Philippe saison 1 ( Episode 1 à 14 )

EP 01 : ÇA COMMENCE BIEN !



Bon ! C'est vrai que la location de la piaule avait coûté un peu cher mais franchement j'en n'avait rien à foutre. J'avais dégainé la carte de crédit, c'était l'arme absolue. A l'entrée le mec avait voulu me demander ma carte d'identité mais quand il avait vu la '' Carte Maîtresse '' toute neuve il avait finalement renoncé … C'est vrai que je parais un peu jeune, mais c'est parce que je le suis. Et je ne vous cacherai pas que disposer d'un crédit presque illimité à mon âge … C'est le pied ! 

Je viens de fêter mes Dix sept ans ! Mon grand père m'a fait cadeau de cette merveille … Franchement le mec qui a inventé la carte de crédit était le plus grand génie de tous les temps. J'adorrrrrre ! Oui je sais il y a trop de '' r '' mais c'est fait exprès. C'est franchement génial !

On peut entrer partout avec ce genre de truc, on était douze au resto. Je ne vous dis pas, quand ils nous ont vu arriver il y avait comme une réaction de … refus … oui de refus mais quand j'ai dégainé la carte d'or, c'était le feu vert. On nous faisait des courbettes. C'est avec un grand sourire forcé que le patron du resto a tenu à s'assurer que la carte était valide puis le sourire n'était plus forcé … C'était un sourire ébahi, je suis sûr qu'il aurait viré tout les clients du resto si je lui avait demandé …  

J'avais commencé par commander six bouteilles de champagne … Et du meilleur … Six autres avaient suivi avant même qu'on ait commencé à manger … Mon père avait un peu râler quand j'ai reçu la carte de payement … Il faut vous dire qu'il n'est pas commode le vieux. Mais mon grand père, lui il est génial. Il me comprend et il m'écoute. Il m'a juste dit … '' Amuse toi mais vas y doucement tout de même '' … Il m'a souvent donné l'impression d'être plus jeune que mon père et c'est toujours lui qui a le dernier mot de toutes façons … Quelquefois j'ai l'impression que mon père n'a jamais été jeune mais que mon grand père lui le restera toujours ! Pourtant il à quatre vingt ans !

Je levais mon verre à la santé de mon grand père et on commandait … 

Moi : Lâchez-vous les mecs, c'est mon Grand Père qui régale, faites vous plaisir.

C'est vrai qu'on à mis un peu le bordel dans le resto mais pour ne vexer personne il suffisait d'offrir quelques verres aux autres clients … Rapidement il y avait des bouteilles de champagne à toutes les tables. Le patron avait un sourire qui allait d'une oreille à l'autre … Il devinait que la note serait salée. Mais la carte de crédit que j'ai ne connaît pas de limite … On ressortait deux heures plus tard, on avait foutu la pagaille mais les autres clients étaient ravis, mes amis étaient repus, le patron était riche … Enfin un peu plus qu'avant mon arrivée !

Je ne vous cacherais pas que je ne sais même pas combien ça a coûté au resto. On a fait ensuite une virée dans cette magnifique maison … Mais quand je dis magnifique … Discrète surtout, très discrète … Il n'y avait pas d'enseigne, pour entrer il fallait frapper et montrer patte blanche. Devinez ce que j'ai montré … Oué ! Gagné ! J'ai montré ma carte de crédit. Après le contrôle habituel nous étions traités comme des princes … 

Je laissais à chacun le libre choix presque la moitié de mes copains avait choisi une fille … Le choix était large et de bonne qualité … L'autre moitié avait choisi un mec. Moi, le plus gourmand, j'avais choisi sur mensurations … Ce sont les vingt trois centimètres qui m'avait fait craqué … En plus c'était un black ! 

Je ne l'avais même pas vu avant d'arriver dans la chambre. La gueule, la silhouette, les muscles tu t'en moques dans cette maison ! Elle a une très grande réputation et on n'y trouve QUE de la qualité, toujours des corps superbes, de très belles gueules, pas de vulgarité ( sauf bien sûr si le client le demande une fois dans la chambre ). Franchement je ne sais pas ou ils trouvent leurs Hôtes ( c'est comme ça qu'il faut les appeler ) mais je n'avais jamais vu autant de beaux mec ensemble … Et tous disponibles, c'était pas un tarif unique mais comme vous le savez, le prix … 

Je m'installais, jetais mes vêtements dans un coin et m'enfonçais mollement dans le lit, j'avais demandé un lit très moelleux et c'était délire, j'avais jamais vu un lit aussi '' moelleux '' je m'enfonçais tellement que je me demandais si j'aurais pied. Je bandais comme un malade, comme si je ne m'était pas branlé depuis le matin … Et c'était le cas !

C'est à ce moment que mon '' hôte '' entrait, en général on dit pute mais comme je vous l'ai dit … Pas de vulgarité … Et il était tout, sauf vulgaire !

Un pantalon très bien ajusté qui cachait presque tout et laissait supposer le meilleur, des souliers vernis, une chemise blanche parfaitement ajustée, qui ne cachait pas la tablette de chocolat ( en plus il était black ), on voyait parfaitement aussi les biceps, triceps, couadriceps et j'étais prêt à en compter plus même … Son visage était doux et viril et il me lançait un sourire éclatant. D'un coup mon cœur battait fort, je ne bougeais plus. La réputation de cette maison n'était pas exagérée et la directrice qui m'avait aidé à faire mon choix n'avait pas menti … Il était d'une beauté qui me laissait sans voix. Il avait emmené le seau à champagne et deux verres. 

Je le regardais, je ne parvenais plus à réagir, il était bien plus vieux que moi. Mais c'est vrai que je suis très jeune. Il ne devait pas être loin de la trentaine, le plus bel âge, toutes les marques de la maturité et aucune de la vieillesse. Quand je pense que certains se disent qu'on est vieux à trente ans. Mon hôte était le plus bel  homme que j'avais vu. Il me souriait et s'approchait du lit !

Lui : Et bien tu es un rapide toi. Tu as des préférences ? …
Moi : Euh ! Oui ? Je ! …
Lui : Je prends la direction des opération.

Il me tendait la main, je l'attrapais. Il me tirait alors fermement contre lui, je me relevais et il me recevait dans ses bras. Il m'enlaçait avec douceur et m'embrassait avec passion. Je le serrais dans mes bras et déjà je frémissais de désir. Je m'étais déjà bien amusé avec des copains de mon âge,  mais là c'était pas pareil ! Là, c'était un homme, un vrai … En plus il était terriblement beau. Je sentais ses muscles qui me tenaient avec force. Moi aussi je suis musclé, le sport, c'est une tradition dans notre famille. Dans sa famille aussi ça devait être comme ça , son corps était ferme, fort et doux … 

Il m'entraînait dans un mouvement de danse, je le suivais sans rien dire, j'étais comme en état second. Ses yeux noirs et brillants, son sourire éblouissant et ce visage doux. Un musique se faisait entendre … ? … Je suis pas dans un film là moi ? Dans un rêve peut être. Un court instant je planait complètement, ensuite je réalisais que cette peau, cette peau avec un grain si doux c'était pas un rêve. Je l'embrassais avec passion et il guidait mes mains vers son torse, je les glissais sous sa chemise, il était doux, ferme et musclé de partout. 

Sa chemise tombait sur le sol et je couvrais son corps de baisers, il me laissait ouvrir son pantalon qui aussitôt tombait sur ses pieds. Il retirait ses chaussures d'un mouvement des pieds, le pantalon se retrouvait un peu plus loin aussi. On m'avait promis du vingt trois centimètres et  je peux vous garantir qu'ils y étaient ! 

Il m'entraînait dans une danse suivie d'une pause pour me servir un verre et s'en servir un fond,  encore quelques tours de danse, j'avais le vertige, Il m'entraînait dans la salle de bain, faisait couler un bain et se glissait avec moi dans la baignoire. Il prenait son temps … Ici on ne compte pas à la demie heure, le client peut rester la nuit entière s'il le désire, on avait tout le temps …

Pendant un long moment qui semblait ne jamais finir ce n'était plus que douceur, caresses, baisers, câlin … Mes mains se promenaient sur tout son corps, partout sa peau avait la même douceur, je ne me retenais pas de l'embrasser. Il me caressait lui aussi partout sur mon corps, depuis les épaules jusqu'aux jambes. Il insistait imperceptiblement sur les parties les plus sensibles, mes tétons, il m'embrassait sur le ventre alors que ses mains me massaient les hanches. Il s'était placé derrière moi, sa queue passait entre mes cuisses et se glissait juste sous mes testicules qu'elle soulevait. Je me caressait le sexe en insistant sur mes couilles, en insistant sur l’extrémité de sa queue. Il glissait ses mains sur ma queue qu'il massait avec beaucoup de douceur, il me savonnait et en profitait pour me faire une toilette totale et très intime … Je m'abandonnais totalement dans ses bras. 

Ce que je découvrais là n'avait rien à voir avec les petits plaisir que j'avais déjà partagé avec mes copains, c'était une vraie découvertes. J'ai toujours été fan de cette couleur de peau depuis ce soir là … C'est vrai que pour une initiation, une vrai initiation, j'avais un professeur de tout premier plan. 

Avec mes copain on s'était déjà donné du plaisir, on s'était amusé. La je jouais dans la cour des grands. On sortait finalement de la salle de bain, nos deux corps ne voulaient pas se séparer, chacun caressait l'autre avec la serviette de bain, le séchait, posait sa bouche sur sa peau, sur ses lèvres pour se retrouver entièrement nus collé l'un à l'autre.

Je m'enfonçais à nouveau dans ce lit moelleux et profond quand d'un geste vif il me repoussait, il tombait sur moi et je le recevais dans mes bras. On roulait l'un sur l'autre, on se mélangeait. On commençait par les bras par moment je ne savais plus à qui de nous deux était la main là, ah si, la mienne n'était pas de la même couleur que la sienne, et j'en profitait pour lui donner un baiser, quand c'était la sienne … 

Il me couvrait de baisers, d'abord sur la bouche, puis dans le cou, puis sur les épaules, il descendait ensuite vers mes tétons, mon torse, mon nombril et je frémissais et tremblais quand il arrivait à ma queue. Il la prenait en entier dans sa bouche, pourtant je suis plutôt bien monté, il n'avait aucune difficulté pour me gober la queue sur toute sa longueur. Il savait vraiment y faire le gars, aucun de mes copains ne m'avait jamais fait autant d'effet. Je soupirais longuement et gémissais de plaisir. 

Il me caressait les cuisses, me massait les couilles. Il savait doser la fermeté et la douceur, c'était tout simplement divin, je fermais les yeux et me laissais aller à mon plaisir …

Un peu plus tard je décidais d'inverser les rôles, je le retournais sur le dos et c'est moi qui parcourais son corps avec mes mains et ma bouche. Sa peau était vraiment douce, elle prenait bien la lumière. On avait laissé la lumière allumé, je ne voulais rien louper … Il était vraiment trop beau … Quand j'arrivais à sa queue, je l'admirais un moment puis passait ma langue sur son gland …

Moi : Apprend moi à faire ça bien !

Je lui gobais ensuite la queue d'un coup .

Lui : Vas y doucement, là c'est trop brutal …


Je continuais en essayant de suivre son conseil ! Il se contractait.

Lui : Ouvre bien la bouche et surtout fait très attention, on ne dois surtout pas sentir tes dents …

J'essayais d'ouvrir encore plus grand ma bouche, jusqu'à m'en déboîter la mâchoire …

Lui : Referme les lèvres sur tes dents de devant …

C'est pas si facile de bien sucer un mec. Peut être que les vingt trois centimètres sur plus de cinq ça ne m'aidait pas vraiment. Je ne commençais pas vraiment avec le plus simple ! Mais on est comme ça dans la famille, on aime bien les défis. Il me laissait faire un moment mais je sentais à ses réactions que je ne devais pas être au point. 

Au bout d'un moment il me relevais la tête pour m'embrasser …

Moi : Je suis si mauvais que ça ?
Lui : Disons qu'il y a encore du travail. Mais c'est pas non plus facile avec un truc aussi gros que le mien …

Il me faisait un grand sourire, me retournait sur le dos …

Lui : Tu veux me prendre ? 

Je faisais oui de la tête … Il s'allongeait alors à côté de moi, me caressait avec tout son corps en se retournant. Je suivais le mouvement, il se retrouvait allongé sur le dos et moi allongé sur lui …

Il écartait les cuisses, je bandais ferme, j'avais l'impression de n'avoir jamais bandé aussi fort. Je me mettais en position, une bonne dose de gel et j'enfonçais ma queue dans son cul. C'était magique de voir mon membre blanc et rose disparaître entre ses fesses d'un marron foncé. 

Ma queue entrait doucement, la dernière fois ( et la première aussi ) le mec avait hurlé de douleur et m'avait demandé d'arrêter mais là, il semblait se détendre, c'était bon, pour lui aussi je veux dire. C'était même très bon. J'aimais et il aimait aussi. 

Je le limais ainsi un long moment ! Il gémissait, moi aussi je respirais fort ! Je finissais par me laisser tomber sur lui, je respirais fort, je l'embrassais sur les épaules, dans le coup et dans le dos, tout en haut du dos. Il tremblait, ce contact, cette chaleur me faisait vibrer de plaisir. Je n'avais pas joui mais c'était bon, j'étais bien …

C'est à cet instant que la porte s'ouvrait avec une extrême violence, des hurlement se faisaient entendre … C'était notre hôtesse qui hurlait ( la patronne de la maison ). 

'' Vous n'avez pas le droit, ici c'est une maison convenable, j'ai une licence en règle … '' 
'' La ferme !''
'' Je vous préviens je connais très bien le gouverneur et plusieurs de ses adjoints ! ''
'' La ferme je te dis ou je t'en colle une ''

Je reconnaissait la voix ! C'était un des gardes du corps de mon père ! Deux homme bâtis comme des armoire à glace faisaient éruption dans la chambre. 

'' Et bien Philippe, j'ai comme l'impression que ton père va beaucoup apprécier !'' .

A l'intention de mon amant d'un soir …

'' Toi tu ferais mieux de te rhabiller ! ''

Il voulait protester … 

'' Vas y mon bonhomme, ça me ferait plaisir de te casser le nez. Tu sais quel âge  il a ton client ? '' … '' Et bien non, il n'a que dix sept ans, aussi vous feriez mieux de ne pas en rajouter tous si vous ne voulez pas que le père de ce gamin ne fasse fermer votre bordel ! ''

Moins d'un quart d'heure plus tard on se retrouvait tous les douze dans le hall d'entrée. Mes camarades n'osaient plus bouger mais moi je les connaissais bien les gardes du corps de mon père et je faisais front face à leur chef …

Moi : Je ne vous suivrais pas, tu n'as pas le droit de faire ça et je te préviens que ça ne se passera …

Il me balançait une gifle comme je ne m'en était jamais pris. J'étais sonné, j'ai vu des étoiles je vous jure, et pendant au moins cinq minutes j'étais sourd de  l'oreille gauche ! Je peux vous garantir qu’après ça je ne bougeais plus une oreille. Mes camarades n'en menaient pas large. Eux ils ne connaissaient pas les gardes, ou à peine, ils les avaient déjà rencontrés à la maison mais c'est tout …

Moi j'avais du mal à savoir si j'étais en colère ou seulement vexé. Les deux peut être … Mais j'étais décidé à ne pas laisser les choses là ou elles étaient !

La tête basse, la queue entre les jambes comme on dit, nous sortions à la queue leu leu de cette maison. Les gardes étaient venus en nombre, ils étaient dix, je peux vous garantir que ça impressionne. Ils nous faisaient monter dans les voitures et nous raccompagnaient tous, ils connaissaient tous mes amis et savaient ou ils vivaient. 

A la maison il y avait encore de la lumière dans le salon. Mon père était debout devant la cheminée, il y avait un feux réconfortant et une douce chaleur. L’atmosphère semblait paisible s'il n'y avait pas eu le regard sombre de mon père.

Père : J'en apprend de belle !
Moi : Mais papa, on ne faisait rien de mal !
Père : Tu étais dans un bordel de luxe ! UN BORDEL ! ( il prononçait ce mot en hurlant ) et tu n'as que dix sept ans … Mais qu'est ce qui t'a pris …

Vers le chef des gardes.

Père : Pas de problème ?
Le garde : Non Monsieur . Personne n'a osé résister Monsieur !
Moi : Il m'a frappé papa . Ça c'est pas normal, j'exige que … 
Père : ( en hurlant ) La ferme ! ( puis vers le garde ) C'est exact ?

Visiblement embarrassé, la tête penchée en avant, les yeux fixé vers le sol. Je jubilais, j'allais être vengé !

Le garde : C'est exact Monsieur !

Je gueulais !

Moi : Tu vois, je te l'avais bien dit ! Il m'a frappé papa. Je veux que tu le vire immédiatement sinon …
Père : Sinon … Sinon quoi ! Toi tu la fermes et tu ne parles que quand je t'en donnerai l'autorisation ! C'est compris ? ( En hurlant ) …

Mon père reprenait sur un ton plus calme mais visiblement agacé ! Je savais que j'avais gagné et je regardais le garde d'un air méchant, il n'osait plus me regarder. Je savourais ma vengeance.

Père : Pourrais tu me raconter comment ça c'est passé quand tu as frappé mon fils …

Le garde lui racontait en détails sans rien oublier.

Moi : ( en hurlant ) Tu vois ! Il m'a frappé, je veux que tu le vire tout de suite, j'ai le droit de porter plainte si je veux !

Mon père glissait quelques mots à son garde, je n'entendais pas et se dirigeait vers la cheminée. Ensuite, je sais maintenant je n'aurais pas du, je me plaçais devant le garde et commençais à l'engueuler.

Moi : Tu vas te faire virer connard …

Le garde jetais un œil vers mon père qui lui répondait par un léger mouvement de la tête. Le garde me balançait alors une nouvelle gifle aussi violente que la première avant de reprendre sa position un peu penaude, les mains dans le dos.

J'étais sonné. J'étais vexé. Je ne savais plus comment réagir … Hurler, faire une crise de nerf au risque d'en prendre une autre, c'est qu'il frappe fort le garde … je me mettais à pleurer !

Père : Tu arrête ton cinéma ou je t'en colle une à mon tour. Une gifle à droite et maintenant une à gauche, tes joues ne seront plus jalouses l'une de l'autre …

Je bafouillais … '' La première aussi était à gauche '' Puis je continuais à chialer .

Père : Et alors tu en veux deux à droite pour équilibrer !

Je ne répondais pas, j'avais la tête baissée et ne disais plus rien. Puis toujours en gueulant …

Père : Tu n'as qu'à demander … S'il n'y a que ça pour te faire plaisir … 

Je sentais son regard noir posé sur moi, je faisais non de la tête sans oser lever le regard vers lui.

Père : Bon maintenant monte te coucher, tu restes consigné à ta chambre jusqu'à nouvel ordre …

Sans rien dire je fonçais dans ma chambre, toujours en chialant !

A entendre la manière dont mon père parlait à son garde il n'avait de toutes évidences pas l'intention de le sanctionner ...



EP 02 : LE CADEAU D'ANNIVERSAIRE



Le lendemain on me servait le petit déjeuner dans ma chambre. C'était mon dix septième anniversaire et ce n'était pas le meilleur vous pouvez me croire. Il avait bien commencé la veille au soir mais la suite était moins agréable. Je ne savais pas quoi faire. Mon père m'avait confisqué mon téléphone et avait aussi fermé mes accès Internet … Pfff … Je me suis fait chier toute la journée, il avait laissé la télé … C'est toujours mieux que rien !

Le midi, mon repas m'était également servi dans ma chambre. Ma mère était passé me voir … Elle était navrée, mais peut être plus par mon comportement que par celui de son mari … Elle me réconfortait tout de même !

Mère : Ne t'inquiète pas mon trésor, ton père est très en colère mais il va se calmer … Ça va lui passer … Si seulement toi tu pouvais faire un petit effort … Il a accepté que ton grand père te fasse ce cadeau ( la carte de crédit ) alors qu'il trouve qu'un tel crédit est totalement exagéré. Mais fait attention il peut encore te la confisquer, il y pense ! La seule chose qui le retient c'est la réaction de son père … Et en échange, toi … Tes résultats scolaire sont très moyens. Tu te disperses, tu traînes avec tes copains … Heureusement qu'il ne t'a pas vu quand tu es rentré saoul l'autre jours … 
Moi : Tu savais pour l'autre jour ?
Mère : Il n'y a que ton père qui ne le sait pas !
Moi : Hier soir le garde m'a frappé ! C'est pas normal ça !
Mère : Ne lui en veux pas trop mon fils … Il n'a pas dit à ton père que tu étais avec un homme ! 

J'y croyais pas ! Non seulement il ne lui avait pas dit mais il ne lui a jamais dit. Mon père croyais que j'étais avec une femme … Pour lui c'était déjà grave mais avec un homme ça l'aurait été encore plus ! Pour mon père la chasteté avant le mariage est une règle absolue qui ne supporte aucune exception ! Il savait que l'homosexualité ça existe … Il avait du en entendre parler dans des livres ou dans des rapports psychiatrique, je ne sais pas, c'est un sujet qu'il n'abordait jamais. Il ne parlait d'ailleurs jamais de mes deux tontons Luc et Bob … Déjà la sexualité était pour lui principalement le moyen de perpétuer la race. Les seules fois qu'il avait abordé le sujet avec moi, c'était d'une manière très mécanique, rapide, vite fait bien fait ! Ensuite il s'était attardé sur l'amour, le sentiment qui exulte l'âme … Pour ce qui est du sexe, c'était vite fait, bien fait !

L'après midi avait commencé, j'étais allongé sur mon lit et je crois que je ne m'étais jamais autant ennuyé mais coup de chance j'avais de la visite. J'entendais du bruit dans le couloir !

Mon père : Mais écoute papa, il est puni je te dis. Tu saurais ce qu'il a fait !
Mon grand père : Et tu penses peut être que c'est en l'enfermant dans sa chambre ?
Père : Il faut bien marqué la chose, il ne travaille pas à l'école , il …
Grand père : Toi tu était un enfant modèle, je n'ai même jamais eu à te faire la moindre réprimande, sinon peut être que tu ne savais pas t'amuser mais il faut bien que tu comprennes que ton fils n'est pas comme toi !

Les voix s'éloignaient, je m'étais relevé et j'essayais d'écouter, j'avais retrouvé le sourire … Grand père était dans les murs ! J'étais sauvé ! 

Vous l'avez sans doute compris, j'adore mon grand père !

J'entendais la clé tourner dans la serrure. Mon grand père entrait. A ce moment j'avais un sourire radieux !

GP : Et bien mon bonhomme on me raconte de ces choses sur toi !
Moi : Grand père tu es venu me sauver !
GP : Ton père est très en colère, tu as fait fort tu sais ?
Moi : On n'a pas tous les jours dix sept ans. 
GP : Tu sais que cette maison est interdite aux moins de dix huit ans ?
Moi : On ne faisait rien de mal …
Gp : Vous vous envoyiez en l'air, c'est sûr tant que c'est que du sexe c'est pas bien grave mais j'ai comme l'impression que ton père n'est pas d'accord avec cette manière de voir les choses !
Moi : Il est vieux jeux ! Il était certainement pas comme ça quand il avait mon âge ?
GP : Détrompe toi, il n'a pas changé ! Je me suis souvent demandé ce que j'avais fait de mal … Bon habille toi, je te sors, si tu restes enfermé comme ça tu va finir par sentir le renfermé. A ton âge c'est pas sain !

Il est génial mon grand père. Il ne me fallait que quelques minutes pour me retrouvé tout à fait présentable pour n'importe quelle situation. On descendait les escaliers. 

Père : Papa je te signale que je l'avais puni !
GP : Et moi je lève la punition. Il aura tout le temps d'être puni quand il sera vieux.
Père : PAPA !
GP : ANTOINE ! Je te rappelle que je suis ton père, que je suis vieux et que je vais bientôt mourir ! Tu me refuserais de passer les derniers jours de ma vie avec mon petit fils.

Là il exagère mon papy, il est en pleine forme mais il sait que quand il dit ça mon père n'insiste jamais ! J'essayais de ne pas montrer ma joie et de garder la tête basse !

Père : Bon je laisse tomber je sais que je n'aurai pas le dernier mot avec toi papa mais Philippe je te confisque la carte de crédit. Le crédit que donne une Carte d'Or est trop important et tu n'es ni assez raisonnable ni assez mature !

Il était tellement furieux la veille qu'il n'avait même pas penser à la récupérer, je la lui donnais, mon grand père me confirmait d'un regard que c'est ce qu'il fallait faire. Pfff . J'étais sans le sous. Mais bon j'étais avec mon grand père … 

La Rolls nous attendait devant la maison, le chauffeur ouvrait la portière à mon grand père, je fonçais à l'autre côté et n'attendais pas qu'il me fasse le même coup, je montais tout de suite !

GP : Mon frère sera très heureux de te voir. 
Moi : Tonton Luc ?
GP : Il y a aussi Tonton Bob, tu sais ils aimeraient te voir plus souvent !
Moi : Oui je sais, moi aussi mais papa n'aime pas trop les voir … Tu sais !
GP : Oui je ne sais pas ce que j'ai fait au ciel pour avoir un fils à moitié homophobe … 
Moi : Mais quand il est en leur présence …
GP : Il s'écrase parce que ce sont ses aînés. 
Moi : Tu es dur avec ton fils dis donc grand père !
GP : Il est vraiment trop sérieux, la vie c'est aussi la rigolade ! Il ne tient pas ça de sa mère !
Moi : Grand mère aimait bien rigoler elle aussi ?
GP : Ta grand mère, je peux te garantir qu'elle n'était pas homophobe elle ! Je te raconterai un jour.

Grand mère était décédée plusieurs années plus tôt à la suite d'une longue maladie, je ne l'avais que très peu connue. La voiture filait silencieuse et sans la moindre secousse, on pouvait croire qu'elle était à l'arrêt ! 

GP : Au fait ton oncle Luc vient d'acheter une nouvelle voiture …
Moi : Et c'est quoi ?
GP : Devine …
Moi : Non ! Encore ?
GP : Oui mais pas de la même couleur que la dernière …
Moi : Ah tu me rassures ! Et tonton Bob il en dit quoi lui ?
GP : Bob, il y a bien longtemps qu'il ne dit plus rien à ce sujet, il supervise la construction d'un nouveau garage.
Moi : Ne me dis pas qu'ils ont réussi à remplir leur garage !
GP : Les bateaux, deux vedettes, un aéroglisseur, et deux avions … Ils n'ont presque plus de place pour les voitures maintenant !
Moi : Tu as raison, tu crois que je pourrai essayer l'aéroglisseur ?
GP : Tu demanderas à Bob. Au fait il vient de racheter la société Zepelin, je ne sais pas ce qu'il veut en faire … C'est chez eux que je t'emmène ! On va y passer deux semaines.
Moi : Papa est au courant ?
GP : S'il l'était il aurait dit non !

Je pouffais de rire … Il est comme ça mon papy. La voiture arrivait sur l'autoroute on accélérait !

GP : Au fait tu as dépensé combien hier soir ?
Moi : Bein ! Euh ! En fait j'en ai pas la moindre idée …
GP : ( en esquissant un léger sourire ) Plus de trente mille DI … La tu exagères tout de même … 

Je n'osais pas lui répondre, mais ça semblait l'amuser cette  histoire. Il est cool mon grand père !

GP : Au fait ton père a décidé de faire fermer la maison ou tu as été retrouvé hier soir !
Moi : Non ! Il ne va pas faire ça ! Il ne peut pas !
GP : Tu n'as que dis sept ans et tu sais que c'est interdit au moins de dix huit !
Moi : Merde c'est pas juste !
GP : Ne t'inquiète pas, je m'en occupe !

Quelques heures plus tard on roulait encore. Le téléphone sonnait, il répondait …

GP : Oui ! … A part ça mon fils, ça va ? … Oui c'est exacte … Bien sûr … Luc à appelé ? … Mais si je t'avais prévenu, tu aurais dit non … Moi aussi je t'aime !
Moi : Il est en colère ?
GP : … C'est rien de le dire !

Il est cool mon grand père … Oui je sais je me répète mais il est vraiment cool ! On avait fait plus de quatre cent kilomètres quand la voiture passait le portail d'entrée. Une caméra nous identifiait, on passait, la voiture avançait dans l'allée principale. On traversait le premier rond point qui conduit à l'aéroport, ne vous inquiétez pas tout va bien c'est un aéroport privé on n'est pas dérangé. Le deuxième rond point conduisait à la maison à gauche et à l'embarcadère à droite … Bein oui il y a des bateaux … Il faut suivre un peu !

Devant la maison, deux employés en livret venaient nous accueillir, nous ouvrir les portières. C'est Alex qui m'ouvrait ma portière, il avait un grand sourire celui-là en me voyant. Je le connais depuis mon enfance et c'est toujours un plaisir de le revoir. Il doit avoir vingt ans de plus que moi et je me disais que, au final il devait être à peine plus vieux que l'homme que j'avais tenu dans mes bras la veille au soir … C'était la première fois que je le regardais comme on regarde un homme … Euh enfin … Je veux dire comme on regarde un homme quand on est gay … Sinon, ça ne marche pas ce je dis là …

J'étais content comme un petit fou. En partant mon grand père ne m'avait pas dit qu'il m'emmenait chez Tonton Luc … C'est Tonton Bob qui accourait vers moi en premier. Mes deux tontons sont cool eux aussi … Finalement il n'y a que mon père dans la famille qui est pénible. Luc arrivait quelques instants plus tard. Je les embrassais tous les deux, ça faisait un moment que je ne les avais pas vu.

Ici le protocole est moins sévère qu'à la maison. On n'est pas obligé de mettre une cravate pour passer à table. Je n'avais pas emporté de bagage pour ne pas donner l'alerte à mon père mais je trouvais tout ce qu'il me fallait dans ma chambre … Il connaissent ma taille … Je trouvais aussi la dernière console de jeux électronique que tout le monde attend et qui ne sera commercialisée que dans trois mois … La fameuse … Euh finalement je ne vais pas vous donner la marque, mon père a un contrat commercial avec la marque concurrente, je ne vous dis pas les histoires que ça ferait … 

C'était un repas joyeux et décontracté, pas comme à la maison … Le repas à peine terminé je me retirais après avoir embrassé tout le monde. J'étais épuisé, la nuit précédent déjà avait été fatigante, le voyage et surtout … La nouvelle console de jeux m'attendait dans ma chambre … Eh éh éh ! Je les entendais rire quand je montais les escalier, mon grand père racontait ma soirée précédente, il savait déjà tout dans les moindres détails ! Mais comment il fait ça ? J'avais rien raconté à personne moi !

Il n'était pas tard quand on frappait à ma porte. C'était Alex, il avait un grand sourire, il m'amenait un verre de lait au chocolat. Il est vraiment adorable Alex, la première fois que je l'ai vu je n'avais pas plus de cinq ans, c'est lui qui s'occupait de moi quand je venais ici et le lait au chocolat me rappelait plein de bon souvenirs. Je le faisais entrer. 

Alex : Tu as grandi tu sais depuis la première fois que je t'ai vu !
Moi : J'avais cinq ans mais je me souviens bien.

… 

Alex : J'ai entendu ton grand père raconter ta soirée … Tu en as fait de belles … Ton père doit être furieux … Heureusement qu'il ne sait pas tout … 

Nous étions debout, l'un en face de l'autre. J'avais le verre de lait dans la main, je le posais sur la table du salon … Oui, petit détail … Dans ma chambre il y a un coin salon … Elle fait cinquante mètres carrés …

Mon verre de lait donc était sur la table Alex était debout en face de moi, il me regardait avec un grand sourire, la porte de ma chambre était refermée. Mon père avait l'habitude d'entrer dans ma chambre sans prévenir mais je savais qu'ici ce ne serait pas le cas. Je regardais Alex dans les yeux et je lui souriais également. 

Un mouvement de main, de sa tête, de ses lèvres, un regard, un reflet dans son regard … Je ne sais pas ce qui a déclenché la suite … Le fait est que je lui sautais dessus et le prenais dans mes bras. Il me rattrapait dans les siens et pour finir je ne sais pas lequel retenait l'autre mais aucun de nous deux ne voulait plus lâcher !

Je ne l'avais jamais regardé comme un homme, jeune c'était un grand copain un peu comme un grand frère. Il n'y avait jamais eu avant ce jour le moindre geste, le moindre regard ambigu. Je suis convaincu que si je ne lui avais pas sauté dessus il n'aurait jamais fait le premier pas. Ce soir là, il avait entendu mon grand père raconté ma soirée et il venait de découvrir mes préférences sexuelles. Ça ne lui déplaisait pas mais je suis sûr qu'il n'aurait jamais fait le premier pas !

J'avais donc bien fait !

Quand on voit un corps d'homme de loin, il bouge, mais ce n'est qu'une image mais quand on le tient bien serré contre soi on sent sa force, on sent qu'il est réel, qu'il est chaud, ferme, solide. Brusquement cette image prend une place énorme. Son corps, ses bras prenaient désormais toute la place qu'il y avait autour de moi, il remplissait ma chambre. Il n'y avait plus rien d'autre. 

