Ep 1 : IL SAVAIT CE QU'IL VOULAIT
J'ai trouvé sur internet une histoire qui s'intitulait '' The installation'' c'est cette petite fiction qui m'a inspiré l'histoire qui suit...
...
Le port d'un dispositif de chasteté masculin était depuis quelques années devenu banal, voir même de bon goût dans certains milieux, ou dans certaines professions. On trouvait de la pub dans de nombreuses revues, les religions s'en étaient mêlées et les lieux de cultes étaient devenus les plus actifs lieux de promotion de tels dispositifs ... De nombreux bureaux de vente avaient ouvert, ils étaient restés cantonnés dans des centres commerciaux généralement dans la périphérie des villes pendant longtemps ils étaient très discrets, mais depuis quelles années ils ouvraient dans les centre-villes dans les galeries marchandes, accessibles mais toujours discrets.
David venait de franchir une de ces portes discrètes de la galerie marchande, il ressentait comme un nœud dans son estomac, et avait la sensation de trembler, il était nerveux. Il se retrouvait dans un petit hall tout blanc, une porte s'ouvrait sur le mur de droite, une hôtesse l'invitait à entrer.
- Je m'appelle Nathalie vous êtes un peu en avance David, mais ce n'est pas grave. Vous pouvez vous installer et attendre tranquillement, personne ne viendra vous déranger, si vous avez besoin de quelque chose il y a une sonnette ici ... Votre conseiller François va vous recevoir dès que possible.
Elle lui indiquait la sonnette ainsi qu'un fauteuil géant très confortable avant de le laisser seul. Il y avait un grand écran de télévision au milieu du mur face au fauteuil, ainsi que différentes lectures sur une petite table design a coté du fauteuil. David connaissait bien l'endroit, toutes les salle d'attente étaient identiques, il était déjà venu à plusieurs reprises ici, pour prendre son rendez-vous d'aujourd'hui, mais plus tôt déjà, bien plus tôt … Pourtant, il n'avait que dix huit ans!
Il était très en avance, il le savait, alors il ne lui restait plus qu'à attendre. Il s'installait confortablement et regardait la télé, c'était un film de pub, de propagande diront certains, sur le dispositif des chasteté PK-OR le dispositif permanent et non amovible, quasi impossible à retirer, réalisé dans un alliage plus dure que les meilleurs aciers, jaune brillant comme l'or, mais impossibles a rayer, riveté, plus de 40 points de rivetage, 40 points de fixation ou les différents élément du dispositif de chasteté s'emboîtaient en force. Pour le retirer il fallait couper chacun des points de rivetage ce qui provoquait une surchauffe, donc il fallait y aller doucement il fallait de nombreuses heures de travail avec une scie spéciale capable d'effectuer un travail minutieux, très minutieux, et de nombreuses pauses pour éviter la surchauffe ...
C'était ce dispositif qu'il était venu se faire poser ... Il en portait déjà un depuis plus de deux ans sans interruption, il avait décidé depuis longtemps qu'il voulait la PK-OR et en avait donc commandé une. Le dispositif était fabriqué sur mesure, et comme on ne pouvait pas le retirer, pour en avoir un il fallait avoir porter un autre dispositif de chasteté pendant au moins six mois et avoir plus de dix huit ans. Il remplissait les deux conditions. C'était aujourd'hui le jour de ses 18 ans ...
Il se souvenait de sa première visite dans ce centre... C'était il y a presque trois ans, il avait à peine plus de quinze ans ! Ce petit gars savait déjà ce qu'il voulait !
Il se souvenait ... Ce jour là, il était entré, sans trop savoir comment ça allait se passer... Un jeune homme d'environ vingt cinq ans lui avait alors ouvert la porte pour l'accueillir, l'avait fait entrer dans un bureau. ''Bonjour, je m'appelle François, vous me paraissez bien jeune mon garçon, asseyez vous si vous voulez bien, nous allons faire connaissance.''. David était très intimidé, mais il était décidé, et de plus François semblait très sympathique, il entrait et s'asseyait , François prenait place en face de lui.
David : J'ai quinze ans et six mois !
François : Je vais te dire '' tu '' si ça ne te dérange pas donc. Tu es très jeune, et je suis étonné de te voir ici, tu es sur que tu ne t'es pas trompé de porte ?
D : Non, je porte déjà un dispositif de chasteté et on m'a dit que ... ici ... je n'ai pas de keyholder ...
F : Tu voudrait que le centre devienne ton keyholder ?
D : Oui c'est exactement ça. .. Ça se passe comment ? Je vous donne les clés ? c'est payant ? c'est chère ? Vous vérifiez si le dispositif est correctement posé ? Vous posez une puce de sécurité ? C'est un Classic Confort CC-T4 ? ...
F : Du calme mon garçon, rien de tout cela ! Tout d'abord tu es trop jeune, beaucoup trop jeune. Tes parents ne devraient pas te faire porter un tel dispositif, ils n'en ont pas le droit, c'est interdit !
D : Mais ils ne le savent pas, je leur ai pas dit !
F : Bien ! Donc tu as 15 ans et demis, tu portes une PK-CC, c'est un modèle très confortable, T4 c'est la taille, j'en ai porté une aussi mais je me limitait à la taille 3, et tes parent ne le savent pas ! j'aimerais comprendre ...
D : Bon d'accord je vous raconte tout si vous acceptez mes clés !
F : Pas avant tes 16 ans, c'est l'âge légal minimum, mais raconte quand même.
…
David : Voilà, c'était l'an dernier environ 4 mois avant mes 15 ans, je m'amusais dans le grenier chez mon grand père. Mon grand père voyage beaucoup, et il y a plein de trucs qui viennent d'un peu partout sur la planète, et, dans tout cela, un jour j'ai trouvé une boite qui ressemblait à un livre... sur lequel était marqué ''PURITY KEEPER''. J'ai tout de suite compris ce que c'était mais ce qui m'a le plus surpris, c'est que c'était à mon grand père. Je savais pas que ... On n'en avait jamais parlé dans la famille ... C'était complètement fou et je trouvais cet objet absolument magnifique, je n'avais qu'une seule envie... Dans un premier temps, je replaçais la boite à sa place.
Le soir, je n'arrivais pas à dormir, je revoyais l'objet, il était vraiment beau, était-il assez grand, la taille c'est important il faut qu'il soit parfaitement ajusté... Je finissais par m'endormir en m'imaginant avec ce superbe dispositif entre mes cuisses.
Le lendemain, je remontais dans le grenier pour admirer de nouveau ce petit bidule. Il y avait un mode d'emploi , je m'installais confortablement dans un vieux fauteuil en cuir déchiré, et je commençais la lecture, la taille, comment se mesurer, comment le passer, conseils pour l'ajuster, l'hygiène, les précautions d'emploi ... Toutes les infos pour porter sans problème et durablement l'objet. Je restais, hésitant, puis brusquement je me relevais, trouvais une règle et me mesurais, évidemment je bandais dur. En érection, la taille correspondait, mais au repos ... Comme je ne parvenais pas à me calmer, il ne restait plus qu'une seule solution ... Je me branlais vigoureusement ! Deux fois de suite, et enfin j'arrivais à me calmer. Je mesurais à nouveau ma bite au repos ... les dimensions correspondaient aussi, j'hésitais un moment puis je décidais de l'essayer ! Je suivais rigoureusement la notice, passais d'abord un testicule dans l'anneau puis le second et glissais la bite, c'est sur pour la passer il fallait pas bander, la sensation était assez agréable, une douce pression à la base de mon sexe ... je glissais ensuite ma bite dans le tube (il était très aéré, ça ne devais poser aucun problème pour l'hygiène) j'enclenchais le tube sur l'anneau et verrouillais l'ensemble avec le cadenas ... Puis une sueur froide, les clés, ou sont les clés ? Je fouillais la boite comme un fou, ou sont les clés? Elles étaient bien là!
Voilà, j'étais là, chez mon grand père, dans le grenier, le pantalon baissé, un dispositif de chasteté parfaitement verrouillé entre mes cuisses. Je me levais pour pouvoir m'admirer dans un miroir, c'était le délire, je trouvais ce que je voyais très beau, je bandais mais ça ne se voyait pas. Aucune douleur, je ressentais seulement une forte pression autour de ma bite, c'était finalement une sensation assez agréable ...
A ce moment j'entendis Thierry un ami qui devait me rendre visite, je l'avais complètement oublié celui-là, il m'appelait, "David, tu es là, qu'est ce que tu fabrique au grenier ?'' . Je l'entendais monter ! Je remontais mon pantalon, rangeais la boite à sa place avec les clés dedans, me laissais tomber sur le fauteuil, attrapais une bande dessinée l'ouvrais au hasard et faisais semblant de lire au moment ou il arrivait au grenier.
T : "Mais qu'est-ce tu fabriques ? tu viens, on va jouer au foot. Tout le monde t'attend !''
Je regardais par la lucarne, en effet toute l'équipe de copains était là, Denis , olivier , Antoine...
Moi : '' Ok, j'arrive!''
Nous descendions ensemble les escaliers, mais j'étais terrorisé, je portais une ceinture de chasteté depuis moins d'une demie heure et je ne savais pas comment ça allait marcher, c'était une nouvelle expérience, une véritable aventure, j'étais terrifié mais terriblement excité.
Le reste de la journée se passait sans problème, j'avais toujours l'impression de bander dur, en fait je pense que je bandais, j'avais l'impression d'avoir un truc énorme dans le pantalon, une bosse énorme qui devait se voir, mais rien ne dépassait, c'était totalement invisible.
On jouait au ballon, on faisait du vélo, on courrait, sautait, bref on s'amusait bien tranquille sans se retenir et sans gène. J'étais ravis, très contant. puis arrivait l'heure de rentrer, je revenais chez mon grand père, toutes les fenêtres étaient fermées, la porte du jardin aussi était fermée, je faisait le tour de la maison rapidement. Ma mère était en train de fermer la porte d'entrée ...
Ma mère : ''Ah, te voilà! Je me demandais ou tu étais rendu, je referme la maison, ton grand père trouvera une maison propre quand il reviendra, c'est pour dans deux ou trois semaine, enfin, s'il n'est pas en retard... ce ne serait pas la première fois. Je te laisse rentrer en vélo, ne traîne pas trop demain il y a école.
Ma mère me laissait là et repartait en voiture. J'étais là, avec un dispositif de chasteté verrouillé, les clées étaient hors de portée. Je reprenais mon vélo et faisait route vers la maison, mais là j'étais vraiment inquiet, j'avais les boules quoi !
François écoutait attentivement cette histoire, il avait l'air un peu amusé et impressionné, David savait vraiment ce qu'il voulait, mais il avait envie de connaître la suite.
François : '' Et tu es resté longtemps comme ça ?
David : En fait je l'ai pas encore retiré ...
F : C'était la première fois que tu, C'EST LA PREMIERE FOIS que tu portes ce truc et ça dure depuis dix mois??!!
D : Oui.
F : Tu n'as jamais eut des douleurs , des irritations, des gènes, aucun problème ?
D : Non, il doit être exactement à ma taille.
F : Ça c'est sur, trop grand il y a des frottements et ... douleurs, trop petit ça coince et douleurs également, ou pire ... Mais c'est vrai que la PK-CC est de grande qualité, très confortable, j'en ai porté une pendant trois ans sans interruption ...
D : Au début il arrivait que ça me réveille en fin de nuit mais je m'y suis totalement habitué en quelques semaines. Grand père est revenu de son voyage deux mois plus tard, je ne suis retourné chez lui que deux semaines avant son retour, je portais le dispositif depuis six semaines, je me suis assuré que les clés n'avaient pas bougé, mais je ne les ai pas utilisées. En fait, je me sentais bien, je me sens toujours aussi bien, j'aime cette sensation.
F : Tu es trop jeune pour que quelqu'un te force à porter un tel dispositif mais si c'est ton choix, si tu ne subis aucune contrainte, on ne peut pas te l'interdire...
D : Alors je peux déposer les clés ?
F : Non, sur ce point on n'a pas le droit. Pas avant tes 16 ans. il va falloir attendre un peu. Encore six mois, je te conseil de passer un contrat de chasteté avec une église quelconque, comme ça ce sera gratuit, on pose une puce de sécurité, elle prouve que le dispositif n'a pas été ouvert avec ou sans les clés, c'est fait en cinq minutes, il suffit de prendre rendez-vous deux semaines à l'avance environ.
D : Ce serait bien si c'était pour mon anniversaire.
F : Si tu veux une date précise demande ton rendez-vous au moins un mois à l'avance, c'est plus sûr!
La première rencontre avec le centre s'était bien passée, et David avait suivi tous les conseils de François, il revenait six mois plus tard, le jour de son anniversaire. C'est François qui s'était chargé de son dossier. La puce de sécurité était un système très simple, c'était une puce électronique imprimée sur un support souple, un film auto-collant, il était collé sur le dispositif de chasteté, si elle venait à être ouverte avec ou sans la clé, la puce serait détruite prouvant l'ouverture du dispositif de chasteté ! Le principal intérêt de cette puce est qu'il était alors possible de contrôler la viabilité du dispositif à distance, en passant un portique, ou une porte, ou tout simplement en passant à proximité d'un détecteur.
De fait, ce jour là, en entrant dans le centre il avait été contrôlé, il avait été validé chaste depuis deux ans même si en fait cela faisait déjà plus de trois ans... Le deuxième intérêt était que le porteur pouvait garder les clés, au cas ou, une urgence, mais si toutefois il ouvrait le dispositif, il n'aurait aucun moyen de le dissimuler. David avait choisi de conserver les clés, elles étaient restées dans leur boite, au fonde d'un placard, dans le grenier du grand père et par habitude ou pour se rassurer, David trouvait toujours une occasion pour monter y jeter un coup d’œil à chacune de ses visites...
La PK-OR n'était pas donnée, elle était même très chère ... Et aucune association de promotion de la chasteté ne la prenait en charge. Il fallait payer cash, il fallait même payer à la commande, non remboursable puisque l'objet était fait sur mesure, c'est par un total hasard qu'il avait trouvé le financement, car bien sûr il n'avait pas les moyens financiers de se la payer …
C'était environ un an plus tôt, il était passé voir son grand père, c'était un bel athlète de 57 ans, musclé sportif et même très actif. Grand voyageur, il était souvent absent souvent à l'autre bout du monde, et généralement pour de longue période. Il s'était marié très jeune, il avait eut son premier et seul enfant, le père de David, à l'âge de vingt ans. Sa femme était morte plus de quinze ans plus tôt, David n'avait pas connu sa grand mère. Depuis son grand père vivait seul. Ce jour là, David était venu voir son grand père et comme à chacune de ses visites, il faisait un tour rapide au grenier pour jeter un œil sur les clefs. Mais ce jour là, les clefs n'étaient plus à leur place, la boite avait disparu. Il y avait eut du rangement dans le grenier...
En redescendant, David était inquiet, perplexe. Il revenait dans le salon ou l'attendait son grand père qui venait de déboucher une bière.
Le grand père : Et bien alors David, qu'est ce qui t'arrive, tu as perdu quelque chose? Viens donc boire une bière, celle la je l'ai ramenée d'Inde.
David s'asseyait il était livide qu'est ce que ça voulait dire "tu as perdu quelque chose" son grand père avait trouvé la boite vide qu'allait-il penser et qu'est ce qu'il allait lui dire ? En fait avec toute cette excitation il ne s'était jamais demandé si son grand père remarquerait la disparition de la PK ni quand ! Petit détail qu'il avait complètement zappé …
Il n'osait pas regarder son grand père, il prenait la bière qui était sur la table devant lui et, restait figé, la boite qu'il recherchait était là, sur la table, la boite en forme de livre avec les clées en dedans pourtant elle n'était pas là quand il était arrivé, ça il en était sûr... Le Grand père remarquait le trouble de son petit fils qui devenait tout rouge de confusion.
G P : Alors c'est bien toi qui t'es amusé avec ...
D : Oui ... enfin ... je voulais pas ... c'est à dire que...
Le grand père éclata de rire.
G P : Bon, d'accord, tu t'es amusé avec, et tu venais le remettre en place c'est pas grave tu sais, y a pas de problème... Il y a longtemps que tu joues avec dis-mois.
David pris une grande bouffé d'air puis ... sans marqué aucune pause ...
D : J'étais juste venu voir si tout était en ordre si les clés était toujours là je porte ton dispositif depuis maintenant presque 27 mois sans interruption et je me suis fait posé une puce de sécurité le jour de mes 16 ans personne n'est au courant dans la famille ni chez mes amis tu es le seul à savoir maintenant si tu veux que je te le rende mois j'aimerais bien le garder en fait je voudrais une PK-OR mais c'est trop chère et il faut avoir plus de 18 ans pour pouvoir s'en faire poser une et j'en ai pas encore 17.
David était tout rouge et reprenait son souffle.
G P : Du calme ! Respire ! Avale une gorgée ça ira mieux, ça va aller, ça va aller !
Il regardait David et lui souriait.
G P : Tu sais, j'en ai pas besoin, je l'ai porté pendant plus de dix ans, après la naissance de ton père, puis je suis passé à autre chose ...
En disant cela, le grand père se levait, ouvrait sa braguette, baissait son pantalon et son slip ... David regardait les yeux émerveillés ... son grand père portait une PK-OR!
G P : Je la porte depuis l'âge de trente ans. Le modèle venait juste de sortir, il y a une puce de sécurité intégrée, et, que dire de plus, elle est très confortable, toujours aussi brillante qu'au premier jour, aucune irritation, aucune gène ... j'adore !
Disant cela, il remontait et refermait son pantalon. David n'en revenait pas . Il avait eut peur qu'on lui fasse la morale, ou des reproche. Finalement c'était cool il pouvait garder sa PK-CC, et de plus c'était une complicité qui était en train de naître avec son grand père.
D : Je veux la même !
G P : On verra en temps utile, pour le moment tu es équipé, tu sais je l'ai portée pendant près de dix ans, mais moi c'est vrai que j'avais vingt ans et toi ... Tu la porte depuis plus de deux ans ... tu n'avais même pas quinze ans ... raconte ...
David lui racontait toute son histoire, son grand père écoutait avec attention, il était impressionné, le petit savait vraiment ce qu'il voulait. Finalement ils décidèrent tous les deux de remettre les clés au grenier, David pourrait s'il craquait retirer la PK-CC, personne ne lui demanderait de rendre des comptes...
Un mois et demis avant son dix huitième anniversaire David était invité par son grand père pour souper un week-end. Il arrivait tôt, finalement c'est une habitude chez ce garçon d'arriver en avance, il avait emmené une bonne bouteille, il savait que son grand père était amateur de bon vin même s'il n'en buvait que rarement. La soirée se passait calmement, les deux hommes discutaient de choses et d'autres, l'un racontait son dernier voyage, l'autre comment se passaient ses études... La discussion dérivait inévitablement sur la PK-OR, c'est alors que le grand père fit cette proposition à David.
G P : Dis moi David, tu veux toujours avoir une PK-OR ?
D : Oui, mais tu as vu le prix, c'est pas donné, et j'ai pas les moyens, j'ai travaillé pendant les vacances, j'ai économisé au maximum mais c'est loin d'être suffisant.
G P : Ça va faire bientôt 39 mois que tu portes ta PK-CC ?
D : Oui, j'y suis tellement habitué que j'ai même pas envie de la retirer.
G P : Alors si je te propose, pour tes dix huit ans, une PK-OR ou un voyage en Afrique pendant les grandes vacances ... tu choisis quoi ?
D : Non pas ça! la PK c'est pour la vie, j'en rêve depuis des années, le voyage c'est pour un mois ça aussi ça fait rêver ...
G P : Deux mois !
D: Même deux mois au final, il me restera que des souvenir .
G P : Les souvenir, c'est pour la vie aussi !
D : Oui mais, je pourrais y aller plus tard, j'ai un grand père qui a une maison dans cette région du monde.
Il jetais un coup d’œil a son grand père qui lui répondait par le même coup d’œil complice et amusé.
G P : Oui, d'accord, mais pour le moment tu es équipé ...
D : Oui, mais, non ! Finalement je choisis la PK-OR !
G P : C'est définitif ?
D : Définitif, irrévocable !
G P : Alors je t'offre les deux !
D : Grand père je t'adore! ...
G P : (en lui donnant un document dans une enveloppe) Tiens c'est pour toi, un bon de commande, tu n'auras plus qu'à le faire validé au centre PK de ton choix, c'est payé, bien sur puisqu'il faut payer à la commande, ils m'ont promis que tu pourrait l'avoir le jour de tes dix huit ans, ensuite n'oublie pas de faire valider ton passeport, trois mois après, c'est le grand voyage.
