Djé saison 5

EP 54 : ET LES FILLES ALORS



Le jour de la rentrée nous étions quatre au petit déjeuner, Bob avait passé la dernière nuit avec Luc. Comme à notre habitude on faisait notre petit entraînement sportif, Charles nous préparait notre petit déjeuner. Bob n'était plus mal à l'aise avec Charles comme aux début. Ensuite avec Antoine on accompagnait les p'tits à leur école, les horaires correspondaient.

Bob n'avait pas vraiment aimé cette courte période d'essais, mais il devait reconnaître que ce n'était pas aussi terrible qu'il le pensait au départ. Enfin cinq jours … C'était pas aussi terrible !

On reprenait tous notre vie et son petit train train …

Dans les jours qui suivaient un fan-club ( un de plus ! ) se formait autour d'Antoine et de moi tout particulièrement. Il y avait des garçons pour qui nous étions des exemples et quelques filles pour qui nous étions des … 

Un jour à la fin d'un après midi d'entraînement un petit groupe de filles nous faisaient une surprise … On ressortait des vestiaires ou on s'était changé, elles nous attendaient à la sortie et au moment ou on apparaissait à la porte, habillées en pom-pom-girl elles nous faisaient une danse d'encouragement et terminaient en chantant … '' Bravo Antoine, Bravo Djé, C'est vous les meilleurs '' …

Elles nous sautaient au coup et nous embrassaient sur la joue en riant. Elles nous faisaient rire et on décidait unanimement de les inviter à notre table le soir. Régulièrement, trois fois par semaine nous organisions un souper avec une quinzaine de convives et quelquefois plus … 

Bien sûr on informait Charles, notre majordome qu'il y aurait cinq personnes de plus.

Charles : Des filles ! Voilà qui va nous changer, la dernière c'était Justine et on ne peut pas vraiment parler de '' fille '' dans son cas … Même si à ce qu'on m'a dit … 

Justine c'est mon avocate, pour ceux qui auraient loupé un épisode.( Ep 30 et quelques autres ) ...

Ce soir là on était vingt trois, un peu au dessus de la moyenne, les cinq filles que nous avions rencontrées le jour même étaient là bien sûr. Elles avaient déjà entendu parler de mes soirées et depuis longtemps avaient envie d'y être reçues. En fait j'organisais ces soirées pour garder des contacts avec mon équipe depuis que je sortais moins. Si je décidais de sortir je me retrouvais très vite au milieu d'une bande de plus de soixante, soixante dix garçons … Avec leurs copines et copains respectifs ça pouvait dépasser les cent quarante et là, ça devenait difficile à gérer pour moi, et ce n'était là que le cercle le plus restreint ... Je me trouvais dépassé, surtout que le centre d'attraction c'était moi. On tenait donc une sorte de carnet de présences à ces soirées, dans le seul but de n'oublier personne, d'organiser un roulement pour ne pas créer de frustrations ou de jalousies … Ce système marchait bien et tous mes camarades avaient parfaitement compris que j'avais besoin d'un peu d'intimité et de tranquillité. De temps en temps je faisais quand même des sorties, et là, c'était la folie !

Il y avait quelques privilégiés qui pouvaient participer à chacune de ces soirées. Bob le petit copain de mon frère et Romain le petit copain d'Antoine … Ces deux là bien sûr pouvaient se dispenser d'invitation. Ces soirées étaient toujours très détendues, j'étais le leader de mon école, Antoine était désormais presque aussi populaire que moi. Ces soirées n'étaient pas seulement très détendues, elles était aussi très convoitées, y être reçu quand on ne faisait pas partie de nos proches était déjà une marque de  reconnaissance !

Léa le savait, elle en profitait, elle était amusante, elle aimait faire la fête et quelques flûtes de champagne ( oui je sais on ne se refuse rien ! Vous voudriez peut être que serve de l'eau minérale à mes invités !... Pfff … Et ma réputations alors !) … Donc, quelques flûtes de champagnes ne lui faisaient pas peur et la rendaient encore plus rieuse. On parlait de nos activités sportives, de la fac, de nos vacances qui se terminaient. Je racontais mes conférences … 

Comme à chaque fois, la soirée ne traînait pas, tout le monde était rentré avant minuit ! Il faut savoir être raisonnable, le lendemain il y avait école … Léa était restée jusqu'à la fin, elle avait réussi à m'accaparer une bonne partie de la soirée, ce qui avait beaucoup amusé mes camarades, ainsi que mon frère. Je suis très mignon, même si mon frère prétend que c'est lui le plus mignon, je vous rassure ce n'est pas vrai, le plus mignon c'est moi ! Avec moi Léa ne risque pas grand chose, je porte en permanence un dispositif de chasteté. Mais c'est vrai que je je suis le garçon le plus populaire de tout le milieu étudiant ( et même plus ) … Je  n'ai pas vingt trois ans et je roule déjà en Mercedes ou en Rolls à l'occasion … J'ai un majordome … J'habite un appartement de grand standing, je possède deux appartements d'un certain standing qui me procurent déjà une rente ainsi qu'un compte en banque qui ne cesse de gonfler … Franchement ! Je voudrais bien savoir ce qui peut l'attirer chez moi ?

Les jours qui suivaient je la revoyais souvent, elle venait m'encourager à mon entraînement, s'asseyait à ma table à la cantine … Le mercredi soir à la fin de mon entraînement, elle venait me saluer et …

Léa : Bravo Djé, je t'ai trouvé très en forme aujourd'hui … Dis moi, ça te plairait qu'on se retrouve ce soir, pour boire un verre ?
Moi : Ce serait avec plaisir, mais pas ce soir. Nous sommes mercredi, et ce soir je reçois …
Léa : Oh dommage, je me faisais un plaisir de passer un moment avec toi ! … Un autre jour ? …( avec beaucoup de regrets dans la voix )
Moi : Mais tu pourrais passer, si tu n'as rien d'autre de prévu …
Lée : Ce soir vingt heures ! Pas de problème, à tout à l'heure Djé … ( avec beaucoup de joie dans la voix )

Elle m'attrapait pas le cou et me donnait un baiser rapide … Je m'étais fait avoir !

Elle venait ce soir là, et tous les soirs suivants aussi ! Rapidement elle devenait très populaire dans la fac, tout le monde commençait à la traiter comme la first-lady ! Elle avait gagné ! Rapidement on nous voyais toujours ensemble. Je laissais faire. Deux ans plus tôt je me serais damné pour sortir avec une fille pareil. Il faut dire qu'elle était canon. Elle savait être aussi discrète que charmante avec Antoine et avec Luc qui finissaient eux aussi par se laisser séduire … 

En un mot … Deux semaines plus tard … Elle s'était incrustée !

Je l'avais bien vue arriver de loin mais … Mais comment dire ! … Ça faisait un bon moment que ne n'avais pas tenu une fille dans mes bras, et il faut dire que c'est bien agréable. Une autre douceur, une autre tendresse, un autre contact de la peau … J'ai souvent regretté de porter mon dispositif mais pourtant je n'ai jamais envisagé de le retirer ! Elle ne l'a jamais demandé ! On flirtait, on ne couchait pas !

Dans ma tête, pendant ces deux semaines c'était un incendie permanent, personne sauf elle ne me touchait, et elle ne me touchait que de loin ! Le Bras, la main, les lèvres, ses baisers étaient doux et ma cage était dure. Elle me caressait l'épaule, et me tirait vers elle en passant sa main derrière mon cou pour m'embrasser, ses baisers étaient chauds et ma cage était froide. Quand nous marchions ensemble elle se collait souvent à moi, libre de ses mouvements et ma queue protestait toujours plus de n'être pas libre. Je ne touchais pas aux godes, je ne touchais pas aux plugs. Je passais les deux semaines qui suivaient dans la plus totale abstinence sexuelle et quand je la voyais je sentais instantanément ma bite protester dans sa cage, la pression augmentait, ma cage se relevait et je suis sûr que ça devait se voir, ça ne pouvait que se voir tellement je le sentais. 

Ce soir là, les invités s'en allaient les uns après les autres, Charles avait déjà tout rangé. Léa traînait, il était minuit largement passé, le lendemain il n'y avait pas école. Antoine, son copain Romain, mon frère Luc et son copain Bob étaient sortis faire la fête … Il ne restait plus que Léa et moi, on s'était installés sur le canapé devant un bon film, dehors il commençait à faire froid. Elle se blottissait contre moi, tout contre moi.

Léa : Dis moi Djé … 
Moi : Oui ma puce.
Léa : Ça fait combien de temps que que tu n'avais pas touché une fille ?
Moi : Je sais pas moi ! Les vacances chez mes parents.
Léa : Et tu avais retiré ton truc ?
Moi : Euh … Non !
Léa : J'ai envie de toi.

D'un geste elle me repoussait en arrière pour m'allonger sur le canapé, elle s'allongeait sur moi, ma bite était en panique, je sentais cette pression infernale, depuis le début de la soirée je la sentais bien mais là, je la sentais … Je ne sentais plus que cela, mon cœur battait à tout rompre et j'avais déjà le souffle court. 

Elle se penchait sur moi, et m'embrassait. Je sentait la douceur de sa peau. Je sentais la chaleur des ses seins, je la prenais dans mes bras et lui caressait le dos doucement. C'était sans espoir mais c'était bon, je laissais faire. Non seulement je ne la repoussais pas mais je la retenais, je ne voulais plus la laisser partir.

Elle commençait à se déshabiller, et rapidement se retrouvait torse nue. Elle me retirait mon T-shirt et se penchait sur moi. L'extrémité de ses seins me chatouillait et je sentais la lourdeur de ses seins. Mon cœur allait exploser, je ne vais pas vivre vieux moi avec de telles excitations, mais je me lâchais. 

