaient nus. Romain toujours allongé sur le transat laissait Antoine lui sucer la queue, il avait passé ses deux bras derrière sa tête et regardait son camarade faire avec un grand sourire de satisfaction … Alexis me regardait dans les yeux, son regard semblait demander … Sans hésiter je m’exécutais … Il  s'allongeait lui aussi sur un transat, écartait les jambes et me laissait faire … Il ne faisait rien, absolument rien sinon pousser quelques gémissements de plaisir. Je lui suçais la queue, je lui caressais les cuisses, le ventre … Il m'encourageait …

Pendant un long moment le seul bruit qu'on entendait c'était des gémissements de plaisir quand …

Romain : Alors vous venez vous joindre à nous ? On est bien là et il reste de la place …

Je sursautais et me retournais. C'était Luc et Bob … Luc avait l'air plutôt  intéressé et Bob embarrassé était tout rouge de confusion, ça faisait un moment que je ne l'avais pas vu de cette couleur celui là …. Luc le poussait en avant et retirait ses vêtements, en quelques instants Bob était le seul encore habillé … Il hésitait à retirer ses vêtements, puis finalement se décidait … Il était bien foutu le petit Bob ! Et déjà il bandait ferme … Luc se rapprochait de moi et prenait ma place face à  Alexis … On s'était déjà livré à des concours de branlette mais là il me montrait ce qu'il savait faire ! Et il s'y prenait bien … 

Luc : Il y a Bob qui est tout seul et qui nous regarde … 

Je me retournais ver Bob qui me faisait un grand sourire et gardait cet air confus ou peut être seulement intimidé … Je m'approchais, lui caressais la bite. Je passais ma langue sur l'extrémité de son gland … Et pour finir je prenais sa queue entièrement dans ma bouche et je lui montrait ce que je savais faire moi aussi … Rapidement il réagissait et manifestait son plaisir, il me caressait la tête et ne retenait pas un léger mouvement de son bassin … Il m'enfonçait doucement sa queue jusqu'au fond de ma gorge … Il y prenait plaisir Bob et moi aussi, j'y avais pensé plus d'une fois … Mais si Luc n'avait pas fait le premier pas dans ce sens, moi je ne l'aurais jamais fait … Je lui caressait les fesses, le retenais fermement par les cuisses et me donnais à fond … 

Une autre queue se présentait devant mes yeux, c'était Romain … Nous nous retrouvions à trois accroupis au milieu de la terrasse, Antoine, Luc et moi et les trois autres debout devant nous se faisaient sucer, ils changeaient de partenaires régulièrement et semblaient se prendre au jeux … 

Une queue se présentait, je la suçait … Une main me caressait les cheveux, je me laissais faire …

Alexis : J'ai une idée, les suceurs vous gardez les mains dans le dos, nous les autres on prend la direction des opérations … Ok ?

On ne répondait pas mais on obtempérait … Les garçons semblaient prendre un grand plaisir, je jetais un œil ver le visage de celui qui se présentait devant moi. Bob avait retrouvé une couleur normale … Romain faisait un large sourire béat … Alexis souriait lui aussi de toutes ses dents … Peu à peu Bob perdait sa timidité, il me tenait la tête fermement et c'est lui qui prenait le contrôle, il n’hésitait plus à appuyer sur ma tête et à me donner de violents coups de bassin … Puis il passait son tour, il faisait comme les deux autres, il laissait la place et en prenait une autre …

Alexis : Bon maintenant on va passer aux choses sérieuses …

Il faisait signe à Luc de se retourner, Luc obéissait, se retournait et offrait son cul à notre nouvel ami. Alexis lui lubrifiait les fesses puis sans plus de formalité lui introduisait sa queue bien à fond dans le cul. Bob semblait très excité par le spectacle. J'avais sa queue dans la bouche et je suivais la scène du coin de l’œil … Bob se retirait et d'une toute petite voix me demandait de ma retourner. Je lui répondais par un large sourire et lui présentait mon cul … Je l'entendait avaler sa salive … Il était encore intimidé le petit Bob … 

Puis je sentais une pression sur mon anus, je me détendais, il était bien monté Bob et je l'ai senti passer … C'était bon mais c'était dur, c'était fort, au moment ou son ventre frappait contre mes fesses je sentais un liquide couler de ma cage de chasteté. C'était vraiment bon, je jouissais, pas vraiment avec ma queue mais je jouissais. Je n'éjaculais pas, un liquide blanc coulait, il n'était pas éjecté, il coulait sans s'arrêter … J'avais l'impression que ça n'allait pas s'arrêter … C'était tellement bon … cette sensation de me sentir remplis jusqu'à exploser, jusqu'à déborder … J'avais la sensation que mon ventre était gonflé, était rempli … Je jouissais, je jouissais par le cul et je tremblais, mon torse tremblait, j'avais le souffle court … Bob accélérait ses mouvements de vas et vient, il ne se retenait plus, il se donnait à fond, j'apercevais un instant le sourire de Luc, Bob me tenait fermement par les hanches et me tirait vers lui à chacun de ses mouvements … 

Luc en prenait plein le cul lui aussi, Alexis ne se retenait pas. Les coups de reins étaient violents. Antoine était allongé sur le dos les jambes relevées et Romain allongé sur lui le burinait également sans retenues ! Romain respirait fort, de plus en plus fort puis râlait de plaisir … Il était le premier à jouir et se laissait retomber sur Antoine … Bob s'était replié sur moi et me serrait fort contre lui sans cesser de me buriner le cul … Alexis gueulait de plaisir quand il jouissait et éjaculait dans le cul de mon frère, il tremblait un instant sous l'effet du plaisir qu'il ressentait puis se laissait tomber sur mon frère qui s'allongeait sur le sol … Bob était le dernier à jouir, je sentais les derniers coups de reins et je l'entendais hurler dans mon oreille … Je jouissais enfin de tout mon ventre, de tout tout mon corps … Je m’effondrais à mon tour sur le sol, Bob s'abandonnait et se laissait tomber sur moi de tout son poids … Son corps était chaud, sa peau était douce, ses caresses étaient fermes, ses baisers étaient tendres …

Plus personne ne bougeait pendant un long moment … Alexis se relevait …

Alexis : Alors là gars, ça c'était cool ! Y a rien à boire ?

J'entendais Romain rigoler …

Romain : Et lui il ne pense qu'à picoler …
Moi : Dans la cuisine, le placard du bas à droite de l'évier … Apporte des verres, le placard du haut au dessus … 

Alexis partait joyeusement vers la cuisine en sifflotant, on l'entendait crier peu après …

Alexis : Wouah, c'est du champagne … Alors là bravo les gars, vous savez vivre …

Il revenait avec trois bouteilles …  

On se relevait, Bob me donnait un dernier baiser avant d'aller se réfugier dans les bras de mon frère, Romain gardait Antoine dans ses bras et Alexis venait me donner un baiser dans le cou en me glissant à l'oreille …

Alexis : La prochaine fois c'est toi que j'encule … Vous les porteurs vous êtes chauds du cul et j'aime ça moi ! 

Il ne nous fallait pas longtemps pour vider les trois bouteilles … J'allais en chercher trois autres …

Au petit matin, j'étais réveillé par le soleil. Alexis était allongé à coté de moi, sa main sur sur mon torse. Bob avait dormi avec mon frère dans sa chambre et Romain avec Antoine … Tout était rentré dans l'ordre … On prenait notre petit déjeuner sur la terrasse … 

Alexis nous laissait en fin de matinée … Au moment de partir il me rappelait, sa promesse et c'est comme une menace qu'il me glissait à l'oreille …

Alexis : La prochaine fois, c'est toi que j'encule Djé ! A la prochaine ! Tu y a échappé à cause du champagne mais la prochaine fois …
Moi : Des promesses, toujours des promesses … Même pas peur !

On terminait la journée à la rivière, à prendre le soleil, à se baigner, à parler de la soirée précédente …

Luc tenait vraiment beaucoup à Bob, et il m'expliquait qu'il voulait créer avec lui une relation de confiance et de fidélité ce qui n'interdisait pas que de temps en temps … Mais uniquement quand ils seraient ensemble !

Luc : De temps en temps, je ne dis pas … On peut passer des soirées comme hier mais … De temps en temps … Je pense qu'on peut créer Bob et moi une relation basée sur la confiance et la fidélité …
Moi : Sans ton accord je n'aurais jamais osé toucher à Bob.
Luc : Il ne te plaît pas Bob ?
Moi : J'ai pas dit ça ! Il est craquant ! Et en plus il est trop mignon quand il change de couleur ! Mais c'est ton copain !
Luc : Je te fais confiance, je sais que tu n'essaieras pas de me le piquer !

Le Week-end avait été mouvementé mais on s'en remettait vite et le lundi c'est en pleine forme qu'on reprenait la fac, l'entraînement … Le lundi matin suivant nous étions cinq au petit déjeuner, Charles n'était pas surpris, je ne sais pas comment il faisait mais il n'était jamais pris au dépourvu …

Dans la semaine qui suivait nous recevions de nouveau un message de Justine, elle voulait nous voir rapidement … Elle n'en disait pas plus, et nous proposait de passer à son cabinet dans la semaine …  Elle attendait une réponse rapide …



Ep 43 : DES SOUS, ENCORE DES SOUS 



Antoine et moi nous retrouvions au cabinet de Justine un après midi peu avant la fin de la semaine. Nous étions reçu par Joss, Antoine le connaissait, il avait fait sa connaissance lors de la compétition quelques mois plus tôt … 

Joss : La patronne va vous recevoir … Elle tient absolument à s'occuper de vous personnellement !
Moi : Mais tu pourrais nous en dire plus ?
Joss : Non, elle m'a clairement dit de ne pas vous parler de l'affaire !
Antoine : Là tu m'inquiètes !
Joss : Ne vous en faites pas les gars, je peux quand même vous dire qu'il ne s'agit pas d'une mauvaise nouvelle !

On attendait autour de la machine à café … C'est vrai que j'étais en territoire connu, je passais faire la bise aux secrétaires et prendre des nouvelles. Elles me faisaient un grand sourire, et l'une d'entre elle me glissait à l'oreille … '' Tu vas voir Djé, c'est une super bonne nouvelle ! '' …

Justine arrivait enfin, elle ne nous avait pas fait attendre longtemps, et nous invitait à entrer dans son bureau …

Justine : Voilà les garçons, je représente donc Mr Le Conte, comme vous le savez … Il m'a chargé d'une mission un peu particulière … Je devais me mettre à la place de votre avocat et déterminer ce que je négocierais si je travaillais pour vous … Tout en restant raisonnable, mais dans votre intérêt … C'est donc ce que j'ai fait pour en arriver à la proposition que nous allons vous faire …
Moi : Et il s'agit de quoi exactement ?
Justine : Un contrat publicitaire … On souhaite utiliser votre image pour vendre le dispositif que vous avez conçu !
Antoine : Et on va être payés ?
Justine : Oui … ! Pour la première année, en tenant compte de votre célébrité, de l'image que vous véhiculez … Enfin en tenant compte de tous les paramètres … On pense … Je pense que un montant de … 

Elle faisait une pause et nous regardait … pour nous taquiner … 

Justine : Je parle bien sûr en net fiscal, c'est à dire ce qui vous restera après imposition …


Moi : Mais vas-y parles !
Antoine : Mais pourquoi tu ne dis rien … Combien ?
Justine : Cent cinquante mille …
Antoine : Tout de même … Ça nous fait chacun une jolie somme …
Justine : Cent cinquante mille chacun … Et c'est pour la première année … Toutefois le contrat n'est pas obligatoirement renouvelable …
Antoine : Ouéé ! Moi je suis d'accord ! Je signe quand tu veux !
Moi : Et il faut faire quoi ?
Justine : Une série de photos, habillé, torse nue, dans des positions sportives ou assis à un bureau, avec le sourire … Une bonne demie journée de travail, pas d'avantage !
Antoine : C'est bien payé de l'heure ton taf !
Justine : Cent cinquante mille pour quatre heures de travail … Je te laisse faire le calcul … C'est très bien payé … Mais il s'agit de votre image …

On parlait encore un moment, Justine nous confirmait que c'était une proposition très honnête … On signait et on prenait rendez-vous pour la semaine suivante avec un photographe … Il nous contacterait directement chez nous !

En ressortant Antoine jubilait …

Antoine : Tu te rends compte … On a gagné deux cent mille DI en quelques semaines … J'ai jamais été aussi riche moi ! J'y aurais même pas cru si on me l'avait dit !
Moi : Je suis pas loin du demis million moi depuis moins de six mois … 
Antoine : Si ça continue comme ça … Je prends ma retraite à vingt cinq ans !

A l'appartement on racontait ça à Luc …

Luc : Si il veulent de moi aussi, je suis volontaire … Moi aussi je suis très mignon en photo … 

La semaine passait vite … Le jeudi suivant on sonnait à la porte. Luc se précipitait pour ouvrir, il n'avait pas cours et avait annulé toutes ses activités sportives et autres, il voulait être là pour la séance photo … Charles restait imperturbable et n'essayait même pas d'ouvrir avant mon frère, c'était son boulot d'aller ouvrir la porte mais il savait que quand Luc était un peu agité il était inutile de résister, il valait mieux le laisser faire … 

Le photographe entrait … Allure sportive, beau sourire, belle gueule, élégant … Encore un employé de Mr Le Conte … Un porteur de toutes évidences … On faisait connaissance.

DB : David Badmington …  Enchanté de faire votre connaissance les jeunes … On se tutoie … Alors c'est toi le modèle principal …
Luc : Ouai, je suis volontaire, si vous voulez, vous verrez je suis très mignon en photo …
Moi : Ne fait pas attention à lui David, c'est mon jeune frère Luc, les deux modèles seront mon ami Antoine et moi …

Charles arrivait, l'air guindé portant à bout de bras deux costumes sur un cintre recouverts d'une housse, des costumes plus décontractés ainsi que des tenue de sport … tout était prêts … Luc faisait la grimace …

Charles : Tu sais Luc, si tu veux aussi un costume je t'en apporte un tout de suite !
Luc : Pfff ! C'est pas la peine je suis pas sur la photo !

On passait le reste de l'après midi à se balader dans le campus de la fac à prendre des poses détendues, toujours avec le sourire. On entrait dans la fac, photos dans le hall, dans les couloirs, dans l’amphithéâtre, sacoche à la main ou les bras croisés … Luc ne loupait rien, il portait le matériel photo … 

On passait ensuite dans les salles de sport, on se changeait alors et on mettait les tenues qui correspondaient. A la piscine, le maillot de bain avait été savamment choisi pour laisser deviner l'objet, deviner pas d'avantage ! Le dispositif que nous avions réalisé était tellement discret qu'il avait fallu choisir une maillot de bain presque transparent. Nous avons fait plusieurs essais et c'est finalement le maillot blanc qui donnait satisfaction. Luc proposait de porter la crème bronzante ( ? ).

Sous la douche, là ça devenait un peu érotique mais le photographe avait des consignes très précises … Pas de cadrage en dessous de la ceinture … On aurait gardé notre pantalon sous la douche ça n'aurait fait aucune différence sur la photo … Luc portait les serviettes.

On faisait une pause à la terrasse d'un bar … David en profitait pour faire encore quelques clichés, Luc parvenait à se glisser sur un certain nombre de photos. David le laissait faire … Plus tard il les lui enverrait et ça semblait lui faire plaisir …

On terminait l'après midi et si on n'avait pas eu à nous changer régulièrement on n'aurait jamais eu l'impression de travailler … Le soir, comme Charles avait sa soirée, je proposais une resto …

Moi : Allez vu qu'on a gagné un fric monstre je vous invite tous au resto …
David : Non, c'est la production qui invite, et je vous laisse choisir le lieu, vous connaissez mieux que moi la ville.
Luc : Moi j'aime bien quand une journée de lourd labeur se termine par un restaurant …
Moi : Tu n'as pas beaucoup travaillé toi !
Luc : Quoi ! J'ai pas travaillé ! J'ai porté le matériel photo toute la journée … J'ai bien mérité un peu de réconfort … Et en plus j'ai faim … C'est que je suis en pleine croissance moi !
David : Il est toujours comme ça ?
Antoine : Toujours, il y a des jours ou on a l'impression qu'il voudrait faire croire qu'il est mal traité.

Luc Faisait la grimace mais ça ne devait pas durer, devant le menu du restaurant il retrouvait vite un air réjoui. David nous expliquait comment ça allait se passer … Une ou plusieurs photos seraient sélectionnées et se retrouveraient sur les emballages de nos nouveaux dispositifs, sur le fascicule ainsi que dans la presse … 

En règle générale un contrat pour l'emballage comme celui que nous avions signé rapportait pas loin de cent mille DI …

Luc : Eux ils ont eu cent cinquante mille !
Moi : Luc … !
David : Et bien votre boss ne s'est pas moqué de vous ! Vous êtes un peu célèbre mais pas à ce point là … C'était bien payé …
Antoine : Je crois qu'il nous aime bien le boss !

On se retrouvait à l'appart pour arroser cette journée, Luc avait école le lendemain aussi il allait se coucher tôt et nous laissait Antoine et moi avec notre photographe David Badmington … 

Antoine : On n'a pas fait de photos à poil … 
David : Le boss était clair, soft et présentable … 
Antoine : Pourtant c'est pour vendre une truc bien précis … Et on ne le verra pas sur la boite ?
David : Tu veux que je te prenne en photo à poil ? 
Antoine : ( en me regardant ) Ouai ! C'est une idée ça ! Mais c'est bien parce que tu insistes !

David se retournait vers moi … Antoine retirait sa chemise, j'en faisais de même et en quelques instants nous étions entièrement nus tout les deux … On faisait une séance dans les règles, dans tout un tas de positions du quotidien, rien de suggestif, enfin c'était suggestif en soit, deux mec à poil portant un dispositif de chasteté … En tout cas c'était érotique ! 

Antoine : Et toi David tu restes habillé ! C'est quel modèle que tu portes toi ? Tu nous le montres !
David : Moi … Je …

Sans rien rajouter David se déshabillait à son tour … Et quand il baissait son pantalon … Surprise, il n'en portait pas !

Moi : Mais je croyais que les employés de Mr Le Conte portaient tous un dispositif …
David : Je ne sais pas, moi je suis un indépendant ! J'ai déjà travaillé pour Le Chateau ( c'était la marque sous laquelle était diffusé le dispositif ) mais je n'y suis jamais allé …

David commençait à bander et c'est avec une certaine malice qu'il ne le cachait pas … On regardait ça avec attention … Antoine commençait, il s'approchait de David qui le regardait faire avec un léger sourire et écartait les cuisses … Antoine se penchait et commençait à le sucer.

David : Vas y mon gars, j'ai l'impression que je vais aimer ça moi !

Mon dispositif ne tardait pas à se redresser sou l'effet de la pression qui soudainement le remplissait … Je bandais, c'était contenu mais je bandais ! Je regardais mon camarade gober la bite du photographe sur toute sa longueur et je savais qu'il faisait çà très bien pour l'avoir déjà pratiqué. Je bandais, la pression devenait infernale mais c'était sans douleur … C'était une forte pression sur toute la longueur de ma queue, une pression ferme, douce, forte qui ne laissait rien paraître, qui ne laissait aucun espoir … J'aime bien ces moments de frustration, mon cœur s'accélère, ma respiration devient plus forte, j'avalais ma salive et je ne loupais rien … 

David avait l'air aux anges, il arborait un large sourire qui exprimait tout le plaisir de ce moment. Il caressait la tête de mon camarade, appuyait de temps en temps. Antoine avalait alors jusqu'à la garde, il savait bien synchroniser sa respiration … Je connaissais bien la technique moi aussi et je la mimais. Quand Antoine avalait bien à fond, je coupais moi aussi ma respiration, j'avalais ma salive et je m'imaginais recevoir la queue de David dans ma gorge … Ma cage donnait l'impression qu'elle allait exploser !

A cet instant je me serais damné pour pouvoir prendre la place de David ! Il y a des moment comme ça … On ferait n'importe quoi pour pouvoir retirer ce truc … Je me souvenais du modèle que je portais quelques semaines plus tôt, si je l'avais encore ça aurait été insupportable et douloureux mais là … Aucune douleur, seulement une délicieuse frustration et un désir de dingue de baiser, de bander, de me branler, de me faire sucer, et de défoncer un cul … Je regardait le cul d'Antoine et ça me rendait dingue ! 

Il me regardait un instant, me lançait un sourire complice et me faisait signe de m'approcher. Je ne pourrais pas lui défoncer le cul mais je pouvais toujours participer … Je m'approchais et prenais la place d'Antoine … Aussitôt David se manifestait ..

David : Tu fais ça aussi bien que ton copain ! Vas y continue .

Antoine s'était assis sur un transat, il ne loupait rien de ce que je faisais et je supposais qu'il devait avoir les mêmes pensées que moi quelques instants plus tôt. David me caressait les cheveux, il appuyait sur ma tête doucement pour me guider, il relevait son bassin et sa queue me rentrait bien à fond dans la gorge.

Antoine était revenu à côté de moi et me poussait doucement avec son épaule, il voulait reprendre sa place, je m'écartais et reprenais ma place sur le transat … J'avais toujours cette pression dans ma cage, ça ne passait pas et le spectacle que j'avais devant les yeux ne risquait pas de me calmer … Antoine se lâchait, il caressait les cuisses de David et c'est de plus en plus vite qu'il avalait la bite de David. Il penchait la tête en avant, il avalait … Il relevait la tête la queue de David ressortait complètement. Antoine caressait et massait cette très belle queue puis recommençait son mouvement …

Je finissais par me rapprocher de nouveau, et poussais à mon tour Antoine de l'épaule, il ne voulait pas me laisser la place … Je caressais le ventre et les cuisses de David qui lui appréciait de plus en plus …

David : Vous n'allez pas vous battre pour moi ? Oh et puis si ! Allez-y battez vous !

Je poussais Antoine, il résistait, je rigolais, il rigolais aussi comme il pouvait avec la bouche bien remplie. Il n'arrêtais pas de sucer mais finissais par me laisser une petite place. J'avalais la queue puis c'était Antoine, moi de nouveau et Antoine à son tour. David ne faisait plus rien, il s'était confortablement installé et nous regardait faire. Il respirait fort et gémissait de plaisir. Il relevais son bassin par secousse et finalement il éjaculait … J'en prenais plein la figure … Une seconde giclée, celle là elle était pour Antoine . David soufflait fort et râlait de plaisir …

David : Vous êtes de bons coups les gars, laissez moi deviner, c'est pas la première fois que vous sucez une bite vous deux … 

J'étais encore plus excité qu'au début de la soirée et à voir la tête que faisait Antoine, il était dans le même état que moi … On était tendu, frustrés. L'un comme l'autre on se la serait bien prise dans le cul cette queue, mais voilà, déjà il commençait à débander et ne voulait plus qu'on y touche … Et il rigolait en plus … 

Antoine tout comme moi avait le dispositif qui se relevait clairement. On reprenait nos position sur le transat … Luc arrivait, il avait enfilé un pantalon de sport et voyant qu'on ne dormait pas il s'installait sur un transat avec nous . 

Luc : Ça se passe bien les gars, alors vous ne dormez toujours pas … Demain il y a école !

On discutait encore un moment à tout les trois puis David nous laissait, on allait tous se coucher, c'est vrai qu'il commençait à se faire tard … 

J'ai très mal dormi cette nuit là. Il y a des moments ou on serait prêt à faire n'importe quoi pour pouvoir se branler, éjaculer, jouir. Je n'avais pas envie de m'enfiler un gode dans le cul ! Une bite je ne dis pas mais un gode … Non ! J'avais envie d'une queue, j'avais envie de jouer avec une queue, avec ma queue … J'ai l'impression d'avoir bandé, enfin d'avoir essayé de bander, toute la nuit. Je m'endormais et me réveillais rapidement, une pression de dingue dans ma cage. Toute la nuit était comme ça. Au petit matin j'étais épuisé et j'avais toujours cette pression entre les jambes … Ça ne me l'a pas souvent fait ! En tout cas pas à ce point là .

Le lendemain notre footing matinal me remettait les idées en place … J'avais très mal dormi mais la pression sexuelle qui s'était accumulée toute la nuit me donnait une énergie incroyable pendant toute la journée … J'étais sur les rotules mais j'étais bien, je tenais le coup toute la journée sans mollir … Le soir, on était vendredi et je recevais j'étais épuisé et je me serais bien passé de cette soirée mais c'était trop tard pour annuler et ça aurait déçu trop de monde … Malgré tout je me retirais tôt, après avoir salué tous mes hôtes et m'être excusé auprès d'eux, je les laissais en compagnie d'Antoine et aux bons soins de Charles … Cette nuit là par contre,  j'ai très bien dormi !