David se souvenais de ce jour là un mois et demis plus tôt, et voilà, il se retrouvait dans cette salle d'attente et c'est son grand père qui lui offrait son rêve de chasteté. David était perdu dans ses rêves quand il entendit à coté de lui :'' Ça va David on peut y aller ?'' c'était François son conseiller qui venait d'entrer
François le conduisait dans une grand salle blanche aseptisée, très lumineuse avec en son centre un un grand fauteuil du genre de ceux qui sont utilisés pour les accouchements.
F : On y est ! C'est le grand jour ! Toujours décidé ?
D : Et comment ! J'ai les jambes qui tremblent, j'ai à la fois une sensation de panique et d'enthousiasme. Mais décidé, ça oui , et comment !
F : Alors on passe à la suite. Tu vas retirer tes vêtements, tu pourras les ranger là, il indiquait un porte manteaux que David n'avait pas remarqué avant, puis tu pourras prendre place sur la fauteuil.
David lui répondait avec un sourire et s’exécutait, il s'installait sur le fauteuil, les jambes écartées.
François s'approchait et , tout en tournant autour du fauteuil.
F : Je vais maintenant te ceinturer au fauteuil, tu ne pourras plus bouger. Toujours d'accord ?
David fit un geste de la tête tout en avalant sa salive. Il laissait François lui fixer les chevilles, les genoux puis les cuisses.
F : Tu peux tout interrompre à tout moment, tant que nous n'aurons pas atteint le point de non retour ... Je te préviendrais à ce moment et te demanderais de confirmer ta décision une dernière fois ...
Il continuais à ceinturer David , le ventre, le torse ... Les bras étaient en arrière vers le bas sous le fauteuil. François plaçait dans la main de David un dispositif , une sorte de poignée qui fonctionnait comme frein d'un vélo.
F : C'est toi qui va verrouiller la PK quand elle sera en place, tu n'aura qu'a actionner ce dispositif, un peu comme quand tu freines avec ton vélo.
François s'approchait du visage de David.
F : Bien, nous y voilà ... On est au point de non retour ... Toujours décidé ?
Tout en avalant sa salive, David bafouillait '' Oui toujours ''
F : Alors répète après moi ... C'est sans aucune contrainte que je vous demande de procéder.
David respirait bien a fond, avalait sa salive et répétait distinctement la phrase ...
Sans aucune hésitation François bâillonnait David puis venait se placer entre ses cuisses, il ouvrait le dispositif, le retirait délicatement, puis lui caressait les cuisses et lui massait le sexe, doucement puis plus fermement. Rapidement David bandait !
F : Nous allons voir si tout est en ordre, si tout fonctionne bien. Pour le moment ça a l'air bon...
Il se penchait et commençait à sucer la queue de David qui n'en revenait pas et ,surpris tentait d'abord de se dégager... Mais .... C'est à peine s'il pouvait bouger !
François relevait la tète et tout en continuant à masturber David.
F : Quarante mois depuis ta dernière branlette, je vais t'offrir un petit plaisir, et un souvenir, t'es pas près d'oublier ça !
Il continuait de le pomper tout en lui caressant les cuisses, lui gobais les couilles sans cesser de lui masser la queue et le gland lubrifié au maximum. Recommençait, plus vite, moins vite, plus fort plus doucement. David respirait de plus en plus fort, jusqu'au moment ce fut l'explosion, il éjaculait tout en poussant un long gémissement au travers de son bâillon . La tension allait s'apaiser mais François continuait a le masturber. David se contractait ses muscles se tendaient, il essayait de se dégager mais ses mouvements étaient impossibles.
Il gémissait, son souffle était vraiment très fort, il semblait vouloir dire , '' Assez j'en peux plus '', mais seul un râle passait au travers du bâillon.
Il se raidissait, se contractait, tremblait, ses yeux semblaient dire '' Pitié '' quant... Nouvelle explosion, il éjaculais de nouveau et continuait a se contracter et a trembler. Il était en sueur, son souffle restait intense. François ne le touchait plus, il était debout, le regardai, lui souriait.
F : Moi j'ai jamais oublié, toi non plus tu n'oublieras pas !
François essuyait David qui réagissait par une contraction a chaque contact sur sa peau. Puis sans plus d'hésitation commençait à installer la PK-OR. La PK-OR posée il installait dessus la pince hydraulique miniaturisée, un petit dispositif qui permettait de la verrouiller définitivement. Il plaçait dans la main de David une petite poignée qui pouvait faire penser un un frein de vélo ...
F : Surtout ne lâche pas , tiens la poignée bien serrée . Maintenant, c'est à toi...
Il remarquait que David était tendu et serrait de toutes ses forces la petite poignée dans sa main.
F : Au moment ou tu lâcheras la poignée, la PK-OR sera définitivement fermée ... C'est à toi !
Il retirais le bâillon et David se mit a hurler...
D : Arête tout, je veux plus! C'était trop bon, non, je veux plus !
Il regardait François qui s'était placé en face de lui à quelques pas et lui souriait .
D : Je veux plus, j'ai changé d'avis ! On arrête tout, la PK-OR n'est pas encore verrouillée, retire la, ... S'il te plaît!
François le regardais en souriant sans bouger.
F : La poignée va devenir de plus en plus dure, tu auras de plus en plus de mal à la mal à la retenir.
David regardait le dispositif qu'il avait entre ses cuisses puis regardait François.
D : S'il te plaît, libère moi, je veux plus...
F : Lâches la poignée et tu seras libère!
D : Et la PK sera fermée
F : Oui!
D : Non ...
David regardait François qui ne bougeait toujours pas et lui souriait, la poignée devenait vraiment dure, il ne pouvait plus la retenir, il la lâchait. Les quarante rivets se refermaient tous en même temps dans un bruits d'explosion, il sursautait, la pince se libérait et retombait sous le fauteuil, la PK-OR était visible dans toute sa splendeur, les ceintures qui le rattachait au fauteuil se libéraient toutes en même temps,il était libre de ses mouvement ...
David restait là quelques instants sans bouger... François lui rapportait ses vêtements, David se relevait, descendait du fauteuil l'air un peu sonné puis s'habillait avec des gestes hésitants.
F : Ça va ?
David esquissait un sourire ...
D : Ça va !
Avant de remonter son pantalon, il se regardait un long moment dans un miroir ... son sourire revenait progressivement, finalement c'est un large sourire qui éclairait son visage ravi.
D : Finalement c'est cool, vraiment très beau, j'adore! Et c'est vrai, c'est une journée que je n'oublierai sûrement jamais.
Au dernier moment il avait voulu renoncer … Le protocole lui avait un peu forcé la main il était alors trop tard mais finalement en se voyant dans le miroir il ne regrettait plus … Ce qu'il voyais dans le miroir lui plaisait !
Ep 02 : CHALEUR CHALEUR
David était allongé sur son lit, il faisait tellement chaud qu'il avait l'impression de se liquéfier, les persiennes étaient fermées pour arrêter les rayons du soleil mais l'air qui traversait était chaud ... Très chaud ... Trop chaud ... ! Les portes étaient restée ouvertes pour laisser passer l'air, mais l'air était chaud ! A son arrivée dans la nuit, il n'avait pas trop souffert car la voiture était climatisée, mais là ... chaleur, chaleur.
Philippe, c'est le prénom du grand père de David, entrait dans la maison et arrivait dans la chambre de David.
P : Alors bonhomme on attend l'hiver ! Tu sais que tu peux attendre encore longtemps, la dernière fois qu'il a fait froid ici, c'était durant la dernière grande glaciation alors ... !
D : Laisse moi ici, je vais mourir, n'essaye pas de me sauver c'est trop tard, vas y sauve ta peau, moi je te retarderais ...
Philippe éclatait de rire.
P : Tu crois pas que tu en fait trop là ? Bon, il fait un peut chaud, mais à peine 35 degrés, il est encore tôt. Viens donc manger, après tu pourras prendre une douche et dormir jusqu'à ce soir.
D : Ne me dit pas qu'il va faire encore plus chaud dans le reste de la journée.
P : Il ne fera pas plus chaud dans le reste de la journée ! La température ne devrait pas dépasser les 40 degrés.
D : (toujours allongé sur son lit les bras en croix) 40 ... Je vais mourir, je suis intransportable ...
Philippe rigolait en voyant son petit fils se lever péniblement pour le suivre.
La propriété du grand père de David était en fait un ensemble de plusieurs maisons, une grande bâtisse principale de type coloniale et deux plus petites maisons de chaque coté, David avait été logé dans la maison de droite, un grand salon,trois chambres et une salle de bain. La maison de gauche était plus grande elle était utilisée pour recevoir des groupes. Des arbres avaient été plantés un peu partout, et par endroit on avait l'impression d'être dans une jungle.
David ne mangeait pas beaucoup, mais buvait beaucoup de liquide. Il retournait vers sa maison en passant par derrière la bâtisse principale, là encore des arbres, plus loin un bâtiment pour loger les employés, six lui avait dit son grand père, et un petit bâtiment très ventilé qui semblait ne pas avoir de porte. David s'approchait.
D : C'est quoi ce truc, (David approchait puis entrait), des douches ! C'est des douches ! Ça tombe bien ça, parce que ... Chaleur chaleur.
C'était une grande salle sans cloisons avec des douches collectives, David en testait une, l'eau coulais fraîche. Sans aucune hésitation il laissait ses sandales et ses vêtements dans une niche à l'entrée.
Il laissait l'eau ruisseler sur son corps quand il entendit un bruit. Il tournais la tète vers l'entrée, il y avait un jeune homme entièrement nu qui lui aussi venait prendre sa douche. C'était un black à peine plus âgé que lui, 1m70 maximum carré, très musclé, un sourire charmeur ou brillaient deux rangées de dents blanches, l'air penaud, mal adroit, il était vraiment très beau. David ne savait pas comment réagir, cet invité inattendu ne le voyait que de dos pour le moment.
Le jeune homme s'approchait timidement . ''Excuse-moi Msieu David, moi c'est Dadou, je voulais pas te faire peur, mais il fait chaud, je peux prendre une douche ?''
Tout en disant cela, il s'approchait et David remarquait que Dadou n'était pas simplement bien bâti, il était également bien monté. Il avait une queue énorme qui se balançait entre les cuisses et qu'il ne tentait pas de dissimuler, au contraire, il en paraissait très fier.
David répondait distraitement : '' oui oui, bien sur ''
Dadou commençait à se savonner, une mousse blanche se déposait partout sur son corps, il se frottait bien partout en insistant sur sa bite et ses couilles y déposant un paquet de mousse blanche, ce qui le rendait encore plus beau. David admirait le spectacle du coin de l’œil, Dadou faisait semblant de ne pas le remarquer. David ne s'était toujours pas retourné quand ...
Dadou : Tu veux que te frotte le dos Msieu David ?
Ce 'tu' avec ce 'Msieu' dans la même phrase fit rire David, mais sans attendre la réponse Dadou commençait à lui savonner le dos. David fut d'abord surpris mais le laissait faire. Il n'avait pas l'habitude d'un tel contact physique, mais que pouvait-il se passer, il ne risquait pas d'avoir une érection … Dadou lui massait le dos jusqu'au moment ou il lui glissait fermement un doigt dans le cul.
David se retournait pour protester et se retrouvait face a un sourire ravageur à un regard perçant et face également à une bite énorme qui était maintenant bien en érection. Dadou continuait à lui savonner le torse et le ventre. David se sentait désarmé. Dadou baissait les yeux.
Dadou : Tu sais Msieu David presque tous les petits blancs qui viennent ici ils ont un truc comme toi, mais tu es le premier jeune qui en porte un en métal doré, le même que Msieu Philippe. C'est vrai que tu peux pas le retirer?
David faisait oui de la tête. Dadou le regardait maintenant droit dans les yeux et lui posait la main sur l'épaule.
Dadou : Suce ma bite !
Disant cela, il appuyait sur l'épaule de David qui sans résister se mettant à genoux et commençait à s'exécuter. Dadou prenait la tète de David qui se laissait faire, il lui enfonçait sa queue aussi profond que possible avec un mouvement de va et vient viril et dépourvu de tendresses, à chaque mouvement il poussait un peu plus, David était tout rouge, il avait du mal à respirer, il n'osait pas résister, mais en avait-il seulement envie?
Dadou repoussait David qui se retrouvait assis, la tète contre le mur maintenue fermement à deux mains, et une grosse bite qui lui rentrait jusque dans la gorge, David avait du mal à respirer, quand il n'en pouvait plus il se dégageait d'un mouvement violent, Dadou lui laissait le temps de récupérer puis revenait à la charge. David ne contrôlait plus rien, il ne savait plus s'il aimait ou pas. Dadou était plus fort que lui, mais il aurait pu se libérer, se dégager, juste en gueulant ... Sa sexualité s'était limitée à ce jour à la branlette solitaire jusqu'à ses 15 ans comme tous les gamins, puis plus rien jusqu'au petit plaisir que lui avait donné François trois mois plus tôt quand il s'est fait posé sa PK-OR. Il ne parlait jamais de sexe avec personne, et, bien sûr aucun flirt, jamais ! Là il n'était plus qu'un objet sexuel entre les mains d'un black bien bâti, bien monté, superbe, et, il aimait ça !
David se dégageait, reprenait son souffle, crachait, toussait, il était rouge et il en pleurait, son cœur battait fort à lui briser les côtes, mais il ne faisait aucun geste pour tout arrêter ... Dadou lui accordait quelques instants de répit puis reprenait...
Dadou se retirait complètement.
Dadou : Tu as l'air d'aimer ça Msieu David, tu te laisses faire ...
David le regardait hagard, la bouche ouverte, il bavait, son visage était rouge, il tremblait, il était en sueur … Dadou se penchait, soulevait et redressait David, il le retournait, et tout en le pressant fortement contre le mur lui savonnait abondamment le cul en y mettant sans ménagement un puis deux doigts. David râlait mais n'essayait pas vraiment de se dégager. Dadou se pressait contre David en le tenant fermement des deux bras, puis lui enfonçait doucement mais fermement sa grosse bite dans le cul. David hurlait, Dadou le fit taire une main sur la bouche et continuait a enfoncer sa queue jusqu'à la garde, le visage de David exprimait surtout de la douleur.
Dadou marquait une pose, ne bougeait plus, entre ses bras David gémissait, tremblait et avait le souffle court. Dadou commençait ensuite une série de va-et-vient. David voulu hurler de nouveau mais la main de Dadou empêchait tout bruit de sortir sinon quelques gémissements.
Dadou continuait les mouvements avec de violents coups de rein. Il tenait David fortement alors que celui-ci se contractait, il avait très mal. A ce moment il voulait se dégager mais n'essayait même pas, Dadou ne voulait plus le lâcher, il était fort ... Un moment plus tard qui parut à David une éternité, Dadou concluait dans un râle de plaisir. Il se retirait, lâchait David qui se laissait tomber au sol et se retournait pour le regarder, avec un regard vide.
Dadou reprenait sa douche tout en regardant David avec son sourire charmeur. David avait vraiment mal au cul et n'avait plus la force de bouger, pourtant il ne pouvait se retenir de lui rendre son sourire.
Dadou : Dis donc Msieu David, t'es un sacré bon coup toi, on a du te le dire souvent. Je crois que je t'ai vidé, t'as l'air complètement à plat. C'est pas une quéquette de PD ça, (en montrant sa queue). Mais tu vas pas rester là, attends, je vais m'occuper de toi.
Il soulevait a nouveau David sans efforts, l'appuyait contre le mur et commençait à le doucher mais avec beaucoup de tendresse et de douceur. David le laissait faire tout en lui caressant les bras et le torse, ses jambes tremblaient, il ne tenait pas debout et aurait été incapable de marcher. Il avait vraiment très mal au cul. Il était à la fois horrifié et fasciné par ce qu'il venait de faire. Dadou terminait de doucher David qui peu à peu retrouvait figure humaine.
Dadou : Faut pas rester là Msieu David, les autres vont pas tarder à arriver, tu veux que je te ramène à ta chambre. Je suis fort Msieu David tu sais je peux te porter sans effort.
David parvenait finalement, d'une démarche mal assurée, a retourner jusqu'à sa chambre. Dadou avait choisi de l'accompagne, lui qui sait être si viril et même violent, sans aucune douceur ni aucune tendresse, se montrait maintenant sous un tout autre visage, doux et attentionné. Un peu avant d'arriver a la maison, les jambes de David commençaient à l'abandonner. Dadou, sans hésiter et sans efforts le soulevait du sol, le jetait sur son épaule et continuait ainsi jusqu'à sa chambre ou il le déposait en douceur sur le lit.
Dadou : T'as besoin de quelque chose Msieu David, tu me dis, ... En tous cas t'es un sacré bon coup toi. Moi j'aime bien les ptits culs étroits qui ne demandent qu'à se faire élargir. Ouais t'es un sacré bon coup ! On pourra recommencer quand tu veux ! Tu me dis !
David ne répondait pas il le regardait, il appréciait davantage cette personnalité plus douce et attentionnée, et le revoyait un peu plus tôt ... Dans le sexe ce petit gars avec un sourire d'ange était en fait un démon.
Dadou : Je vais te chercher, à boire, Msieu David, si tu veux quelque chose, tu me dis...
Quand Dadou revenait avec une bouteille d'eau et un verre, David s'était endormi .
David se réveillait, il faisait déjà nuit, surpris, il se relevait brusquement, une violente douleur au fesses lui rappelait ses expériences de l' après-midi, il regardait l'heure, 18h30, c'est vrai que le soleil se couche très tôt sous ces latitudes. La température semblait baisser et était presque supportable. Il se rafraîchissait sous une douche froide rapide, et se prit a se demander a quoi pouvait servir le robinet d'eau chaude ... Son anus lui faisait toujours mal mai tout semblait en ordre. Il enfilait juste un pantalon en toile large et une chemise légère, des sandales mais pas de sous vêtements, moins on a de trucs sur le dos mieux on se porte.
Il approchait de la bâtisse principale, son grand père Philippe était assis en terrasse, un apéritif devant lui sur une table, il semblait lire un courrier. David prenait place face a son grand père, hésitant, il avait toujours mal au cul.
Philippe : Alors bonhomme, bien dormi ? Le soir c'est le meilleur moment de la journée, la température baisse un peu, on peut se détendre. Demain matin debout à cinq heure, pour profiter de la fraîcheur, à midi la chaleur est trop forte, on se met au frai ou on peut et on sieste. Ok, demain je te fait visiter le coin ...
David n'arrêtait pas de gigoter sur sa chaise tout en faisant des grimaces sans même s'en rendre compte.
David : Ok demain cinq heures.
P : On va manger dans un petit moment, les gars préparent le repas. J'ai reçu un courrier, nous aurons un invité, un jeune de ton âge, sa mère, une vieille amie, m'a fait parvenir un petit cadeau qu'il faudra lui donner le jour de son anniversaire...
D : Je me sers un petit apéritif.
P : Vas y fils, mais qu'est ce que tu as à gigoter comme ça ? Tu as mal quelque par, tu as mal au cul ou quoi ? Tu as fait quoi cet après-midi ?
David devenait tout rouge de confusion, il regardait vers le groupe d'hommes qui préparaient le repas dans une joyeuse pagaille bruyante, et apercevant Dadou son trouble ne fit qu'augmenter. Philippe remarquait ces regard, mais il n'osait pas encore comprendre. Quand Dadou s'approchait des deux hommes avec les couverts pour préparer la table, David baissait la tète, visiblement gêné.
Dadou : Le repas sera près dans dix minutes Msieu Philippe, tu vas bien Msieu David ? Si tu as besoin de quelque chose Msieu Philippe, tu me dis .
David n'osait pas relever la tète pour répondre, il était rouge de confusion, et il remarquait que sous son pantalon de toile Dadou ne portait certainement pas de sous vêtement. Il ne relevait la tète que quand le jeune homme s'était éloigné. Philippe, son grand père le regardait droit dans les yeux.
P : David, pourrais-tu me dire exactement ce que tu as fait aujourd'hui ?
David soupirait longuement, puis tout en continuant à gigoter sur sa chaise, racontait rapidement, sans entrer dans les détails . Médusé, le grand père écoutait.
P : Je ne savait pas que tu était porté sur le cul, gay passif, c'est pour ça que tu voulais porter une PK ... Raconte, tu as eut beaucoup de copains comme ça ...
D : En fait, c'était la première fois. Et tu peux me croire, ça fait mal, vraiment mal.
P : Et il t'a vraiment pénétré ?
D : Et je l'ai senti passé ! Tu peux me croire !
David continuait à gigoter sur sa chaise. Son grand père se levait, là il ne rigolait plus.
P : Viens avec moi, il faut que je vois quelque chose.