C'était pas comme la veille. Alex je le connaissais depuis mes cinq ans …  Il avait été comme un grand frère mais désormais, en ce moment, je le voulais comme amant.

On s'embrassait avec passion. J'étais en tenue décontractée et il ne lui fallait pas longtemps pour me retirer mon T-shirt … Surtout que je ne résistais pas ! Pas plus qu'il ne résistait quand je lui enlevait sa livrée. Je l'avais déjà vu torse nue à la piscine ou à la plage …  Je ne vous ai pas dit ? J'ai oublié ? Il y a une plage privée à l'extrémité de la propriété et c'est souvent lui qui m'y emmenait quand, plus jeune, je passais mes vacances ici … il y a aussi une piscine bien sûr ! ...

Je l'avait déjà vu torse nue, en maillot de bain. Il m'avait déjà touché pour me passer de la crème solaire. Ce n'était plus le même contacte. Il m'avait déjà tenu dans ses bras mais ça n'avait rien à voir avec ce soir ! Non vraiment rien !

Ses mains n'avaient jamais eu cette douceur, ses bras n'avaient jamais eu cette force, cette fermeté, cette puissance qui ne se manifestait que par une totale douceur, une infinie tendresse … Je m'abandonnais à cette étreinte, je m'abandonnais mais je continuais à y participer activement … 

Il se penchait vers moi ce qui m'obligeait à me pencher en arrière, avec autant de force que de douceur il me retenait et m'embrassait les épaules, le haut du torse … Brusquement il passait une main entre mes cuisse, c'était pas pour me peloter ( enfin pas que … ), il me soulevait sans effort et me portait jusqu'à mon lit, il m'y jetait et je retombais en riant. Il se penchait sur moi et m'embrassait sur le tout le torse, en même temps il m'ouvrait mon pantalon, je le laissais faire …

Un instant je me disais que c'était vraiment dommage, il avait la queue dans une cage comme tout le monde ici ( sauf moi ) … Avant ses seize ans il est interdit de faire porter ce genre de truc à ses enfants. Vous allez dire que j'ai passé l'âge et si mon grand père n'était pas intervenu fermement mon père m'y aurait contraint il y a un an déjà … Je ne voulais pas porter ce genre de truc moi, j'aime trop me branler ou … Là oui c'était bien mieux qu'une branlette, ce que me faisait Alex c'était bien mieux … Il tirait mon pantalon tout en suçant ma queue. Le pantalon ne résistait pas beaucoup plus que le T-shirt, je me retrouvais nu devant mon ancien … Baby-sitter … Enfin un truc comme ça ouai !

Et il suçait bien. Je me disais donc que ce qui était vraiment dommage c'est que lui il portait un de ces trucs, un de ces dispositif de chasteté, c'est obligatoire pour travailler pour la PK Companie ou un de ses membres … Je ne pourrai pas le sucer, il ne pourras pas m'enculer. Je ne me suis jamais fait enculer et j'aurais aimer être initié avec quelqu'un qui me connaît bien, que je connais bien, j'aurais aimé que ce soit lui. Ce soir j'aurais aimé que ce soit lui. Dans ses bras je suis en confiance. Mais ce qu'il me faisait là était déjà génial. Il avalait ma queue avec une grande facilité, c'était pas la première fois qu'il faisait ça … Je lui caressais les cheveux, il poussait de légers petits grognements pour signifier que ça lui plaisait.

Au bout d'un long moment, il se redressait. Je décidais de me lancer, je l'attrapait par le pantalon, il ne résistait pas, je lui ouvrais son pantalon. Peut être que lui ne pourrait pas m'enculer mais moi je pourrais toujours … Son pantalon tombait sur ses pieds. Une belle grosse bite se relevait aussitôt, il ne portait pas de dispositif de chasteté en fait ! Je le regardais l'air visiblement surpris …

Alex : Tout le monde n'en porte pas ici … 

Je lui prenais la queue entre les doigts et rapidement, avec avidité , il me laissait faire, je la prenais dans ma bouche, j'essayais de me souvenir des conseils qu'on m'avait donné. Surtout pas les dents, beaucoup de douceur. Je tentais de me rappeler comment il s'y prenait le pro de la veille. Là c'était pas les vingt trois centimètres de la veille mais c'était pas mal et pour ce qui est de me la prendre dans le cul,ce serait plus facile …

J'y croyais pas ! A la maison tout le monde porte une dispositif de chasteté. Je ne vous ai peut être pas dit mais mon père est le directeur de la société PK. C'est une entreprise énorme qui possède de très nombreuses filiales dans tous les domaines … Je vous en parlerai un autre jour. Là pour la première fois, un homme utilisait ma bouche pour se faire plaisir. J'avais déjà tripoté et un peu branler des copains mais là, c'était autre chose.

Cet homme était beau, il savait ce qu'il voulait, il savait ce qu'il faisait ! Ce n'était pas la première fois pour lui mais pour moi ce serait l'initiation. J'étais demandeur. Il me guidait avec ses mains, il y allait doucement il savait que j'étais novice. Il ne voulait pas me dégoutter. Il avançait le bassin par à-coups, si c'était trop fort, ça coinçait un peu, j'avais du mal à suivre il ralentissait ses mouvement. Je lui caressait les cuisses. Je lui caressais les fesses en insistant sur le petit trou, juste là, dans sa plus grosse et seule ride … 

Alex : Tu veux me prendre ?
Moi : Non ! Toi ! Prend moi !
Alex : C'est la première fois ?
Moi : Défonce moi le cul.

Le cul, mon cul, j'y ai plus d'une fois glissé un doigt et à chaque fois c'était bon. Personne n'y a encore touché, mais je sais que je peux faire confiance à Alex … Il me connais depuis que j'ai cinq et pour moi, je suis fils unique, il est comme mon grand frère … Enfin peut être pas tout à fait en ce moment, et peut être un peu moins dans l'avenir aussi … Mais bon … C'est la vie …

Je faisais comme il me disait, en fait il ne disait rien mais me guidait avec les mains. D'une main il me tirait vers lui, je suivais et j'anticipais même le mouvement. Il me prenait par l'épaules pour me faire pivoter, je me retournais sans résistance. Rapidement je me retrouvais, les jambes bien écartée, penché en avant contre le dossier d'un fauteuil, je me retenais aux accoudoirs. Il me caressait les cuisses, les couilles et continuait à remonter sa main. 

Il me caressait les fesses, doucement à pleine main puis un doigt se glissait entre, la ou se trouve le petit trou, au fond de ma seule ride … Une sensation de froid, juste sur mon anus. Un instant je m'étonnais, c'était seulement le gel. Et la je sentais un doigt se glisser rapidement dans mon cul, s'introduire comme je n'avais jamais osé le faire, comme je n'avais jamais osé me le faire … C'était bon, je bandais comme un fou, c'en était presque désagréable. 

Il entrait son doigt, le ressortait avec vigueur. Je respirait fort, il n'avait commencé que depuis quelques instants et déjà c'était de la folie. La sensation devenait plus forte d'un coup. C'étaient deux doigts qu'il agitaient dans mon cul, il ne m'avait pas prévenu. Le laissais retomber mon torse contre le fauteuil et me retrouvais plié en deux, le cul bien offert. 

C'était un autre doigt qu'il poussait dans mon cul … Ahhh … Il aurait pu prévenir le con … Ma prostate frétillait, je n'avais jamais rien ressenti de pareil … J'éjaculais … Alex ne s'en rendait pas compte, je bandais tellement que ma queue se relevait complètement contre mon ventre, le dossier du fauteuil se retrouvait couvert de sperme, rien ne retombait rien ne coulait entre mes cuisses et Alex continuait. 

Je gémissais, je soufflais, je respirais fort, je tremblais et … Je le laissais continuer. Il n'avait peut être pas remarqué que j'avais éjaculé mais il savait que j'aimais, il savait que je  jouissais. Je l'exprimais assez fort !

Il ne me touchais plus, je reprenais mon souffle … Une main se posait à plat sur une fesse, suivait une autre main. C'était pas de mes mains qu'il s'agissait mais bien de mes fesses par contre … Une pression sur mon anus ! Là c'était pas un doigt ! Une pression forte, puis très forte … Finalement suivait une sensation de déchirure. Brusquement je me relevais, il ne s’enfonçait plus, il me recevait dans ses bras, et me serrait fort. C'était bon, fort, doux mais j'avais mal au cul. Pas trop, je gémissais et tremblais mais le laissais faire. Je me redressais complètement contre lui et penchais la tête sur son épaule, il me masturbait, nos regards se croisaient, il s'enfonçait complètement en moi, nos regards ne se lâchaient pas. Je respirais fort, j'allais manqué d'air, je râlais, je gémissais, je pleurais. C'était à la fois une forte douleur et un intense plaisir, je ne contrôlais plus rien et j'éjaculais. C'est donc ça un orgasme. J'avais mal au cul mais je me sentais tellement bien !

Il se retirait et voulait revenir mais là c'était trop, je le retenais avec la main, il n'insistait pas … Je me laissais retomber sur le fauteuil avant de m'effondrer sur la moquette … Un peu plus tard, je me retournais vers lui, toujours allongé sur le sol …

Moi : Vas y, masturbe toi. Je veux te voir jouir sur moi …

Il s'exécutait. Je m'étais fait plaisir avec la bite, le cul et maintenant je régalais mes yeux. Finalement c'était tout ça mon vrai cadeau d'anniversaire.



EP 03 : UNE FAMILLE DE FOU



Il est vraiment adorable Alex. Je m'étais endormi dans ses bras, mais quand je me réveillais, la couette était confortablement posée sur moi, mes affaires étaient rangées, il avait même essuyé le dossier du fauteuil. Oui je sais il est payé pour ça mais rien ne l'oblige à le faire avec autant de gentillesse naturelle. Car oui, sa gentillesse est naturelle il ne se force pas. De plus je ne suis pas vraiment sûr qu'il était payé pour ce qui s'est passé entre nous la veille au soir !

Donc chez mes tontons les employés ne sont pas obligés de porter un dispositif de chasteté. C'est étonnant, je ne savais pas certains des plus hauts cadres de la PK se permettaient d'ignorer les règles. C'est vrai que ces règles avaient été imposées par mon papa, les fondateurs ne l'avaient pas demandé, en tous cas il ne l'avaient pas exigé !

C'était un autre employé que je ne connaissais pas qui venait me réveiller pour partir faire une petite séance de footing, il était en tenue de sport et faisait de l'échauffement en sautant et en courant sur place. 

Dave : Salut bonhomme moi c'est Dave, on ne se connaît pas, je suis le nouveau coach sportif de la maison.

Allons bon mes tontons s'étaient payé les services d'un coach sportif ! Quand on voit comment ils sont on se demande bien pourquoi ?

Moi : Un coach sportif mais c'est ridicule, personne n'a besoin d'un coach sportif dans cette maison. 
Dave : Mais justement, c'est peut être parce que je suis là qu'on a l'impression que personne n'a besoin de moi !

Pas faux ! Quand un travail est toujours fait à la perfection on peut être tenté de croire qu'on n'a besoin de personne pour le faire mais le jours ou celui qui justement faisait le travail n'est pas là, on se rend compte que les choses ne se font pas toutes seules …

Je me levais, j'étais à poil et je bandais à moitié. A moitié là ça veut dire que j'avais une grosse molle qui pendouillait lourdement moi. 

Dave : Ça va bonhomme, tu prends soin de toi, il n'y a pas trop de travail, sauf peut être … Là !

Du regard il me montrait mon sexe.

Moi : NAN ! Là, on ne touche à rien !
Dave : Je vois que monsieur joue les rebelles et refuse de porter le produit phare de la société de son papa !
Moi : Ouai ! Parfaitement, c'est pas pour moi ça !
Dave : C'est ton papa qui doit être content ! Il n'est pas commode à ce qui se dit !

Il rigolait de ma réponse tout en allant vers le placard d’où il sortait une tenue de sport qu'il me jetait la figure, une paire de chaussure de sport qu'il ne me jetais pas à la figure mais qu'il déposait devant moi. J'allais me diriger vers la salle de bain mais il me rattrapait par le bras.

Dave : Tu prendras ta douche plus tard, tu vas suer, transpirer … Ça sera plus agréable et plus utile après après.

Il avait raison, j'enfilais la tenue et le suivait en commençant à sauter et à courir sur place comme il faisait … Je me rendais vite compte que j'avais, ou qu'il avait, oublié les sous vêtements. Rapidement je bandais à moitié. A moitié là ça veut dire que c'était un peu plus qu'une grosse molle qui pendouillait devant moi, maintenant c'était une demie dure qui tentait de se relever, et il n'y avait pas grand chose pour l'en empêcher.

Ça ne m'arrêtait pas ! C'est vrai que dans cette maison je suis un peu le petit prince. C'est comme si toute l'affection que mon papa n'avait pas à l'encontre de mes deux tontons, et bien ces même deux tontons l'avaient rajouter à l'amour qu'il m'auraient naturellement porté et me la redonnaient avec la plus grande générosité … Ici on me traitait comme un prince. Tous les employés me disaient '' Tu '', ils me connaissaient depuis ma naissance, aussi je n'avais pas été surpris que Dave qui lui ne me connaissait pas en faisait de même. Je vous rassure le personnel ne disait pas tu à tout le monde … En tout cas certainement pas aux patrons. Aux autres membres de ma familles quoi !

Dans le parc on croisait mon grand père Jérémy, il venait me faire la bise.

Djé : Je vois avec plaisir que tu fais du sport. A entendre ton père on a l'impression que tu ne fais rien comme il faut.

Dave en soulevant sans prévenir ma veste de training.

Dave : Non il est musclé le p'tit, regarde. Il prend soin de lui, je n'aurai pas trop de travail avec lui, et en plus il est volontaire.

Il faisait la même chose à mon grand père qui n'avait pas honte de montres sa musculature. 

Dave : Toi c'est pareil, tu es bien foutu à ton âge. Tu étais un champion dans le temps et tu sais que dans ta catégorie tu en es toujours un. 

Et en se retournant vers moi …

Dave : Allez on repart  bonhomme, on ne mollit pas, on respire bien à fond !

Là je ne bandais plus du tout. Mais qu'est ce qui s'est passé là ? Mais comment il parle à mon papy lui ? Mais il vient d'où lui ? Mais c'est qui ce coach ? C'est simple je n'avais jamais entendu quelqu'un parler comme ça à mon papy ! Ça me rendait perplexe et dubitatif ! … 

Si le dernier mot que j'ai employé vous a fait sursauté, je vous rassure, c'est pas un gros et ça ne veut pas dire '' Éjaculateur précoce '', je suis pas comme ça moi ! Moi ça serait plutôt la mitrailleuse … Ouai bein si vous me croyez pas je vous montre quand vous voulez ! Et toc !

On continuait ainsi notre entraînement matinal. Dans le parc, un peu plus tard j'apercevais au loin Alex, on se faisait un signe il me rendait le salut que je lui faisais. Plus tard après avoir contourné la pièce d'eau, on faisait un peu de muscu dans le bois , on contournait la pièce de gazon derrière la maison on revenait à la maison.

Dave : Voilà bonhomme ! 15 kilomètres tu me fait ça tous les matins ! Ne bouge plus.

Il avançait la main ver mon visage. Il est mignon Dave et je me disais … '' Câlin ? '', je penchais la tête sur le côté. Il appuyait deux doigts sur ma gorge et regardait sa montre … C'était juste pour prendre mon pouls ! Pfff ! 

Mais c'est qu'il rigolait en plus …

Dave : Tu t'attendais à quoi ?

Nos regards se croisaient et on éclatait de rire tous les deux … Oups j'ai comme l'impression que je vais encore bander moi ! A la fin de l’entraînement il m'avait un peu chauffé la tête là Dave. Et je vous garantis que c'était pas au niveau de la tête que ça se voyait. Ça l'amusait. Enfin je pense que c'est ça qui l'amusait. 

C'était certainement ça, en passant devant un miroir je pouvais constater qu'on ne voyais que ça. Je croisais Tonton Bob il venait m'embrasser. 

Bob : Je vois avec plaisir ( pour toi ) que ton père à renoncé à te faire porter une PK … Non, non ne demande pas comment j'en suis arrivé à cette conclusion … Tu devrais prendre une douche froide ça te ferait du bien. 

J'entendais quelqu'un ricaner dans mon dos. C'était Dave.

Dave : Au fait Bob, tu n'a pas oublié qu'on se retrouve tout à l'heure ?
Bob : Non Dave je n'oublie pas …

Et ça continue il tutoie tout le monde lui. Et me prenant par les épaules.

Dave : Allez bonhomme … Une douche, un petit bain bouillonnant, un petit massage et je te libère …

Là je bandais à mort ! Il avait dit le mot magique … Massage …

On arrivait dans les installations de la piscine, douches ouvertes, douches privatives, baignoire avec bulle, tables de massage ouvertes ou privées. Il me tirait dans un salon privé et refermait la porte. Je bandais à ce moment et vous savez qu'à mon âge … Ma queue se relevait à la verticale contre mon ventre … C'était violent !

Devant la douche brusquement j'hésitais.

Dave : Aucune excuse ne sera acceptée, allez on y va, on se déshabille .

Il était déjà torse nue. Oh et puis il l'a cherché après tout s'il n'a pas compris ma situation … Je retirais le haut et le bas et me retrouvais juste devant la douche à poil avec une superbe érection. 

Dave : Je vois que Monsieur Brosso fait le fier !

Je rigolais. Il me poussait doucement sous la douche. Je me retournais vers lui avec le sourire, il est marrant quand même celui là ! Il était à poil aussi mais … Lui il portait un dispositif PK en titane c'est à dire permanent. Il me regardait avec un grand sourire : '' Tu veux que je te frotte le dos ? '' . Il me suivait sous la douche sans attendre ma réponse. 

Je le prenais dans mes bras, c'était un réflexe, je ne pensais pas à mal … Je ne pensais à rien d'ailleurs à ce moment précis. J'aurais voulu vous y voir moi à ma place, vous entrer dans une douche avec la trique, un mec superbe qui porte un dispositif de chasteté et qui est de toutes évidence très serviable et qui en plus vous propose de vous frotter le dos … Vous faites quoi vous dans un cas pareil ?

Moi je l'ai pris dans mes bras et je l'ai embrassé !

C'est sûr, il m'a frotté le dos, mais pas que … Il ma lavé un peu partout, il m'a même lavé la bite … Je l'ai caressé, il me rendait mes caresses. J'ai tripoté sa cage, il m'a longuement lavé les couilles et la queue. On se retrouvait très vite tout propres tous les deux. Je sentais la pression qu'il y avait dans sa cage. Et je bandais toujours autant … A mon âge ça peut durer un moment, surtout que je n'avais pas encore commencé le tir moi … 

Dave : Bon maintenant tu es tout propre, on passe à la suite.

La je restais sur ma faim … Il m'emmenait à la table de massage. 

Dave : Sur le dos !

Là ça devient super cool ce truc, je m'allongeais sur le dos et le laissais faire. C'était le pied, je me laissais aller et tout mon corps y passait … en entier …  mais il ne s'attardait que très peux sur ma bite. On peut dire qu'il savait faire monter le désir lui. Il massait mes couilles et continuait sur mes cuisses … Il massait ma bite puis c'était les muscles de mon ventre qu'il détendait … 

Au moment ou il me disait de me retourner je peux vous garantir que le seul muscle qui n'était pas détendu et bien c'était le seul truc tendu qui n'était pas un muscle … Ma bite ! Je me sentais bien, terriblement bien. Je bandais mais c'est pas désagréable … Je précise ce dernier point pour ceux qui n'ont jamais essayé … Bon j'espère qu'il n'y en pas parce que c'est qu'ils n'ont pas l'âge de me lire … 

Oui il y a les filles ! C'est vrai ! Mais j'ai un peu tendance à les oublier celles-là ! 

Là c'était un peu différent. Il me massait tous les muscles comme tout à l'heure mais il insistait un peu plus sur mon cul qu'il ne l'avait fait sur mes couilles … Il porte un dispositif de chasteté, on ne risque pas d'aller trop loin là il n'y a pas de risque. Je le laissais me tripoter, il faut dire qu'il faisait ça très bien. L’embarras que j'avais eu au tout début en entrant dans la douche avait disparu depuis un bon moment et pourtant je bandais toujours.

Je me détendais tellement que je finissais par somnoler. C'est à ce moment qu'il m'enfonçait un doigt dans mon cul. Je sursautais mais je le laissais faire, il y allait doucement, très doucement. Passée la première sensation qui était surtout de la surprise, c'était très agréable. Il prenait le temps de bien me détendre puis enfonçait un deuxième doigt. Je sursautais de nouveau et commençais à soupirer. J'étais tout mou, mon corps était tout mou mais ça ne veut pas dire que mes muscles ne marchaient plus et rapidement je me contractais. Remarquez quand je dis que je me contractais ça ne veut pas dire que je ne restais pas totalement décontracté tout de même. Je sais c'est contradictoire mais vous verrez les jeunes que quelquefois, dans la vie, il y a des contradictions.

C'était agréable, terriblement agréable. Le plaisir montait encore plus fort et plus vite que la veille. Mon cul se souvenait du plaisir de la veille et m'en donnait autant, plus peut être même. Je finissais par éjaculer sur la table de massage. A ma réaction il le devinait aussitôt, il bougeait encore un peu ses doigts pour m'arracher quelques cris de plaisir et finissait par se retirer. 

Je restais là amorphe, j'avais l'impression de ne plus pouvoir bouger, j'étais vraiment tout mou, mais je me sentais tellement bien … Dave me laissait souffler quelques instants avant de me conduire au bain bouillonnant ou je restait un petit moment à tremper. Il ne m'y laissait pas trop longtemps, là encore il m'en sortait avant que je ne me ratatine … 

J'enfilais enfin une tenue de sport comme celle que j'avais en arrivant, la première était couverte de sueur la nouvelle était propre et sentait bon. Je me rendais enfin dans la salle à manger pour le petit déjeuner … Il n'était pas tard, en fait tout ça n'avait pas duré très longtemps ! Je n'avais toujours pas de sous vêtements et c'était un plaisir doux que de sentir mes couilles glisser contre mes cuisses et ma bite se balancer lourdement, rapidement je bandais à moitié. Là à moitié ça veut dire une grosse molle comme la première fois … Remarquez il n'aurait pas fallu grand chose pour que ça recommence tout ça … J'avais dix sept ans !

A mon avis vous devriez avoir là un petit aperçu du '' Pourquoi j'aime tant venir passer un séjour chez mes tontons … ''. Remarquez, là c'était une première , j'avais dix sept ans et l'écho de mes frasques de l'autre soir dans la maison close avec un prostitué était arrivé avant moi ! Dans une maison comme celle là il est très difficile pour ne pas dire totalement impossible de garder un secret ! Mais avec un personnel aussi dévoué il n'y avait aucun risque que ce secret ne sorte un jour de la maison ! C'est déjà bien .

Les maîtres de maison ne cachaient pas que leur seule préférence allait vers les hommes, Le personnel avait les mêmes goûts et il était évident que tout le monde savait désormais que c'était pareil pour moi ! Vous savez, ça ne dérangeait personne. (lol)

Mais jamais auparavant aucun employé n'avait eu un geste déplacé envers moi, et par la suite ça n'a pas changé. Les propositions restaient très correctes, uniquement dans une certaine intimité... Ce qui m'étonnait toujours c'est que le port des dispositifs de chasteté n'était pas totalement obligatoire. A la maison, chez mon père c'était pas le cas. J'étais le seul dans la maison à ne pas porter un tel dispositif de chasteté et ce privilège je le devais à mon grand père.

Vous l'avez compris mon papa c'est le PDG de la PK, une entreprise qui depuis qu'elle a été reprise en main par mon grand père n'a cessé de grandir en puissance et en richesse. Cet héritage fera de moi l'un des hommes les plus riches de la planète mais à condition que … Au plus tard à mes 21 ans je porte moi aussi un dispositif de chasteté permanent … Et il n'en est pas question … Je décidais donc de profiter de la vie en attendant de voir comment j'allais me sortir de cette histoire. J'avais quatre ans pour trouver une solution. 

J'espérais beaucoup de mes deux oncles … '' C'était l'oncle Martin, c'était l'oncle Gaston '' … Pom,pom,pom … Pardon, je sais, je m'égare mais c'est surtout pour me faire oublier la sinistre échéance. Oui donc j'espérais beaucoup de mes deux oncles ainsi que de mon grand père …

Car si, comme je vous le dit mon papa est le numéro un de la société,  il suffit qu'un des mes oncle prenne la parole devant le conseil d'administration et plus personne n'écoute mon papa … Et paf dans la tête … Si les deux prennent la parole, c'est pire et si en plus mon Papy dit quelque chose, plus personne ne souvient même de l'existence de mon père … J'espérais donc trouver une solution qui me laisserait libre …

A par ça mon père était un des hommes les plus puissants du monde … 

Pas cool quoi ! En plus il allait faire fermer la maison close à cause de moi. Je repensais à cet homme que j'avais tenu dans mes bras deux jours plus tôt. Ce souvenir me faisait bander, là je peux, maintenant je suis habillé et je suis dans ma chambre donc il n'y a pas de problème … Ce garçon allait perdre son travail à cause de moi, il était tellement beau, sa peau était d'une douceur, même la soie aurait fait penser à du papier de verre à côté … Papier de verre peut être pas remarquez ! Mais il avait vraiment la peau douce, et puis il y avait sa queue, j'avais jamais vu un truc pareil. Pour une initiation c'était peut être un peu gros. Ouai j'avais les yeux plus gros que le ventre l'autre soir. 

Bon, mais c'est que je débute moi dans la débauche sexuelle ! Je viens juste d'avoir dix sept ans …

De plus j'ai bien l'intention d'en profiter surtout si ça ne doit pas durer ! Je vais me faire tous les mecs qui ne portent pas de dispositif dans la maison,  et ça ne va pas traîner. Je ne vais pas rester ici plus de deux semaines alors il ne va pas falloir traîner … De toutes façons que j'en profite ou pas, pour mon père ce sera pareil. Il croira ce qu'il aura envie de croire puisque aucune indiscrétions ne sortira de cette maison.

Il y a des jours ou je me disais que c'est vraiment une famille de fous. Et bien des années plus tard je me dit toujours la même chose. Je me suis rassuré quand j'ai vu que mon fils refusait de porter un tel dispositif, enfin un qui est moins fou que les autres, mais par la suite il y a eu David … Et quand je vois mon petit fils David … C'est un garçon adorable et c'est ma famille … Mais bon c'est une famille de fous, je les aime tous.



EP 04 : PREMIERS BAISERS



Je passais le reste de la matinée à jouer avec ma nouvelle console de jeux. Je me sentais bien je ne vous dit pas. J'avais fait mon footing, pris une douche et on m'avait fait un massage libertin qui m'avait fait juter comme il faut avant de me laisser tremper dans un bain bouillonnant juste comme il faut pour que je ne me ratatine pas … Suivait ensuite un petit déjeuner avec mes tontons et mon papy qui avaient le sourire et un majordome qui avait aussi le sourire ( ça me changeait ).

J'étais vautré devant la télé, j'étais décontracté et je savais que personne n'entrerait dans ma chambre ni sans frapper ni en m'engueulant sans même que je ne sache pourquoi … 

C'était le pied !

Je pensais toujours à ce black magnifique de l'autre soir dans la maison close. J'avais toujours devant les yeux sa bite énorme, bien droite et si bien proportionnée. Je me rêvais dans ses bras. J'aurais tellement voulu savoir si j'aurais pu me la prendre dans le cul. Peut être pas, là c'était vraiment énorme pour une première fois. Mais on a le droit de fantasmer ? 

On frappait à la porte, je sursautais, la porte s'entre ouvrait et j'entendais la voix de mon grand père …

Gp : Je peux entrer, je ne te dérange pas ?
Moi : Entre grand père . Tu ne me déranges jamais.
Gp : Si c'est vrai mon bonhomme c'est que tu es encore plus dévergondé qu'on ne le pense tes oncles et moi !

Il est marrant mon grand père. Il entrait.

Gp : Alors elle te plaît ta console de jeux ?
Moi : J'adore et les jeux sont supers. Mais comment vous avez fait pour l'avoir, elle ne sera pas commercialisée avant un moment ?
Gp : Ton oncle Bob à des relations. C'est lui qu'il faudra remercier !
Moi : Et il y a aussi …
Gp : Oui ! Je t'écoute !
Moi : C'est pour l'autre soir, tu sais …
Gp : Ne t'inquiète pas aucun des gardes qui t'ont ramené n'en parlera à ton père. Il croit que tu étais avec une fille. Pour lui c'est déjà grave mais s'il savait tout ce serait pire.
Moi : C'est pas ça ! C'est que … Il va faire fermer la maison close 
Gp : Je t'ait dis que je m'en occupais. J'ai eu le gouverneur au téléphone tout à l'heure. Ton père n'a pas traîner. Il était embarrassé le gouverneur. Je lui ai demandé de ne pas écouter Antoine, j'ai un peu argumenté et le problème est réglé.
Moi : Il va gueuler !
Gp : C'est sûr mais ça lui passera ! Je viens de parler à ton père au téléphone.
Moi : Et il a … 
Gp : Tu sais très bien qu'il n'ose pas gueuler avec moi mais il était furieux ! Il ne veut plus que tu garde cette carte de crédit ! Il ne te la rendra pas !
Moi : C'est pas juste je ne l'ai eu qu'une seule journée !
Gp : Et tu as dépensé trente mille DI (Dollars Internationaux ), et c'est une grosse somme …
Moi : Mais ça ne sert à rien d'être riche si on ne peut rien dépenser. 
Gp : Rien dépenser ! Mais trente mille DI c'est une grosse somme ! Je crois qu'il faudra en effet que tu apprennes la valeur de l'argent ! Mais ne t'inquiète pas on ne va pas te laisser sans ressources … Mais la prochaine carte de crédit sera limité. 
Moi : Pffff !
Gp : Ça y est maintenant il boude ! Arrête tes caprices. C'est ton anniversaire, viens plutôt voir tes cadeaux.
Moi : Cadeaux ? Alors là j'arrive !

On descendait dans le hall d'entrée, il y avait tout un tas de paquets réunis au milieu de la salle. Un en particulier était énorme …

Moi : C'est quoi celui là ? Je le veux ! ( en montrant le plus gros ) 
Bob : Ça m'aurait étonné ça ! D'abord tu ouvres le plus petit !
Moi : Mais il est tout petit le plus petit !

Il était en effet minuscule, il tenait dans la main. Je l'ouvrais … C'était un téléphone cellulaire … '' Ouééé ! Je viens de casser le mien et c'était pas la première fois ...'' 

J'ouvrais un autre colis … Une paire de gants en cuir bien épais bien frime … Le suivant contenait un blouson de motard. Il y avait aussi un casque de moto, un pantalon de moto en cuir . J'enfilais le pantalon, c'est sexy ce genre de truc, dans le miroir je me trouvais très beau et déjà je bandais mais ça ne se remarquait pas.  Je mettais aussi le blouson, le casque, les gants. Suivaient des lunettes de soleil, un ceinturon et quelques bricoles qui faisaient un équipement complet de super motard. Je faisais le clown devant ma famille et quelques employés qui étaient là ne cachaient pas un large sourire à me voir heureux comme ça. Il restait le gros colis, vu  la taille, vu la forme c'était une moto …

Mon grand père : Maintenant je suppose que tu devines ce qu'il y a dans le dernier colis. C'est ton oncle Bob qui a choisi.
Moi : Tonton Bob comment tu as pu deviner que je voulait tant une bicyclette ?

Tout le monde éclatait de rire !

J'ouvrais le colis … Elle était belle, c'était bien une superbe moto. Un modèle américain. Un cylindré moyen, a mon âge je n'avais pas le droit de conduire plus gros. Mais elle était vraiment belle, elle était customisées, rien que pour moi. Là je ne faisais plus le mariole, je ne disais plus rien, tout le monde regardait mes réactions dans un profond silence.

Je me retournais vers mon oncle Bob, le prenais dans mes bras et le remerciais. J'en faisais de même avec mon oncle Luc et mon grand père Jérémy.

Bob : C'est ton oncle Luc qui s'est occupé de trouver l'artiste pour customiser la moto. Il reste encore un colis !
Gp : Un colis, mais quel colis ?
Bob : Mais celui-ci .

Il était minuscule, c'était de loin le plus petit … Je regardais Bob sans trop comprendre, il me le tendais en me disant : '' Ouvre '' … Mais bien sûr c'étaient les clés de la moto !

Moi : Je peux l'essayer ?
Gp : On passe à table dans une heure, je veux que tu sois revenu pour passer à table.
Moi : Promis papy !

Des employés ouvraient en grand la porte magistral de l'entrée, j'étais équipé et je démarrais directement depuis le hall d'entrée … J'étais parti pour une petite heure, je faisais le tour de la propriété, elle fait quand même plusieurs kilomètres de la large. Il y avait un véritable réseau routier dans la propriété, je m'amusais à le parcourir dans tous les sens. Je revenais peu de temps avant de passer à table, ne prenais pas le temps de me changer avant de retrouver tout le monde dans la salle à manger. A la maison passer à table dans cette tenue aurait fait scandale, ici personne ne faisait attention. 