Ep 44 : NOUVEAU RICHE 



Ce Week-end je décidais de ne pas sortir. Je me reposais. Charles ne serait pas là, mes colocataires sortiraient certainement, ils iraient faire la fête, Antoine avec Romain, Luc avec son copain Bob. Je serais tranquille … Me coucher tôt pour me lever tard … Ça va me changer, d'habitude je me lève tôt …

Antoine : Djé, tu pourras m'excuser auprès de nos amis, ce week-end je fais du cocooning …

Je le regardais …

Moi : Et Romain alors, tu ne le vois pas ?
Antoine : Romain est parti voir sa famille !
Moi : Ça veut dire que tu ne sors pas ?
Antoine : Exact !
Moi : Que tu restes ici à te reposer?
Antoine : Toujours exact !
Moi : Que tu ne vas voir personne ?
Antoine : Encore exact !
Moi : Te coucher tôt pour te lever tard ?
Antoine : C'est tout à fait ça. Je me repose !
Moi : Et bien, on sera deux, c'est ce que j'avais prévu de faire moi aussi !
Antoine : Et Luc il fait quoi ?
Moi : Luc … Je lui paye le restaurant pour lui et son copain Bob, il nous foutra la paix … !
Antoine : Toujours l'esprit pratique !
Moi : Et tu avais prévu de manger quoi ?
Antoine : Je sais pas, je pensais me faire livrer une pizza ou un truc comme ça …
Moi : Chinois ?
Antoine : Chinois ! … Ça va nous changer !

C'était réglé ! On passerait finalement un week-end solitaire ... à deux. Je passais au magasin pour acheter quelques bouteilles de champagne … Bein oui quoi, je suis riche maintenant … Non en fait je déconne, j'en bois pas si souvent que ça mais c'est vrai que ça change de la bière ? Et puis j'ai les moyens … 

On se retrouvait tranquillement allongés sur la terrasse, il faisait chaud, par moment pour se rafraîchir on s'installait dans le bain bouillonnant puis on revenait s'allonger sur un transat … 

Antoine : C'est pas mal ce qui nous arrive, on gagne un fric monstre sans rien faire !
Moi : C'est vrai que le dernier chèque n'a pas demandé trop d'efforts !


Moi : Mais cette marque … Le Château … C'est ridicule, c'est pas vendeur …
Antoine : Il faudrait trouver un nom plus … Vendeur … Prometteur … 
Moi : Quelque chose qui sonne bien …
Antoine : Qui marque !
Moi : Voyons voir … Ça sert à quoi !
Antoine : A se préserver ?
Moi : Le préservatoir ?
Antoine : Préservatif ?

On rigolait …

Moi : Les prédicateurs religieux parlent de pureté … Rester pure …
Antoine : Purificateur …

Nouveaux fou-rires …

Moi : Purifieur …
Antoine : Gardien de la pureté …
Moi : Trop long !

On restait un moment à se lancer des idées, des propositions, l'un la lançait, l'autre la rattrapait, la modifiait, rajoutait un mot ou un commentaire … Enfin bref, à un moment je ne sait plus lequel de nous deux à lancé …

'' Garde pur … Purity Keeper ! ''

L'autre lui répondait … 

'' P K … Ce sera la P K Compagnie … la Purity Keeper Compagnie …''
'' Allons proposer ça tout de suite au big boss … ''
'' Mais il dort à l'heure qu'il est ! ''
'' Et alors il aura le mail demain ''

Quand Luc entrait avec son copain Bob ils nous trouvaient à poil devant un ordinateur … Le mail était envoyé et rapidement on passait à autre chose … 

Bob : Ils sont torchés, il y a trois bouteilles de champagne vides …
Luc : Et vous ne nous avez même pas invité à prendre un verre …
Moi : Ça c'est bien passé au resto ?
Luc : Tu as vu comme il me traite Bob, il se débarrasse de moi en me payant le resto …
Bob : Mais … On a pris du champagne au restaurant !
Luc : C'était pas la peine de le dire, maintenant je suis beaucoup moins crédible dans le rôle du jeune frère maltraité …
Antoine : Quelle famille ! 

Un peu fatigué, on ne tardait pas à aller se coucher. Il n'y avait pas de réponse à notre mail dans le reste du week-end mais c'était normal, il n'y a personne au château le dimanche. On oubliait rapidement cette histoire de mail et de nouveau nom pour notre dispositif. Nos études et nos activités sportives nous occupaient pleinement. 

Quelques jours plus tard je rencontrait Alexis par hasard. Il était sur un chantier, c'était la fin de l'après midi et il était en train de ranger ses outils … Il me faisait un grand salut …

Alexis : Alors Djé ça va comme tu veux depuis l'autre jour ?
Moi : Alexis, mais qu'est ce que tu fais là .
Alexis : Mais je travaille moi ! La journée est finie, je te paye un verre ?
Moi : Avec plaisir !

J'étais à pied aussi je montais dans sa voiture et on se retrouvait chez lui rapidement … Il débouchait deux bières et … 

Alexis : Tu m'excuses deux secondes mais après une bonne journée de travail je me prends toujours une douche … Je suis à toi dans quelques instants …

Il disparaissait dans la salle de bain. Pour pouvoir continuer à discuter je prenais ma bière et le suivait dans la sale de bain …

Moi : Ça fait longtemps que tu es ici !
Alexis : Deux ans, je travaille avec Romain depuis que je suis arrivé.
Moi : Et tu vis seul ?
Alexis : Bein oui, célibataire … Mais je sais pas si tu es au courant mais avec cette nouvelle mode de ce truc que tu portes c'est de plus en plus difficile de se trouver une copine. Elles veulent toutes te mettre en cage …

Il était vraiment bien musclé, comme j'aime. L'eau coulait sur tout son corps entraînant une écume de savon, sa peau était lisse. Il me regardait et n'était pas dupe, il savait ou je regardais … Je sentais encore cette pression intense dans ma cage, toujours cette ferme et douce pression qui ne laissait rien paraître, ne provoquait aucune douleur mais ne laissait aucun espoir …

Moi : Et ça n'a pas l'air de te plaire ?
Alexis : Et à toi, ça te plaît ?

C'était une belle queue qui pendait lourdement entre ses cuisses, il était circoncis, et quand il se lavait à cet endroit j'avais l'impression qu'il allait bander … Il ne bandait pas, enfin pas vraiment, sa queue était lourde, elle grossissait mais restait molle et se balançait d'une façon spectaculaire.

Moi : Tu essayes un jour, c'est addictif, et finalement tu ne peux plus t'en passer !
Alexis : Arrête donc de dire des conneries et viens me frotter le dos …

Rapidement je retirais mes vêtements et le retrouvais sous la douche. Je commençais à lui savonner le dos. Mon dispositif se relevait légèrement, il était sous pression... Il se laissait faire puis brusquement se retournait, d'un geste me retournait et me lavait le dos à son tour …

Alexis : Tu as fait une longue séance de sport, et tu avais bien besoin d'une douche toi aussi ! 

Ses mains se promenaient aussi sur mon torse, je les lui caressais, je remontais ses avant bras. Il descendait jusqu'à mes fesses qu'il savonnait bien puis sans prévenir me glissait un doigt dans le cul... Je sursautais. Il me prenait dans ses bras et me serrait contre lui, je passais mes mains derrière lui et tentais de lui rendre ses caresses. 

Il me retournait alors face à lui, il avait un grand sourire et il bandait bien ferme. Il m'embrassait, me mordillait l'oreille et me glissait à l'oreille … 

Alexis : Suce moi la bite …

Je m'exécutais …

Alexis : Oui, vas y, c'est ça prend la bien à fond … C'est bon !

Il me dirigeait la tête avec beaucoup de douceur, et je suivais ses consignes … Bien à fond … Il ne bougeait presque pas, n'avançait pas son bassin, il se laissait faire. Il me laissait faire ! Il se contentait de me caresser les cheveux sans appuyer sur ma tête … Peut être avait-il peur que je m'étouffe … J'en ai vu d'autres ! … Il avait une belle queue, pas énorme mais loin d'être minuscule, une belle taille, bien proportionnée avec au bout un beau gland luisant. Je passais sans me lasser ma langue dessus et Alexis me manifestait son plaisir par des gémissements et des caresses toute en douceur sur la nuque. 

On sortait enfin de la douche et il m'entraînait vers le salon, il s'installait confortablement sur un fauteuil, les jambes écartées … D'un regard il m'invitait à continuer ce que je faisais peu avant. Là encore je m'exécutais, je me plaçais à genoux entre ses jambes et le suçais avec plaisir, mais le plaisir n'était pas que pour moi. 

Au bout d'un long moment, son souffle devenait plus intense. Il me dit d'arrêter … 

Alexis : C'est bon Djé, ne bouge plus, ne touche plus à rien …

Je relevais ma tête et le regardais …

Alexis : Vas donc chercher la bière que tu as laissé dans la salle de bain !

Il prenait la bière qu'il avait laissé sur la table de salon et en avalait une gorgée … J'allais chercher la mienne. En revenant je m'asseyais entre ses jambes et commençais à lui caresser doucement la queue tout en avalant quelques gorgées de bière …

Alexis : Tu es content de toi ?
Moi : Content mais de quoi ?
Alexis : C'est un peu de ta faute si les filles sont comme ça maintenant !
Moi : Les filles ?
Alexis : Elles veulent toutes me mettre la queue en cage !
Moi : Mais j'y suis pour rien moi !
Alexis : Tu parles …

Je recommençais à le sucer, au moins ça le faisait taire … Mais pas longtemps !

Alexis : La dernière voulait bien qu'on sorte ensemble, mais elle voulait aussi que je porte ce truc jusqu'au mariage … La bonne blague, je ne voulais pas de mariage moi ! Je voulais juste la tirer ! Et plus si affinité … Oui vas y ! C'est bon là c'est bon ( j'avais recommencé à le sucer ) … J'ai jamais rencontré une fille qui suce aussi bien que toi !

Moi : ( relevant la tête ) Ça a aussi des avantages. ( je reprenais )
Alexis : Ouai, les filles sont devenues très farouches, mais, heureusement qu'il y a les porteurs, ils sont beaucoup moins farouches eux ! 

Je n'arrêtais pas de le sucer et lui n'arrêtait pas de parler … Je relevais la tête et lui caressait la queue de la main … Doucement, sur toute la longueur en insistant sur son gland, puis je reprenais, je le suçais jusqu'au fond de ma gorge … 

Alexis : Alors là ! Tu me gâte ! Tu fais ça vraiment bien ! Tu sais Romain lui il s'en fou, je crois qu'il est gay mais moi … J'aime bien les filles … Arrête je vais t'enculer !

Je me relevais, il me faisait signe de me retourner et de me pencher en avant sur le fauteuil. Il se relevait, se mettait en position … Je sentais une pressions sur mon anus, il était plutôt doux ce garçon et il y allait doucement. La pression s'accentuait, je me détendais et le laissais passer. Je sentais avec plaisir son pénis glisser dans mon ventre. Ma cage était encore sous pression et se relevait. Il terminait par un léger coup de rein au moment ou il s'introduisait complètement. Je poussais un petit cri de plaisir. Il ressortait et revenait, recommençait et continuait avec ce mouvement, doucement au début puis plus rapide. Un liquide blanc commençait aussitôt à couler de ma PK, c'était une impression agréable.

Alexis restait doux dans ses gestes, il restait également très doux dans les mouvements de son bassin. Il préférait des mouvements amples et réguliers, j'ai connu plus violents et je dois dire que ce n'était pas désagréable ! Rapidement je sentais un plaisir envahir tout mon bas ventre, une sensation de chaleur qui envahissait mon intestin, cette sensation devenait plus forte, plus intense. Je ne contrôlais plus ma respiration, je me cramponnais comme un fou au fauteuil … Je mouillais toujours.

Alexis : J'ai même un collègue de travail qui porte un truc comme ça … 

Je gémissais, c'était bon. 

Alexis : C'est sa femme qui à les clés …

Je me tordais de plaisir, j'avais des convulsions au niveau de mon ventre …

Alexis : C'est elle qui décide quand il peut le retirer …

Je tremblais, je gémissais, je n'avais plus de souffle …

Alexis : Quand elle a envie, elle lui enlève et il peut la baiser …
Moi : Oui, vas y c'est bon ( je hurlais ) 

Alexis ne disait plus rien, il se concentrait enfin sur ce qu'il faisait, son souffle devenait plus fort, plus rapide. Il me tenait plus fermement, me tirait vers lui avec un peu plus de force et finalement je l'entendais gémir, il me prenait fort dans ses bras, je me sentais bien et je l'entendais gémir au moment ou il jouissait dans mon cul. Il ne bougeait plus …

Alexis : Tu te rends compte, c'est sa femme qui décide ! Sans lui demander son avis ! Je suis pas un sex-toy moi ! 

Il se retirait, sa dernière réflexion me faisait rire … 

Alexis : Et ça te fait rire toi cette histoire ! … En tout cas tu as l'air d'aimer ça ! Moi aussi, mais j'aimerais bien une fille aussi pour changer !

On se rhabillait, il m'invitait à rester manger mais je devais décliner, on m'attendait, je n'avais pas prévenu … 

Alexis : Maintenant que tu sais ou j'habite, tu peux venir quand tu veux … On pourra remettre ça !
Moi : Toi pareil !

A la maison, personne n'était arrivé, j'étais le premier. Charles me recevait …

Charles : Justine a téléphoné, elle voulait te parler à toi et à Antoine, elle a dit, 
Moi : Elle t'a dit ce qu'elle voulait ?
Charles : Elle a dit … '' C'est une idée géniale qu'ils ont eu, le big boss est ravis, ils vont encore gagner un tas de fric … '' … Ou quelque chose dans le genre en tout cas … J'en sais pas plus, elle rappelle !

Peu après le téléphone sonnait … Charles répondait …

Charles : Oui madame … Non seul Monsieur Brosso est là … Je vous le passe … ( en aparté ) C'est Justine …
Moi : Allô Justine, ça va …
Justine : Tu sais Djé, l'idée que vous avez eu  Antoine et toi à fait l'unanimité, tout le monde était enthousiaste, Mr Le Conte a décidé d'adopté '' PK '' comme marque pour distribuer les dispositifs de chasteté et il a été décidé que ce serait un féminin !
Moi : Cool ! Et on va gagner combien ?
Justine : Tu ne perds pas le nord toi ! Cent cinquante …
Moi : Chacun ?
Justine : Bien sûr chacun tu va t'imaginer quoi ?
Moi : Net après fiscalité ?
Justine : Toujours … 
Moi : C'est Antoine qui va être content !
Justine : Je te laisse annoncer la nouvelle à Antoine, vous passez me voir dès que  possible pour signer le contrat … Et on vous verse l'argent …

Quand Antoine arrivait je lui racontait …

Antoine : Mais c'est génial ça, on a gagné trois cent mille DI en moins de d'une semaines en faisant presque rien ! Je sens que je vais aimer cette vie …

Il retrouvait ce sourire béat, celui qu'il avait gardé pendant deux jours quand on lui avait annoncé le montant pour les '' droits d'auteur ''.



Ep 45 : ET MAINTENANT ON DEPENSE 



Une bonne partie des étudiants avait quitté le campus, il ne restait plus grand monde, certains étaient sur le départ, d'autres comme moi, Antoine et mon frère avaient choisi de rester. J'étais sous la douche, dans les installations sportives et je laissais longuement l'eau couler sur moi. J'étais seul, j'en profitais … Les étudiants qui en faisaient la demande avaient l'autorisation de retirer leur PK mais quelques uns avaient décidé de la garder, évidemment j'en faisais partie, tout comme Antoine ou Luc ! 

Plusieurs, parmi ceux qui avaient décidé de la garder étaient en voyage, dans l'idée du groupe de sport diverses projets de vacances étaient organisées … Ici il faisait beau, très beau même mais il y avait un groupe en vacances de ski dans le nord du continent. D'autres au bord de la mer dans le sud … Les tarifs étaient très préférentiels et tous les étudiants qui le souhaitaient pouvaient réellement se le payer … Une obligation … Garder la PK !

Les trois premiers mois s'étaient passés rapidement. On n'avait rien vu ! On avait gagné un maximum d'argent, je ne me faisais aucun soucis … Tout allait bien … Antoine et moi étions les meilleurs au sport, on continuait à établir de temps en temps de nouveaux records … L'eau s'arrêtait de couler, j'entendais un léger toussotement. Je me retournais … C'était Germain ! Le garçon que j'avais rencontré quelques mois plus tôt … Le jour de la rentrée il n'avait pas encore reçu sa PK ( on ne l'appelait pas encore comme cela à cette époque ), problème de taille … Je ne pouvais pas me retenir de jeter un œil en direction de sa bite et, surprise, il avait retiré sa PK …

Moi : Tu es là toi ? Tu n'es pas parti ?
Germain : On est bien, non ? Il n'y a personne ou presque, on est tranquille dans nos chambres, le réfectoire reste ouvert … Les installations sportives … Il n'y a pas de couvre feux … C'est les vacances quoi !

Disant cela, il se rapprochait de moi, sa bite énorme se balançait lourdement, il ne bandait pas enfin juste un petit peu, sa queue prenait de l'ampleur mais ne se redressait pas encore. Je le regardais s'approcher et déjà une pression très forte se faisait sentir dans ma PK. C'était agréable et toujours troublant, déjà mon cœur battait plus fort.

Au moment ou il arrivait à ma hauteur il tirait sur la chaîne et l'eau recommençait à couler. Sans rien dire il me prenait dans ses bras, me serrait très fort et m'embrassait. Je le prenais moi aussi dans mes bras et lui rendais  ses baisers. Ma cage était sous pression et je sentais sa queue se relever, elle était de grosse taille et se glissait entre mes cuisses. 

On se caressait l'un l'autre, on se savonnait, je m'étais déjà lavé mais c'est bon de sentir des mains sur son corps. Je promenais les miennes partout sur le sien également et tout particulièrement sur ses parties les plus intimes. Rapidement, je m'accroupissais et commençais à le sucer et à le masturber. Il me laissais faire et continuait à se laver les cheveux … Je lui passais une main entre les fesses, il me laissait faire et me disait simplement de ne pas toucher à son cul, je me retenais, j'en avais envie mais je me retenais et me vengeais sur sa queue. Je l'avalais, je la masturbais sur toute sa longueur, il gémissait de plaisir et m'encourageait à continuer.

On prenait notre temps, on n'avait croisé personne dans le coin depuis un bon moment, on était seul. Il me caressait doucement la tête, appuyait dessus par moment pour bien enfoncer sa queue dans ma gorge. Il y allait doucement me laissant la possibilité de résister si je voulais... J'y mettais tout mon cœur, je tournait ma langue autour de son gland avant d'avaler, j'avalais, je lui caressait les cuisses et les fesses, je retirais ma tête, prenais une bonne respiration et enfin je recommençais.

Il me prenait par le bras et me relevais puis m'entraînait vers un coin de la douche, il me faisait me retourner et je me penchais contre le mur … Il me caressait longuement les fesses, me lubrifiait le cul. Régulièrement il m'introduisait un doigt puis deux et doucement me dilatait le cul, pour finir il m'enfonçait sa queue bien à fond, en un mouvement lent mais décidé, il terminait par un léger mouvement du bassin qui m'arrachait un cri. 

Il ressortait, toujours en un mouvement lent, faisait une courte pause sont gland était toujours dans mon cul, puis enfonçait de nouveau sa queue jusqu'à la garde. Je râlais de plaisir, c'était intense, c'était bon, je jouissais, ça me faisait un petit peu mal, ma PK était sous pression, j'étais bien, j'en redemandais !

Il accélérait le mouvement. Je me cramponnais. Il donnait un coup de rein à chaque fois qu'il arrivait au fond de mon cul. Je râlais puis je gueulais à chaque fois. Je frémissais, je tremblais, mon corps se tordait sans que je ne le contrôle, j'en redemandais, il me le donnais, je pleurais, il n'arrêtais pas. Je le suppliais d'arrêter, il continuait encore plus fort. Je lui hurlais '' Encore '', il se donnait à fond, je pleurais de nouveau, il ne montrait aucune pitié, je convulsais, il y allait de toutes ses forces et donnais maintenant de violents coup de rein. 

Je ne bandais plus, plus aucune pression dans ma PK, je ne contrôlais plus ma respiration, je pleurais toujours, je hurlais, je le suppliais. Un filet de sperme coulait de ma cage, je jouissais, j'avais mal mais je jouissais. Par moment je tentais de hurler mais je ne produisait aucun son, il gueulait à son tour, il éjaculait, il jouissait dans mon cul … Je me tordais dans tous les sens, j'essayais de me dégager mais il me retenais, j'étais en sueur, je n'avais plus de souffle, il respirait fort, il ne bougeait plus. 

On reprenait peu à peu notre calme, il ne bougeait plus, je sentais toujours sa présence en moi et son souffle contre mon oreille. Il se retirait, je sursautais et me détendais. On restait là un moment sans bouger puis on se douchait de nouveau … On finissait par sortir de la douche et des vestiaires …Après s'être habillé bien sûr !

Germain : Bein dis donc, c'était quelque chose !
Moi : Tu avais une grosse envie !
Germain : J'en pouvais plus ! 
Moi : La dernière fois … C'était …
Germain : Avec toi ! Et toi … Tu t'es fait défoncé le cul depuis ce jour ?

Pour seule réponse je lui faisait un sourire …

Moi : Et maintenant tu fais quoi ? Tu reste ici, tu ne pars pas en vacances ?
Germain : Non je reste ici. J'ai rien de prévu !
Moi : Il faudra qu'on se revoit !
Germain : Avec le plus grand plaisir !

On approchait de l'heure du repas, j'invitais Germain et on se retrouvait chez moi avec mes deux camarades, Charles avait tout préparé et une table généreuse nous attendait. Il savait prendre soin de nous, il ne dînait jamais avec nous à table, il avait ses propres appartements, il était installé au rez de chaussée avec Stéphane le valet de chambre de Greg. C'était le compromis au protocole !

Antoine : J'ai envie de faire quelques achats aujourd'hui … Qui m'accompagne ?
Luc : Si c'est pour faire des courses, je suis partant !
Moi : Et tu vas acheté quoi ?
Antoine : Une voiture ! Je vais m'acheter une voiture !
Moi : C'est une bonne idée ça, je crois que je vais aller avec toi !
Luc : Tu vas acheter la même que Mr Le Conte ? J'ai beaucoup aimé sa voiture, elle est super !
Antoine : Elle est peut être aussi au dessus de mes moyens !

Après le repas Germain nous laissait et on allait tous les trois acheter une voiture … On passait tout d'abord devant une concession d'une grande marque … Puis une autre …

Moi : Ils ont des modèles très sympathiques ici !
Antoine : Trop ordinaire !
Moi : C'est pourtant une grande marque …
Antoine : Oui mais vois-tu, je voudrais une marque un peu plus … Luxueuse …

On s'arrêtait finalement devant un concessionnaire de cette célèbre marque allemande très réputée et très chère … Dans les concessions précédentes le prix de départ était de dix mille DI, plus ou moins, ici le prix de départ était de vingt cinq  mille … 

Luc : Ouai ! Ça c'est de la caisse ! Tu as du goût toi … C'est pas avec Jérémy qu'on va rouler dans une voiture comme ça ! Lui il a toujours son vieux truc …
Moi : Luc je te signale que ma voiture roule très bien !
Luc : N'empêche que ça ne roule pas plus mal ce genre de voiture !

On était entré dans la concession et on regardait les voitures de plus prêt …

Moi : Elle ne te suffit pas ma voiture ! De toutes façons je te rappelle que tu n'as même pas ton permis …
Luc : Bob va l'avoir son permis et tu pourrais nous prêter ta caisse … Et là moi je préfère rouler en Mercedes que dans ton vieux truc …
Antoine : Mais c'est pas un peu fini votre délire les gars, la voiture, elle est pour moi !

Un vendeur arrivait …

Le vendeur : Ce sont de très beaux véhicules …

Vous connaissez un vendeur qui vous dira le contraire vous ?

Le vendeur : Mais je ne pense pas que ce soit dans vos moyens …

On s'était arrêté devant un modèle à plus de cent mille …

Le vendeur : Vous ne devriez pas rester ici, allez donc regarder les voiture de l'autre côté de la vitrine …

Un autre vendeur arrivait l'air un peu affolé … Il glissait quelques mots à l'oreille du premier qui changeait immédiatement de ton …

Le vendeur : Excusez moi, je ne vous avais pas reconnu. Si vous souhaitez un renseignement je suis à votre entière disposition … C'est ce genre de voiture que vous voulez vous acheter plus tard …
Antoine : … Plus tard … Oui … Mais plus tard dans l'après midi … On peut repartir avec ?

Le vendeur sursautait à cette question, là il ne s'y attendait pas ! 

Le vendeur : Si vous avez tous vos papiers sur vous … On peut vous faire un contrat de vente, un contrat d'assurance provisoire d'un mois et vous repartez avec la voiture … Vous recevrez dans deux semaines la carte grise … Il vous faudra valider le contrat d'assurance sauf si vous choisissez une assurance annuelle …
Antoine : Bien ! Si on parlait voiture maintenant !