Je me lâchais, je ne me posais plus de questions. Je me relevais, assis sur le canapé. Elle se retrouvait sur mes genoux ses jambes s'accrochaient dans mon dos. Je la tenais fort dans mes bras, sa poitrine s'écrasait contre mon torse, ma queue se révoltait comme jamais.

Elle se relevait et se déshabillait totalement, elle attrapait son sac, et me faisait signe de la suivre avec une doigt. Elle m'entraînait dans ma chambre. 

Léa : Fais moi voir ton truc, je t'ai jamais vu à poil, montre moi tous tes muscles ! 

D'un geste je faisais tomber mon pantalon et je me retrouvais nu, pas de sous vêtements, toujours pas … J'étais entièrement nu sauf toujours ce petit truc entre mes cuisses qui fait toute la différence … La pression y était maximum, pour la bite ça restait toujours a peu prêt confortable mais pour la tête … J'avais la cervelle en feu, elle était vraiment superbe, élégante et fine mais musclée tout de même, des jambes à n'en plus finir, deux bras dont je connaissais déjà la douceur, et une poitrine lourde qu'elle avançait avec fierté, un regard un peu vicieux, et un sourire … Ahhh, ce sourire … A cet instant je me noyais dans son regard !

Mes jambes commençaient à chanceler. Elle me repoussait de la main et je tombais sur mon lit, sur le dos, les bras en croix. Elle me sautait dessus, s'asseyait sur moi, me chevauchais. Je lui caressais les cuisses, l'intérieure des cuisses, le bas du ventre et doucement je remontais les mains en lui caressant le ventre, le dos, les seins … Avec toute la douceur dont j'étais capable. Je manquais de souffle. J'en ai vu d'autre, mais là je manquais d'air.

Elle me laissait faire sans cacher qu'elle aimait bien ça. Elle me caressait les avant-bras, les bras, les épaules, la gorge. Elle s'attardait sur ma gorge avec beaucoup de douceur elle aussi. Puis c'est le bout de  sa langue qui me chatouillait le cou et ses doigts se promenaient sur ma poitrine, pinçait légèrement mes tétons que je sentais se durcir alors que ses seins eux aussi durcissaient sous mes caresses.

Ma bite remplissait la cage, et poussait par toutes les ouvertures, un petit renflement de peau ressortait alors. Je crois que c'était la première fois que ça se produisait avec ce modèle. Léa se frottait la vulve sur mon ventre, elle relevait la tête en arrière et gémissait de satisfaction, je devenais fou. 

Léa : Fais moi jouir !

Je commençais à descendre mes mains vers son entre jambe.

Léa : Non pas comme ça !

Elle se relevait et s'asseyait sur mon visage, sans s'appuyer pour ne mas m'étouffer. Surtout que j'avais déjà le souffle court … Je m’exécutais, elle s'appuyait sur le mur au dessus de ma tête, je ne pouvais plus bouger les bras qui étaient coincés sous ses chevilles. Elle m'encourageait et d'une main me caressait les cheveux.

Elle se relevait de nouveau et se retournait, je ne savais plus quoi faire et n'osait plus bouger, elle se rasseyait à nouveau sur mon visage mais dans l'autre sens, ses genoux posés juste au dessous de mes bras et quand elle se penchait en avant je sentais son nez sur mon ventre, sur mon nombril, sa langue se promener sur tout le bas de mon ventre puis sur une cuisse pour finalement terminer sur la base de mon sexe, juste au dessus de l'anneau principal qui maintient le dispositif.

Mes jambes étaient allongée et bien écartées, elle resserrait les cuisses, je ne pouvais plus bouger la tête. Elle ne s'appuyait pas trop pour que ne pas m'étouffer mais je suffoquais. J'avais l'impression d'exploser, tout mon corps tremblait, mon souffle devenait irrégulier.

Elle gémissait de plaisir ma langue rentrait dans tous les recoins de son intimité, je la sentais approcher du plaisir. Avec une grande délicatesse, je la caressais, je passais mes mains sur son dos, ses fesses, je passais un doigt entre ses fesses, elle ne se crispait pas quand mon doigt s'attardait sur l'ouverture de son anus. Je n'osais pas insister, et ne pouvais pas parler pour lui demander ce qu'elle en pensait. Elle mouillait, elle respirait de plus en plus fort, elle se tordait, par moment ne se contrôlait plus et se frottait violemment contre mon visage. Elle me gobait les couilles, me caressait, me massait la base de mon sexe. L'excitation montait, montait puis violemment je jouissais, j'éjaculais, juste quelques goûtes éjectées de ma cage de chasteté, le reste coulait longuement de l'extrémité de ma cage et semblait ne pas vouloir s'arrêter.

Je sentais Léa vibrer juste au dessus de mon visage, les muscles des ses cuisses se contractaient, elle gueulait de plaisir, avec ma langue je ne m'arrêtais pas. Elle se contractait, elle tremblait, elle poussait enfin un dernier cri puis se laissait tomber sur le côté, elle retirait une jambe et me libérait le visage, je reprenais mon souffle, je passais ma main sur ma bite, enfin sur la cage de ma bite, et j'avais l'impression que mon sperme continuait à couler.

Léa était allongée à côté de moi, je me retournais vers elle et lui donnais un baiser sur la cuisse, je la sentait frémir. Je relevais la tête et voyais son visage, elle était en sueur et je me disais que je devais être dans le même état ! C'est en même temps qu'on se laissait tomber sur le dos, mon visage était au niveau de ses cuisses et mes cuisses au niveau de son visage. Je passais une main sur son bas ventre, elle me caressait la main. Je la sentais respirer fort, je la sentais retrouver peu à peu son souffle, son cœur battait vite, comme le mien.

On finissait par retrouver notre calme. Elle se retournait pour me mettre dans le même sens que moi, on se regardait, je lui faisais un sourire. On finissait par s'endormir l'un à côté de l'autre. 

On était réveillé en sursaut … Elle était dans mes bras, elle me tournait le dos, sa tête appuyée sur mon bras et mon autre bras posé autour de ses hanches … 

Luc était dans ma chambre et hurlait !

Luc : Vous dormez ? Je ne vous réveille pas j'espère ! Dis moi Jérémy on peut utiliser ta salle de bain ? Ne vous dérangez pas pour nous ! Vous pouvez continuer à dormir !

Un instant pour réagir et Luc se sauvait avant que j'ai le temps de me lever, il se précipitait dans sa chambre bousculant Antoine au passage. J'arrivais juste derrière. Trop tard la porte était verrouillée !

Antoine : Il a recommencé ?
Moi : Oui, il a recommencé !
Antoine : Au fait les vêtement de fille, là sur la moquette, rassure moi c'est pas toi qui …
Moi : Non c'est Léa ! 
Antoine : Ça me rassure !

Luc s'était enfermé dans sa chambre et je l'entendais rigoler au travers de la porte.

Moi : Tu es une bourrique, mais tu ne perds rien à attendre !

Je prenais les vêtements de Léa et retournais dans ma chambre, je refermais la porte. Je me laissais tomber sur mon lit … Léa me regardait l'air amusée …

Léa : Il est toujours comme ça ton frère ?
Moi : Non mais ça le prend de temps en temps ! La dernière fois il tambourinait comme un malade à la porte en hurlant !
Léa : Pour rentrer ?
Moi : Non juste pour me réveiller, il était déjà rentré, il faisait ça de l'intérieur.
Léa : En tout cas ça ne t'a pas complètement réveillé !
Moi : Pourquoi tu dis ça ?
Léa : Tu n'as par remarqué que nous sommes trois !
Moi : Mais non, on n'est que deux !

Je regardais dans ma chambre et … En effet il y avait Bob … Il était tout nu et tout rouge ! Il n'osait plus bouger !

Moi : Bonjour Bob.
Bob : … B' … jour … Djé … 
Moi : Ça va, c'est bon, j'ai compris, va faire couler l'eau …
Léa : Là, moi j'ai pas compris !
Moi : Ils voulaient utiliser ma salle de bain !
Léa : Mais il n'y a pas une salle de bain par chambre ?
Moi : Ma chambre est la seule à avoir un bain bouillonnant géant !
Léa : Un bain bouillonnant … Mais c'est une idée ça ! Bon et bien puisqu'on est réveillé … 

Elle se levait, me donnait un baiser et allait rejoindre Bob dans le bain bouillonnant ! Je me levais, me rendais à la cuisine … J'y retrouvais Antoine et Romain qui eux avaient passé un pantalon.

Antoine : Vas y raconte …

Je leur racontait rapidement la soirée en prenant un café ? J’apercevais Luc qui entrouvrait la porte de sa chambre pour voir ce qui se passait.

Moi : Luc tu ne devrais pas rester comme ça à ne rien faire, ton copain est actuellement nu dans une baignoire avec une fille superbe … Nue elle aussi !
Luc : Tu déconnes !
Moi : Si tu ne me crois pas, vas donc voir !

Luc se précipitait comme un fou dans ma chambre.

Moi : Quelle bourrique !

Je prenait une tasse de café et l'emportais avec moi dans ma chambre. Je retrouvais dans ma baignoire mon frère qui avait l'air tout à fait décontracté, Léa tout aussi détendue et Bob qui était toujours aussi ratatiné sur lui même. Je déposais la tasse de café à côté de Léa sur le rebord de l'énorme baignoire lui disant '' Tiens ma puce '' et me glissais juste à côté d'elle.