De toutes façons même si je venais manger à poil, je ne suis pas sûr qu'ici on me ferait une réflexion … J'ai tous les droits ici! J'avais à peine avalé la dernière bouchée que je demandais à mon grand père si je pouvais quitter la table. C'était par pure politesse et uniquement parce que je l'adore. En faisant cela je me levais sans attendre la réponse. 

Luc : Ne sois pas en retard pour le souper tu serais mignon.
Moi : Mais je suis toujours mignon mon tonton !

J'avais la moto bien en main et je décidais de faire un tour hors de la propriété. Le portail s'ouvrait tout seul, je sortais et je roulais pendant le reste de la journée. J'ai fait plus de deux cents kilomètres et pourtant je me suis arrêté plusieurs fois. 

Je me suis arrêté au bar du village à quelques kilomètres de là. J'ai des copains là bas. C'est amusant, en surface le village est plus petit que la propriété de mes oncles. 

Je ne voyais personne de connu sauf au moment ou je ressortais. Juliette une fille charmante elle arrivait avec des copines à elle. Juliette c'est la fille du notaire du coin. J'ai l'impression qu'elle me court après depuis longtemps. Elle est sympa mais … Je ne sais pas … Une impression … Il y a quelque chose qui ne me plaît pas en elle … Elle est gentille, mais je suis sûr qu'elle est intéressée mais bon, c'est vrai que je suis le meilleur parti de la planète. Il faut bien se dire   que quand je recevrais mon héritage le montant de mon compte en banque ne s'écrira pas avec seulement neuf zéros, il en faudra plus … Je la soupçonne d'être cupide !

Quelques jours plus tard on la recevait avec ses parents. Ils s'étaient mis en costume se cérémonie … Le petit notaire du coin reçu par la plus grosses bourgeoisie du monde, c'était un événement. Enfin c'était un événement pour eux. Mon tonton Luc m'avait demandé de m'habiller pour ce repas, c'était la première fois qu'on me faisait le coup dans cette maison : '' Fais moi plaisir je veux que sois très présentable mais reste décontracté tout de même, la cravate n'est pas obligatoire … ''. 

A la maison c'est une corvée que de passer à table. Il y a le regard inquisiteur de mon père qui repère le moindre petit défaut. Les règles de tenue, on dirait qu'il a un parapluie dans le cul parfois et quand on reçoit c'est pire … Ici même si on reçoit on reste décontracté. Chez mon papy c'est un peu comme chez mon père mais uniquement quand on reçoit, sinon en famille ou entre amis on est décontracté aussi. Même mon père y est décontracté. Mais il faut dire que là il n'a pas le choix …

C'est toujours très amusant de recevoir chez mes tontons. Les invités s'en font toujours un monde. Il est vrai qu'il y a les deux kilomètres qui séparent la grille d'entrée de la maison, c'est pas comme ça partout vous pouvez me croire. Ensuite on entre dans la maison, la porte d'entrée n'est pas si haute que ça, elle n'atteint qu'à peine la hauteur d'un deuxième étage, au dessus il y a cette imposte vitrée de presque trois mètre de haut qui n'arrivait toujours pas à la hauteur du plafond … Ça en jette ! Il faut voir la tête des gents qui entrent dans cette maison pour la première fois. 

La maison est ramassée sur elle même aussi de loin elle parait tout à fait normal, elle ressemble à une maison de poupée mais quand on s'en rapproche on en voit les proportions … Elle n'a que huit étages mais elle culmine à la hauteur d'un immeuble de plus de quinze étage. Je ne vous avais pas dit qu'ils étaient un peu fous dans la famille ! C'est mon tonton Luc qui l'a dessinée !

Les salles de réceptions au rez de chaussée ont un plafond qui ne monte pas à plus de six mètres … Il faut savoir rester simple n'est-ce pas ! … Quelle famille ! Enfin je ne vous dit pas les invités la première fois ils en prennent plein les yeux. Ce jour là c'était le cas. J'ai sursauté quand un des majordome que je connais depuis ma naissance m'a appelé Monsieur Philippe ! Ça m'a rappelé qu'il y avait des invités. Le maire du village soupait ici avec sa famille. 

Je ne vous avais pas dit ? Le notaire est également le maire du village. Tout le monde prenait place,  le notaire me connaissait un peu, il avait déjà rencontré plusieurs fois mes deux oncles qui étaient les principaux mécènes du village ( et pas uniquement à cause des impôts fonciers ). Mais c'était la première fois qu'il rencontrait mon grand père.

On le mettait tout de suite à l'aise. Mon papy fait ça très bien quand il veut, remarquez s'il veut vous mettre mal à l'aise il sait faire aussi ! Le menu est toujours très soigné dans cette maison. On se régale et en plus c'est très équilibré. On vient de changer de chef à la cuisine, le dernier vient d'ouvrir un restaurant qui déjà marche très bien, il faut dire aussi que mes deux oncles ainsi que mon grand père étaient à l’inauguration du resto … Ça aide !

Après le repas je me retrouvais sur la terrasse avec Juliette. Le reste de la famille était dans le salon d'honneur. Ils avaient ouvert des cartes géographiques, des plans … Enfin il s'agissait de la construction prochaine d'un nouveau centre commercial ou culturel je ne sais pas trop, c'est ma famille qui finançait le projet. 

Juliette : Tu en as de la chance d'habiter dans une telle maison !
Moi : Tu sais je n'habite pas ici.
Juliette : Oui mais tu viens souvent, et je suis sûr que ta maison doit être du même genre.
Moi : Non quand même pas, ma maison reste très particulière mais là, mon oncle Luc à tout de même un peu déliré quand il en a tracé les plans.
Juliette : Je ne savais que ton oncle était architecte.
Moi : En fait il est journaliste !
Juliette : On m'a parler de cela, il paraît qu'il possède 60 des plus gros et des plus influant journaux de la planète …
Moi : Je sais pas !
Juliette : Il possède aussi plus de cent cinquante chaînes de télé sur tous les continents … 
Moi : Peut être … Certaines appartiennent au groupe …
Juliette : Ils n'ont pas d'héritiers tes deux oncles.
Moi : Je crois qu'ils n'ont pas pu avoir d'enfants ensemble ! (d'un air dégagé )

Elle pouffait de rire en se tortillant devant moi. Avec beaucoup de maladresse elle se caressait le corps. Elle se rapprochait de moi et à plusieurs reprises je sentais ses mamelles … Ah ! On doit dire : Ses seins … Oui mais vous savez moi ce genre de truc je préfère ne pas trop y toucher. 

Vous imaginez bien que je ne répondais pas à ces avances. Elle était bien foutue la Juliette, un visage très doux, très féminin. Elle avait de long cheveux, une silhouette mince  et deux mamelles, pardon je ne voulais vexer personne, elle avait deux seins pas trop gros. C'est mieux parce que vu que c'est déjà moche quand en plus c'est énorme … Bon je n'en parle plus ça vaut mieux !

Finalement c'était une assez jolie fille qu'on devait trouver très attirante … Enfin pour ceux qui aiment … Mais c'est pas mon cas !

Juliette : Tu me fais visiter la propriété ?
Moi : Euh …
Juliette : S'il te plaît.
Moi : Toute le propriété ? La journée ne suffira pas !

J'avais brusquement une idée ! Je lui disais : '' Ne bouge surtout pas je reviens ''. Je fonçait voir mon tonton Bob et lui demandais si je pouvais sortir l'aéroglisseur. Il me disait oui, bien sûr, me donnais quelques conseils ( comme d'habitude ). C'est pas la première fois que je l'utilise et je le conduis très bien donc il ne s'inquiétait pas d'avantage. 

Je revenais voir Juliette et lui disais de me suivre. Elle se caressait les cheveux sur le côté, me faisait un grand sourire et finalement me suivait ! Cet appareil contient quinze places, ce n'est pas un modèle sportif mais ça remue bien, ça fait du bruit et ça va vite … C'est génial ! … On suivait la route puis je prenait par un grand espace de gazon, je retrouvais une autre route, je l'entraînait à l'aéroport, sur la piste d'atterrissage c'est rigolo, on peut faire des dérapages contrôlés. Ensuite je l'emmenait vers le port, je visais la descente des bateaux et fonçais à fond. Au moment ou on arrivait sur l'eau elle hurlait.

L'eau giclait tout autour de nous puis l'aéroglisseur avançait rapidement sur l'eau, elle retrouvait son sourire … 

Juliette : Je croyais qu'il fallait entrer dans l'eau doucement …
Moi : C'est tout le contraire ! C'est génial non ?

Je ressortais du port et remontait par la plage ( il y a aussi une plage … ). Là je faisais une pause, tournais l'appareil ver la mer et coupais le moteur. Les énormes boudins d'air se vidaient et l'appareil se posais sur le sol. 

Elle me sautait dessus et m'embrassait avec fougue. Je ne savais plus quoi faire moi, elle aurait pu prévenir, j'aurais su m'esquiver … Mais non, elle m'a sauté dessus et ne voulait plus ma lâcher. 

Franchement j'avais toujours réussi à éviter ce genre de situation navrante jusqu'à ce jour . De plus j'étais dans une école de garçons donc … Et elle ne me lâchait pas en plus ! On fait quoi dans ces cas là ? Je sais pas comment c'est fait moi une fille, j'y ai jamais touché. 

Un court instant j'ai pensé crier : '' Au viol '' ! Mais de toutes façons il n'y avait personne dans le coin, aucun secours à attendre. Si je pouvais attraper le bouton d’alerte, on viendrait rapidement m'aider mais j'aurais l'air de quoi moi ? Je pourrais toujours dire que je l'ai fait par maladresse, sinon même mes deux oncles risquaient de se foutre de ma gueule.

Si je lui donnais ce qu'elle veut ! Peut être que ça la calmerait ! Je finissais donc par lui rendre ses baisers, je la prenais dans mes bras et la serrais contre moi … Mais c'est quoi ces trucs tout mous là. A oui ce sont ses mam... Pardon je voulais dire ses seins … Pas très confortable comme truc. Mais c'est qu'elle embrasse pas trop mal la grosse. La peau des douce, il n'y a pas de barbe , c'est dommage moi j'aime bien. Les cheveux long ça chatouille dans mon nez, je sens que je vais éternuer si ça continue. C'est pas trop lourd une fille finalement c'est plus léger qu'un homme. 

Par contre il y a grand vide là, entre les cuisses. Là c'est bien moins intéressant. Le lui caressait le dos, elle me tenait la tête et me couvrait de baiser sur tout le visage … 

Bon maintenant on fait comme pour la décoller ? 

Je lui ai donné tous les baisers qu'elle voulait, et elle en veut encore. Bon on ne va pas y passer la nuit ! Je voyais la lumière du jour décliner, c'est pas grave il y a un éclairage très performant sur cet appareil, je l'ai même conduit de nuit vous savez.

Elle m'embrassait dans le cou. Je sursautais, je rigolais, elle me chatouillait la petite. Bon ça d'accord c'est marrant. C'était une belle journée, il avait fait beau finalement, la saison chaude était terminée mais quelques degrés de plus et on aurait pu se baigner. Elle me donnait encore des baiser sur la bouche … Mais c'est pas fini cette histoire … Je la sentais enjamber ma cuisse et se frotter tout contre moi… Bon, il faudrait qu'elle se calme là ça devient gênant. 

Elle se relevait enfin. Horreur ! Elle avait ouvert son corsage et en avait ressorti des deux mamelles … Oui je sais mais je m'en fou j'ai pas envie d'appeler ça autrement là ! … Et elle me les collait sous le nez … Beuh ! Mais c'est que c'est pas hygiénique ça !

Je hurlais au moment ou avec sa main elle me saisissait le sexe au travers de mon pantalon. Mon téléphone sonnait à ce moment et par pur réflexe je répondais. Ça la calmait, la peur sans doute que quelqu'un ne l'entende … J'étais sauvé par le gong !

Moi : Oui papa … oui papa … non papa … oui papa on arrive !
Juliette : C'était ton père ?
Moi : Quand ça ?
Juliette : Mais tout de suite au téléphone.
Moi : Bein non c'était pas mon papa, pourquoi tu dis ça ?
Juliette : Mais tu as dis '' papa ''
Moi : C'était pas mon père c'était mon tonton Luc !
Juliette : Et ton tonton Luc tu l'appelle '' papa '' ?

Je m'étais retrouvé allongé sur le sol de la cabine dans cette histoire moi, je me relevais, réajustais mes vêtements, elle en faisait de même. Elle gardait un sourire un peu vicieux et un regard à faire peur … Enfin moi ça me faisait peur ! Elle ne va pas encore me sauter dessus, si elle essaye j’appuie sur le bouton d’alerte, dans cinq minutes il y aura deux hélicoptère autour de notre appareil. Je gardais un œil sur elle pour prévenir toute nouvelle agression. Vous savez je n'avais pas bandé là, mais pas bander du tout.

Je remettais l'appareil en marche et rentrais doucement vers la maison.

Juliette : C'est moi qui te fait cet effet ?
Moi : Euh … oui !
Juliette : Tu n'as jamais … ?
Moi : Euh non !
Juliette : On remettra ça un autre jour ?
Moi : Un autre jour oui, un autre jour oui, un autre jour …
Juliette : Tu m'as l'air bouleversé.

Elle posait alors sa main sur ma cuisse. Je hurlais, repoussais sa main.

Moi : Pas pendant que je pilote, c'est dangereux !

L'appareil faisait une embardée sur la gauche, elle n’insistait pas ! Peu après je posais l'appareil dans le garage, je coupais le contact et je sortais tellement vite que les boudins d'air n'étaient pas totalement vide. Je sais il faut toujours attendre mais là, comment dire, j'étais un peu pressé … 

Quand elle descendait de l'appareil il était complètement posé. Par réflexe je ne l'approchais pas trop, elle le remarquait.

Juliette : Tu es du genre timide toi !

Je faisais oui de la tête.

Juliette : Mais c'est un peu normal dans une famille comme la tienne. Mais tu verras tout ira bien !

Elle voulait me donner un baiser mais je me reculais d'un mouvement rapide. Elle me souriait !

Juliette : Farouche ! Je saurais t'apprivoiser, tu verras !



EP 05 : PREMIER AMOUR



Les parents de Juliette étaient sur le départ, ils avaient l'air ravis de voir leur fille revenir en ma compagnie. Quand je les voyais saluer mes proches je devinais sans difficultés que la réunion de travail s'était très bien passée.

Grand père : Bon c'est une affaire qui marche ça !
Moi : Du genre ?
Luc : Quinze millions !
Moi : La famille a encore gagné des sous ! Cool on va rajouter ça à mon héritage .
Luc : ( en me caressant la tête ) Écoutez le ? le branleur, il ne pense qu'à son héritage .
Gp : Non mon bonhomme on va dépenser quinze millions. On va construire quelques installations sportives et culturelles. La première tranche des travaux va nous coûter quinze millions. Ça peut paraître bizarre de le construire ici, il n'y a pas deux mille habitants. Mais le village est à proximité d'une petite ville de quinze mille, d'un autre de vingt quatre et de quelques autres pour un total de soixante quinze mille habitants qui pourront tous profiter de ces installations …
Moi : C'est cool ça !

Les jours qui suivaient se passaient vite, mon grand père me donnait une autre carte de crédit mais les montants étaient très faibles, presque rien, à peine de quoi survivre, en se serrant la ceinture … j'avais droit à mille DI par semaine ! Comment voulez-vous que je vive avec ça moi ? Je suis un gosse de riche moi ! 

Mon grand père : Tu sais mon petit bonhomme,  il a fallu que je négocie ça ferme avec ton père. C'est tout ce qu'il a voulu céder !
Moi : Il était tellement en colère depuis l'autre jour ?
Gp : Il vaut mieux que tu ne le lui rappelle pas cette aventure. Au début il voulait te retirer l'autorisation de quitter ton interna.
Moi : Il voulait me séquestrer ? Mais je vais me plaindre moi !
Gp : Arrête de faire ton capricieux, et profite de ta deuxième semaine de vacances. Juliette à téléphoner, elle demandait si …
Moi : Non pas Juliette !

Mon grand père me regardait sans comprendre !

Moi : Elle a voulu, elle a voulu, elle a voulu …

Finalement je lui racontais. 

Gp : Oh mon pauvre petit bonhomme ... et tu as eu grand peur …

Bon c'est clair, là il se foutait de ma gueule ... On parlait encore un long moment. Cette aventure l'amusait beaucoup. 

Gp : Bon je lui dit quoi à la petite Juliette ?
Moi : Je ne sais pas moi ? Invente !
Gp : Tu sais qu'elle a un frère un peu plus vieux que toi. Qui vient d'entrer à la PK université et qui aimerait bien te connaître …
Moi : Oui et alors ?
Gp : Il vient d'arriver au village et il est en vacances pour la semaine. Et son père aimerait bien que tu le connaisse !
Moi : Et toi tu as envie de revoir le maire du village ?
Gp : En tout cas lui je sais qu'il ne rêve que de nous voir régulièrement.

Mon grand père repartait.

Gp : Je vais l'inviter à dîner et à passer l'après midi ici.

On était dimanche matin, moins d'une demie heure plus tard, mon grand père remontait dans ma chambre …

Gp : Bon le maire du village, sa femme, sa fille que tu connais déjà et leur fils débarquent dans une heure pour le dîner, ils resteront une partie de l'après midi. Tu auras tout le temps pour rencontrer le fils, c'est un étudiant très sérieux , je viens de parler avec son directeur qui ne me dit que du bien de lui ! Joséphine, tu te souviens de Joséphine ( je faisais oui de la tête ) je l'ai convaincue de venir dîner également on parlera des travaux de construction, elle est dans le métier. Elle vient avec ses deux filles, comme ça on laissera les filles ensemble et les garçons … Soyez sages !

Puis en sortant il se retournait vers moi.

Gp : Tu seras sage j'espère !

Je faisais oui de la tête avec un grand sourire un peu bête. Aussitôt je me faisais tout beau avant de passer à table, je mettait même un jolie veste et une cravate, en fait je faisais exactement comme à la maison. Si ça se trouve il est mignon le petit jeune, et si en plus il est aussi entreprenant que sa sœur je veux faire bonne impression.

Je surveillais la route, et quand une voiture arrivait je me précipitais à la fenêtre. Un femme très belle en sortait … '' Elle n'était pas comme ça la femme du maire l'autre jour ? … ''. Suivaient deux filles dans mes âges … '' C'est Joséphine ! PFFF. Par contre je ne l'avais pas reconnue Joséphine … '' … Un peu plus tard arrivait une autre voiture. Je me précipitais à la fenêtre, C'était le maire. Sa femme sortait par la portière passager venait ensuite la fameuse Juliette. Celle là si jamais elle me saute dessus je cris. Elle était suivie par un jeune homme … Il était grand avec un bonne tête, elle le taquinait et il ne se défendait presque pas. Il avait une silhouette mince mais visiblement musclée. C'est normal pour un étudiant à l'université PK … Finalement ça devrait le faire !

Bon vous avez deviné à quoi je pensais ? Mais c'est vrai quoi, il paraît que les étudiants dans l'université PK ils ne sont pas farouche. Ils sont obligé de porter un dispositif de chasteté et ça les rend … Chauds ! Un peu comme moi sauf que moi j'ai pas besoin d'en porter un ! Mais enfin je viens d'avoir dix sept ans aussi … Lui ne devait même pas en avoir vingt. Je m’attardais un instant devant le miroir, j'étais craquant. Pourvu que ce ne soit pas Juliette qui craque !

Je déboulait comme un fou au moment ou on allait ouvrir la porte. Tout le monde me regardait un peu étonné.

Luc : Mais qu'est-ce qui t'arrive à toi ?
Moi : Rien je viens accueillir nos hôtes. ( En me mettant bien droit, bien digne )
Luc : Tu sais que Joséphine est là depuis un moment ?

Je me précipitais vers Joséphine, lui faisait la bise, j'en faisais de même à ses filles et reprenait ma place … Cette scène n'avait duré que quelques secondes, plus personne ne bougeait, ils me regardaient, j'avais l'impression qu'ils s'étaient tout  mis en pause …

Un valet ouvrait enfin la porte. Le maire n'avait pas encore eu le temps d'appuyer sur la sonnette. Mon grand père l’accueillait, les présentations, les salutations … Pfff c'est long tous ces protocoles … Il s'appelle Ludovic, de plus prêt il est assez mignon et en plus il a l'air très sympathique, je discutait avec lui, comme je l'espérais quand j'ai vu arriver les deux filles de Joséphine, elles accaparaient Juliette. Ça c'est cool !

On passait à table, Ludovic avait été placé à côté de moi. Nous avions des invités aussi je ne dépareillais pas avec mon joli costume, le personnel était étonné mais c'est uniquement parce qu'il n'était pas habitué à me voir comme ça ! 

Moi : Mais dit moi Ludovic tu veux faire quoi cet après midi ?
Ludo : Je sais pas moi … Ta maison est tellement extraordinaire, je ne sais pas ce qu'on peut faire ici moi !
Moi : On peut aller se baigner !
Ludo : C'est vrai que vous avez une plage, mais je pense qu'il fait un peu frais …
Moi : Mais on a aussi une piscine …
Luco : Mais c'est que je n'ai pas de maillot de bain.
Moi : C'est pas gênant ça ! 
Moi : Je veux dire par là qu'on t'en trouvera un si tu veux …
Ludo : Pourquoi pas ! 
Moi : Ensuite on peut faire un peu de moto …
Ludo : Je n'ai pas le permis.
Moi : Si on ne sort pas de la propriété c'est pas grave.
Ludo : Ça pourrait être sympa ! 
Moi : On peut aussi faire un tour en avion …
Ludo : Mon baptême de l'air, ouai j'adore l'idée. 

A la fin du repas on ne savait plus par quoi commencer. 

Moi : Moto ?
Ludo : Moto ! Mais je n'ai pas de tenue …
Moi : Viens avec moi on va trouver ce qu'il te faut …

Je voyais Alex qui passait par là, je l'appelais …

Moi : Tu pourrais trouver une tenue de moto pour mon pote Ludovic ? On sera dans ma chambre !

D'un œil il jaugeait la taille qu'il fallait.

Alex : Je te l’emmène dans une minute.

On se retrouvait Ludovic et moi dans ma chambre, il était un peu ébloui par le décor. Alex nous apportait la tenue de moto complète.

Moi : C'est ta taille j'espère ?
Ludo : Ça m'en à l'air ! …
Moi : Mais ne reste pas comme ça met la !
Ludo : Je garde ma chemise ?
Moi : Non tu pourrais l’abîmer, il vaut mieux la retirer.

Ce qu'il ne faut pas faire pour le voir torse nue celui là ! … Mais c'est qu'il était super bien foutu. Une très belle musculature, fine, élégante, une peau qui semblait très douce … Ça fait envie tout ça … C'était bon je bandais !

Ludo : Je ne garde pas le pantalon non plus …
Moi : Enlève tout, la tenue est complète …

Et c'est ce qu'il faisait … Il enlevait tout … Là je bavais. Il avait un beau cul, les cuisses étaient musclées et fine et son corps était totalement dépourvu de poil. J'avais la bouche ouverte, un peu comme … 

Un con qui ne comprend plus ce qui se passe. 

Il se retournait. De face il était encore plus beau, je n'avais plus qu'une seule envie … Le prendre dans mes bras et l'enculer … Faites pas gaffe c'est mon côté romantique ! Mon regard se posait sur son entre-cuisse. Il portait un de ces dispositif en titane … Titane … Ça veut dire qu'il le porterait toute l'année scolaire, et plus si affinité !

Je ne pouvais pas détourner mon regard.

Il me souriait avec un petit air triste dans le regard. J'étais amoureux ! 

Ludo : Tu ne te changes pas ?

Je faisais comme lui. Il ne loupait rien, il était toujours à poil au milieu de ma chambre.

Moi : Tu portes une PK Titane … Euh … Ça fait longtemps ?
Ludo : Six mois, depuis le début la rentrée universitaire. Et toi ça fait longtemps que tu portes une PK ?

J'étais à poil mais il ne voyais que de dos. 

Moi : Euh … 
Ludo : N'ai pas honte, on est pareil avec un truc comme ça sur nous !
Moi : Oui mais je n'en porte pas !

Je me retournais, il me regardait et faisait un large sourire. Je bandais ferme !

Ludo : C'est joli ça ! Je pensais que, comme tu es le fils du PDG tu en porterais un depuis longtemps. 
Moi : Mon grand père est intervenu, on n'est pas obligé d'en porter une avant d'entrer à la fac … Mais moi je ne veux pas !

Il me regardait et j'avais comme l'impression que ça ne lui déplaisait pas.

Ludo : On s'habille ?

Je sursautait, j'avais recommencé à rêver, et il me réveillait. On s'habillait rapidement. Je l'emmenais au garage. J'avais l'image de son corps devant les yeux. Je trouvais sa cage de chasteté vraiment sexy. Bon pas pour moi mais lui ça lui allait bien, il la portait bien, il était vraiment beau comme ça, je bandais toujours comme un fou !

Il y avait des casques de toutes les tailles. Au passage je lui montrais mon cadeau d'anniversaire, ma nouvelle moto. '' Mais elle c'est une routière donc je ne la sortirais pas '' . On prenait chacun une moto de sport et on fonçait au travers de la propriété. Avec ce genre de moto sportive on est pas obligé de rouler sur la route. On traversait les champs, la forêt, on allait s'amuser à faire la course sur la plage. On rigolait bien quoi. À chaque fois qu'on s'arrêtait je le regardais avec beaucoup de sympathie.

On s'amusait pendant plus de trois heures. Quand on faisait une pause plus tard je le regardais avec beaucoup d'amitié. 

Moi : Tu es en vacances, non ?
Ludo : Bein oui, pour encore une semaine !
Moi : Ça te dérange si je t'invite à passer une semaine ici ?
Ludo : Ça serait avec plaisir, mais tu crois que … ?
Moi : Il n'y a aucun problème, ils seront tous d'accord.
Ludo : Dans ce cas ...

On finissait par revenir, ça faisait quatre heures qu'on était partis. On était recouverts de terre, de sable, on était également trempés. Son père et mon grand père étaient sur la terrasse, ils discutaient. 

Gp : Regarde Lucien dans l'état ou il nous reviennent ces deux là.
Lucien : Mais c'est pas vrai, vous êtes propres tous les deux !
Moi : Papy j'ai invité Ludovic à passer la semaine ici, il est en vacances …
Gp : C'est une très bonne idée mon bonhomme !
Lucien : Mais je ne voudrais pas vous déranger, il faudrait peut être demander à Luc ou à Bob …
Gp : Ils sont d'accord, ils sont toujours d'accord. J'espère que pour toi ça ne pose pas de problème ?
Lucien : Non pour moi c'est d'accord … 

Il n'osait pas refuser. La mère de Ludovic et sa sœur arrivait, ils disaient au revoir à leur fils et il nous laissaient. Avec mon nouveau copain on remontait dans ma chambre. Nos vêtements étaient pliés sur mon lit. On fonçait dans la salle de bains. Je le regardais se déshabiller mais c'était avec avidité désormais, et j'avais bien l'impression qu'il en faisait de même. Je bandais encore comme un fou. 

On passait sous la douche. Nos regards se croisaient et on se regardait avec beaucoup de complicité. Il me frottait timidement le torse, juste sous une épaule avec un savon. Je rigolais et lui faisait de même. Il me répondait en rigolant aussi, on se frottait avec plus d’insistance, on se rapprochait l'un de l'autre, on se frôlait, ma queue touchait sa cage de chasteté et se redressait encore un peu plus. Au bout de quelques instants on s'embrassait, bien serré l'un contre l'autre, chacun frottait le dos de l'autre.

Nos caresses devenaient immédiatement plus fortes et plus intimes … Nos baisers devenaient plus doux, plus tendres. Il n'avait pas de poil sur le corps, et je ne sais pas si c'était naturel, moi j'en avais très peu et c'était naturel. Sans prévenir il se mettait à genoux et me caressait la queue. Je le laissais faire.

Il me masturbait doucement, par moment il passait le bout de sa langue sur ma queue. Je soupirais à chaque fois. Il relevait les yeux pour voir mes réactions. Je gémissais de plaisir et je lui caressais les cheveux.

Ludo : C'est la première pour fois toi ?
Moi : Presque !

Il souriait et reprenait. Il ouvrait largement la bouche et avalait mon gland. Je sentais sa langue qui tournait tout autour de mon gland. Pour moi c'était presque la première fois mais pas pour lui, ça c'est sûr. Il savait y faire il avait de l'entraînement.

Ma queue s'enfonçait plus profond dans sa bouche, je frissonnait. Rapidement elle entrait en entier, ça ne durait pas, il reculait aussitôt son visage et reprenait son souffle. Il  me regardait de nouveau, me faisait un grand sourire et reprenait.

Ensuite il se relevait, on se prenait dans les bras, on se serrait l'un contre l'autre. Notre étreinte devenait intense. 

Ludo : Je veux que tu me prenne !

J'étais un peu surpris mais avec mes récentes aventures je n'étais pas vraiment pris au dépourvu. Il se retournait, s'appuyait contre le mur, écartait les jambes et tournait la tête en arrière. Je passais mon visage par dessus son épaule et l'embrassais. Ma queue appuyait contre son anus, il gémissait. Je poussais, ça rentrait doucement, il gémissait dans ma bouche. Je poussais complètement ma queue entrait complètement, il gémissait encore plus fort. J'écartais mon visage et le regardait. Il avait les yeux fermés, il faisait une sorte de grimace et continuait à gémir. 

C'était un peu de plaisir et beaucoup de douleur ? C'était un peu de douleur et beaucoup de plaisir ? … C'était entre les deux ! Une chose est sûr, il y avait du plaisir. Avec ma courte expérience je savais déjà que ça pouvait faire mal, très mal mais que ça pouvait être bon, vraiment très bon. Je me retirait doucement, ses yeux semblaient se retourner complètement et il fermait les paupières. Je revenais, il soufflait fort et gémissait de nouveau. Je prenait mon rythme, je me retirais puis revenais en accélérant le mouvement. Je le sentais trembler. 

Je continuais de plus en plus vite, je le sentais s'abandonner dans mes bras. J'avais passé un bras sur son ventre et le tenais bien, l'autre par dessus son épaule, je lui caressais son visage, il tournait son visage de nouveau et on s'embrassait avec une grande passion. J'accélérais mes mouvements, je sentais son souffle qui se remplissait d'une plainte. Par moment il poussait des cris.

Mon bras descendait vers son dispositif de chasteté et je le caressais, je lui attrapais les couilles et les massais avec vigueur mais sans lui faire mal. Sa respiration devenait rapide, bruyante et rapide. Il gémissais maintenant à chacune de ses ses respirations, il tremblait, il poussait quelques cris et je le sentais, il jutait. Un flot de sperme coulait de sa PK, je sentais son corps de contracter, son anus se serrer contre ma queue et quelques instants plus tard à peine je jutais à mon tour.

Je poussais un cri de plaisir, je me contractais, je tremblais à mon tour puis je m'appuyais sur lui. On reprenait notre souffle. Un voix se faisait entendre. C'était Alex …

Alex : Philippe ? Tu es là ? 
Moi : On est sous la douche !
Alex : J'ai apporté des vêtements pour ton ami. Je prends vos tenues de moto. Vous avez besoin de quelque chose ?
Moi : Non tout va bien. Merci !

Je terminais cette phrase en donnant un baiser sur le dos de mon amant. Puis je me retirais, il poussait encore un cri. On terminait notre douche, on se séchait puis on revenait dans le salon … Je vous ai dis que dans ma chambre il y avait un coin salon ?

On restait un moment encore comme ça à poil à discuter.

Moi : Ils sont tous comme toi à l'université PK ?
Ludo : Non mais presque !

Je veux y aller !

Moi : Mais ils portent tous un dispositif PK !
Ludo : Alors là oui c'est une obligation, pas de passe droit, même les profs, le directeur … Enfin tout le monde quoi !

Je veux pas y aller !

Moi : Les mecs ils sont comment ?
Ludo : Ils sont tous très bien, on fait tous du sport et on est tous très beaux !

Je veux y aller !

Moi : Et le truc, mon père m'a dit qu'il faut le porter toute l'année.
Ludo : C'est exact !

Je veux pas y aller !

Je ne veux pas de ce truc moi, il n'en est pas question. Si jamais mon père veut me faire porter ce truc je … Je ne sais pas ce que je fais mais je le fais !



EP 06 : LUDO



On discutait encore un moment comme ça, à poil. L'heure tournait, on parlait, on parlait. Et c'est donc là que la porte s'ouvrait sans prévenir, Alex entrait et bien sûr nous voyait. Je ne bronchais pas mais Ludo lui sursautait et poussait un cri de surprise.

Ludo : Oh mon dieux !
Moi : Mais non Ludo ! Tout va bien c'est seulement Alex !
Alex : Je vous prie de m'excuser jeune homme si je vous ai fait peur, ce n'était pas mon but mais je pensais qu'il n'y avait personne …

Ludo était toujours aussi embarrassé mais Alex n'y prêtait aucune attention. 

Alex : Je passais seulement voir si y avait du rangement à faire dans la chambre. 