Le vendeur avait complètement changé de comportement, au début il avait vu entrer trois jeunes un peu trop curieux, il avait maintenant devant lui un client sérieux …

Luc ne loupait rien et me faisait remarquer tous les points techniques intéressants en répétant à mon intention les propos du vendeur qui ne cherchait pas à le faire taire !

Le vendeur : Votre jeune ami est enthousiaste !
Moi : C'est mon frère !
Antoine : Quelle famille et il est toujours comme ça !

Au bout d'une petite heure, nous avions fait le tour des modèles disponibles en passant rapidement sur les premiers prix … Le vendeur avait en effet remarqué que Antoine n'était intéressé que par des modèles d'un certain standing … 

Antoine : Celle là me plaît vraiment, vous l'avez en stock ?
Le vendeur : Le temps de remplir les papiers et vous repartez avec !
Luc : Lui aussi il en veut une, il veut la même !

Il me donnait un violent coup de coude dans le dos pour me faire réagir … Je regardais la voiture … C'est vrai qu'elle était magnifique … Justine avait la même et je me souvenais du plaisir que j'avais éprouvé à la conduire … Je me disais … '' J'ai pas besoin de voiture ! … C'est vrai qu'elle est belle ! … La mienne fonctionne très bien ! … C'est quand même une belle voiture ! … Et puis j'ai les moyens ! …

Moi : Vous en auriez deux ? ( avec une toute petite voix … Je craquais ! )
Le vendeur : Aucun problème ! Voulez-vous me suivre dans le bureau. On va faire la demande de prêt !
Luc : Ouééééé ! On a une super voiture maintenant … C'est quand même plus classe !
Antoine : Je paye cash ! Pas besoin de prêt !
Luc : Mon frère il fait pareil il paye cash, il a pas besoin de demander un prêt non plus !

Je ne disais plus rien, je regardais la voiture … Cent vingt mille tout de même … Bon, j'ai les moyens …

Le vendeur qui nous avait reçu de haut nous traitait autrement … Il nous aurait taillé une pipe tellement il semblait content, c'est pas tous les jours qu'on vent une voiture comme ça, alors deux vous imaginez … Bon de ce côté il n'y avait rien à craindre, il ne risquait pas de nous tailler une pipe mais moi je lui aurait bien sucé la queue, il était plutôt mignon le mec … Pendant que nous réglions les formalités deux voitures étaient emmenée devant le bureau de vente, c'était pour nous, Luc disparaissait et allait s'installer dans une des voiture, il ne cachait pas son plaisir de se retrouver dans une voiture de luxe … 

Le vendeur : Votre jeune frère a l'air content de votre achat !
Moi : C'est un peu de sa faute, il m'a un peu forcé la main ! 
Le vendeur : Vous ne regrettez pas j'espère !
Moi : Non, j'ai les moyens de me faire plaisir, j'ai souvent conduit une voiture comme celle-ci, c'est vraiment très agréable …
Le vendeur : Il y a une avocate dans la ville qui a la même voiture que là votre !
Moi : C'est à sa voiture que je pensais …

Le vendeur semblait surpris que je connaisse Justine mais bon maintenant qu'il savait qui nous étions …  

Luc débarquait brusquement dans le bureau …

Luc : Des Rolls ? Vous n'avez pas de Rolls ici ?
Le vendeur : On peut en avoir mais uniquement sur commande !
Moi : Luc, là tu exagères et là c'est au dessus de mes moyens …
Le vendeur : C'est sûr, c'est vraiment beaucoup, beaucoup plus chèr !
Luc : Oui mais c'est encore mieux ! Bon on va faire avec … Pas trop le choix !

Je levais les yeux au ciel, le vendeur et Antoine rigolaient …

Antoine : Quelle famille ! Et il est toujours comme ça !

Le garage reprenait mon ancienne voiture, et on repartait avec deux très belles voitures, Luc était à l'avant à coté de moi, il était tout fou, tout content … Un vrai gosse ! 

Le soir le téléphone de Luc sonnait …
  
Luc : Oué salut Bob ! Ça va toi ! … Quoi ? … Mais pourquoi ? … Non je te jure elle n'est pas là … Bouge pas j'arrive !

Il sortait comme une furie. Je n'avait pas le temps de comprendre ce qui se passait, j'allais à la fenêtre et je voyais Bob de l'autre côté de la rue, il avait l'air un peu bizarre … Luc arrivait vers lui, ils discutaient un moment puis revenaient vers l'entrée de l'immeuble, au passage Luc lui montrait la voiture, il en faisait plusieurs fois le tour, gesticulait … Ils rigolaient … Ils entraient .

Quelques instants plus tard ils arrivaient tous les deux dans l'appartement.

Moi : Quelque chose ne va pas Bob ?
Bob : Non tout va bien mais je croyais que Justine était là !
Luc : Elle a la même voiture !
Bob : Et quand elle est là je sais plus ou me mettre moi ! Elle me taquine tout le temps !
Moi : Il ne faut pas que tu te laisses intimidé par elle !

Tout le monde était en vacances aussi Bob s'installait à demeure avec nous pour les vacances. Dans les jours qui suivaient je faisais mes comptes … Il me restait une jolie somme dont je n'avais pas besoin … Deux jours plus tard j'avais une idée … Je passais dans une agence immobilière qu'on m'avait conseillé !

L'agent : Bonjour que puis-je faire pour vous ?
Moi : J'aimerais acheté une appartement !
L'agent : ( visiblement surpris ) Un héritage sans doute ? C'est pour y habiter ou dans le but de faire un placement, le mettre en location …
Moi : Je suis très bien logé pour le moment je pense donc le mettre en location …

On parlait un long moment pour définir mon projet. Je pouvais investir jusqu'à quatre cent mille, l'agent immobilier me conseillait l'achat de deux appartements. La location pourrait me rapporter plus de mille cinq cent DI nets par mois … Je n'avais pas pris de rendez-vous mais quand on propose un tel contrat à un agent immobilier il trouve tout de suite un peu de temps libre pour organiser une visite …

Moins d'un quart d'heure plus tard on se retrouvait à visiter un appartement … L'agent immobilier était jeune, un peu plus âgé que moi, mais il n'avait pas plus de vingt cinq ans. Il me semblait lire dans ses yeux … Un regard … Peut être insistant sur ma musculature … Il me semblait remarquer comme une grosse bosse dans son pantalon … Porteur ou bien monté ? J'aurais bien aimé le savoir ! Ma queue se manifestait comme souvent devant une telle interrogation !

Moi : Il fait chaud en ce moment !
L'agent : L'été n'est pas encore fini … Mais la douche fonctionne ( il actionnait le robinet ) …
Moi : On peut se rafraîchir … 
L'agent : ( en rigolant ) Si ça peut vous faire plaisir ! Personne ne viendra vous déranger !

En quelques instants je me déshabillait. Je vous ai déjà dit que je ne porte pas de sous vêtements ? … Il me semble que oui ! …

Ses yeux lui ressortaient des orbites quand il le remarquait et qu'il voyait ma PK. Suivait une grand sourire …

Moi : Tu n'as pas chaud toi, il paraît que personne ne viendra nous déranger !

Rapidement il se déshabillait également et j'avais la réponse à ma question … C'était pas un porteur, il était bien monté ! Il bandait immédiatement ! Il me retrouvait sous la douche … La pression était au plus fort dans ma cage, ma queue exerçait des secousses qui relevaient tout le dispositif vers haut , je ne le contrôlais pas, c'était pas désagréable mais je pense que l'agent immobilier l'a remarqué.

Lui : Vous les porteurs en général vous n'êtes pas farouches …
Moi : Monsieur est connaisseur !
Lui : J'en ai rencontré d'autres ! Celui qui a eu l'idée de lancer cette mode à vraiment eu une idée géniale, je suis pour !
Moi : Mais tu n'en portes pas !
Lui : Pas pour moi, mais pour les autres, je ne me suis jamais fait autant de mecs que depuis que cette mode à été lancée !

Il me caressait, me mordillait dans le coup, me suçait les oreilles …

Lui : Vas-y, suce moi !

Je m’exécutais. Il était bien monté et il aimait ça … Rapidement il m'enfonçait sa queue jusqu'au fond de la gorge, il me retenait fermement la tête et agitait vigoureusement son bassin d'avant en arrière. Tout ce que je pouvais faire c'était ouvrir la bouche en grand et encaisser … J'encaissais !

Lui : Relève toi, retourne toi et penche toi en avant !

Il savait ce qu'il voulait et il y venait directement ! Je faisais ce qu'il m'avait dit. Rapidement il me lubrifiait le cul et m'enfonçait sans ménagement sa queue sur toute sa longueur, pour bien marquer le mouvement il balançait un violent coup de rein et m’arrachait un cri ! Ma queue convulsait.

Sans attendre il commençait à me labourer le cul, il se retirait presque entièrement puis d'un violent coup de rein son ventre venait claquer contre mes fesses. Il passait un bras autour de mon coup et me relevait, il m'embrassait sur l'épaule, dans le coup. Il ne mollissait par pour autant ses coups de rein. Je râlais de plaisir, un peu de douleur mais surtout de plaisir … Il me serrait contre lui, me caressait le ventre, une main descendait jusqu'à ma PK, il me massait les couilles, je le laissais faire … 

La violence de ses coups redoublaient, je râlais plus fort … Il insistait, je gueulais … Il continuait sans s'inquiéter de mes râles, je hurlais … Il respirait fort. Il continuait au même rythme et c'est sans prévenir qu'il hurlait à son tour au moment ou il jouissait dans mon cul. Il restait là, un long moment sans bouger, il me tenait fermement dans ses bras, j'étais appuyé contre le mur de la douche, il s'appuyait sur moi. 

Il finissait par se retirer, on se séchait, on se rhabillait …

L'agent : Alors l'appartement, tu le prends, il te plaît ?
Moi : Il est à combien ?
Lui : Cent quatre vingt … Ça te fait une rente de plus de plus de sept cent par mois !
Moi : Et en dessous il n'est pas à vendre ?
Lui : Au même prix, si tu préfère un étage moins élevé …
Moi : Je préfère les deux … 
Lui : Les deux ?
Moi : Les deux, je prends les deux !
Lui : Mais c'est que tu n'est pas seulement un bon coup toi ! Tu es aussi un bon client ! Tu repasses à l'agence quand tu veux !




Ep 46 : UN AIR DE VACANCES



J'avais fait un bon placement, les deux appartements me rapporteraient largement plus de mille DI par mois, c'était plus que le budget initial que j'avais seulement deux ans plus tôt … Je conservais toujours la possibilité de revendre un appartement si nécessaire. On ne sait jamais ce que l'avenir nous réserve. Je prenais bien sûr Luc à ma charge financièrement, nos parents tenaient absolument à me verser suffisamment d'argent pour ses frais mais comme vous l'avez constaté j'étais pleins au as, je lui en reversais donc un partie en argent de poche et plaçais le reste sur un compte épargne … Il faut savoir rester prévoyant … Tout le monde était contant et Luc est un garçon adorable et tout à fait raisonnable il ne me posait aucun problème. Un peu bourrique quand il s'y met mais c'est son plus gros défaut. 

Il restait encore plus d'une dizaine de jours avant la fin des vacances. Je recevais un message d'un pasteur d'une de ces églises moralisatrice qui se référait souvent à moi dans ses prêches. Le bon pasteur m'invitait à venir faire une conférence … Il n'avait bien sûr pas les moyens de me loger, ni de me rétribuer … 


Moi ( dans ma tête ) : Tiens donc, ces mouvements religieux sont toujours aussi radins … Quand on s'imagine qu'ils sont exonérés d’impôts … Pfff !

J'y voyais là une opportunité … Je téléphonais à Justine !

Moi : Bonjour, Jérémy Brosso pourrais-je parler à Justine ?
Alicia ( La secrétaire ) : Mais enfin monsieur Brosso Mme Justine ne peut pas prendre des gens que nous ne connaissons pas au téléphone … Désirez-vous prendre un rendez vous …
Moi : Alicia ! Tu ne me reconnais pas ? Mais enfin, j'ai fait un stage dans vos bureaux il n'y a que quelques mois ! Enfin … Djé ! Tu ne te souviens pas ?
Alicia : Djé ! Mais c'est toi ? Pourquoi tu ne le dis pas tout de suite ? Tu t'appelles Jérémy ? ...

Alicia est une fille adorable mais je saute une partie de la discussion pour en arriver au vif du sujet …

Alicia : Mais c'est que je ne peux pas te passer Justine, elle est actuellement en réunion … Mais tu sais, tu n'as pas besoin d'elle … Tu passes quand tu veux … Tu signes le document et c'est tout … Je suis là moi !
Moi : Mais de quoi tu parles ?
Alicia : Enfin je parle du contrat, et ton copain Antoine il passe quand il veux lui aussi … Ceci dit, les jeunes, ne traînez pas c'est tout de même une grosse somme …
Moi : Je ne comprends rien à ce que tu me racontes … Je voulais juste parler à Justine pour lui demander un conseil … 
Alicia : Je me disais aussi que tu étais rapide … Je ne l'ai envoyé qu'il y a quelques instants ce message … Bon je t'explique … C'est simple, c'est encore un versement sur vos droits d'auteurs à toi et à Antoine … Une jolie petite somme de deux cent cinquante mille … Chacun … Alors tu appelle pour autre chose …
Moi : C'est une jolie somme, c'est Antoine qui va être content … Mais moi je voulais juste un conseil …
Alicia : Tu veux que je te passe Joss ?
Moi : Oui … S'il est libre …

Finalement je discutait avec Joss, il est avocat lui aussi. Selon lui, c'était une bonne chose que le religieux ne me donne aucune rétribution … En effet de ce fait je n'avais aucun engagement avec lui … Je serai donc totalement libre de mes propos … On prenait des nouvelles, il me parlait de ce nouveau versement … Je lui parlais de ma voiture … La même que Justine …

Joss : Tu as aimé conduire cette voiture toi !

… 

Un peu plus tard alors que je me préparais à partir pour faire la conférence Antoine arrivait.

Moi : Tu as reçu le message de Justine ?
Antoine : Message de Justine ? Non ! Et  elle nous raconte quoi ? …

Je luis expliquais .

Antoine : C'est une bonne saison ça, on est riche … Tu as placé ton argent ou toi ?
Moi : Dans l'immobilier !
Antoine : C'est une idée ça ! Je vais peut être faire pareil !

Luc n'avait pas l'intention de me laisser partir seul … Un voyage ! Il voulait en faire partie … On logerait à l'hôtel … Alors pas question de louper ça. On sonnait à la porte, Charles allait ouvrir … C'était Bob qui débarquait avec un sac à dos bien rempli. 

Luc : Je t'avais dit de voyager léger … On ne va pas faire de camping, on sera à l'hôtel …
Bob : Mais j'ai pas pris grand chose … 
Moi : ( je n'avait pas tout entendu ) Tiens Bob tu vas faire du camping ?
Luc : Bein non, il ne va pas faire de camping justement, il vient avec nous !
Moi : Il vient avec nous ?
Luc : Bein oui ! On est en vacance !
Moi : Et tu n'aurais pas oublié de me prévenir ?
Luc : Je te l'avais pas dit ? ( avec une toute petite voix )

Je levais les yeux au plafond .

Moi : Mais quelle bourrique ! 

Antoine rigolait dans son coin, Charles aussi et pendant qu'il débarrassait Bob …

Bob : Je ne voudrais pas déranger ! Si ça pose un problème …
Luc : Mais non ça ne pose aucun problème ! … Ça ne pose aucun problème dis Jérémy ?
Moi : Tu es le bienvenu Bob ! Ça ne pose aucun problème !

Après un rapide passage au cabinet de Justine on prenait la route. Je conduisais, Bob s'était installé à l'arrière, Luc était au téléphone et réservait des chambre dans un hôtel … Pendant le trajet je recevais deux nouvelles demandes de conférence par d'autres groupe religieux … On y arrivait, depuis des mois ces groupes utilisaient mon image pour leurs propagandes, le jour de la mise au point arrivait …

Moi : Luc, j'aimerais que tu te renseigne sur les salles dans lesquelles les conférences doivent avoir lieu … Dans le cas ou il y aurait des annulations il faudrait les louer immédiatement et confirmer la conférence …
Luc : Toi tu es en train de comploter quelques chose !
Moi : J'ai une petite idée dans ma tête !

Au bout d'une heure je m'arrêtais … Je descendais de la voiture et m'installant à l'arrière …

Moi : On m'a dit que tu venais d'avoir ton permis Bob … Vas y montre nous ce que tu sais faire !
Bob : Mais, je ne sais pas, je viens juste d'avoir mon permis et ta voiture est … neuve … je ne voudrais pas …
Moi : Si tu viens d'avoir ton permis c'est que tu sais conduire … Moi je vais me reposer un peu … Tu n'as qu'à suivre le GPS ! Réveillez moi quand on sera arrivé !

Il conduisait très bien finalement, et il était tout content en fin de compte ! On roulait tranquillement et c'est vers la fin de l'après midi qu'on arrivait à l'hôtel que Luc avait réservé.

Le réceptionniste : Bonjour, c'est vous qui avec loué deux chambres ? … Vous êtes trois !
Luc : Oui, mais le big boss est radin et il tient absolument à avoir une chambre pour lui tout seul ! Nous on est obligé de se serrer …
Moi : Ne l'écoutez pas ! Mon jeune secrétaire n'est pas très doué dans son nouveau travail … 
Le recep : Il n'y a qu'un lit dans la chambre …
Luc : On va faire avec … Pas trop le choix … Je sais c'est pas une vie …
Moi : Si tu continues Luc je t'oblige à prendre une chambre pour toi tout seul !
Luc : Ok ! Je dis plus rien !

Il ne rajoutait plus rien et montait s'installer avec son copain dans leur chambre. Le bon pasteur me téléphonait, je fixais un rendez-vous pour visiter la salle ou la conférence aurait lieu. C'était une grande salle qui appartenait à une riche paroissienne qui la louait pour des spectacles. La sono, les sièges, tout était fourni avec. 

Le pasteur : Je suis très heureux de vous rencontrer Djé ! Vous ne pouvez pas savoir comment il est difficile d'inculquer à ces … branleurs ( prenant un ton méprisant ) … des notions d'hygiène physique et mentale ces gamins ne pensent qu'à se tripoter et voir un exemple comme vous est réconfortant …
Moi : Branleurs … C'est vraiment un problème à leur âge ? Ils ont quel âge au fait ?
Le pasteur : Ils vont avoir quinze ans pour les plus vieux, et je peux vous garantir qu'ils n'ont pas la moitié de vos qualités !
Moi : Il ne faut pas être si sévère. Ils sont très jeunes ! Au fait je suppose que vous êtes vous même porteur ?
Le pasteur : Moi ! Mais vous n'y pensez pas ! Je suis marié, je n'ai d'ailleurs jamais porté ce genre de truc ! C'est bon pour les branleurs ! … Heu ! … Sans vouloir vous offenser ! Pour vous bien sûr, la situation est différente …
Moi : Ma mission sera donc de leur parler …
Le pasteur : ( me coupant la parole ) De les mettre en garde contre la dégradation de la masturbation , c'est bestial ! De les avertir des dangers des tentations qu'ils peuvent avoir à leur âge, l'homosexualité est criminel et dégoûtant ! De les encourager à prendre de bonnes habitudes, le travail et le sport ! Le sexe, ce sera plus tard quand ils seront mariés, et uniquement pour la reproduction … Pour autre chose c'est sale ! …

On se saluait … En revenant à l'hôtel j'étais perplexe … Ce religieux ne me paraissait pas vraiment sympathique … Il ne portait pas le dispositif voulait tout de même l'imposer ! Je n'étais là que pour assurer la propagande … Dans ma tête je commençais à rédiger ma conférence …

Je retrouvais Luc et Bob à une table à côté de la piscine. Les deux tourtereaux étaient totalement décontractés, ils ne se pelotaient pas, non ! Quand même pas ! Mais à plusieurs reprise je remarquais que Luc posait la main sur le bras de son camarade … Pas comme on le fait avec un camarade mais comme ils le font à la maison … J'avais comme l'impression que je n'étais pas le seul à avoir remarqué ce petit détail, il y avait le barman qui les regardait assez régulièrement. A chaque fois que je regardais dans sa direction il me rendait mon regard avec un sourire qui me semblait … Comment dire ? … Non c'est une impression ! Il est mignon et je prends mes rêves pour des réalités … 

Plus tard on passait à table, la discussion était vive …

Bob : Tu m'as dit qu'il ne fallait pas porter ce truc si tu ne le voulais pas ! Que tu ne voulais contraindre personne et demain tu vas faire une conférence … Tu vas leur dire quoi au juste ?
Luc : Il va leur dire que même si tu porte une PK tu peux te faire plaisir avec un petit copain bien monté qui te défonce le cul !
Bob : Tu n'es pas sérieux Luc … 
Luc : Moi ! Je ne suis pas sérieux ? J'ai pas dix huit ans et je suis porteur ! Et je ne suis pas sérieux ! Mais moi aussi je suis un exemple … Si on ne rentre pas trop dans les détails !
Moi : Oui mais tu as aussi un petit copain bien monté qui te défonce le cul régulièrement !

Et vlan ! J'avais oublié que Bob pouvait changer de couleur très facilement … Ou alors c'était peut être parce qu'il s'était rendu compte que le barman avait entendu … Enfin ça faisait longtemps que je ne l'avait pas vu devenir tout rouge de confusion … Le barman ne cachait pas un large sourire amusé.

On traînait encore un moment en terrasse après le repas, la température était agréable … Luc et Bob allaient se coucher et je restais à travailler sur mon discours. Le barman venait vers moi …

Le Barman : Vous désirez quelque chose ?
Moi : Non ça va tout est parfait.
Le B : Vous êtes le célèbre étudiant sportif … Djé ?
Moi : Oui … Célèbre … Je ne sais pas !
Le B : Oh si vous êtes célèbre … De nombreux pasteurs vous prennent en exemple … Chasteté … Abstinence … Austérité … Refus du confort matériel … Travail … Honnêteté … Loyauté … 
Moi : Eh bien on en dit des choses sur moi … C'est un peu exagéré tout ça !
Le B : Vous n'êtes pas le fanatique qu'on nous décrit ?

Il s'asseyait à côté de moi.

Moi : Non je ne suis pas fanatique …

On me parlait souvent de mon fanatisme … Enfin les personnes qui ne me connaissaient pas, ceux qui étaient proches et même plus ou moins proches ne me parlaient jamais de fanatisme. Mais quand je rencontrais des gens qui ne me connaissaient que par l'image que les moralisateurs donnaient de moi, ils me prenaient tous pour un fanatique ... 

Moi : Pour ce qui est du … Travail, Honnêteté, Loyauté … Je ne dis pas. Ce sont des valeurs qu'il faut savoir défendre. Pour ce qui est du … Refus du confort matériel ... Vous avez vu ma voiture ? Je vis dans un appartement de grand standing et j'ai un domestique à ma disposition …
Le B : Et pour ce qui est du … Plaisir … ?
Moi : Le … Plaisir … J'ai rien contre bien au contraire …

La discussion continuait encore un moment. Les questions habituelles, je rectifiait les faits. Il se rapprochait de plus en plus de moi. Son genou venait à toucher le mien, je ne bougeais pas. Il m'avouait qu'il ne portait pas … '' Ce truc bizarre '' … Comme il disait. Qu'il ne connaissait personne dans ses proches qui en portait … Il ne cachait pas une certaine curiosité sur le truc. Il posait sa main sur mon genou, je posais ma main sur la sienne …

Le B : Pas ici ! Viens, j'ai une chambre juste à côté, personne ne nous dérangera !

Je le suivais. On passait derrière le bâtiment destiné à l'intendance. Il était logé dans un petit appartement, pas très grand mais il y était tranquille, et c'était confortable. 

Il me prenait dans ses bras et doucement, presque timidement m'embrassait. Aussitôt je l’enlaçait également et lui rendait ses baisers. C'était une tendre, il était plein de douceur, plein de tendresse. J'aime bien ça moi aussi. On se caressait mutuellement et on s'embrassait, sur les lèvres, dans le coup, il me donnait quelques baisers d'une grande douceur sur les paupières, je fermais les yeux et je m'abandonnait totalement à cette douceur. C'était ce que j'appelle une surprise, une très bonne surprise.

Doucement je déboutonnais sa chemise en commençant pas le haut. Doucement je glissait un baiser sur le haut de son torse, à chaque bouton … Il penchait la tête en arrière et fermait les yeux, lui aussi s'abandonnait à ma douceur. On partageait un moment de grande tendresse. Il faisait sauter quelques bouton de ma chemise y glissait une main et me caressait le torse. Je penchais la tête sur le côté et en réponse lui donnais de très doux et très tendre baiser dans le coup.

Les caresses réciproques devenaient plus fortes, toujours aussi douces mais plus insistantes … Les chemises étaient désormais ouvertes et déjà commençaient à tomber … On était torses nues … Je le prenais fermement dans mes bras, il me le rendait. Sa main se glissait désormais sous ma ceinture, dans mon dos et me caressait le haut des fesses, un doigt se glissait entre mes fesses. Je lui ouvrais sa ceinture, son pantalon et lui baissait la braguette. Il me laissait faire.