Le ton était sec, David comprenais tout de suite que là, on ne rigolait plus et qu'il valait mieux obtempérer. Philippe entraînait son petit fils dans son bureau et tout en fermant la porte lui demandais de baisser son pantalon et de se pencher en avant. David hésitait un instant puis s'exécutait. Philippe se penchait pour observer de plus près, délicatement écartait les fesses pour examiner l'anus de David qui grimaçait et poussait un léger gémissement. Puis se relevant...
P : Tu m'étonne si tu as mal au cul mon gars... Il t'a bien éclaté la rondelle, il fallait en vouloir pour encaisser ça ... Pour une première fois ... Bon ce n'est pas grave, je vais te donner une pommade et dans quelques jour tu pourras recommencer, attends un peu tout de même, ça aurait pu être pire. Une déchirure sérieuse, et tu te retrouvais à l'hôpital. Et ici les hôpitaux ...
Philippe prenait le médicament et le lui appliquait tout en lui expliquant comment l'utiliser. L'effet était immédiat, déjà David n'avait plus mal ! Puis les deux hommes retournaient en discutant vers la terrage pour souper, David se sentait mieux, et commençait à avoir faim.
P : C'était la première fois tu dis ... Tu sais il faut toujours commencer par des trucs plus petits. Ensuite tu passes à plus gros ... Toi évidemment tu ... Tiens c'est comme quand tu essaye une PK, tu la mets un jour et tu la garde toujours ... Là c'est pareil, tu veux te faire défoncer le cul, tu te tape un mec qui est monté comme un âne ... Et en plus , je connais le bestiaux, dans le sexe, c'est pas un tendre !
D : C'était pas prémédité, et puis comment tu sais que c'est pas un tendre, a le voir comme ça on dirait un ange ...
P : J'ai plus d'expérience que toi ... Et puis c'est vrai, on dirait un ange, il est adorable, mais dans le sexe, c'est un violent ... Comme premier mec tu aurais du choisir ... Marc par exemple, il est viril, doux, bien monté mais la c'est raisonnable ...
David ne savait plus quoi dire ... La relation de David avec son grand père était en train de changer, il devenait un ami, une confident, un conseiller ... Il l'appréciait de plus en plus.
Ils arrivaient a la terrasse, un jeune homme de peut être trente ans venait d'apporter le repas et terminait de mettre la table. Il avait une bonne tète un silhouette mince mais musclée tout de même. D'un air malicieux Philippe le présentait.
P : Je te présente Marc, qui est le plus ancien ici, à mon service, depuis plus de dix ans. Vous devriez vous entendre, si tu as besoin de quelque chose, n'hésite pas à lui demander.
David rougi, il saisissait l'allusion, (Marc aussi, surtout que Dadou avait raconté ses exploits a tout le monde).
D : Bonjour Marc.
Marc : Bonjour Msieu David, ta première journée parmi nous a été agréable j'espère.
David attendait que Marc s'éloigne, pour demander a son grand père ...
D : Tu penses qu'il est au courant?
P : Je pense que Dadou n'a pas manquer de raconter ses exploits a TOUS les autres. Ils étaient tous au courant avant moi ... C'est sûr !
Après le repas, les deux hommes restaient à discuter de choses et d'autres.
D : Les gars qui travaillent ici, ils sont tous ...
P : Tous gay, oui tu peut le dire, tous gay comme toi, comme moi ! Ils sont tous actifs contrairement à nous mais certains sont également passifs, comme toi, comme moi.
D : T'as couché avec plusieurs d'entre eux ?
P : Tous !
D : Tous ?
P : Pas tous en même temps, mais tous, oui !
P : Pour eux cet endroit est une sorte de refuge, certains on été persécutés, brutalisés, rejetés par leur familles … Ici c'est comme une nouvelle famille, d'habitude on mange tous ensemble, ce soir c'est pour te laisser le temps de t'acclimater...
La discussion touchait aussi d'autres sujets ...
P : J'avais prévu une grande balade à cheval pour demain à l'aube mais , je pense qu'il serait préférable de ... Tu as toujours mal.
D : Non j'ai plus du tout mal, elle est super ta pommade ...
P : On évitera le cheval pendant plusieurs jours, c'est plus sûr ...
Le ciel était d'une grande clarté et la course des étoiles offrait un spectacle de rêve. La table était nettoyée, il n'y restait que la bouteille de vin et deux verres. Le groupe des employés ne faisait plus de bruit et à la demande de Philippe, Thom était venu les rejoindre, il avait emmené son verre. Les trois hommes terminaient sans se presser la bouteille de vin ...
P : Nous aurons un invité la semaine prochaine.
T : Un jeune ou une personne plus âgé ?
P : Il doit avoir vingt ans ou à peine plus.
T : Je pense Philippe qu'on pourrait le loger dans le petit pavillon, si David n'y voit pas d'objections.
D : Je suis pour, la maison est grande pour moi tout seul.
P : Il s'appelle Will.
David finissait par aller se coucher, sur la route il rencontrait Marc qui lui lançait.
M : Bonsoir Msieu David, tout vas bien ? Si tu as besoin de quelques chose, tu n'hésites surtout pas. Appelle moi .
En arrivant dans sa chambre David se demandait si Thom n'allait pas terminer la nuit dans le lit de son grand père. Décidément, la chaleur c'était pas que le climat. Ici les mecs aussi étaient chauds ! Chaleur ... Chaleur...
Le lendemain matin, David se réveillait un peu avant six heures.
D : Mince ! On avait dit cinq heures !
Sans plus attendre il passait un pantalon en toile et fonçait vers la Maison du Maître, sur le chemin il rencontrait un homme qu'il ne connaissait pas, en le voyant approcher, il se dit ''Ouah, celui-là il est vraiment balèze ! ''. Plus l'homme approchait plus il semblait balèze. Au final David se retrouvait face à un géant de plus deux mètres de haut. Depuis son petit mètre soixante dix, David se sentait tout petit et terriblement impressionné, il se sentait tout frétillante, un peu comme une vierge le soir de sa nuit de noces avec une équipe de rugbyman, il le regardait en penchant sa tête en arrière de plus en plus, il était en fait comme attiré et sans s'en rendre compte continuait a s'approcher jusqu'à le toucher. Là il réagissait et reculait d'un pas, le souffle court. Ce géant avait une bonne tête, un sourire amusé par le trouble et la maladresse de David, une très belle musculature mais pas hypertrophiée.
Camel : Bonjour Msieu David, j'allais voir si tu dormais toujours. Je vois que tu es en forme. On t'attend. Moi c'est Camel je suis heureux de faire ta connaissance.
Les deux hommes marchaient l'un à coté de l'autre, David ne pouvais détacher son regard de ces muscles, de ces bras, de ce torse ... Camel portait un pantalon de toile et on pouvait deviner une forme allongée de grosse taille se balancer à chaque pas entre ses jambes. Là David était vraiment en chaleur et il se disait qu'on devait se sentir bien dans ces bras … Chaleur …
Ils arrivaient a la terrage, tout le monde lui lançait un ''Bonjour Msieu David'' auquel il répondait par un ''Salut à tous'' avec un geste de la main. Son grand père s'approchait l'embrassait pour lui dire bonjour, puis.
Philippe : Alors on avait dit cinq heures ...
David : (Sans lâcher Camel des yeux) Oui !
Philippe : Et tu as rencontré Camel ?
David : (toujours les yeux rivés sur Camel) Oui !
Philippe : Tu ne connaissais pas encore Camel ?
David : (sans changement) Oui !
Philippe : Et tu craques complètement pour lui ?
David : (toujours pareil) Oui !
Puis semblant se réveiller.
David : Ah grand père, (David embrassait son grand père) bonjour , ça va ? Tu disais quelque chose ... ?
Philippe : (l'air désabuse ...) Non … ! Viens prendre ton petit déjeune, après ça ira mieux après ...
Tandis que David se servait ...
Philippe : Il faut que je te dise, pour Camel ...
David : Il est bien, non, oui ...
Philippe : Il est très bien , mais ...
David : Il mesure combien ?
Philippe : 2m05, mais c'est pas ça ...
David : Il pèse combien ? Il est balèze ! Il fait de la muscu ?
Philippe : David, on se calme, Dadou a cote de Camel, c'est une petite bite ... !
David : (Prenant un air détaché) Bon ça va là, j'ai entendu, et je suis pas le seul ...
Philippe se retournait l'air con, tous les six le regardaient avec un léger fou rire. On entendit la voix de Dadou : ''Bon ça va, on sait que c'est lui qui a plus grosse...''. Camel ne savait plus ou se mettre, et pour garder une certaine contenance, balançait son bassin d'avant en arrière a l'intention de David, il ne portait pas de sous vêtement, puis il exhibait son manche un instant, toujours pour David qui avait les yeux qui lui ressortaient de la tête, c’était énorme, au repos c’était presque la taille de Dadou en action ... Tout le monde se marrait, sauf David qui restait tétanisé .
Philippe :(a l'oreille de son petit fils) 26cm en action, c'est pas pour les débutants, t'es pas de taille, Dadou ne dépasse pas les 22cm ... Alors ... ( se retournant vers le gros de la bande, d'une voie plus forte) Bon un peu de tenue s'il vous plaît les gars ! Viens par ici David que je te présente aux derniers que tu connais pas ... Voila Boubou, c'est le cuisinier, et Raffi . Voila tu connais toute l’équipe qui s'occupe du domaine.
David et les deux derniers se saluaient. Boubou était un tout petit bonhomme d'environ 1m60, d'un physique sec pas plus de 60 kg, musclé nerveux, la trentaine. Raffi était le dernier arrive dans l’équipe moins d'un an plus tôt, c’était le plus jeune, il n'avait pas vingt ans, 1m80 environ belle corpulence.
David remarquai que tout le monde était habille pareil, un pantalon en toile légère et des sandales, personne ne portait de sous vêtement et chacun semblait prendre un véritable plaisir à laisser percevoir le mouvement de balancier de leur membre viril sous le tissus de leur pantalon ... Chaleur Chaleur.
Philippe : (prenant la parole) Grande nouvelle. Les caisses que nous attendons sont en route, mais le camion est coincé à la sortie du village, il faudrait aller le chercher et lui montrer la route ....
Tous les bras se levèrent '' Moi j'y vais''... '' Non moi ...'' . Ça doit être important se dit David, ils sont tous volontaires ! Philippe choisissait Camel.
Philippe : Camel, prend la moto et emmène le ptit, ça lui fera prendre l'air.
David se retrouvait quelques instants plus tard, sur une moto, Camel conduisait et lui dit avant de partir : '' Accroches toi bien a moi, je voudrais pas te laisser sur la piste, ça pourrait être dangereux.''. Les deux hommes étaient torse nue, et pour David ce fut un plaisir, il sentait la musculature avantageuse du géant, sa peau était douce comme de la soie et par moment se surprenait à la caresser. Camel ne semblait pas s'en offusquer, par moment il semblait lui aussi caresser la main ou le bras de son petit camarade.
Un peu avant d'arriver a destination, Camel faisait une petite pause pour ... pisser un coup. David se rendait compte que, en fait Camel bandait, et que c'était pas discret surtout qu'il ne portait pas de sous vêtements... David admirait de profil son camarade qui faisait semblant de pisser essayant de se calmer, il se disait : '' C'est moi qui l'ai mis dans cet état ! ... C'est vraiment énorme ! ... Je savais pas que ça pouvait être aussi gros ... Mon dieu ce garçon est vraiment trop beau ... Si j'avais pas mon dispositif, sûr, je serais dans le même état !''. Ils arrivaient finalement au village, un gros camion attendait, le chauffeur s'était endormi, tout allait bien il était seulement perdu.
David montait dans le camion et tout le monde rentrait a la propriété, Camel ouvrait le chemin avec sa moto. Ils arrivaient un peu avant dix heures, tous les gars attendaient, le travail n'avait jamais été fait aussi vite, tous voulaient être libre pour le reste de la journée.
Le camion était à peine garé que tous les gars sautaient dedans pour le décharger... ''Ce doit être important '' se dit David qui décidait de les aider. Le chauffeur, lui, allait voir Philippe qui lui offrait un bon repas et lui proposait un coin pour dormir, il avait conduit une bonne partie de la nuit.
Au début de l’après midi toutes les caisses étaient déchargées et rangées sur un terrain prévu à cet effet derrière la maison de David, a proximité de la maison des employés. Mais David ne savait toujours pas de quoi il s'agissait ...
La chaleur devenait étouffante et il préférait faire une pause sieste, il entrait dans la douche pour se rafraîchir, quelques instant après Camel entrait à son tour, et sans faire de bruit alors que David les mains appuyées sur le mur laissait ruisseler l'eau fraîche sur son corps, Camel s'approchait et prenait David dans ses bras, il se penchait pour l'embrasser dans le cou. David ne l'avait pas entendu venir, mais il l'avait reconnu, il l'avait deviné. Le géant enlaçait David de ses bras énormes, il le caressait avec une extrême douceur. David se retournait et passait ses bras autour du cou de Camel, qui le soulevait toujours en douceur, au sens propre comme au figuré, David ne touchait plus le sol … Il passait ses jambes autour des hanches du géant qui continuait à le caresser et à l'embrasser... Camel reposait David, ce dernier se retrouvait faces à cet énorme pénis, un peu plus long et un peu plus épais que celui qui la veille ...
David : C'est énorme, je ne sais pas si je ...
Camel le faisait taire en l'embrassant tendrement. David était aux anges, il se sentait bien, ce géant était une montagne de chair de muscle de tendresse et de douceur. David n'était qu'un petit jouet dans de tels bras qui pouvaient le soulever le retourner le jeter en l'air le casser en plusieurs morceaux sans efforts, mais l’extrême douceur de son camarade le rassurait, il se sentait en totale sécurité dans ces bras là.
David se penchait et commençait à sucer comme il pouvait le pénis de Camel qui ne dissimulait pas son plaisir, c'était vraiment gros, Camel dirigeait David avec ses deux mains placées de chaque coté de sa tête. Ces deux mains n'exerçaient aucune pression, David restait libre de ses mouvements, Camel ne le poussait pas à avaler sa queue. David avalait aussi profond qu'il pouvait, Camel l'accompagnait avec douceur tout en gémissant de plaisir, David caressait des deux mains la queue qui lui était offerte, sa grande taille se prêtait bien a cette manipulation à deux mains... Camel s’asseyait sur un banc les jambes bien écarter pour offrir sa queue au petit David qui profitait de la position pour la caresser, la masser la sucer, il passait longuement sa langue sur le gland. La respiration de Camel devenait plus forte et il caressait plus fortement la nuque de David sans pour autant le forcer à avaler sa queue.
Camel : Oui vas y, c'est bon, je vais jouir, oui.
Camel éjaculait. David qui continuait à masser sa bite se prenait tout dans la figure, il était fasciné et ne tentait même pas d'éviter le jet. A genoux David regardait Camel avec un grand sourire le visage recouvert de sperme. Camel se plaçait à genoux devant son petit camarade, embrassait son visage léchait le sperme puis l'embrassait tendrement sur la bouche. David vivait un rêve, le goût du sperme sur sa langue était un régal. Camel continuait jusqu'à ce que toute trace de sperme ait disparu... Il avait pris David dans ses bras et celui-ce s'abandonnait totalement à cette étreinte... Se relevant tout en soulevant David.
Camel : Maintenant c'est ton tour ...
Disant cela il reposait délicatement son petit camarade sur le dos, une serviette sous la tête, et commençait à lui caresser les cuisses tout en lui embrassant les téton et le ventre. Il lui glissait sa mains entre les cuisses et dirigeait, toujours avec douceur, un doigt ver son anus.
David se contractait et posait une main crispée sur celle de Camel. Celui ci retirait sa main, lui caressait le ventre, l'embrassait en disant .
Camel : Tu n'es pas prêt, tu sais, moi je te ferai pas mal ... un autre jour ...
Plus tard David se dirigeait vers sa chambre, il était pensif ... La veille il était puceau, totalement puceau, jamais aucun flirt, il n'avait jamais embrassé un garçon (ni aucune fille), il n'aurait jamais eut l'idée de s'introduire un gode dans le cul, il n'avait jamais pris un homme (ou une fille) dans ses bras, et aujourd'hui ...
'' Je vais pas regretter mon voyage moi ! '' se dit-il !
Ep 3 : LA PISCINE
Cinq heures du mat, David se levait tôt, pour une fois, son grand père l'emmenait visiter la région, une grande promenade a cheval avec lever de soleil sur un paysage semi désertique et un passage au village. Philippe voulait passer voir a la poste locale. Ça ne ressemblait pas a une poste, mais ça marchait quand même ! Ils ne revenaient qu'en fin de matinée pour passer a table. Tout le monde prenait le repas ensemble sur la terrasse de la maison du maître. Mais ce jour la il ne restait que Boubou, le cuisinier, qui assurait le service pour Philippe et David ... Les autres avaient mangé très vite, et étaient tous parti bricoler.
David : Mais qu'est ce qu'ils ont, qu'est ce qu'ils fabriquent ?
Philippe : C'est la piscine, les caisses qui sont arrivés hier, c'est une piscine hors sol.
David : Il y avait tout de même beaucoup de caisses !
Philippe : Elle fait plus de dix mètres de long.
David : Une piscine ... ( d'un air rêveur) ... Ça c'est une idée !
Après le repas David passait voir ou en était le montage. C’était termine, la piscine était montée.
''Ils n'ont pas chômé !'' se dit David, '' Ceci dit, c'est un beau bassin, et avec la chaleur il y a de la motivation.''
David s'approchait pour voir ou ils en étaient exactement, Thom et Marc , les deux plus sérieux de l'équipe, terminaient de monter la pompe filtrante. Les autres inspectaient tout en détail, et prenant des allures de spécialistes , '' Tu es sûr que c'est comme ça qu'il fallait la monter ?'' ... ''Ce truc là, c'est pas l'autre sens qu'il fallait l'installer ? ...'' ...
Thom et Marc faisaient ensuite une inspection minutieuse séparément puis ensemble. Ils finirent par annoncer que tout était OK et que par conséquent on pouvait remplir... Cette nouvelle fut accueillie par un '' Hourra '' puis Dadou courrait actionner la pompe. Ils étaient tous tellement occupés que personne n'avait remarqué la présence de David. Il inspectait à son tour l'installation et restait impressionné par le travail, ils n'avaient pas seulement travaillé vite, mais ils s'étaient vraiment appliqués ! La finition était en bois il y avait même un large rebord sur lequel on pouvait s’asseoir les pieds dans l'eau, plusieurs échelles pour y accéder facilement. Bref une belle piscine hors sol de luxe et de belle taille !
David s'installait dans un hamac à l'ombre et s'amusait tout l'après midi des allers et retours, il ne se passait pas un quart d'heure sans que un des six hommes ne vienne voir ou en était le niveau d'eau, là encore personne ne semblait remarquer sa présence. Dadou était le plus insistant, il passait bien voir toutes les dix minutes puis repartait en soupirant et en traînant les pieds. Après plusieurs passages, il remarquait enfin David ...
Dadou : Msieu David ! Y a longtemps que tu es là ? (Dadou s'approchait) C'est long ! Elle va pas être pleine avant ce soir ! C'est long ! On avait bien un bassin pour se baigner, mais il est cassé, il y a un trou. C'est le réservoir, une réserve d'eau pour irriguer le jardin et le potager, il y a un trou et il y a plus d'eau dedans. Il va bien être réparé bientôt mais en attendant ... Il est vide. Il est de l'autre côte de notre maison, c'est là que se trouve le potager et un tout petit jardin, c'est surtout un potager ...
Tout en parlant Dadou faisait le navette entre le hamac ou était David et la piscine. Il ne tenait pas en place. Un autre gars passait Dadou le rejoignait. David était dans un coin tranquille d'où il pouvait voir tout ce qui se passait autour de la piscine, mais sans pour autant être dissimulé. Il était installé derrière quelques branches et quelques feuilles et on le remarquait à peine. Il vit passer Camel qui regardait longuement le niveau d'eau de la piscine puis qui allait directement aux douches, il était suivi par Boubou. David eut une violente envie d'admirer le corps du géant et se glissait discrètement derrière les douches d'où il pourrait, à travers une ouverture, voir sans être vu. Il se dit même sans aucune honte : ''Me voilà qui joue les voyeur maintenant !''. Il s'installait, le regard rivé sur la musculature, la peau noire ou se déposait l'écume blanche du savon. En face de Camel, il pouvait également voir de dos Boubou qui ressemblait à une miniature avec son mètre soixante, mais quand il se retournait, ce fut le choc ... Il était aussi bien membré que Camel ... Comme il était beaucoup plus petit, sont pénis paraissait d'autant plus gros. Il bandait ...
Boubou s'approchait de Camel, lui caressait le torse. Camel se penchait pour l'embrasser et le prendre dans ses bras. Il l’enlaçait avec sa force et sa douceur habituelle.