Ludo était resté assis, il avait refermé ses cuisses et mettait ses mains devant son dispositif de chasteté. Moi je rigolais.

Alex : Je ne sais pas si vous avez regardé l'heure les jeunes mais il va bientôt être le moment de passer à table … 

Puis ressortant de la chambre, juste avant de refermer la porte.

Alex : Pensez-vous vous habiller d'ici là ou dois-je avertir le reste de le famille que le souper sera en tenue très … décontractée ?

Je pouffais de rire mais Ludo lui ne desserrait pas les dents. Il était tout rouge de confusion. 

Ludo : C'était quoi ça ? 
Moi : C'était Alex, il est adorable, je le connais depuis toujours. Et tu sais c'était pas des conneries, je suis sûr que si je descendait à table comme ça on ne me dirait rien !
Ludo : Tu déconnes là ?
Moi : Tu veux qu'on essaye ?
Ludo : Non ! Pas vraiment ! Je préfère mettre une tenue plus convenable. Ou sont mes vêtements ?
Moi : Alex les aura pris pour les laver je suppose …
Ludo : Il est marrant Alex, et je mets quoi sur moi alors ?
Moi : Regarde sur le lit, là il y a ce qu'il faut. 
Ludo : Il y a aussi mes papiers, un peut de monnaie … C'est ce que j'avais dans mes poches !
Moi : Je te rassure, nos employés sont très discrets. C'est une règle d'or. Ils ne voient rien, n'entendent rien et par conséquent ne peuvent absolument rien répéter …

Ludo n'était pas habitué à ce genre de maison, moi je ne connaissais que ça … Finalement il s'habillait, je le regardais faire, avec le costume qu'Alex lui avait monté, il était presque plus beau qu'à poil, on ne voyait pas qu'il portait un dispositif de chasteté. Moi je prenais mon temps, il était déjà tout habillé que je n'avais pas bougé, j'étais toujours avachi sur mon fauteuil.

Ludo : Tu ne vas tout de même pas descendre à table dans cette tenue ?
Moi : J'hésite !
Ludo : J'y vais pas moi dans ce cas là !

Finalement je m'habillais, rien ne semblait prêt pour moi mais tout était dans mes armoires, parfaitement bien rangé. Il ne me fallait que quelques instants pour être dans une tenue irréprochable. Ludo avait mis une cravate, il se croyait sans doute à la fac … Je me sentais donc obligé d'en faire autant !

Dans cette maison on s'habillait pour passer à table. La tenue n'était pas aussi rigoureuse que chez moi, mes tontons étaient moins regardants, et mon grand père était cool. Je ne vous dis pas la tête qu'ils ont fait quand ils nous ont vu arriver en costume, on était tout de même les mieux habillés de toute la famille. Pendant le repas Alex venait me glisser à l'oreille : '' J'ai installé ton camarade dans la chambre en face de la tienne. Bon enfin vous ferez comme vous l'entendrez … ''.

Et pendant la semaine qui a suivi, il a dormi ou mon nouveau copain a votre avis ? Son lit n'a jamais été défait et on ne nous a pas fait la moindre réflexion ! Dans ce genre de grande maison tout se sait très vite, si aucune information ne circule vers l'extérieur, à l'intérieur les informations circulent très vite. Mon grand père autant que mes oncles savaient parfaitement ce qui se passait !

Sitôt dans la chambre, on ne pouvait résister au plaisir de se faire un câlin.  Ensuite je lui sautais dessus, quand ce n'était pas lui qui me sautait dessus le premier. Un baiser sur les lèvres, suivi aussitôt par un autre plus intense. Il était plus grand que moi d'une bonne tête aussi je le poussais sur le lit et me laissais tomber sur lui. Ainsi nous avions la même taille. Je lui retirais sa cravate, on avait en effet décidé de s'habiller comme à la maison à chaque repas, mes deux oncles avaient parus surpris mais bon … Mon grand père était reparti. 

Ensuite avec une grande douceur et en prenant bien mon temps, je couvrais son visage de baisers, il me les rendait tous. Mes lèvres descendaient sur son cou, ses épaules, sa gorge puis sur tout son torse quand j'ouvrais sa chemise. Il avait les bras en croix, je le sentais ricaner quand je le chatouillais un peu trop.  Ça me faisait sourire et je ne me calmais pas bien au contraire. 

Je sentais son dispositif de chasteté qui se relevait entre ses cuisses, là, juste là dans son pantalon. Je le caressais un moment l'intérieur de ses cuisses au travers de son pantalon. Une bosse faisait pression et je devinais dans quel état il devait être. A cette époque ça m'amusait beaucoup. La frustration qu'il éprouvait le rendait plus câlin et j'en profitais.

Son corps était doux, imberbe et musclé. Il était torse nue devant moi, nu sous mes doigts, doux et ferme dans mes main, à la merci de mon plaisir. J'avais pris soin de placer sous sa tête un oreiller pour son confort. Il avait le sourire et me regardait. Je le couvrais de baisers, relevais la tête, il me regardait faire avec un léger sourire. Par moment il frissonnait de plaisir, il tremblait de désir. De désir qu'il ne pouvait pas prendre mais seulement donner et éventuellement recevoir.

Au moment ou j'allais ouvrir son pantalon il posait sa main sur la mienne. '' Non … Pas maintenant ! ''. Il se relevait brusquement. A son tour il couvrait mon visage de baisers, je fermais les yeux et le laissais faire. Il me retirait ma cravate, ouvrait ma chemise et comme je l'avais fait quelques instant plus tôt couvrait mon corps de baisers et de caresses. Il se relevait devant moi et m'allongeait là ou il était allongé quelques instants plus tôt. Comme je l'avais fait plus tôt, il me déshabillait, me caressait, m'embrassait.

Je ne faisais pas comme lui, il s'était laissé faire. Moi je le caressais, ses cheveux, ses épaules, les bras et si un morceau de peau passait à la portée de mes lèvres, j'en profitais pour l'embrasser. Baiser de mes lèvres, caresses douces, chaudes et humides du bout de ma langue. Il gémissait, je veux dire, il gémissait également …

La encore contrairement à lui au moment ou il arrivait à ma ceinture, au moment ou il voulait ouvrir mon pantalon, non seulement je le laissais faire mais je soulevais mon bassin pour l'aider à me retirer mon pantalon. Ma queue se relevait et venait frapper mon ventre. Je sentais sa langue la caresser depuis la base, un peu depuis mes couilles jusqu'à mon gland. Mes pieds n'étaient pas totalement dégagés et mon pantalon baissé juste en dessous de mes genoux. Je sentais ses doigts se glisser entre ma queue et mon ventre, puis je sentais mon gland entrer dans sa bouche, sa langue me caressait la queue tournant autour. C'est son visage qui s'écrasait ensuite sur mon ventre. Je lui caressais les cheveux, il poussait encore quelques bruits amusants et c'est moi seul qui gémissait alors. 

Alors qu'il avalait ma queue jusqu'à la garde, de ses mains il faisait tomber mes chaussures, mes chaussettes, ça m'amusait, il tirait ensuite sur mon pantalon qu'il repoussait un peu plus loin. Je me retrouvais nu sous ses caresses et ses baisers. Je tremblais de plaisir, de désirs, mais de désirs que moi je pouvais assouvir !

Mon cœur battait fort, et ma respiration était rapide et bruyante. Il me lâchait alors, se relevait et face à moi ouvrait son pantalon qu'il laissait tomber sur le sol et se retrouvait enfin nu, ou presque … Quand on porte ce genre de truc, on n'est jamais totalement nu, on est nu … ou presque. Toujours … ou presque ! Et vous pouvez me croire j'en ai fait l'expérience depuis, ce petit ' ou presque ' fait toute la différence. 

Avez vous essayé de baigné nu quand vous allez à la plage ? Il y a de nombreuses plage qui le permettent. On peut se dire que finalement avec ce qu'on garde sur nous quand on se fait bronzer, ce tout petit bout de tissus, ça ne doit pas faire grand différence une fois dans l'eau, surtout une fois dans l'eau … Et bien essayez pour voir si vous ne l'avez jamais fait et vous verrez … Ça n'a rien à voir, les sensations, toutes les sensations sont très différentes.

Et bien là c'est pareil ! Presque tout le corps est nu, presque toute la peau est exposée mais on ne se sent pas nu pour autant !

J'admirais son corps, sa peau, la forme élégante de chacun de ses muscles, et le petit dispositif qui tentait de se redresser sous la pression interne. Il bandait , enfin il essayait. Moi je ne me contentais pas d'essayer. Je bandais, ma bite se relevait tellement qu'elle appuyait contre mon ventre. De la main il la soulevait délicatement puis la relâchait. Elle claquait alors en revenant sur mon ventre.

Moi : Tu n'as pas de poil sur ton corps ?
Ludo : Non !
Moi : C'est naturel ?
Ludo : Épilation !

Je souriais, il se laissait tomber sur moi, je le recevais dans mes bras, on s'enlaçait avec autant de douceur que de force.

On se serrait l'un contre l'autre, on roulait l'un sur l'autre, il passait une jambe derrière ma jambe, j'en faisait de même avec mon autre jambe. Ma queue s'écrasait entre nos deux ventres, il écrasait avec une grande douceur mes couilles avec sa cuisse, avec douceur, il ne voulait pas me faire mal. On se serrait tellement l'un contre l'autre, comme si on voulait se mélanger, se fondre l'un dans l'autre. Je sentais son dispositif de chasteté contre moi, contre mon ventre, c'était étrange comme sensation. J'avais l'impression d'un objet étranger, un objet qui gênait. En tous cas c'est pas moi que ça devait gêner le plus. Moi ça m’excitait et je bandais encore plus.

Nos mains parcouraient le corps de l'autre, nos doigts se glissaient dans les endroits les plus intimes de l'autre, il glissait un doigts entre mes fesses, insistait sur mon petit trou du cul. Il lubrifiait son doigt et le glissait sans prévenir dans mon cul, j'aime bien ça moi ! Il y glissait ensuite deux doigts qu'il agitait rapidement contre ma prostate, je me cambrais, je me raidissais, je gémissais, rapidement c'était un plaisir intense qui montait en moi. Il me suçait en même temps. 

Quand son visage remontait vers le mien il me chevauchait. Il plaçait ses genoux de chaque côté de mon corps, juste au niveau de la base de mes côtes, en me regardant droit dans les yeux. D'une main il soulevait ma queue qui se contractait encore plus à chaque contacte, plaçait mon gland juste au niveau de son cul puis appuyait .

Je sentais son anus résister, puis je le sentais se détendre et enfin je sentais ma queue se glisser dans ce passage étroit, doux, chaud et humide très humide, il l'avait bien lubrifié. Pour finir je sentais ses fesses appuyer contre mon ventre. Je relevais alors par réflexe mon bassin d'un mouvement rapide et presque violent. Il gémissait, se crispait puis se laissait aller à nouveau. Il balançait alors son bassin d'avant en arrière avec un mouvement rapide, ma queue ne ressortait pas de son cul mais massait sa  prostate, déjà il faisait une grimace de plaisir.

Je soulevais mon bassin doucement au début puis rapidement et plus fermement, il se balançait sur mon ventre, ma queue bien enfoncée bien fond de son cul, à chaque mouvement je lui massais la prostate, à chaque mouvement je sentais moi aussi un massage délicieux sur mon gland. 

Nos deux souffles se synchronisaient, nos mouvements aussi. Nos bras se caressaient, il se penchait vers moi et me donnait des baisers, je sentais son souffle, il respirait aussi fort que moi. Il gémissait plus fort, de plus en plus fort, il s'était redressé et était maintenant assis de tout son poids sur ma queue, totalement empalé, c'était chaud. 

Je sentais un liquide épais qui coulait de sa cage de chasteté, je passais la main, il jutait. Il gémissait, je sentais son cul se contracter fermement, je gémissais aussi, ses genoux se serraient se refermaient contre mes côtes, je tremblais à mon tour, une giclée de sperme giclait de sa cage au moment ou je jouissais dans son cul. Nos deux corps vibraient d'une seule vibration, on se serraient de nouveau l'un contre l'autre, on ne bougeait plus. On échangeait encore quelques baisers, il était replié sur moi, je commençais lentement à débander. 

Au bout d'un long moment il se relevait, ma queue ressortait alors de son cul, un peu de mon sperme en coulait, il se laissait tomber à côté de moi. Il respirait fort encore un moment. Plus tard on se relevait, on passait sous la douche, on prenait le temps de se faire encore un petit câlin puis, épuisés nous nous mettions au lit, dans mon lit.

C'était très agréable, pour la première fois de ma vie je m'endormais avec dans les bras une garçon adorable et c'est dans ses bras que je me réveillais. Je me sentais bien, vraiment très bien. 

Le lendemain matin de la première nuit on frappait à la porte puis sans attendre la réponse la porte s'ouvrait. Blaise entrait ( c'est un valet de chambre que je connaissais bien aussi ), il poussait un chariot à roulette sur lequel il y avait le petit déjeuner. 

Blaise : Bonjour Philippe tu as passé une bonne nuit j'espère, je te laisse ton petit déjeuner sur la table ? 
Moi : Salut Blaise ! Ça va toi aujourd'hui ? ( je relevais la tête )
Blaise : Très bien Philippe merci. Si tu n'as besoin de rien je vais apporter son petit déjeuner à ton ami, on m'a dit que c'était Ludovic …

Ludovic relevait la tête …

Ludo : C'est quoi ? Il se passe quoi ?
Blaise : Ah je vois que vous êtes là aussi Monsieur Ludovic. Si vous le permettez je vais disposer votre petit déjeuner sur la table également alors … 
Moi : Ce sera parfait. 

Blaise nous laissait. Le premier matin Ludovic avait peur que sa présence dans mon lit ne fasse des histoires, que ça ne pose des problèmes. Il était vite rassuré, surtout quand il apprenait que mes deux tontons vivaient ensemble depuis des années, on le disait dans la régions, mais ils étaient mariés aussi … Quoi de plus normal ?

On ne prenait pas la peine de s'habiller pour le petit déjeuner, on partait ensuite faire un petit entraînement dans le parc, ça n'avait rien d’exceptionnel pour Ludovic, il était à l'université PK et le sport faisait partie du programme à par entière. Un peu malicieux je ne lui avait pas donné de sous vêtements, juste la tenue de training, j'avais fait de même. Bon, j’espérai voir un petit quelque chose se balancer sous le pantalon mais avec son dispositif … on ne voyait rien. J'étais un peu déçu, j'avais voulu lui faire une blague et ça ne marchait pas sauf pour moi, ma queue se balançait et ça se voyait … Je ne suis pas ridicule vous savez j'en ai une belle, mais là je me disais que j'avais un peu exagéré. C'était surtout envers Ludovic que je me disais ça, ici personne ne me faisait la moindre réflexion !

La semaine qui suivait était une semaine de rêve, je ne quittais pas Ludovic, on était toujours ensemble. Je lui offrais son baptême de l'air, j'ai une licence pour piloter des petits avions monomoteur et mes oncles ont plusieurs monomoteurs … Je lui apprenais à conduire un aéroglisseur … On allait passer une journée sur l'île du Robinson … C'est une petite île toute petite à moins d'un kilomètre de notre plage. Il y a une petite maison de trois pièce, on s'envoyait en l'air pendant tout un après midi. On faisait de la moto, de la piscine, on regardait des film. Je ne sais plus si je vous ai dit qu'il y a aussi une salle de projection qui peut recevoir jusqu'à cinquante personnes … 

Enfin ce qui est bien chez mes tontons, c'est que la maison est grande et  qu'on peut faire plein de choses. 

Mais les vacances prenaient fin trop vite. Ludovic allait repartir vers sa fac, et moi … J'allais rentrer à la maison, je téléphonais à mon grand père pour savoir un peu comment ça se passait. Il me rassurait en me disant que mon père était totalement calmé, il venait en plus de signer de très gros contrats avec des gouvernements étrangers … Ma mère était aussi intervenue pour le calmer et sa grosse colère contre moi, c'était du passé. Mon tonton Luc me proposait de me ramener à la maison en hélicoptère.Ces nouveau modèles ( que notre société produit ) ne sont pas trop bruyants et ont l'avantage d'être rapide et de se poser n'importe ou. Surtout qu'on a un héliport sur le toit de la maison. 

A la maison je pouvais voir que en effet mon père était de très bonne humeur.

Moi : On dirait que tout s'est bien passé pendant mon absence papa ?
Lui : Oui fils, tu peux être fier de ton père, je viens de signer un contrat de plus de deux milliards de DI (Dollars Internationaux), uniquement pour la section électronique de la PK … De plus le dernier bilan annonce que nous devrions être environ à quinze pour cent au dessus de nos estimation initiales …
Moi : C'est cool ça !
Mon père : Cool ! C'est tout ce que tu trouves à dire ? Bon j'ai beaucoup réfléchi à toi et tout ce que tu me fait subir.
Moi : Oula il va y avoir un problème !
Mon père : Mais fils ! J'ai donc beaucoup réfléchi, j'ai dit à mon père que j'étais d'accord pour qu'il double ton actuel crédit … Ensuite il m'a dit qu'il faisait livrer ta moto … Parce que tu as une moto toi maintenant ? … ( je faisais oui de la tête ) Bon je te permets de l'utiliser quand tu sors de ton interna . Mais tout ça à une condition !
Moi : Tout ce que tu veux papa !
Mon père : Tu me promets de bien te comporter ! J'ai des amis dans la police de la ville ou est ton interna. Je serai au courant de tout et si tu n'est pas sérieux … Je te coupe tes crédits, je t’interdis de sortir de ton interna et je te confisque ta moto ! C'est clair ?

Je faisait oui de la tête en baissant la tête pour paraître plus humble tout en relevant les yeux pour faire dans le genre … Petit gars repenti !

Bon il est pas si méchant que ça mon papa, surtout quand il vient de signer un gros contrat et que le bilan de l'entreprise dépasse ses espérances … Il ne lui faut pas grand chose pour être satisfait finalement, deux petits milliards c'est tout !

Il m'autorisait à me rendre à ma fac en moto, c'est dire comment il était content, je partais la veille deux heures de route avec les pauses. Je ne vous dit pas comment j'étais accueilli par mes camarades, j'avais une super moto, on ne parlait plus que de ça pendant toute la soirée.

Luidji, mon camarade de chambre était déjà là. C'est un jeune de mon âge, il est bien foutu, je l'ai déjà vu sous la douche et je ne vous laisse deviner ce que je ferais bien avec lui. Surtout qu'on dort dans dans la même chambre... Bein oui sinon ce ne serait pas mon camarade chambre, c'est un peu idiot ce que je dis des fois.

Je me suis souvent dit qu'on pourrait gagner de la place si on dormait dans le même lit. Mais bon avec lui je ne sais pas … Je ne sais pas mais je vous jure que ça ne vient pas de moi. 

Enfin quoi c'est vrai. Mon papa est à moitié homophobe, et il m'envoie dans une école privée, dans un interna ou il n'y a que des garçons. Il s'imagine quoi ? A notre âge ! On est dopé à la testostérone à dix sept ans ! En plus il y a des douches collectives, des opportunités tous les jours … Je viens d'y goûter et je peux vous garantir que je ne vais pas en rester là ! 



EP 07 : SEIZE ANS



J'étais très excité pendant la première nuit. C'était la première fois depuis une semaine que je dormais en présence d'une garçon de mon âge sans le tripoter, sans qu'il ne me suce et sans que je ne l'encule !

J'avais envie de lui sauter dessus, de l'embrasser, de le caresser, de lui sucer la queue … Il ne porte pas de dispositif de chasteté en plus, avec un peu de chance c'est lui qui pourrait m'enculer. Je sais qu'il ne porte pas de dispositif parce que je l'ai souvent vu sous la douche, mais pas que comme vous allez le voir. Le plus dur pour moi sous la douche c'est de ne pas bander … Parfois j'y arrive !

Plus du tiers des étudiants n'a pas ce problème. Il y a déjà plus du tiers des élèves qui portent un tel dispositif. Avant l'âge de seize ans c'est interdit par les lois internationales mais ici les étudiants on une moyenne d'âge de dix sept ans … Eh, éh, éh … Moi je viens juste d'avoir dix sept ans … Et je ne porte pas de dispositif de chasteté !

Oui je sais ça a un peu surpris le fais que je ne porte pas le dispositif PK, c'est ma famille qui les fabrique et les commercialise. Tout le monde pensait que je serais le premier à montrer l'exemple, que le jour de mes seize ans je porterais un tel dispositif. Normal non ?

C'est bien ce qui a failli se passer, le jour de mes seize ans, mon père m'a fait venir dans son bureau. Il m'avait dit : '' Après ta séance de sport tu te prends une douche et je te veux tout propre dans mon bureau !''.

Il avait dit ça sur un ton sympathique ( ça m'avait fait peur ), ça voulait donc dire que tout allait bien et quand tout va bien avec père ce n'est jamais rassurant. Je ne savais pas ce qu'il me voulait, je prenais  mon temps et j'arrivais dans son bureau tout beau, tout propre, en costume comme si nous allions sortir pour un rendez vous important.

Il y avait un employé que je ne connaissais pas dans son bureau, un agent de la PK. On les reconnais bien ceux là, ils portent un petit badge genre Pin's. Dans ma tête je me disais … '' Qui c'est ce type ? Il veut quoi ? ''.

Mon père commençait …

Mon père : Fils j'ai une grande nouvelle, tu viens d'avoir tes seize ans aussi il faut marquer l'événement. 
Moi : ( dans ma tête ) Ouai ! Je sais pas si je dois me méfier ou … 
M P : Tu m'as dit que tu voulais passer ta licence de pilote d'avion monomoteur. Il faut avoir seize ans pour ça !
Moi : Oué ! C'est génial !
M P : Tu as aussi l'âge pour passer ton permis moto première catégorie .
Moi : Aussi ! Papa tu es génial !
M P : Il y aura aussi quelques cadeaux que nous te donnerons, ta mère et moi. Nous avons décidé d'organiser une petite fête, tu seras même autorisé à inviter quelques amis que nous avons choisis.
Moi : Cool ! ( là je n'étais plus vraiment convaincu )
M P : Maintenant tu pourrais baisser ton pantalon !
Moi : Qué ?
M P : Ton pantalon !
Moi : G … 
M P : Baisse ton pantalon, ce n'était pas une requête.
Moi : Mais pourquoi ?
M P : Tu viens d'avoir tes seize ans, à partir d'aujourd'hui tu vas porter un dispositif PK en titane … Il me semble que c'était prévu de longue datte.

La je restais sans voix. 

Moi : Mais papa, je ne veux pas porter ce genre de truc moi !
M P : Allons ne fait pas l'enfant, tout le monde en porte un ici. Tu es le seul à ne  pas suivre cette règle.
Moi : Mais papa !
M P : Ne m'oblige pas à hausser le ton Philippe, baisse ton pantalon immédiatement !

Il avait depuis le début une ton très monotone, il ne parlait pas fort, il ne haussait pas le ton justement. Mon père à l'habitude d'être obéi sans discussion et si je n'avais pas été son fils j'aurais soit déjà obtempéré soit déjà été licencié. Je discernais toutefois un certain agacement qui laissait présager le pire … Avec mon père, quand on lui résiste, c'est au pire qu'il faut s'attendre.

L'agent de la PK ne parvenait plus à dissimuler une certain embarra, il avait une petite mallette sur  les genoux et agitais ses talons de haut en bas en appuyant sur la pointe de ses pieds.

Mon père levait les yeux, son regard directe me mettait mal à l'aise.

M P : Philippe je te laisse le choix. Sois tu fais ce que je te demande sans que j'ai besoin de le répéter un fois de plus soit je t'inscrit dans l'école militaire qui est en contrat avec la PK.

Là je devenais tout pâle. C'est un truc de fou ... il parait ! Tous les élèves portent un dispositif jusqu'à leur majorité minimum ... il paraît ! Et même que de toutes façons s'il n'en portaient pas il n'auraient même pas envie de se branler, l’entraînement est tel que tu n'as pas envie de bander le soir ... il paraît ! Tu es trop fatigué ... il paraît ! En plus tu n'as pas une seconde pour toi ... il paraît ! On ne te laisse pas un instant tranquille ... il paraît ! Tu en ressors transformé … Pour ne pas dire déformé !

Oui je sais … Il paraît !

Mais il paraît tellement que ça fout la trouille. En tous cas moi j'avais la trouille. Timidement j'ouvrais mon pantalon, j'étais comme en état second, je ne me rendais plus vraiment compte de ce que je faisais à ce moment … J'avais le pantalon sur les genoux.

L'agent de la PK ouvrait sa mallette, il en sortait un dispositif PK en titane. Je regardais ça sans plus réagir, dans ma tête tout semblait flou, tout semblait se passer au ralenti. C'était pour moi une grande angoisse à ce moment.

D'un geste très professionnel il passait un anneau autour de mon sexe, un cock ring, le refermait, s'assurait qu'il était parfaitement ajusté. Je regardais ça mais je ne réagissais même pas. Glissait un gant, une sorte de préservatif épais, autour de ma bite. 

J'en menais pas large et je peux vous garantir que je ne bandais pas à ce moment.

Ensuite il glissait ma bite dans la cage laissant dépasser l'extrémité de cette capote à l'extrémité de la cage à bite.

C'est une sorte de léger gémissement ou de plainte que j'ai poussé à ce moment mais personne n'a fait de commentaire. Je l'ai peut être seulement pensé, imaginé. J'avais envie de pleurer à cet instant et en fait je pleurais mais sans rien montrer, intérieurement je pleurais.

Ensuite l'employé de la PK enclenchait la cage sur le cock ring, ça faisait clic, il tirait alors sur l'extrémité de la capote  qui se dégageait entraînant ma queue qui se mettait alors bien en place. Sur le dessus du dispositif il y avait un petit trou circulaire de six ou sept millimètre de diamètre et un peu moins de profondeur. Il y déposait une sorte de disque qui s'ajustait parfaitement, un nouveau clic. C'était verrouillé, je n'avais pas bandé, je restais là à regarder le truc. J'avais envie de pleurer.

M P : Bien ! Tu peux disposer maintenant Philippe !

Je ne disais plus rien, je faisais la gueule, je remontais mon pantalon et sans les regarder je sortais du bureau de mon père.

Voilà, ça c'était il y a un an, c'était mon anniversaire précédent. Je ne l'ai pas vraiment bien vécu. J'ai pas aimé quoi !

Le lendemain mes parents avaient organisé une petite fête, comme je n'avais invité personne, on avait invité en mon nom tous mes meilleurs amis ( j'en connaissais bien quelques uns mais la plus grande partie ne me disaient rien ), il y avait aussi des filles. C'était rien d'autre qu'un troupeau de courtisans, ils passaient tout les une après les autres pour me saluer ou me féliciter. Vous avez sans doute remarqué certains jeunes, et moins jeunes, qui portent un petit pin's en forme de clé, de cadenas et je ne sais quoi encore … Dessus c'est marqué '' PK Wearer '' . C'est la marque des porteurs du dispositif. Tous les garçons invités en portaient un, tous portaient un dispositif de chasteté.

Mon père m'en a offert un en or avec un diamant dessus et le texte était gravé en platine … Un objet de très grande valeur … Je l'ai toujours et je le porte maintenant que représente mon petit fils au conseil d'administration. Mais à cette époque … J'ai pas aimé !

Au début de la fête, mon père m'avait invité à m'amuser et à ne pas faire la gueule.

Mon Père : Maintenant tu es officiellement intronisé comme mon successeur. Maintenant tu es l'héritier ! Tu vas me faire honneur, saluer tous tes invités, faire bonne figure, te montrer comme un hôte accueillant et souriant !
Moi : Mais papa je ne connais personne !
M P : Et bien apprend à les connaître ! Quand tu seras à ma place au sommet de la hiérarchie, seul maître de la plus grosse et plus riche société de la planète tu rencontreras souvent des gens que tu ne connais pas ou que tu as oublié. Tu les traites tous comme si chacun était ton meilleur ami ! C'est pas compliqué ! Ne me fais pas regretter tout ce que je fais pour toi !

Là, c'était pas la peine de répondre … Je me suis fait chier tout l'après midi. En fait ils n'avaient rien à me dire, il me courtisaient, j'étais le futur boss et leurs parents étaient tous des hauts cadres de la PK. La maison se vidait vers la fin de l'après midi, après une telle fête pendant laquelle on avait bien mangé, moi j'avais rien mangé, j'avais un nœud au ventre, j'étais dispensé du souper (si je le voulais ) et ça tombait bien, je n'aurais rien pu avaler !

On m'avait offert un nouvel ordinateur, un truc incroyable très léger, très puissant, très cher, mais son système d'exploitation était trafiqué et on ne pouvait pas installer de jeux ! J'avais reçu une nouvelle montre de grande marque et de grand luxe. Quelques vêtements dont deux costumes à plus de huit mille DI chacun … Rien d'intéressant donc !

Je me repliais dans ma chambre, je n'avais pas faim. J'avais joué mon rôle et mon père était ravis. Vous avez remarqué qu'il n'est pas difficile … Si on fait  exactement ce qu'il demande ou s'il gagne deux milliards et il est content. 

Pendant tout l'après midi j'avais ressenti mon truc, ma queue coincée dans cette cage. Je bandais, j'ai bandé tout l'après midi. C'est vrai que ça ne fait pas mal, mais j'aime pas ! Le soir après ma douche je regardais le dispositif de plus prêt, il n'y avait pas de petite fente pour glisser la clée, mais ça s'ouvre comment ce truc ? Et puis j'ai mal dormi cette nuit là.

Le lendemain très tôt j'entendais la voix de mon Papy, j'étais fou de joie, je sautais de mon lit en criant '' Ouéééé ! '', j'avais oublié le dispositif que je portais depuis la veille. Il me revenait en tête sitôt hors du lit, je dors toujours à poil, c'est plus confortable, et là je me disais '' Peuuuuh !''. 

Mais Papy était là ! C'était déjà une bonne chose ! Je m'habillait en quelques secondes et sortait de ma chambre comme une furie, je croisait un valet de chambre qui montait mon petit déjeuner !

Moi : J'ai entendu la voix de mon Papy !
Le valet : Il était là il y a une seconde, mais il n'a pas osé vous réveiller Monsieur Philippe !
Moi : Il n'est pas parti ?
Le valet : Non il prend son petit déjeuner avec votre père dans la petite salle à manger. 
Moi : Je vais faire pareil … 

Je descendais alors les marches deux par deux et j'arrivais un peu essoufflé à la salle à manger. Il était là avec mon père et ma mère ! J'embrassais tout le monde avec peut être un peu plus de tendresse pour mon Papy. Je l'aime bien mon grand père, il est cool ( surtout avec moi ). Ma mère était ravie de me voir arriver avec le sourire, mon père était fier.

Mon Père : Et voilà donc papa notre nouveau futur directeur. 
Grand Père : C'est peut être un peu prématuré ! Tu ne crois pas Antoine ?
Mon Père : Mais il a accepté de porter le dispositif hier, le jour même de son anniversaire. Tu peux me croire papa, je suis très fier de lui !
Grand Père : Il a accepté ? Tu as vraiment accepté Philippe ?
Moi : Peuh : Pas trop le choix !
Grand Père : Ne me dis pas Antoine que tu l'y a contraint ?
Mon Père : Mais bien sûr que non voyons ! Je l'ai encouragé c'est tout. N'est-ce pas Philippe ?
Moi : Pffff !
Grand Père : Nous verrons ça plus tard, j'espère que tu ne t'opposeras pas à ce que j’emmène mon petit fils avec moi pendant ses vacances.
Mon Père : Bien sûr que non papa et ou va-tu l'emmener passer ces vacances ?
Grand Père : Chez mon frère. Ses deux tontons ne le voient pas souvent et s'en plaignent régulièrement !
Mon Père : Ses tantes tu veux dire !
Grand Père : ANTOINE ! Je te conseille de marquer un peu plus de respect pour la famille sinon je te jure que tu ne vas pas tarder à voir que tu n'as pas encore passer l'âge de te prendre une gifle !

A cet instant mon Grand Père avait l'air furieux et je ne doutais pas un instant qu'il était capable de mettre une gifle à mon père, son fils ! Mon père ne disait plus rien il piquait du nez dans son café, ma mère semblait très mal à l'aise. Pas de doute, dans cette famille comme dans la société PK le directeur c'est mon père mais le big-boss c'est toujours mon grand père !

L'ambiance était plombée ! Plus personne ne parlait. Je terminais rapidement mon chocolat pour pouvoir remonter dans ma chambre en leur disant … '' Je vais me préparer ''.

Grand Père : C'est pas la peine de prendre de bagage, tu sais qu'il y a tout ce qu'il te faut chez tes oncles …

Il regardait mon père en prononçant ce dernier mot ! Et puis c'est vrai quoi, il abuse tout de même … Mes deux tonton Luc et Bob, ils sont mariés tout de même ! Je montais, je m'habillais et je ne prenais donc que l'essentiel … Mon téléphone cellulaire !

Un peu plus tard, j'avais du mal à cacher ma joie, et je courais dans tous les sens, je disais au revoir à mon père ( qui avait un sourire un peu coincé ) ma mère qui avait l'air navrée ( ? ) faut pas chercher !

Je sortais de la maison en courant et me retrouvais devant une voiture banale, mon grand père arrivait peu après.