Son pantalon tombais sur ses pieds, je me penchais alors et passait doucement ma langue sur son gland, il bandait déjà fermement. Je bandais aussi mais rien de dépassait. La pression qui s'exerçait contre ma cage était intense. J'appréciais cette frustration tant le dispositif était confortable … C'était une douce, ferme, intense pression qui s'exerçait sur ma queue. Aucune douleur, aucune gène ne se manifestaient … Sa queue était douce et il gémissait quand ma langue passait sur le dessus de son gland, il sursautait quand elle lui caressait le frein, il se crispait quand sa bite s'introduisait dans ma bouche. Je le sentais se contracter, se tendre. Sa main se refermait sur mon épaule, son autre main me caressait la nuque.

Il n'exerçait aucune pression sur ma tête. Je sentais qu'il se retenait, de peur sans doute d'être trop violant. Il me caressait l'arrière de ma tête, par moment je sentais une pression, il tirait ma tête vers lui puis il relâchait. Je passais alors mes mains derrière ses cuisses, tout en haut des cuisses, et le tirais alors fermement vers moi. J'avalais sa queue jusqu'à la garde. Il retirait ses mains, ne me touchait plus et me laissait faire en poussant un long gémissement de plaisir …

Il m'encourageait, il balançait son bassin d'avant en arrière. Je relevais les yeux, il regardait vers moi avec un large sourire de satisfaction. Il avait les bras qui pendaient le long de son corps. J'attrapais ses mains et les posais de chaque côté de ma tête, il comprenait et commençait alors à me caresser les cheveux puis à appuyer sur ma tête. Quand il avançait son bassin il tirait alors ma tête vers lui et quand il reculait son bassin il écartait alors ma tête. Je me retirais, me léchait les lèvres, lui faisait un grand sourire puis reprenait avec encore plus de vigueur ... 

Les mouvements devenaient plus réguliers, plus rapide, plus amples. Ses gémissements également. Je me retirais régulièrement, reprenais mon souffle et y retournais. Sa queue entrait et ressortait de ma gorge avec douceur, de plus en plus vite. Il gémissait de plus en plus fort. Je le sentais qui se contractait … Un mouvement violent du bassin, comme une convulsion. Un mouvement plus ferme de ses mains, il attirait alors ma tête avec fermeté. Son souffle devenait fort, violent, il râlait, il gueulait de plaisir … Je recevais une grosse giclée de sperme dans la bouche, elle était aussitôt suivie par une seconde giclée tout aussi importante puis de quelques autres moins importantes. Je continuait à lui sucer la queue, il se tordait, se tortillait, je le retenais, il essayait de se dégager, je le retenais et c'est en riant qu'il me disait d'arrêter …

Je le relâchait, il se retirait en riant, il commençait déjà à débander. Je me léchais les lèvres, il me souriait, je lui rendais son sourire et je me relevais. Il me prenait alors dans ses bras et me donnais un baiser d'une extrême douceur sur l'épaule, juste à la base du coup, ça me chatouillait et me provoquait quelques frissons …

Lui : Heureux d'avoir fait ta connaissance Djé ! 
Moi : Moi aussi … Euh … ?
Lui : Régis …

On se laissait tomber sur son lit, il ne me lâchait pas. Moi non plus je ne le lâchait pas …

Régis : Alors comme ça … Tu es venu faire une conférence sur l'abstinence … ?
Moi : Je ne sais pas si je vais aborder le sujet !
Régis : La chasteté alors ? 
Moi : En tout cas c'est ce que voudrait ce bon pasteur !
Régis : Ils nous parlent toujours de la même chose !
Moi : Oui mais … Ils ne portent pas tous ce truc … Eux !
Régis : Comment ça ?

Je lui racontait la rencontre avec le bon pasteur …

Régis : Et il nous fait la morale en nous disant qu'il faut porter ce genre de truc …
Moi : Eh oui, le fanatique … C'est pas moi !



Ep 47 : UN BON PASTEUR 



Je rentrais dans ma chambre un peu plus tard et je veillais tard pour rédiger mon discours. Je n'avais pas joui mais j'avais passé un bon moment avec Régis et j'y repensais toute la soirée. Le pasteur voulait un discours fanatique, il ne portait même pas le dispositif … Il voulait pourtant l'imposer … Il ne devait pas s'amuser tous les soirs avec sa femme … Je me demande même s'il s'amusait autant que moi … Au niveau sexuel je veux dire ! Probablement pas.

Selon lui, la masturbation c'est dégradant ...
Le sexe, c'est sale …
L'homosexualité c'est criminel …
Le sexe c'est exclusivement un moyen de reproduction … 

De toutes évidence, il rejette les plaisirs du corps. Il doit refuser la jouissance et cherche à  l'interdire aux autres. Je me disais qu'il risquait de ne pas aimer ce je j'avais à dire. Je me souvenais de ce que Joss m'avait dit … Je n'avais aucun engagement avec ce pasteur … J'étais libre et responsable, seul responsable de mes propos et totalement libre.

Je remettais de l'ordre dans mes idées et passais une bonne nuit pleine de rêves de caresses dans lesquels un barman adorable me prenait dans toutes les positions …

Le lendemain, Régis n'assurait pas le service, il ne reprenait que l'après midi. Ce enfoiré aurait pu me prévenir, nous aurions dormis ensemble … Pendant que mes camarades s'amusaient dans la piscine, je travaillais à mon discours. Chaque fois que je regardais mon frère je pouvais constater qu'on ne décelait rien. Sa PK était totalement invisible, même avec un maillot de bain. C'est très exactement ce qu'on avait voulu faire. Bob aurait pu en porter un, le résultat aurait été le même … Sauf peut être que dans ce cas il n'aurait pas eu les légères réactions qu'il semblait avoir. Mais là peut être que je fantasmais … 

Je ne parlais presque pas pendant le repas, j'étais déjà dans mon discours. Un peu tendu, comment le public allait-il réagir ? El le 'bon' pasteur … Bon on peut imaginer que lui il ne serait pas content … Mais ça c'est pas grave !

Si moi je ne disais rien et restait particulièrement calme, ce n'était pas le cas de mon petit frère... Il faisait le mariole, se faisait remarqué …

… Tu veux pas que je témoigne pendant ton discours dis Jérémy ? …
… Tu vas leur parler de moi ? …
… Tu sais Jérémy tu pourrais leur dire que toute la famille est convenable …
… Je pense que je serais un bon exemple si tu parles du truc …

Moi : Et de ton petit copain qui a une grosse queue et qui lui ne porte pas ? Je sais pas si tu serais un bon exemple …

Un court instant j'avais oublié que Bob … Il avait pris des couleurs …

Luc : C'est malin, maintenant il est tout rouge !
Moi : Bob … Mais quand vas-tu perdre cette drôle d'habitude de virer au rouge dès que qu'on te dit quelque chose de …
Bob : C'est pas ma faute ! Je ne le fais pas exprès !
Luc : En tout cas je confirme, il a une grosse bite !
Bob : Mais … Luc … 
Moi : Alors là c'est pas moi, j'ai rien dit là !
Bob : Vous n'allez pas vous y mettre tous les deux, c'est comme avec Justine, ton avocate Djé … Elle me fait ça à chaque fois qu'elle me voit.
Moi : Et elle te fais quoi Justine exactement ?
Bob : Elle fait comme vous en ce moment, elle m'embête !
Moi : C'est parce qu'elle t'aime bien !
Bob : Ouai, mais moi je préférais qu'elle m'aime un peu moins bien !

On terminait le repas et on se préparait pour partir. Je confiais les clés à Bob, il avait repris ses couleurs … Enfin je veux dire ses couleurs normales … Il ne nous fallait pas longtemps pour arriver à la salle de conférence ... On était reçus par un groupe d'étudiants de mon âge. Le pasteur n'était pas arrivé, il faut dire qu'on était très en avance. Rapidement on faisait connaissance. Le plus grand Dominique, il faisait une tête de plus que moi, semblait être le responsable, c'est lui qui donnait les consignes et qui avait les clés. Il me faisait entrer, et tout en discutant me faisait visiter les coulisses. Rapidement on se tutoyait.

Dominique : Tu as visité la salle ?
Moi : Oui, c'est pas mal ! On m'a dit que tout était fourni, sono …
Dominique : Tout est fourni, la salle est livrée clé en main, prêtée gracieusement par une paroissienne !

On entrait dans le sujet …

Dominique : Dis moi Djé, ton truc tu le portes vraiment tout le temps ?
Moi : Bein oui ! Tout le temps !
Dominique : Moi ça me fait peur, le pasteur il voudrait qu'on en porte tous un … Même les plus jeunes …
Moi : Tu en penses quoi toi ?
Dominique : Et bien moi, j'ai pas vraiment envie. El pour les plus jeunes … Je ne sais pas, au début  il parlait d'un âge de quinze ans, puis de quatorze, maintenant il nous dit douze ans et moins même si on veut le croire !
Moi : Dès le début de puberté pour les garçons !
Dominique : Dès que le gamin a sa première érection !
Moi : Je ne sais pas si c'est vraiment sain … En fait, je suis convaincu que ce n'est pas sain du tout !
Dominique : C'est un fanatique !
Moi : C'est l'impression qu'il m'a fait !
Dominique : Tu me montres ton truc ?

Nous étions arrivé dans un endroit discret ou on ne risquait pas d'être surpris aussi sans aucune hésitation je baissais mon pantalon. Les yeux lui ressortaient de la tête et ne pouvait plus détourner son regard. Rapidement il posait un main sur son entre-jambe, mal à l'aise. J'y devinais une bosse qui grossissait et qui semblait le gêner.

Moi : Tu me montres ta bite ?

Il relevait les yeux, visiblement surpris par ma question. Puis tout en me regardant droit dans les yeux il ouvrait sa braguette et sortait sa queue. Il bandait ferme, c'était  un beau morceau, j'approchais ma main, il n'essayait pas de l'écarter. Je lui caressait la queue qui durcissait en plus et se redressait complètement, je me penchais et la prenait dans ma bouche. La pression de ma queue se manifestait dans mas PK.

Au début il ne semblait pas réagir, il n'osait plus bouger, il gardait les bras raides sur les côtés de son corps. Puis, petit à petit je sentais une main qui me caressait les cheveux, une deuxième main. Il me caressait la nuque, appuyait légèrement ma tête vers lui, il avançais instinctivement son bassin avec des mouvements lents et réguliers, moins lents mais toujours aussi réguliers, quelques mouvements violents et rapides qu'il retenait aussitôt. 

Je glissais une main entre ses cuisses et le tirais vers moi, j'avalais alors sa queue sur toutes sa longueur, c'était un beau morceau mais j'avais vu pire. Il respirait fort, je levais les yeux vers le haut, il avait penché sa tête en arrière et gémissait de plaisir. Ses mains me retenaient fermement la tête et me tiraient vers lui de plus en plus fermement. Je ne résistais pas, bien au contraire c'est moi qui imprimais le mouvement, et j'accélérais. Il ne faisait que me suivre, j'opposais une résistance, il s'arrêtait … Je recommençais il reprenait doucement puis plus rapide, plus fermement et par moment il semblait se lâcher et avait un mouvement violent, je recevais alors sa queue au fond de la gorge, et poussais une gloussement qui semblait le ramener à un mouvement plus calme. 

Je lui caressais les cuisses, il me caressait le visage, passait ses mains sur mes joues, revenait sur les cheveux puis sur la nuque, quelques mouvements rapides et fermes en retenant ma tête et il reprenait des mouvements doux, lents et réguliers. Ma bite était à sa pression maximum, ma PK se retrouvait soudainement toute petite, j'étais à l'étroit. C'était sans douleur mais j'avais envie de me tripoter, de me branler … Je ne portait même pas ma main à mon sexe, c'était inutile ! Il n'y avait aucun espoir pour moi !

Ses mouvements devenaient plus amples, toujours lents mais réguliers et amples. Il retirait sa queue entièrement de ma bouche, je reprenais mon souffle et il me l'enfonçait de nouveau entièrement jusqu'au fond de la gorge en un mouvement lent, ample mais décidé. Il arrivait au font de ma gorge et terminait alors par une mouvement violent écrasant son bas ventre contre mon visage, violent et rapide, un peu comme une convulsion qui lui aurait échappé. Il se retirait, il gémissait fort maintenant, il revenait à la charge et terminait de nouveau par un coup de rein encore plus violent, il se retirait rapidement pour revenir aussitôt sans plus se retenir alors. Je recevais de nouveau sa queue dans ma gorge avec un violent coup de rein, il maintenait la pression, appuyait sur ma tête de toutes ses forces, je tentais de me dégager, il me retenait, il ne voulait pas lâcher. Il respirait fort, il gémissait, il allait éjaculer, je ne pouvais plus respirer, je tentais de nouveau de me dégager, il me relâchait et se retirait. 

Sa respiration restait forte, il continuait à gémir, il me laissait reprendre mon souffle et d'un mouvement frénétique m'enfonçait de nouveau sa queue jusqu'au fond de la gorge, me retenait, je l'entendais gémir, râler de plaisir et je recevait une giclée de sperme dans ma gorge, puis quelques autres, il tremblait, se crispait, me retenait de toutes ses forces, j'encaissais, j'avalais, tous ses muscles se détendaient, il me relâchait. 

Il se retirait, je lui suçais alors la queue en même temps lui arrachais quelques gémissements supplémentaires, je levais les yeux vers son visage, il me regardait, il me souriait … Un large sourire de satisfaction. Il ne disait rien, on s'essuyait, on réajustait nos pantalons et sans avoir besoin de se concerter on s'assurait que l'autre était parfaitement présentable.

Moi : C'était la première fois pour toi ?
Dominique : Non … Et pour toi non plus j'ai l'impression !

Je lui répondais par un sourire …

Dominique : Si le pasteur savait ça !
Moi : S'il venait à l'apprendre je lui dirais seulement que c'est toi qui m'a débauché !
Dominique : Tu es comme ça toi !
Moi : C'est moi qui porte le bazar aussi c'est moi qui suis dans la morale … Et toc !
Dominique : Tu es gonflé toi ! 
Moi : Tu n'as qu'a en porter un toi aussi … !
Dominique : Moi je préfère que ce soit mon copain qui le porte !
Moi : Je vois le genre !
Dominique : Les mecs qui porte une truc comme ça, ils sont chauds !
Moi : Monsieur a de l'expérience !
Dominique : Non mais c'est ce qui se dit !
Moi : Je te confirme !

On se regardait et on éclatait de rire. J'étais frustré, deux mecs en deux jours et aucun n'avait touché à mon cul, dans ma cage il y avait une pression à tout casser et j'avais le feu au cul comme jamais. Il fallait mieux que je ne m'assois pas sur un banc en bois au risque d'y mettre le feu moi … 

Tranquillement, sans se presser nous revenions à la salle de conférence, les portes étaient ouvertes, il n'y avait personne. Dehors il faisait beau Luc, Bob et nos deux hôtes prenaient le soleil … Une voiture approchait et soudainement nos trois camarades se levaient, ajustaient leurs vêtements … Le 'bon' pasteur arrivait … Mon frère et son copain étaient vautrés dans l'herbe et ne bronchaient pas … 

Le pasteur sortait de sa voiture les trois garçons venaient le saluer … 

Eux : Mon révérend, vous allez bien ?
Le pasteur : Très bien les garçons, notre ami Djé est arrivé je vois ! Vous l'avez reçu comme il convient j'espère.

Voyant Luc et Bob …

Le pasteur : Mais qu'est-ce que c'est que ça. Non mais ça va pas vous là bas ! Vous voulez que je vous aide à vous mettre à poil ? Si vous ne vous rhabillez pas tout de suite je vous préviens j'appelle la police …

Ils étaient torse nue ! Se retournant vers moi …

Le pasteur : Vous voyez ce que je veux dire ! Cette graine de canaille, ces branleurs, ils se croient tout permis, si on les laisse faire bientôt il vont se balader à poil … Ils seraient capable de se masturber en public ou même de copuler …
Moi : Je vous présente mon frère Luc et un ami Bob. Et je ne pense pas qu'ils se livrent ou se livreraient à ce genre d’exhibition ( sur un ton sec ) !
Le pasteur : Euh … Oui … Bien sûr … Jeunes gens, ce n'est pas si grave mais si vous pouviez vous habiller … s'il .v . plai.. 

Il semblait avoir du mal à terminer sa phrase … '' S'il vous plaît '' … 

Le pasteur : Enfin nous sommes sur une terre sainte ici … Dans un lieu de culte ici ...
Moi : Moi j'aurais dit qu'on était dans un ancien cinéma !

Il me jetais un regard de travers … Mais sans être un spécialiste en architecture je maintiens … C'était un cinéma ! Ce monsieur m'avait fait une très mauvaise impression au premier contacte mais là, je le trouvais vraiment antipathique et très désagréable ... Mes deux compagnons arrivaient vers moi, ils avaient tout entendu, et après avoir passé un T-shirt il ne cachaient pas leur mécontentement … Bob était un peu rouge mais là c'était le soleil !

Ils fronçaient tous les deux les sourcils, ils n'étaient pas content de ce qu'il venaient d'entendre, ils s'approchaient de moi … Luc me glissait à l'oreille …

Luc : Démolis le, casse lui sa baraque à cette espèce de taré !
Bob : C'est vraiment un enculé ce type, démolis lui ses arguments à la con, j'aimerais qu'il se fasse baisé bien à fond ce …
Moi : Mais Bob … Comment tu parles ?
Bob : Ouai mais là j'ai de bonnes raisons … Racaille … Branleur … Il n'est même pas capable de dire '' S'il vous plaît '' …
Moi : Tu as raison Bob ! ...

Finalement s'il était rouge Bob, c'était peut être pas le soleil, c'était pas non plus la confusion comme ça lui arrive si souvent … Juste une grosse colère !

Les spectateurs qui devaient assister à la conférence commençaient à arriver, c'étaient des scolaires pour le plus grand nombre, il y avait aussi quelques étudiants ainsi que des parents d'élèves. C'est à peut près à ce moment que je recevais un mail de la nouvelle société '' La PK Compagnie '', on m'informait qu'une équipe de deux journalistes d'une chaîne locale demanderait à faire un reportage. Le mail me décrivait l'équipe et m'expliquait en même temps qu'il s'agissait de deux journalistes qui travaillaient pour une chaîne appartenant à Mr Le Conte ( mince alors il n'avait pas que des journaux celui-là …), libre à moi d'accepter bien sûr, il était convenu qu'ils ne filmeraient pas les spectateurs …

Le pasteur avait prévu de faire aussi quelques affaire, il avait commandé à la société Le Château plusieurs de ces lots que j'avais un an plus tôt quand cette mode avait commencé. Il avait apparemment un lot important et il espérait en vendre … Je passais voir d'un peu plus prêt, de quoi il s'agissait. Les prix étaient affichés … Je convulsais … Je connaissais les prix de l'an dernier, et là ils avaient sacrément augmenté … Ils avaient presque doublé ! Je faisais l'andouille …

Moi : Dites moi … Révérend … Vous savez mois je suis en contact avec le fabriquant et je n'ai pas payé le dispositif que je porte, aucun d'entre nous ici d'ailleurs, on n'a jamais abordé ce point de détail et j'en suis heureux, je ne savais pas que c'était aussi cher … 
Le pasteur : Je les ai eu à un bon prix pourtant, et je peux vous assurer que le prix est tout à fait raisonnable. Je ne gagne pratiquement rien sur la vente que j'espère faire, je peux vous l'assurer !
Moi : Mais je n'en doute pas, je vous fais entièrement confiance, je me dis seulement que j'ai eu de la chance de ne pas le payer … Vous l'avez commandé directement au Château ?
Le pasteur : C'est le seul moyen de l'avoir à un prix aussi raisonnable …

Je retrouvais Luc … 

Moi : Dis moi Luc, tu as travaillé à la comptabilité au Château ?
Luc : Oui, ne dis rien à Bob mais il y avait un comptable absolument craquant …
Moi : Et tu as conclu ?
Luc : Djé ! … ( d'un ton agacé )
Moi : C'est pas ça le problème mais tu pourrais te renseigner discrètement sur ce bonhomme … Il aurait fait une commende directement au Château, je voudrais aussi connaître les prix appliqués aux particuliers sur le marcher.
Luc : Pas de problème, un coup de téléphone et Didier me dira tout ça en quelques instants.
Moi : Un coup de téléphone et Didier …
Luc : Oui c'est exactement ça …
Moi : Un bon coup ce Didier ?
Luc : Djé ! Là tu exagères ! ( toujours très agacé )
Mon frère me faisait rire mais lui au moins il ne devenait pas tout rouge quand je lui faisait ce genre de taquinerie … 

Le pasteur me présentait à tous les participants, chacun prenait place, les plus jeunes n'avaient pas tous l'air à leur aise. Chez les plus âgés on pouvait deviner à leur expression plus de curiosité qu'autre chose. D'autres ne cachaient pas une certaine inquiétude … Quelques uns semblaient … Intéressés ? Le couple de journalistes arrivait, ils demandaient à me voir, dans un premier temps le pasteur les refoulaient mais les voyant j'intervenais et donnais mon accord. Je ne vous cacherais pas que le pasteur était très mécontent mais il n'osait pas s'opposer à ma décision ! Je me disais que … Après tout puisque ces deux journalistes étaient des alliés leur présence pourrait toujours être utile.

Je n'avais pas quitté mon ordinateur portable, dedans il y avait toutes mes notes et mon discours. Dans la salle tous les sièges étaient occupés, le pasteur avait même fait payé l'entrée, pas très cher, le prix d'une entrée au cinéma et on était justement dans une salle de cinéma … Il était déjà sur l'estrade et faisait des essais micro. 

Le silence se faisait enfin, le pasteur commençait une petite présentation. Luc passait derrière moi et me glissait un papier dans la main. Le pasteur avait bien acheté les lots multi-tailles mais en solde, depuis la sortie des nouveaux modèles que nous avions mis au point Antoine et moi les anciens étaient soldés. Notre pasteur se faisait une marge astronomique, il faisait payer l'entrée à une conférence dont le conférencier n'était pas payé, et la salle de conférence lui était prêtée gracieusement !

Je n'étais pas vraiment satisfait par tout ce que j'avais appris au moment ou je montais au micro. Ce lascar n'était pas seulement radin ! …



Ep 48 : LE DISCOURS



Il était cupide !

C'était le seul mot qui me venait en tête, cupide ! 

La caméra tournait, à voir le matos des journalistes ce n'était pas une diffusion en directe, c'était un reportage. Aucune raison de m'inquiéter c'était des alliés, ils travaillaient pour Mr Le Conte. Je toussotais doucement dans le micro, manière de demander discrètement le silence. Rapidement il n'y avait plus un bruit dans la salle. Tous les regards se portaient vers moi. 

Moi : Bonjour, bonjour à tous, je vous remercie d'être venus ici si nombreux, Je suis très heureux de l'accueil qui m'a été réservé …

Je jetais un regard vers Dominique qui me répondait par un clin d’œil complice et un petit sourire amusé. Je continuais …

… Vous savez tous ce qui nous réunis ici aujourd'hui … Vous préserver d'une lamentable habitude, d'un vice dégradant, d'un passe temps honteux, vous garder pures …

Le ton était ferme. Le pasteur me regardait droit dans les yeux, il avait l'air ravis, il arborait un léger sourire de satisfaction …

… Mais il ne faut pas exagérer ! Les choses ne sont pas graves, pas si sombres qu'on voudrait vous le faire croire … Les garçons, comme vous l'avez tous remarqué, j'espère … Arrivés à un certain âge certaines choses prennent un peu plus d'importance chez nous ... les garçons … 

Le regard du pasteur ne changeait pas, il me lançait un grand sourire, comme pour me dire que je commençais bien, que j'y mettais le tact nécessaire.

… NOUS BANDONS … 

Le plus grand nombre de garçons retenaient un fou rire, le pasteur fronçait les sourcils, le mot devait lui faire mal aux oreilles !

… C'est là quelque chose de tout à fait normal, dont il ne faut pas avoir honte, ce n'est pas une raison pour s’exhiber ainsi devant tout le monde mais je vous rassure, c'est normal, et dans l'immédiat il n'y a aucune raison de condamner, d'interdire ou de s'interdire cette réaction qui est tout à fait normal je le répète et se termine en général par une sensation agréable.

Les plus jeunes, tous les plus jeunes, y compris les adolescents m'affichaient un large sourire amusé … Ils étaient de toutes évidence d'accord. Mais le pasteur et quelques mères de famille ne montraient plus ce visage radieux du départ ! Le pasteur en particulier, son regard s'était refermé et il ne me souriait plus.

… On vous dit que c'est sale, j'espère que vous vous lavez tous les jours les
 garçon et pas seulement les oreilles ! 

Je prenais un ton amusé, et la plus grande partie de l'assemblée rigolait de bon cœur, le pasteur ne souriait même pas !