Moi : Luc tu es vraiment une bourrique, mais qu'est ce qui t'arrive encore ?
Luc : Eh ! Eh ! Je voulais juste utiliser le bain bouillonnant, au début je ne voulais pas faire de bruit puis … J'ai craqué !
Léa : Tu as raison Djé, c'est une bourrique ! Et toi Bob, tu ne dis rien !
Bob : Mon … Bé … Gé … Mé … Vien !
Léa : Mais qu'est ce qu'il dit ? J'ai pas compris !
Moi : Ne cherche pas, quand il est intimidé il est toujours comme ça !
Léa : Il est trop mignon, je ne l'avais jamais vu à poil, mais c'est que … En plus il est bien foutu, très beau même !
Luc : Ouai bein toi tu touches pas à mon doudou ou alors on va pas être copain tous les deux !

Bob est peut être timide mais c'est pas le cas de mon petit frère … Aussi en entendant ça, si Luc réagissait vivement, Bob piquait du nez dans la baignoire … Il était tout rouge … Genre tomate bien mûre !

Moi : Bob ne pique pas du nez dans le bain tu vas finir par te noyer !

Il ne relevait pas la tête mais je le voyais pouffer de rire et je savais par expérience que quand je parvenais à le faire rire c'est qu'il se sentait déjà mieux !



EP 55 : AAAAH LEA



Avec Léa nous ne cherchions pas à dissimuler notre relation et rapidement toute la fac était au courant. De son côté elle était un peu traitée comme la first-lady et profitait de nouveaux égards qui semblaient naturels envers ma nouvelle copine. Au réfectoire on la laissait passer devant tout le monde, quand elle décidait de s'installer  à ma table, on lui laissait la place. De petites attentions, rien de plus, mais de petites attentions dans tous les endroits fréquentés par des étudiants.

Elle me racontait que l'autre soir elle voulait aller au cinéma avec deux de ses amies … Il y avait foule … Elles étaient à peine dans la file d'attente que ceux qui les précédaient leur laissaient la place puis ceux qui étaient devant … Au final elles arrivaient au guichet en passant devant tout le monde … Et c'était comme ça partout !

Elle appréciait je ne vous dis pas !

Elle participait à tous mes soupers trois fois par semaine … Ces soupers étaient devenus tellement légendaire que les participants se considéraient comme des VIP. Je n'oubliais pas d'inviter également régulièrement mes professeurs ainsi que les directeurs des écoles … Le week-end Léa le passait dans mes bras. On soupait sur place, on sortait au restaurant, on faisait une sortie, c'était alors la folie … Léa jouait la first-lady en représentation … Je me demandais de temps en temps si elle n'était pas en train de devenir snob !

Nos étreintes étaient de plus en plus intenses. Un soir elle était comme à son habitude, chaude … J'avais envie d'une soirée tranquille à deux.

Moi : Dis moi Luc, tu fais quoi ce soir ?
Luc : Booo … J'ai rien de prévu, je ne bouge pas, Bob va passer me voir on va se faire une pizza … Tu veux participer ?
Moi : Tu sais que Antoine sera de sortie, il fait la bringue ! Ça ne te tentes pas de le suivre … ?
Luc : Booo … Non moi je préfère rester bien tranquille, Bob va passer me voir on va se faire une pizza … Tu veux participer ?

La bourrique ! Il m'avait vu venir de loin !

Bob arrivait … Et je reprenais.

Moi : Mais pourquoi vous ne faites pas une petite sortie ?
Luc : Booo … Non moi je préfère rester bien tranquille, Bob va passer me voir on va se faire une pizza … Tu veux participer ?
Moi : Mais il vient d'arriver Bob ! Il est là Bob ! 
Bob : Je suis là Luc et je viens de te faire la bise ! Tu as déjà oublié ?
Luc : Laisse moi faire Bob ! Là je négocie !
Moi : Bon je t'offre le restaurant !
Luc : Voilà ! Le gros mot est prononcé ! Il veut se débarrasser de nous, et voilà, le restaurant. Au fait il y a un trois étoiles pas très loin … J'ai jamais mangé dans un trois étoiles. J'aimerais bien savoir pourquoi un trois étoiles il a trois étoiles … 

Je lui tendais la carte bleue !

Luc : Et là maintenant c'est le coup de la carte bleu … Tout ça pour se donner bonne conscience en nous mettant à la porte.
Bob : La dernière fois on a bien mangé !
Luc : C'est pas une raison ! 
Bob : On a même bu du champagne !
Luc : Mais tu es avec lui ou avec moi toi ? Au fait on ne va pas y aller à pied au restaurant !

Je tendais la clé de la voiture à Bob qui la prenait en faisant un grand sourire de satisfaction et me disait merci !

Luc : Bien puisque nous sommes de trop … Allez on s'en va … Merci pour la carte bleue Jérémy je connais le code ! Tu as vu comment on s'est fait jeter, hein dis Bob ?
Bob : Moi ça ne me dérange pas de me faire jeter comme ça tous les jours, on va quand même manger dans un bon restau et on y va en Mercedes ! Merci pour la soirée Jérémy !

Luc avait bien sûr gémi et braillé encore un long moment pendant qu'il se changeait pour sortir, pleurant que je le rejetais quand je lui avais proposé de sortir au restaurant avec son copain bob. Mais il ne perdait pas le nord le p'tit ! … Il avait embarqué la carte de crédit et en sortant il avait lancé à Bob …

Luc : On y va bob, après on se paye un spectacle, un concert ça te dis ? ...
Moi : Au fait Luc, espèce de bourrique je te préviens si jamais tu nous réveilles demain matin tu n'auras plus droit qu'au fast-food !

Léa regardait la scène totalement incrédule, elle commençait bien à connaître mon frère mais quelquefois il parvenait à l'épater, et ce soir là c'était le cas … 

Léa et moi avions traîné un long moment dans le bains bouillonnant. On était bien chaud tous les deux, ses seins étaient chauds contre ma poitrine, ses baisers étaient doux dans mon cou, sa peau était comme de la soie, la pression était était dingue dans ma cage de chasteté et mon cœur battait fort.

Avec des gestes racoleurs et en se dandinant, elle allait chercher son sac, elle l'ouvrait et en sortait, avec un petit sourire vicieux, un gode ceinture !

Je reconnaissais l'objet, j'en ai un plein tiroir.

Léa : Tu sais à quoi ça sert ?
Moi : Moi ! Mais j'en ai pas la moindre idée, mais c'est quoi on dirait un pénis en plastique … A quoi ça peut bien servir ? Mon dieu, je ne savais même pas que ce genre d'objet pouvait exister !
Léa : Il est vrai que tu as choisi un mode de vie plus … Puritain ? ! … Bon je vais faire semblant de te croire … Ça sert à me faire plaisir !

Elle se penchait sur moi, m'embrassait le torse puis un peu plus bas … encore un peu plus bas … Elle s'arrêtait juste au dessus de mon dispositif de chasteté qui était sous pression. Délicatement elle plaçait la ceinture, je soulevais mon bassin pour l'aider.

Léa : Alors tu commences à comprendre ?
Moi : Certainement pas je suis trop … Puritain … Mais bon je vais improviser !

Elle s'allongeait sur moi, je sentais ses seins s'écraser contre ma poitrine, je la prenais dans mes bras et l'embrassait tout en lui caressant le dos. Contre mon ventre je sentais la bite en plastique qui se relevait fièrement, juste en dessous ma cage était toujours sous pression, pas de douleur mais la tension était tellement forte que ça devenait presque gênant. Mais la frustration me donnait toujours cette sensation d'excitation et mes tétons semblaient se durcir ou alors c'étaient les seins de Léa …

Brusquement je la retournais sur le dos et me retrouvais au dessus d'elle, je l'embrassais sur tout le corps en commençant par le bas de son ventre. Je remontais doucement en prenant bien mon temps, m'attardais sur un de ses sein puis sur l'autre. Quelques baisers déposés avec une extrême tendresse sur sa gorge et quand nos lèvres se réunissaient le gode était en position et je commençais alors à la pénétrer. C'est en prenant bien mon temps que j'enfonçais le gode, doucement, sans forcer, il entrait et Léa commençait déjà à gémir de plaisir. 

Je la serrais fort dans bras et montrais autant de douceur que de force. Je roulais sur le côté, elle suivait le mouvement et se retrouvait au dessus de moi. C'est elle qui alors continuait avec des mouvements du bassin. Elle se relevait, je lui caressait les seins, je la prenais par les reins et suivais ses mouvements. Je soulevais le bassin en suivant le rythme qu'elle imprimait. Elle accélérait, je suivais, je restais concentré sur ses réactions.

Elle relevait la tête et respirait très fort, elle gémissait de plaisir, elle penchait la tête en arrière et avançait sa poitrine en avant. Elle m'invitait à la caresser et continuait les mouvements, je la suivais ! Peu à peu ses mouvements devenaient saccadés, elle se contractait puis se relâchait et reprenait. Elle se penchait sur moi, resserrait les cuisses, ses mouvements devenaient de plus en plus crispés, tendus.

C'étaient de véritables cris qu'elle poussait, de plus en plus fort, de plus en plus crispés. Elle se relevait et se laissait retomber de tout son poids et s'empalait sur le gode. Ses mouvements étaient de plus en plus lents et amples, elle fermait les yeux … Je la sentais vibrer, je la sentais frémir. Elle jouissait et se laissait retomber sur moi le gode encore bien enfoncé en elle.