Moi : Mais ta voiture n'est pas là Papy ta voiture est pas là t'es pas venu à pied et ne me dis pas que tu es venu dans cette caisse à savon elle est ou ta voiture Grand Père on va y aller comment chez mes tontons ils habitent à plus de quatre cent kilomètres on va pas y aller à pied et moi je fait pas toute cette route dans ce truc . 

Ouai j'étais enthousiaste. La caisse à savon c'était une voiture allemande de très belle classe mais c'est que je m'attendais à mieux moi !

Grand Père : Mais non on ne va pas y aller à pied, mais je suis venu en hélicoptère, c'est un nouveau modèle très confortable produit par notre section aéronautique. Ça c'est juste pour aller à l'héliport … 
Moi : Cool !

Il nous fallait moins de deux heures pour faire la route et je confirme que ce nouvel appareil était très confortable et très silencieux. J'en profitais pour raconter à mon Grand Père comment ça s'était passé avec mon père. Ça ne lui plaisait pas. Il faut dire que mon grand père m'a toujours dit que je ne serais pas obligé de porter un tel dispositif si je ne le voulais pas. 

Chez mes oncles il y avait un vieil ami à mon Grand Père … Antoine ! Il était là avec mon Grand Père à l'origine du développement de la PK et je crois même que c'était eux deux qui avaient imaginé le nom PK Compagnie. On parlait longuement de mes mésaventures, et à la fin du repas …

Antoine : Tu veux qu'on te l'enlève ton truc mon petit bonhomme ?
Moi : Oui mais c'est une serrure spéciale ! Il n'y a pas de clé !
Antoine : Le modèle clé électromagnétique à réponse active ?
Moi : Euuuuuh ! Mais c'est inviolable !
Antoine : Tu crois ça bonhomme, à ton avis qui l'a inventé ?

Les trois autres rigolaient à l'entendre et à voir mon visage incrédule. Antoine montait dans sa chambre, en redescendait quelques instants plus tard avec un petit boîtier qui tenait largement dans la main. Il positionnait ce boîtier devant ma braguette, un voyant vert s'allumait puis un second et quand le cinquième s'allumait je sentais comme une vibration. Je glissais alors ma main dans mon pantalon et en ressortait le petit disque qui faisait office de serrure. Ça semblait tellement simple !

J'étais content je ne vous dis pas. Sous la douche ce soir là je me suis vengé, le laissais l'eau couler sur moi, et je bandais, ça fait du bien de bander comme ça pour le plaisir, surtout que j'avais bien cru que ça ne se reproduirait pas avant un long moment. Je savonnais abondamment mes parties intimes en prenant bien le temps de masser ma queue, encore et encore. 

J'insistais sur mon gland le caressant bien avec les doigts, en refermant bien ma main autour. Ce n'était plus vraiment une caresse mais avec le savon ça glissait et c'était bon. Je m'arrêtais quand je commençais à frissonner. 

Ensuite je prenais ma queue fermement serrée dans la main, avec la paume de l'autre main je frottais mon gland toujours bien lubrifié avec du savon. Je tremblais, par moment j'avais envie de jouir mais je retardais. Quand je commençais à frémir de nouveau je lâchais tout mais je respirais fort. 

Je faisais durer ce jeux jusqu'à ma limite de résistance, je sentais le plaisir monter de plus en plus fort, jusqu'au moment ou je ne contrôlais plus rien. Je lâchais tout mais j'avais franchi la limite de non retour. Mon cœur battait fort, ma respiration elle aussi ne faiblissait pas. Le plaisir montait, je regardais ma queue, je ne touchais plus à rien mais j'éjaculais avec force, je crachais ma sauce … C'était terriblement bon … J'avais tout de même été abstinent pendant plus d'une journée entière ! D'habitude je me branle au moins une fois par jour !

Un peu plus tard je remettais ça, j'étais dans la baignoire, je me massais l'anus avec toujours une bonne dose de savon. Je passais et repassais mon doigt sur l'orifice de mon petit cul, j'insistais de plus en plus fort. J'avais un peu peur, je ne m'étais jamais encore introduit un doigts dans le cul. J'avais bien vu une photo ( ou deux ... mais pas beaucoup plus ) sur internet mais rien de plus ( j'vous jure ! ). J'y allais doucement puis, le cul bien lubrifié, je glissais un doigt et là en un instant le plaisir montait, j'éjaculais de nouveau, c'était intense et inattendu. C'était tellement bon, je me disais que ça vaudrait la peine de recommencer ça dans l'avenir …

Je me branlais encore une troisième et dernière fois avant de me sécher et de me diriger vers mon lit. Je me sentais bien et c'est à ce moment que je remarquais les colis surprise sur la table de mon salon ( bien oui il y a un coin salon dans ma chambre chez mes tontons ). Je me jetais dessus, il y avait des fringues. Chez moi aussi j'ai reçu des fringues mais là elles étaient plus rock-n-roll, des jeans, plusieurs tenus de sport, normal je fais plusieurs sports, un blouson à la mode. Un ordinateur, le même que mon père m'avait offert mais il y avait des jeux dans celui là et un abonnement pour en télécharger d'autres. Une console portable et le dernier téléphone à la mode et pour finir un drone avec caméra HD .

Je préfère tout de même mon anniversaire chez mes tontons moi !



EP 08 : LUIDJI



Tout ça c'était il y a un an. Par la suite ça avait discuté dur entre mon père et mon grand père. L'un considérait qu'à seize ans je devais faire comme tout le monde ! Comme tout le monde ? Comme lui, c'est tout ! L'autre considérait que chacun avait le droit de faire son propre choix. 

Mon père avait fait ce choix avant l'âge de seize ans, en fait on ne sait pas vraiment. Mon grand père n'a jamais pu me renseigner sur ce point. Quelques temps avant ses seize ans, mon père à officiellement déclaré qu'il avait décidé de porter un dispositif de chasteté, il en réclamait un en titane, il portait déjà un modèle '' Porcelaine '' depuis on ne savait pas combien de temps.

Je vous rassure, '' Porcelaine '', ce n'est pas de la porcelaine, ça n'a rien à voir avec la céramique ou la terre cuite. C'est juste l'aspect de l'objet qui lui a valu ce nom commercial. J'en ai déjà vu et c'est vrai que l'objet est très beau, il est doux, lisse et très dur mais il ne casse pas. Il est fabriqué en un matériaux synthétique tellement lisse qu'il ne peut même pas être humide, l'eau n'adhère pas sur ce genre matériaux . C'est assez étonnant, et le fils du directeur de la PK n'a aucun problème pour s'en procurer un, même à l'âge de quinze ans ou moins.

Mon père n'a jamais abordé ce sujet avec moi et à ma connaissance ni avec qui que ce soit ! Je ne vous dis pas, ils sont tous fous dans la famille ! Mais ça c'est pas pour moi. On ne parlerait pas d'entrée en fac avant encore deux ans, j'avais donc du temps pour trouver une solution à cette situation. Pour pouvoir prendre la direction de la PK il faut porter à plein temps un dispositif de chasteté. Ça c'est clair, on n'a pas le choix ! Mais c'est que moi je ne voulais pas prendre la direction de ce truc !

Le problème ne devrait pas se poser. Dans ma tête je me faisais mon projet de vie : '' Je termine mon premier cycle, je rentre dans une fac quelconque, je ne fais pas de gestion, de droit commercial et toutes ces conneries qui ne m'intéressent pas. Je ne prends pas la direction de l'entreprise, elle peut très bien se passer de moi ! Moi je m'intéresse à des trucs plus poétiques. Je passe des heures au musée, et je vous jure que c'est pas parce que le musée est juste à côté de l'interna des filles ! J'ai des copains qui eux y vont pour ça, mais pas moi ! ''

Je voulais faire les beaux arts, ou une école de ce genre. Mais je suis sûr que ça ne pouvait que coincer avec mon père un tel projet. Du côté de mon grand père je savais qu'il n'y aurait aucun problème. Il est cool mon grand père, je sais je me répète. Lui il serait d'accord, et je sais que j'aurais un soutiens total de sa part. Si je ne dirige pas la PK, selon des règles instaurées de longues dattes je perdrais une grande partie des revenus et du pouvoir que donne le poste de président. Mais je m'en fou moi, j'aurais droit à une rente à vie et ça me suffit largement … 

Franchement être riche ça devrait servir à être libre ! Pour moi, dans cette famille de cinglés, c'est tout le contraire !

Décidément la nuit était longue, cette première nuit de retour dans mon interna n'en finissait pas ! Je n'arrivais pas à dormir. Rien à faire, je me tournais, me retournais, les volets étaient ouverts et une faible lumière éclairait la chambre, on pouvait s'y déplacer sans risque de se cogner quelque part. 

Si je me retournais contre le mur j'avais devant moi les photos que j'avais accroché au dessus de mon lit. Dans la pénombre ces images ne ressemblaient plus à rien. Sur le ventre je devais retourner la tête dans un sens puis dans l'autre. C'est un coup à attraper un torticolis ça. Sur le dos, j'allais m'endormir enfin … Mais je poussais un ronflement qui me réveillait. 

Si je me retournais le dos contre le mur, je pouvais voir la chambre mais là c'était pas mieux ! En face de moi il y avait Luidji. Lui il dormait bien, je le regardais longuement, je voyais son bras qui ressortais par dessus la couverture, je devinais son visage. Il est mignon Luidji ! Il dors à poil et au moment ou il se retournais contre le mur, il soulevait sa couverture et je voyais ses fesses. Ma bite réagissait instantanément, je bandais. C'est pas comme ça que je vais réussir à dormir moi !

Finalement je me levais et sans allumer la lumière, sortais de la chambre et me rendais dans les WC. Arrivé là je décidais de me branler tranquillement. Je crachais dans ma main et empoignait ma queue. Je me massais le gland longuement, crachais plusieurs fois dans ma main, ça glissait bien et je me provoquais rapidement de très bonnes sensations. J'étais fatigué, je ne pouvais pas dormir, j'avais pas envie de traîner. J'activais le mouvement de ma main, je ne voulais pas faire durer le plaisir mais ça ne venait pas. 

Je ne laissais pas tomber, je savais que si je revenais dans mon lit dans cet état, ce serait pire. Dans ma tête j'imaginais Luidji à côté de moi, je l'imaginais en train de se branler. On se faisait un concours de branlette. J'en ai toujours rêvé ! Cet espèce de branleur me lançait un défi, chacun branlait l'autre et on arrêtait au premier qui crachait la sauce. Là on arrêtait tout et le perdant restait sur sa faim. Frustré un peu comme s'il portait un dispositif de chasteté.

Quand je pense que près d'un tiers des élèves portent déjà un tel dispositif. Il n'y a pas que dans ma famille qu'ils sont fous.

Luidji crachait plusieurs fois dans sa main, et resserrait sa main quand elle passait sur mon gland, je frémissais, je tremblais. J'en faisais de même mais lui ne semblait pas réagir autant que moi.  Je crachais de nouveau dans ma main et lui astiquait la queue avec force, vigueur, je refermais aussi ma main sur sa queue. Il poussait quelques cris de plaisir et de surprise. J'avais l'impression de gagner, bon d'accord à ce jeux, qui perd gagne. Bein oui si tu arrives à faire juter ton camarade, tu as gagné mais c'est lui qui a du plaisir et toi tu reste sur ta faim. Finalement c'est un peu con ce jeux ! 

Mais c'est pas une raison pour tricher, le but c'est de gagner et à entendre les bruits qu'il faisait j'avais bien l'impression que j'allais gagner. A ce moment je ne sais pas ce qui s'est passé … Enfin si je sais, j'étais tout seul dans les toilettes, je me branlais et ce qui devait arriver arrivait. Je jutais, je respirais fort, c'était cool, je respirais fort, je ne me retenais pas, j'étais tout seul alors …

Finalement c'est comme si j'avais perdu. J'avais éjaculé et c'est Luidji qui serait frustré … C'est bien ça comme jeu ? Un peu plus tard je revenais dans ma chambre. Luidji avait bougé pendant son sommeil, maintenant il était sur le dos, je pouvais admirer son torse, il est vraiment bien foutu mon pote Luidji. Il avait repoussé sa couverture et dévoilait son sexe. Il est bien monté aussi, il bandait. 

Je ne vous dis pas mais, j'avais un mal fou à me retenir. Je me voyais à genoux devant lui, je lui caressais la queue avec douceur. On n'est plus dans un concours là. Et comme c'est lui qui a gagné il me semble inutile de le frustrer plus longtemps. Je lui aurais pris la queue dans ma bouche, je devinais la douceur de sa peau. J'avais une envie folle de lui pincer doucement les tétons. Il dirait quoi si je le faisais pour de vrai ?

Je restais là quelques instants encore à le regarder, enfin je devrais plutôt dire à l'admirer, ensuite je me résignais et me couchais à nouveau. Je peux vous garantir que là, je ne me retournais pas contre le mur. Je pouvais voir le corps sublime de mon colocataire et j'en profitais, je me rinçais l’œil ! Un peu plus tard il se retournait de nouveau, il me tournait le dos et d'un mouvement du bras se recouvrait avec sa couverture … Pfff ! 

Finalement c'est nul le jeu que j'ai imaginé. C'est moi qui ai joui et c'est moi qui suis frustré ! Pfff ! Je ne m'endormais pas avant une heure du matin, on se levait à cinq, la nuit était courte pour moi.

Et il remettait ça cet espèce d'enfoiré, il se levait, il était en forme, je veux dire par là que … Ouai , il jouait encore les allumeurs, il bandait quant il sortait du lit. On dirait qu'il le fait exprès !

Moi : Tu as l'air en forme toi ce matin !
Luidji : Tu as vu ça ! Pas toi ? Tu n'est pas en forme quand tu descend du lit toi ?

Je me levais, j'étais pareil ! Oui, mais moi je portais un pantalon de pyjama, pas de sous vêtement bien sûr, c'était pas discret.

Rapidement il n'avait plus qu'une grosse molle qui pendait et se balançait devant lui. Quand je pense qu'il me faisait le coup depuis six mois. Je ne sais pas comment j'ai fait pour tenir jusque là. Maintenant que j'y ai goûté je sens que je vais avoir plus de mal pour tenir sans essayer de l'embrasser et de le toucher … Il contrôle bien ses érections mon colocataire, je l'ai souvent vu avec une grosse molle  sous la douche mais jamais plus. Par contre le matin, ça ne loupe presque jamais. Quand il sort du lit il bande !

Je me rinçais l’œil depuis le début de l'année scolaire, finalement ça ne fait pas mal aux yeux, il n'est pas seulement bien foutu, il est super bien monté. Par contre c'est frustrant parce que … On n'a pas le droit de toucher !

Il exagère un peu quand même, pour l’entraînement le matin il ne met pas de sous vêtement. Avec la taille de sa bite, la légèreté du vêtement de sport, on devine qu'il y a du matériel. Moi je n'ose pas, je ne suis pas sûr de pouvoir contrôler mes érections. Je ne vous dis pas la honte si … Enfin bref, je me rinçais l’œil dès le premier entraînement du matin, on continue ensuite sous la douche. Quand on arrive au réfectoire, tout propre et bien habillé j'ai déjà la tête en feu et en plus il faudrait que je me concentre pendant les cours ! 

Là non je ne peux plus moi, là je sature. Le dernier trimestre passait comme ça. 

Je rêvais de Luidji tout le temps. Je l'imaginais se lever une nuit, me regarder, moi je dormais du sommeil du juste, j'avais rien fait. En tout cas j'avais rien fait pour l'exciter comme lui le faisait tout les matins. Il bandait, sa grosse queue se relevait contre son ventre. Ses yeux encore noyés dans les brumes du sommeil, les cheveux en pagaille. Il se grattait les cheveux, il se caressait la queue. Il regardait dans ma direction et se caressait encore la queue qui gonflait encore un peu plus, elle devenait dure comme du bois. 

Moi je ne me rendais compte de rien. Je dormais je ronflait peut être même, enfin je dis ça mais je ne ronfle pas moi. C'est très mal élevé de ronfler à mon âge !

Il me regardait, il passait sa langue sur ses lèvres, s'approchait de moi, il était à genoux à côté de mon lit. Il n'osait pas aller plus loin, ou alors il prenait son temps. Tout doucement il soulevait le léger draps qui me recouvrait, dans mon rêve je n'avait pas de couverture. Avec d'extrêmes précautions pour ne pas me réveiller, il glissait une main sous mon drap et déjà ressentais la chaleur de mon corps. Il retournait la main et c'est avec le dessus de ses doigts qu'il me frôlait la peau. C'était sur ma hanche, je ne réagissais pas tout de suite, juste au dessus de mon bassin. 

Rapidement il posait la paume de sa main sur le bas de mon ventre, et glissait ses doigts vers le haut de ma cuisse. A l'intérieur de la cuisse. Avant cet instant je n'aurais jamais pu imaginé combien il était doux mon colocataire avec ses allures de macho. Il ne me réveillait pas mais je réagissais, je me détendais, d'un mouvement qui allait de la tête jusqu'au bout de mes pieds, j'enfonçais ma tête dans mon oreiller, soulevais une épaule puis l'autre, soulevais légèrement mon dos, mes fesses, étirait bien les jambes et me retrouvais encore plus détendu sur le dos. Un grand soupir suivait puis un léger ronronnement ? Je ne ronfle pas je vous dis ! Je bandais !

Je bandais oui, je bandais ferme. Il avait senti ma queue grossir puis se relever avant de devenir toute dure, relevée plaquée contre mon ventre. 

Il glissait alors sa main sur mon ventre entre ma queue et mon ventre. Je ronronnais un peu plus fort mais à peine … Parfaitement, je ronronnais ! … Avec son autre main il me caressait le torse, il insistait surtout sur mon torse, sur mes tétons. Je passais ma main sur son bras, je sentais ma queue dure comme du bois, mes tétons qui se durcissaient aussi. J'ouvrais enfin les yeux !

Je baissais les yeux vers son visage, il me souriais, je lui souriais. Sans rien dire il approchait son visage vers mon ventre et prenait ma queue dans sa bouche. C'était génial, je sentais sa langue qui se promenait sur mon gland puis ses lèvres qui me caressaient la queue. Je la sentais s'enfoncer lentement jusqu'au fond de sa gorge. C'était chaud, c'était doux, c'était humide, c'était comme une caresse, c'était bien mieux qu'une caresse. 

Il passait sa main sur l'intérieur de ma cuisse, puis la remontait vers mes couilles, il me massait doucement les couilles. Je passais une main sur ses cheveux. Il passait son autre main sur mon torse, avec mon autre main je lui caressais le bras. 

Je descendais un main sur son dos, je profitais de la douceur de sa peau, de ses épaules, j'appuyais doucement sa tête et je sentais ma queue au fond de sa gorge, je respirais plus fort soudainement. Je le laissais faire, je laissais retomber ma tête sur mon oreiller, je gémissais … ( Ça va là ? J'ai pas le droit de ronfler mais j'ai le droit de gémir au moins ? ).

Il me suçait avec science, on m'avait récemment montré comment il fallait faire et il s'y prenait aussi bien que cet homme superbe dans le bordel l'autre jour. C'était pas la première fois et je me demandais pourquoi il avait fallu attendre six mois pour qu'on y vienne. Si j'avais su ça plus tôt on aurait gagné de la place dans cette chambre. On n'aurait gardé qu'un seul lit …

J'étais bien réveillé maintenant, je relevais le tronc et me mettais en position assise. Avec mes deux mains je lui caressais le dos, une main descendais jusqu'à ses fesses. Son corps était encore plus doux que je ne l'avais imaginé. Il avalait ma queue bien à fond, je me retenais, je voulais faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Il avait l'air de vouloir prendre son temps lui aussi. 

Il relevait la tête, on se prenait dans les bras, on s'embrassait avec passion. J'avais goûte à douceur de sa peau, je pouvais enfin goûter à la douceur de ses lèvres. Je goûtais aussi à la chaleur de sa peau contre la mienne, il s'allongeait sur moi et me couvrait de baisers. On roulait l'un sur l'autre. Avec ma bouche je parcourais son corps, j'embrassais chaque partie de peau qui passait à la portée de me lèvres.

Quand j'arrivais à sa queue, je faisais une pause, j'admirais la chose, il était bien foutu. Je l'avais souvent vu en forme, en érection comme en ce moment mais là j'avais le droit de toucher et plus même. Je me demandais seulement si c'est moi ou lui qui allait se faire enculer. Il en avait une grosse tout de même et je ne m'en étais jamais pris une pareil dans le cul … Il faut dire aussi que je débute dans la luxure moi !

J'ouvrais bien ma bouche, tirait la langue vers son gland, j'allais enfin y goûter quand j'entendais une voix forte …

… MR BROSSO S'IL VOUS PLAIT …

Je sursautais, c'était le prof de math. J'avais réussi à m'endormir pendant le cours de math …

Derrière moi Luidji me donnais une tape sur le dos de la tête en rigolant …

Luidji : Là tu fais fort bonhomme !

La classe était pliée de rire. Mais le prof lui pas vraiment . Moi je ne savais plus quoi dire ni quoi faire.

Le prof : Vous pourriez répéter ce que je viens de dire Monsieur Brosso ?
Moi : Bein ! Euh ! … Vous pouvez répéter la question ?

Là c'était la goutte d'eau. C'était des éclats de rire dans la classe. Le prof devenait tout rouge. J'avais réussi à le mettre en colère mais je vous jure que là je m'était un peu laissé aller, que ça ne s'était jamais produit avant et que ça ne s'est jamais produit depuis. Je ne savais pas ce qui m'était arrivé, j'avais honte !

… 

Ne me dites pas que vous m'avez cru là ? Alors moi je suis mort de rire ! J'étais pas vraiment un cancre mais je n'était pas vraiment non plus celui qu'on citait en exemple.

Le prof : VOUS ALLEZ TOUT DE SUITE DANS LE BUREAU DU DIRECTEUR MONSIEUR BROSSO ET VOUS NE REVENEZ QU'AVEC UN BILLET DE RETOUR !

En ronchonnant je me levais, prenais mes affaires, je dodelinais de la tête et sortais de la classe. Mes camarades rigolaient encore plus fort au moment ou je me suis levé. 

Je bandais et une fois debout on ne voyais plus que ça !

J'arrivais au bureau du directeur ou je retrouvais sa secrétaire Nadine !

Nadine : Philippe ça va ? Tu n'as pas été malade j'espère ?
Moi : Bein non Nadine, pourquoi tu voudrais que je sois malade ?
Nadine : C'est seulement la première fois qu'on te vois ici depuis le début de la semaine !
Moi : Mais c'est qu'on n'est que mardi !
Nadine : C'est vrai, tu as raison !

Elle est adorable Nadine ! 

Je m'installais, je connais parfaitement le protocole, vous imaginez bien. Il y a des sièges pour attendre de se faire engueuler. Bein ouai, je vous prends à témoin sur ce coup. Vous avez lu l'histoire et vous êtes bien d'accort avec moi, j'ai des excuses, j'ai pas bien dormi … C'est à cause de mon colocataire !

J'entrais enfin dans le bureau du directeur.

Le Directeur : Monsieur Brosso, je me demandais si vous étiez encore élève chez nous depuis le temps que je ne vous avais pas vu …

Finalement … Nadine avait raison … 

Le Dir : Alors ça va être la quarantième fois qu'on se voit dans ce bureau depuis le début de l'année. Plus d'une fois par semaine ! Alors qu'est-ce qui vous arrive  cette fois ?
Moi : Pourquoi je ne suis pas venu plus tôt vous voulez dire ? Mais comme vous le savez sans doute on n'est que mardi et les deux semaines passées on était en vacances. Mais ça me fait plaisir que vous vous inquiétiez de ma santé.  Moi aussi, vous savez, ça me fait plaisir de vous revoir !

Il soupirait longuement en se frottant les tempes et les yeux puis reprenait !

Le Dir : Monsieur Brosso je vais être obligé d'en référer à votre père cette fois. 
Moi : Non pas ça ! Monsieur le Directeur non pas ça ! Ne faites pas ça ! Il va me tuer !
Le Dir : ( Grand soupir ) Vous ne croyez pas que vous en rajoutez un peu là ? Votre père est le producteur de ces dispositifs que nous portons tous ici, enfin moi j'en porte un, et vous n'en portez même pas ! Surtout que à ce qu'on me dit ce ne serait peut être pas inutile … Il n'est pas si terrible que ça votre père !
Moi : Vous voulez vraiment lui en parler ?
Le Dir : Je n'ai plus le choix !
Moi : Bien, ( rapidement je prenais mon téléphone dans ma poche et composait le numéro ! ) . Monsieur Brosso de la part du directeur de la PKScool s'il vous plaît. 

Je tendais le téléphone à mon directeur !

Le Dir : Vous m'étonnerez toujours Mr Brosso, vous m'étonnerez toujours …

… Oui Monsieur Brosso, c'est Mr Lémir à l'appareil … Oui … Ah … Mr Brosso … Oui il s'agit bien de Mr Philippe … Bien sûr oui … Oui je comprends bien … Mais tout de même … Oui bien sûr, bien sûr, bien sûr … Mr Brosso … Je comprends bien … Je suis tout à fait d'accord avec vous … Oui Mr Brosso … Bien sûr … Vous pouvez compter sur moi … Je m'en excuse …

Il me rendait mon téléphone, me donnais le billet de retour et …

Le Dir : Vous ne me l'aviez jamais faite celle là … Vous pouvez retourner en cours !

Bein quoi ? Vous ne vous imaginez quand même pas que j'allais composé le numéro de mon père, j'ai composé celui de mon papy … Enfin quoi ! Quand je vous dis que le patron c'est mon père et que le big-boss c'est toujours mon papy !



EP 09 : YAVAIT PU D'EAU CHAUDE



Une chose est sûre, le directeur n'allait pas se vanter du coup que je venais de lui faire. Il n’appellerait pas mon père … Heureusement pour moi ! 

Quelques instants plus tard j'étais de retour dans ma classe. J'entrais et c'étaient des éclats de rire et des applaudissements qui m'accueillaient. Le prof ne cachait pas son agacement !

Le prof : Vous pouvez reprendre votre place. Vous seriez aimable de ne pas vous rendormir avant la fin de mon cours.

Il reprenait alors son cours, non sans difficultés …

J'aime bien cette école moi, d'abord elle est classe … Ensuite il n'y a que des mecs … Ça c'est cool ! C'est pour nous permettre de mieux nous concentrer, qu'ils disent ! Ça évite les distractions, qu'ils disent ! Ça évite les tentations, les pertes de temps ça aussi ils nous le disent !

Ça nous aide à nous concentrer sur notre travail, ça nous incite à mieux nous tenir … Pfffffffrrrrrr ! N'importe quoi !

Mais j'aime bien cette école quand même moi ! S'il n'y avait que des filles je pense que je me concentrerais plus facilement moi … Mais bon je préfère qu'il n'y en ait pas … Il y en a qui se comportent n'importe comment avec moi. Vous imaginez ça vous ? Je suis le meilleur parti de la planète, si il y avait des filles et qu'elles se comportent comme l'autre folle de l'autre jour là, Juliette ( Ep 4 ) … Je n'oserais plus sortir de ma chambre moi ! 

Bon si un mec me saute dessus là, je ne vais pas crier au viol, on se trouve un coin tranquille et on fait plus ample connaissance … Câlin quoi !  Mais si c'était une fille, vous vous imaginez, d’instinct je cris '' Au viol '' … Je ne le ferais même pas exprès, juste par réaction de survie … Et je passerais pour quoi moi alors ?

Bon j'aime bien cette école donc, il n'y a que des mec et un tiers d'entre eux porte un dispositif de chasteté. Ça les chatouille là ou ça les démange. Je viens de goûter à un nouveau plaisir et j'ai comme l'impression que je vais recommencer.

En tout cas c'est pas pour moi ce genre de truc. Il est absolument hors de question que je porte un jour un dispositif de chasteté moi. C'est clair, c'est décidé : JA - MÉ . Sinon je crise ! 

Tous les jours on se retrouvait, à un moment ou à un autre sous la douche. En général on y faisait un tour rapide juste après une séance de sport. Moi j'essaye toujours de me faire discret dans ce genre d'endroit. C'est pas que je suis crade … Oulala non ! Mais c'est que tout nu devant tout le monde, je vous rappelle qu'il n'y a que des mecs dans cette école, et, tout nu devant tous ces garçons musclés, bien bâtis … J'ai du mal à me contenir et le plus souvent je bande comme un malade …

C'est pas non plus que je suis ridicule, non de ce côté ça va. On porte tous une taille quatre dans ma famille, là je parle du dispositif de chasteté, enfin ceux qui en portent un, c'est à dire tout le monde sauf moi ! ( éh, éh … ) ! Non mais ça me met mal à l'aise, j'ai bien quelques tendances exhibitionnistes, tout comme mes camarades. J'ai aussi des tendance voyeuristes  ( ça se dit ça ? '' Voyeuriste '' ?) , tout comme mes camarades je suppose … Mais jouer les exhibitionnistes devant une bande de voyeurs, je trouve ça mesquin ! Oui je sais, ce que je dis est con mais j'ai des principes … Et puis de toutes façons j'ai bien le droit de dire des conneries, j'ai dis sept ans !

Je bande donc, je connais bien une solution pour calmer ce genre de réaction, et d'ailleurs je pratique au moins trois fois par jour. Ça ne marche pas si bien que ça finalement … Trois fois par jour, je vais peut être passer quatre ou cinq … En tous cas ça ne marche pas longtemps, mais bon sur le coup ça marche … Bein oui, je me branle. Je suis un branleur, normal j'ai dix sept ans !

Donc je m'arrange pour traîner un peu, j'arrive dans les douches un peu après les autres, il y a moins de truc pour me distraire, ça aide. Quand je pense qu'ils nous disent que ce seraient les filles qui nous distraient … Pfffffrrrrr ! Je peux vous garantir que si je me douche avec une fille elle ne verra jamais qu'on chausse une PK taille 4 dans la famille ! Là je ne risque pas de bander. Je ne risque pas de rester longtemps sous la douche non plus.

Sauf que ce jour là, il n'y avait personne … Je me détendais, a poil je retrouvais le sourire, enfin je ne l'avais pas perdu il me semble. Ma queue se balançait lourdement devant moi. Wouah ! A peine à poil et déjà une grosse molle … Et en plus il n'y a rien pour m'exciter … C'est vrai que j'ai pas besoin de grand chose ! Il ne faut pas que je me branle, je pourrais être surpris. Rien qu'à cette idée je bandais encore un peu plus. Surtout que !

Je ne l'avais pas vu celui-là ! Un mec, de dos, épaules larges et musclées, un tronc solide, des fesses fermes … Là je ne contrôlais plus rien ma queue se relevait à la verticale, bien plaquée contre mon ventre, mon cœur battait fort. Il se retournait, il me voyait, il écartait les bras et ne prenait pas la peine de se cacher, il portait un dispositif de chasteté.

Il avait l'air navré pour lui, j'étais ravis pour moi. Il me faisait un grand sourire, je lui répondais par un sourire également.

Lui : Moi c'est Théo, tu as vu ça ?
Moi : Oui c'est cool ! Pardon … c'est pas ce que je voulais dire !
Théo : Mes parents viennent de m'envoyer dans cette école parce que je ne travaillais pas assez bien !
Moi : Et tu crois que ça va marcher ?
Théo : J'en sais rien mais … Pfff … C'est pas drôle ça . Je ne croyais pas qu'ils oseraient !


Je bandais de plus en plus, en fait je ne pouvais pas bander plus, j'étais au maximum. C'est une façon de parler ! Ça m’excitait cette histoire vous ne pouvez pas imaginer. J'étais fasciné par son corps, en tout cas s'il ne foutait rien à l'école je peux vous garantir que ce n'était pas la cas en sport. Il était superbe. Et puis, je ne sais pas mais j'ai comme l'impression que ces dispositifs me fascinent, plus j'en vois, plus je trouve ça beau et sexy. En tout cas sur les autres. C'est pas avec ça que j'allais débander.

Théo: Vas y !
Moi : Quoi ? Vas y quoi ?
Théo : Branle toi ! Vas y branle toi ! Tu es venu là après les autres, c'est pour ça ! Vas y !

Je me sentais tétanisé, je pouvais à peine bouger mais je ne débandais pas, vous pouvez me croire. Lentement je prenait ma queue avec ma main, je l'entourais fermement et commençais à me branler. Doucement, tout doucement au début puis un peu plus fort, un peu plus rapidement. Je me savonnais bien la queue et continuait le mouvement. 

Il avait les yeux fixé sur ma bite. Avec sa langue il se caressait les lèvres, il devait baver d'envie. Ça m'excitait encore plus. Je m'arrêtais et lui lançais.

Moi : A toi !
Moi : Mais qu'est-ce que tu veux que je fasse ! 

Il devait faire exprès de ne pas me comprendre. De la main il me montrait sa cage, elle se relevait devant lui, des petits bourrelets de peau ressortaient par chaque trou destiné à l'hygiène. C'était joli à regarder, ça me chauffait la tête. De la main je lui montrait ma queue, d'un geste je lui montrait ce que j'attendais. Il comprenais vite que je voulais qu'il me masturbe, il s'approchait, il portait une taille quatre. Bien monté, bien frustré ! 