… Ne croyez pas tout ce qu'on vous dit ! Votre corps se transforme, votre corps se forme, il se développe … Laissez le faire !

Je regardais le pasteur, ses yeux lui ressortaient de la tête. Mais le reste de l'assemblée, surtout les jeunes gardait un large sourire.

J'insistais longuement sur la nécessité de prendre le temps de grandir. Et c'est sans aucune ambiguïté que je déconseillais formellement l'usage de la PK avant un certain âge … Sans définir cet âge je leur faisait clairement comprendre qu'aucun d'entre eux n'avaient atteint cet âge. 

J'en voyais plusieurs, parmi les plus jeunes, qui semblaient rassurés. Certaines mères aussi lançaient un regard de méfiance envers le pasteur, d'autres mais moins nombreuses lançaient aussi un  regard de méfiance mais dans ma direction.

… Il ne faut pas contrarier le développement du corps …
… Contrairement à ce que certains vous disent, la masturbation est une chose tout à fait normale …
… En aucun cas le porte de ce dispositif ne doit être contraint …
… Il ne peut y avoir aucun gain  dans la contrainte …
… C'est un choix qui ne peux se faire que librement …
… C'est un mode de vie qui ne convient pas à tout le monde …
… Aucune contrainte ne doit être acceptée … 

Ce n'était là que le début et les arguments que je développais … J'avais toute l'attention de la salle … Le pasteur ne riait plus et avait du mal à cacher son mécontentement. Il avait même l'air complètement en colère brusquement ! Il s'approchait et prenant la parole …

Le pasteur : Notre ami Djé vous a développé un point fort intéressant mais il ne faudrait pas oublier …

Je lui coupais la parole …

Moi : Vous avez raison révérend de me rappeler ce point dont nous parlions un peu plus tôt …

… Méfiez-vous de ces menteurs, de ces manipulateurs qui voudraient vous obliger de porter ce genre de truc et qui eux même ne le portent pas ! …

Là le pasteur devenait tout pâle … Bob, juste derrière moi … '' Vas y Djé démolis le '' …

… Je suis convaincu révérend que ce n'est pas votre cas … Que vous ne le retirez que pour faire des enfants … ? 

Le pasteur tentait de bafouiller quelques chose mais n'y parvenait pas. Tout le monde avait compris … Tout le monde comprenait qu'il n'en portait pas.

… Alors que j'en porte un, moi je ne tente pas de vous convaincre ou même de vous y inciter. Je suis quoi moi pour vous dire ce que vous devez faire ? Certainement pas un de ces faux pasteur qui vous condamne à un choix qui pourrait ne pas vous convenir ! Je peux vous donner des conseils, vous faire profiter de mon expérience, vous aider dans le choix du modèle de dispositif si vous faites le choix … J'ai en effet travaillé sur la mise au point des nouveaux dispositifs PK … Mais vous dire ce que vous devez faire, ça non je ne le peux pas ! Je peux toutefois rajouter … Ne laissez personne vous imposer un choix qui ne serait pas le votre ! Ne l'imposez à personne et ce quel que soit votre choix pour vous même …

Le silence était total ! Le révérend semblait tétanisé, il ne bougeait plus, son regard était fixe, il ne me lâchait plus des yeux. Par moment j'avais l'impression que s'il avait eu des kalachnikov à la place des yeux … Je ne serais plus de ce monde depuis déjà un moment … 

Le reste de la conférence portait sur mon expérience ainsi que les témoignages qu'on m'avait donnés depuis plus d'un an. J'avais souvent abordé ces sujets, l'ambiance était détendue, sauf peut être du côté du pasteur dont le visage s'était complètement refermé, son regard était sombre.

Je terminais par ces mots juste avant de donner la parole au public pour les questions et interrogations qui pouvaient se poser …

Moi : Nous remercierons le révérend pour avoir su organiser une réunion gratuite ainsi que la dame qui à prêté gracieusement le local et dans un tel contexte il était normal que ma prestation soit bénévole … Vous pourrez aussi vous procurer des dispositifs de chasteté à la sortie, je me permet de rectifier comme je le disais a notre révérend une petite erreur sur le prix, le prix annoncé est le prix fort de l'an dernier, ces modèles sont désormais soldés et on été acheté en gros aussi vous pourrez bénéficier d'un prix spécial … C'est simple vous divisez par dix le prix indiqué … Notre révèrent n'est pas un comptable, c'est un homme de dieux …

A cet instant, j'ai cru qu'il allait avoir une attaque ! Suivaient les questions de l'assemblée … 

… Ça fait mal … ?
… Ça gène les mouvements … ?
… On ne peut vraiment pas ??? …
… Le plus jeune que tu connais qui en porte ? …
… Ça gratte ? ...

Moi : Alors le plus jeune que je …

Luc me coupait la parole …

Luc : C'est moi … Oué !
Moi : Et bien je vais lui laisser la parole à son tour … 

Luc n'est pas du genre timide, contrairement à son copain qui … avait disparu … Je le cherchais du regard et finissais par le retrouver il s'était réfugié derrière les journalistes, et bien sûr il était tout rouge !

Rapidement Luc se lâchait et se montrait très à son aise, il était plus jeune que moi et le courant passait bien entre lui et les participants eux aussi plus jeunes. Je me retirais et les laissais faire. 

Dominique arrivait vers moi, me prenait par la main en me disant '' viens par la toi ! ''. Il m'entraînait dans une salle en retrait, bien tranquille, verrouillait la porte derrière nous et me faisant face retirait ses vêtements.

Je lui répondais par une sourire amusé puis retirait mon T-shirt et le prenait dans mes bras et lui caressait le dos tout en l'embrassant dans le coup. Déjà une pressions familière se manifestait dans ma PK ... 

Moi : Je te fais un suçon ?
Dom : Déconne pas Djé !

Je me retenais, enfin je ne me retenais que pour ce qui est du suçon … Pour le reste … Je continuait mes baisers sur son épaule puis je descendais, je m'attardais un long moment à lui mordiller les tétons. Je lui caressais le ventre, beaucoup de tendresse avec les lèvres, un peu plus fort avec les dents mais sans lui faire mal, je prenais soin à ne pas laisser de marque. Je terminais en lui suçant la bite … Je me disais que cette fois ci il allait me la mettre dans le cul, sinon …

Longuement en prenant bien mon temps je lui gobais la queue en entier, j'étais à genoux devant lui, il me guidait la tête avec ses mains et me donnais des coup de reins … Sa bite entrait bien à fond. J'ouvrais mon pantalon. Ma PK se relevait, la pression y était au maximum, c'était toujours aussi agréable, aucune gène sinon cette frustration qui m'accompagnait depuis des mois et me stimulait.

Je me relevais, lui donnais un baiser et …

Moi : Je veux que tu me prennes !
Dom : Retourne-toi !

Mon pantalon tombais sur mes pieds, je le repoussais plus loin, j'écartais les jambes et me penchais en avant … Aussitôt, Dominique s'approchait, il me caressait le cul et me glissais un doigts dans l'anus. Ça semblait l'amuser, il prenait son temps, un second doigt. Il s'amusait à les remuer rapidement, il me massait la prostate et m'arrachait immédiatement un gémissement de plaisir. J'en avait tellement envie, je relevais la tête, la retournait vers lui et l'encourageait à continuer. De l'autre main il me caressait les couilles et semblait explorer mon dispositif par le toucher.

Un long moment plus tard il retirait ses doigts et se penchait vers moi, je sentais son corps chaud se coller contre moi, je retournais de nouveau mon visage contre le sien, il m'embrassait sur la bouche, il passais un bras autour de mon coup et me tirait vers lui. Je sentais une pression agréable contre mon anus. Je ne résistait pas, la pression devenait plus forte. Il faisait attention à mes réactions pour ne pas me faire mal.

Je laissais mon anus se dilater et aussitôt sentais sa queue violer mon intimité, c'était bon, j'en avais tellement envie, c'en était que plus agréable plus fort, plus intense, j'avais l'impression que j'allais jouir avec ma bite mais ce n'était qu'une impression … En un mouvement il était rentré totalement ce qui semblait le surprendre … Il se retirait alors, ressortait totalement puis me donnait un baiser sur la bouche, sans prévenir il revenait et en un mouvement rentrait de nouveau jusqu'à la garde et terminait par un petit coup de rein qui m'arrachait un gémissement de plaisir...

Il semblait apprécier et recommençait ce mouvement un peu plus rapide, un peu plus violent. Il me retenait contre lui, un bras autour du coup, un peu comme s'il voulait m'étrangler mais sans violence et tout en me laissant respirer, tout en me laissant gémir de plaisir. Il me suçait le lobe de l'oreille et accélérait les mouvements de son bassin, de plus en plus fort, de plus en plus rapide. Un violent coup de bassin au moment ou sa queue entrait bien à fond … C'était bon , j'en redemandais ! Je jutais, un filet de sperme coulait de ma PK, mais ce n'était pas la bite qui me donnait cette intense plaisir, cet orgasme il venait de ma prostate … 

Il me poussait en avant et je me penchait alors sur une table, le cul bien ouvert et bien rempli aussi, les cuisses écartées … Il accélérait alors le mouvement et me limait le cul comme il faut, il n'avait plus peur de me faire mal, il se lâchait, le sperme coulait toujours de ma PK.

Là je me lâchais à mon tour, je ne contrôlait plus ma respiration, je suffoquait, je manquait de souffle, je râlais, je gémissais … C'était bon, un plaisir comme celui que provoque l'éjaculation montait le long de ma bite, grandissait à l'intérieur de mon ventre et envahissait tout con corps jusque qu'à mon cœur, jusqu'à mes épaules, je tremblais, je me cramponnais ou je pouvais, je jouissais de tout mon corps !

Dominique aussi gémissait et ne se retenant plus il se lâchait, il éjaculait dans mon cul, un court instant je le sentais trembler en même il me serrait très fort dans ses bras, encore quelques dernières convulsion de son bassin et je le sentais se détendre. Il se laissait retomber sur moi, je le sentais reprendre son souffle.

Quelques instants plus tard il me donnait un baiser sur la joue et se retirait. Je restais là, sans bouger encore un tout petit moment puis me relevais. On avait tous les deux un grand sourire. On se rhabillait, chacun prenait soin que l'autre était présentable puis on retrouvait le reste de l'équipe dans la salle de conférence … Il ne s'était pas passé une demie heure !



Ep 49 : LUC FAIT SA STAR



En revenant vers la salle principale nous étions surpris par les bruits qui nous parvenaient … C'étaient des éclats de rires, je ne savais pas ce qui se passait dans la salle de spectacle mais il semblait y avoir de l'ambiance !

Luc était toujours au micro. Le pasteur semblait désolé, il s'était retiré dans un coin et cachait son visage avec la main, il avait la tête penchée en avant. Luc se livrait au jeu des questions-réponses avec une grande aisance. Je savait que mon petit frère n'était pas du genre timide mais là … Il assurait le spectacle !

Il faisait preuve de beaucoup d'humour, de décontraction et semblait tout à fait à sa place ! Il reprenait le ton que j'avais donné …

Luc : Si tu le sens pas tu le mets pas … 
… Il ne faut pas se forcer …
… Moi j'ai choisi de le porter mais t'es pas obligé de me suivre …

Personne ne s'était aperçu de notre absence. Personne ne remarquait notre retour … Je suivais Dominique tout en regardant le public, discrètement nous remontions la salle jusqu'à la porte d'entrée. Nous arrivions au niveau des journalistes, le cameraman avait un mal fou à ne pas rigoler, à ne pas trembler ( c'est mieux pour l'image ), sa collègue n'avait pas ce problème et ne se retenait pas … Nous passions juste à côté du pasteur qui ne nous remarquait même pas, je l'entendait murmurer …

Le pasteur : Mais mon dieu pourquoi j'ai organisé cette réunion ? C'est une catastrophe ? Mais pourquoi … Je ne pourrai plus jamais demander à quelqu'un de porter ce … Mais pourquoi j'ai organisé cette réunion ?

Même les quelques dames qui avaient semblé se raidir à certains moments de mon discours riaient de bon cœur. Elles était sous le charme de mon petit frère, il faut dire qu'il est très mignon mon petit frère, il me ressemble d'ailleurs ! … Bein quoi ? Vous vous attendiez sans doute que je dise que ne suis pas mignon ? … De nous deux c'est moi le plus mignon … D'abord !

Nous arrivions à la sortie, je n'avais pas vu Bob. Il faisait toujours un temps magnifique et régulièrement nous entendions des éclats de rire … On sortait et Bob était là, un peu en retrait à l'extérieur, dans un coin pour ne pas être vu !

Moi : Mais qu'est ce qui se passe ici ?
Dominique : Je ne sais pas, je ne m'imaginais pas que ça se passerait comme ça !
Bob : C'est Luc, je ne l'avais jamais vu comme ça ! Il est incroyable ! J'ai préféré sortir, je ne savais plus ou me mettre.
Moi : Un peu comme avec Justine ?
Bob : Un moment j'ai eu peur qu'il ne parle de moi. Mais il a fait pire que toi …

Dominique et moi le regardions d'un air interrogatif.

Bob : Toi tu as dit qu'il faut être un porteur pour pouvoir inciter quelqu'un à porter ce truc … Lui il a tout balancé … Il à dit à tout le monde que le pasteur ne le portait pas alors que c'était pourtant son cheval de bataille ! Et là encore je le dis mieux que lui, lui il n'avait pas de tact … Il l'a balancé directe !
Moi : Ça va faire un scandale cette histoire …

Dominique rigolait tout ce qu'il pouvait !

Le pasteur avait du me remarqué dehors et je le voyais arriver, il avait une tête à faire peur … Il avait l'air furieux !

Le pasteur : Alors vous êtes fier de vous ! Moi je vous faisais confiance … Et voilà le résultat … Vous devriez avoir honte … On peut s'attendre à un peu plus de tenue de la part de quelqu'un qui prône l'abstinence sexuelle, la probité, la chasteté …

En une fraction de seconde je repassais tout ce qui s'était passé dans la journée … Il parlait de la petite sauterie avec Dominique ? J'avais peur de comprendre …

Le pasteur : Regardez moi ce fiasco ! Je suis ridicule ! Permettez moi de vous dire ce que je pense de vous … 

Il faisait de grands gestes qui ne cachaient pas sa colère. Ce n'était pas à moi qu'il pensait mais à lui !

Moi : Quoi ! Vous osez me faire des reproche, vous m'invitez et n'êtes même pas capable de m’héberger, je me déplace à mes frais d'une manière bénévole,  on vous prête la salle et vous en faites payer l'entrer ! je ne suis pas un représentant de commerce ! Vous achetez en solde des dispositifs de chasteté que vous voudriez revendre deux fois plus cher que le prix fort de l'an dernier. Vous n'êtes pas radin, vous êtes cupide. Vous voulez imposer à des gamins le port d'un dispositif que vous refusez pour vous même. 

Bob et Dominique avaient disparu, mais j'avais remarqué que le cameraman filmait depuis que le pasteur était sorti du cinéma. Je faisais moi aussi de grands gestes pour illustrer mes propos, on pouvait deviner de quoi je parlais même sans la bande son !

Moi : Vous n'êtes pas moraliste vous êtes fanatiques ! Et vous me reprochez quoi ! ( là je hurlais ) Je suis prêt à répondre de tous les propos que j'ai tenu, ne m'en inventez pas juste pour excuser ou justifier votre fanatisme et votre hystérie …

Je jetais un œil vers le cameraman, la journaliste avait un casque audio sur les oreilles, d'un doigt elle me montrait le casque puis levait un pouce en l'air, façon de me dire que la dernière phrase était enregistrée … Juste derrière moi j'entendais .

Bob : Bien dit Djé !
Le pasteur : Et toi de quoi tu te mêles ? Et d'abord tu es qui toi ? (à l'intention de Bob )
Bob : Moi je suis le petit copain de Luc et je ne suis pas porteur … Et toc !

Le pasteur se retournait l'air dégoûté, il préférait disparaître, on ne le revoyait plus du reste de la journée ! Les journalistes avaient l'air très content et  continuaient à enregistrer Luc. Bob à beaucoup apprécié leur tact, en effet lors de la diffusion ils ont couper ce dernier commentaire.

Moi : Tu étais encore là toi ? Je croyais que tu avais disparu.
Bob : Non j'ai pas bougé, j'étais toujours juste derrière toi. Et je suis bien content de lui avoir dit ma façon de penser !

Il était rouge mais pas de gêne, de colère ! On revenait vers la salle de la conférence, peu à peu le calme revenait. Luc avait fait le tour du sujet les participants avaient fait le tour des questions …

A la sortie, les discutions reprenaient. Luc et moi reprenions les explications sur la manière dont fonctionnaient les dispositifs qui étaient à vendre … On en vendait un certain nombre, au prix que j'avais annoncé bien sûr ! Personne n'envisageait de le porter en permanence, mais à ce pris c'était un achat découverte …Là Bob avait vraiment disparu !

Les trois garçons qui nous avaient reçu étaient enthousiastes, pour Dominique c'est normal, mais les autres ils avaient été sages … Eux ! La journaliste nous invitait au restaurant le soir même pour parler de différentes choses … Les deux journalistes étaient installés dans un hôtel à seulement quelques kilomètres du notre. On fixait une heure …

Pour le retour je laissais Bob conduire, Il a son permis depuis peu mais il s'en sort bien et j'ai l'impression qu'il aime bien. C'est une belle voiture … Il était encore tôt quand on arrivait à notre hôtel. Les nouvelles vont vite quelquefois … Régis nous recevais avec un grand sourire et même un peu plus, en fait il se marrait …

Régis : Et bien, c'était un beau scandale ! J'adore …
Moi : On va se préparer dans la chambre, tu m'apportes une serviette ?
Régis : J'arrive !

On montait dans nos chambres, je passais sous la douche, il faisait chaud et j'en avait bien besoin. Je n'entendais pas frapper à la porte et quand le rideau de la douche s'ouvrait, c'était Régis qui m'apportait les serviettes, il était nu et sans rien dire me retrouvait sous la douche. Il avait toujours cet air rieur sur le visage ! Il bandait !

Sans rien dire il me savonnait le dos, depuis les épaules jusqu'aux fesses. Il me savonnait longuement la raie du cul puis il me glissait un doigt dans le cul. Je sursautais mais j'éprouvais tout de suite un grand plaisir, j'avais été bien préparé à peine quelques heures plus tôt ! Il m'embrassait dans le coup après avoir pris soin de me rincer à cet endroit parce que … Le goût du savon … Beuuuu !

Je relevais la tête en arrière, la retournais vers lui et l'embrassais alors qu'il me serrait dans ses bras, me caressait en me savonnant le ventre de la gorge jusqu'à mon entre cuisse. Il me pelotait les couilles. Je sentais son pénis bien redressé se glisser entre mes cuisses. 

Je passais mes mains dans mon dos pour essayer de le caresser à son tour. Il se reculait un peut et revenait doucement en m'enfonçant sa queue dans le cul. C'était bon, j'avais été bien dilaté peu avant et je jouissais immédiatement. Je jouissais par le cul, par la prostate et je jutais. Je n'éjaculais pas, aucune giclée, le sperme coulait doucement, j'avais l'impression de pisser, de pisser du sperme, tout mon ventre était en feu, mon anus me donnait l’impression d'exploser à chacun de ses mouvements

Il me limait le cul doucement mais régulièrement. Il passait d'un mouvement lent et régulier à un mouvement rapide et violent. Il se retirait complètement, glissait sa queue entre mes cuisses, me retournait le visage vers lui d'une main, il m'embrassait et en même temps il me pénétrait de nouveau, d'un coup violent bien à fond … Puis avec douceur et lenteur … Il terminait par un violent coup de rein ou doucement appuyait sont bas ventre sur mon anus.  Appuyait de toutes ses forces du bas vers le haut, comme s'il voulait me soulever. Je me retrouvais grimaçant, crispé, sur la pointe des pieds ne sachant plus à quoi me retenir … 

Et toujours cette impression de pisser de me vider, je ne savais plus si c'était réel ou juste une impression mais c'était bon. Je sentais mon ventre se contracter. Je sentais mon corps se contracter, se crisper, je commençais à trembler … Mes jambes ne me soutenaient plus, je me penchais contre le mur de la douche, Régis me retenait, il continuait à me buriner le cul. Je ne savais plus si je bandais ou pas, je sentais toujours cette pression dans ma PK mais c'était doux. Ça ne semblait pas être une forte pression, en fait je ne savais pas, je ne savais plus … 

J'entendais la respiration de Régis dans mon oreille, il râlait for, il était essoufflé, il gémissait me serrait de plus en plus fort. Les mouvements de son bassin devenaient plus saccadés, moins réguliers, plus violents, plus imprévisibles. Deux coups de rein particulièrement violents puis un râle long et fort … Il ne bougeait plus et moi c'était pareil … Je ressentais encore une certaine pression dans ma PK, c'était bon, c'était doux, j'étais bien.

Quelques heures plus tôt j'étais en manque, mais après ça, deux fois en quelques heures, j'étais vidé, j'étais bien, vraiment bien, je me sentais comme rempli … 

On avait le temps pour se rendre tranquillement au restaurant. Bob appréciait de plus en plus ce rôle de chauffeur que je lui laissais nous arrivions largement à temps. On s'installait au bar et on se commandait un verre en les attendant. Les deux journalistes ne tardaient pas. On les voyait descendre peut après. Ils venaient nous saluer et se joignaient à nous. Puis on passait à table.

La journaliste : Nous ne nous sommes pas présentés … Ada et mon cameraman Théo . J'ai fait parvenir l'enregistrement vidéo à Mr Le Conte. Il a beaucoup aimé votre prestation mais celle de Luc … Il a adoré ! Il m'a dit qu'il n'avait pas autant ri depuis longtemps.
Moi : C'est vrai que Luc était particulièrement en forme aujourd'hui.

A côté de nous Luc faisait l'andouille !

Luc : Je t'avais dit Djé que tu pouvais me prendre en exemple …
Ada : Justement … Nous voudrions faire un interview ... Si tu es d'accord bien sûr …
Moi : C'est quand tu veux, je suis à ton entière disposition.
Ada : Je parlais de ton frère ! Comme il est mineur et que tu es un peu son tuteur, il nous faut ton accord.
Luc : Oué ! Il est d'accord ! Et pour moi c'est quand tu veux ! Tu es d'accord dis Jérémy ?
Moi : Bien sûr que je suis d'accord. De toutes façons j'ai pas le choix !
Bob : Avec Luc c'est toujours pareil on a jamais le choix j'ai l'impression !
Moi : J'ai encore une conférences de prévue, après demain dans une salle de fêtes, à moins de cinquante kilomètres de là.
Ada : Si tu n'y vois pas d'objections Djé, nous aimerions y aller aussi !
Moi : Pas de problème, aucune objection !
Luc : Oué et moi je ferai la deuxième partie !

Tout le monde l'applaudissait en riant.

Ada : Nous pourrions aussi interviewer votre camarade Bob, tu portes ce dispositif depuis combien de temps Bob.

Instantanément Bob devenait tout rouge et piquait du nez dans son assiette … 

Moi : Bob, c'est une mauvaise idée, ou alors il faudra le filmer en noir et blanc, au risque de saturer les couleurs.
Bob : C'est malin ça Djé ! ( sans relever la tête bien sûr ) 
Moi : Plus sérieusement, pour Bob je vous dit tout de suite … Non !

Ada n'insistait pas. Sur un tel sujet il faut toujours savoir faire preuve de tact … On terminait le repas dans une bonne ambiance et on se donnait rendez-vous pour le lendemain … 

Moi : J'aurai encore une conférence le lendemain. Là ce sera un peu différent, là  c'est une association de parents d'élèves. Qui ma invité, eux il pouvaient nous loger une nuit si nécessaire … J'ai pas tout compris, Il y aurait un vendeur …
Ada : Oui, je te confirme, un représentant de la PK sera présent. On pourrait aussi suivre l’événement si ça ne te dérange pas  ?
Moi : Mais avec plaisir !
Ada : On aura le temps de faire le montage, le reportage devrait être diffusé ce week-end.

On terminait le repas en faisant plus ample connaissance. Ada connaissait le château, elle y était passée à plusieurs reprises et connaissait très bien Mr Le Conte.

Théo avait fait plusieurs stages aux château et avait finalement choisi de travailler pour la société avec le statut de non porteur. Enfin porteur non permanent … Un grand nombre d'employés choisissent ce statut, ils sont porteur sauf pendant les week-end et les vacances … 

Seul Bob n'y était jamais allé, il nous écoutait avec attention, il s'informait .

Ada : Et toi Bob tu y déjà allé au château ?
Bob : Euh ! Non jamais ! 
Ada : Et ça ne te tentes pas ?
Bob : Euh ! Non jamais !
Ada : Pourtant tous tes copains y sont allé. Et depuis que tu portes ton dispositif, tes copains y sont allé et pas toi ?