Elle restait un moment sans bouger, elle me faisait encore quelques douces caresses et me donnait encore des baisers du bout des lèvres. Tendrement je me retournais nous nous retrouvions toujours enlacés couchés sur le côté, je me retirais, elle se laissait retomber sur le dos, j'en faisait de même. Nous étions en sueur. Mon cœur allait exploser, ma cage de chasteté était sous pression comme jamais. C'était à devenir fou, je devenais fou de frustration, de désir et j'aimais ça …

Sans me relever je décrochais la ceinture et la jetais à côté de mon lit. On échangeait encore quelques regards, on s'approchait l'un de l'autre puis on se laissait aller et sans rien dire on s'endormait …

Luc ne nous réveillait pas le lendemain. La menace du fast-food avait marché … Après le trois étoiles ça devait le faire réfléchir … Je me levais avant que Léa ne se réveille et lui préparait un petit déjeuner, elle ouvrait juste les yeux quand je lui apportais le plateau …

On traînait encore un long moment au lit …

Quand on se levait la matinée était bien avancée. Luc et Bob étaient levés, ils revenaient de leur entraînement sportif. Antoine et Romain étaient parti en ville. Un peu plus tard on en faisait de même, on terminait la journée tout en douceur, une sortie restaurant puis on reprenait notre vie. La semaine suivante nous apportait de nouveaux plaisir, un nouveau record en sport pour Antoine … Cet enfoiré avait battu un de mes records … C'était une déclaration en guerre ! 

Une déclaration en guerre pacifique dans laquelle chacun continuerait à encourager son adversaire … Dans laquelle la victoire de l'un réjouissait aussi l'autre !

Le deuxième trimestre avançait. Léa ne me quittait plus. Nous passions tout notre temps libre ensemble, les soirée trois fois par semaine à la maison, même les soirs ou nous recevions les directeurs ( Les deux écoles n'avaient pas encore fusionné il y avait toujours deux directeurs ) ou des professeurs, Léa était là …

Bob ne me cachait pas que ça commençait à l'inquiéter son entrée en fac l'année suivante … 

Bob : J'ai décidé de rester dans cette ville, je n'ai pas les moyens financiers de me payer les études ailleurs, avec les frais de logement en particulier … C'est au dessus de mes moyens … Et en plus j'ai pas envie de me séparer de Luc.
Luc : C'est mignon ce que tu me dis là Bob. 
Moi : Mais tu sais que tu pouvais compter sur mon soutient !
Bob : Oui je sais mais … C'est comme ça ! 
Luc : Il a décidé de s'entraîner à porter le truc …
Bob : J'ai confié les clés à Luc et je ne peux le retirer que quand on est ensemble.
Moi : Pas trop dur ?
Luc : Pour le moment il ne le porte pas plus d'une semaine à la fois !
Bob : Pour le moment je ne l'ai pas encore porté une semaine. C'est une décision nouvelle !
Luc : Tu sais que moi je ne te tiendrais pas enfermé bien longtemps !
Bob : Tu ne peux pas te passer de ma grosse bite … Oh excuse moi Djé …
Moi : Il n'y a pas de mal !


Moi : Les prochaines vacances vous les passer ou ?
Luc : Au château ! J'ai pas encore vu le château en hiver !
Moi : Et Bob ? 
Bob : Moi je sais pas mais de toutes façons ce sera une bonne occasion pour pousser un peu l'entraînement ! Que je le suive ou pas, je porterais le truc … !

Ça faisait maintenant plus de six semaines que je vivais une abstinence sexuelle totale … Enfin, je ne sais pas si je présente bien les choses … En fait je dormais plusieurs fois par semaine avec Léa, et nos ébats étaient … 

Je la faisais jouir avec le gode ceinture, avec mes caresses, mes mains, mes bras, le contacte de ma peau sur la sienne, le contacte de sa peau sur la mienne, ma langue. Je savait lui donner tout le plaisir qu'elle demandait, tout le plaisir sexuel, pour elle. Pour elle oui mais pour elle seule … Moi je n'avais droit à aucune stimulation ou pour être plus précis je n'avais droit qu'à des préliminaires, rien de plus !

La chaleur de sa peau, la douceur de soie de sa peau … Ma cage était en permanence sous pression, cette douce et forte pression, qui me rappelle à chaque instant de la journée qu'il n'y avait rien à espérer, rien à attendre … Le plaisir c'était pour elle, pour moi il ne me restait que la frustration.

C'était une frustration productive je battait le record qu'Antoine m'avait pris quelques semaines plus tôt. Physiquement, au niveau sportif, je n'avait jamais été aussi bon … Je détenais à ce moment là tous les records de l'école depuis sa création un siècle plus tôt ! Tous les records dans les sports que je pratiquais bien sûr !

C'était une frustration de folie, pas un gode, pas un plug ne sortait de son tiroir et ne rentrait dans mon cul … Rien … Quand Léa se penchait sur moi j'avais l'impression que je pourrais exploser de plaisir, tant de désir, tant de plaisir pour elle tant de désir pour moi !

Les secondes vacances approchaient et tous les espoirs étaient sur moi. Je n'avais qu'à être régulier, faire le jour de la compétition les temps que je faisais à l'entraînement et c'était largement dans la poche …

Il n'y avait pas que le second trimestre qui avançait mais c'est vrai que j'en ai peu parlé, depuis le début de l'année des travaux considérables se poursuivaient sur la nouvelle université. Comme vous le savez des bâtiments avaient poussés en quelques semaines mais ce n'était pas définitif. Par rapport à la première université la façade de la deuxième était largement en retrait, ce n'était pas un hasard. Le bâtiment existant devait être prolongé, agrandi. Sa façade se développait devant le bâtiment qui avait poussé l'été précédent … Le projet final était d'obtenir un bâtiment unique de huit cent mètres de large … Une façade monumentale … La façade de la nouvelle université … L'université de la PK … Les bâtiments qui avaient poussé en quelques semaines seraient progressivement remplacés, ils étaient démontables … Les anciens bâtiments, ceux de la première université seraient entièrement restaurés les uns après les autres … 

Le projet était dément au total une école de plus de quatre mille étudiants internes … On en était très loin ! Et cette ville ne comptait pas quinze mille habitants … 

J'avais pris l'habitude d'entrer par derrière le … ( je parle de mon école … Pff ! ) … le bâtiment administratif donc ! Il y avait un passage qui permettait d'éviter la façade principale et les travaux qui n'en finissaient pas ! Y en a je vous jure … on parle d'entrer par derrière et … je ne vous dis pas les commentaires que j'entends d’où je suis … !

Bref pour une fois je passais par devant ( oui je sais … '' Ça change !'' ) et là c'était le choc.

Moins de six mois plus tôt, c'est simple il n'y avait pas de façade, je veux dire par là, pas de bâtiment ! Là encore les travaux avançaient vite largement plus de la moitié du bâtiment était terminé. Les trois premiers niveaux semblaient presque opérationnels. Je ne résistais pas à la curiosité et j'entrais pour visiter.

De l'extérieur ça avait déjà de la gueule mais de l'intérieur … Ça ne ressemblait à rien ! Les murs, oui. Les portes ou les fenêtres, non. Les escaliers, oui. Les ascenseurs, non . L'électricité, non. Les murs étaient bruts, on était encore loin de la finition.

Un main forte m'attrapait par le poignée et m'entraînait dans une salle chauffé un ouvrier semblait occupé à je ne sais quoi. L'homme qui m'avait attrapé avait une bonne tête et me faisait un sourire.

Lui : Toi tu n'es pas seulement venu pour visiter !

Il m’attrapait par le pantalon, me tirait vers lui, j'étais en tenue de sport et mon pantalon baillait laissant apparaître ma PK …

Moi : Hééé ! 
Lui : C'est super ton truc, j'en veux un pareil mais je sais pas si ils auront la taille.
Moi : Ils l'auront t'inquiète pas !
Lui : Tu es sûr, viens donc voir de plus prêt tu me diras ce que tu en penses !

Il baissait son pantalon, m'attrapait par le coup, me tirait vers lui et me disait …

Lui : Vas y suce moi la queue !

Je m’exécutais ! 

Je suppose que … Arrivé à ce moment du récit vous devez commencer à me connaître et vous savez que je suis très sociable et que je suis capable de sympathiser facilement avec des gens que je ne connais pas ! Je suppose donc que vous ne serez pas surpris par ma réaction … 

Il faut dire aussi que j'étais en manque !

Je lui léchais l'extrémité du gland il n'était pas circoncis, je prenais sa queue dans ma bouche et c'est dans ma bouche qu'il décalottait, il me tenait la tête et me tirait vers lui … Ça faisait longtemps que je n'avais pas connu cette sensation, avec Léa je ne suçais pas le gode de sa ceinture, on ne suce pas une bite en plastique, non , c'est nul ! Mais là c'était pas nul, sa queue était ferme, j'avais presque oublié à quel point il faut bien ouvrir la bouche pour avaler mais je retrouvais rapidement mes réflexes et il gémissait bruyamment quand sa queue s'enfonçait jusqu'au fond de ma gorge.

C'était bon, ça m'avait manqué, il tirait fermement ma tête vers lui et avançait violemment son bassin. Je bavais, j'avais du mal à suivre, je gémissait moi aussi mais c'étaient des sons gutturaux, les seuls que je pouvais faire avec cette grosse bite dans la bouche. Rapidement il ne m'épargnait rien et me tenant bien la tête il me balançait de violents et rapide coups de bassin. J'avalais sa queue, je ne pouvais rien faire d'autre qu'avaler. Je ne résistais pas, je n'essayais même pas de résister, je n'avais pas envie de résister !