David avait goûté à ces étreintes, son cœur battait de plus en plus fort et sa respiration devenait plus intense. Il s'imaginait dans ses bras, enveloppé avec force et douceur, il se souvenait de la douceur de cette peau, cette douceur de satin.
Camel était à quatre pattes, et suçait la queue de Boubou qui s'était allonge sur le dos et écartait les jambes, il gémissait de plaisir et guidait Camel avec ses deux mains. Camel avalait sans efforts apparents la bite de Boubou sur toute sa longueur.
David n'en revenait pas, le géant s'enfilait jusqu'au fond de la gorge une bite de 25cm, ça semblait impossible au départ, mais cette énorme queue entrait et sortait de sa bouche et il semblait apprécier. Il contrôlait parfaitement sa respiration. David était en transe ! Il aurait aimé pouvoir en faire autant ... Il s'imaginait en train de faire la même chose pour Camel. Boubou appuyait sur la tète de Camel et relevait le bassin en même temps, il lui rentrait sa queue jusqu’à la garde en soupirant et gémissant de plaisir.
Camel relevait la tête se retournait offrait ses fesses a son partenaire. Boubou se relevait, savonnait généreusement le cul de Camel puis lui enfonçait sa bite sur toute sa longueur, il terminait par un violent coup de rein. Camel hurlait de plaisir, son souffle était fort et saccadé, il gémissait à chacun des mouvements de son petit camarade, qui accélérait, rentrait bien a fond avec un coup de rein ressortait totalement puis rentrait à nouveau. David avait les yeux rivés sur cette bite énorme, ces 25cm qui entrait longuement puis ressortait du cul de Camel, ces râles de plaisir. Camel aussi bandait.
David était tellement absorbé par le spectacle qu'il ne remarquait pas Dadou qui arrivait déjà a poil il se masturbait et bandait dur. Il prenait position face à Camel, lui proposait sa queue, et le laissait faire... Quelques instant plus tard Dadou reprenait le contrôle de la situation et tenant fermement la tète de Camel, lui enfonçait sa queue entièrement sans ménagement, comme à son habitude. Pour David c'était un spectacle incroyable qui ne le laissait pas indiffèrent. L'homme qui le faisait le plus craquer en train de se faire défoncer la bouche et le cul par deux hommes bien virils, bien foutus, bien montés ...
Trois corps magnifiques qui se mélangeaient avec des râles de plaisir ... David n'en pouvait plus, c'est dans des moments pareil qu'il la sentait bien sa PK-OR. Il bandait dur, rien ne se voyait mais lui le sentait bien et c'était pas désagréable comme sensation.
Boubou accélérait le mouvement, et en quelques coups de rein violents il concluait en gueulant de plaisir, puis se retirait. Dadou le remplaçait et continuait à pilonner le cul de Camel, avec sa douceur habituelle, il se retirait et il revenait frappant violemment son bassin contre les fesses de Camel, qui gémissait de plaisir. A ce rythme Dadou finissait lui aussi par jouir, il frappait contre les fesses de Camel de toutes ses forces en se cramponnant à lui. Les deux hommes râlaient et gémissaient de plaisir puis, Dadou se laissait retomber sur Camel, ses muscles se détendaient, il se retirait , ils se levaient tous les deux. Camel embrassait tendrement Dadou dans le coup avant qu'il ne sorte.
David entrait aussitôt, le spectacle l'avait complètement retourné, il avait remarqué que Camel ne s'était pas branlé, pourtant il bandait, il avait remarqué que ... aucun de ses deux partenaires ne l'avait ni masturbé ni sucé ! Il était décidé a rectifier cet oubli. Il était fébrile, il tremblait sous l'effet de l'émotion mais il avançait sans hésiter, sans rien dire vers Camel qui lui aussi sans rien dire le regardait approcher, il bandait toujours.
David se m'était à genoux et commençait à pomper cette queue magnifique qui n'attendait plus que cela. Il la caressait, la léchait, et commençait à la glisser dans sa bouche. Il n'avait pas l'expérience de son camarade mais il mettait du cœur, il avalait le gland puis il faisait tourner sa langue tout autour.
Camel appréciait et le faisait savoir. Puis David tentait d'enfoncer plus profond la bite de son amant, pas facile, mais il commençait à avoir de la technique et en avalait rapidement la moitié. Camel le guidait avec la main derrière sa tète, il y prenait du plaisir, et David aussi. Camel n'avait pas encore éjacule aussi avec un tel traitement ça ne devait pas traîner... Il éjaculait dans la bouche de David qui n'avalait rien, ne perdait rien et se relevait pour embrasser Camel. Les deux hommes s'embrassaient avec passion jusqu'à ce que le goût du sperme ait disparu.
Camel : (Regardant David dans les yeux, d'un ton autoritaire mais doux) Maintenant, c'est ton tour, tu me laisses faire, tu ne bouges pas, je te ferai pas mal.!
Camel déposait son partenaire sur un banc, lui plaçait une serviette sous la tète, lui relevait une jambe qu'il posait sur son épaule. Le cul de David était ainsi totalement accessible. Camel commençait à lui caresser longuement l'anus, a le lubrifier avec du savon puis à lui introduire un doigt dans le cul, doucement mais fermement.
David se crispait, Camel lui répondait par un sourire et le regardant bien dans les yeux et en lui caressant le torse. Toujours crispé David le laissait faire. La sensation était étrange mais pas douloureuse. Tout en douceur, Camel introduisait puis ressortait son doigt, il sentait les muscles de David se détendre.
David : Ouah, c'est bon ...
Camel : Je te fais pas mal ?
David : Non ça va! C'est une sensation étrange mais c'est bon, ça fait pas mal.
Camel : Je met un deuxième doigt ?
David : Je sais pas ?
Camel prenait l'initiative et introduisait un deuxième doigt. David gémissait...
Camel : Ça va … ?
David : Ça va ... Mais vas y doucement ...
Les deux doigts étaient maintenant totalement introduits, Camel commençait à les agiter pour masser la prostate. David réagissait immédiatement, il gémissait de plaisir, contractait son bassin, se cramponnant au banc, respirait de plus en plus fort, puis...
David : Oh oui, c'est bon ! Aaah ! Je vais jouir!
Il contractait de plus en plus son bassin. Puis poussait un cri de jouissance. Camel arrêtait tout, retirait ses doigts. Les deux hommes se regardaient, un long filet de liquide blanc épais coulait sur le nombril de David ... Camel le léchait puis embrassait David pour le faire disparaître. Ces baisers aromatisés semblaient combler les deux partenaires. Camel caressait le front de David qui était en sueur, ils se regardaient longuement, ils se souriaient.
Pour David, c'était la première fois qu'il jouissait ainsi. Quand ils ressortaient il faisait nuit, combien de temps étaient-ils restes ainsi, David n'en avait aucune idée, sans rien dire ils se dirigeaient ver la piscine, chacun regardait l'autre, leurs mouvements leur paraissaient lents, quand.
Ils entendirent Dadou hurler à coté d'eux.
Dadou : Ça va être bon, ça va être bon, la piscine est presque pleine, on va pouvoir se baigner ce soir, la piscine est presque pleine'!
Camel et David sursautèrent sous l'effet de la surprise, ils se regardaient puis éclataient de rire. Dadou qui n'avait rien compris continuait très fort avec beaucoup d'enthousiasme. En courant autour de la piscine.
Dadou : T'as vu Msieu David, c'est super, la piscine est presque pleine, après le repas on va pouvoir se baigner !
David : Décidément, il est toujours aussi calme celui-là !
Camel : (toujours en riant) Oui mais il est vraiment trop mignon ... il est adorable ...
Les deux hommes s'asseyaient sur le rebord de la piscine, David s'approchait un peu, puis un peu plus, jusqu'à toucher son camarade. Camel passait son bras autour de David. Leurs pieds trempaient dans l'eau, ils restaient ainsi à regarder le niveau de la piscine jusqu'à l'heure du repas.
Tout le monde se retrouvait autour de la table sauf Dadou ... Il arrivait en courant, il revenait bien sûr de la piscine, prenait place et sans rien dire commençait à manger... Tous les yeux étaient rivés sur lui. Il jetait un regard vers les autres.
Dadou : Quoi, pourquoi vous me regardez comme ça. (Il continuait à manger sans rien dire)
Philippe : Tout l'après midi on t'as vu passer, revenir, passer encore et encore. On t'as entendu te lamenter que la piscine ne se remplissait pas assez vite, qu'il y avait pas assez d'eau, qu'on ne pouvait pas se baigner ... Alors !
Dadou : Alors ... Rien ...
Dadou continuait a manger.
Philippe : Décidément ce garçon m’étonnera toujours !
Dadou : (Se penchant vers son voisin de gauche) La piscine est pleine (il continuait à manger, puis à droite) J'ai fermé la pompe ... (Puis en face de lui) On va pouvoir se baigner...
Philippe : (voyant cela) Je me disait bien aussi...
Le repas était à peine terminé qu'il ne restait plus à table que David et son grand père...
David : C'était une bonne idée cette piscine ...
Philippe : Je pense, depuis que le réservoir est cassé, il n'y avait plus d'endroit pour se rafraîchir, sauf les douches bien sûr. J'ai remarqué que tu y as pris tes habitudes ...
David répondait par un sourire.. Thom revenait vers eux .
Thom : Et bien les gars, vous ne venez pas voir... Philippe , David , vous allez passer la soirée ici ? C'est là bas que ça se passe.
David : On va voir ?
Philippe : On va voir ! Je l'ai pas encore vue montée moi cette piscine !
David : Elle est pas mal du tout et ils ont tous fait un bon travail.
Les trois hommes se rendaient tranquillement vers la piscine en discutant, tous les autres venait vers eux, mais pas en groupe, séparément, l'air de rien, certains regardaient même dans une autre direction. David remarquait tout de suite qu'il se préparait quelque chose ... Ces hommes étaient tout à fait sympathiques, mais pas vraiment discrets. Camel fit signe à David un doigt sur la bouche, pour lui demander de ne rien dire. Thom de son coté semblait essayer de distraire Philippe en continuant à discuter. Quatre hommes encerclaient Philippe tandis que Camel écartait doucement David quand...
Sur un geste de Thom, les quatre hommes sautaient sur Philippe en poussant des cris de guerre, le saisissaient, lui retiraient son pantalon, et l'emportaient comme un trophée à bout de bras vers la piscine en courant. Thom et Camel étaient éclatés de rire alors que Philippe criait en riant également, ''Au secours on m’enlève !''. En rigolant David regardait Thom qui lui dit en haussant les épaules : ''Il fallait bien inaugurer la piscine ...'' . On entendait rapidement un bruit de plongeon et quelques cris de joie.
A ce moment Camel s'emparait de David, le jetait sur son épaule, Thon lui retirait son pantalon, David riait sans même essayer de résister, il se retrouvait a son tour au milieu de la piscine, tout le monde rigolait. David retrouvait son grand père dans un coin du bassin , tandis que les six hommes se jetaient dans l'eau en criant et en riant.
David : Pas de doute, c’était vraiment une bonne idée, cette piscine.
Philippe : J'ai l'impression oui !
Les six hommes s'amusaient comme des enfants, tous à poil, David et Philippe appréciaient beaucoup ce spectacle.
Philippe : Dis-moi bonhomme, tu ne regrettes pas ton dispositif PK j'espère quand tu vois ça ?
David : Non, sans réserves non. Ça m'excite à mort, de les voir, mais ma PK-OR, non, j'adore, en ce moment par exemple, je bande, rien ne se vois, mais moi je le sens. Et c'est une sensation agréable cette pression permanente sur ma queue. En fait, j’aurais plutôt envie de m'amuser avec une ou deux de ces belle bites, pas toi ?
David se sentait de plus en plus libre avec son grand père, il y avait beaucoup de points communs entre eux .
Philippe : Moi c'est pareil, et ce soir j'en prend deux, et j'ai déjà choisi .
David : Je peux savoir ?
Philippe : Alors là ... c'est personnel !
David : Au fait Grand père, on n'a jamais parle de ta PK-OR, comment tu es venu toi à porter un tel dispositif, tu y a pensé très jeune ? ... Racontes !
Philippe commençait à raconter ...
''Mes parents étaient très puritains, très... Comment dire ... Le sexe pour eux, ne devait servir que pour la reproduction. Mon père portait un dispositif de chasteté, probablement depuis très jeune, il n'en parlait jamais. On ne te l'a jamais dit, mais c'était un gros actionnaire de la société PK, il avait même participé au développement de cette société alors qu'elle commençait juste à se développer , son père , mon grand père était un des fondateurs ... Il portait un modèle PK-SECURE. Un modèle qui n'est plus fabriqué, il était en métal argenté équipé d'une serrure intégrée. Ce modelé a par la suite inspiré le modèle que nous portons, lui , à l’époque avait déjà bloqué la serrure avec de la résine ultra dure, en faisant ainsi un modèle permanent, comme celui que nous portons.
Toutefois, mes parent ne m'obligeaient pas à porter ce dispositif. Je vivait donc la jeunesse libre et insouciante d'un gosse de riche. J'étais attirés par les garçons, et, vu le puritanisme de mes parents, je préférait ne pas l'afficher. Je draguais donc des filles... Un jour, j'en emmenais même une dans mon lit... La, je me disais que j'étais couvert, personne après cela n'irait imaginer que, en fait, j'étais gay! Mais pas de chance, la fille en voulait à mon fric, enfin à celui de mes parents. En fait elle voulait se marier, faire un bon mariage économiquement confortable, avoir 2,8 enfants pour rester dans la statistique, tenir une belle maison pour y recevoir ses amies, faire du shopping avec ses copines, bref, elle voulait une vie de dilettante oisive grâce à un mari fortuné qui pourrait l'entretenir. Elle était issue d'une famille bourgeoise et avait été programmée dans ce sens. C’était bien calculé, le premier tir a fait mouche ... Elle m’annonçait un mois plus tard qu'elle était enceinte ...
C'était la galère, j'avais à peine plus de 19 ans et j'allais me retrouver père de famille alors que ... Tout ce que je voulais, c'était faire la fête avec mes potes ! ... J’étais vexé ! Mais mes parents, eux, ils étaient furieux ! Mon père surtout, lui, il était vraiment furieux ! Il m'engueulait, et il faisait pas semblant! Il me traitait de déluré, de dévergondé, de débauché, de branleur et de jouisseur, sur ces deux derniers points, je ne sais pas lequel des deux était le pire pour lui. Il menaçait de me couper les vivres, de me jeter à la rue, de me déshériter ... Enfin bref, après plus d'une heure de hurlements , soit je portais une PK-CC au moins jusqu’à la fin de mes études, soit je quittais la maison .
Je me retrouvais ainsi, marié, père de famille, et sous clef. Avant mes 20 ans ! C'était la galère... J'ai donc continué mes études en biologie végétale jusqu'à l'âge de 25 ans. Je m'installais dans un appartement près de la fac, j'avais prétexté, que ce serait mieux pour étudier... Les week-end je les passait en famille. Ma femme, ta grand mère s'était fait accepter sans difficultés dans la famille et restait à la maison chez mes parents toute la semaine.
La semaine, je travaillais, ça c'est sûr, mais je faisais aussi la fête ... Quand tu portes une PK tu es pur... C'est ainsi que la société le conçoit et le définit. On ne te demande plus de rendre des comptes, à condition bien sûr que tu restes discret un minimum, si tu te fais défoncer le cul sur la place publique ... Là évidemment, mais si tu restes discret ... On te prendra même en exemple.
Quand j'ai décroché mon diplôme, nous nous sommes installés Dans notre maison, ma femme me dit alors qu'elle ne désirait pas avoir d'autres enfants, nous faisions chambre à part ! Elle ne parlait plus jamais de retirer mon dispositif, surtout qu'elle n'était pas, mais vraiment pas portée sur le sexe ... Moi, pendant ces années de campus, j'avais découvert de nouvelles sensations et me sentait assez bien comme gay passif, passif mais pas inactif.
Quelques années plus tard mon père me proposait de porter la toute nouvelle PK-OR, si je disait oui, il me restituerait une partie de mon héritage, une partie seulement pour me punir de n'avoir pas été sage...
C'est donc finalement depuis l'âge de 30 ans que je porte ce dispositif ... Voilà tu connais l'histoire.
David : Tu portes donc ce dispositif depuis ...
Philippe : Je vais avoir 58 , ça fait donc 38 , j'avais à peine 20 ans... pour le premier dispositif, pour le dispositif actuel, dix ans de moins.
David : Sans regrets ?
Philippe : Sans regret !
David et son Grand Père regardait les six autres hommes qui tous entièrement nus, s'amusaient dans la piscine, s’arrosaient, sautaient, et surtout faisaient beaucoup de bruit. Ces six corps musclés a la peau noire qui semblaient se mélanger dans ce bassin, juste à cote d'eux, ne les laissaient pas indifférents, le désire montait.
Plus tard, les hommes allaient se coucher les un après les autres ainsi que Philippe. David ne parvenait pas à deviner avec qui son grand père passerait la nuit ... Il restait seul dans la piscine avec Camel ...
Camel était à l'autre extrémité de la piscine, assis sur le rebord... Il regardait David, se laissait tomber dans l'eau puis avançait toujours en regardant David. David plongeait et nageait vers Camel sous l'eau, ne remontant à la surface que juste devant Camel qui s'était arrête. Surpris il regardait David ressortir de l'eau.
Camel : Tu sais nager sous l'eau ?
David : Tu sais pas nager ?
Camel : Non.
David : Si tu veux, je t’apprendrais.
David prenait Camel dans ses bras qui en faisait de même. Ils restaient un long moment enlacés, sans bouger, juste à se toucher. Camel sentait le dispositif PK de David, ça l'excitait, il bandait. David sentait l'érection de Camel, ça l'excitait, il ne bandait pas d'une manière visible ...
Camel allait chercher un tapis de sol bien épais, installait une moustiquaire par dessus et invitait David à venir le rejoindre. Ils s'allongeaient ensemble, se caressaient, s'embrassaient pour finalement s'endormir ensemble, l'un a côté de l'autre ...
Au petit matin, les cinq employés s'étaient regroupés autour de la moustiquaire et regardaient avec tendresse les deux amants allongés nus sur le tapis de sol. Ils échangeaient leurs impressions :
'' Ils sont mignons quand ils dorment''
'' Pas seulement quand ils dorment''
'' Qu'es-ce que tu dis ?''
'' Rien pas si fort tu vas les réveiller''
...
Finalement, David et Camel se réveillaient !
'' On t'avait dit pas si fort''
'' C'est pas moi j'ai rien ''
'' C'est pas moi non plus''
'' Moi j'ai pas dit fort, c'est pas ma faute''
…
David et Camel regardaient leurs camarades qui leur souriaient l'air un peu bête... Puis éclataient de rire.
Camel : (Regardant David dans les yeux tout en lui souriant) David va falloir se lever, il doit être l'heure. (David lui souriait sans répondre) Il faut aller chercher un pantalon aussi, ton grand père n'aime pas qu'on se ballade à poil dans la propriété !
Les deux hommes se levaient, leurs camarades ne les lâchaient pas des yeux. Camel tenait la main de David et lui fit signe de le suivre d'un regard. Il l'emmenait vers la maison des employés en lui disant : '' C'est la que se trouve la blanchisserie, des pantalons, il y en a de toutes les tailles...''. Camel fit visiter rapidement la maison, il y avait de nombreuses chambres, un salon avec écran télé, billard baby foot ... ils étaient bien installes...
Camel : On a chacun notre chambre mais c'est rare qu'on dorme seul.
David : Il y a des douches ici, pourquoi vous allez toujours dans les autres douches là bas?
Camel : Tout simplement David parce que ça nous évite de revenir jusque là! C'est vrai qu'on n'utilise pas souvent les douches ici.
Un peu plus tard, tout le monde se retrouvait pour le petit déjeuner.
Philippe : Alors David, tu as bien dormi ?
David : Ça va, j'ai compris, on t'a racontés!
Philippe : Raconté, on m'a rien raconté !
Il regardait les autres homme qui ne cachaient pas un sourire complice. Camel qui avait un regard particulier envers David. Il finit par se dire ''On finira bien par me raconter''.
Philippe : Thom et moi seront absents pendant deux jours, nous devons nous rendre à la ville, tout un tas de formalité, de paperasseries, rien de grave, trois jours peut être. C'est toi qui sera le patron David ! Tu penses que tu pourras t'en sortir avec cette bande de cinq fous ?
Sans même laisser à David le temps de répondre...
Dadou : T’inquiètes pas Msieu Philippe on va veiller sur lui.
Marc : On lui fera pas de misères.
Boubou : Je le laisserai pas mourir de faim.
Philippe : Bon ça va, j'ai l'impression que vous l'avez tous adopté !