Bob devenait tout rouge … Me regardait …

Bob : Djé … Fais quelque chose …
Moi : Tu vois Ada ! Quand je te disais que c'était pas une bonne idée d'interviewer Bob … 

Bob avait piqué du nez dans son assiette de nouveau, tout rouge, il n'osait pas bouger. En fait il n'osait pas dire qu'il ne portais pas la PK … Il avait peur d'être jugé. Je pouvais lui dire que ce n'était pas une obligation, il avait peur d'être jugé surtout qu'il avait compris que ces deux journalistes travaillaient pour le big boss Mr Le Conte … Il le connaissait, il l'avait rencontré … Il en avait gardé une très bonne impression mais il était comme ça Bob … On l'embêtait il devenait tout rouge, on insistait il se mettait en boule. Et là il s'était mis en boule !



Ep 50 : AUTRE DISCOURS AUTRE AMBIANCE



La journée suivante se passait en douceur, Luc et Bob se prélassaient autour de la piscine pendant toute la matinée, je regardait mon discours mais au final il serait à peu prêt identique à celui de la veille … Ensuite je laisserais la parole à Luc … Il va certainement encore nous faire rire … Mais il sait capter l'attention du public. C'est instinctif chez lui !

On passait le reste de le journée à faire du tourisme, il y avait quelques vieilles pierres à visiter. Je téléphonais pour confirmer le conférence …

Luc : J'ai vérifié, s'ils suppriment la conférence il n'y a aucun moyen de louer la salle, elle appartient aux organisateurs … Une église, encore des religieux !

Mais c'est qu'il sait être efficace quant il veut, le p'tit !

Un religieux ( de la même école religieuse que le premier ) me répondait. Il ne me cachait que lui et ses collègues étaient très amusés de la manière dont s'était passé la première conférence. Tout le monde connaît bien le personnage dans la région … 

Ça me rassurait, nous n'aurions donc pas de fanatique à calmer demain. Les journalistes m'appelaient.

Ada : Nous avons téléphoné pour vérifier et je te confirme que la conférence est maintenue, j'ai téléphoné, ils étaient même surpris de ma demande … Il n'a jamais été question d'annuler la conférence !
Moi : Oui je sais j'ai eu un pasteur au téléphone. Mais tu en sait plus sur les organisateurs.
Ada : Il y a plusieurs paroisses, des pasteurs et des prêtres. La salle appartient à une des paroisses, l'entrée sera gratuite et il ne proposeront pas de dispositifs à la vente. Ils avaient contacté la PK pour avoir de la documentation … Pas de la pub ! Ils avaient bien précisé de la documentation … 
Moi : Ah, au moins ça m'a l'air un peu plus sérieux ! Bon on se voit demain !

On rentrait sans se presser en fin d'après midi, un long moment à se rafraîchir au bord de la piscine, le souper et tout le monde au lit. Ce soir là j'ai pas eu de mal à m'endormir … Oui je sais c'est pas tous les soirs mais la veille j'avais eu ma dose … Deux mecs tout de même … Et dans la même journée … 

Avant de m'endormir mes pensées vagabondaient. Une fois Jean François m'avais dit qu'un jour je serais un dirigeant … Mr Le Conte avait-il des projets pour moi ? Et quel genre d'entreprise serait-il prêt à me confier ? C'est vrai que … Avec tout ce qu'il m'offrait il devait avoir une idée derrière la tête … Enfin …

Je me réveillais en pleine forme le lendemain matin. Comme tous les jours avec mon frère et Bob nous faisions une bonne séance de sport. Je ne vous le raconte pas à chaque fois, ça deviendrait vite rengaine mais nous gardons nos bonnes vieilles habitudes. Au passage je vous signale que Luc est en grands progrès, si j'accélère comme je sais faire il a du mal à suivre … Mais bon c'est normal … Sinon il commence à avoir de l’endurance le p'tit … De nous trois c'est Bob qui tire la langue et qui a vraiment du mal à suivre … 

On terminait la matinée autour de la piscine. Mon téléphone sonnait, c'était Mr Le Conte …

MLC : Je vous ai vu Djé l'autre jour, vous avez été excellent, j'ai beaucoup aimé .
Moi : Je n'ai pourtant pas vraiment joué le rôle d'un représentant de commerce !
MLC : C'est vrai, vous n'avez pas tenter de promouvoir mais juste de faire connaître, d'informer, vous savez on a beaucoup réfléchi sur la manière de présenter le produit et la publicité telle que nous la connaissons n'est pas la bonne méthode. Il faut faire de l'information. Le choix de porter ou non doit être réfléchi. De plus vous avez calmé un fanatique, Luc surtout, il y est allé fort mais qu'est-ce-qu'il m'a fait rire … Vous pouvez me passer votre petit frère ?
Luc : Oui ? Ah ! Bonjour Msieu L'Conte … J'ai été bon avant hier … Ouai, tout le monde rigolait … Sauf un évidemment, mais il l'avait cherché … Oui, Jérémy est d'accord pour l'interview … Mais si je lui ai demandé ? … Je ne lui ai pas laissé le choix, d'accord, mais je lui ai demandé ! A vous aussi Msieu L'Conte …

Décidément, Luc est très décontracté avec Mr Le Conte, c'est le seul qui lui parle d'une manière aussi décontracté sans se faire jeter ni remettre en place … Mon frère m'étonnera toujours !

On partait aussitôt après le repas de midi, Bob au volant, Luc à côté et moi je somnolais sur la banquette arrière. On arrivait en avance, très en avance. La salle était bien plus grande que la précédente, Bob garait la voiture, j'entrais dans la salle pour voir comment ça se présentait, pas de guichet à l'entrée, pas de stand de vente et à la place une table sur laquelle étaient posés la documentation que la PK avait envoyé, un fascicule attirait mon attention, on pouvait y lire … '' Le port de ce dispositif peut être très positif ou bénéfique mais ne convient pas à tout le monde … Prenez le temps de bien réfléchir avant de faire un tel choix ! ''

Les choses étaient plus sympathiques ! …

Un homme d'une bonne trentaine d'année, beau comme un dieu arrivait vers moi, il portait une tenue très sobre mais la portait avec élégance ! Je ne pouvais plus détacher mes yeux de lui ! 

Lui : Bonjour, Père Justin, puis je vous renseigner ?
Moi : Pèrjustin ... euh ... oui … Enfin … ( reprenant mes esprits ) … Oui, Jérémy Brosso, je viens pour la conférence …
Justin : Non pas Pèrjustin, mais Père Justin. Père est mon titre de religieux, Justin est mon nom. Appelez moi Justin ce sera plus simple … Jérémy …
Djé : … ! …  Djé ! Tout le monde m'appelle Djé ! Je vous présente mon jeune frère Luc !

Je me retournais … J'étais seul.

Moi : Il était là il y a quelques instants, il ne doit pas être bien loin !
Justin : Je l'ai aperçu, il allait vers votre voiture …
Moi : Et donc au volant de la voiture … Bob un ami !
Justin : Je vous fait visiter ?

En même temps que la visite avançait, nous discutions …

Justin : Mais ce dispositif … Est-il vraiment utile ?
Moi : Dans mon cas sans aucun doute !
Justin : Il vous aide à vous concentrer sur votre travail ?
Moi : Oui, c'est tout à fait ça, il me focalise sur mes obligations. En fait, tu vois j'avais un peu tendance à me disperser !
Justin : Ce n'est pas trop frustrant ?
Moi : C'est quelquefois stimulant d'être frustré !
Justin : Et tu n'as pas eu trop de mal à t'y adapter ?
Moi : En fait c'est plus facile qu'on ne le pense !
Justin : Et tu a choisi de représenter la PK ?
Moi : Pas vraiment bien des choses se sont faites toutes seules, et le non PK c'est un copain et moi qui l'avons imaginé !
Justin : Le dispositif est verrouillé et toutes les issues sont fermées !
Moi : Toutes les issues ne sont pas fermées …

En parlant nous nous étions rapprochés l'un de l'autre, je sentais chez lui comme … Je ne sais pas ou ne veux pas le savoir … Nos visages se faisaient face, il était vraiment beau et je sentais cette pression, frustrante mais tellement agréable, cette pression si douce et si forte, une sorte de frisson, de tremblement me parcourait le corps. Sa main frôlait la mienne, geste involontaire ? Invitation ? Je ne sais pas mais je le prenais comme un signe et je lui sautais dessus, en réponse il m'attrapait dans ses bras et nous nous embrassions avec passion. Il logeait sur place, dans un bâtiment annexe et m’entraînait dans sa chambre … Nous savions que nous avions peu de temps aussi on n'en perdait pas … Il ne nous fallait que quelques instants pour arracher chacun les vêtements de l'autre.

Nos bras se mélangeaient, nos jambes semblaient s'entremêler, sur son lit une place nous roulions l'un sur l'autre d'une manière frénétique. Je l'embrassais sur l'épaule, il me caressait les fesses. Il me retournait sur dos et me mordillait les tétons, je gémissais en penchant la tête en arrière. Je le retournais à son tour sur le dos, l'embrassais sur le torses en lui mordillant à mon tour les tétons, il me caressait les cheveux. Je descendais plus bas et lui suçait la queue, il se raidissait, il réagissait bien, il aimait ça je le ressentais. 

Doucement il appuyais sur ma tête et relevais le bassin. Il me retournait de nouveau sur le dos et prenant la position du 69 il me laissait le sucer tout en me caressant l'intérieur des cuisses, les couilles et le bas du ventre autour de ma cage. Ses caresses étaient très agréables mais … Il cherchait à me faire plaisir ou juste à s'instruire … ? Mais pourquoi je me pose des questions pareil ? …  Il cherchait à me faire plaisir et il y parvenait !

En tous cas c'était vraiment agréable, et nous restions encore un long moment oubliant le temps qui passait. On se redressait et il me prenait dans ses bras, ses baiser couvraient mon torses, mes épaules, ses caresses parcouraient mes bras, mon dos. Je lui rendais baiser pour baiser et caresse pour caresse. Sa main descendait et se promenait entre mes deux fesses.

Il me retournait mais ce coup ci sur le ventre, avec les pieds il m'écartait les jambes, me lubrifiait le cul et sans prévenir davantage m'enfonçais sa bite bien à fond. 

Je gueulais … Je gueulais de surprise même si je m'y attendais un peu … Je gueulais de plaisir, c'est ce que je voulais depuis que je l'avais vu peu avant … Je gueulais un peu de douleur aussi mais j'en redemandais.

Il ne se retenait pas et me limait vigoureusement le cul. Des mouvements amples, lents et réguliers … Le plaisir montait vite, ma respiration devenait plus forte, plus rapide. En quelques instants je commençais à trembler, je me cramponnais au lit, et je gémissais, il ne se calmais pas. Le mouvement restait toujours aussi ample et toujours aussi régulier. Il se laissait tomber sur moi, je sentais sa chaleur, son poids, c'était vraiment bon.

Il se retirait et me retournait sur le dos et se penchait vers moi, je l'attrapais par les épaules, il me relevait les cuisses et m'enfonçait à nouveau sa queue jusqu'à la garde. Je penchais la tête en arrière et poussais une longue plainte qui n'était due qu'au plaisir. Il accélérait le mouvement, je jouissais. Il ne se calmait pas, je râlais de plaisir. Il se donnait à fond, je gueulais!

Il râlait de plaisir lui aussi, je le sentais se lâcher, il n'essayait plus de se retenir, à chacun de ses coups de bassin j'avais le souffle coupé. Le plaisir envahissait tout mon ventre jusqu'au nombril, j'allais exploser au moment ou lui il explosait de plaisir. Il éjaculait dans mon cul, je sentais ses contractions, il éjaculait plusieurs fois de suite avant de se laisser tomber lourdement sur moi.

On restait encore un moment, là, sans bouger. Il se relevait brusquement …

Justin : La conférence !

J'éclatais de rire !

Moi : Il est quelle heure ?
Justin : Il est l'heure, on est en retard !

On se rhabillait en catastrophe, un peu paniqué. On avait près d'une demie heure de retard … On arrivait toujours catastrophé dans la salle de conférence …

On entendait une voix dans le micro, en réponse il y avait des fous rires, quand on arrivait à la salle par une porte discrète juste derrière la scène …

C'était Luc, ne me voyant pas il avait du prendre ma place, je remarquais qu'il avait ma tablette et qu'il faisait tout simplement mon discours … Et il s'en sortait bien en plus !

Justin : Tout va bien il n'ont pas attendu et ça se passe bien finalement !
Bob : Mais Djé tu étais ou on t'a tous cherché partout.
Justin : Et lui donc c'est …
Moi : Le petit copain à mon frère !
Justin : Mais c'est qu'il est mignon le petit copain à ton frère …
Bob : Oh non, Djé … Je … 

Il n'en rajoutait pas davantage, se retournait et partait se cacher dans un coin, même de dos on pouvait deviner qu'il était tout rouge !

Justin : Il a l'air gentil ?
Moi : Il est adorable mais il faut faire attention à ce qu'on dit, un mot de trop et il devient tout rouge … 

Finalement je laissais Luc faire toute la conférence et n'intervenais qu'à la fin, pour les questions réponses … La salle était conquise, sous le charme de mon petit frère … Du fond de la salle les deux journalistes me saluaient de la main ! Les participants repartaient avec une documentation complète, tout le monde était content … C'était un succès !

Justin me présentait ses camarades deux pasteurs d'une autre église mais il n'y avait pas de rivalité entre eux ! C'était pas le même genre que le premier pasteur ! J'ai vaguement eu l'impression que les pasteurs avaient compris ce qui nous avait retardé, mais ils n'en parlaient pas et semblaient accepter nos explications …

Justin : Nous étions dans le parc à discuter !
Moi : Oui et on a laissé passer l'heure … 

J'entendais Bob qui d'une toute petit voix rajoutais. Il était juste derrière nous !

Bob : Ça doit être ça, ouai, sûrement !

On restait un moment à discuter et à faire connaissance pendant que Luc allait se faire interviewer. On parlait de leur collègue que j'avais rencontré deux jours plus tôt. Selon eux c'était un fanatique, quand il participait aux activités organisées, kermesses, voyage ou autre choses, il en profitait toujours pour faire la morale à tout le monde et radotait toujours sa propagande. Ce devait être un refoulé.

Moi : J'ai déjà rencontré des gens qui portent une PK et qui incitent les autres à en mettre une aussi mais des gens qui n'en portent pas et qui veulent vous en mettre une … Et à ce point là … !
Un pasteur : Il n'en porte pas ?
Moi : Non, il n'en porte pas !
Un pasteur : Mais tout le monde croit qu'il est porteur à entendre comment il en parle .
Le second pasteur : Mais comment savez-vous qu'il n'en porte pas ?
Moi : Mais c'est lui qui me l'a dit !
Un pasteur : Non, j'ai du mal à y croire !
Moi : Ça lui aura échappé sous l'effet de l’enthousiasme ! 
Justin : C'est à lui qu'il faudrait mettre ce truc !
Un pasteur : Je comprend mieux maintenant, avec ce que Luc à balancé pendant son intervention …
Justin : Enfin on m'a dit que depuis deux jours il ne voulait plus voir personne.
Un pasteur : Oh il va s'en remettre !
Justin : Et il redeviendra comme avant, je suis sûr que ça ne lui servira même pas de leçon.
Un pasteur : Il m'a téléphoné le jour même pour se plaindre … '' Non mais tu vas quand même pas les recevoir … Et ces journalistes, le femme surtout elle n'arrêtait pas de se moquer … Ils vont me faire passer pour je ne sais pas quoi … ''
Le second pasteur : Mais enfin mes frères … Vous rendez-vous compte de ce que sommes en train de dire … 

Les trois religieux se regardaient et finissaient pas éclater de rire. 

Un peu plus tard on se retrouvait Justin, Bob et moi.

Bob : Alors vous étiez ou ? On vous a chercher partout !

Là il nous cherchait un peu.

Justin : Et bien je suppose que nous devions être dans la parc et qu'on à laissé passer l'heure …
Bob : Ouai c'est ça ! Et c'est à moi que vous voulez faire croire ce genre de conneries !
Moi : Écoute Bob moi, je ne suis pas comme mon petit frère, j'ai pas de petit copain sous la main qui à une grosse queue et qui ne portes pas …

Là je dois avouer que je l'ai fait exprès, et ça a marché … Bob devenait tout rouge, et il s'en allait en baissant la tête. En sortant il lançait.

Bob : Luc, ton frère m'embête, je vais vous attendre dans la voiture … 

Puis on l'entendait marmonner … 

Bob : C'est comme avec Justine, maintenant ils s'y mettent tous … Pfff …  

Luc me regardait sans comprendre puis reprenait avec les journalistes … Justin et moi nous regardions et on éclatait de rire. Il avait bien sûr compris pour Bob et Luc. Mais ça ne semblait pas le déranger … C'est vrai que, après ce qui venait de se passer entre nous … S'offusquer aurait été ridicule.

Justin : Mais qu'est-ce-qui lui arrive !

Je lui racontait plus en détails la manie qu'avait Bob de changer de couleur dès qu'il était embarrassé. Je lui racontait aussi comment Justine ne pouvait pas se retenir de le taquiner …

Justin : Mais c'est parce qu'elle l'aime bien !
Moi : Mais il est adorable, il est très mignon et très gentil. Mais bon si on le taquine trop il devient tout rouge et il se met en boule !



EP 51 : UNE PRESENTATION


On retrouvait Bob dans la voiture, il faisait la gueule. J'ai l'impression qu'il a commencé à faire la gueule au moment ou nous sommes monté. C'était sa façon de protester pour les petites taquineries que je lui avais fait. 

Luc montait à côté de son camarade, moi à l'arrière.

Luc : Et bien doudou tu fais la gueule, tu es fâché.
Bob : C'est ton frère, il a dit au curé que j'avais une grosse bite et que …
Moi : C'est lui qui a commencé ! ( en le montrant du doigt )
Luc : Non mais franchement, vous ne pouvez pas rester sages cinq minutes, mais qu'est-ce que je vais faire de vous … C'est pas croyable ça !

On ne savait plus quoi dire ! J'avais une furieuse envie de rire mais bon, il ne fallait pas trop en rajouter Luc en faisait déjà assez !

Moi : Mais enfin Luc c'est lui qui a commencé !
Luc : Et il a fait quoi ?
Moi : Il ne voulait pas croire que le curé et moi on s'était attardé dans le parc !
Luc : Mais enfin personne n'y a cru ! Même les deux pasteurs n'y ont pas cru, ça se voyait !
Bob : Tu vois ? Qu'est-ce-que je disais ?
Luc : Et c'est pour ça que tu fais la gueule ?
Bob : Non, ensuite il à dit au curé que j'avais une grosse queue et que je ne portais pas !
Luc : Et c'est pour ça que tu fais la gueule ?
Bob : Bein oui, jusqu'à maintenant il n'y avait que Justine qui m'embêtait …
Luc : Mais pourtant c'est vrai, tu ne portes pas … Et tu as une grosse queue … C'est aussi pour ça que je t'aime.

Luc lui donnait un baiser sur la joue …

Luc : Allons doudou, c'est fini ! Allez on rentre, conduit-nous à l’hôtel.

Je me penchais puis sans prévenir lui faisais une bise sur l'autre joue …

Moi : Allons doudou, c'est fini ! Allez on rentre à l'hôtel.
Bob : Aaaah  ! Il recommence … !

Bon en fait il n'était pas vraiment fâché mais il ne voulait pas le dire ! Je sentais qu'il se retenait de rire. On faisait route, on roulait bien et on arrivait à l'hôtel relativement tôt ! Un moment de détente auprès de la piscine, on passait à table,  Luc avait trouvé une boite de nuit gay dans le coin et me proposait une sortie à trois. J'hésitais un moment et finalement … On y passait une très bonne soirée jusqu'à cinq heure du matin …

Le lendemain il n'y avait personne pour le footing matinal. Je me levais vers dix heures et demie et j'étais le premier. On sautait le petit déjeuner, on se contentait d'un café et on attendait, un peu amorphe, allongés sur un transat à côté de la piscine. 

Après le repas on se sentait mieux, on se préparait alors à partir pour la dernière conférence. Cette fois ci ce ne serait pas une conférence mais une réunion d'information un peu comme cette réunion que nous avions organisé dans mon école il y a plus d'un an. Il n'y aurait que des adultes désirant s'informer. Ils avaient tous entendu parler de ce truc, depuis quelque temps il était difficile d'y échapper, et ils voulaient savoir très exactement de quoi il en retournait !

Luc s'était montré à la hauteur devant des jeunes de son âge mais là on décidait que ce serait moi qui prendrait la parole. Dans ce genre de situation j'avais plus d’expérience que lui.

On arrivait en avance ce qui nous permettait de faire connaissance avec 
l'assemblée … Il y avait des femmes seules, des hommes seuls, et des couples. Les plus jeunes avaient mon âge les plus vieux avaient l'âge de mes parents. Il y avait aussi une vieille connaissance … Nathan … Ça faisait un moment que je ne l'avais pas revu celui là ( Ep 21 ). On se saluait, mon frère arrivait lui aussi pour lui dire bonjour et on lui présentait Bob qui prenait tout de suite un air méfiant.

Nathan : Alors voilà donc notre ami Bob, Tu sais, j'ai beaucoup entendu parler de toi mon garçon !
Bob : ( qui était déjà tout rouge ) Et on vous à dit quoi ?
Nathan : Tout ce que je dois savoir !
Bob : Mouai ! Ça me plaît pas trop tout ça !
Nathan : Ne t'inquiète pas on ne m'a dit que du bien de toi.
Bob : Vous connaissez Justine ?
Nathan : Oh oui, je la connais très bien ! Elle est adorable non ?
Bob : Bof, moi elle m'embête tout le temps !
Nathan : Mais c'est parce qu’elle t'aime bien !
Bob : Moi je préférerais qu'elle m'aime un peu moins bien !

On nous présentait aux organisateurs. C'était un couple, et c'est à la demande de leur fils Alexandre qu'il avaient eu l'idée de contacter la PK … 

Tout le monde prenait place, Nathan assurait l'ouverture, un petit discours très court puis me laissait la parole. Il n'était pas inquiet, il m'avouait par la suite qu'il avait vu ma dernière prestation. Il m'avait donné quelques conseils mais la situation me semblait évidente et nous étions d'accord. Luc faisait le zouave et Bob avait totalement disparu après sa courte discutions avec Nathan. 
Le discours se passait bien, suivait une séance de questions réponses et c'est seulement à ce moment que Luc intervenait. Comme à son habitude il savait amuser la galerie. Je me disais que finalement mon frère aimait bien se faire remarquer, c'est vrai qu'il était sociable et rapidement tout le monde tombait sous son charme. Je le laissais parler …

La discutions se continuait encore par petits groupes qui se formaient autour de Nathan, mon frère et moi. On enregistrait quelques commandes, surtout des adultes en couples, deux adultes seuls, en tout cas venus seuls, et deux jeunes de mon âge … 

La journée s'était bien passée, j'avais revu Nathan qui prenant le temps de prendre de mes nouvelles, les journalistes faisaient quelques interviews auprès des participants, mon frère faisait le guignol mais les conseils qu'il donnait étaient sérieux !

Bob n'était pas réapparu et je commençais à m'en inquiéter. 

Moi : Dis moi Luc tu sais ou est Bob ?
Luc : Il a préféré se cacher dans la Mercedes, il avait la trouille de se retrouvé au milieu d'un groupe et qu'on lui pose des questions du genre '' Tu portes ton truc depuis combien de temps ? '' …
Moi : Et si quelqu'un le retrouve tout seul dans son coin ?
Luc : Il dira qu'il est le chauffeur …

On le retrouvait un peu plus tard. Il s'était renfermé dans la voiture et se faisait discret. On ne traînait pas davantage, Luc et moi étions content de cet après midi, c'était une bonne ambiance, beaucoup d'échanges. Nathan repartait le jour même et les journalistes nous confirmaient que le reportage serait monté pour le prochain wee-end … Télé locale sûr, peut être télé nationale !

La nuit avait été difficile et on ressentait encore la fatigue de la soirée précédente, moi surtout ! Je décidais donc de me coucher tôt. On frappait à ma porte. J'allais ouvrir, c'était Régis .

Régis : Je suis chez moi avec quelques amis, je ne travaille pas avant demain, et on se fait une petite fête, ça te tente ? …
Moi : ( j'hésitais un instant puis ) Je passe un pantalon et j'arrive.

On descendait, j'avais passé un pantalon, un t-shirt et des sandales. J’apercevais Luc qui faisait le fou sur le plongeoir de la piscine avec Bob, il avait toujours l'air de faire la gueule Bob. Ils étaient en froid ? Non, Luc n'aurait pas fait le fou comme ça il aurait fait la gueule aussi … Je me disais que Bob devait avoir des problèmes et qu'il faudrait que j'en touche un mot à mon frère dès demain … 

On arrivait chez Régis, il y avait deux garçons qui avaient l'air joyeux, chacun une bière à la main ils poussaient des cris de foie au moment ou Régis entrait. Il nous présentait sans faire de formalité. Djé, Benoît, Laurent . 