Il soufflait plus fort, il respirait plus vite, il gémissait puis poussait un cri de plaisir au moment ou je sentais son sperme me remplis la gorge, je suçais, je bavais, j'avalais. Il maintenait encore un moment ma tête gardant sa queue dans ma bouche, je la sentais ramollir et reprendre une taille plus petite, il se retirait et me lâchait. 

Lui : C'est ça ! Oui c'est bien ça que tu voulais …

L'ouvrier que j'avais vu en entrant s'était rapproché, il avait baissé son pantalon, il bandait, il était juste à côté de moi et au moment ou le premier se retirait complètement il le remplaçait sans me demander ce que j'en pensais, il m'enfonçait sa bite jusqu'à la garde. Lui non plus ne me ménageait pas, pas de tendresse, on n'avait pas que ça à faire ! Il me limait la bouche, lui me repoussait contre le mur me retenait de toutes ses forces et me bloquait ainsi la tête. Il utilisait alors ma bouche pour se soulager sans s'inquiéter de moi. J'avais l'impression d'être devenu un sex-toy ! 

C'était bon ! C'était un peu effrayant mais c'était bon, ça faisait combien de temps que je n'avais pas sucer une belle queue moi ? Je ne me souvenais même plus, je fermais les yeux et me concentrais sur mes sensations. Sa queue était plus modeste que le premier mais il fallait quant même arriver à suivre … Mais j'aime ça moi et j'avais de l'entraînement … Peut être pas ces dernières semaines mais … Ça m'avait manqué ! Ma cage était sous pression, ma prostate commençait à frétiller à l'idée du plaisir qui allait suivre, ça aussi, ça m'avait manqué ! Me prendre une belle grosse queue dans le cul, et là ils étaient deux … Deux grosses queue dans mon cul, je sentais mon anus qui se contractait par réflexe et ma bite qui protestait, je sentais ma cage se relever, je recevais une grosse giclée de sperme dans la bouche. C'était bon, je me régalais, je sentais l'ouvrier trembler, frémir, il ne faisait pas de bruit, pas de cri ni de gémissement mais il tremblait au moment ou il jouissait. Maintenant je m'attendais à me faire enculer, j'en avais envie, j'en avais tellement envie … 

Il refermait alors son pantalon et me donnant une petite tape sur la joue il me lançait … '' Bon maintenant tu nous laisses on n'a pas que ça à faire, on bosse nous !'' !



EP 56 : EN MANQUE


C'est pas après ça que j'allais me sentir mieux ! Plus frustré que jamais je redescendais, je croisais des ouvriers partout et ils me paraissaient tous plus sexy les uns que les autres . J'avais la cervelle en feu. Des hommes, partout autour de moi, c'était le bruit, c'était ce qui venait de se passer ? C'était le manque ? J'aurais aimé qu'un d'entre eux, plusieurs même peut être, m'attrapent par le bras, m'entraînent dans un coin sombre et me violent sans aucun ménagement, sans aucun respect … Qu'ils me défoncent le cul jusqu'à m'obliger à les supplier … Je jure de ne pas appeler au secours ! C'est dans ces moment là que ma PK, mon dispositif de chasteté, je la sens bien ! 

J'avais de l'énergie à dépenser aussi je décidais de prolonger ma séance d'entraînement. J'avais couru vingt kilomètres de plus quand j'arrivais à la maison. Charles m'accueillait.

Charles : Et bien Djé tu est sorti plus longtemps que d'habitude aujourd'hui ?
Moi : Beaucoup d'énergie à dépenser !
Charles : Tout va bien ?
Moi : Tout va très bien !
Charles : On vient de m'apporter une lettre, elle est ouverte, elle était arrivé chez notre voisin du dessous.
Moi : Tu sais de quoi elle parle ?
Charles : Bien sûr, comme tout très bon secrétaire que je suis je l'ai lu. C'est une proposition de contrat publicitaire pour des vêtements de sport. Une marque tout à fait convenable. Mais il y a un truc que je ne comprends pas !
Moi : Vas-y explique.
Charles : Regarde … On te propose un cachet de dix mille DI sous prétexte que tu n'est pas très connu … C'est ridicule … Le montant est ridicule aussi … 
Moi : Dix mille ! Pour moi ! Tu as raison c'est pas très sérieux, on montrera ça à Antoine ça devrait le faire rire … 

Je passais sous la douche, ça allait mieux ! La pression dans ma cage de chasteté commençait enfin à baisser. Je me retrouvais tout propre, fatigué, frustré, toujours en manque mais … Tout propre ! … 

Ce soir là il n'y avait pas de réception, nous ne serions que trois, le lendemain il y avait école … Charles avait sa soirée, il prenait souvent sa soirée les jours ou nous ne recevions pas … Avec Antoine et Luc on se faisait livrer une pizza !

Luc : Je me suis inscrit au permis de conduire !
Antoine : Mais tu n'as pas encore l'âge pour conduire toi !
Luc : J'ai pas l'âge, j'ai pas l'âge … J'aurai mes dix huit ans dans quelques semaines !
Antoine : Tu as vu ça Djé, le p'tit devient grand, je n'ai pas vu le temps passer. Ça grandi vite à cet âge là !
Luc : Arrête de dire n'importe quoi, on se connaît depuis moins d'un an !
Moi : Au fait je pense à un truc, Antoine, tu vas rire ! On me propose dix mille pour une campagne publicitaire … C'est ridicule .
Antoine : Dix mille ? C'est ridicule ! ( il rigolait )
Moi : Sous prétexte que je ne suis pas très célèbre !
Luc : Mais c'est quoi cette plaisanterie ? Fais voir la lettre !

Luc lisait attentivement la lettre … 

Luc : '' Nous avons apprécié votre interview … '' … Tatata … '' Votre image véhicule une véritable joie de vivre … '' … Tatata … '' Votre jeunesse … '' … '' Quelques photos … '' …


Moi : Ça ne te fait pas rire ?
Luc : Dis moi Jérémy, tu as bien lu la lettre jusqu'au bout ?
Moi : Bein ! … ?
Luc : La lettre … Elle m'était adressée !

Je reprenais la lettre … En effet elle lui était adressée ! Je décidais de téléphoner à Justine. Je tombais sur son mari !

Moi : Salut Henri, ça va, j'espère que je ne dérange pas, je voudrais juste un petit conseil …

Je lui expliquait rapidement la situation, il me proposait de passer le lendemain au restaurant, il étudierait mon dossier pendant le repas … 

Je le retrouvais donc, comme prévu au restaurant le lendemain, il était avec sa femme ainsi que Joss. Luc était bien sûr venu avec moi. On en profitait pour déjeuner ensemble … Les trois avocats nous expliquaient que Luc n'étant pas célèbre, le contrat ne reposait que sur l'impression qu'il avait laissé lors de son interview quelques semaines plus tôt au moment ou j'avais fait ces trois conférences … Justine se proposait de prendre en main cette histoire et de s'occuper de nos contrats à l'avenir … On acceptait et on lui laissait le courrier … Pour une fois Luc n'avait pas fait le mariole, c'est vrai que pour lui ça représentait une jolie somme … C'était suffisant pour qu'il reste sérieux. Je le reconduisait à son école après le repas …

Dans la voiture !

Luc : Tu as vu ça Jérémy, c'est mon premier contrat et il y avait trois avocats sur mon affaire !
Moi : Tu en as de la chance !
Luc : Moi je te le dis, ça commence très bien cette histoire, je sens que je vais devenir célèbre … Tu vas voir !

Le deuxième trimestre se terminait … Toute l'équipe décidait de faire une grosse fête, on serait plus de deux cent, bien sûr j'y serais et Antoine et Luc également. Ensuite c'était les vacances, comme à chaque fois des groupes de sport étaient organisés. Nous trois avion prévu de passer nos vacances en famille puis de terminer les derniers jours au château.

Ça faisait plus de trois mois que personne n'avait touché à mon cul, trois mois que mon tiroir à jouets n'avait pas été ouvert. La dernière fois que j'avais touché à un gode c'était justement lors de mon dernier séjour au château … Presque trois mois que je servais de sex-toy à ma nouvelle copine … Trois mois que j'avais la tête et le cul en feu … Trois mois …

Nous avions rapidement des nouvelles de Justine … Elle nous avait téléphoné !

Luc : Jérémy c'est vraiment super, elle a obtenu quinze mille ! 
Moi : Mais c'est plus que prévu ça !
Luc : Avec ça je vais pouvoir me payer ma première voiture ! C'est génial !
Moi : Et ça se passe comment ?
Luc : Le premier jour des vacances il y aura une séance photo, tout doit être réglé au plus tard le premier jour des vacances ! Je ne sais pas pourquoi !
Moi : Et ensuite on par voir la famille !

La veille des vacances on faisait la fête, toute l'équipe … C'était dans la salle de sport de l'université que ça se passait. On se faisait un bon repas, il y avait à boire, mais on avait décidé de passer la soirée entre nous … Entre porteurs … Ceux qui ne partaient pas en groupe de sport et qui en avaient fait la demande avaient reçu leur clés mais s'étaient engagé à ne se libérer qu'après la fin de la soirée …

Je ne pensais plus qu'à une chose … '' Qui allait se libérer à la fin de la soirée ? '' … Je regardais tous mes camarades et me disais … '' Celui-là c'est le groupe de sport, il garde son truc, celui-là je ne sais pas, celui-là c'est … Mathias ! '' …

Mathias : Tu fais quoi toi ces deux semaines ?
Moi : Huit jours en famille et huit jours au château, et toi ?
Mathias : Le château !
Moi : On s'y verra !