Philippe et Thom se préparaient et partaient tôt. David se retrouvait le chef, ça ne le tracassait pas. Il passait un moment dans la maison du maître à visiter, la bibliothèque était très bien fournie, et dans la salle de bain il y avait même une baignoire !
David se rendait finalement a la piscine s'installait dans le hamac ou il était la veille, ouvrait un bon livre et se laissait aller ... A poil bien sûr !
Ep 4 : WILL
Philippe et Thom étaient à peine partis que Dadou arrivait bruyamment vers David qui se prélassait en lisant …
Dadou : Dis Msieu David ! Dis Msieu David ! Je peux te demander quelque chose ? Dis Msieu David !
Comme à son habitude il était tout énervé !
David : Mais bien sûr Dadou, dis moi qu'est ce qui ne va pas !
Dadou : Tu sais, ton grand père, il aime pas qu'on se ballade à poil dans la propriété … Mais il est pas là ! Et c'est toi qui commande pendant qu'il est pas là … Alors dis Msieu David ! On peu enlever nos vêtements ? Moi j'aime bien être à poil !
David : Comme je te comprends, ( il était lui-même à poil au bord de la piscine ), c'est d'accord, si ça vous amuse moi ça ne me dérange pas … Mais vous faites attention, si quelqu'un vient, je veux que vous vous rhabilliez avant qu'il ne vous voit !
Dadou : Promis Msieu David !
Il repartait en hurlant , '' Il a dit oui, c'est super, il a dit oui. On peut se mettre à poil ! ''
Le calme revenait et c'était désormais des corps nus qui se déplaçaient dans la propriété. David trouvait ce spectacle très agréable à regarder.
La journée se passait avec lenteur dans cette moiteur perpétuelle. David avait commencé a donner ses leçons de natation et il fallait les voir en rang, a poil, tous avec la bouée canard autour du ventre, un grand sourire au lèvres, tous prêts à faire les guignols.
Le groupe passait finalement deux petites heures de bonne rigolades et la leçon se terminaient bien … Aucune noyade n'était à déplorer ! La profondeur de l'eau ne dépassait pas le mètre cinquante mais avec cette bande de fou … Plusieurs ont tout de même bu la tasse !
Le reste de la journée c'était quartiers libres … Finalement c'était la belle vie, autant pour ceux qui travaillaient dans la maison que pour les hôtes … Le travail nécessaire au bon fonctionnement de la maison ne les occupait pas d'avantage qu'une demie journée. Le reste du temps ils faisaient un peu ce qu'ils voulaient !
Un peu plus tard dans l'après midi Dadou arrivait à nouveau vers David, il était calme pour une fois, et regardait David avec insistance, d’où il était David ne voyait que le haut de son corps. David levait les yeux intrigué, Dadou le regardait sans bouger … David ne comprenait pas ce qu'il voulait et le garçon en face de lui se dandinait sur lui-même d'un pied sur l'autre … Se déplaçait un peu sur le coté … David apercevait alors son sexe, il avait une superbe érection. Dadou regardait vers son sexe puis vers David d'un air de dire … '' Ça t'intéresses ? ''
Dadou : Msieu David, on pourrait s'amuser ensemble … La dernière fois j'ai bien aimé et toi aussi … Non ?
David se souvenait surtout de la douleur et il lui semblait qu'il était trop tôt pour remettre ça ! Il expliquait alors avec gentillesse à son camarade que … Plus tard … Un autre jour …
Dadou repartait en dodelinant de la tête, pas vexé, il n'était pas en mangue de sexe mais … David se disait alors : '' Ce garçon ne va certainement pas en rester là … '' . Peu après, en effet, David l'entendait crier …
Dadou : Eh Raffi, viens ici que je t'encule !
Raffi : Non Dadou, c'est moi qui vais t'enculer. C'est toujours toi qui m'encule, il faut changer un peu de temps en temps !
Dadou : Tu aimes bien quand je t'encule ! Alors laisse-toi faire, je sais que tu aimes ça !
Raffi : J'aime bien t'enculer aussi, et toi aussi tu aimes, alors arête de gueuler et c'est moi qui vais t'enculer !
Décidément se dit David. Je comprends un peu mieux pourquoi grand père exige qu'ils restent habillés et se tiennent bien … Mais bon c'est pas si grave ! Je vais aller voir ce qui se passe ! David se levait pour aller voir, il n'y avait plus de bruit … Les deux garçons étaient en train de s'embrasser debout à coté de la piscine chacun enlaçant l'autre, le caressait avec force et tendresse …
Dadou : Tu veux nous regarder Msieu David ?
Raffi : Si tu veux Msieu David, je te le laisse !
Dadou : J'ai déjà demandé, mais il veut pas de ma quéquette !
Aucun des deux hommes ne s'arrêtait. Peu après arrivait Boubou suivi de Marc. Ils se joignaient aux deux autres. Deux étaient assis et suçaient leurs camarades qui ne se privaient pas d'enfoncer leurs membres virils bien à fond dans la gorge de leur partenaires … Des partenaires, ils en changeaient régulièrement, ils prenaient leurs places ils inversaient les rôles. David sentait sa PK qui semblait se resserrer autour de sa bite … Ou alors c'était sa bite qui réclamait plus de place.
Raffi : Dadou, t'es un enfoiré, c'est moi qui voulait t'enculer ! Lâche moi !
Dadou : Tu m'encules après, moi d'abord …
David regardait Dadou qui avec sa tendresse habituelle commençait à limer le cul de Raffi ! Même le sexe était un jeu pour cette équipe de doux dingues … Raffi râlait de plaisir. David sentait un main forte se poser sur son épaule et lui caresser le torse, c'était Camel ! Tout le monde est là se dit David ! Il se retournait vers Camel le prenait dans ses bras. Les deux hommes s'embrassaient tendrement … La PK ne risquait pas de lâcher, David la sentait bien ! Il y a des moments ou elle semblait trop étroite. Même après plusieurs années la sensation restait forte par moment !
David : J'aimerais bien me faire …
Camel : Je voudrais bien mais je te déchirerais ! Et je veux pas te faire mal !
Camel continuait à caresser son camarade, lui passait une mains sous les fesses et le soulevait doucement du sol. David attrapait son cou, s'accrochait en l'embrassant, il sentait le sexe de Camel se relever entre ses jambes qu'il passait autour de Camel !
Camel lui glissait un doigt entre les fesses, David sentait une autre main qui lui caressait les fesses puis une troisième, il retournait la tête, c'était Marc … David était pris en sandwich, accroché à Camel qu'il ne voulait pas lâcher … Il sentait une pression légère au début, sur son anus … Marc lui lubrifiait l'anus et y introduisait un doigt puis deux il positionnait son pénis et exerçait une légère pression. David gémissait, sans douleur, Marc y allait doucement. Camel retenait David, il avait passé ses bras sous ses jambes et le retenait contre lui le cul bien offert, le cul bien ouvert pour Marc.
Marc poussait un peu plus fort, David sentait son anus se dilater, ça faisait un peu mal mais sans plus. Marc poussait plus loin, David sentait son anus s'ouvrir et cette sensation de se sentir pénétré, cette sensation de présence forte à l'intérieur de lui. C'était bon. Camel l'embrassait toujours et semblait surveiller la moindre de ses réactions.
Marc était entré totalement et David sentait son bas ventre contre ses fesses. La sensation était intense et venait de l'intérieur de son ventre, tout au fond de son ventre. David n'avait jamais rien senti de tel à cet endroit de son corps, c'était un peu douloureux mais c'était bon . C'était douloureux mais c'était très bon. Son anus semblait se dilater à en exploser, David se cramponnait comme un fou au cou de Camel ! David avait chaud, il tremblait, il avait le souffle court, il était heureux, c'était bon, il pleurait, il avait mal !
Marc commençait à faire des mouvements de va et vient … David hurlait … Doucement Marc continuait … David gémissait … Marc se serrait contre lui … David pleurait, son visage était rouge … Marc continuait plus lentement des mouvements plus amples … David respirait fort, un peu comme une femme qui accouche … Marc accélérait le mouvement … David poussait des cris par intermittence … Marc respirait plus fort … David semblait à bout de souffle … Marc gémissait, il accélérait ses mouvements … David hurlait de nouveau … Marc criait à son tour … L'un criait, l'autre hurlait au moment ou Marc jouissait dans David … Plus personne ne bougeait, les trois hommes restaient cramponnés l'un à l'autre. David avait passé un bras dans son dos pour retenir Marc. Il tremblait, il avait mal mais il était bien. A aucun moment il ne lui avait demandé d'arrêter !
David n'avait pas éjaculé, mais cette sensation ... Il avait joui, sans sperme , sans juter, il avait joui tout de même, ça avait été intense, il n'y avait plus de douleur, il y avait encore cette masse dans son corps, son anus était toujours dilaté. Marc ne bougeait plus mais David sentait toujours sa présence à l'intérieur de lui ...
Pour ce qui est des trois autres hommes … Deux étaient allongés sur le dos. Dadou était assis, empalé sur le pénis de Raffi qui soulevait et rabaissait son bassin rapidement, à chaque mouvement Dadou poussait des cris de plaisir, des râles de jouissance, des '' encore '', des '' vas y défonce moi le cul '' … Dadou se retenait en posant ses mains sur les genoux de Raffi et en prenait plein le cul avec un plaisir évident ! Boubou les regardait, il se masturbait doucement, il caressait son pénis, il avait déjà éjaculé mais il continuait à se caresser doucement avec plaisir !
Marc se retirait et en même temps arrachait quelques nouveaux cris à David. Camel reposait alors son petit camarade doucement sur un tapis de sol puis l'embrassait avec tendresse avant de se relever.
Boubou regardait David, lui faisait un sourire, il continuait à se masturber semble-t-il juste pour le plaisir de bander, il ne cherchait pas à jouir, en tout cas pas pour le moment … Là il se contentait de bander et de se caresser. Raffi continuait à limer le cul de Dadou qui se relevait un peut à chaque coup de rein et se laissait retomber ensuite sur la bite de son amant. L'énorme Bite de Raffi s'enfonçait bien à fond, Dadou râlait de plaisir à chaque mouvement . Le rythme devenait de plus en plus rapide, de plus en plus violent. Dadou était un violent quand il enculait quelqu'un mais il aimait aussi s'en prendre plein le cul avec la même violence … Raffi ne se retenait pas … Les deux hommes respiraient fort, ils râlaient tous les deux de plaisir … Raffi gueulait fort, et plus fort encore quand il jouissait dans le cul de Dadou. Il cessait alors tout mouvement de son bassin, retombait sur le sol immobile, il caressait les cuisses de Dadou, il faisait une grimace qui trahissait qu'il venait de jouir .
Dadou restait immobile empalé sur Raffi, il respirait fort, il respectait un temps mort puis se masturbait, il bandait comme un fou, il se masturbait avec vigueur et gueulait à son tour quand il éjaculait, une giclée de sperme retombait sur le visage de Raffi puis une seconde giclée coulait sur son torse, superbe liquide blanc et épais qui faisait contraste avec sa peau noire .
Marc se plaçait devant Camel, à quatre pattes en lui présentant ses fesses. Camel doucement passait sa main sur les fesses de Marc, lui lubrifiait l'anus, y introduisait un puis deux doigt. Les entrait puis les sortait doucement puis fermement, lentement puis plus vite … Il se lubrifiait le pénis …
David regardait avec avidité, il n'avait jamais vu le géant en action !
Camel se plaçait alors juste derrière Marc, l'extrémité de son pénis sur l'anus de son partenaire … Doucement il exerçait une pression qui semblait légère … Sans résistance apparente son énorme pénis pénétrait … Il l'enfonçait sur la moitié de sa longueur … Marc avait tourné sa tête vers David … Le géant se retirait … Marc reprenait son souffle … Camel revenait doucement et introduisait à nouveau son pénis directement sur la moitié de sa longueur … Marc faisait une grimace qui ne dissimulait pas un certain plaisir … Camel s'enfonçait un peu plus … Marc gémissait … Camel s'enfonçait complètement … Marc poussait un hurlement … Camel gardait la position en exerçant une forte pression … Marc respirait fort et gémissait …
Les deux hommes gardaient la position un bon moment puis Camel se retirait … Marc grimaçait et appuyé sur les coudes il prenait son visage entre ses mains … Camel revenait bien à fond … Marc hurlait … Camel continuait ces mouvements, amples, doucement au début puis rapides et violents … Marc hurlait à chaque mouvement … Camel lui plantait sa queue sur toute sa longueur … Les deux hommes respiraient de plus en plus fort … Camel s'était penché sur Marc et le tenait fermement dans ses bras … Marc était toujours à quatre pattes il se redressait et s'appuyait sur les mains … Camel posait sa tête sur l'épaule de Marc ... Marc tournait sa tête vers lui … Ils s'embrassait … Camel ne ralentissait pas ses mouvements … Ils gémissaient … Leurs respirations devenaient fortes … Ils criaient … Ils semblaient essoufflés … Ils hurlaient … Camel jouissait, Marc aussi il lâchait une giclée de sperme puis une seconde sans même toucher à son sexe pendant que son compagnon lâchait son sperme dans son anus.
Marc se laissait tomber sur le ventre, Camel restait allongé sur lui, son pénis toujours introduit bien à fond ! Un moment plus tard Camel se retirait, Marc gémissait alors sans bouger ! Camel regardait David en lui souriant et se laissait tomber sur le dos.
Les trois autres hommes ne bougeaient plus, ils étaient allongé sur un tapis de sol … Tout le monde avait le sourire … David en premier ! … Camel se retirait et un liquide blanc et épais coulait de l'anus de Mark.
Quelques jours plus tard, David était tranquillement installé près de la piscine, le reste de son équipe s’entraînait à la natation … Il y avait du progrès ( et toujours aucune noyade ). Ils avaient laissé de coté les bouées canard et parvenaient tous à nager sur de petites distances …
Thom arrivait tranquillement, son bagage sur l'épaule, en direction de David.
D : Vous êtes de retour ?
T : Non, je suis seul. Ton grand père ne rentrera pas avant quelques temps. Il est parti pour l'Inde ou pour l'Australie ... Avec lui on ne sait jamais. Il m'a demande de veiller sur toi ! Tout se passe bien ?
D : Super ...
Tous le soirs après le repas, David retrouvait Camel sur le bord de la piscine ... David recherchait sa compagnie et ne s'en cachait pas. Camel semblait faire de même. David s'asseyait juste à coté de Camel qui aussitôt se rapprochait, d'une demie fesse ...David faisait le même mouvement ... jusqu'au moment ou Camel passait son bras sur l'épaule de David. Ils passaient alors un long moment à se parler doucement, à s'embrasser, se toucher, se caresser. Rapidement Camel se retrouvait avec une érection impressionnante ce qui charmait David. Mais Camel ne semblait pas toujours apprécier ces érections … Un jour il confiait même à David qu'il aimerait bien lui aussi porter une PK-OR, comme lui David, comme son grand père. David lui ne lui cachait pas qu'il aimerait bien lui, pouvoir se prendre cette magnifique bite dans le cul … Ils se limitaient à des câlins et quelquefois Camel lui faisait une massage de la prostate … C'était toujours pour David un moment de plaisir intense ! Quelquefois aussi David s’entraînait à sucer l'énorme queue de Camel, il améliorait sa technique … Souvent le matin ils se réveillaient en même temps dans le même lit, celui David, ou celui de Camel !
Plusieurs jours passaient. On entendait la cloche, à l'entrée de la propriété … Quelqu'un arrivait … Comme l'avait demandé David tout le monde passait un pantalon, lui aussi ! Thom se dirigeait vers l'entrée de la propriété, David le suivait. C'était tout de même lui le patron ici en l'absence de son grand père !
Un jeune homme aux cheveux clairs attendait qu'on vienne l'accueillir, ses bagages étaient posés à coté de lui, il regardait impassible David et Thom qui venaient vers lui …
Will : J'ai failli attendre ! Vous être rapides ici pour recevoir les gens ! On a du vous prévenir que je viendrais. J'espère que tout est prêt dans ce genre d'endroit le confort est souvent … Comment dire … Inexistant, y en a pas et c'est normal quand on vit au milieu de sauvages … ! Moi c'est Will, tu me conduit à ton boss.
Thom : Monsieur David, c'est lui le boss ! Moi je suis …
Will : M'en fou de qui tu es toi ! Quand à David c'est pas lui le boss, le boss c'est un vieux … Je le connais c'est un ami à ma mère, c'est elle qui à voulu absolument que je vienne dans ce coin paumé, ou il n'y a rien pour s'amuser, plein de moustiques et ... de sauvages …
Il regardait Thom d'un air méprisant.
David était désagréablement surpris d'une telle présentation. Il éprouvait une étrange impression et s'il s'était écouté, il aurait invité cet hôte à aller voir ailleurs !
David : Moi c'est David, en l'absence de mon grand père, c'est sans doutes celui que tu appelles le vieux, c'est moi qui commande .
Will n'écoutait plus, et sans y être invité il entrait dans la propriété.
Will : Mes bagages ! Ils ne vont pas venir tout seul !
Thom et David se regardaient pour bien s'assurer qu'ils ne rêvaient pas ! Ils ramassaient tous les deux les bagages et suivaient Will !
Thom : Nous avions prévu de vous loger monsieur Will avec monsieur David , dans la maison qui se trouve à droite de la maison principale …
Will : Dis moi David, tu fais quoi toi ici, si tu es en vacances t'as pas de chance, n'importe ou c'est mieux ! Tu as la clim au moins ?
David : Non il n'y a pas la clim ! Mais il y a une piscine juste derrière cette maison !
Will : C'est déjà ça ! Et le service il est comment ! Ils y en a d'autres comme ça ? ( en montrant Thom )
En seulement quelques minutes David trouvait ce garçon très antipathique. Il était désagréable, quand Thom lui parlait il ne lui répondait même pas …
Peut après le petit groupe arrivait à la maison, au passage David remarquait cinq têtes derrière un buisson qui les observaient … Will trouvait la maison peu confortable, petite, sans clim …
Will : C'est presque propre, c'est déjà ça. Pas de clim, exiguë, la piscine elle est ou … ? Ah oui elle est là bas, je l'avais imaginée plus prêt … Enfin on fera avec !...
Thom et David ressortaient de la maison laissant Will s'installer …
David : On ferait peut être mieux de préparer une table pour deux ce soir comme le jour ou je suis arrivé !
Thom : Il me semble que c'est préférable !
David revenait dans la maison pour tenter de faire plus ample connaissance avec Will et ce, malgré la très mauvaise impression qu'il lui faisait ! Will était sous la douche, il laissait l'eau froide couler longuement sur lui . David entrait dans la salle de bain et remarquait que Will portait une PK-CC.
David : Je vois que tu portes une P...
Will : Bien ! Mais c'est qu'il est observateur le petit bouseux ! Tu es décidément plus futé que je ne le pensais ! Remarque il faudrait être aveugle pour ne pas le remarquer !
David : Non, mais je dis ça …
Will : Oui ça va j'ai compris c'est seulement parce que tu n'as rien d'autre à dire. Te fatigue pas, ma mère m'a dit qu'on m'expliquerait ici les bienfaits de ce genre de dispositif … C'est pas un choix, j'ai pas le choix, mes parents on décidé que ce serait mieux pour moi !
David : Mais enfin, ils ne peuvent pas …
Will : Insiste pas je te dis ! Ma mère m'a dit … '' Ou tu le portes, ou tu te trouves un travail pour subvenir à tes besoins ! '' ! J'ai pas le choix
Exaspéré David lui répondait !
David : Travailler c'est ce que tout le monde fait, t'es trop feignasse pour faire ce choix !
Il tournait les talons et retournait voir Thom pour partager ses impressions !
Will lui hurlait …
Will : Je ne suis pas tout le monde et je suis habitué à un certain niveau de vie … Tu sais combien ça coûte une voiture de sport ? Eh péquenaud ! T'as même pas ton permis !
Le souper se passait dans une ambiance glaciale … Will ne desserrait pas les dents de tout le repas sinon pour faire des critiques … Le repas n'était pas servi comme il fallait … Ce n'était pas bon … C'était trop froid … C'était trop chaud … Trop de sel … Pas assez de sucre … Les employés n'étaient pas correctement habillés … Ils ressemblaient à des mendiants … Ne savaient même pas faire le service …
Avant d'arriver au milieu du repas David avait déjà envie d'étrangler son hôte … Mais bon il avait été bien élevé et savait que ce n'était pas courtois que d'étrangler ses invités, si certains le faisait ( il n'en connaissait pas bien sûr ) dans sa famille on ne le faisait pas ! Cette réflexion, David se la faisait surtout pour arriver à se détendre tant ce nouvel arrivant l'énervait … Désagréable … Méprisant … Impolis … Ça semblait être les principales qualités de ce Will !