J'étais à peine entré que déjà j'avais une bière dans la main. Benoît et Laurent s'étaient mis à l'aise et étaient torse nue, Régis en faisait autant, je les suivais. Ils avaient mis de la musique et alors que Benoît ouvrait d'autres bières, Laurent faisait connaissance avec moi.

Laurent : Et toi tu fais quoi dans le coin ?
Moi : Je suis venu faire des conférences !
Laurent : Tu es conférencier ! Tu n'est pas un peu jeune pour ce genre de boulot. Et tu raconte quoi dans tes conférences ?
Régis : Il est venu pour les conférence sur la PK Compagnie !
Laurent : Ouèèèèè ! Et c'est toi qui fait les conférences ?
Moi : Bein oui !
Laurent : NON !?
Moi : SI ! ( je commençais à rigoler )
Laurent : Mais alors ! C'est toi qui porte ce truc !
Moi : Ouééééé !
Laurent : J'en ai jamais vu ! Tu fais voir dis !

J'avais terminé ma bière, Benoît m'en donnait une autre …

Benoît : Qu'est ce qui se passe ?
Laurent : Il va nous montrer sa bite ! 

Tous ensemble …

… A poil ! A poil ! … 

Là je commençais à me poser des questions … J'hésitais un peu mais avant que j'ai le temps de me décider …

Laurent : Bon ! Puisque vous me le demandez tous !

Il retirait son pantalon avant qu'on ai eu le temps de réagir. Il ne portait pas de sous vêtements. Les deux autres poussaient un cris de satisfaction …

… Aaaaaaaaah … Il est à poil, et il est tout nu et tout bronzé …

En effet il faisait du bronzage intégral, comme moi d'ailleurs. C'est vrai que sur ma terrasse … Je retirais mon pantalon moi aussi … Les deux autres me faisaient la même chanson … Il ne fallait pas grand chose pour qu'ils soient contents ces trois là …

Laurent ! Wouah ! C'est délire ce truc ! CTC, c'est la marque, je croyais que la marque c'était Le Château … Je peux voir de plus prêt ?
Moi : Vas y regarde .

Il se laissait tomber sur le fauteuil qui était juste derrière lui et se retrouvait à la bonne hauteur …

Laurent : CTC, ça veut dire quoi ?

Il approchait la main et me caressait les couilles.

Moi : Le dispositif est en titane … Ça veut dire Confort Titanium par le Château … C'est un des prototypes et ils ont arrêté la fabrication après … 
Laurent : Pourquoi ? Il était pas au point ?
Moi : La marque '' Le Château '' a été remplacé par la '' Purity Keeper Compagnie '' , mais le modèle est toujours fabriqué … Maintenant c'est le '' C PK C ''.

Il caressait dispositif, le prenait entre deux doigts, le soulevait pour voir comment je réagissais, comment il était fait …

Laurent : Ils n'ont pas supprimé le modèle, il est très beau je trouve.
Moi : J'espère bien qu'ils ne vont pas supprimer le modèle, j'en suis un des dessinateurs et j'ai des droits dessus … 
Laurent : Des droits ?
Moi : A chaque vente je gagne un peu d'argent. 

Il tenait le truc entre ses doigts. Ce n'était pas désagréable. 

Moi : Tu peux toucher si tu veux !
Laurent : Oh ! Excuse moi mais … Je suis impressionné … Je te fais pas mal …

Suivaient les questions habituelles …

… Ca fait pas mal ? …
… Ca ne gêne pas les mouvements ? … 
… A la plage ça ne doit pas se voir sous le maillot de bain !
… Ça gratte ? … 
...

Au début sa queue était molle, je remarquais que rapidement c'était devenu une grosse molle et maintenant une grosse dure … En regardant mes deux autres camarades je remarquais qu'ils semblaient être dans le même état. Ils avaient une grosse bosse dans le pantalon qui se n'était pas là quelques instants plus tôt, ils étaient là à nous regarder, une bière à la main rigolant à moitié.

Laurent : ( qui me tripotait toujours la PK ) Dis donc, on dirait qu'il y a de la pression la dedans, la cage, elle est bien pleine . Tu bandes ?

Je faisais signe que oui de la tête.

Laurent : Mais tu peux rien faire avec ce truc !
Moi : Je peux rien faire ! Tu vas voir si je peux rien faire !

Je le repoussais en arrière, il se laissait retomber sur le canapé, je lui écartais les genoux, m'accroupissais entre ses cuisse et commençais à lui sucer la queue ! Les deux autres me regardaient faire, leurs pantalons tombaient sur le sol et ils commençaient à se tripoter sans conviction, je veux dire par là sans chercher à jouir, ils se tripotaient comme ça, juste pour le plaisir de bander. Moi , ma cage était sur le point d'exploser, la pression était à son maximum … Il avait raison Laurent, je bandais, et je bandais ferme même !

Je lui montrait ce que je savais faire. Il ne résistait pas et rapidement je l'entendais respirer plus fort, il avait de grands soupirs et m'encourageait …

Laurent : Oh oui ! Vas y ! Tu es un chef ! On ne m'a pas souvent fait ça … Aussi bien ! …

Je jetais un œil sur le côté et j'apercevais Régis et Benoît, ils se faisaient face, s'étaient enlacés et s'embrassaient avec beaucoup de tendresse … Je ne me laissais pas distraire. Laurent avait pris ses aises, il me laissait faire, il était à moitié allongé, les bras derrière la tête, les jambes bien écartées, il se reposait sur le dos, ses fesses étaient presque dans le vide. Je lui caressait les cuisses, je remontais plus haut, le torse … Je passais mes mains autour de son sexe , tout en haut de ses cuisses puis les remontais pour lui pincer doucement les tétons. Il me caressait alors les bras. 

Il me caressait les cheveux, appuyait un peu sur ma tête, j'avalais. Un peu plus, j'avalais toujours. Il relevait le bassin, j'encaissais … Ce jeux devait durer encore un bon moment puis je le sentais se relever …

Laurent : Ne bouge pas je vais t'enculer ! Si il y en a un qui veut ma place !

Sans rien dire Benoît prenait la place. Sans rien dire je le suçais à son tour. Régis s'était approché et était juste à côté de moi. Je relevais la tête … Benoît se penchait vers lui et le suçait en même temps que moi je suçais Benoît.

Laurent avait pris position et je sentais une forte pression sur mon anus. J'ai compris tout de suite qu'il ne se poserait pas de questions. Ça devait passer ! Il poussait comme une brute, ça passait ! Un instant je ressentais une vive douleur mais ça passait et la douleur laissait place à un plaisir intense. 

C'est sans me ménager davantage Laurent enfonçait sa bite bien à fond et terminait par un coup de rein, j'adore quand on me défonce comme ça, je gémissais comme je pouvais avec la bouche pleine. Par réflexe je relevais la tête et c'est à ce moment que Benoît me prenait fermement la tête des deux mains. 

Benoît : Ne te sauve pas toi, reste là et continue, tu fais ça très bien …

Il m'appuyait sur la tête et me guidait avec autorité ne recherchant que son plaisir. Il était plus violent, il n'hésitait pas à bien appuyer pour m'obliger à avaler sa queue en entier. J'aime bien aussi … Quand il me lâchait, je relevais la tête, il suçait Régis qui lui aussi lui tenait la tête et dirigeait sans aucune pitié.

Laurent me limait le cul avec vigueur, il ne retenait pas ses coups, j'aime bien quand c'est un peu violent comme ça. Il ressortait complètement, quelquefois il faisait une pause puis revenait bien à font, d'un coup vif et rapide, je gémissais, quelquefois je voulais me dégager pour râler, Benoît me retenait. Si les coups devenaient trop violents, je tentais par moment de bloquer Laurent avec une main, il m'attrapait alors les mains et me bloquait complètement tout mouvement. Je n'avais plus d'autre chois que de subir. Ça me faisait un peu mal mais j'aime bien quand c'est un peu violent.

Ma PK allait exploser, si ce truc n'était pas indestructible, avec la pression de ma queue à l'intérieur il aurait exploser. C'était bon, c'était frustrant, un filet de sperme coulait de ma PK, je sentais tout mon corps vibrer, trembler … Oh  oui encore ! … 

Les coup de butoir que m'infligeait Laurent devenaient plus rapide, plus violents encore, là il me faisait vraiment mal, sa respiration devenait plus saccadée, il râlait de plaisir … Je le sentais trembler de tout son corps en même temps qu'il gueulait de plaisir … Il me donnait un dernier coup, bien à fond, bien douloureux ( pour moi ), il restait enfoncé, je le sentais vibrer, il me caressait le dos puis se retirait …

Benoît lâchait ma tête et un instant j'avais l'impression d'être libre de mes mouvements.

Benoît : Vas y Régis, prend ma place …

Régis s'installait à la place de Benoît et me présentait sa bite, je tournais la tête et je voyais Laurent qui s'était installé sur un fauteuil, il avait l'air ravis, il continuait à se tripoter, juste pour le plaisir de bander … Il s'était servi une bière et nous regardait avec attention.

Je lui faisais un geste qui voulait dire … '' A boire '' . Il me tendait sa bière et au moment ou j'avalais la première gorgée Benoît me défonçait le cul sans prévenir, d'un coup, bien à fond, bien violent. Je gueulais et me renversais de la bière sur la figure. Mes trois camarades éclataient de rire. Benoît ne se retirait pas mais me laissait boire tranquillement. Laurent s'ouvrait une autre bière et mes deux autres camarades en faisaient de même.

Je reposais ma bière, Benoît immédiatement recommençait à me buriner le cul. Il y allait doucement avec des mouvements lents et amples, il passait ensuite à des mouvements plus rapides toujours aussi amples puis il accélérait les mouvements devenaient moins amples. Il accélérait encore, il ne se retirait presque plus mais appuyait fort, très fort. Je ne contrôlais plus rien. Mon ventre me donnait l'impression de se relâcher, je ne savais plus si j'avais envie de pisser ou autre chose … 

Je voulais relever la tête pour reprendre mon souffle, Régis me retenais et prenait un malin plaisir à bien appuyer sur ma tête pour m'obliger à bien avaler sa queue, je suffoquais, j'avais l'impression de ne plus pouvoir respirer. J'aime bien aussi quand on me prend de force …

On me faisait subir ce traitement encore un moment. Benoît ne retenait pas ses coups et au moment ou il hurlait, il poussait sa queue bien à fond, me prenait dans ses bras en me relevant, me serrait de toutes ses forces, continuait à pousser sa queue comme s'il voulait me soulever. Il me faisait mal, je gueulais mais ne parvenais à faire aucun bruit. Régis se collait à nous et m'embrassait. A deux il me soulevaient du sol, j'étais sur la pointe des pieds et je touchais à peine le sol … C'était bon !
Benoît finissait pas me lâcher et par se retirer. J'en pouvais plus. J'étais en 
sueur. En un instant je me sentais vidé, la sensation restait intense mais pas au niveau du cul, pas seulement au niveau du cul, pas au niveau de la prostate non plus mais au niveau de … Je sais plus ... de l'estomac peut être, je sais pas mais c'était dans tous le ventre, profond dans tout le ventre ! J'étais vidé, je me sentais vide !

On se calmait tous. Régis bandais toujours. Il s'asseyait en tailleur au milieu de la pièce. On se resservait une bière. J'étais assis face à Régis, nos deux autres camarades étaient assis en cercle Benoît à ma droite et Laurent à ma gauche. On buvait notre bière sans se presser. Régis me regardait fixement, je lui rendais son regard et le fixais moi aussi avec insistance.

Régis me fit signe de m'approcher puis me montrant sa queue qui était toujours bien droite, bien ferme …

Régis : Assis-toi là dessus !

Je me relevais, m'approchais de lui, l'enjambais, il se penchait légèrement en arrière et lentement je m'empalais sur sa queue, il gardait les jambes croisées et je passais les miennes autour des ses hanches. Je reposais de tout mon poids sur ses cuisses, sa queue bien enfoncée dans mon cul. Il me prenait dans ses bras et me serrait fort contre lui. A nouveau je me sentais remplis, prêt à éclater, prêt à déborder la pression devenait à nouveau intense dans mon ventre, contre mes intestins, mon estomac, mes poumons, mon cœur … 

Je prenais Régis dans mes bras et en tremblant je le serrais très fort contre moi. Il commençait alors à se balancer d'avant en arrière sur ses fesses. Chacun de ses mouvement me massait la prostate avec beaucoup de douceur, fermement mais doucement. J'avais été bien stimulé depuis un moment et rapidement je jouissais, j'avais envie de pisser, j'avais envie d'éjaculer … Je sentais une filet de liquide chaud qui coulait de ma PK. Je tremblais, je tremblais comme un fou, je ne pouvais plus me contrôler, je gémissais, je convulsais, je pleurais, je jouissais comme ça ne m'est pas arrivé souvent. 

Régis se montrait très doux, très câlin, il me caressait doucement, m'embrassait dans le cou avec une extrême tendresse … J'aime bien quand il y a de la douceur et il y en avait maintenant ! J'ai cru que j'allais craquer, j'ai cru que je ne pouvais plus, j'ai cru que … Mais Régis continuait toujours avec cette grande douceur, ma prostate était en feu et le reste de mon corps également. Je le sentais se raidir, je le sentais se tendre, je le sentais vibrer au moment ou il jouissais en moi et je me cramponnais à lui, et je vibrais en même temps, et je jouissais encore une fois. Dans ma cage la pression avait disparue mais la cage était toujours aussi bien remplie, j'avais une grosse molle sans ma PK !

Je me retirais, Régis débandait, on me donnait encore une bière, plus personne ne parlait, on se regardait, on avait tous un large sourire. Mes camarades se tripotaient, pas pour jouir, pas pour se masturber … Juste pour le plaisir de bander, ils gardaient pour le reste de la soirée une grosse molle, c'était très agréables à regarder … 

Plus tard dans la soirée on allait piquer une tête dans la piscine de l'hôtel, on retournait chez Régis boire les dernières bières et je ne sais plus à quel moment je me suis endormi.



EP 52 : RAPIDE PASSAGE AU CHATEAU



Il faisait encore nuit, j'avais envie de pisser et de boire. Un peu d'eau pas de bière, plus de bière … J'avais la bouche pâteuse, trop sucé ? … Non ! Trop picolé ! Peut être ! Régis dormait à côté de moi, les deux autres avaient disparu. Je me levais pose pipi et j'allais dans la cuisine, j'avais un peu mal au cul … Bon j'en avais vu d'autres, et là, ça ne m'étonnait pas vraiment. Mais je gardais encore une sensation très agréable là, dans mon ventre. C'est cette douce sensation de se sentir encore bien rempli.

Au moment ou j'avalais ma dernière gorgée d'eau … Pas de bière … Beuh … Pas de bière … J'entendais une voix …

''… Mais c'est pas vrai ! Alors c'était pas des conneries ce qu'on m'a raconté ! Wouah … ! Alors c'était bien vrai ! ''

Un jeune homme dans mes âges s'approchait, il dormait sur le canapé et je ne l'avais pas vu en arrivant et c'est sans le vouloir que je l'avais réveillé. Il était nettement plus grand que moi et ne devait pas être loin des deux mètres. Il avait un sourire éclatant, une peau d'un noir profond, des cheveux très courts presque rasés, des yeux noirs, une silhouette mince et musclées. Il s'approchait de moi.

Lui : Alors tu es réel, j'y avais pas cru, j'ai pensé qu'ils m'avait raconté des bobards.

Ses yeux parcouraient mon corps de haut en bas, il semblait apprécier ce qu'il découvrait … Je vous avais bien dit que j'étais très mignon ! … Ses yeux s'attardaient en particulier sur un point précis … Mon dispositif de chasteté PK !

Je regardais son visage, il s'en dégageait de la force et aussi une grande douceur, sont torse était musclé, une musculature douce, pas de muscles hypertrophiés mais pas un poil de graisse … Il faisait du sport lui aussi ! Mes yeux continuaient leur exploration et ce qui pendait entre ses cuisses était tout simplement monumental ! Seuls quelques godes parmi les plus gros que j'avais déjà utilisés dépassaient  ça ! J'en frémissais, je sentais ma prostate qui semblait s'alarmer à l'avance, mon cul se contractait, se détendait, se dilatait même peut être comme pour me dire que ça devrait passer. Je sentais ma bite se manifester dans sa cage.

Karim : Salut, moi c'est Karim, et toi tu es … 
Moi : Jedje ! Euh … Djé !

Il souriait de ma réponse.

Karim : Et bien Djé, ça te tentes si on fait un peu plus ample connaissance ?

J'avalais ma salive, il n'était plus qu'à quelques centimètre de moi, je sentais sa chaleur, mes jambes chancelaient, j'avais penché ma tête en arrière pour pouvoir continuer à le regarder dans les yeux. C'était la pression dans ma cage de chasteté, une forte mais douce pression !

Sans attendre il posait ses deux mains sur mes bras, j'étais tétanisé. J'avais l'impression qu'il allait me soulever et m’emmener avec lui. J'avais l'impression, ou j'en avais envie … ? Doucement il me tirait vers lui, je voulais faire un geste, pas pour me dégager … Certainement pas mais, j'appuyais trop fort sur la bouteille d'eau qui se transformait en geyser … On était trempés …

Toujours avec le sourire, il me retirait doucement la bouteille des mains et la posait sur la table.

Karim : On va la laisser là, ce sera moins dangereux !

Je sentais que si j'essayais de dire quelque chose j'allais bafouiller aussi je préférais me taire. Doucement me prenant par un bras il me conduisait jusqu'au canapé qui était déplié et me faisait tomber doucement dessus. J'étais pétrifié. Sa peau était d'une extrême douceur, je sentais ma bite et cette pression devenue maintenant intense ( Si certains d'entre vous connaissent des érections matinales , et je l'espère pour vous, je peux vous dire que c'est rien à côté de ça ), c'était pas douloureux, le dispositif de chasteté CTC était vraiment d'un grand confort mais là c'était vraiment intense, à en devenir désagréable. J'avais la sensation que ma queue était écrasée … En fait … Elle n'était pas plus écrasée que d'habitude elle était simplement plus expansive … 

Il s'était allongé à côté de moi et me caressait avec beaucoup de douceur. Je lui rendais ses caresses sans aucune avarice. Il me tirait vers lui tout en se s'approchant de moi, je sentais sa queue qui se redressait entre mes cuisses, il bandait et sans surprise, c'était énorme. J'en avais vu d'autres mais des comme ça uniquement en plastique jamais en vrai … Je sentais à nouveau ma prostate frétiller et ma queue protester. 

On s'était encore rapprochés, on s'embrassait, chacun couvrait l'autre de caresses, il roulait sur le dos je me retrouvais sur lui, son corps était doux, son corps était chaud, il me caressait le dos, ses mains descendaient jusqu'à mes fesses, un doigt se glissait entre et rapidement s'introduisait dans mon cul. C'est à ce moment là seulement que je remarquais que je n'avais plus du tout mal au cul ! Et en même temps je me disais que ça n'allait pas tarder à recommencer !

Je roulais sur le dos sans cesser de l'embrasser il se retrouvait sur moi. Son corps était chaud, son corps était lourd, c'était doux. Il me mordillait le lobe de l'oreille, il me mordillait tendrement le coup, ma queue voulait tout faire éclater, elle poussait contre le dispositif de chasteté … Le dispositif tenait bon ! Je lui caressai le dos, les fesses, il était pratiquement imberbe et c'était un grand plaisir de sentir une peau aussi douce sous mes doigts !

Brusquement d'un mouvement rapide il se relevait, posait mes chevilles sur ses épaules, me repliait les jambes en s'appuyant sur moi, et m'enfilait doucement mais fermement sa queue dans le cul. Il y allait doucement comme pour ne pas me blesser, il y allait fermement car il fallait que ça passe ! Et ça passait ...

Je sentais ma prostate protester au moment ou je sentais son gland se poser contre mon anus, je sentais mon anus se contracter au moment ou je sentais sa bite le toucher, je sentais un pression douloureuse au moment ou il commençait à forcer, je sentais mon anus se dilater, se distendre, je sentait un grande douleur au moment ou il commençait à me pénétrer. J'avais l'impression que ça allait déchirer mais … J'en avais vu d'autres … Je sentais mon anus se remplir centimètre après centimètre, je sentais enfin ma prostate à l'agonie qui me donnait un intense plaisir … Après une certaine douleur c'était un intense plaisir qui me submergeait.

Tout mon corps se détendait sauf mon anus qui lui se distendait. Karim me pénétrait bien à fond, il se laissait tomber de tout son poids et m'écrasait, mes genoux se retrouvaient presque sous mes bras, ça va je suis encore souple à mon âge ! Il penchait la tête en avant pour m'embrasser, j'en profitais pour le saisir par les épaules et le tirer en plus vers moi. Là j'avais du mal à respires par moment, il s'en rendait compte et me laissait juste assez de liberté de mouvement pour me soulager en m'écartait bien les jambes.

Il se retirait totalement d'un mouvement ample et lent. Je voulais gueuler mais aucun son ne sortait de ma bouche. C'était à la fois douloureux et jouissif. Douloureux tant mon anus était dilaté, mais … Wooha , oh oui ! Encore ! …  C'était jouissif … ( bein oui quoi, j'adore me faire défoncer le cul !)

( je dis ça au cas ou il y en a qui n'auraient pas encore compris … Et je rajoute même que vous pouvez le répéter , c'est pas comme la fois ou je vous avais avoué que j'étais puceau … Vu qu'il y en a qui ne peuvent pas s'empêcher de cafter … )

Il revenait et s'enfonçait bien à fond, ma prostate paniquait, je jouissais encore. Il se retirait et je sentais mon anus distendu qui s'alarmait, un plaisir d'un autre type me faisait jouir encore un peu plus. Il revenait à la charge …

Chacun de ses mouvement me retournait les intestins et me remplissait le cul avant de me le vider totalement. Il accélérait le rythme ce qui me rendait fou, je hurlais, je gémissais, je pleurais, j'en redemandais … 

Mon cul était en feu, mon ventre explosait, mon corps tremblait, ma gorge restait muette, mes yeux étaient en larme, je jouissais sans plus rien contrôler. Je me cramponnais à ce que je trouvais. Un oreiller ? c'était pas efficace ! Karim ? C'était pire, j'étais embarqué avec lui dans ses mouvements qui ne faiblissaient pas ! J'en ai vu d'autres, je sais encaisser … Mais là quand même !

Il finissait par conclure avec quelques mouvements particulièrement violents, un hurlement de plaisir qui allait me rendre sourd, une étreinte qui me coupait complètement ma respiration avant de se laisser tomber sur moi de tout son poids … 

Rapidement il me lâchait les jambes qui reprenaient une position normale, très écartées et repliées juste en dessous de ses fesses. Il ne s'était pas retiré et je sentais encore sa présence en moi. Il était peut être grand mais il était également mince et pas si lourd finalement. J'appréciais son contact chaud  et sa peau douce comme du satin encore un long moment … 


Régis : Alors là ! C'était quelque chose … !

Je sursautais, Karim également, il se relevait et se retirait. Il gardait encore une grosse bite molle qui pendait lourdement entre ses cuisses, je sentais mon cul se refermer et en même temps un bien être qui envahissait tout mon corps …

Karim : Ça fait longtemps que tu es là toi ?
Régis : Ça fait un bon moment, vous étiez tellement occupés que vous ne m'avez même pas vu arrivé … Je dois dire que c'était quelque chose ! Wouha … Ça décoiffe !

Régis s'était installé dans un fauteuil et avait profité du spectacle, il bandait, il s'était masturbé et venait d'éjaculer au moment ou Karim s'était laissé retombé sur moi ! On passait à la douche, ça faisait plus d'une demie heure que Karim me défonçait et me limait le cul. Je récupérais, et j'avais encore cette impression d'être bien remplis, impression agréable, presque jouissive !

Je remontais dans ma chambre, les jours sont encore long à cette période de l'année et le soleil allait bientôt se lever. Je m'allongeais sur mon lit et somnolait un bon moment en attendant le petit déjeuner. 

Je sursautais en entendant frapper violemment à la porte ! C'était Luc ! Pour une fois il frappait avant d'entrer celui-là mais comme je traînais à répondre ou tout simplement qu'il trouvait que je traînait à répondre il entrait sans vraiment attendre d'y être invité.

Luc : Jérémy ! C'est la tuile ! Il faut qu'on parle ! 
Moi : Mais qu'est ce qui t'arrive enfin ? Je dormais, je rêvais aussi mais je ne sais plus à quoi !
Luc : C'est la tuile … Bob !

Je me relevais brusquement !

Moi : Bob ! Qu'est ce qui lui arrive ? Il va bien ? Vous êtes fâchés ?
Luc : Il va bien et on n'est pas fâché ! Mais …
Moi : Mais … ?
Luc : La fac, enfin l'ancienne école ferme la section qu'il voulait faire l'année prochaine … La nouvelle école ouvre une section de ce genre, et s'il veut faire les études de son choix il va devoir aller dans une autre ville !
Moi : Mais bon ce n'est pas si grave ! C'est pas une raison pour me réveiller comme ça après la nuit que j'ai passée !
Luc : La nuit que tu as … ?