Il se plaçait juste devant moi et la prenait avec la main, il commençait à me masturber, le savon lubrifiait bien le mouvement. Au début il y allait doucement puis il y allait plus fort. Peu après il serrait sa main de toutes ses forces autour de ma queue en me regardant bien dans les yeux, il serrait de toutes ses forces. C'était pas désagréable !

On se regardait dans les yeux, il semblait me défier. Était-il jaloux de ma queue, je pouvais me branler quand je voulais moi ! J'avais une envie folle de le toucher, de caresser ses muscles.

Moi : Je parie que c'est pas en sport que tu n'était pas bon !
Théo : Regarde par toi-même !

Il me branlait fermement mais avec une certaine efficacité, il n'essayait plus de m'écraser ma queue avec sa main mais continuait à me branler avec force. Je passait ma main sur son torse. Il s'était rapproché. Il me caressait lui aussi les pectoraux et me pinçais doucement les tétons. Il s'approchait encore un peu, je sentais son souffle, j'approchais mes lèvres, il ne me repoussait pas. Je l'embrassais, il restait froid ne bronchait pas mais me rendais mon baiser, il fermait les yeux au moment ou nos deux lèvres se touchaient !

Moi : Suce moi !

Sans rien répondre, il s'accroupissait et prenait ma queue dans sa bouche. Il ne s'en sortait pas si mal, je ne sais pas si c'était la première fois, peut être ! Dans ce cas il devait y avoir pensé souvent et depuis longtemps. Il s'en sortais bien finalement et c'est un expert qui vous le dit. Enfin un expert … Pas depuis longtemps ! Comme je vous le disais un peu plus tôt je débute moi dans la débauche sexuelle.

Je lui caressais les cheveux avec douceur, il les avait très court, ça faisait  un peu brosse mais c'était agréable. De plus ce côté un peu coupe militaire ça lui allait bien. Avec un corps comme le sien il faisait penser à G I Joe. Il me plaisait à chaque seconde un peu plus. J'appuyais sur sa tête, ma queue entrait dans la bouche un peu plus à chaque fois, encore un peu plus, il finissait par avoir du mal … J'hésitais un instant puis j'appuyais encore un peu sur sa tête en lui balançant un coup de bassin … Je suis taquin quand même !

Il réagissait, là ça ne passait pas. Ma queue ne rentrait pas en entier, mais ça m'amusait beaucoup. Il se retirait, relevait les yeux : '' Vas y doucement elle est grosse ! ''. Je faisais oui de la tête mais je n'avait pas l'intention d'en tenir compte … Faut pas rêver ! 

Il reprenait je le laissais faire, il s'appliquait le gars, il devait être en manque de bite. Je lui demanderais bien depuis combien de temps il porte ce truc mais là il ne pourrait pas me répondre, il avait la bouche pleine … 

Je suis moqueur quand même ! 

Mais il s'appliquait, il y mettait du cœur, ma queue rentrait un peu plus profond que juste avant. Avec un peu d'entraînement il deviendrait un vrai suceur. Souhaitons que ses parents lui laissent ce truc sur lui le plus longtemps possible … 

Oui je sais j'abuse, moi j'en porte pas mais bon je suis un garçon serviable et s'il est en manque de queue et qu'il suce bien, je suis prêt à payer de ma personne, mais juste pour lui faire plaisir … Je suis comme ça moi !

Sans prévenir j'appuyais violemment sur sa tête et donnais un bon coup de bassin. Ma queue rentrait en entier, c'était beau à voir. Là j'aime ça moi ! Il il poussait des espèces de grognements rigolos et tentais de se dégager. Je le retenais, il forçait, je lâchais !

Théo : T'es con, elle est grosse et …
Moi : Retourne toi je vais t'enculer …
Théo : … !
Moi : Allez vas y ! Retourne toi !

Il se retournait avec hésitation, il avait pas l'air fier à cet instant !

Théo : Tu y vas doucement, elle est grosse … Et … J'ai jamais … C'est la première fois pour moi. Vas y doucement, là j'ai un peu peur !
Moi : Ne t'inquiète pas !

Il me tournait le dos, écartait les jambes et se penchait en avant. Je lui lubrifiais le cul bien à fond, j'y enfonçais deux doigts. Il couinait la gars, je ne vous dis pas mais c'était vraiment marrant de l'entendre … Pour finir je plaçais ma queue bien en position sur l'ouverture de son cul, il était étroit la gars, je devinait qu'il faudrait forcer pour que ça rentre. Je le prenais fermement par les hanches et sans plus de formalité, sans le prévenir non plus, je le tirais fermement vers moi en donnant un violent cous de rein. 

Ma bite s'enfonçait en entier, mon ventre frappait ses fesses avec force … Il hurlait ! Il n'était pas en position de force, et risquait de perdre l'équilibre, je le retenais et posais une main devant sa bouche pour le faire taire. Je l'entendais râler, et ça ne devait pas être de plaisir, il se débattait, il ne lui fallait pas longtemps avant de se dégager. Il se retournait et à voir sa tête il n'était pas content !

A ce moment on entendait du bruit, une voix.

… Il y a quelqu'un ! Mais qu'est ce qui se passe ici .

On s'était écarté l'un de l'autre et on faisait dos à la porte d'entrée. Moi je préférait ne pas trop m'exposer car je bandais toujours comme un fou. Lui il faisait la gueule et me regardait de travers. Je retournais la tête, je voyais un visage apparaître dans l'ouverture de la porte. C'était le coach !

Le coach : Tout va bien les gars ? Vous vous dépêchez , je vais bientôt fermer les douches ! 
Moi : Ok coach , on se dépêche !

Le coach repartait !

Moi : On remet ça ? J'avais pas fini moi !
Théo : Connard, tu m'as fait mal, j'avais dit doucement. Tu mériterais que je te …
Moi : Tu te venges quand tu veux, je te laisse faire, promis !
Théos : T'es con toi !
Moi : Nan ! Moi c'est Philippe !
Théo : T'es con Philippe !
Moi : On dirait que tu as joui ?
Théo : J'ai surtout eu très mal !
Moi : Mais tu as éjaculé !

Il retrouvait son calme ! 

Théo : Tu m'as fait très mal mais à un moment je ne sais pas ce qui s'est passé. En même temps j'ai éprouvé un plaisir intense, j'ai éjaculé et … Mais ça fait mal ton truc. Tu devrais le ranger !

Je bandais toujours, j'avais pas envie de me calmer, j'avais pas joui moi. On entendait encore du bruit dans les vestiaires, on y revenait, la serviette autour de la ceinture. Il y avait le gars qui s'occupe du nettoyage, je cachais mon érection comme je pouvais. Sur ce point je ne me calmais pas. Théo lui était plus à l'aise, il ne prenait pas la peine de cacher son dispositif PK, surtout qu'il ne bandait plus, son dispositif pendait mollement entre ses jambes. Je sais pas s'il avait encore mal au cul, mais il était détendu … Pas moi !

C'est nul ces trucs de chasteté, c'est lui qui le porte et c'est moi qui suis frustré ! Si jamais je trouve le mec qui fabrique ces machins à la con j'aurais deux mots à lui dire moi ! 

Bon ça va je déconne, c'est mon papa qui les fabrique et je n'oserais certainement pas lui raconter. J'aurais trop peur qu'il lui reprenne l'idée de m'en faire porter un ! Je voyais l'heure. J'étais en retard et pas qu'un peu. Je lançais un ... '' A plus Théo , la prochaine elle est pour moi '' … Puis je courais jusqu'à mon cours, j'entrais comme une furie dans la salle de classe, je voulais entrer doucement mais, trop énervé, je loupais mon coup.

Il faut dire que je bandais encore et que je me sentais frustré, mais vraiment frustré. Même pas eu le temps de me branler ! Pfff ! C'est pas une vie !

La prof : MONSIEUR BROSSO. JE SUIS HEUREUSE DE VOUS VOIR ARRIVER A MON COURS . VOUS FAITES DEMI TOUR, BUREAU DU DIRECTEUR, VOUS CONNAISSEZ LA PROCEDURE IL ME SEMBLE !

Bon elle était un peu agacée la prof. 

Moi : Mais M'dame …
La prof : Je vous écoute Monsieur Brosso. L'excuse c'est quoi aujourd'hui ?
Moi : Euh … Bééééé … Yavait pu d'eau chaud' m'dame !
La prof : DEHOR !

Toute la classe était pliée de rire, sauf la prof bien sûr … Elle, elle ne rigole jamais ! Enfin la suite on la connaît. J'arrivais au secrétariat de mon directeur …

Nadine : Bonjour, tu vas bien aujourd'hui mon petit Philippe. ( Nadine c'est la secrétaire et elle est adorable )
Moi : Bonjour Nadine, mais tu as fais quoi ? Tu es allée chez le coiffeur ! …
Nadine : Oui tu as remarqué, je suis comment ?
Moi : Tu es superbe, plus court ça te va à merveille.
Nadine : Mais toi aussi tu m'as l'air en forme, c'est la deuxième fois en deux jours …

Je prenais l'air penaud en regardant mes chaussures et en me tortillant sur moi. 

Moi : Je sais, je sais mais c'est pas ma faute !

Elle rigolait !

Nadine : Il est de mauvais poil le boss.

On entendait peu après sa voix.

… MONSIEUR BROSSO DANS MON BUREAU TOUT DE SUITE ! … 



EP 10 : THEO



Je prenais l'air penaud, c'est toujours mieux quand on va se faire engueuler. Il s'asseyait à son bureau et d'un geste me montrait le fauteuil. Il me regardait, je sentais son regard se poser sur moi. Je crois que c'est à ce moment que j'ai complètement débandé. Je regardais mes chaussures … '' Tien j'ai un lacet qui n'est pas bien fait, c'est vrai que je me suis dépêché pour sortir des douches … Il va être vexé si je refais mon lacet maintenant ? Vaut mieux, peut être, ne pas en rajouter … ''.

Le Dir : M Brosso, vous ne pouvez pas vous imaginez à quel point je serais heureux de vous recevoir ici pour vous féliciter de votre travail … Mais ça n'arrive jamais !
Moi : Il ne faut pas désespérer Monsieur le directeur, on ne sais jamais ! Un jour peut être …
Le Dir : Ça se produisait régulièrement avec votre père vous savez !
Moi : Le fayot ! ( tout bas, dans ma barbe comme on dit )
Le Dir : Pardon , vous avez dit … 
Moi : Moi, non, rien !
Le Dir : Mais si vous avez dit quelque chose !
Moi : Je l'ai pas dit fort alors, moi j'ai rien entendu !

Je l'entendais soupirer longuement, je relevais un œil et un sourcil, il levait les yeux au ciel en même temps qu'il soupirait.

Le Dir : Regardez moi quand je vous parle s'il vous plaît.

Je relevais la tête en essayant de garder un air idiot ! Ce qui n'est pas facile vu que je suis plutôt du genre futé !

Le Dir : C'est la deuxième fois qu'on se voit ici cette semaine …
Moi : Mais nous sommes déjà mercredi Monsieur le Directeur !
Le Dir : Monsieur Brosso, vous être un garçon adorable, tout le monde apprécie votre bonne humeur, vous êtes un garçon très sympathique et … 
Moi : Et vous n'êtes pas content de me voir pour autant ?

A nouveau, grand soupir, il levait les yeux au plafond et se massait les tempes …

Le Dir : Monsieur Brosso, je n'ai plus le choix je suis obligé d'en référer à votre père !
Moi : Non ! Faites pas ça ! Faites pas ça ! Il va me tuer ! C'est trop cruel ! Je suis trop jeune pour mourir !
Le Dir : Allons ne dramatisez pas, votre père n'ira pas jusque là !
Moi : Si vous voulez on peut lui téléphoner. ( je sortais mon téléphone )
Le Dir : C'est ce que je vais être obligé de faire !
Moi : Attendez Msieu le Dir.. il va vous répondre ! ( là je paniquais un peu )
Le Dir : Vous me l'avez déjà faite celle là, et pas plus tard qu'hier !
Moi : Je m'étais trompé de numéro !
Le Dir : Vous comprendrez donc pourquoi je préfère composer le numéro moi- même sur mon propre téléphone !
Moi : Bein … 
Le Dir : Rangez votre téléphone jeune homme, Nadine va vous donner un billet de retour !

Je me dirigeais vers la porte du bureau ! Là j'en menais pas large !

Le Dir : Monsieur Brosso ! ( je me retournais ) Si je ne vous revois pas de la semaine, je classe l'affaire !
Moi : Merci Monsieur le Directeur , je vous aime !
Le Dir : N'en faites pas trop Monsieur Brosso, je vous en prie, n'en faites pas trop !

Au moment ou je refermais la porte je l'entendais soupirer très fort !

Nadine : Ça c'est bien passé ?
Moi : Super seulement trois gros soupirs.
Nadine : Et tu as été condamné à …
Moi : A-a-a-vec sursis !

Je retrouvais mon cours, et l'année scolaire reprenais son rythme habituel. Il m'aimaient bien mes camarades de classe, normal je les faisais rigoler. Pour ce qui était de mes profs, c'était un peu différent … Je crois que je les agaçais … N'allez pas vous imaginer que mon statut d'héritier et de futur maître du monde les impressionnait, non, certainement pas . Ici tous les élèves était issus d'une catégorie sociale très favorisée ! 

''Mon papy roule en rolls !''. C'est pas un argument ici, essayez de sortir ça et on va vous rire au nez et vous répondre : '' Et bien mon père lui il se déplace en hélicoptère ! '' … Et paf ! Ici, la fortune n'impressionne personne ! 

Moi ce qui m'impressionne c'est quand je prend la douche, c'est les grosses bittes ! Bon, ça va, j'entends vos commentaires, vous allez me dire que que je ne pense qu'à la queue des autres … Mais ce n'est pas vrai ça je suis parfaitement capable de me focaliser sur ma propre bite … Et sur ce que je peux en faire avec le cul des autres ! 

Bon d'accord je tourne un peu en rond là ! Mais c'est vrai quoi, ça fait maintenant presque un moi que j'ai enculé Théo, enfin presque … Et depuis … Rien … Bon je me branle quatre fois par jour, quelquefois cinq, normal quoi ! J'ai goûté autre chose et c'est ce que je veux maintenant moi !

Le week-end j'avais le droit de sortir dans la journée, je devais être rentré pour les repas, il y en a un qui n'a pas respecté cette loi une fois … Pas de détails, la police était avertie, il est revenu entre deux gendarmes, viré deux semaines, et interdit de sortie pendant le reste de l'année. Bon là je savais qu'il y avait une limite à ne pas franchir. Si je fais ça moi ce sera en plus … Port obligatoire du dispositif de chasteté et vous savez ce que j'en pense. 

Je sortais donc, tous les samedis et dimanches avec ma moto. Le directeur me faisait de larges sourires quand il me croisait dans les couloirs, vous vous rendez compte que ça faisait deux semaines que je n'avais pas été envoyé dans son bureau, ma moyenne d'engueulade baissait mais j'avais évité le pire. Avec mon père je veux dire !

La fin de l'année scolaire approchait et il faisait beau, c'était un plaisir que de rouler dans la campagne et aussi sur le bord de la mer. Il y avait plusieurs plages à proximité. L'eau était un peu froide mais on pouvait se baigner si on n'était pas frileux, et moi je suis toujours en chaleur ! Je ne m'en privais pas. 

Vous avez vu comment elle est votre bite quand vous sortez de l'eau froide ( enfin pour ceux qui en ont une, les filles ça ne les concerne pas ). Elle est toute petite, moi j'aurais pu sans problème enfiler une PK taille 2 … Mais pourquoi je dis ça moi ? Il est hors de question que je porte un truc comme ça moi !

J'avais quitté la table du réfectoire dès que possible et je me présentais au secrétariat pour mon billet de sortie, il n'était pas encore ouvert. Quelques minutes plus tard Nadine arrivait ( c'est la secrétaire, elle est adorable ) elle était de permanence ce dimanche. 

Nadine : On est dimanche ne me dis pas que …
Moi : Mais non Nadine, tu as vu je fais un effort, ça va faire trois semaines qu'on ne s'est pas vu. 
Nadine : J'ai remarqué, ce n'est pas plus mal il faut dire ! Tu veux ton billet de sortie ?

Je faisais oui de la tête, elle me le donnait, j'allais vers le garage et sur le chemin je retrouvais un vieille connaissance … 

Moi : Théo, ça va toi ? Mais ça fait un moment qu'on ne s'est pas vu ?
Théo : J'avais un peu mal ou tu sais !
Moi : Quelqu'un t'a fait mal mon petit bonhomme ?
Théo : Pauv con ! Tu vas te promener ?
Moi : Ouai, j'ai une moto et toi tu fais quoi ?
Théo : Tu en as de la chance, moi j'avais pas le droit de sortir, mes résultats s'améliorent et j'ai une autorisation de sortie mais je suis à pied et je sais pas quoi faire !
Moi : Si tu veux, j'ai deux casques … Si tu n'as pas peur de te faire mal ?
Théo : Pauv con !

Bon d'accord, il m'avait traité de '' Pauv Con'' deux fois de suite mais ça ne l'empêchait pas de mettre le casque et de s'installer derrière moi sur la moto ! Et puis … C'était affectueux ! On roulait bien, on s'arrêtait dans un petit bar à l'entrée de la forêt, je lui payais un verre. On discutait !

Ce jour là il faisait chaud, pas doux mais chaud ! On décidait d'aller faire un tour à la plage. Rien qu'à cette idée je bandais. Ça ne se voyait pas sous mon pantalon de cuir. Mais il ne m'en fallait pas plus pour bander. Quand je vous dit qu'il ne m'en faut pas beaucoup à moi. Une pensée érotique et hop, je bande ! Bein oui une pensée érotique, je n'avais pas de maillot de bain et je me voyais déjà sur la plage, à poil. Je m'imaginais dans ces petites criques que je connais bien. Il n'y a jamais personne et on peut se baigner à poil … 

J'y emmenais Théo. Il fallait marcher quelques kilomètres mais la campagne était magnifique en cette saison. On s'installait au soleil. Sans plus attendre je retirais mes vêtements, il m'a déjà vu à poil, et un peu plus même …

Il me regardait faire.

Moi : Tu reste habillé ? Il fait beau !
Théo : Oui j'ai un peu peur que tu me sautes dessus !
Moi : Mais c'est pas mon genre je suis très prude tu sais !
Théo : Prude, tu sais ce que ça veut dire au moins ? Ça fait pas cinq minutes qu'on est là et tu es déjà à poil vautré sur le sable … Et en plus tu bandes !
Moi : Ça t'intéresses ?
Théo : Pauv con ! 
Moi : Mais arrête de faire la gueule et viens donc t'installer à côté de moi.
Théo : Je sais ou tu veux en venir ! ( il venait s'installer tout de même )
Moi : Ça te fais pas envie, tu n'as pas aimé la dernière fois ?
Théo : Pauv con !
Moi : Bon ça va, j'ai compris … Tu es ronchon parce que tu as mal dormi ou un truc comme ça !
Théo : Mais tu te moques de moi ?
Moi : Non.
Théo : Tu m'as fait super mal l'autre jour !
Moi : La première fois ça fait toujours un peu mal, tu peux me croire …
Théo : Un peu, il dit !
Moi : Ensuite ça fait moins mal et à la fin, avec un peu d'entraînement, ça ne fait plus mal du tout … Au contraire c'est super bon !

J'étais allongé sur le dos, la queue bien en forme, bien plaquée sur mon ventre. Il ne la lâchait pas des yeux, je le voyais passer sa langue sur ses lèvres. Je devinais qu'il en avait envie mais n'osait pas … Un mauvais souvenir peut être … Brusquement je me relevais et me dirigeais vers l'eau en l'invitant, je m'étais un peu calmé et ma queue se relevait à l'horizontale. Elle se balançait de droite à gauche, je trouvais ça amusant, je la regardais, elle se relevait et se collait de nouveau contre mon ventre. 

Je me retournais et je voyais Théo arriver vers moi, il était à poil, superbe sous ce soleil, son dispositif de chasteté ne se balançait pas mais se relevait bien fièrement, je sentais un pression plus forte dans ma queue. Pour lui aussi la pression était maximum !

On plongeait, l'eau était froide, on revenait s'assoir, on se sentait ravigotés. On retournait dans l'eau un bon moment, on nageait, on jouaient à pousser l'autre dans l'eau, à l'arroser. Je plongeais et j'attrapais ses jambes, je le faisais tomber dans l'eau. Bref, on rigolait bien !

On se frictionnait en sortant de l'eau pour se sécher puis on se frictionnait l'un l'autre et là je me disais : '' Ça se précise cette histoire ''. Dans son dos je lui frottait les épaules puis lui donnait un baiser rapide en haut du dos. Il frissonnait, se retournait, il avait le sourire … 

Moi : Câlin ?
Théo : Pauv con !

S'il râlait maintenant c'était pour la forme, il n'était plus en colère et me donnait un baiser sur les lèvres en me prenant dans ses bras. Nous étions rapidement enlacés au milieu de cette petite plage, parfaitement dissimulés par les rochers ! Nos étreintes devenaient rapidement plus intense, plus chaudes, on n'avait plus froid du tout. 

Le soleil nous avait séché, et je profitais de sa peau douce, tellement douce. Il glissait ses deux mains entre mes fesses, un peu plus bas que mon anus et me soulevait contre lui. Je relevais mes jambes et les passais dans son dos. Je me repliais contre lui tout en le tenant bien fermement contre moi. Je le couvrais de baisers partout ou je pouvais poser ma bouche.

Théo : La prochaine fois, c'est moi qui t'encule !
Moi : J'aimerais bien tu sais !
Théo : C'est vrai, tu dis pas ça pour me faire plaisir ?
Moi : Non, c'est vrai je te jure.
Théo : Vrai ?
Moi : Aussi vrai que là j'aimerais bien t'enculer !
Théo : Pauv con !

Je m'allongeais sur le sable, il accompagnait mon mouvement et s'allongeait sur moi, me couvrait de baiser puis descendais la tête sur mon ventre puis plus bas encore. Je sentais ses baisers sur mon torse, mes tétons, le bas de mes côtes, mon nombril … Puis je sentais ses lèvres se poser sur l'extrémité de mon pénis. Je le laissais faire, j'écartais mes bras en croix et regardais le ciel. L'air était un peu frais mais le soleil était déjà chaud. J'étais bien !

Nous restions ainsi, moi sans bougé, lui occupé à me faire plaisir pendant de longues, de très longues minutes. Quand ma queue s'enfonçait dans sa gorge, je sentais sa langue s'écraser contre mon gland, ces caresses là, à ce moment devenaient intenses, chaudes, douces mais intenses. Je frissonnais mais ce n'était pas le fond de l'air frais qui me faisait cet effet. Il faisait chaud.

Il me caressait l'intérieur des cuisses, puis les hanches, ses mains passaient sur mes fesses mais il n'essayait pas de me glisser un doigt dans le cul. J'aurais bien aimé moi mais il n'y pensait pas je suppose. Il me suçait les couilles, les prenait en entier dans la bouche … Ça fait bizarre, c'est pas vraiment désagréable mais ça fait bizarre. Je ne suis pas fan … Enfin peut être … Je sais pas … Pas sûr !

Il revenait à ma bite, et l'avalait presque en entier. Mais c'est qu'il s'en sort bien une fois qu'il est parti celui là ! Sa langue me suçait toute la longueur de ma queue avec douceur, je gémissais.

Moi : Je voudrais t'enculer !
Théo : Pauv con !

Mais c'est une idée fixe chez ce garçon j'ai l'impression ! Un peu plus tard il relevait la tête !

Théo : Tu vas encore me faire mal !
Moi : Oui mais j'ai comme l'impression que tu as aussi joui …

Là il ne répondait pas.

Moi : En y allant tout doucement …
Théo : Tout doucement alors …

Je faisais le geste de me relever, de la main il me repoussait fermement.

Théo : Ne bouge pas toi !

Il m’enjambait, un pied de chaque côté des mes hanches, j'avais du gel lubrifiant dans ma poche, il me lubrifiait la queue ainsi que son cul. En faisant une grimace il se mettait en position, d'une main il relevait ma queue, mon cœur battait fort. Pourvu qu'il encaisse … Moi je me détendais, je croisais les bras derrière la tête dans une position à la fois détendue et confortable … Je le laissais faire. 

Je sentais l'ouverture de son cul, il était dur. Il tentait de s'enfoncer en appuyant contre ma queue. Ça résistait, il se relevait, soufflait fort et recommençait. Ça résistait toujours, mais je sentait son cul se dilater légèrement puis se contracter de nouveau. Il faisait des grimaces. J'avais l'impression qu'il avait du mal à respirer. 

Moi : Ça va ?
Théo : Pauv con !

Je n'insistais pas, ça venait en tous cas, lui il insistait. Mon gland venait de rentrer en entier mais était ressorti aussi vite. Théo ne bougeait plus il semblait avoir mal, il reprenait son souffle, relevait la tête, me regardait puis forçait brusquement, ma queue entrait sur la moitié de sa longueur. Il poussait un cri, se retenait en s'appuyant contre mon ventre de la main. Il avait le souffle court, je l'encourageais …

Moi : Vas y c'est bon !
Théo : Ta gueule !
Moi : Bon d'accord, j'insiste pas …
Théo : Ça fait un mal de chien ton truc, il est trop gros …
Moi : Désolé j'en ai pas d'autre sous la main.
Théo : Pauv con !

Je sentais son cul se contracter par secousses. Il rigolait le con …

Moi : Ça ne te fait pas trop mal ?
Théo : Uniquement quand je rigole ! ( en faisant un grimace à faire peur )

Là c'est moi qui rigolait, il hurlait. C'était pas du chiqué ça lui faisait vraiment mal, il voulait se dégagé, son pied glissait et il s'empalait complètement sur ma queue, comme la dernière fois mais cette fois c'était pas ma faute ! Je l'entendais gémir comme s'il pleurait, son visage se tordait de douleur, il avait du mal à respirer, il semblait ne plus pouvoir bouger. Mais moi j'étais content !

Il restait un petit moment comme ça, il bougeait la bouche mais aucun son n'en sortait. Il essayait de se dégager mais n'y parvenait pas. Moi je laissai faire, je suis d'un naturel serviable et il m'a bien dit de ne pas bouger. Finalement il se penchait complètement sur moi et parvenait à se dégager. Il jutait, pas d'éjaculation juste un flot de sperme continu qui coulait de son dispositif de chasteté.

Moi : Tu veux que je t'aide ?
Théo : Ta gueule !

Mais c'est qu'il n'a pas beaucoup de vocabulaire quand il baise lui ! Il se relevait, s'écartait de moi il continuait à gémir et avait posé sa main sur son cul …

Moi : … 

Bon j'allais dire quelque chose mais j'ai préféré me retenir. Je connais sa réponse ! Il allait se tremper dans l'eau, je me branlait. Je me branlais et au moment ou je jouissais je faisais beaucoup de bruit, il me regardait de loin. Un peu après il s'approchait de moi et regardait ma queue en faisant la gueule …

Théo : Elle est trop grosse, ça fait mal !
Moi : Autant que la dernière fois ?

En dodelinant de la tête …

Théo : Peut être pas, c'est vrai que là déjà, ça va mieux. La dernière fois je l'ai senti pendant plusieurs jours. Je te jure j'ai failli aller voir le médecin.
Moi : Tu recommenceras ?
Théo : Pauv con !

Je rigolais.

Théo : Mais c'est vrai quoi, elle est trop grosse ta queue, il faut vraiment s'y faire.

L'heure de rentrer avançait, on se préparait, on s'habillait puis on prenait la route vers le parking. Il faisait toujours la gueule, et de temps en temps passait sa main sur ses fesses.

Je ne traînais pas pour le retour, je ne connaissais que trop le risque … Nous arrivions donc largement à l'heure. Le temps de prendre une douche de dessalage. Je bandais encore, enfin de nouveau, je précise parce qu'entre temps j'avais débandé, mais dès que je me retrouvais à poil je remettais ça … Je profitais aussi du fait que j'étais seul pour me branler … Juste un tout petit peu … Juste pour le plaisir. 



EP 11 : DANS LE DORTOIR



On arrivait juste à temps, je garais la moto à sa place. Quand Théo descendait de la moto je le voyais ajuster son pantalon au niveau de ses fesses, il ne semblait pas à son aise.

Moi : C'était cool, on s'est bien amusé ? Non ?
Théo : Ouai ! Toi tu t'es bien amusé !
Moi : Tu vas pas te plaindre … 
Théo : Ça fait mal ton truc !
Moi : On recommence quant tu veux !
Théo : Certainement pas ! … Pauv con …

Bon d'accord c'est son laïus en ce moment mais ça va lui passer ! C'est sûr !

Théo : T'es vraiment un enculé toi !
Moi : Je ne voudrais pas dire mais l'enculé, dans notre cas … C'est pas vraiment moi …
Théo : Ta gueule !

Bon il ne faut pas insister, il est vraiment de mauvaise humeur !

On se changeait rapidement et on passait à table. La semaine qui suivait j'arrivais à ne pas me faire envoyer chez le directeur … Presque un mois, vous vous rendez compte !

L'année allait se terminer ma moyenne de mes notes ne montait pas mais la moyenne de mes engueulades elle, était en chute libre ! Je me disais que si je parvenais à éviter de me faire envoyer chez le directeur jusqu'à la fin de l'année, je pourrais toujours tenter de négocier avec mon père les prochaines vacance. Magic Island, le palace de Magic Island est légendaire. Une île au milieu d'un océan, pas de port enfin un tout petit, pas d'aéroport enfin un tout petit … Mais une gare !

Une gare et un hôtel de rêve. C'est un projet de fou. La PK Compagnie a quelquefois fait des projet de fou, son université par exemple … La compagnie à acheté une ville et l'a refaçonnée entièrement en y plaçant au milieu son université. Et ce vieux projet encore plus fou une gare au milieu de l'océan … Il paraît qu'il y a une voix ferrée posée sur l'eau. Une route, enfin un pont rail de plus de deux mille kilomètres, au dessus un train rapide. Au début le train roulait à quatre cent kilomètre heure, mais maintenant il est deux fois plus rapide. Aussi rapide qu'un avion avec l'embarquement en moins c'est même plus rapide !

Ça vous épate si  je connais tout ça hein … C'est mon grand père qui m'a raconté tout ça, il l'a pris plusieurs fois ce train quand il était plus  jeune. C'est le seul moyen d'aller sur cette île, enfin le meilleur moyen, le plus rapide et le plus confortable à la fois … La seule chose que je ne comprends pas c'est pourquoi ils ont fait un truc aussi fou pour rien ou presque l'île c'est le terminus. Ce qui aurait été bien c'était de terminer la voix ferrée pour qu'elle traverse entièrement l'océan. Le jour ou je serai directeur de la PK ( si je le suis un jour ) je terminerai ce projet ! 

Bien sûr ce sera après avoir changé le règlement interne qui oblige les dirigeants à porter ces dispositifs … Car je vous l'ai dit ça … Ja-Mé … Et c'est pas négociable. 

Le dimanche l'interna n'est pas plein, un bon nombre d'élèves passe le week-end en famille, le réfectoire est vide aux deux tiers. Je passais en revue les divers élèves présents et prenais conscience … Je les ai tous vu sous la douche plus ou moins … Et je prenais donc conscience que je devait très probablement être le seul à ne pas porter de dispositif de chasteté. 

Enfin le seul, peut être pas ! Mais l'un des rares, ça oui ! 

Finalement, je suis un petit veinard ! En plus le samedi soir et le dimanche soir il n'y a pas l'autre andouille de Luidji à exhiber sa bite dans la chambre et c'est vrai que le week-end je dors mieux. 

Plus que quelques semaines avant les grandes vacances, je planifiais donc mes week-end … Plage ! Plage ! Plage ! Et plage !

Oui je sais c'est un emploi du temps simplifié mais c'est facile à organiser, et pas trop désagréable à suivre. Le temps devrait rester au beau fixe et avec un peu de chance je trouverais bien un camarade pour m’accompagner. Théo je veux bien mais c'est toujours tout une histoire pour l'enculer. Le mieux ce serait de trouver un mec qui ne porte pas et n'a pas peur de se faire démonter la rondelle. Pas trop bien monté si possible … Bein oui je débute moi, et c'est vrai que ça peut faire mal. 

A la fin du repas, Peter ma tapait doucement sur l'épaule et me glissait à l'oreille …

Peter : Tu passes dans ma chambre tout à l'heure … 

Il me faisait un clin d’œil. Peter c'est un gars sympa, il n'est pas dans ma classe, et on n'a aucun cours ensemble mais je l'ai tout de même vu sous la douche, il ne porte pas de dispositif de chasteté et j'ai l'impression qu'il n'est pas trop bien monté … Enfin normal quoi ! Moi je suis dans le  normal mais dans le normal haut de la norme. Pas encore dans la catégorie géante même si il y en a à qui ça peut faire peur, ou à qui ça peut faire mal … Vous pouvez toujours demander à Théo si vous ne me croyez pas. Lui ça le fait couiner !