David tentait de lancer la discussion mais en vain … Un peu avant le dessert Thom arrivait avec une lettre que Philippe avait reçu quelques semaines plus tôt … David l'ouvrait, C'était une lettre des parents de Will qui demandaient à Philippe de remettre la clée qui accompagnait à leur fils, c'était la clé de son dispositif de chasteté … La lettre expliquait au grand père de David que Will n'était pas toujours sérieux dans son travail, dans son comportement avec les autres ( '' On ne l'aurait pas remarqué ! '' se disait David en lisant cela ). Sa mère avait exigé qu'il soit équipé d'un dispositif PK-CC … Toutefois pour l'encourager il serait libéré pour les vacances et s'il avait compris qu'il fallait se comporter correctement il ne serait pas obligé de le remettre à son départ …
David se disait … '' Se comporter correctement, c'est pas gagné … C'est un gosse de riche qui se prend pour meilleur que les autres, complètement égocentrique, indifférent à ceux qui l'entourent … C'est pas gagné cette affaire, c'est pas gagné ! ''.
David : J'ai reçu ça pour toi !
Il lui présentait la clé ! Will la lui arrachait des mains, et sans dire merci quittait la table …
Will : J'y croyais pas, c'est génial, je vais me branler. Si tu veux venir voir … Ça fait trois mois … Ouai c'est super ! Tu peux venir te branler avec moi si tu veux ! Allez viens donc !
On ne voyait plus Will de toute la soirée, et personne ne semblait le regretter ! Le groupe oubliait même un bon moment la présence de ce nouvel hôte. Tous s'étaient retrouvés dans la piscine comme d'habitude, tous s'étaient retrouvés à poil comme ils le faisaient tous les soirs depuis que la piscine avait été installée car si Philippe ne les autorisait pas à se promener nus dans la propriété, autour de la piscine ils en avaient le droit … David se retrouvait très proche de Camel pendant que le groupe chahutait dans l'eau. La nuit s'avançait et tout le groupe avait oublié la présence de ce nouvel arrivant !
Plus tard, David rentrait se coucher, il avait préféré dormir seul … On ne sait jamais, il y avait une personne de plus … Quand il arrivait à la maison, Will était assis à poil, sur le canapé, il regardait la télé tout en se caressant la bite, il bandait !
Will : Tu viens te joindre à moi ? C'est cool de bander , j'ai déjà joui deux fois … Fais donc comme moi, tu te fouts à poil et tu te caresses, tu bandes, tu y vas tout doucement, tu prends ton temps … Tu finiras par éjaculer, alors tu en profites … Tu restes comme ça un moment puis quand tu commences à débander tu recommences, tu te caresses encore, et encore …
David : Je vois que tu es en forme !
Will : Trois mois, tu te rends pas compte toi ! J'ai du temps à rattraper ! Là tu vois, je commence à débander, je recommence à me caresser, puis je me branle plus fermement … Je veux pas jouir tout de suite …
David : Et tu vas y passer la nuit ?
Will : Tu peux faire comme moi ! Tu sais, je suis pas homo, c'est juste une partie de branlette entre copain ! Tu peux aussi regarder si tu veux !
David rigolait à cette dernière réflexion ! Il se servait un verre, en préparait un pour son hôte , et s'asseyait en face de Will et par provocation le regardait avec insistance ! Will trouvait cette situation amusante et se branlait de plus belle … Un bon quart d'heure plus tard Will éjaculait , un goûte retombait même sur son épaule … Il faisait un grand sourire à David !
Will : A ton tour , vas y , montre moi ce que tu sais faire ! Ne soit pas timide ! C'est bien de jouer les voyeurs mais c'est mieux de jouer les exhibitionnistes !
David : Non, sans façons ! Je vais me coucher !
Will restait, il continuait à se branler. De toutes évidences il n'avait pas l'intention de changer d'occupation tant qu'il pourrait bander ! Il était jeune, il venait d'éjaculer trois fois de suite, il prenait son temps, il en avait à rattraper comme il disait, ça pouvait encore durer un bonne partie de la nuit !
Au petit matin David dormait paisiblement quand il était réveillé par Will. Pour être plus précis c'est par les éclats de rire de Will qu'il était réveillé … Will était entré dans la chambre de David sans y être invité, il avait trouvé David profondément endormi sur le dos, sa PK exposée à la vue des passants dans un endroit ou, justement, il ne devait pas y avoir de passants !
Will : Ah, le tocard ! Ah le gros naze ! T'es vraiment nul ! Je comprends mieux pourquoi tu voulais pas te branler avec moi hier soir ! J'y crois pas ! Tu fais partie de ces gens …
Will ressortait de la chambre de David et continuait en rigolant !
Will : Un PK-OR ! Quel gros naze ! Ah le bouffon ! Il a accepté de porter ce truc !! C'est pas à moi qu'on ferait un coup pareil ! Ils t'ont donné quoi pour que tu acceptes dis moi David ! Tu sais que tu ne pourras jamais baiser … ! Jamais !
Puis il s'éloignait en riant de plus belle !
David ne comprenait pas tout de suite ce qui se passait ! Il se levait, il était l'heure, et se préparait pour le petit déjeuner ! Une douche rapide … Will arrivait dans la salle de bain …
Will : Wouah ! T'es vraiment un gros naze, un pauv-type ! Tu t'es regardé ! T'es même plus un mec ! T'as quel âge ? Tu sais que tu ne baiseras jamais, de toute ta vie … Jamais ! T'es un eunuque mon pauvre gars ! Un pauv-type ! Pour toi c'est fini avant d'avoir commencé !
David n'appréciait que très modérément ce genre de réflexion. Surtout de la part d'un branleur aussi désagréable ! … Ils se retrouvaient pour le petit déjeuner. Will continuait ses moqueries et ses réfections …
David : Bon là ça suffit ! Tu commences à me gonfler !
Will : Oui, en tout cas y a un truc qui risque pas de gonfler chez toi ! Pauv-type !
David : Mais tu te prends pour qui ? Tu te prends pour quoi ? Tu n'as pas peur que ça t'arrive aussi ? Tu n'as pas peur que tes parents t'y oblige ? Moi ça me ferait bien rigoler à mon tour !
Will : Moi y a aucun risque. Jamais ! Tu m'entends … JAMAIS !
David : On en a vu d'autres, des branleurs comme toi, à qui les parents on proposé ce chois … Tu le mets ou on te coupe les vivres ! Tu ne serais pas le premier ! Tu sais moi ça me ferait bien rire ! Feignasse comme tu es … Tu ferais quoi ? Tu sais le prix que ça coûte une voiture de sport ?
Will ne riait plus ! Il quittait la table !
Ep 5 : WILL TOUJOURS LUI
Will disparaissait pendant le reste de la matinée et ne réapparaissait que pour le repas ! David allait se promener dans la région, il avait pris une moto et s'amusait comme un fou … De retour il passait par la douche. En y entrant, il apercevait Mark, il lui faisait signe de venir et entrait. Quand Mark arrivait, David était déjà nu sous la douche. Voyant Mark entrer il lui faisait un grand sourire. Mark le lui rendait et s'approchait en retirant ses vêtement, depuis l'arrivée de Will ils avaient tous repris l'habitude de rester habillé … C'était rapide, il ne portait que des sandales et un pantalon de toile qu'il laissait à l'entrée … Il bandait déjà bien quand il arrivait au niveau de David.
David sans hésiter se mettait à genoux et commençait à lui sucer la bite Mark prenait la tête de David entre ses mains et prenait le contrôle. Il enfonçait sa bite en appuyant sur la tête de David pour aller jusqu'au fond. David encaissait cette queue qui lui rentrait jusqu'à la gorge … Il avait fait des progrès depuis son arrivée le petit David …
Quelques semaines plus tôt il était puceau, tellement puceau qu'il n'avait jamais embrassé quelqu'un sur la bouche . Tout avait changé en peu de temps ! Ça lui paraissait si loin maintenant. Seuls les deux mecs les mieux montés ne l'avait pas enculé … Mais bon là il y avait encore du travail, ils étaient vraiment très bien montés, c'était pas pour les débutants et même si David commençait à maîtriser les gorges profondes il restait encore dans la catégorie débutants. Mark poussait pour faire entrer dans la gorge de David sa grosse queue, ça coinçait encore un peu. David avait le visage rouge au bout de quelques minutes à ce traitement. Il se relevait, se retournait, écartait les jambes en se penchant en avant offrant son cul à son partenaire.
Mark se lubrifiait bien la bite et doucement commençait à l'introduire dans le cul de David qui le laissait faire en poussant des gémissements de plaisir et de douleur. C'était encore un peu douloureux ce qui ne l'empêchait pas d'en redemander. Ça rentrait mieux que dans la gorge, Mark parvenait à introduire rapidement sa grosse bite bien à fond dans le cul de David !
Il marquait une pause pour laisser le temps à son partenaire de se détendre puis commençait des mouvements d'avant en arrière lent et amples au début, puis plus rapides, plus court mais toujours plus vite. David gémissait, il avait le souffle court ! Chaque mouvement lui arrachait des gémissements, des cris, puis plus tard des hurlements de plaisir … La sensation de douleur disparaissait vite pour n'être remplacée que par une sensation de plaisir intense, de jouissance, d'orgasme. David jutait, son sperme coulait de son dispositif PK, sa queue était gonflée autant qu'elle pouvait et pressait contre la cage métallique et il sentait cette pression. Cette pression lui était devenue familière depuis quelques années mais c'était toujours une sensation intense surtout quand il éjaculait comme en ce moment. David semblait suffoquer sa respiration était forte et irrégulière. Mark commençait lui aussi à respirer fortement, à gémir, puis dans un râle de plaisir il donnait à David des coups de butoir d'une extrême violence qui arrachait à David un hurlement de douleur au moment ou éjaculait en lui en hurlant également !
Mark restait un moment sans bouger sa queue bien plantée dans le cul de David, puis il se retirait. David restait un moment appuyé sur le mur à reprendre son souffle. Il avait mal au cul mais il se sentait bien, il venait de jouir. Mark lui faisait un câlin, penché sur lui, il lui caressait le torse, l'embrassait dans le cou pendant un long moment. David finissait par se retourner, ils se savonnaient l'un l'autre, s'échangeaient un baiser, et remettaient leur pantalon de toile avant de repartir.
Will n'était pas réapparu depuis le petit déjeuner … Personne ne s'en plaignait ! Il ne devait réapparaître que pour le dîner. La table était prête, il faisait toujours la gueule ne saluait personne, et ce jour là ne faisait aucun commentaire sur le service ou le repas.
Will : J'ai l'intention de me prélasser au bord de la piscine cet après midi …
David : C'est très bien moi je vais peut être faire un peu d'équitation !
Will : Il y a des chevaux ?
David : Oui !
Will : Beaucoup ?
David : Non !
...
De toutes évidences ils n'avaient rien à se dire !
Dans l’après midi David partait faire sa promenade, il restait absent plus de trois heures. A son retour, c'était calme dans la propriété, pas un bruit. David passait près de la piscine, personne ! Dans le potager, personne ! Il finissait par se rendre dans la maison des employés, pas un bruit mais tout le monde était là … Ils faisaient tous la gueule …
David : Allons bon , mais qu'est ce qui ne va pas ?
Dadou : C'est Msieu Will !
Camel : On allait se baigner pour se rafraîchir, comme d'habitude, quand Will est arrivé. Il nous a engueulé parce qu'on était à poil !
Dadou : Il nous a engueulé parce qu'on était dans l'eau !
Mark : Il nous a engueulé parce que … '' C'est pas comme ça que l'eau va rester propre ! '' …
David : Bon, je vais voir ce que je peux faire !
David se rendait vers sa maison, il passait par la piscine, Will y était. Il était tranquillement allongé sur un transat à poil, il bandait à moitié et était toujours à se caresser la queue. Voyant David arriver …
Will : Ça te fait envie ? Pourquoi tu me rejoint pas, vas y allonge toi là, met toi à poil, tu verras c'est cool. Tu peux te branler doucement en prenant bien ton temps … Oh pardon , c'est vrai , j'avais oublié … Toi … !
Et il continuait en ricanant … !
David : On me dit que tu as chassé tous les employés de la piscine !
Will : Je vais tout de même pas me baigner avec le petit personnel … de couleur ! (… )
David : Ils ont le droit de profiter de la piscine également, elle a aussi été installée pour eux !
Will : Non mais tu rigoles … Mais c'est ta queue qui est sous clée et ne peut pas fonctionner pas ta cervelle … Tu délires ! Tu t'imagines vraiment que je vais accepter … avec … cette bande de … non mais tu es … tu les as vu …
( Je dois prévenir le lecteur, dans les propos de Will j'ai fait quelques coupures … Son vocabulaire est loin d'être aussi courtois et polis que ce que je retranscris ! Je n'ai conservé que ce qui était politiquement, à peut près, acceptable. Pour le reste j'ai censuré ! … Note Du Narrateur )
David : Tu sais que tu m'énerves, t'es pas chez ta mémé, tu te crois ou, à l’hôtel ? Ici il y a des règles, des règles de courtoisie et de respect, j'ai l'impression que ces règles tu ne les connaît pas ! Mais on ne va pas les changer pour toi !
David retournait voir les employés pour leur faire ce discours !
David : On a essayé de recevoir ce garçon au mieux, mais il est vraiment trop désagréable. Il a réussi à se mettre tout le monde à dos en moins d'un journée, et avec le caractère enjoué et serviable que vous avez tous c'est une prouesse. J'aimerais qu'on reprenne nos bonnes vieilles habitudes, on partage les repas, vous pourrez vous baigner dans la piscine quand vous le voulez et vous pourrez vous balader à poil si vous le voulez et pour ce qui est de Will, si ça ne lui plaît pas il n'a qu'à repartir !
Tous criaient de joie, retiraient aussitôt leurs vêtements et se précipitaient vers la piscine ! David se disait : '' Il faut absolument que je les suive, je sens qu'il y en a un qui va encore gueuler ! Quelques instants plus tard Will voyait débarquer la bande qui plongeait dans piscine en poussant des cris de joie, ils en avaient été privé pendant les heures les plus chaude de la journée.
Will : ( en hurlant ) Non mais ça va pas ! Dégagez d'ici tout de suite ! Vous vous croyez ou ? Le petit personnel comme … n'a rien à faire ici … Dégagez , je ne vais pas le répéter bande de … Vous allez voir ce que vous allez voir … !
( là aussi j'ai été obligé de censurer … Toutes mes excuses … NDN )
David ne tardait pas à arriver il était à poil, son pantalon sur l'épaule ! Lui qui est toujours de bonne humeur, là il ne souriait pas surtout après avoir entendu comment Will parlait aux employés !
David : Will ! Tu la fermes ! Tu n'es pas chez toi ici ! Ici c'est moi qui commande et si tu n'es pas content tu vas voir ailleurs ! C'est compris !
David plongeait à son tour dans la piscine. Will restait sans voix ! Il n'avait pas apprécié qu'on lui parle comme ça ! Il rentrait dans sa chambre visiblement de mauvaise humeur. Il n'en ressortait que pour le souper …
Tout le monde avait retrouvé sa bonne humeur, ils étaient tous à poil autour de la même table, le repas était servi, Will arrivait ! Ses yeux lui ressortaient de la tête en voyant ce spectacle.
Will : Ça va pas là ! Vous êtes tous devenus fous ! Dégagez de là tous bande de … David tu vas pas bien ! Je veux bien croire que tu apprécie de te faire défoncer le cul par ces … Mais de là à manger à la même table que …
Boubou : Vous pouvez vous installer ici Msieu Will, entre Camel et Dadou, voulez-vous que je vous serve Msieu Will ?
D'un seul mouvement Camel et Dadou s'écartaient pour laisser à Will une petite place …
Scandalisé par cette proposition Will prenait une assiette, vérifiait qu'elle était propre ( … ! ... ), se servait et allait prendre son repas tout seul, dans le salon … aussitôt le souper terminé, il se retirait dans sa chambre sans dire un mot ! Plus tard, David passait ce moment de tendresse avec Camel sur le rebord de la piscine, la nuit avançait, les garçons allaient se coucher les uns après les autres … La soirée se passait tout à fait normalement, comme d'habitude, paisible. Will n'était plus dans les esprits ! David quittait Camel après lui avoir donné un long baiser et rentrait dans sa chambre. Il restait à poil !
Will semblait l'attendre …
Will : Je comprends mieux ! Tu penses peut être que je ne vous ais pas vu toi et le géant ?
David : En plus tu m'espionnes !
Will : Ça va j'ai compris, tu préfères te faire défoncer le cul par cette bande de …
David : La ferme !
Will : Tu es ridicule avec ton truc, et en plus tu à l'air d'en être fier à t’exhiber à poil comme ça !
David n'écoutait plus … Will continuait dans son délire … David finissait par monter se coucher …
Will : Vas y casse toi, toi aussi, tu es pathétique, minable ! …
David dormait paisiblement, allongé sur son lit. Il était entièrement nu, sans draps sur lui, le moindre tissus devenait une torture par les températures qu'il y avait ici … Will entrait, allumait la lumière, et commençait à gueuler …
Will : Tu penses peut être que tu es plus important parce que tu porte ton truc ? Mois, ma famille c'est pas n'importe quoi ! Tu aimes te faire enculer par cette bande de … . Tu vas voir, je vais te montrer ce que je sais faire !
Il sautait sur David qui commençait juste à se réveiller et ne comprenait pas vraiment ce qui se passait. Le retournait et sans plus de formalité lui enfonçait sa bite dans le cul et le limait violemment pendant quelques minutes. David eut d'abord le réflexe de tenter de se dégager puis le laissait faire. Ça ne devait pas durer longtemps. Will éjaculait rapidement en gueulant de plaisir ! Puis se relevait !
Will : Alors ! Hein ! Pas mal ! Moi aussi je peut te faire jouir !
David : Je ne voudrait pas te décevoir, mais tu n'est pas à la hauteur ! Mais alors vraiment pas ! Ptit bite ! Vas donc te branler, ça au moins tu sais faire !
Exaspéré David se levait et allait terminer sa nuit dans les bras de Camel qui le recevait sans poser de questions, il le recevait en lui ouvrant les bras et les deux hommes passaient une nuit calme et reposante.
Le lendemain, David préférait téléphoner à son grand père pour lui raconter comment ça se passait avec Will … Philippe regrettait de ne pas être là, on lui avait dit que Will pouvait être un peut difficile mais il croyait que ce n'était qu'un problème avec l'autorité. Il avait pensé que deux garçons du même âge pourraient s'entendre, que sa présence n'était pas nécessaire. Il était évident que Will était beaucoup plus difficile que prévu …
Philippe : Et tu me dis que … Ce genre de réflexion n'est pas acceptable, je suis d'accord avec toi … Et quand tu lui as donné sa clée ? … Non ! … A se branler dans le salon sur le canapé ! … Et quand tu es arrivé ? … Quoi ! Il a osé te dire ça ! …
Philippe n'aimais pas ce qu'il entendait. Le comportement de Will le scandalisait. Il confirmait à David qu'il avait bien fait de dire à l'équipe de ne plus s'occuper de ce disait Will mais rajoutait …
Philippe : Je ne sais pas si c'est une bonne idée de les autoriser à se balader à poil dans la propriété, tu vas voir, il faut savoir les gérer … Enfin bon, je ne suis pas là et comme tu es de la famille, c'est toi qui commande ! C'est à toi de voir !
…
Philippe : Je vais toutefois appeler les parents de Will, ils devraient être dans la région, je te tiens au courant !
Le reste de la journée se passait comme d'habitude, le calme revenait. Will passait son temps à gueuler mais comme plus personne ne l'écoutait … Il finissait par se retirer dans sa chambre et on ne le voyait plus jusqu'au soir. Il n'en ressortait que pour les repas qu'il prenait dans un salon, ne voulant pas se joindre au reste de l'équipe !
Le lendemain on demandait David au téléphone … C'était une voix féminine … C'était la mère de Will, elle était désolé du comportement de son fils et présentait à David toutes ses excuses … Elle l'informait qu'elle passerait avec son mari pour récupérer Will et qu'il aurait la punition qu'il mérite … ! David n'en demandait pas tant il voulait seulement être débarrassé de ce casse pieds !
David n'en parlait qu'à Thom qui lui répondait que les mesures seraient prises, pour ce qui est de Will on décidait de lui laisser la surprise … Dans les deux jours qui suivaient Will ne changeait pas … Son comportement était parfaitement insupportable. La totalité de l'équipe ne pouvait plus le supporter. En une journée il avait réussi à se mettre à dos tout le monde alors en trois jours …
Thom venait voir David .
Thom : David, les parents de Will viennent de téléphoner, ils seront là en fin de matinée, je vais prendre les dispositions pour les recevoir. Ne t'inquiète pas David, ton grand père nous a préparer à ce genre de situation. Nous ne recevons pas souvent des cadres de la société PK mais nous savons comment nous y prendre !