Donc je me disais … '' Celui-là il reste enfermé '' … '' Celui-là c'est sûr il se libère '' … Ceux là je les imaginais libre, j'imaginais leur bite se balancer puis se redresser, prendre du volume … je m'imaginais dans leurs bras, ils étaient tous musclés et tous avaient un corps magnifique, je le savais, je les voyais régulièrement nus sous la douche !

On riait, on mangeait, on buvait, on chantait, on se motivait … Au retour des vacances il y avait une compétition inter-universitaire, et l'année précédente on avait cassé la baraque, on avait raflé plus de la moitié des coupes et médailles … On avait progressé mais les autres aussi … Beaucoup d'étudiants avaient le même entraînement que nous, nous ne serions plus les seuls à nous être entraîné dans la chasteté … Moi je venais de passer trois mois et je peux vous garantir que j'avais de l'énergie en réserve …

La soirée avançait, la moitié des participants s'était retirée. J'avais un peu bu et je m'étais retirer dans un coin plus tranquille à réfléchir, j'entendais des murmures pas loin, je me penchais. Deux garçons se faisaient un câlin, ils étaient enlacés et s'embrassaient avec fougue. 

D'abord je reconnaissais Julien (Ep 14), il est mignon Julien, il avait été un de mes colocataires l'année précédente et avait été aussi le premier à porter un dispositif, je l'aime bien Julien il est très mignon et très sympa … Mais l'autre c'est qui ?

Les blousons étaient tombés depuis longtemps et maintenant c'était les chemises qui tombaient à leur tour. Julien se retrouvait rapidement torse nue, il avait pris du muscle le petit Julien et devenait de plus en plus beau. Toujours aussi tendre, il avait passé son bras dans le dos de son camarade, son autre bras sous la chemise de son partenaire et de l'autre main il caressait les cheveux de son camarade. Je ne parvenais toujours pas à voir qui était ce second personnage.

C'était une deuxième chemise qui tombait, il avait aussi du muscle le second, je ne parvenais toujours pas le reconnaître, il était plus grand … Peut être … 

Les deux corps se touchaient, les deux corps se caressaient, se frôlaient, se serraient l'un contre l'autre comme attirés, les bras se mélangeaient jusqu'à faire des nœuds … Julien penchait la tête en arrière pendant que son camarade l'embrassait dans le cou, sur la gorge, dans l'oreille … Puis c'était l'autre qui relevais la tête pendant que Julien lui rendait généreusement ses baisers. Je ne parvenais toujours pas à voir qui c'était !

Le pantalon de Julien tombait, il faisait comme moi, il n'avait pas de sous vêtement. Je ne serais pas en train de lancer une mode moi ? Il avait gardé sa PK, ça ne m'étonnait pas, Julien ne participait pas au groupe de sport mais ça ne m'étonnait pas. Son camarade passait une main entre ses cuisses et lui caressait les couilles longuement, les prenait dans la main et semblait les serrer dans la main. Julien gémissait mais pas de douleur. C'était maintenant le pantalon du deuxième personnage qui tombait au sol. Finalement oui c'était bien une mode ! 

Ma Pk était sous pression et forçait pour se relever, ça devenait désagréable, gênant, je me sentais à l'étroit dans mon pantalon autant que dans ma PK. Une fois de plus le nouveau modèle montrait son confort, j'étais à l'étroit, ça me gênait entre mes cuisses mais il n'y avait toujours aucune douleur …

Il avait de belles fesses le partenaire à Julien, il avait aussi des cuisses magnifiques, fines et musclées … Mais pourquoi je flashe autant sur des fesses ou sur des cuisses moi ? J'en vois tous les jours sous la douche. Peut être parce que … Trois mois ... ? Peut être parce que … Ouai ! Trois mois, c'est bien ça, il faut pas chercher plus loin !

Julien s'agenouillait devant son camarade et semblait le sucer. Mais enfin, nous portons tous une PK ce soir, on ne le retirera que plus tard, après la soirée ou demain … Les deux amants se déplaçaient légèrement et je les voyais maintenant de profil … C'était Germain ! Et l'enfoiré il avait retiré son truc et là il se faisait sucer par Julien … Il est mignon Julien, il aime les grosses bite et c'est vrai qu'avec Germain il était servi. Il en profitait, il savait sucer, j'admirais sa technique, il avalait la bite de Germain sur toute la longueur et pour l'avoir pratiquée je savais qu'elle était grosse cette bite, je jour de la rentrée (Ep 40) je me l'étais prise dans le cul la bite à Germain !

Germain retenait la tête à Julien et le tirait vers lui. En même temps il donnait de violents coups de bassin. Julien encaissait et en redemandait. C'est lui qui tirait les fesses de son partenaire quand celui-ci se calmait, lui aussi il en voulait ! J'aurais aimé être à sa place …

Germain se laissait aller, et accélérait le mouvement. Il enfonçait joyeusement sa grosse bite dans la gorge de Julien et la ressortait avant de recommencer … Il gémissait de plaisir … J'aurais tellement aimé être à sa place …

Julien se relevait et Germain lui demandait de se retourner, Julien se retournait et s'appuyait sur le mur. Germain prenait position, il plaçait sa bite en position et doucement l'enfonçait en un mouvement régulier, dans le cul de Julien, il l'enfonçait doucement mais sans hésiter, elle rentrait lentement et je la voyait en ombre pénétrer jusqu'au moment ou le bas ventre de Germain écrasait les fesses de Julien qui poussait alors un long gémissement, une longue plainte, une sorte d'appel au secours qui espérait n'avoir aucune réponse … 

Germain poussait fermement et se serrait encore plus contre son camarade, il le tirait vers lui en le prenant pas les hanches. Julien gémissait. Puis Germain se retirait, pas complètement, juste à moitié avant de revenir à la charge bien à fond dans un mouvement lent mais décidé. Il terminait par un coup de rein. A chaque mouvement il se retirait un peu plus et à chaque fois il revenait un peu plus fort, un peu plus vite, et à chaque fois il terminait par un coup de rein plus violent. A chaque fois Julien gémissait plus fort, il terminait par une sorte de sanglot étranglé.

Je sentais mon anus se contracter, je sentais ma cage me ratatiner la queue, j'avais l'impression que ma cage devenait plus petite, devenait trop petite. Il y a des jours comme ça. Je sentais ma prostate frémir, appeler, quémander, mendier une bite. Ce n'était plus seulement une envie ça devenait un besoin … J'avais besoin, pas envie, mais besoin, vraiment besoin comme jamais, j'avais besoin de me faire défoncer le cul, je me souvenais de ces sensations quand Germain m'avait éclater la rondelle, je me souvenais de cette impression de me sentir rempli, dilaté … Je me serais damné pour prendre la place de Julien … Mais je n'osais pas les déranger et je les regardais sans faire de bruit !

Je voyais le reflet du liquide qui coulait de la cage de Julien, ce liquide   épais et blanc et j'entendais ses plaintes pendant qu'il jouissait ! J'aurais tellement aimé être à sa place …

J'entendais le souffle de Germain au moment ou il jouissait et j'avais presque l'impression de ressentir ses tremblements, les vibrations de son corps, je me souvenais de la force de ses muscles et de la douceur de sa peau et de la taille énorme de sa bite, je me souvenais qu'il avait fallu lui imprimer une modèle spécial grande taille au début de l'année … 

Germain restait sans bouger cramponné à son camarade qui semblait avoir le souffle court. Julien retournait la tête en arrière et Germain lui donnait un baiser passionné. Ils restaient ainsi un long moment sans bouger, puis ils finissaient par se séparer, lentement, de profil je voyais alors la queue de Germain sortir du cul de Julien et retomber en partie, il commençait à débander … Quelques instants plus tard c'était une grosse molle qui pendait devant lui … J'aurais vraiment aimé être à sa place … Ma queue était écrasée dans sa cage, et je ne pensais plus qu'à cela, je ne ressentais plus que cela !

Je les regardais reprendre leurs esprits, ils se rhabillaient, ils ne me voyaient pas, ne se doutaient même pas de ma présence. Ils repartaient rejoindre le reste de l'équipe, enfin ceux qui étaient encore là ! La soirée avançait et il ne restait plus grand monde.

J'attendais encore quelques minutes et je les suivais. La salle se vidait. Luc faisait le guignol, pour changer, il était entouré d'un groupe de plusieurs garçons de la fac et à les voir rigoler on devinait que l'ambiance était bonne.

Antoine lui était plus calme, c'est lui qui conduisait il était resté sobre et donnait l'impression d'avoir envie de rentrer. On échangeait quelques signes, on se comprenait, Luc nous remarquait et terminait son verre, il saluait alors ses amis et nous rejoignais. On s'était compris, on était fatigué et on n'avait plus qu'une envie … Se faire défoncer le cul … Pardon ! Là je parlais pour moi ! 

Je reprends … On n'avait plus qu'une envie … Rentrer se coucher … Et moi j'avais envie comme jamais de me faire défoncer le cul. Il était trop tard pour aller draguer dans les coins mal fréquentés comme je l'ai déjà fait, il faisait froid, j'étais à moitié saoul …

On faisait route … Je n'ai pas vraiment bien dormi cette nuit là … J'ai fais des rêves érotiques, et je me suis réveillé à plusieurs reprises. En fin de nuit je me souviens même que je me suis réveillé alors que je rêvais que je me faisais enculer … C'était bon, je jouissais, enfin je veux dire que je rêvais que je jouissais … C'est pas tout à fait pareil … Je rêvais que j'éjaculais et c'est ce qui m'a réveillé. En fait j'éjaculais vraiment, je jutais, du sperme coulait de ma PK et semblait ne pas vouloir s'arrêter. Une fois réveillé je n'éprouvais plus aucune sensation, je ne me sentais même pas soulagé, j'avais toujours le feu au cul, et même de plus en plus. 