Je ne savais pas ce qu'il me voulait Peter mais un peut plus tard après le repas je frappais à sa porte. En m'approchant de la porte j'avais l'impression d'entendre du bruit mais au moment ou je frappais il n'y avait plus aucun bruit. Je frappais de nouveau.

Peter : C'est qui ?
Moi : C'est moi Philippe !
Peter : Entre Philippe et referme bien derrière toi.

Je m'étonnais, j'entrais et c'était une grosse surprise. Il y avait trois mec avec Peter. Tout le monde était à poil et si Peter, en effet ne portait pas de dispositif, les trois autres eux en portaient un. 

Peter était assis sur son lit, il avait les jambes bien écartées et un mec, Justin qui le suçait. Peter tenait la tête de Justin fermement et son nez était écrasé contre le ventre de Peter. Les deux autres Lionel et Victor me regardaient, ils se tripotaient chacun leur dispositif, se caressaient les couilles et avaient un air triste. Ils devaient être en manque !

Leurs regards se posaient directement sur mon entre jambe. Je bandais déjà et ça devait se voir. Bon aujourd'hui je me suis branlé en me levant, je me suis branlé à la plage, je me suis branlé sous la douche au retour, je ne me suis pas branlé au réfectoire. Bon faites pas gaffe au dernier commentaire, je me suis donc branlé que trois fois aujourd'hui … Ça va ! C'est une journée calme et tout à fait normale ! Je bandais ferme au bout de quelques secondes donc.

Peter : Si tu veux nous rejoindre, on sait que tu n'en portes pas et que tu es bien foutu … Si ça te choque, tu m'excuses, tu ressors et tu oublies ce que tu viens de voir.

En réponse j'affichais un grand sourire quand ma chemise atterrissait dans le coin de la chambre, elle était suivie par mon pantalon et tout ce que j'avais sur moi. Les deux garçons qui avaient l'air un peu tristes souriaient également. Peter lâchait la tête de Justin qui relevait la tête et reprenait son souffle. Peter était bien monté tout de même, je n'était pas impressionné. '' Un taille trois '' … Comme aurait dit mon tonton Bob, '' Une p'tit bite quoi, moi je portais du cinq … '' … Il est marrant mon tonton Bob. Enfin ils sont tous marrants dans ma famille sauf mon père bien sûr ! Surtout que lui il ne porte pas ! Enfin tonton Bob je veux dire, c'est lui qui ne porte pas. 

Les deux autres garçons me regardaient avec envie, il ne me lâchaient plus du regard. Ils s'approchaient de moi et me caressaient l'intérieur de mes cuisses. Peter reprenait fermement la tête de Justin et l'appuyait sur son ventre, de nouveau sa queue rentrait jusque au fond de la gorge de Justin, il lui balançait en même temps quelques beaux coups de rein. Justin avalait avec un air crispé, il fermait ses yeux bien fort ainsi que ses poings.

Mais c'est que c'est pas un tendre le petit Peter, j'aurais jamais cru ça moi. Les deux autres me couvraient de baisers sur les cuisses, L'un prenait ma queue dans sa bouche, un peu timide au début, l'autre suivait et finalement je restais là un bon moment, debout, les jambes légèrement écartées, mes mains caressaient chacune une tête et chacun leur tour ils me prenaient la queue dans la bouche et me suçait … Par trop mal en plus.

Je débute dans la débauche sexuelle moi et j'ai comme l'impression que je ne suis pas le seul. Si j'avais su je crois que je serais devenu copain avec Peter bien plus tôt moi. 

Peter, il se défoulait sur la bouche à Justin, il le laissait relever la tête, pas complètement mais suffisamment pour qu'il respire, puis appuyait fermement sur sa tête, sans aucune tendresse en lui balançant un violent cour de bassin, sa queue entrait bien à fond, Justin faisait des bruits rigolos, il bavait aussi. Je ne sais pas si à ce moment il aimait, mais en tous cas il se laissait faire. Quelquefois le plaisir vient aussi de celui qu'on offre à l'autre et pas seulement à celui qu'on éprouve soi-même. 

Moi ce soir là j'avais envie de prendre du plaisir. Bein quoi ? Ça fait un moment déjà. J'ai pas éjaculé depuis presque … trois heures ! Je caressais doucement la tête du mec qui me caressait et me donnait des baisers, et de l'autre main j'appuyais fermement moi aussi derrière la tête de celui qui me suçait. Il n'y a pas de raison, Peter il le fait bien lui ! Ils échangeaient les rôles et je continuais. 

Peter : On jouait au Bout-en-train. Il y a un mâle actif, un mec qui se fait baiser proprement, et même deux. Mais le troisième restera frustré. Lui personne ne le touchera, il va sucer, caresser … Il va bien s'exciter mais pour lui c'est ceinture !
Moi : Un seul ?
Peter : Deux si tu veux, moi je vais baiser longuement Justin. Toi tu fais comme tu veux, tu baises les deux, un seul. C'est comme tu veux, tu n'encules aucun des deux si tu veux. Ils seront tous les deux frustrés, c'est tout !
Moi : C'est moi qui commande !
Peter : Exactement, si tu n'était pas venu, il y aurait eu deux frustrés. Mais comme tu es là, tu fais ce que tu veux avec les deux autres.

Je regardais les deux mecs à mes pieds, Victor était particulièrement mignon, il avait un joli visage, doux et masculin en même temps, Lionel avait un corps particulièrement bien bâti. Il avait une carrure bien virile mais je préférais le visage de Victor. Finalement je décidais de ne pas décider, enfin pas tout de suite. Je les laissais faire.

Lionel suçait bien, il s'appliquait, ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça. Il était un peu plus vieux que moi et portait ce dispositif depuis ses seize ans. Ça faisait donc depuis plus d'un an. A voir comment il avait soif de bite, il devait probablement le porter en permanence depuis plus d'un an donc.

Victor était un peu moins adroit, je le trouvais trop mignon. Physiquement il n'était pas aussi costaud que son camarade, mais je ne le trouvais que plus mignon. Il était quand même bien foutu, et terriblement mignon !

J'hésitais, j'encule lequel ce soir ? Victor, il est trop mignon Victor, il a l'air plus jeune, physiquement je veux dire. Victor à presque dix neuf ans, il en paraît seize et je ne sais pas depuis quand il porte son truc, Lionel à dix sept ans et en paraît dix neuf …

Je crois que je vais choisir le plus jeune. Victor ! C'est pas lui le plus jeune ? C'est vrai mais je m'en fou, c'est lui qui a l'air plus jeune.

Doucement je caressais la joue de Lionel et doucement lui demandais d'aller s’asseoir un peu plus loin. C'est jouissif comme situation, je pouvais décider qui serait frustré ce soir, il ne disait rien, il s’exécutait c'est tout. Il donnait le change et gardait le sourire, un sourire un peu crispé. On pouvait voir qu'il était un peu vexé. Victor lui me suçait la queue plus activement, sans doute avait-il peur que je ne change d'avis. 

Je lui tenais la tête à deux mains et faisait comme Peter, je le tirais vers moi en lui balançant des coups de rein, des coups de reins de plus en plus violents. Il encaissait bien la gars et je ne regrettais pas mon choix.

Je relevais les yeux vers Peter, la situation avait changé, Justin s'était relevé il avait enjambé Peter et se préparait à s'asseoir sur la queue de son copain. Je regardais ça avec fascination, je sentais ma queue se contracter, se durcir encore un peu plus, comme si c'était possible ! Et là ce n'étaient pas que les caresses de la langue de Victor qui me faisaient effet.

J'écartais doucement le visage de Victor et lui glissait à l'oreille : '' On va faire comme eux ! ''. Je m'allongeais alors sur le dos, le torse relevé, appuyé sur mes coudes.

Moi : Vas y mon gars, c'est quand tu veux !

Je le voyais, il était impressionné et ne parvenait pas à dissimuler son émotion mais il prenait position, un pied de chaque côté de mon bassin, il s'accroupissait et je sentais son petit tour de balle se positionner juste au bout de ma bite. Je sentais une pression, il appuyait son cul, il commençait à pousser des gémissement au moment ou la pression devenait plus forte.

Je sentais son anus se détendre, se dilater et envelopper mon gland. Il gémissait plus fort. Je sentais ensuite cet anneau se déplacer le long de ma queue, je sentais une pression forte qui enveloppais toute ma queue, et avançait lentement jusqu'à sa base. Victor gémissait vraiment là et il poussait un cri au moment ou ses fesses touchaient mon ventre. 

Je ne bougeais pas, je le laissais faire, j'étais fasciné, je lui souriais. Il gardait la position quelques instants. Puis il poussait un gémissement et commençait à se relever.

Victor : Elle est vraiment grosse, je ne …
Moi : Ne bouge pas, reste comme ça !

Il me regardait sans rien répondre, je le sentais retenir une plainte, un gémissement lui échappait encore. Un gémissement qu'il ne pouvait pas retenir et qui témoignait d'une certaine douleur. Son cul était étroit et je le sentais bien se refermer autour de ma queue. C'était bon !

Victor, toujours en essayant de retenir ses gémissements s'enfonçait de nouveau sur ma queue. Ses fesses s'écrasaient sur mon bassin, je lui caressais alors les cuisses, comme pour l'encourager.

Il respirait fort. Peter et Justin en étaient à peu prêt au même niveau que nous. Justin était complètement assis sur la bite à Peter, empalé de tout son poids, il était penché en avant et ils se caressaient tous les deux avec passion.

Lionel ne pouvait plus dissimuler sa frustration, ses yeux révélaient son désir, il nous regardait les uns après les autres, la bouche légèrement ouverte, sa langues passait sur ses lèvres.

Victor, respirait de plus en plus fort, il gémissait et faisait le mouvement de se relever. Je lui balançais alors un violent coup de rein. Il hurlait et retombait avec moi, complètement empalé sur ma queue en gémissant. De ses mains il cherchait un appui. Je relevais alors mon torse et tirait ses pieds sur le sol, derrière moi. 

Chaque respiration était une plainte, un cri. Il s'accrochait à moi. Je me balançais alors sur mes fesses d'avant en arrière, il hurlait de nouveau. Je regardais les autres, il avaient tous le regard tourné vers moi !

Victor me tenait bien serré contre lui, il tremblait. Justin se relevait et se mettait à genoux, Peter se plaçait juste derrière lui, lui écartait les jambes et le repoussait en avant, sans prévenir il enfonçait sa queue dans le cul de Justin qui gueulait à son tour. Je décidais d'en faire de même.

Victor semblait dire non du regard mais s'exécutait. Il semblait supplier par des gémissements de plainte. C'est une cri de détresse, de douleur de plainte qu'il poussait au moment ou je m'enfonçais dans son cul. Il avait été échauffé mais j'y allais violemment, en un seul mouvement rapide je lui défonçais le cul et le bas de mon ventre frappait bruyamment ses fesses, il criais, j'avais l'impression qu'il allait pleurer.

Je ne me m'inquiétait pas de ce qu'il pouvait ressentir. Je ne m'occupais plus des autres. Je me lâchais sur le cul de Victor, je ne m'inquiétais plus que de mon plaisir ! Je lui défonçais le cul sans me retenir, je sentais ses muscles internes se contracter, il était étroit le petit gars, il le serait moins quand j'en aurais fini avec lui …

Peter, gémissait à son tour, il jouissait dans le cul de Justin.  Justin lui avait le front posé sur le sol, il se tenait la tête avec ses deux mains, il encaissait bien. 

Victor encaissait bien aussi mais il faisait plus de bruit. Je le sentais trembler entre mes bras, je frémissais aussi au moment ou je jouissais dans son cul. Je me retirais, il me répondait par un gémissement, un peu comme un sanglot, puis il se laissait tomber sur le sol. Je remarquais alors qu'il avait éjaculé, du sperme coulait de son dispositif PK. Il respirait fort.

Avec Peter on se tapait dans la main en se félicitant. Lionel ne bougeait plus, il ne disait rien. 

Peter : Ils sont à notre disposition toute la soirée, si tu veux recommencer …
Victor : Non, Non, c'est bon … ( dans un murmure qui ressemblait à une plainte )
Peter : Tu ne t'occupe pas de ce qu'il dit !
Moi : Cool ! J'adore, vous savez vous amuser les gars !
Peter : En général, si il y en a un qui demande grâce, je m'acharne sur lui. Tu es sûr que tu ne veux pas lui défoncer le cul encore une fois ?
Moi : Il a sa dose, j'ai l'impression !
Peter : Moi je l'enculerai peut être un peu plus tard !

Un éclair de panique semblait traverser les yeux de Victor.

Peter : Une petite bière ?
Moi : Mais c'est interdit !
Peter : Tu crois peut être que tu es le seul à t'amuser avec le règlement, moi je ne me fais pas repérer. C'est pour ça que c'est toi qui a tes habitudes au bureau du directeur !
Moi : Allez une petite bière … 
Peter : Alors comme ça tu es le fils du Big Boss de la PK, tu as six sept ans et tu ne portes pas de dispositif de chasteté ! C'est quoi ton secret ?

On discutait une bonne partie de la soirée, rapidement on passait à la douche, on laissait nos trois camarades. Finalement Victor était libéré, il avait déjà assez mal au cul. Il avait l'air soulagé. Peter avait encore de la bière, il m'invitait et on en buvait plusieurs chacun. Je lui racontais, mon grand père, mon père … Je lui racontait même ma soirée d'anniversaire dans la maison close … Et comment ça c'était terminé !

On savait qu'un jour ou l'autre on devrait porter un dispositif de chasteté mais en attendant  tant qu'on avait la queue libre il fallait en profiter ! C'était la philosophie de Peter. Il savait que dans un peu plus d'un an il n'aurait pas le choix et qu'il devrait lui aussi y venir. Pas pour toujours, ses études terminées il le retirerait pour toujours. En tous cas c'était son projet. Moi je refusais d'accepter cette idée, je me disais que je trouverais bien une solution. Je comptais pour ça sur le soutient de mon grand père. 

Mais j'étais d'accord sur le fait qu'il fallait en profiter !



EP 12 : TROP MIGNON VICTOR



C'est dommage que je ne découvrais ce petit groupe qu'à la fin de l'année scolaire. Plus tôt je me serais bien amusé. La règle était simple, les porteurs devenaient des vide couille pour les non porteurs. Un tiers des élèves de cette école étaient frustrés à un point qu'il était difficile d'imaginer, surtout à notre âge …

Les porteurs n'étaient pas tous volontaires, loin de là. Pas plus que les non porteurs, enfin je m'exprime mal, les participants étaient tous volontaires bien sûr mais tous ne participaient pas ... Le nombres des membres de ce petit club était limité et ils étaient chauds du cul. On ne m'avait jamais proposé d'y entrer à cause de mes origines … Le fils du Gros Big Boss de la PK … Vous vous rendez compte ? Et en plus il ne portait pas de dispositif le fils du Big-Boss … Ça tout le monde le savait, les douches en témoignaient, j'évitais le plus possible de me retrouver sous la douche avec tout le monde, même si je n'y parvenait pas toujours. J'avais donc été catalogué '' Candidat à Éviter '' … 

C'est vrai aussi que j'étais resté prude jusqu'à maintenant. Bein oui, j'arrête pas de vous le dire : '' C'est que je suis novice dans la débauche sexuelle moi ! '' . J'ai eu dix sept ans il n'y a que quelques semaines et jusque là j'étais seulement  un branleur. Un branleur qui ne porte pas de dispositif de chasteté malgré ses origines.

Je rencontrais Théo, dans les couloir …

Théo : Alors cette petite soirée l'autre soir ?
Moi : Tu es au courant ?
Théo : Bien sûr, c'est moi qui t'ai conseiller à Peter !
Moi : Toi ?
Théo : Oui moi ! Quand je suis arrivé, on m'a proposé de participer. Je n'étais pas intéressé mais Peter a insister, on s'est rencontré, ensuite je lui ai conseillé de te contacter … 
Moi : Pas intéressé ?
Théo : Actif je ne dis pas mais, passif je ne suis pas intéressé. J'ai craqué qu'avec toi !
Moi : Bein mince alors, c'est flatteur !
Théo : Pauv con !
Moi : Bon ça y est il recommence !
Théo : Pendant les vacances je serai libéré, si tu es toujours disposé à me laisser me venger …
Moi : On pourrait les passer ensemble ces grandes vacances.
Théo : Moi ça me tente.
Moi : Je veux négocier avec mon père le séjour sur Magic Island !
Théo : On voit que tu as des relations toi, tu sais combien de temps à l'avance il faut réserver toi ? Et tu sais combien ça coûte toi une semaine sur Magic Island ?
Moi : Oui mais non, moi je ne réserve pas, ma famille à une maison individuelle là bas !
Théo : Un maison individuelle, je ne savais pas que ça existait sur cette île moi !
Moi : Il n'y en a qu'une, enfin une seule maison individuelle privée …
Théo : Tu parles si ça me tente, c'est inespéré. 

Il avait l'air enthousiaste. Je n'avais plus qu'à convaincre mon père, et là c'était pas la partie la plus facile dans cette affaire. Bon je n'avais pas été convoqué dans le bureau du directeur depuis plusieurs moi maintenant, je pouvais utiliser ce détail dans ma négociation. Je pouvais aussi argumenter en lui disant que là bas je serai en terre connue, que je serais obligé d'être sage, que je pourrais pas faire de conneries comme j'en ai l'habitude. Bon je ne vais pas non plus lui dire '' Comme j'en ai l'habitude '', là ce serait saborder la négociation. Et puis je peux aussi sortir mon arme absolue, téléphoner à mon papy !

Je commençais donc par le plus simple … Téléphoner à mon papy … 

Moi : Ça va mon papy ?
Mon Grand Père : Alors mon petit bonhomme qu'est ce qui t'arrive ? J'espère que tu n'as pas de problème avec ton père.
Mon : Non grand père, mais je te téléphone parce que j'ai invité un copain, Théo, à passer avec moi les grandes vacances sur Magic Island !
G P : Mais c'est une très bonne idée ça fils, mais ou est le problème ?
Moi : Papa n'est pas au courant !
G P : Ton père n'est pas au courant que tu as invité un copain à toi ? Mais il suffit de lui dire, je ne vois pas ou est le problème. Ton copain il est dans ton école ? Non ? La sélection des élèves y est draconienne donc ton père ne devrait rien trouver à redire …
Moi : En fait pas tout à fait. Il est bien dans mon école mais … Papa ne sait pas que je vais passer mes vacances sur Magic Island en fait … 
G P : Oui, évidemment ! C'est vrai que j'aurais du me douter de quelque chose dans ce genre avec toi ! Bon il va falloir argumenter !
Moi : Sur Magic Island, je serai obligé de rester sage, je ne pourrai pas faire de conneries comme j'en ai l'habitude ! … 
G P : J'adore ta lucidité mon bonhomme mais sérieusement je te déconseille ce genre d'argument avec ton père … '' Comme j'en ai l'habitude '' … N'est pas un argument à lui donner.

On discutait encore un long moment, il me promettait de réfléchir et de trouver une solution. Sans plus attendre je confirmait à Théo que tout était réglé. Oui je sais je m'avance un peu mais si mon grand père est sur le coup … Ça roule !

Il est efficace mon Papy, c'est pas pour rien que c'est lui le big-boss … Quelques jours plus tard c'est mon père qui m'appelait. 

Mon Père : Salut Philippe !
Moi : Bonjour papa ça va ?
M P : J'ai une nouvelle pour toi, une très bonne nouvelle même si je ne sais pas si ça va te plaire …
Moi : Je te jure c'est pas moi, j'ai rien fait !
M P : Ça suffit ! Pas de ça avec moi c'est clair ! Je suppose que tu voulais aller faire la fête tout autour du globe avec la nouvelle carte de crédit que ton grand père t'a donné mais il n'en est pas question.
Moi : Mais papa ! S'il te plaît ! Laisse moi t'expliquer …
M P : C'est toi qui m'écoute ! J'ai décidé que je te garderai à l’œil, ton grand père va passer un séjour sur Magic-Island, quelques semaines, et tu l'y accompagne. Toi tu y resteras pendant toutes les vacances. Au moins je suis sûr que là bas tu seras sage, que tu ne pourras pas faire de conneries comme tu en as l'habitude ! C'est clair ?
Moi : Oui papa !
M P : Je t'autorise à inviter un copain si tu veux …
Moi : Bien papa !
M P : Et ne me remercie pas surtout !
Moi : Bien papa … Euh pardon … Merci papa !

Quand je vous dis que mon grand père sait être efficace … Je ne savais pas comment il avait fait ça mais c'était royal. Je courais avertir Théo, il était avec Victor. 

Vous vous rappelez Victor ? Ce garçon adorable que j'avais enculé l'autre jour … ( Ah ! Il ne fallait pas le dire ? … Désolé … Trop tard ! ).

Victor me voyais venir avec un petit sourire pincé. Je confirmais à Théo les vacances à venir. Victor nous écoutait !

Victor : Magic-Island ! Vous en avez de la chance les gars, moi je vais à la campagne, en famille … Et en plus je garde mon dispositif ! Je sens que je vais me faire chier !
Moi : Si tu veux tu peux venir avec nous ! 

Là je savais que je ne m'avançais pas, il était de mon école, il portait le dispositif … Mon père serait d'accord ! Et pour ce qui est de mon grand père, vous savez qu'il est cool mon grand père. On serait donc trois! 

Déjà je bandais à voir le visage de Victor, il m'avait bien plu Victor. Il avait un beau corps mais surtout un visage d'ange, il était beau comme un dieu et je me souvenait l'avoir sentir vibrer dans mes bras. L'autre jour c'était chaud, il portait le dispositif et le garderait pendant toutes les vacances. Je le voyais déjà sur notre plage privée, à poil, Théo et moi a poil aussi mais, nous libres de bander, de nous branler, de nous faire sucer, libres de l'enculer !

Je parvenais à ne pas faire de conneries pendant les derniers jours de l'année scolaire. Il faut dire que j'avais un peu la trouille que mon père ne m'impose une punition plus sévère … Magic Island était déjà un sanction dans sa tête aussi … Bon là je déconne … Magic Island c'était le rêve … C'était presque sous les tropiques mais on pouvait même y faire du ski, c'est tout dire ! 

Le dernier week-end arrivait, l'autre exhib-allumeur de Luidji n'était pas là, il n'est jamais là ce branleur le week-end. J'étais tranquille dans ma chambre, tout seul et je pensais aux vacances à venir. Magic Island est un endroit étonnant. L’île appartient à la PK Compagnie, on peut y faire tout un tas de chose. Tous les sports de plage, depuis la parachute ascensionnel, la natation, la plongée, il y a une fosse à plus de deux milles mètres de profondeurs et des bathyscaphe. On y a aussi une petite montagne on peut faire de l'alpinisme, un immense hangar réfrigéré avec de la neige artificielle, plus vraie que nature, et une piste de ski … 

Ça va être le pied … On frappait à la porte. C'était Victor. Il venait sans doute me remercier pour l'invitation.

Victor : Je te dérange ?
Moi : Non vas y entre.
Victor : Alors c'est sûr, on va vraiment aller sur Magic-Island ?
Moi : Ouai !

Il s'approchait de moi.

Victor : Tu sais je serai obligé de garder mon dispositif.

Sans rien répondre je posais ma main sur son entre jambe, je tâtais longuement ses couilles, et m'amusais à appuyer sur son dispositif au travers de son pantalon, il me laissait faire.

Moi : Tu es du genre plutôt actif ou passif ?
Victor : Comme si j'avais le choix !
Moi : Approche.

Il penchais son visage vers le mien. Je passais ma main derrière sa nuque et tirais sa tête vers moi. Je lui donnais un baiser, on s'embrassait. D'abord avec douceur, nos lèvres se frôlaient à peine, puis avec un peu plus de passion, puis avec fougue. Il s'était laissé tombé sur moi, j'étais allongé sur mon lit, je sentais son poids, sa chaleur, sa douceur et sa force. 

Rapidement mes mains couraient sur sa peau, elles se glissaient sous sa chemise dans son dos. Je soulevais sa chemise et la lui retirait par la tête, comme un T-shirt, je n'ouvrais même pas les boutons de la chemise. Il se laissait faire en rigolant.

Une fois torse nue, il se penchait sur ma braguette, rapidement il l'ouvrait. C'est qu'il n'est pas timide le petit Victor, je dis le petit Victor parce qu’il paraissait plus jeune. Il paraissait plus jeune que moi mais lui, il entrait en fac à la prochaine entrée scolaire. Il allait avoir l'âge juste après la prochaine rentrée. Il porterait son dispositif pendant encore au moins cinq ou six ans …

Ils sont pas un peu fêlés, tous ces jeunes là ? Moi je vous le dis comme je le pense et ce n'est pas négociable mais ce truc je ne le porte jamais … Ja – Mé … Je vous l'ai déjà dit mais si on me force à porter ce genre de truc je ne sais pas ce que je fais mais je le fais et je ne ferais pas semblant !

Je bandais bien là, j'avais la queue dans la bouche de mon camarade, avec sa langue il me caressait le gland, je frissonnait déjà. Il a peut être le cul un peu étroit le petit Victor mais pour ce qui est de la bouche il sait s'en servir, il fait ça bien. Je lui caressait les cheveux avec douceur, pour bien lui montrer que j'appréciais. Je retenais mes coups de bassin. Il faut toujours y aller doucement, toujours commencer doucement. Après un peu plus tard on se lâche et quand on tient bien en main son partenaire, s'il encaisse, on lui en donne …

Je savais que Victor il pouvait encaisser et j'étais bien décidé à lui en donner. Je me disais dans ma petite tête … '' Il va voir des étoiles ! Et soit il ne voudra plus venir avec nous, soit il ne voudra plus me laisser repartir ! ''.

J'appuyais sur sa tête, doucement toujours doucement. Ma queue entrait et ressortait de sa bouche, il repliait bien les lèvres au dessus de ses dents, je ne sentais pas du tout ses dents. Il fait ça bien Victor, vraiment bien, il faudra que je profite de ces vacances pour lui demander de m'apprendre à bien sucer. C'est pas toujours facile, mais là … '' Oh oui ! ''… Le bout de sa langue qui insiste bien sur l'ouverture de l’urètre … Ça oui, il me faisait vibrer encore un peu plus et c'est sans le faire exprès que j'appuyais sur sa tête un peu plus fort. Ma queue entrait bien à fond.

Il ne tentait pas de se dégager mais il gardait la position pendant encore quelques instants, il avait le nez écrasé sur mon bas ventre, je le sentais avaler sa salive, il avait coupé sa respiration. Je ne sais pas avec précision ce qui me massait le gland mais je sentais des mouvements très agréables. Puis il relevait rapidement la tête.

J'avais bien envie de lui maintenir la tête dans cette position plus longtemps mais je n'osais pas. J'avais pas envie de l'étouffer, il doit venir avec moi en vacances … Je me disais que j'aurais tout le temps pour l'étouffer quand nous serons sur Magic Island. Cette idée me faisait rigoler, il s'en rendait compte et me demandait.

Victor : Qu'est ce qui te fait rire ?
Moi : Rien ! Tu me chatouilles, c'est tout.
Victor : Tu aimes ?

Pour seule réponse je me relevais vers lui et l'embrassais avec passion. Il reprenait, toujours avec cette même douceur. Je sentais ses lèvres se poser sur le bout de ma bite, elles étaient suivies par le bout de sa langue puis ma bite entrait doucement ses lèvres recouvraient ses dents et sa langue s'enroulait tout autour de ma queue.

Avec une main il me caressait ma queue, me massait les couilles. Il me masturbait avec une main, avec sa bouche. Je m'étais un peu redressé et je lui caressait tout le corps, il avait la peau douce, il devait s'épiler. J'avais remarqué depuis déjà longtemps que plus d'un de mes camarades le faisait. Quand on est recouvert de muscles les poils ne servent à rien, quand on est un peu bedonnant par contre ça cache les défauts, mais ici avec la vie que nous menions … Il n'y avait pas de défauts !

Il activait le mouvement, je sentais ses lèvres qui parcouraient la longueur de ma queue de plus en plus vite, mais toujours avec la même douceur. Il relevait la tête et c'était sa main qui me caressant le gland, parfois avec douceur, parfois avec un peu plus de force, puis la bouche de nouveau. Je tremblais de plaisir, frissonnais à l'idée du plaisir qui commençait déjà à s'annoncer. 

J'avais par moment des contraction musculaires que je ne contrôlais pas. Un coup de bassin imprévu, il en prenait plein la gueule quand ma queue s'enfonçait avec force dans sa gorge. Il se redressait mais reprenait aussitôt.

Avec son autre main il me caressait le torse, me pinçait les tétons du bout des doigts, je lui caressais le bras, lui embrassait la main, lui suçais un doigt. Je sentais ma queue qui se contractait en même temps que je tremblais, mon souffle devenait plus fort, plus irrégulier, plus bruyant et pour finir j'éjaculais dans sa bouche. Je poussais alors quelques gémissements, c'était bon, vraiment très bon. Je ne m'étais branlé que trois fois dans la journée. En un mot, j'étais resté sage quoi ! 

Il prenait tout dans la bouche, il ne bronchait pas, il arrêtait juste de sucer. Je sentais les mouvements de sa gorge, il avalait. Je respirais fort, mon souffle était long, profond, mon cœur battait vite. Je passais ma main sur ses fesses. Je ne lui avait même pas enlevé son pantalon … Bon moi j'avais toujours ma chemise sur le dos, il avait juste ouvert mon pantalon, lui il était torse nue. 

C'est vrai qu'on s'était offert une petit plaisir vite fait, enfin il m'avait offert un petit plaisir. Même si je suis sûr qu'il aime bien faire ça. Il peut recommencer quand il veux. Je le laisserai faire. 

Je m'installais bien confortablement, assis sur mon lit. Il s'installait confortablement dans me bras. Je posais une main sur son dos et j'appréciais la douceur de sa peau, il continuait à s'amuser avec ma quéquette qui redevenait toute molle …

Victor : Tu es sûr qu'il n'y aura aucun problème pour Magic Island ?
Moi : Pourquoi veux tu qu'il y ait un problème ?
Victor : Ton père est une personnage très important !
Moi : Et alors ?
Victor : On ne vient pas du même milieu !
Moi : Tu porte ton truc depuis combien de temps ?
Victor : Mes seize ans !
Moi : Pour mon père, c'est une référence ! Ça devrait suffire pour qu'il trouve que tu es quelqu'un de très bien !
Victor : J'ai toujours rêvé d'aller passer des vacances sur cette île, Mais ça coûte une fortune, et dans ma famille on n'a pas les moyens.
Moi : Mais tu entres dans l'université PK à la prochaine rentrée ?
Victor : Je suis boursier !
Moi : Mais, même boursier, tu as le droit de retirer ton dispositif pendant les vacances tu sais.
Victor : Dans ma famille on me dit que c'est mieux si je le garde, ça fait meilleur effet … Et puis je m'y suis fait, j'ai trouvé d'autres plaisirs …
Moi : Tu es passif !
Victor : Tu as vraiment une belle queue, mais elle est bien grosse. Je l'ai senti passer l'autre jour !
Moi : On est tous comme ça dans la famille !
Victor : Personne ne porte le dispositif ?
Moi : Tout le monde porte ce dispositif. Tout le monde sauf moi !
Victor : Ça m'a surpris aussi ! Comment ça se fait ?
Moi : Je ne veux pas le porter et mon grand père m'a soutenu dans ce choix !
Victor : Ton grand père … Monsieur Jérémy Brosso … L'ancien champion ?
Moi : Ouai !
Victor : Tour le monde dit que c'est un fanatique !
Moi : Non le fanatique c'est mon père, mon grand père lui il est cool ! Je te le présenterai, c'est à lui qu'on doit le séjour. C'est à lui que j'ai demandé si je pourrais y aller, pas à mon père !

Victor se relevait brusquement.

Victor : Tu veux me présenter à Monsieur Jérémy Brosso ? !
Moi : Bein oui, il sera là. Enfin au début, après je ne sais pas, on sera chez lui …
Victor : Je ne sais pas si je peux ?
Moi : Mais si tu peux, vas y recommence à t'amuser, j'aime bien quand tu me tripote la queue … Et tu verras il est super cool mon grand père !


EP 13 : UNE NUIT A LA MAISON



Les derniers jours passaient vite, heureusement l'impatience se faisait sentir. Victor avait rempli son dossier d'entrée à la PK University, il ne savait ni si sa bourse serait renouvelée, ni dans quelles mesures. Il était issu d'un milieu modeste et sans sa bourse il ne pouvait pas se payer une telle école. Il ne disait rien mais commençait à s’angoisser.  

Personne, parmi ses camarades ne pouvaient se douter de son petit problème. Le règlement interne était formel, et dans la fac c'était pareil, on n'avait pas le droit de parler de notre situation sociale. Dans l'école on était tous au même niveau. La plus grande partie des élèves étaient issus d'une famille très favorisée économiquement, les autres avaient une bourse et étaient financièrement pris en charge mais en aucun cas ils ne devaient se sentir défavorisés, rabaissés. On était à égalité !

Au pire celui qui était issu de la famille la plus riche ( bon d'accord c'était moi ) serait par la suite héritier, au mieux le moins favorisé serait le directeur de la PK ( par exemple ) … Tout était possible, seuls les qualités devaient être prises en compte. Victor ne parlait donc pas des ses inquiétudes, on savait qu'il était issu d'une famille modeste, on en savait donc déjà trop !