En fin de matinée, une table pour le dîner était prête ( uniquement pour les invités et David ), le repas terminait de mijoter, l'équipe s'était habillée et pour l'occasion, bien habillé ! David n'en revenait pas.
David : Mais vous êtes beaux comme ça ! J'y crois pas, une chemise, un pantalon parfaitement ajusté, et … je me trompe mais on dirait que vous portez des sous vêtements … ?
Dadou semblait faire la gueule, il ne souriait pas ce jour là …
David : Qu'est ce qui t'arrive Dadou, on dirait que quelque chose ne va pas ?
Dadou : C'est pas bon ça, moi j'aime pas ça, ça gratte, ça gène, on peut pas bouger … Je sais c'est que pour la journée, mais moi j'aime pas ça !
David : Mais qu'est ce qu'il dit ?
Mark qui était juste à coté attrapait la ceinture de Dadou tirait sur son pantalon et laissait apercevoir à David … Il n'avait pas de sous vêtement, en fait il portait un PK-CC !
Mark : On porte tous un truc comme ça. Quand on reçoit des directeurs de la PK … Heureusement Monsieur Philippe ne les reçoit pas souvent, on n'aime pas ça nous, mais si on veut rester tranquille on n'a pas le choix. On le retire aussitôt après leur départ !
Seul Camel semblait tout à fait à son aise !
Les parents de Will arrivaient. L'équipe était au garde à vous pour les recevoir, Will avait été averti mais préférait resté dans sa chambre ! Le couple voulait tout d'abord présenter ses excuses à David.
La mère : Will a toujours été une déception pour nous, il ne travaille pas à l'école, il a déjà redoublé trois fois …
Le père : Notre personnel de maison ne cesse de se plaindre de lui !
La mère : Mais laisse moi parler Franck, tu vois bien que je lui explique. Tout le monde se plaint de lui, on l'a obliger à porter un modère CC, je voulais moi l'obliger à une PK-OR mais mon mari trouve que c'est peut être excessif …
Le père ( Franck ): Et surtout définitif !
La mère : Mais arrête donc de me couper la parole. Va donc chercher ton fils. Il est ou au fait, il est ou ? Lui a-t-on dit que nous étions arrivés ?
Thom confirmait d'un signe de la tête … Puis conduisait Franck à la chambre de Will !
La mère : Savez-vous qu'il ne s'intéresse qu'aux filles. Il ne fait rien à l'école mais l'autre jour nous l'avions surpris avec deux filles dans son lit !... Et quand il n'y a pas de fille, il passe sont temps à se branler … C'est pas sain ça !
Will arrivait avec son père.
La mère : Ah te voilà enfin toi ! Tu vas présenter des excuses à ton ami David. Ton comportement est intolérable …
… Nous t'avons fait confiance …
… On t'a libéré comme promis …
… On t'avait promis que tu ne serait pas obligé …
… Mais tu n'a pas travaillé à l'école …
… Si tu veux pouvoir continuer …
… Si seulement tu voulais bien faire un effort …
Elle parlait, elle parlait, son mari préférait ne rien dire, David finissait par se retirer jugeant qu'il n'était pas nécessaire de participer à cette scène que faisait la mère de Will !
Ils finissaient par passer à table et David se disait … '' Pourvu qu'ils ne restent pas ce soir … '' …
Finalement, ils passaient la nuit sur place. On les installait dans une grande chambre réservée aux personnes importantes, Thom connaissait la procédure aussi David le laissait faire. Après le repas Franck faisait un petit tour du propriétaire en compagnie de David.
Franck : On m'a dit beaucoup de bien sur toi !
David : Il ne faut rien exagérer, j'essaye de bien me comporter, c'est tout … Je ne suis un exemple, pour personne …
Franck : Tu es modeste en plus, si seulement Will … On me dit que tu as d'excellents résultats scolaire, que tu es travailleur … Tu as même travaillé pour pouvoir te payer ta PK-OR …
David : Sans mon grand père …
Franck : Il y a une piscine ! On peut se baigner ?
David : Bien sûr, c'est fait pour ça !
Les membres du personnel n'étaient pas là, évidemment, il y avait un hôte de marque ! Cet hôte retirait rapidement ses vêtements, il portait lui aussi une PK-OR, et plongeait dans la piscine. David en faisait de même !
Les deux hommes nageaient quelques longueurs, profitant un long moment du calme et de la relative fraîcheur. Franck s'asseyait sur le rebord de la piscine et faisait signe à David de le rejoindre.
Franck : Tu sais, on à beaucoup parlé de toi à la haute direction de la maison PK !
David : Comment ça ?
Franck : Tu es un héritier directe d'un des principaux fondateur de la société, et tu le sais sans doutes, pour pouvoir bénéficier pleinement de cet héritage il faut porter une PK-OR lors de ses 21 ans …
David : 21 ans, ça devrait le faire !
Franck : Tu en as 18 et tu es déjà porteur ! Ton dossier nous est remonté … Tu vas te retrouver très riche, tu sais !
David : Mon grand père ne m'en a que vaguement parlé, il n'est pas entré dans les détails …
Franck : J'ai peut être un peu trop parlé ! Tu veux faire quoi à la rentrée. Université, école de commerce de gestion ?
David : J'ai envie d'étudier la biologie comme mon grand père !
Franck : Si tu fais des études de commerce ou de gestion tu pourrait postuler au poste de PDG …
David : PDG … de la PK compagnie ?
Franck : Il faut y penser ! Pour ce poste, la société à besoin de quelqu'un de sérieux de constant ! Ce choix que tu as fait si jeune, ton sérieux, tes résultats scolaire semblent prouver que tu as les qualités !
Les deux hommes faisaient encore quelques longueurs de piscine avant de se retirer chacun dans leurs appartements … Will avait été invité par sa mère à dormir dans la chambre à coté pour être sûr qu'il ne dérange pas David davantage, il n'avait pas osé refuser l'invitation …
Le lendemain nous nous retrouvions tous les quatre au petit déjeuner. Franck semblait de bonne humeur, sa femme faisait toujours les '' gros yeux '' à son fils, Will faisait la gueule, sa mère l'avait obligé à remettre sa PK, il ne desserrait pas les dents et n'adressait pas un regard à David .
Avant de partir les parents de Will saluaient David, Franck insistait même '' … Des études de commercer et de gestion, la société PK aura toujours besoin d'un PDG constant et sérieux, mon garçon tu es un candidat de premier plan … ''.
Ep 6 : L'EQUIPE DE TOURNAGE
Ces hôtes de passages avaient à peine quitté la propriété la propriété que tous les employés se libéraient de leur dispositif de chasteté. Dadou retrouvait son sourire et tous se retrouvaient à nouveau à poil à déambuler dans la propriété.
Tous … sauf David bien sûr et … sauf Camel !
David trouvait le spectacle sexy mais il aimait bien aussi voir la lourde bite de Camel se balancer entre ses cuisses, il aimait beaucoup voire l'énorme pénis de Camel se redresser quand ils se faisaient un câlin, il aurait tellement aimé se la prendre dans le cul. Ça lui faisait un peu peur mais il en rêvait, il savait qu'avec un peu d'entraînement il pourrait, il était sûr, il le savait, ce serait, ce sera bon !
David n'avait pas d'autre choix que de respecter la décision de Camel, comment aurait-il pu le lui reprocher, il avait lui-même fait ce choix. Camel était passif, il était peut être suréquipé mais il préférait se faire prendre que d'enculer quelqu'un, tout comme David. Entre eux, c'était toujours beaucoup de tendresse, et ce sera toujours beaucoup de tendresse !
Les jours passaient toujours avec la même lenteur, avec la même lourdeur sous ces températures infernales. David se levait toujours très tôt, prenait le petit déjeuner avec l'équipe, chacun vaquait à ses occupations le reste de la matinée. Après le repas de midi, tout le monde faisait une sieste, souvent autour de la piscine.
Ce jour là Camel venait rejoindre David, il le caressait doucement, David sentait la pression au niveau de son dispositif de chasteté. Ça lui faisait toujours cet effet quand Camel le touchait, même si ce n'était qu'un contact furtif, même s'ils ne se frôlaient qu'à peine !
Camel s'allongeait à coté de David, ils se prenaient dans les bras, se caressaient, s'embrassaient. Dadou s'était rapproché, à quelques mètres il les regardait avec insistance, il bandait et ne s'en cachait pas. Il s'approchait puis caressait les épaules de Camel, ses mains descendaient tout le long de son corps en insistant sur les fesses puis caressait longuement les testicules de Camel !
Dadou s'était penché sur Camel et caressait maintenant David qui ne le repoussait pas ... Rapidement Dadou caressait les fesses de David puis lui introduisait un doigt dans l'anus … David repoussait doucement Camel pour qu'il s'allonge sur le dos … Le chevauchait , prenait position comme s'il voulait s'empaler sur son camarade, mais ça, c'était sans espoir … Camel le prenait dans ses bras, le caressait. David lui rendait ses caresses … Ils s'embrassaient …
Dadou en profitait pour continuer à travailler l'anus de David. Le lubrifiait puis il pénétrait vigoureusement David qui se laissait faire en râlant. C'était de douleur, c'était de plaisir, c'était un peu les deux ! Rapidement Dadou limait rapidement, fermement le cul de David … A chacun de ses mouvements David poussait un cri … Camel le réconfortait, le serrait dans ses bras … Dadou, comme la première fois, ne mollissait pas … Dadou, c'est pas un mou, c'est pas un tendre … C'est avec de plus en plus de violence que Dadou se lâchait sur le cul de David !
La première fois David avait ressenti une grande douleur, mais là, il encaissait … Il avait plus d'entraînement … David encaissait, non sans douleur mais non sans plaisir également … Beaucoup de plaisir … Camel s'en rendait compte et semblait partager ce plaisir en serrant fort dans ces bras son camarade, en le caressait avec force … David se sentait écrasé avec beaucoup de douceur dans des bras d'une force incroyable, il sentait son anus se dilater avec la violence d'un amant déchaîne qui ne retenait plus les coups de butoir d'une bite énorme …
David gueulait, David se tordait, David se cramponnait, David se lâchait, David jouissait comme jamais. Un long filet flanc coulait abondamment de sa PK-OR. David était bien, il avait mal au cul mais il était bien … Pas trop mal, prêt à recommencer oui mais pas aujourd'hui … Un autre jour … Dadou hurlait de plaisir quand il jouissait dans le cul de David pour finir pas se laisser retomber sur ses camarades … Ils restaient un moment là, sans bouger … Dadou finissait par se relever et allait se rafraîchir sous la douche …
David restait allongé sur Camel encore un long moment. Il se sentait bien, la douleur au niveau de son cul ne durait pas et se transformait en une sensation agréable, la sensation de se sentir vidé après avoir été tellement rempli … Camel le caressait tendrement … David aurait aimé lui demander de retirer son dispositif de chasteté mais … Il avait lui même fait ce choix, comment pourrait-il demander à Camel de ne pas faire lui aussi ce choix ? Il ne disait rien … C'est plus tard que les deux amants se relevaient pour aller se rafraîchir sous la douche avant de faire un plongeon dans la piscine … Camel commençait à nager …
Thom passait voir Camel pour lui annoncer que l'équipe de ciné devait arriver dans la soirée, le producteur venait de téléphoner.
David : L'équipe de ciné ?
Thom : Oui on va tourner une film ici !
David : Un film ? Mais il va parler de quoi ce film !
Thom : Ton grand père ne t'as rien dit ?
David : Bein non ! Mais c'est cool moi j'aime bien le cinéma !
Thom et Camel éclataient de rire !
Thom : C'est un film porno !
Camel : Ils vont faire une empreinte de ma bite !
David : Une empreinte ?
Thom : Oui il vont faire un moulage ! Pour la reproduire en caoutchouc !
Camel : Je te donnerais un des moulage David !
Thom : J'ai prévenu le reste de l'équipe, on va prendre les dispositions !
David : Ils seront nombreux !
Thom : Non pas trop, je ne pense pas !
On préparait les chambres pour les recevoir. Un table plus grande était installée sur la terrasse, tout était prêt avant la fin de l'après midi. Tout le monde attendait en se détendant près de la piscine.
Dadou : Tu es sûr de ta décision Camel ?
Camel : Plus que jamais !
Dadou : Moi, j'aimerais pas !
Camel : J’attends ce moment depuis longtemps !
Les autres ne disaient rien, David ne comprenait pas ce qui se passait ni de quoi ils parlaient, mais il n'osait pas demander !
La cloche de l'entrée sonnait ! Tous le monde se levait, enfilait un pantalon et se dirigeait vers l'entrée. David passait devant avec Thom ! Il y avait deux grosses voitures tout terrain qui attendaient à la barrière ! Un dizaine de personnes au total et les coffres pleins de matériel …
Tout le monde se proposait pour aider à vider les coffres et on invitait les nouveaux arrivants à se rafraîchir dans la piscine … Tout le monde se déshabillait sans aucune gène, il y avait six acteurs, David appréciait particulièrement leur plastique, ils étaient aussi très bien montés. Trois techniciens ou cameramans et le réalisateur ! C'est donc avec David dis sept personnes qui se retrouvaient dans la piscine le plus naturellement du monde. René, c'était le réalisateur se rapprochait de David.
René : Eh bien dis donc mon garçon, tu porte déjà une PK-OR ! Tu es pourtant bien jeune !
David : La question ne s'est jamais posée, je portait un modèle CC depuis plusieurs années avant !
Réné : Je suis toujours étonné par ces jeunes qui choisissent si tôt de porter ce genre de truc !
David : Tu n'y a jamais pensé, dans ton métier ?
Voilà une question qui était posée non sans malice.
René : J'ai rencontré beaucoup de personnes qui en portent … De tous les modèles … Il y a même des acteurs qui font ce choix … Évidemment après ça il ne seront plus que dans les rôles de passifs ! Mais il y a une demande de la part des spectateurs. Ça fait fantasmer pas mal de monde !
David : Et ce film, il parle de quoi ?
René : C'est l'histoire justement d'un jeune qui fait ce choix bien sûr tout le monde s’envoie en l'air dans une scène de partouze juste avant, pour conclure un second personnage se fait aussi mettre le truc ...
David : Cool !
René : Il y aura même la scène ou on lui installe une PK-OR !
David : ?
René : On a un dispositif portable pour fermer une PK-OR !
David : Et la PK Compagnie est d'accort ?
René : Non ! Certainement pas ! Mais on a tout de même ce matériel ! ...
Tout le monde passait à table, tout le monde était à poil et David se sentait un peut, comment dire, un peu repérable, il était en effet seul avec Camel à porter un dispositif de chasteté … . Avec l'équipe de tournage aucune précautions particulière, pas de changement dans les habitudes, tout le monde partageait le repas à la même table. En face de David un groupe commençait à se peloter … On buvait bien, on se touchait, on mangeait bien, on se caressait, le repas était chaud à point, le voisin de table encore plus … David, lui était chaud brûlant, il bandait comme un fou, il bandait à en faire exploser sa PK si elle n'avait pas été indestructible ! Une main lui caressait la cuisse, c'était un des acteurs, un autre lui caressait l'autre cuisse … un autre acteur !
Le repas se terminait et un des acteurs lançait l'idée de faire tout de suite une des scène, près de la piscine … '' … Pourquoi pas … ''. On se décidait, il ne fallait pas longtemps pour installer l'éclairage, pour le reste, le décor était déjà planté … Deux acteurs prenaient place … Ils s'allongeaient l'un à coté de l'autre après s'être habillé bien sûr ( bon , habillé mais pas trop ) juste un bermuda, ils étaient restés torse nue … Le réalisateur, René, dirigeait les mouvements …
René : Moteur !
Un des acteur était assis sur une sorte de siège qui se limitait à un dossier réglable et une assise au ras du sol … On lui avait passé une revue et il faisait semblant de lire …
Un second acteur arrivait, lui parlait … '' Tu fais quoi … Rien je lis … C'est passionnant tu m'impressionnes … Tu sais ça ne me demande aucun efforts … Tu crois que je pourrais en faire autant ? … ''
Enfin, je passe les détails, tout le monde connaît le très haut niveau cinématographique des films pornos et la qualité des dialogues …
Le second s'asseyait à coté du premier …
René : Coupez ! Bon quand tu t'assois là, tu n’hésites pas à te coller à ton camarade, tu le touches, tu t’appuies presque contre lui … On reprend … Moteur …
… Un acteur, donc, était assis … un autre arrivait … ils échangeaient quelques mots … le second s'asseyait tout contre le premier …
René : Coupez … Quand je te dis de s'asseoir tout contre ton camarade, je t'ai pas dit de t'asseoir dessus … pour ça on verra plus tard … On se calme … Moteur !
Le premier acteur dissimulait un léger fou-rire .
… Un acteur était assis … l'autre arrivait … ils se saluaient … le second s'asseyait juste à coté du premier …
René : Coupez … Bon les jeunes , j'ai pris la peine d'écrire un texte, il y a des dialogue … Vous pourriez au moins prendre la peine de les dire les dialogues …
Une voix se faisait entendre : D'habitude les dialogues tu les coupes au montage !
Tout le monde éclatait de rire, David en premier … Cette histoire commençait à l'amuser !
René : Si c'est pour faire ce genre de commentaire, tu ferais mieux de te taire ! Bon on reprend ! Moteur
… Un acteur était assis … Bon je crois que vous connaissez la suite …
Les deux hommes se retrouvaient finalement assis l'un tout contre l'autre ( C'est René, il avait dit tout contre … ) ! Ils semblaient passionnés par ce qu'ils lisaient, le second passait doucement autant que distraitement sa main sur le torse de son camarade, descendait sa main et la glissait dans le bermuda de son …
René : Coupé … Mais non ça va pas ça les jeunes, toi là tu n'as pas remarqué que ton copain il met sa main dans ton pantalon ? Non ! Bon t'es pas une salope, tu te laisses pas faire …
La même voix que plus tôt, c'était le caméraman : T'es pas une salope , t'es pas une salope … Toujours le mot pour rire René … C'est lui la plus salope de toute l'équipe …
Tout le monde éclatait de rire …
René : Benoît tu es viré !
Benoît : Encore, c'est pas juste, c'est la troisième fois cette semaine !
René : Soit mignon, ferme la et laisse nous travailler …
Benoît : Tu veux vraiment que je vous laisse … Je dis ça mais qui va filmer si je m'en vais !
René : Bon on termine cette scène et tu es viré !
Benoît : La d'accord on fait comme ça … Vu comment c'est parti, on va y passer la nuit !
Toute l'équipe était pliée de rire, David aussi tout comme ses camarades …
René : Bon on en était ou ?
Benoît : Tu disais à Chris que c'était pas une salope … Et il avait du mal à te croire … !
René : Bon on reprend …
Benoît : Moi quand j'entends des trucs pareil, je suis mort de rire !
René : Si tu veux pas te faire virer encore une fois ce soir tu la ferme et tu film … Moteur !
… Bon donc … Deux acteurs … ça on l'a déjà fait … Le second s'assoit … Il glisse distraitement sa main dans le pantalon de camarade ( semblant c'est pas exprès ) qui brusquement se raidit semble s’offusquer … '' Mais que fais tu , tu es fou, je ne suis pas une fille comme ça … ''
René : Coupez ! Tu n'est pas une fille ! Pourquoi personne ne respecte jamais mes dialogues ! Tu es un garçon !
Benoît : De toutes façons les dialogues tu les coupes au montage …
René : Benoît tu es viré !
Benoît : Deux fois dans la soirée, encore une fois et j'aurais battu mon record !
René : Bon les filles on reprend, essayez de faire un effort …
Benoît : D'abord, t'es pas une fille, ensuite bon les filles … Comment tu veux qu'ils comprennent les pauvres, ils ont été choisis pour la taille de leurs bites pas pour leur QI !
René : Toi je ne t'écoute même plus, je te connais plus, pour moi tu n'est même plus là !
Benoît : Moi aussi je t'aime !
Tout le monde rigolait et il fallait quelques minutes avant que les acteurs ne soient en mesure de reprendre … Nous arrivons donc au moment ou les deux acteurs, Chris donc, et le second Jeff, se retrouvent enlacés, l'un contre l'autre. Jeff a ouvert le pantalon de Chris et le masturbe doucement. Les deux hommes s'embrassent …
René : Coupez !
Benoît : Bon, juste au moment ou ça commençait à devenir intéressant !
René : Benoît la ferme ! Ou est le serveur … Camel, c'est Camel qui intervient à ce moment de l'action … Camel viens là mon tout petit !
Camel était assis à coté de David … Il se levait, faisait un sourire à David qui était surpris de voir que son copain jouait dans le film, puis allait vers René, il s'arrêtait juste devant lui.
Benoît : Mon tout petit, il dit ! Moi là je suis mort de rire !