Au réveil j'étais pas en forme, mais bon, personne ne s'en inquiétait. C'était un lendemain de fête et de toutes façons j'étais en vacances. Luc avait sa séance photo dans l'après midi, je pouvais faire la sieste. On ne partait pas avant le lendemain matin … J'avais tout le temps nécessaire pour me reposer !



EP 57 : DEUX TROIS PHOTOS ET PUIS S'EN VA



Je n'étais pas vraiment en forme, c'est le moins qu'on puisse dire aussi je traînait dans mon lit, je sautais ma séance de sport et ne me levais pas avant dix heures. Mon frère était en forme, lui ! Il avait fait son footing comme tous les matins, il s'était fait tout beau, Bob était là aussi tranquillement assis et me saluait en me voyant, enfin bref … Luc était prêt à partir et ne cachait pas son impatience …

Moi : Reste calme Luc, les photos c'est pour cet après-midi …
Luc : Après, ce soir je vous invite tous les deux au restaurant ! … Tu pourras me prêter ta carte de crédit Jérémy ? Si teu plé !!
Moi : Bourrique !
Luc : Tu as entendu Bob ! Il a dit oui !

A plusieurs reprises il se changeait, il essayait un pantalon puis un autre, une chemise … Une veste … Charles, notre majordome arrivait, Luc lui sautait presque dessus …

Luc : Charles mais tu étais ou ? J'ai besoin de toi. Je ne sais pas quoi mettre. Toi qui a un goût sûr. Dis moi ce que tu en penses … Si je mets cette chemise ou celle là …

A nouveau Luc se retrouvais torse nue avec une chemise dans chaque main.

Luc : Celle là, elle est bien ? Non ? Et celle là, elle est bien aussi ? Dis ?
Charles : Oh oui Luc, tout à fait !

Luc repartait dans sa chambre pour se changer encore puis revenait …

Charles : Oh oui Luc ! Tu est très bien ! Ça te va très bien ! …

Bob et moi on regardait ça, Luc était le seul à ne pas se rendre compte que Charles ne s'occupait pas du tout de ce qu'il faisait ou disait et se contentait de ne pas le contredire … Et ça durait comme ça jusqu'à l'heure du repas … Nous ne serions pas nombreux, Antoine était parti le matin même …

Charles : Bob reste pour le dîner ? 
Luc : Il ne faudrait pas que je boudine, je pense que je ne vais pas trop manger moi !
Charles : Oh oui Luc tu as bien raison ! …

Finalement Luc en reprenait deux fois et ne se sentais pas pour autant boudiné.

Luc : J'espère que ça va aller ! Que je serais bien !
Charles : ( en levant les yeux au ciel ) Voyons Luc, tout le monde sais que tu es très mignon en photo et pas seulement en photo … Même qu'il y a des jours ou on se contenterait d'une photo !

Mignon en photo, c'est ce qu'il avait envie d'entendre et il se calmait un peu. Bob rigolait. A l'heure prévue on partait tous les trois pour le rendez-vous. Ça se passait dans une salle de gym du coin, un endroit qu'on connaissait, c'était très bien équipé, il y avait un parc devant … On nous attendait …

Le directeur de la salle, Georges, un homme jeune de moins de tente ans venait nous saluer. On le connaissait très bien, il nous présentait le photographe Alain qui suivait, il y avait aussi son assistant Xavier, un très beau garçon à l'allure sportive dans mes âges. On commençait la séance photo sans attendre. 

Luc posait devant la piscine en maillot de bain !

Alain : Mais on m'avait dit que mon modèle portait un dispositif de chasteté ? Ce n'est pas le cas … !

On pouffait de rire . 

Moi : Si ! C'est le cas ! Mais les nouveaux dispositifs sont très discrets, on les a étudié pour cela.
Luc : C'est lui et Antoine qui les ont mis au point !
Alain : J'ai du mal à y croire !

Sans prévenir Luc baissait son maillot de bain et le photographe pouvait constater par lui-même … 

Alain : Alors là je suis impressionné, je connaissais bien les anciens modèles, ils étaient discrets mais pas à ce point !

La séance photo reprenait, on essayait un maillot de bain suffisamment transparent pour qu'on puisse deviner, pas voir mais juste deviner le dispositif de chasteté … Après les maillots de bains, Luc enfilait tout un tas de tenue, survêtements, shorts, chaussures ...On lui demandait de prendre des pauses, étirements, sauter sur place, ou de prendre place sur une des machines de la salle de muscu … On arrivait vite à la fin de l'apprêt-midi, Luc était aux anges, il faisait sa star, ne manquait pas d'amuser tout le monde, tout le monde avait le sourire, pour finir Xavier rangeait le matériel et l'emmenait dans la voiture. Nous restions encore quelques minutes à discuter avec Alain pendant  que Luc remettait son costume. Xavier revenait.

Alain : Bon Et bien Xavier je te libère pour la soirée, on se retrouve demain au studio. N'oublie pas on a un reportage demain, ça devrait nous occuper toute la journée. 

Il nous saluait, et nous laissait en rajoutant … : '' C'était une bonne séance je pense que le client sera très content ! Allez les jeunes, Bonne fin de soirée !

Luc : Et toi Xavier tu fais quoi ?
Xavier : Moi … Et bien je pense que je vais aller boire un verre et rentrer chez moi.
Luc : Viens avec nous si tu veux, mon frère t'invite au restaurant.

Bob pouffait de rire, Xavier me regardait sans comprendre. Je haussais les épaules …

Moi : S'il le dit !
Xavier : C'est vrai, c'est pas des conneries … Tu m'invites ?
Moi : J'ai l'impression que Luc vient de t'inviter, et il y a des jours ou il est inutile de le contrarier …
Bob : Nous on a l'habitude, et je confirme, il y a des jours comme aujourd'hui ou il ne faut pas le contrarier ! Ça ne marche pas et ça sert à rien !

On arrivait finalement au restaurant. Mon petit restau préféré, Luis nous recevait avec un grand sourire …

Luis : Mais c'est un plaisir de te revoir Djé, ça faisait un moment  qu'on ne t'avais pas vu dans le coin ! Tu vas bien ?

Il nous plaçait, toujours une très bonne table, et prenait la commande.

On faisait connaissance. Xavier était l'assistant du photographe, il terminait ses étude de photographie.

Moi : Et tu espères faire quoi ensuite ?
Xavier : Voyager et photographier le monde …
Luc : Le monde … Les gens ou les paysages ?
Xavier : Les deux ! Le visage est le paysage de l'âme et le paysage n'est ce pas le visage de la terre …
Luc : C'est beau ce que tu dis là !

Nous avions un poète avec nous, et comme il était tôt, c'est tout naturellement que nous l'invitions a venir boire une dernier verre à la maison. La discussion continuait à la maison, on débouchait une bouteille de champagne. Bob rentrait tôt, ses adieux avec Luc étaient déchirants, Luc en rajoutait ( … comme d'habitude … ) mais Bob n'était pas, lui, comme d'habitude … Il était sous clé et il savait que c'était pour deux semaines. Deux longues semaines, un sacrifice qu'il accordait à Luc, un entraînement pour l'année à venir et même les années à venir. Ses études ne dureraient pas qu'un an …

Xavier et moi restions seuls dans le salon à terminer la bouteille de champagne. On parlait de choses et d'autres, de ses projets de voyages, de mes études, de ses rêves, de mes projets … On finissait bien sûr par parler de mon … Truc !

Xavier : J'en ai jamais vu !
Moi : Même pas en photo ?
Xav : En photo, oui, bien sûr mais, je voulais dire … Porté … Sur quelqu'un ! Enfin sur ton frère tout à l'heure … C'était la première fois que je voyais quelqu'un en porter un … C'est beau je trouve !

Je me levais et laissais tomber mon pantalon, il regardait ça en détail, il approchait une main …

Xav : Je peux ? 
Moi : Oui vas-y, tu peux toucher !

Je remarquais comme une réaction entre ses cuisses, une bosse qui … Grossissait … 

Moi : Fais voir … toi !
Xav : Moi mais je ne …
Moi : Fais voir quand même !

Il hésitait, puis le levait et baissait son pantalon, je ne loupais rien, il était bien foutu le gars, musclé, une musculature fine et ferme, une bite de taille normale, bonne moyenne sans plus mais bien proportionnée et je savais qu'elle pourrait rentrer sans préliminaire et je savais que ce serait très agréable. Déjà j'en redemandais ! Je tendais la main ...

Moi : Je peux ?
Xav : Vas-y.

Je me penchais vers lui et commençais à lui caresser la queue. Il s'asseyait confortablement sur le fauteuil, il écartait les cuisses et se laissait retomber bien à son aise. Il bandait ferme, je prenais sa bite à pleine main et le masturbais doucement, à chaque mouvement je le décalottais. Il me laissait faire, il me regardait sans rien dire, il me faisait un large sourire. Je m’accroupissais devant lui entre ses jambes et commençais à lui sucer la queue. La mienne protestait et se contractait pour tenter de se libérer, de faire éclater la cage. C'était une tentative sans espoir, pathétique, je le savais mais ma queue elle ne voulait pas, ne voulait plus le savoir. 

Avec beaucoup de maîtrise j'avalais rapidement sa queue sur toute sa longueur, quand je relevais la tête j'en profitais pour lui caresser la bite en insistant sur le gland, encore un coup de langue et je recommençais. Xavier gémissait de plaisir et se contractait en sursautant, je bavais de désir et je remettais ça. Je lui caressais le torse, il avait une peau douce, des muscles fermes, et il frémissait d'une manière qui m'attendrissait. Il ne devait pas être habitué à ce genre de situation !