Le dernier jour arrivait. Les parents des élèves étaient venus chercher leur progéniture ou avaient envoyé leur chauffeur, personne ne faisait attention à toutes ces voitures mais ce n'étaient que des voitures de très haut de gamme. Victor n'était pas surpris, il avait été prévu qu'il partirait avec moi, tout comme Théo. Comme ils venaient à mon invitation passer les vacances sur Magic Island, c'était plus simple.

Je cherchais des yeux une limousine ou une Rolls d’exception quand mes yeux tombaient sur un visage connu. C'était le chauffeur de mon père.

Moi : Et merde c'est la Bentley !
Victor : Et alors, c'est déjà bien !
Moi : Ça veut dire que c'est mon père qui nous envoie son chauffeur … J'avais espéré que ce serait mon grand père. En plus lui il serait venu en personne !

Victor poussait un long soupir de soulagement. 

Moi : Tu as peur de voir mon grand père ou bien ?
Victor : Non c'est pas ça mais … Peut être que pour toi c'est tout à fait normal mais tu sais que pour le reste de la planète … Ton grand père est l'un des personnage les plus puissant du monde. Et je ne te cache pas que je suis très intimidé par cette rencontre.
Moi : Ne t'inquiète pas, tu verras, il est très cool ! Et toi Théo tu ne dis rien ?
Théo : Ça y est la voiture est là ?

Il relevait la tête, il était en train de lire son courrier ou je ne sais quoi sur sont téléphone, lui il ne s’angoissait pas du tout. Il attrapait sa valise d'une main en disant cela et regardait à droit et à gauche. 

Théo : Bon elle est ou la voiture ?
Moi : Elle arrive, mon père a envoyé son chauffeur.

La voiture se garait juste à côté de nous, les portières s'ouvraient ainsi que le coffre et le chauffeur descendait.

Le chauffeur : Monsieur Brosso, je suis très heureux de vous revoir, on m'a dit que deux amis vous accompagneraient. 

On prenait nos bagages et on les jetait dans le coffre, ensuite on s'installait dans la voiture.

Moi : C'est toi que mon père a envoyé ? Je pensais que c'est mon grand père qui viendrait me chercher.
Le chauffeur : Il a été appelé d'urgence en Asie, mais il sera de retour demain, en plus Monsieur Philippe votre père tenait absolument à rencontrer vos amis.

Je voyais Victor devenir tout pâle. 

Moi : Ça va Victor ?
Victor : Ça va, ça va … Mais je ne te cacherai pas que je n'en mène pas large !
Théo : Mais pourquoi ?
Victor : Je ne suis pas du même milieu que vous les gars, mon père est représentant de commerce … Et vous, vous vous demandez si on viendra vous chercher en Rolls ou en Hélicoptère … C'est la première fois que je monte dans ce genre de … véhicule !
Moi : Voyons, tu es un des meilleurs élèves de l'école, tu portes un dispositif de chasteté depuis l'âge de seize ans et tu acceptes même de le garder pendant tes vacances … Mon père va t'adorer !

Ce soir là, à table, en effet, il était charmant. Il me faisait remarquer avec bienveillance que mon directeur ne l'avait pas appelé depuis les dernières vacances, presque trois mois plus tôt … 

Mon père : Et toi Théo, tes parents vont bien j'espère ? Je n'ai pas vu ton père depuis quelques temps maintenant !
Théo : Ils vont très bien et vous transmettent toute leur amitié !

Théo ne connaissait pas mes parents mais nos parents se connaissaient très bien …

Mon père : Et toi Victor, tu ne dis rien … J'espère que tu n'est pas intimidé, on m'a dit que tu étais le meilleur élève de l'école … Si seulement tu pouvait avoir une bonne influence sur mon fils ! Lui, il doit être un des pires !
Moi : Je suis le pire papa !
M P : Et en plus tu en es fier ! Enfin Philippe pourquoi ne prends-tu pas exemple sur ton ami Victor ! Il est issu d'une famille modeste mais son travail lui promet une très bonne situation. Tu sais, ton héritage ne te garantis pas que tu dirigeras la PK mais lui, par contre, avec son travail il pourrait parfaitement se retrouver un jour à la tête du conseil d'administration. 

La discussion se continuait et Victor finissait pas se détendre un peu. 

M P : Tu vas entrer en fac à la prochaine rentrée, tu as choisi quelles matières ?

Mon père savait déjà tout mais c'était juste pour parler …

Victor : J'ai choisi économie en premier … Enfin si je peux …
M P : Comment ça ? Si tu peux …
Victor : Vous devez le savoir Mr Brosso, mais je ne peux faire mes études dans cette école que grâce à ma bourse et je n'ai pas de réponse à ma demande pour l'année prochaine …
M P : Je serais très étonné qu'une bourse d'étude soit refusée au meilleur élève de sa promotion s'il en a besoin pour continuer ses études. Je vais me renseigner si tu n'y vois pas d'objection. Ne t'inquiète pas c'est sûrement une erreur qui sera rapidement réglée. 

Victor devait recevoir une lettre trois jours plus tard. Le comité des bourses lui présentait des excuses pour ce retard et lui confirmait que ses bourses étaient acceptée au taux le plus élevé soit cent pour cent des frais … Tout était couvert, y compris le logement !

Il faut savoir que mon père est le président honoraire de ce comité et le principal mécène … 

M P : J'ai pensé que vous seriez plus à votre aise si je vous logeait ensemble, j'ai fait installé trois lits dans la grande chambre de l'aile nord … 
Moi : C'est une très bonne idée papa !

Mes camarade répondaient à cette information avec un grand sourire. Le repas terminé mon père nous laissait nous retirer dans nos quartiers. Victor n'en revenait pas, il y avait trois lits installés mais il restait de la place, cette chambre était bien plus grande que la mienne, pas celle que j'avais chez mes tontons ou chez mon papy mais celle que j'avais ici. Mon père trouvait ridicule de me loger dans une suite, ma chambre à la maison ne faisait que vingt mètres carrés. J'avais toutefois ma propre salle de bain … Mais ça c'est un minimum !

On se jetait sur les lits.

Moi : Alors Victor tu es rassuré de savoir que ta bourse sera acceptée ?
Victor : Attend, elle n'est pas encore accepté, il va voir mais ils peuvent encore me la refuser.
Moi : Pas si c'est mon père qui se renseigne !

Victor me regardait, il avait l'air incrédule, il ne réalisait pas encore mais un sourire se dessinait sur ses lèvres. Il est vraiment mignon Victor, je m'approchais de lui, mon visage juste devant le sien, je passais ma main derrière sa nuque, le tirais doucement vers moi et lui donnais un baiser. Théo nous regardait sans rien dire.

En temps normal mon père entrait dans ma chambre sans prévenir mais je savais que là il n'y avait aucun risque. On avait des invités, un d'entre eux était porteur volontaire et meilleur élève de sa promotion … J'étais en bonne compagnie et il respecterait notre intimité, pas pour moi mais pour nos invités.

Théo s'était relevé, il retirait sa cravate, sa chemise et se mettait à l'aise. Victor me rendait mes baisers, il avait aussi passé sa main derrière ma tête et me caressait mes cheveux. Quand on tournait les yeux vers Théo, il avait retiré ses chaussures et était torse nue, il nous regardait avec le sourire.

Théo : Et moi alors je fais quoi ?

Victor et moi lui sautions dessus, je l'embrassais sur le visage pendant que Victor l'embrassait sur le corps. On le caressait, on l'embrassait, il se laissait tomber sur le dos les bras en croix et les jambes écartées. 

Théo : Allez y les mecs faites moi plaisir !

Pendant que je l'embrassais sur les tétons, Victor lui ouvrait son pantalon, tirait dessus fortement et le lui retirait. Théo était à poil entre nos bras, Victor sans attendre lui suçait la queue et j'entendais Théo gémir de plaisir. Il glissait une main dans mon pantalon, me caressait la queue, je bandais déjà bien ferme à ce moment …

Et ne me dites pas que ça vous étonne, je ne vous croirai pas !

Il me tripotait les couilles en même temps. Je me redressais et retirais ma chemise et ma cravate que je lançais à l'autre bout de la chambre.  Théo me regardait faire il continuait à me tripoter les couilles au travers de mon pantalon.  Je me levais et il ne me fallait que quelques secondes pour me retrouver à poil et plonger de nouveau sur mon camarade. La nos caresses devenaient plus intense. Victor me suçait la queue.

Théo se déplaçait et je lui suçais la queue également, seul Victor était encore tout habillé. Je lui caressais les cheveux et appuyais sur sa tête avec force, il me répondait en faisant des bruits rigolos. Théo aussi s'amusait en appuyant sur sa tête, plus fort j'ai l'impression, mais les bruits que faisait Victor n'était pas plus forts eux.

Théo : Vas y Victor, fait nous un strip-tease.

Victor ne se faisait pas prier, il se relevait et du bout de la chambre se mettait à danser, il en rajoutais pour nous faire rire … Et ça marchait bien. On était plié de rire. On le regardait, toujours dans les bras l'un de l'autre, Théo et moi on se caressait, on s'embrassait. Je penchais la tête, je le suçais un peu puis il me rendait la politesse pendant que je regardais Victor.

Victor terminait son petit numéro, il dansait à poil désormais, il rigolait. On se relevait et on s'approchait de lui, on le caressait doucement de la main, il ne bougeait plus. Je le couvrais de baisers sur le cou et l'épaule gauche pendant de Théo en faisait de même à droite. Ma main se promenait sur le torse, le ventre puis sur le dispositif de chasteté qu'il portait, elle rencontrait à plusieurs reprises la main de Théo et en profitait pour caresser le bras de Théo.

Mes lèvres rencontraient aussi les lèvres de Théo,  on s'embrassait alors avec passion. Victor passait lui aussi ses mains sur nos corps, il insistait sur nos queue, nos couilles et finissait par s'accroupir devant nous. Il nous suçait alors avec passion, il fait ça très bien le petit Victor. C'est vrai qu'il est en manque de bite, ça fait plus de deux ans qu'il ne s'est pas branlé, qu'il n'a pas pu se tripoter. Je n'ose pas imaginer comment il doit se sentir frustré, enfin, je n'ose pas imaginer mais j'ose en profiter. J'appuyais sur sa tête en lui balançant un violent coup de bassin, il encaissait puis passait à mon camarade !

Ce jeux durait un long moment, il nous suçait l'un après l'autre. Théo se décidait à prendre la direction des opération, Il prenait Victor par le bras et l'attirait vers un lit, Victor s'installait à genoux sur le lit, le cul bien offert, bien accessible et se penchait bien en avant. Je prenais place et lui enfonçait la queue dans la bouche avec douceur mais pas trop … Si ça résistait un peu, même un tout petit peu, je forçais ! Victor râlait un peu puis finissait par se taire au moment ou mon gland s'enfonçait au fond de sa gorge.

Au moment ou Théo enfonçait sa queue dans l'anus de notre ami, je le sentais réagir, il tentait de se dégager. C'était un réflexe de défense, il faut dire que Théo n'y mettait aucune tendresse. Il avait bien lubrifié, le cul et sa bite, puis y était allé sans préliminaire, direct, bien à fond.

Victor gémissait comme il le pouvait, il n'était pas en position de se faire entendre, il n'était pas en position de force et ne parvenait pas à se dégager. Quelques instants plus tard le coups violents que lui balançait Théo résonnaient fort dans la chambre.

C'est sûr, c'est pas à ce moment que mon père devait entrer dans la chambre sans prévenir … C'est pourtant à ce moment que la porte s'ouvrait violemment … Non je déconne, comme je vous disais tout à l'heure, mon père ne  viendra pas nous surprendre, nous avons des invités ...

Je suivais les mouvements de Théo, quand je tirais la tête de Victor fermement vers moi je lui balançais des coups de bassin dans la bouche sans me retenir non plus. Il gémissait, c'était des bruits bizarres, on aurait dit qu'il chialait par moment. Franchement, je ne suis pas sûr qu'il appréciait à ce moment précis, même si moi par la suite j'ai appris à beaucoup apprécier cette position, je veux dire sa position !

J'ai fini par beaucoup apprécier de me faire défoncer le cul et la bouche et je suis sûr que lui aussi, mais à ce moment il devait le sentir passer !

Je respirais fort, je ne tentais pas de faire durer le plaisir, je n'avais pas envie d'en finir. J'avais seulement envie de prendre du plaisir. Et le plaisir je peux vous assurer que j'en ai pris au moment ou, le souffle court, dans un râle de plaisir je lui jutais dans la gorge. Je tirais alors sa tête vers moi de toutes mes forces et le maintenait contre moi. Je ne le lâchais que quand je voyais qu'il paniquait. Il manquait d'air. Il toussait et reprenait son souffle pendant un moment.

Théo n'avait pas arrêté ses mouvements et continuait à le buriner de toutes ses forces et peu après c'est lui qui jutais à son tour mais dans son cul. Comme moi un peu plus tôt il tirait fermement Victor vers lui et appuyait le bassin contre ses fesses. Victor avait le visage contre la couverture, on aurait dit qu'il chialait. 

On le laissait un moment, il ne bougeait plus, il reprenait son souffle. Quand il relevait la tête il était tout rouge, et en larme, ou alors il avait bavé tellement … Il faisait peur … 

Victor : Vous abusez là les mecs !
Théo : Tu n'as pas aimé ?
Victor : J'ai pas dit ça mais vous y allez un peu fort je trouve !
Moi : Prêt à recommencer ?
Victor : Non ! Déconnez pas ! Ça fait mal et toi tu en as une encore plus grosse !

Je rigolais de la réponse. On le laissait souffler puis on se prenait une douche, tous les trois ensemble. Chacun savonnait son voisin avec beaucoup de tendresse maintenant. Victor retrouvait des couleurs et un air présentable. Théo et moi avions toujours une grosse molle qui pendait devant nous mais le dispositif de chasteté de Victor, lui, pendait mollement entre ses cuisses. Il était calmé le petit Victor, toujours aussi mignon, j'avais envie de lui défoncer le cul mais il avait eu sa dose … 

On discutait encore un long moment, chacun sur son lit, à poil. Puis on se couchait et il devait être tard quand on s'endormait. Le lendemain on frappait à la porte avec insistance. Sans la présence de mes camarades la personne qui frappait n'aurait pas attendu aussi longtemps avant d'entrer.

Finalement la porte s'ouvrait. C'était le valet de chambre qui entrait, il glissait la tête, nous étions tous sagement endormis dans nos lits respectifs.

Le valet : Allez les jeunes, il est l'heure de se lever .Monsieur Philippe il faut se lever. Je vous laisse réveiller vos camarade. Monsieur Brosso vous attendra pour le petit déjeuner dans quinze minutes … S'il vous plaît Monsieur Philippe !

Je relevais la tête et lui faisait signe que je prenais les choses en mains. Il avait à peine refermé la porte que je hurlais …

Moi : Debout ! Il faut se lever ! Il y a le feu ! Sauve qui peut ! Dépêchez vous je plaisante pas il y a vraiment le feu !

Mes trois camarades sursautaient et se retrouvaient sur leurs pieds en quelques secondes, me regardaient, j'étais toujours dans mon lit et je rigolais comme une baleine !

Le temps de s'habiller, de se rendre présentable, et un bon quart d'heure plus tard nous descendions à la salle à manger, mon père y arrivait également.

M P : Bonjour les jeunes … Bien, très bien même … Dans les horaires, veste, chemise, cravate … Vous êtes tout à fait présentables les jeunes, je vois que tes camarades on une excellente influence sur toi Philippe. Bravo, je suis très favorablement impressionné !
Moi : Bande de fayots ( tout bas à l'intention de mes camarades )
M P : Tu as dit Philippe ?
Moi : Nan , j'ai rien dit !
M P : Mais si tu as dit quelques chose !
Moi : Bonjour papa !
M P : Bonjour Philippe …

On passait à table. Quelques instants plus tard mon grand père arrivait.

G P : Salut tout le monde … Mais qu'est ce que c'est que ça ? Non mais sérieusement vous avez vu dans quelle tenue vous êtes les enfants ? 
M P : Papa, enfin, je venais justement de les féliciter pour leur tenue. Ils sont en costume, ils sont comme moi, ils sont très bien !
G P : Oui mais enfin eux ils sont en vacances, ils devraient être en sandales, short ou bermuda et chemise à fleurs Hawaïenne ouverte …
M P : PAPA ! Tu sais très bien qu'on ne se présente pas à table en cette tenue !
G P : Encore un règlement ridicule. Heureusement que pour moi ce règlement ne s'applique pas !
M P : En plus tu n'as pas de cravate papa ! Mon dieu ! L'exemple que tu montres ! Bon je préfère vous laisser, mon hélicoptère m'attend sur le toit ! Ah Victor, une dernière chose, je voulais te dire que ta bourse est acceptée, tu recevras un courrier dans quelques jours. Et passez tous de très bonnes vacances !

Il quittait la table.

G P : Je vous préviens les jeunes, vous ne venez pas avec moi dans cette tenue, vous allez vous changer dès que le petit déjeuner est pris.

Mes camarades regardaient mon grand père avec un large sourire. C'est vrai ça, ils n'avaient même pas été présentés mais déjà ils le trouvaient sympathique !



EP 14 : LES PREMIERES HEURES SUR L'ILE



Je vous ai déjà dit que mon Grand Père sait mettre les gens à l'aise quand il veut, et bien mes camarades en ont fait l'expérience. Le petit déjeuner se terminait avec des étoiles dans leurs yeux, il leur racontait tout ce qu'on allait faire pendant les vacances. 

G P : Bon les jeunes, vous allez vous changer tout de suite, vous voyagez léger, on s'occupera de vos affaire, vous pouvez laisser vos bagages ici. 
Théo : Oui mais Msieu, je ne sais pas mais moi j'ai rien, pas de maillot de bain, pas de short … 

Victor ne disait rien mais il haussait les épaules et faisait non de la tête, c'était pareil pour lui. 

G P : Bien on va s'occuper de vous, allez en route …

On suivait mon Grand Père à sa voiture, Victor suivait il était toujours aussi impressionné que la veille, et même plus peut être encore. La voiture était encore plus impressionnante que la Bentley de mon père … 

On arrivait au magasin, Victor était embarrassé, c'était un magasin de luxe ; c'était très au dessus des ses moyens. Mon grand père prenait l'initiative nous demandait notre avis et rapidement on se retrouvait avec deux bermudas, des sandales, des polos … Enfin tout le nécessaire de vacances. Le reste de l'équipement, pour la plongée par exemple, était déjà sur place. On est équipé et on est organisé dans la famille.

On revenait chez mon père en laissant la marchandise au magasin. Là Victor ne comprenait plus rien, Théo ne se posait pas de questions. Arrivé à la maison le majordome de mon père demandait à Victor de bien vouloir le laisser prendre ses mensurations … Théo ne comprenait plus et Victor ne posait pas de questions …

C'est donc seulement avec l'indispensable, jeans basket, que nous montions sur le toit de la maison … Le voyage commençait là, un hélicoptère nous attendait. 

Moi : Magic Island est au milieu de l'océan, on ne va pas y aller comme ça ?
G P : C'est pour aller à la gare, le voyage se fera en train. 

Deux heures plus tard nous étions à la gare, nous avions un compartiment qui nous attendait, quelques sacs contenant les achats que nous avions fait nous attendaient aussi. Théo n'était pas vraiment surpris mais Victor lui, avait renoncé à comprendre depuis déjà un bon moment.

A l'heure prévue le train partait, nous étions montés à la dernière station avant l'océan, ce qui nous faisait un peu moins de trois mille kilomètres, ou encore, pas loin de quatre heures … Ce train est vraiment rapide, nous arrivions donc une heure après notre départ ( heure locale! ) on avait tout de même traversé plus de deux fuseaux horaires … Eh, éh, éh … Un décalage horaire en train, on n'arrête pas le progrès !

Pendant ce voyage nous étions en première classe et on avait bien sûr dîné dans le train, mais l'air de la mer et les voyages nous avaient mis en appétit et à peine arrivé nous descendions dans le premier restaurant qu'on rencontrait. Mon grand père préférait nous laisser. On se gavait de crêpes arrosées de cidre et on terminait par une glace. Mais ce qui surprenait le plus Victor c'est que quand on quittait le restaurant, personne ne nous courrait après ; pourtant on n'avait rien payé, d'ailleurs personne ne nous avait présenté de note …

Victor : Alors c'est comme ça, ici on ne paye pas ?
Moi : NOUS … Ne payons pas …
Théo : J'ai trop mangé moi, j'ai plus faim …
Victor : Oui mais là je ne comprends pas moi !
Moi : Je t'explique, si tu as besoin de quelque chose, tu te sers, ce sera porté sur notre compte, tu es notre invité et dans la famille on n'a pas l'habitude de présenter une facture à nos invités.
Victor : Oui mais si je veux acheter un souvenir par exemple …

Je devinais que Victor serait gêné s'il sentait qu'on lui offrait tout …

Moi : Et bien dans ce cas là tu expliqueras que c'est pour toi et qu'il faut le mettre sur ton compte personnel … On a des prix ici, la facture suivra avec une très grosse ristourne …
Victor : Ok … 

Il restait perplexe Victor !

On se rendait à la maison en passant par la plage, c'était un endroit magnifique, une étendue de sable fin, une forêt des palmiers entre lesquels on pouvait apercevoir des cabanes, des terrasses, des parasols, dans la baie une armada de bateaux de grand luxes. A peine visibles au dessus des arbres on apercevait le sommet des immeubles résidentiels qui formaient comme un petit Manhattan sur le côté nord de l'île en son centre.  Il y avait beaucoup de monde sur la plage, certains faisaient du sport ou des châteaux de sable. D'autres profitaient du soleil en ne faisant rien. D'autres encore nageaient ou faisaient du ski nautique.  La plage formait une baie de plus de cinq kilomètres de large, tout au bout, elle se terminait par un rocher qui s'élevait comme une falaise à plus de cent mètres au dessus de la mer et recouvert d'une forêt.

Victor : C'est sur ce rocher qu'on peut faire de la varappe ?
Moi : Non si tu regardes bien tu verras une petite maison qui apparaît entre les arbres …
Victor : Ah oui ! Ne me dis pas que c'est la maison …
Moi : C'est pas la maison !
Victor : Tu me rassures ! 
Théo : On est encore loin, en fait la maison est énorme !
Moi : Oui, il faut reconnaître qu'il y a de la place …
Victor : Mais c'est pas là que …
Moi : C'est pas la maison !
Théo : Il y a une piscine ?
Moi : Bien sûr, plusieurs même, on a tout de même le stricte minimum pour survivre !
Victor : Mais c'est pas la maison ?
Théo : Si c'est la maison !

Je faisais oui de la tête !

Victor : Mais pourquoi tu me dis que c'est pas la maison !
Moi : Mais c'est toi qui m'a dit … Ne me dis pas que … Alors je ne te dis pas !

Au pied de la falaise, il y avait un portail, il n'était pas verrouillé, on entrait, suivait un escalier creusé dans le rocher, plus on montait plus le paysage était beau, au sommet de la falaise on pouvait voir la voix ferrée posée sur l'eau. C'était étrange on voyait une sorte de pont qui disparaissait à l'horizon. Tout en haut on arrivait sur la terrasse de la maison, mon grand père y était déjà …

G P : La falaise fait presque cent mètre de haut … Pourquoi vous n'avez pas pris l'ascenseur les jeunes ?

Mes camarades se retournaient vers moi !

Victor : Et il y a un ascenseur ?
Moi : Oui mais on ne voit pas le paysage dans l'ascenseur …

Théo me donnait une tape sur le dos de la tête. On s'installait sur la terrasse, un employé en livrée nous apportait des rafraîchissements. 

Mon Grand Père : Je vous ai installé dans l'aile du petit bassin ! Ah un petit détail aussi Philippe, ici le personnel travaille pour moi !
Moi : Cool ! 

Mon grand père nous laissait et nous on se rendait dans l'aile du petit bassin. Dans cette grande maison c'était une aile ou une dizaine de chambres étaient regroupées en demi cercle autour d'une petite piscine de vingt cinq mètres ( petit détail, la piscine principale est aux normes Olympiques ), une petite ( enfin quand je dis petite … ) terrasse offrait une vue sur la mer et un coucher de soleil tous les jours … Ouai tous les jours, on en a de la chance !

Sans plus attendre je me mettais en tenue, Théo en faisait de même. Je veux dire par là que je me mettais à poil. On s'installait sur un transat, Victor nous regardait, il hésitait … Puis faisait comme nous. Rapidement nous étions tous les trois à poil enfin presque, pour l'un d'entre nous c'était bien presque !

Rapidement je bandais et je me caressais la queue, Théo faisait pareil. Je voyais le dispositif de chasteté de Victor se relever, il y avait de la pression, il réajustait plusieurs fois son dispositif en tirant sur la peau. Il paraît que ça ne fait pas mal ce truc mais c'est pas pour autant que c'est toujours confortable. 

Je devinais que pour Victor ce n'était pas confortable, je le regardais avec un petit sourire malicieux. Théo se masturbait doucement, complètement allongé, les jambes légèrement écartées et les yeux fermés. Je faisais comme lui. Victor nous regardait, l'un puis l'autre, son regard passait de ma queue qu'il regardait avec avidité à celle de Théo qu'il regardait avec envie également. Il faisait un mouvement pour se lever.

J'étais plus rapide que lui. Je me levais et lui faisais signe de ne pas bouger, il se laissait retomber et se tripotait son dispositif, il se massait les couilles, il était en manque. 

Moi : On joue au bout en train ?

Je me dirigeais vers Théo, qui n'avait pas ouvert les yeux mais faisait un grand sourire …

Théo : Et c'est lequel qui va être frustré ?

Je me penchais sur lui, prenais doucement sa queue entre mes doigts, il retirait sa main. Je lui caressais sa queue avec douceur, il ouvrait un œil. Je passais doucement ma langue que son gland, il gémissait pour m'encourager.

Théo : Alors ce sera qui le bout en train ? Celui qui n'aura pas droit à la bite aujourd'hui …

Victor nous regardait avec envie, sa langue passait sur ses lèvres avec insistance. Il ne se tripotait plus son dispositif mais celui ci se relevait avec des mouvements rapides. Sa queue se contractait à chaque battement de son cœur, et à chaque battement de son cœur se soulevait par à-coup. Victor ne bougeait plus.

J'avalais alors ce gland que je suçais généreusement avec ma langue, je la faisait passer avec douceur tout autour de son gland qui s'enfonçait un peu plus à chaque tour. Le farceur appuyait sur ma tête. Je le laissais faire je ne résistais pas. 

Au bout de quelques minutes sa queue s'enfonçait jusqu'au fond de ma gorge, je relevais la tête pour pouvoir respirer, il me laissait faire un instant puis appuyait sur ma tête en relevant son bassin, sa queue s'enfonçait alors jusqu'à ma gorge. Par moment il appuyait un peu plus fort, un peu plus longtemps et mon nez s'appuyait alors sur son ventre. Je ne pouvais plus respirer, je me retenais un moment mais j'étais finalement obligé de relever la tête. Le mouvement reprenait.

Je finissais par dégager ma tête …

Moi : A moi maintenant !

Il riait de ma réplique, je m'allongeais sur mon transat, on inversait la position. C'est Théo qui maintenant me suçait la queue. Tout comme moi, il passait longuement sa langue sur mon gland, il insistait particulièrement sur la petite fente qu'il y a tout au bout un peu comme s'il voulait y entrer la langue. Ça fait tout bizarre, c'est une zone sensible, et je me contractais à ce moment, je tremblais un peu aussi.

Ensuite il prenait mon gland dans sa bouche, je sentais toujours sa langue qui me caressait le gland, c'était divin. Il ne m'avait jamais montré autant de tallent dans la fellation le petit Théo. Je me disais que j'avais bien fait de l'inviter. A ce moment, un peu comme si je convulsais, j'appuyais sur sa tête avec force, il était surpris et n'avait pas le temps de réagir. Ma queue s'enfonçait dans sa bouche jusqu'à la garde et son nez s'écrasait sur mon ventre. Il émettait un bruit bizarre qui m'amusait beaucoup. Je maintenais ainsi fermement sa tête jusqu'à ce qu'il force pour se dégager. Je le lâchais, il relevais la tête et me regardais dans les yeux en reprenant son souffle !

Moi : Tu veux pas que je t'encule … Tu serais mignon !
Théo : Pauv con !

Ça y est il recommence ! Ce qui ne l'empêchait pas de replonger quelques instants plus tard, il avalait alors directement ma queue bien à fond, relevait la tête puis replongeait à un rythme rapide. Des deux mains je le suivais, je ne le forçais pas, il n'en avait pas besoin. 

Je regardais dans la direction de Victor. Il était tétanisé, il respirait fort, il s'était tourné vers nous les jambes bien écartées, il ne bougeait plus, il nous fixais du regard, seul son dispositif se soulevait par saccades,on devinait que son cœur battait fort. 

Théo relevait la tête d'un air bien décidé.

Théo : C'est moi qui t'encule ! Retourne toi !
Moi : Non !
Théo : Comment ça non ?
Moi : Je me retourne pas !
Théo : Ok , tu l'auras voulu.

Je ne vous ai pas dit tout à l'heure qu'on est organisé … J'avais un tube de gel à porté de main … Il faut toujours être prêt à toutes éventualité.

Je le lui donnais. Sans ménagement il me soulevait les jambes, plaçait mes chevilles au niveau des ses épaules, s'appuyait contre mes jambes les repliant contre on thorax. J'avais pas prévu qu'il serait aussi rapide et je voulais en fait me retourner mais c'était plus la peine, je laissais faire.

Un regard vers Victor, il avait l'air de suffoquer le pauvre, il ne bougeait toujours pas.

Théo avait pris position, le bout de sa queue appuyait déjà sur mon petit trou de balle. J'avais du mal à respirer mais Théo ne s'en préoccupait pas, remarquez j'aurais fait pareil, il m'avait bien lubrifié le cul, il s'était bien lubrifié la queue, il appuyait.

Il appuyait doucement au début, en un seul mouvement il enfonçait sa queue de plus en plus profond. Je sentais mon cul se dilater, et je sentais une douleur très forte. Je gueulais, il poussait plus fort et plus vite. Je hurlais de douleur, il poussait alors de toutes forces bien à fond, je voulais me dégager mais je n'avais aucune prise, c'est lui qui me tenait et il ne voulait pas me lâcher .

Moi : Arrête, tu fais mal !
Théo : Non, j'y suis, j'y reste !
Moi : Arrête, tu fais vraiment mal !
Théo : Pauv con ! Je me venge !

Je gueulais, je gigotais, je tentais de me dégager mais il me retenait. J'étais bloqué. Il se retirait un peu et revenait en force, avec violence il appuyait de toutes ses forces. Son bassin était collé contre mes fesses et il appuyait. Je tremblais. C'était vraiment douloureux mais pas que. J'éjaculais et de ce côté j'éprouvais un immense plaisir. Mon cul se contractait alors, c'était encore plus douloureux. 

Je me débattais, je gueulais, je gémissais, je chialais. Théo ne lâchait rien il se retirait toujours un peu pour revenir avec violence. Je sentais mon cul se contracter, il me faisait mal.

Je sentais sa respiration s'accélérer, je le sentais trembler, il gémissait et lui c'était pas de douleur. Suivaient encore deux ou trois coups de butoir et je le sentais frémir, il jouissait dans mon cul. Encore deux ou trois coups de rein et il se retirait. Au moment ou il ressortait de mon cul un long filet de sperme en coulait, et un autre filet de sperme coulait de ma queue. J'avais débandé depuis un moment là … La douleur ne persistait pas.

Théo se penchait vers moi et me donnait un baiser avec beaucoup de douceur et de tendresse. 

Victor était retourné le pauvre. C'était réussi, si le but était de le frustrer c'était réussi. Il était en manque, son souffle était fort et son dispositif se relevait toujours par à-coup. Il avait la main sur le cœur et le regard fixe !

Théo se relevait, il avait l'air content de lui. On décidait de passer sous la douche, Victor également mais lui c'était pour une douche froide, il en avait besoin. J'avais mal au cul ! 

Théo : Tu m'avais bien dit que je pourrais me venger ! Non ?
Moi : Pfff . Mais ça fait mal ton truc, il est trop gros !

Il éclatait de rire. On enfilait un bermuda, un T-shirt et on se préparait à passer à table.

Théo : On ne va pas passer à table en cette tenue ?
Moi : Si tu ne veux pas te faire engueuler par mon grand père, si !
Théo : Moi ça me fait tout drôle !
Moi : Remarque tu peux aussi y aller torse nue, si tu veux !
Théo : Tu déconnes !
Moi : Non. On est chez mon grand père et on est en vacances … 
Théo : On recommence quant tu veux bonhomme, je suis sûr que tu as aimé !
Moi : Pauv con !


On prenait la direction de la petite salle à manger. Moi je restais torse nue, les autres n'osaient pas mais moi si. Les vacances venaient de commencer.


Voilà qui termine cette première saison des aventures de Philippe. Une seconde saison est en préparation. N'hésitez surtout pas à me donner vos impressions, me dire ce que vous en pensez en me laissant un commentaire. 

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