René : Toi, je ne t'entends même plus ! Bon Camel, tu t'habille pour commencer, quand tu apportes le plateau de boissons tu es habillé … Bon je vois que tu es équipé ( en caressant sa PK ) !
Camel s'habillait et prenait donc le plateau et quand il entendait '' Moteur '' venait apporter les boissons aux deux acteurs … Les deux acteurs s'extasiaient sur le physique du géant … L'invitaient à s'asseoir à coté d'eux … Camel posait le plateau … Il prenait Chris dans ses bras … David se sentait un peu jaloux … Camel caressait l'acteur … S'asseyait puis faisait une pipe magistrale à son nouveau camarade … Jeff regardait un moment ce qui se passait puis décidait d'intervenir, il se plaçait derrière Chris et doucement le pénétrait …
Entre les '' Coupez '' et les '' Moteur '' chacun reprenait la scène une fois, deux fois, trois … mais l'action avançait et la première scène du film prenait forme … Jeff s'activait sur le cul de Chris pendant que Camel lui, s'activait sur sa bite … Le moment arrivait ou en gros plan Chris jutait sur le visage de Camel, Jeff se retirait et éjaculait sur le dos Chris …
René : Coupez
René s'était habillé, c'était le plus âgé et il avait aussi un rôle dans son film. David bandait, d'une manière invisible même s'il était nu mais il bandait fort … Le reste des employés aussi, et eux ça se voyait, ça se voyait bien même ! Pour ce qui est de l'équipe de tournage, habitués sans doute à ces séances de travail, les membres de cette équipe ne manifestaient qu'un grosse molle et David se disait … '' Pas de doutes c'est bien pour la taille de leurs bites qu'ils sont choisis ! '' …
René : Moteur !
René entrait dans le champ de la caméra … Il jouait le père de Chris ( dans le film ), il surprenait son fils dans une position choquante …
René : Mais qu'est-ce que vous faites là … Quoi mon fils … Et toi que j'ai reçu chez moi comme un membre de la famille ( vers son copain qui venait de l'enculer ) tu m'as trahi ! Va je te chasse … Et Toi Moustapha … Ce dispositif que je te fais porter ne te suffi pas …
Finalement se disait David … '' Il ne joue même pas plus mal que les autres … A part les scènes d'action c'est très surjoué ! Les dialogues, c'est pas du Molière ! Finalement il a peut être raison de les couper au montage . ''…
La première scène se terminait. L'équipe rangeait le matériel fragile …
Benoît : Bravo René, t'es le meilleur !
René : Te fous pas de ma gueule toi ! Tu es encore là, je t'avais pas viré ce soir ?
Benoît : Deux fois seulement ! Dis moi, mon doudou, on va se coucher … Il se fait tard et on a eu une journée épuisante … Des kilomètres de pistes dans ce 4X4. Je suis épuisé et je suis pas le seul …
René : Oui mon bébé on va se coucher.
René embrassait Benoît avec beaucoup de tendresse … Tout le monde rentrait se coucher et David décidait de dormir dans les bras de Camel !
Ep 7 : SILENCE ON TOURNE
David se réveillait dans les bras de son amant Camel … Ils avaient à peine le temps de se dire bonjour, de s'échanger un baiser que Mark arrivait …
Mark : Les gars n'oubliez pas de vous habiller aujourd'hui … Monsieur Philippe est de retour !
David : Grand père est de retour c'est super !
David arrivait au petit déjeuner, il avait mis un pantalon, son grand père était là sur la terrasse, il avait l'air un peu fatigué. David venait lui faire la bise !
David : Alors Grand-père ça va ? Tu m'as l'air un peu fatigué !
Philippe : Oui, c'est le voyage. C'était long !
David : Alors tu étais ou ?
Philippe : J'ai fait un passage en Inde. Différentes petites choses à régler puis je suis allé en Australie …
David : Et tu ne m'as pas proposé de venir avec toi !
Philippe : Tu auras tout le temps de faire le tour du monde et autant de fois que tu le voudras. De plus c'était un voyage d'affaire, je ne restais jamais au même endroit, j'étais toujours en déplacement ! J'aurais peut être du te ramener un kangourou … ?
David rigolait à cette dernière réplique !
Philippe : Au fait on m'a dit qu'une équipe de tournage était arrivée !
David : Oui, ils sont arrivés hier, ils sont dix. Ils ont même commencé à tourner hier soir. On a rigolé toute la soirée !
David racontait le tournage à son grand-père.
Philippe : C'était prévu, mais je pensais qu'ils viendraient un peu plus tard. Ça me fait plaisir de revoir René … Et il est toujours avec Benoît !
David : Tu les connais depuis longtemps ?
Philippe : Depuis la fac ! Il était dans une école d'art, dessin, photo, sculpture … Finalement il a choisi le cinéma … Enfin le cinéma …
René arrivait. Bien sûr il était à poil !
Philippe : Tu est là toi vieil escroc ! Et à poil ! Tu ne t'habilles jamais quand tu est reçu chez les gens ?
Benoît arrivait à son tour. Ils se faisaient l’accolade.
René : Chez les gens oui bien sûr ! Mais entre nous, je me souviens d'une époque ou c'est pas moi qui était toujours à poil !
Philippe : Si tu ne parles pas de cette histoire, je t’autorise à rester comme tu es !
René : T'inquiète pas je ne dirais rien avant mon départ !
Philippe : Alors tu as déjà commencé à tourner !
René : Oui, on a bien rigolé. Et la première scène est en boite …
Le reste de l'équipe arrivait, tous à poil évidemment, Philippe renonçait à leur demander de s'habiller … Le petit déjeuner était joyeux. René présentait ses collaborateurs à Philippe, Benoît faisait partie des vieilles connaissances. On parlait de la scène suivante, du rôle de Camel … La dernière scène … Oui … C'est pour plus tard … Pour ce matin on va mouler sa bite …
René : Camel, mon tout petit … Tu peux venir ici ?
Benoît : Mon tout petit … ! Ça va pas mieux … Non tu as vu la taille qu'il fait … Quand il devant toi tu es obligé de relever la tête à t'en faire une torticolis … Non mais franchement pourquoi tu dis pas '' mon grand '' … Chuis mort de rire moi quand je t'entends …
René : Si tu continue à m'embêter je te vire !
Benoît : Pffffrrr, j'suis mort de rire quand même moi !
René : Tu as vu Philippe comment il est avec moi … Il ne fait rien qu'à m'embêter !
Philippe : Je vois ça, tu n'as vraiment pas de chance … Ceci dit … '' Mon grand '' … Quand on parle de Camel c'est pas ridicule!
René : Camel, il est ou Camel, tu pourrait venir la mon grand !
René regardait autour de lui, se retournait et se retrouvait juste devant Camel, il levait la tête …
René : Oui là je te vois mieux … Évidemment … !
Camel rigolait de bon cœur à la réaction de René !
René : Bon ce matin on fait le moulage, tu retireras ta CB, pour le reste du tournage c'est avec mais cette scène là c'est sans …
René restait à discuter avec Philippe, David ne les lâchait pas … Le reste de l'équipe allait préparer le décor … La scène se contenterait d'un décor façon atelier, quelque chose de pas trop compliqué.
Le film serait dans sa totalité réalisé en décor réel, dans le décor qui était le quotidien des habitants de la maison. Le dispositif pour sceller la PK-OR avait été installé dans la bibliothèque, c'est là que serait tournée la scène. Pour le moment c'était amusant de voir ces trois personnages assis sur la terrasse à discuter … Philippe en pantalon et chemise … David en pantalon et torse nue … René en, que dalle, à poil … Mais bon on ne va pas se formaliser pour si peu !
Beaucoup plus tard René se levait …
René : Bon il faut que je m’habille moi on va tourner …
Il partait s'habiller … Benoît arrivait !
Benoît : On va tourner la scène suivante, Le Moulage … Il est ou René ?
Philippe : Il est parti s'habiller, il ne va pas tarder !
Quelques instants plus tard René revenait.
René : Bon on y va ! Il est ou Camel … ( il hurlait ) Camel viens là mon tou... Viens là mon grand !
En entendant comment René l'avait appelé Camel arrivait en riant ! Il portait son pantalon de toile et David remarquait immédiatement le volumineux pénis qui se balançait derrière la toile … Il ressentait aussi une forte pression dans sa PK … Ça lui faisait toujours le même effet !
René : Bon mont tou … mon grand, tu as retiré ton dispositif ?
Camel : Oui et je suis prêt !
Tout le groupe se rendait dans l'atelier, les caméras étaient déjà en place, au milieu de la salle une grosse table de masseur avait été disposées, un trou était percé au milieu de la table … L'équipe prenait place.
Deux acteurs se positionnaient à coté de la table, ils étaient habillés ( pour une fois ) pantalon, chemise, chaussures ( vous imaginez le niveau du détail ! Des chaussures … ) ils portaient aussi une blouse blanche pour paraître plus sérieux …
René : Silence on tourne … Moteur !
Benoît : Moi j'ai pas attendu moteur à silence on tourne j'avais commencé !
René : Benoît !
Benoît : Oui !
René : La ferme !
Benoît : Bon !
Tout le monde commençait déjà à rigoler doucement !
Camel apparaissait derrière la porte et frappait timidement …
Un acteur : Je crois que c'est notre rendez-vous ! Entrez !
L'acteur : Regarde qui arrive, un joli spécimen, il a l'air bien monté en plus, j'espère que nous auront assez de plâtre … Enlève ton pantalon et installe toi …
Camel retirait son pantalon, il commençait déjà à bander … Il s'allongeait sur sur le ventre, glissait son sexe dans le trou et s'installait confortablement !
Prenant un air d'extase devant l'énormité de la chose les acteurs surjouaient leur rôle, des fous-rires parcourait les spectateurs. Mais quand on entrait dans le nœud de l'action, face à la taille du pénis de Camel filmé par plusieurs caméras placées sous la table et qui diffusait leurs images sur des écrans témoins, là, plus personne ne rigolait !
La procédure était simple … Les acteurs se penchaient, l'un masturbait la queue de Camel qui prenait alors tout son volume … Il l'enduisait ensuite d'un gel qui faisait penser à de la vaseline … Le second préparait un tube en plastique d'un diamètre suffisant pour y introduire facilement la bite de Camel, il le remplissait à moitié d'une pâte très liquide blanche puis y introduisait la queue de Camel dans sa totalité, le liquide blanc remplissait alors le tube … Il tenait le tube un long moment, les acteurs se passaient le relais pendant que le liquide durcissait … La scène était tournée en gros plan par plusieurs caméras, Benoît se chargeait des plans plus larges, il se déplaçait dans la sale et filmait les acteurs, qui ne regardaient pas, surtout pas, sa caméra ( enfin presque ) …
Au bout d'un long moment, celui qui tenait le tube tentait de le lâcher en restant prêt à le rattraper … Le tube de plastique tenait seul, parfaitement accroché à la queue de Camel …
'' Ça va bonhomme ? ''. Demandait un acteur à Camel …
Camel : Oui, c'est doux, c'est chaud, c'est pas désagréable !
Les deux acteurs s'écartaient, le tube était toujours filmé en gros plan … Puis petit à petit, privé de toutes stimulation Camel commençait à débander, l'air s'introduisait dans le moule ainsi obtenu et l'effet ventouse qui retenait le tube disparaissait, le tube tombait sur le sol, il était en plastique incassable et il rebondissait … Tout le monde applaudissait ! Camel avait le sourire, c'était un gros pénis à moitié mou qui pendait sous la table.
David ne loupait rien, à voir ainsi Camel il sentait encore cette pression dans son dispositif, heureusement il était indestructible et ne risquait pas de lâcher ! Il s'imaginait une scène ou, c'est lui qui rentrerait dans le film … Il se voyait s'approcher, caresser le dos de son amant, lui caresser les fesses. Il se voyait le chevaucher, lui masser le dos, les épaules, l'embrasser doucement, l'embrasser tendrement dans le cou. Il s'imaginait Camel, allongé sur le dos le prenant dans ses bras. Il s'y voyait, la bite de Camel en pleine forme, Camel l'embrassait et lui doucement s'enfonçait cette énorme pénis dans le cul, doucement mais fermement, doucement mais sans faiblir, doucement mais fortement !
René : Coupez ! C'est bien là les filles, c'est même très bien, je pense qu'on à tout ce qu'il faut …
Benoît : Là c'était chaud là, moi je suis resté sans voix !
René : Au moins pour une fois, t'auras pas dit de conneries !
Benoît : Pffffrrrr !
René : Bon on continue la scène suivante sur notre lancée ?
Les deux acteurs acquiesçaient . Camel allait se laver et revenait prendre place.
René : Moteur !
Benoît : T'as pas dit ' silence on tourne ' !
René : Benoît !
Benoît : Oui !
René : La ferme !
Benoît : Ok !
...
Fous-rires rire dans l'assemblée !
…
Benoît : Moi aussi je t'aime !
…
Nouveau fous-rires dans l'assemblé !
...
L'un des acteur : Bon alors on y va ou pas !
René : Oui, oui, allez y, n'écoutez pas l'autre nouille les filles … De toutes façons ça tourne depuis un moment alors … C'est quand vous voulez …
Camel se relevait, les deux acteurs étaient en extase … L'un se penchait et direct lui faisait une pipe, laborieuse la taille de Camel ne facilitait pas la chose, mais l'acteur était un pro et il savait y faire …
David s'imaginait à sa place, il s'imaginait capable d'avaler la queue de Camel aussi bien que le faisait cet acteur porno … Un court instant il se demandait même si ce ne serait pas une bonne idée que d'essayer ce métier …
La queue de Camel rentrait sur la moitié de sa longueur, le second acteur arrivait à son tour et voulait y goûter, il la suçait chacun son tour … Camel les laissait faire, il semblait apprécier, il gémissait de plaisir. On le masturbait, on le suçait. L'un lui gobait les couilles, l'autre lui suçait le gland, puis ils inversaient les rôles …
Un acteur : Tu veux te la prendre dans le cul ?
L'autre : Non là, ça je peux pas ! Ça passera pas !
Le premier : Moi c'est pareil !
Ils continuaient à le sucer, le caresser, le masturber. Camel gémissait de plus en plus fort, il avait porté son dispositif de chasteté pendant plusieurs jours. Plusieurs jours sans éjaculer, sans jouir avec sa queue et là, il en profitait. Sa respiration devenait plus forte, encore quelques gémissements, un cri de plaisir et une belle giclée de sperme arrosait le visage d'un des acteurs, suivaient une seconde giclée moins violente puis une troisième … Camel semblait essoufflé, il avait un grand sourire et c'est sur ce beau sourire que Benoît terminait la scène par un gros plan .
David était en transe, a chaque seconde du tournage il s'était imaginé à la place d'un des acteurs ou de l'autre selon les scène, il savait aussi que lui il n'avait plus peur de se prendre la grosse queue de Camel … Il ne pensait plus qu'à ça !
René : Coupez !
Benoît : Bon c'est dans la boite. On peut aller se baigner ?
René : Je vous laisse tous pour le moment. On vérifie si le moule est réussi et on passe à la suite !
Un des techniciens arrivait avec le moule , il l'avait remplis d'un latex de synthèse qui durcit rapidement … Le démoulage se faisait sans problème, le moule était en latex blanc très élastique dans lequel on coulait un latex beaucoup plus dur, il suffisait de dérouler le moule comme une chaussette. Camel était resté pour voir le résultat, René attendait impatient … C'est finalement une reproduction parfaite de la bite de Camel qui sortait du moule, elle était ferme comme l'originale, d'une couleur assez proche et précise au micron près … René examinait le résultat, il était satisfait … C'était un magnifique gode moulé sur un véritable étalon. Un gode qui paraissait presque faux à cause de sa taille exceptionnel mais c'était pourtant réalisé d'après nature … Il le remettait à Camel qui ne cachait pas son amusement de se retrouver avec une reproduction de sa bite entre les mains …
Il la comparait avec ce qui lui pendait entre les cuisses … Une grosse molle qui pendouillait à coté d'une grosse bien dure … Mais c'était bien la même … Le moulage était parfaitement réussi . Camel se retournait vers David et lui donnait son gode …
Camel : Tiens je te l'avais promis ! Au fait René, je reste comme je suis ou je remet ma PK ?
René : Tu restes comme tu es, la prochaine scène se fait sans, dans la prochaine scène tu es actif !
Chacun repartait reprendre ses activités habituelles. Tout le monde semblait très content de cette nouvelle aventure … Les acteurs se rendaient à la piscine en attendant l'heure du repas. Un autre repartait faire un nouveau gode, René avait promis d'en laisser plusieurs avant de repartir.
René : Bon, moi je retourne travailler sur le scénario et sur les dialogues …
Benoît : Les dialogues, de toutes façons tu les coupes toujours au montage !
René : Benoît !
Benoît : Oui .
René : Je t'aime !
Benoît : Bon ça va j'ai compris, je la ferme !
…
Benoît : Au fait tu à loupé quelque chose … C'est pour la scène qui vient qu'il faut que tu sois habillé, pas celle qu'on vient de tourner !
René : Benoît !
Benoît : Bon ça va je vais aller jouer avec mes copines à la piscine ! Il est toujours ronchon quand il tourne, c'est quelque chose ça … !
C'est dans l'ambiance de joyeuses éclaboussures que se terminait la matinée. A table David se retrouvait à coté de Chris, l'acteur qui jouait dans la première scène la veille au soir.
Chris : Alors tu es le petit fils de Philippe ?
David : Bein oui …
Chris : Le fameux actionnaire de la société PK .
David : Actionnaire de la société PK ?
Chris : Oui la PK compagnie !
David : Mais pourquoi … Fameux ?
Chris : C'est le petit fils d'un des fondateurs !
David : J'ai entendu parler de ça. Mais toi, tu m'as l'air bien informé !
Chris : Oui, j'ai décidé de porter moi aussi une PK-OR !
Davis : Le système de verrouillage est donc pour toi.
Chris : Oui pour moi et aussi …
René : Dis moi Chris, tu es bien décidé, on ne change rien au scénario !
Chris : Non, on ne change rien !
David était impatient d'assister à la scène … Le verrouillage il l'avait vécu mais pas en tant que témoin, il était directement impliqué ce jour là … Rien qu'en imaginant la scène à venir, il avait sa bite qui se manifestait dans sa cage … Il trouvait ça excitant, son pénis aussi !
Dans l'après midi le tournage reprenait … Chris et un autre acteur qui n'avait pas encore tourné, Luc … La scène se passait dans la nature, Luc se promenait tranquillement, une silhouette le suivait se cachant derrière un arbre puis courant derrière un autre arbre … Luc regardait partout mais ne voyait rien … Brusquement Chris lui sautait dessus et l'attrapais dans ses bras …
La scène suivait …
Bon je sais j'ai coupé les dialogues mais de toutes façons René les coupe toujours au montage …
La scène suivante donc, les deux hommes étaient allongé l'un à coté de l'autre, ils avaient retiré leurs vêtements … Chris caressait Luc, lui mordillait les tétons … Luc poussait des cris de plaisir en caressant la tête de Chris … Luc se laissait glisser sur le sol en se retournant pour pouvoir sucer la queue de Chris … Chris le suçait également ils avaient pris la position du 69 ...
Luc : T'as une bonne queue, tu sais , je veux que tu me prennes !
Chris : Ouai je vais te prendre, je vais te défoncer, retourne toi !
Dans la scène qui suivait Luc était à quatre pattes, Chris lui lubrifiait le cul, puis lui introduisait doucement mais fermement et en un seul mouvement sa queue sur toute sa longueur !
Luc gueulait … '' Vas y , défonce moi !'' … Chris : '' Je vais t'éclater la rondelle '' … '' Oui vas , plus fort '' … Chris faisait de rapides mouvement de vas et viens , violents, rapides … Puis des mouvements très rapides mais sans amplitude, il ne ressortait qu'à peine et revenait mais très vite … Puis il reprenait des mouvements amples, il ressortait presque totalement et revenait bien à fond … Par moments il ressortait complètement et revenait à la charge jusqu'au fond … Luc gueulait de plaisir … Chris gémissait fort, il finissait par se retirer complètement, se masturbait quelques instants sur le dos de Luc puis éjaculait en gueulant … '' C'est bon , c'est bon … '' .
C'est à ce moment que René intervenait à nouveau dans l'histoire …
René : Mais qu'est ce qui se passe ici ? Toi ! Mais tu as le diable dans la peau. Mon fils tu me déçois beaucoup, vraiment tu me déçois tu sais … Tu vas voir ce que tu vas voir, il ne me reste plus qu'une chose à faire … Et quand à toi Luc je pensais que je pouvais te faire confiance, disparais, je ne veux plus te voir …
Il prenait ( son fils ) Chris par le bras et l'entraînait vers la maison …
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