Luc : Ouai bon je ne veux même pas savoir ! Non, c'est la tuile, il n'a pas les moyens économiques de se payer des études, une chambre et tous les frais annexes dans une autre ville ! Il n'est pas plein aux as lui !
Moi : Et tu veux que je l'aide financièrement ?
Luc : Oui ! Mais lui il ne veux pas ! Je sais pas comment on va faire !
Moi : Bon ! Restons calmes ! Bob est un garçon adorable et si tu y tiens je suis d'accord pour l'aider financièrement pour ses études, s'il ne veux pas qu'on lui donne de l'argent on peut toujours envisager un prêt à zéro pour cent … Mais si lui ne veut pas ! Qu'est ce que tu veux que je fasses !
Luc : Tu ne vas pas prendre une douche !
Moi : C'est déjà fait !
Luc : Mais tu viens de te lever, là, devant moi !
Moi : Mais enfin … Luc tu est vraiment très curieux ce soir !
Luc : Ce matin ! … On est le matin ! Ah oui ! C'est vrai ! La nuit que tu as passé !
Moi : Une nuit terrible …
Luc : Du genre ?
Moi : Au moins vingt quatre centimètres !
Luc : Là, moi je préfère ne pas insister … On se lève … Petit déjeuner … Bob est sous la douche et il nous retrouve au restaurant !

J'avais encore le tournis quand je me relevais … La vache ! La nuit avait été dure et pas seulement pour la tête … J'avais de nouveau un peu mal au cul … Et cette douce et agréable sensation d'être pénétré avec douceur … Un pantalon, un T-shirt, des sandales et j'étais prêt pour descendre. Luc attendait, il était tendu, contrarié, enfin il avait pas l'air content quoi !

Nous étions parmi les premiers clients au restaurant. Régis n'était pas de service ce matin. Bob arrivait un peu plus tard, il faisait la gueule !

Moi : Luc m'a un peu expliqué la situation Bob !
Bob : Oui, et bien il n'y a rien à dire, rien à rajouter … Je si veux faire les études que j'avais choisies il ne reste plus qu'un seule solution !
Luc : Un autre école, tu sais, c'est possible !
Bob : Non ! C'est pas possible !


Bob : Il faudra que je me résigne. Apparemment ça vous réussi à vous ! 

Il nous regardais, son regard passait de moi à mon frère, la nouvelle était récente et il fallait qu'il encaisse le coup ! Il n'avait jamais souhaité porter ce truc , il n'en avait même jamais été question. Il avait appris la nouvelle la veille et c'est pour cela qu'il semblait déjà faire la gueule la veille au soir.

Luc : Tu devrais faire une essai … !

Bob le regardait d'un air pas vraiment convaincu !

Luc : Au moins tu sauras si tu peut supporter ou si il faut chercher une autre solution … Ça serait toujours mieux que de te retrouver dans une situation que tu pourrais ne pas supporter …
Moi : C'est une idée ça ! Et en six mois on pourrait toujours chercher un appart dans une autre ville !


Bob : Djé !
Moi : Oui !
Bob : C'est vrai ça que tu es d'accord pour m'aider si je vais étudier dans une autre ville ?
Moi : Avec plaisir … Tu fais un peu partie de la famille … Non ?
Bon : C'est sympa … Merci ! C'est vraiment sympa ! 

Le sourire revenait lentement. Luc avait alors une idée qui me paraissait complètement loufoque.

Luc : Et si on allait passer les derniers jours de vacances au Château ?

Bob et moi le regardions avec beaucoup de surprise.

Bob : Et c'est tout ce que tu as à me proposer … Dans six mois je vais me trouver avec un truc autour de la queue et tu voudrais que ça commence tout de suite ?
Luc : Non mon idée est de te donner la possibilité d'essayer et de voir … C'est tout et il n'est pas question que tu porte ce truc d'une manière permanente. Si tu ne me crois pas … C'est simple c'est moi qui garde les clés et tu sais que je ne te laisserais pas longtemps …
Bob : D'accord !
Luc : … Enfermé dans ce truc. Tu peux compter sur moi …
Bob : J'ai dit d'accord !
Luc : … Tu t'imagines bien que moi je te préfère sans … 
Moi : Il a dit d'accord !
Luc : Il a dit d'accord ? Bon ! Je m'occupe de tout !

Luc sortait son téléphone …

Luc : Bonjour … C'est Joël ? … Oué c'est Luc, c'est bien moi tu m'as reconnu … Bonjour Joël, ça va toi ? … Il faudrait que je parle à Monsieur Le Conte … Oui … Tu lui dit que c'est de la part de Luc …

Je me retournais ver Bob …

Moi : Alors là Bob il n'y a aucune chance que Mr Le Conte le prenne au téléphone, c'est un personnage important, comme tu as pu le voir. C'est au mieux un de ces secrétaire qui va répondre …

Luc : Bonjour M'sieu l'Conte … Oui Luc Brosso, c'est bien moi, il faut que je vous demande un tout petit truc … Merci c'est gentil … Voilà …

Luc expliquait alors la situation à Mr Le Conte … Je l'écoutait totalement incrédule … Ça se terminait par … 

Luc : Encore merci M'sieu l'Conte et à ce soir !

J'y croyais pas !

Moi : Monsieur Le Conte t'as répondu ?
Luc : Bein oui ! Tu croyais que je parlais à qui ?
Moi : Monsieur Le Conte t'as répondu ?
Luc : Bon il a été un peu long à répondre mais il était en réunion ! Il nous attend ce soir au château ! On a largement le temps de faire la route … On est plus loin que si on partait de la maison mais il n'y a que de l'autoroute … Et on a deux chauffeurs !

Je restais l'air médusé, incrédule, les yeux écarquillés … 

Luc : Bein quoi ? J'avais dit  je m'occupe de tout … Non ?

J’hallucinais complètement ! Décidément Monsieur Le Conte aimait beaucoup mon frère. Luc parvenait même à l'avoir au téléphone pendant une réunion … C'était là un très gros privilège ! Bob faisait encore la gueule … Il ne semblait pas convaincu par cette histoire. Mais Luc lui garantissait qu'il ne serait pas … , qu'on ne l'obligerait pas à porter ce truc, sauf au château bien sûr … Ce qui ne faisait que cinq jours … On ne l'obligerait jamais à plus !

On montait faire nos bagages, je passais rapidement dire au revoir à Régis, je payais les chambres et on se retrouvait à la voiture. Je confiais les clés à Bob, il conduit très bien, j'en ai fait l'expérience. Moi, je m'installait à l'arrière et continuait ma nuit … J'étais dans un sommeil profond en plein rêve quand j'entendais hurler à mon oreille … 

Luc : Debout ! On a assez dormi comme ça ! C'est l'heure de manger … On est au resto et j'ai réservé un table …

Je sursautais, je relevais la tête et en effet on était devant un restaurant, sur le parking. Je regardais l'heure et c'était bien l'heure de manger, mon estomac d'ailleurs commençait à manifester ! Luc n'avait pas choisi un routier, c'était un restaurant très classe … Je dois dire que ça ne m'étonnais pas vraiment de sa part. Et puis il avait ma carte bleue !

Après le repas les sourires revenaient. Bob semblait moins tendu.

Moi : Alors bob, pas trop inquiet de ce qui t'attend ?
Bob : Luc m'a raconté … Il m'a raconté plein de choses sur le château … Je suis un peu inquiet bien sûr mais je lui fait confiance, et de toutes façons je sais qu'il ne …
Luc : Que je ne pourrais pas me passer de ta grosse queue bien longtemps !

Bob jetais une coup d’œil à droite et à gauche et piquait du nez dans son assiette, il devenait tout rouge …

Moi : Alors ce coup ci c'est pas moi, j'ai rien dit !

Bob rigolait, il ne relevait pas la tête mais il rigolait … Personne n'avait entendu … Heureusement ! Après le repas c'est moi qui prenais le volant, j'étais maintenant complètement reposé et je tenais la forme. On ne faisait qu'une pose pour se détendre, moins d'une heure avant d'arriver. Il était encore tôt quand je garais la voiture devant le château. A l'entrée on nous attendait et la porte s'était ouverte toute seule à la grande surprise de Bob qui semblait hésiter dans le genre … '' Je regrette , je ne regrette pas '' … Il ne savait pas à quelle sauce il allait être mangé !



EP 53 : RAPIDE PASSAGE AU CHATEAU 2



Nous étions reçus comme d'habitude … Bob par réflexe attrapait son sac à dos quand un valet de chambre arrivait vers lui et …

Le valet : Puis-je porter votre bagage monsieur ? Je suppose que c'est votre premier séjour ici …

Luc et moi le regardions et d'un signe de la tête on lui confirmait de laisser faire. Bob était surpris et déjà commençait à prendre des couleurs … Le secrétaire de Mr Le Conte arrivait.

Luc : Ça va joël ?
Joël : Ça va et toi ? Alors tu me présentes ton petit copain, il a une bonne tête !
Luc : Je te présente Bob.
Joël : J'espère que vous avez fait un bon voyage, on vous attendait. Bob, Monsieur Le Conte désire te voir dès votre arrivée.
Luc : Ça marche on arrive !
Joël : Bob seul, Monsieur Le Conte désire s'entretenir avec Bob ! Il te rencontrera après si tu veux Luc. Djé je vous laisse entre les mains de James, il me semble que vous vous connaissez.
Luc : James ! Pfff ! Moi je préfère Charles !

On le suivait et Bob suivait le secrétaire, il balisait à moitié le pauvre … Surtout que nous le savons tous Bob est très timide ! James avait toujours l'air aussi coincé … Il nous conduisait vers une chambre à deux lits …

Luc : ( à l'intention du Joël ) Il lui faudra une ceinture de chasteté XXL pour lui !

Bob piquait du nez et devenait tout rouge. Luc l'avait un peu fait exprès.

James : Je vous ai réservé une chambre à deux lits, votre séjour sera très court m'a-t-on dit et vous êtes de la même famille … J'ai réservé la chambre, juste en face, pour votre ami Mr Bob, elle n'a qu'un seul lit et je peux vous assurez qu'il y sera très bien.

James avait à peine tourné le dos que Luc prenait mon sac à dos sur son épaule et me prenait par le poignet, sans rien dire il m’entraînait dans la chambre en face. Il laissait tomber mon sac sur le lit, celui de Bob y était déjà, il le ramassait et repartait en me laissant sur place …

Luc : Moi je préfère dormir avec Bob ! 

Il refermait la porte derrière lui ! La situation était claire et Luc savait ce qu'il voulait. Il ouvrait de nouveau la porte et me lançait …

Luc : Ce soir opération commando … Tu te mets en tenue … (voir Ep 34)

Évidemment je n'avais pas emporté de tenue spécial commando mais au château ils sont prévoyants et il y avait toutes les tenues de sport nécessaires dans un placard. Je passais dans la salle de bain pour me rafraîchir, j'entendais la porte s'ouvrir puis se refermer avant que j'ai le temps de voir qui c'était. Je revenais dans la chambre … C'était James, il m'avait apporté mon costume, j'avais presque oublié qu'on dîne toujours habillés, cravate et tout …

Quelques instants plus tard on frappait, c'était Bob. Il m'apportait mon costume … Bien sûr j'aurais dû y penser le costume que James m'avais emporté était le sien, pour James j'étais dans la chambre à Bob !

On se changeait.

Moi : Alors comment ça s'est passé ?
Bob : Monsieur Le Conte à été tout à fait charmant mais pour le reste …
Moi : Tu te sens comment ?
Bob : Beuuuu ! Je sais pas !

Bob me montrait le dispositif de chasteté qu'on lui avait donné, c'était le modère classique '' C PK C '' le même que le mien ou celui de Luc excepté que les nôtres étaient signé '' C T C '', nous on portait les prototypes … Le pauvre il n'avait pas l'air convaincu !

Bob : Ça ne fait pas mal, c'est vrai … Ça ne gène pas les mouvements, c'est vrai aussi … Mais on le sent bien, çà c'est sûr ! 
Moi : Et tu le portes combien de temps ?
Bob : C'est Charles qui aura la clé, je le porte donc jusqu'à mon retour … Cinq jours ! Pfff ! Je sens que ça va pas être facile … 
Moi : Cinq jours, tu verras c'est pas si dur que tu ne le penses, ça passera vite !
Bob : Mais comment vous faites Luc et toi pour supporter ce truc !
Moi : La tu exagères, tu le portes depuis moins d'une heure et tu râles déjà ! Au fait il est ou Luc ?
Bob : Monsieur Le Conte désirait lui parler !

C'est alors que Luc ouvrait la porte comme un fou et entrait en hurlant.

Luc : Bob a disparu, je ne le retrouve nul part !

On le regardait surpris …

Bob : Voilà qu'il panique maintenant ! Il m'a dit que d'habitude c'est toi qui paniquais !

Luc ressortait, refermait la porte et la rouvrait de nouveau. Il entrait alors comme un fou et hurlait.

Luc : Oué ! Tout va bien j'ai retrouvé Bob, il était pas perdu bien loin !

Bob finissait par sourire à cette comédie. Luc le prenait dans ses bras …

Luc : Ça va mon doudou ?

Bob lui répondait par un baiser en le prenant lui aussi dans ses bras.

Luc : Mais tu le retires dès qu'on arrive à la maison ! 

On continuait à discuter, on suivait Luc qui allait s'habiller dans sa chambre. La porte était restée entre ouverte aussi on entendait James qui entrait dans la chambre en face, en ressortait, frappait et entrait dans la nôtre !

James : Nous allons bientôt passer à table, je venais m'assurer que tout se passe bien ! 

Avant de nous laisser sortir il s'assurait que nous étions présentables puis nous souhaitait un bon appétit … On descendait à la salle à manger, nous étions chaleureusement reçu par Jean François ( le chef de la sécurité du château ), on lui présentait notre ami.

JF : Votre ami bob à été placé juste à côté de Mr Le Conte, d'habitude c'est ma place attitrée, vous deux vous êtes à l'autre bout de la table et j'ai été relégué à côté de vous. Ce n'est pas une disgrâce mais le boss veut simplement mieux connaître votre ami Bob !

A cette idée bob devenait tout pâle et il se rendait à sa place comme s'il allait à abattoir … Tout se passait bien Mr Le Conte savait le mettre à son aise et le faire parler.

La table de Mr Le Conte est généreuse, on y mange bien mais on y mange nombreux aussi … Si dans les grands soirs il pouvait m'arriver d'avoir vingt ou vingt cinq convives, soixante était ici une soirée calme, presque, entre intimes … Nous n'étions que quatre vingt ce soir là, une table principale présidée par le big-boss et autant d'autre que nécessaire. La salle à manger est simplement gigantesque, et il pouvait même y avoir deux services si nécessaire !

De loin Bob avait l'air complètement perdu, surtout au début et ne cachait pas son soulagement à la fin du repas.

On se retrouvait tous les trois dans la chambre double. Bob retrouvait ses esprits, il s'était laissé tombé sur son lit. 

Luc : Tu te mets en tenu … Tu n'as pas oublié ? Ce soir opération Ninja !
Moi : On n'est là que pour quelques jours …
Luc : Opération Ninja ! On ne prendra que le stricte nécessaire !
Moi : Tu me fatigue Luc, bon, ça va je vais me mettre en tenue !

Bob rigolait doucement quand je sortais de la chambre …

Un peut plus tard j'entendais gratter doucement à la porte de ma chambre, elle s'entre ouvrait, j'entendais Luc qui me disait …

Luc : On peut y aller, il fait nuit noire, mode furtif, la lumière est éteinte …

Je faisais un roulé boulé depuis ma chambre jusqu'au coin du premier couloir, prenais position accroupis, regardais à droite puis à gauche … Luc allumait la lumière … Ils étaient tous les deux écroulé de rire …

Bob : Tu avais raison Luc … Et la dernière fois ils étaient deux ?…

Je me retournais, j'étais en une tenue moulante eux étaient habillés normalement !

Moi : C'est malin, je me suis fais avoir !

On prenait le chemin du grenier, ils me suivaient et ne pouvaient pas s'arrêter de rire. Je marmonnais …

Moi : Ouai bon ça va ! C'est pas drôle ! C'est pas malin !

On arrivait au grenier ! Ce coup ci on ne cherchait pas longtemps … Bob nous regardait il n'osait pas bouger. Luc lui lançais un petit gode, petit diamètre, longueur moyenne. Nous on en prenait chacun un gros !

Luc : Essaye ça ! Tu vas voir, tu pourrais bien aimer !

Je ne disais rien, j'avais baissé mon pantalon et mon gode commençait déjà à s'enfoncer … Ces derniers jours j'avais pas mal pratiqué et la sensation devenait tout de suite intense, le gode entrait sans résistance, le gland passait …  C'était bon, le gode continuait à s'enfoncer, doucement, lentement, je penchais la tête en arrière, j'ouvrais la bouche comme pour pousser un cri ou un gémissement … Aucun bruit ne sortait de ma bouche, je respirait fort.

Je remarquais que Luc était fasciné par ce que je faisais il n'en loupait rien et Bob faisait de même. 

Luc retirait ses vêtements et montrait l'exemple à son copain. Il posait son gode sur le sol, prenait position et très décidé il se posait dessus, s'appuyait, le gode s'enfonçait doucement, comme moi, il faisait une grimace et poussait quelques petit cris, quelques gémissements avant de se retrouver assis sur son jouet.

Bob avait l'air comme hypnotisé, il nous regardait l'un après l'autre. 

Mon gode devait être enfoncé environ sur la moitié de sa longueur, je respirais fort. Je continuais à pousser, le gode s'enfonçait de plus en plus, je sentais que j'arrivais au bout, je poussais encore un peu et il y était. J'étais à genoux,  et en écartant bien les cuisses, je me laissais retomber et je me soulevais. Le gode entrait, ressortait, je me laissais aller à mon plaisir, je jouissais déjà et commençais à sentir mon corps vibrer et trembler. 

Luc suivait le même mouvement, que moi, il s'était rapidement enfilé son gode sur toute sa longueur, il gémissait, il soufflait fort. Bob se rapprochait de lui, s'accroupissait à ses côtés, lui caressait le dos doucement et l'embrassait amoureusement. Luc faisait comme moi, il se laissait retomber sur son gode qui s'enfonçait alors bien à fond il se relevait le gode ressortait.

Luc : Vas y Bob, essaye !
Moi : ( entre deux gémissements ) Il n'a jamais essayé ?
Luc : Non, il est uniquement actif !
Moi : Ça va lui plaire !

Bob retirait ses vêtements, et nous imitait. Il hésitait, il connaissait bien la procédure pour l'avoir fait souvent mais son cul était vierge. J'avais attendu un long moment et j'étais en manque quand j'avais pour la première fois goûté au plaisir de la sodomie passive, j'avais aimé et je me souvenais de ma première fois ! Là Bob n'était pas vraiment en manque, pas encore, il ne portait cette cage de chasteté que depuis quelques heures, on devinait la pression qu'il devait y avoir, elle se relevait clairement devant lui. Il bandait le pauvre et pour la première fois de sa vie … Rien ! Ce n'était pas une grosse queue que se relevait mais un espèce de truc  dans lequel était emprisonné sa grosse queue et il y avait de la pression là dedans !

Je voyais Bob faire une grimace, il avait un peu mal, juste un peu ! … Je suppose … A moi ça m'avait fait mal, ça avait été bon, très bon mais douloureux, très douloureux. Nos godes faisaient plus de six centimètres et je le sentais passer, entrer, sortir … Je sentais mon anus se remplir, c'était énorme mais le gode qu'on avait donné à Bob lui ne dépassait pas les trois centimètre. Et dans ma tête je me disais …

Moi : Il va tout de même pas jouer les chochottes !

Puis je me reprenais, je me souvenais comment ça avait été douloureux !

Bob gémissait et pas que de plaisir ! Il y allait doucement et je voyais le gode s'enfoncer lentement. Il grimaçait, il avait un visage affreux ! Lui qui est si mignon d'habitude. Il arrêtait tout, le gode s'était à peine enfoncé de quelques centimètres. Bob était essoufflé, il gémissait, il pleurait presque, quelques larmes, une grimace. Luc l'encourageait, lui disant d'y aller doucement, de ne pas forcer, enfin de ne pas trop forcer, de faire une pause, de recommencer …

Je voyais que Bob en voulait, ou alors il voulait faire plaisir à Luc ! Il faisait une pause, il gémissait fort, son souffle était irrégulier. C'est à ce moment que je l'ai entendu hurler, pousser un cris, c'est à ce moment que j'ai vu du sperme couler de sa PK. Il jouissait, il jouissait dans la douleur mais il jouissait.

C'était un encouragement pour Luc et moi de reprendre le mouvement. Ensemble, on se synchronisait, on reprenait le mouvement de notre bassin, on se relevait les godes ressortaient, on se laissait retomber ils rentraient bien à fond. Nos mouvements devenait plus nerveux, plus saccadés, moins fluides, plus …

J'étais submergé par le plaisir, je ne contrôlais plus rien, mes mouvements échappaient à toute volonté. Je m'enfonçait ce truc dans le cul, je m’éclatait la rondelle sans plus me retenir … Luc semblait dans le même état que moi … Je sentais  monter le plaisir un cran de plus, un cran encore, un cran de trop, un dernier cran et au travers de ma bite je sentais mon urètre en feu, je jouissais vraiment là, du sperme coulait de ma cage de chasteté, quelques gouttes giclaient un peu plus loin mais même après mon sperme continuait à couler.

Je me laissait tomber sur mon gode ce qui me provoquait encore quelques sensation et quelques convulsions …

Luc était dans le même état que moi, ses gémissements trahissaient son plaisir, lui aussi il jutait, il n'arrêtait pas ses mouvements. Il se relevait et se laissait retomber d'une manière frénétique, hystérique. Il avait l'air d'un fou, il jouissait, il jutait et finalement, comme moi, il se laissait retomber ! Il poussait un hurlement … 

Bob s'était effondré sur lui même, son gode était planté dans son cul bien à fond, il respirait fort et avait sur le visage une sorte de rictus qui voulait ressembler à un sourire. Il avait passé avec succès sa première initiation … Peut être que plus tard il en redemanderais ! … Sûrement même !

On relevait l'un après l'autre, encore un gémissement de plaisir au moment ou le gode ressortait, on restait là sans bouger encore un long moment, puis on repartait, chacun avec son gode sous le bras. Je renonçais définitivement à le faire à la Ninja. Plus personne ne disait un mot ! Luc et Bob passaient devant moi et je voyais Luc se rapprocher de son copain, le frôler , se coller à lui pour finalement ne plus vouloir s'en séparer !

On arrivait à nos chambres et on se couchait sans plus attendre.

Le lendemain matin, James frappait puis entrait dans ma chambre …

James : Mr Bob, je suppose que c'est ainsi que je dois vous appeler, je vous invite à vous lever pour … Ah ! Monsieur Djé … Je vois … Mr Djé, j'ai apporté votre tenue de sport, vous connaissez les habitudes de la maison … 

Il ressortait, et passait à la chambre suivante … 

On se retrouvait un peu plus tard Luc, Bob et moi pour la séance de sport matinale. Bob me disait qu'il avait renoncer à comprendre ce qui lui arrivait ou ce qu'il faisait ici … Après la soirée de la veille il avait bien dormi. Mais il rajoutais …

Bob : J'ai bien l'impression que James a remarqué qu'un seul lit était défait, qu'on dormait tous les deux dans le même lit et que Luc était dans mes bras quand il est rentré dans la chambre.

Je rigolais à l'entendre me raconter tout ça !

Luc : A mon avis il l'a remarqué, mais il n'a rien osé dire. Mais je pense aussi qu'il a remarqué les deux godes sur la table …

Là j'étais plié de rire. On courait l'un à côté de l'autre et je décidais d'accélérer le rythme. Luc parvenait à me suivre mais Bob était rapidement dépassé. C'est en tirant la langue que Bob terminait l'entraînement, mois j'étais chaud et Luc essayait de donner le change … Il commençait à devenir bon le p'tit mais il y avait encore du travail … 

Pour Bob chaque jour était une découverte, sur son corps, sur les lieux … il supportait bien la PK. Les jours suivants nous étions ensemble pour les repas, ce qui le rassurait. Luc lui faisait visiter tous les coins et recoins du château, il lui présentait tout le monde et finalement les cinq jours qui suivaient se passaient bien, pour l'un comme pour l'autre … 

Le jour du départ arrivait rapidement on reprenait la route, je prenais le volant en premier, puis on se relayait avec Bob … La veille de la fin des vacances on était de retour à la maison. Charles nous réservait une accueil chaleureux, il voulait faire traîner un peu le plaisir au sujet de la clé de Bob mais, voyant la réaction de Luc, les yeux lui ressortaient de la tête … Charles  préférait renoncer. Cette nuit là, les deux jeunes la passaient ensemble et je suppose que ça devait être chaud entre eux … très chaud !

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