Je l'entendais respirer plus fort, son souffle était plus saccadé. Quand je relevais la tête, je voyais son visage , il faisait la grimace de plaisir, il avait la bouche ouverte et semblait essoufflé, il transpirait. D'une main il me caressait les cheveux … Je recommençais, à nouveau j'avalais sa bite, à nouveau je le masturbais et à nouveau j'insistais sur son gland … Il poussait maintenant des petit gémissements aigus qui me faisaient penser à une plainte et en même temps le souffle lui manquait, il coupait alors sa respiration. Ma cage était trop petite, pas de douleur mais un impression de pression intense, anormale, j'avais vraiment l'impression d'avoir un problème de taille … Mais pourquoi de plus en plus ma cage me semble trop petite ?

Je continuait à sucer et mon cul se contractait et détendait par intermittence, c'était un appel, c'était une demande, presque une supplique. Mon cul implorait, mon cul demandait, il criait pitié, il voulait une bite … Je suçais comme un fou, Xavier appuyait sur ma tête et je ne contrôlais plus rien, c'est lui qui dirigeait le mouvement, il appuyait sur ma tête en relevant le bassin.

Il avait commencé avec des mouvements lents et amples, il avait continué avec des mouvement rapide et courts, maintenant ses mouvements étaient rapides, vifs et amples. Quand sa queue se retirait complètement de ma bouche, il me laissait reprendre mon souffle puis il reprenait. En un mouvement sa queue rentrait jusqu'à la garde, il appuyait bien sur ma tête et me la maintenait ainsi de plus en plus longtemps. Il tremblait, je le sentais se raidir, se contracter. Je sentais ses muscles se bander, je sentais ma queue qui essayait de bander elle aussi. La froideur du métal l'en empêchait. Je haïssais ce dispositif. Si j'avais eu les outils sous la main c'est sans hésitation que je l'aurais retirer, ce soir là je l'aurais découpé en morceau, je l'aurais réduit en limaille. 

Ce soir là, j'allais me prendre une bite dans le cul, je l'avais décidé. Ça serait bon, ça sera bon. Il avait la forme et je ne pouvait plus m'arrêter, je le suçais comme un malade, je le branlais comme un fou, d'un mouvement rapide, d'une caresse douce, d'un mouvement lent, d'une caresse ferme … Il me caressait les cheveux, il me tenait la tête, il relevait le bassin, il éjaculait dans ma bouche. Plusieurs giclées coulaient dans ma gorge, j'en dégustais le goût, je ne pouvais pas m'arrêter je continuais à le sucer, à le caresser. Je sentais tous ses muscles se contracter, il refermait les cuisses et tentait de se retirer …

Ses mains n'appuyaient plus sur ma tête, il essayait de me retenir, il débandait, je me calmais lentement, je reprenais mon souffle, je le regardais … Il faisait une étrange grimace, soufflait fortement avec la bouche …

Xavier : Arrête ! C'est bon ! Ne fais plus rien !

… 

Xavier : Ouhaaa ! C'était quelque chose !

Il avait complètement débandé. 

Xavier : Pour moi c'est bon ! Là je peux plus ! C'est toujours comme ça avec toi ? Bein dis donc ! Tes copains ils ne doivent pas s'ennuyer ! 

Je le regardais incrédule, je l'avais épuisé comme il fallait et ce soir, ce soir encore je ne me prendrais pas sa bite dans le cul ! Ce soir encore … Trois mois ! Trois mois et ce soir encore je n'y aurais pas droit ! Mais il faut faire quoi dans ce bled pour se faire enculer ?

Xavier se relevait, il reprenait son souffle. Il remontait son pantalon. 

Xavier : Il faut que je rentre, on se revoit quand tu veux ! 

Il me faisait l'accolade, me donnait un baiser et me laissait .

Je me retrouvais seul, frustré. Toujours frustré, ça faisait des semaines que ça durait, et ça allait durer combien de temps encore ? Je ne voulais pas jouer avec mes godes, ce que je voulais c'étaient des étreintes folles, je voulais une grosse bite dans mon cul, je voulais sentir ma rondelle se distendre, je voulais sentir ma prostate se faire écraser, je voulais sentir ma bite éclater sa cage et cracher son jus, je voulais …

J'étais épuisé, j'étais en sueur, je tremblais, je frissonnais, j'avais chaud, je me sentais mal, j'avais envie d'avoir mal au cul … Je me laissais tomber mollement sur le canapé et je m'endormais, encore une nuit mouvementée, sommeil troublé, je me réveillais avec la sensation que ma bite était écrasée dans un étau, c'était … Je ne sais pas mais c'était pas douloureux ! 

Luc me retrouvait allongé sur le dos dans le canapé, je dormais encore quand il se levait, je ne sais pas pourquoi, ce matin là il ne me réveillait pas en hurlant comme il aime le faire, il respectait la fin de ma nuit et c'est l'odeur du café qui me réveillait.

Luc : Ça c'est passé comment hier soir ?
Moi : Booo !
Luc : J'ai eu une bonne idée de l'inviter ? Non ?
Moi : Boo !

Luc rigolait à voir la tête que je faisais, j'avalais un café avant de passer sous la douche et je revenais plus présentable, toujours à poil mais plus présentable. Je prenais alors le temps d'un petit déjeuner plus conséquent. Je me sentais mieux, toujours en manque, mais je me sentais mieux ! 

On préparait nos bagages et on se mettait en route. 

Luc : C'est nos parents qui vont être surpris de nous voir arriver dans une aussi belle voiture !
Moi : Les voisins aussi.
Luc : Ils vont être verts !

On roulait bien pendant toute la matinée, on faisait une pause restaurant vers midi, Luc était calme pour une fois. Il devait penser à tout ce qui avait changé dans sa vie depuis qu'il était venu s'installer avec moi. 

Dans la galerie marchande, on percevait de légers changements … Une pub pour la PK.C, c'était la première fois que j'en voyais une. En fait c'était pas vraiment une pub, c'était plus un panneau indicatif qu'un vrai pub. Le panneau ne se voulait pas trop discret, surtout pas tape à l’œil, mais visible tout de même, c'était subtil, il indiquait une direction, la direction d'une porte elle était discrète sur laquelle était marqué … '' Purity Keeper Companie … Entrée libre … Entrez sans frapper … '' !



EP 58 : LES BUREAUX DE LA PK



Je restais pensif quelques instants devant cette porte. C'était nouveau ! C'était un peu à cause de moi tout ça. Luc arrivait.

Luc : C'est quoi cette porte ?

Pour seule réponse je lui montrait le panneau ou il y avait l'inscription …

Luc : Oui ! Et c'est quoi cette porte ?
Moi : On va voir ?
Luc : On va voir !

J'ouvrais la porte, on entrait …

Nous entrions dans une salle au décor très sobre, sur la gauche une vitrine qui contenait tous les modèles de PK disponibles sur le marcher, quelques indications sur les modèles mais pas de prix. Un peu plus loin des modèles plus anciens, bien indiqués comme tels ! En face, de l'autre côté, une table basse et quelques fauteuils, un homme jeune, moins de trente ans arrivait pour nous accueillir … 

Lui : Bonjour messieurs. Puis-je vous aider ?
Luc : Ouai . Euh, Bonjour … On est ou là ?

Je ne pouvais m'empêcher de rire à la réplique de mon frère. Le jeune homme à l'accueil également.

Lui : Vous êtes dans un bureau conseil de la PK C, la '' Puritity Keeper Companie ''. Je m'appelle Alexandre et je suis à votre service pour vous conseiller sur tous les dispositifs de chasteté que nous proposons. 
Luc : La PK ! Mais c'est dingue ça, Ils ont des bureaux maintenant ? Mois j'y crois pas !
Alexandre : C'est nouveau, c'est une nouvelle politique de la PK.
Luc : Et vous vendez de ces trucs ?
Alexandre : Bien sûr ! Tous les modèles de cette vitrine sont disponibles, dans cette autre vitrine nous exposons des modèles plus anciens. Mais ici, nous informons surtout, c'est notre priorité !
Moi : On est déjà très bien renseigné !
Luc : Moi je ne savais pas qu'il y avait des bureaux de vente !
Alexandre : Souhaitez-vous voir les modèles de plus près ?
Moi : Nous les connaissons !
Luc : Moi je veux les voir, je veux savoir si c'est les bons !
Alexandre : Les bons ?
Luc : Les trucs qu'il a inventé avec son copain !
Alexandre : Je ne comprends pas trop de quoi … ? ( en me regardant )

Luc s'approchait de la vitrine de droite …

Luc : Mais c'est quoi ce truc, y a aucun modèle que je connais ! Jérémy, c'est pas Les trucs que tu as inventé, ça n'y ressemble même pas …
Moi : La vitrine, l'autre vitrine … Là tu es sur les modèles plus anciens …
Luc : Tu as raison ! Je vois mon premier modèle … Celui que j'avais avant que tu me donnes le modèle CTC …

Le vendeur nous regardait et nous laissait faire …

Alexandre : Vous n'êtes pas intéressés, juste curieux ! Mais ce n'est pas grave, je vous invite à satisfaire votre curiosité.
Luc : Non, on est pas seulement curieux ! On est très intéressé ! Mon frère est un spécialiste, c'est lui qui a inventé le modèle CTC dont je parlais !
Alexandre : ( D'un air amusé ) Mais le modèle CTC n'existe pas !
Luc : Alors je porte quoi moi ?
Alexandre : Vous devez confondre avec le modèle, C PK C, il est sorti il y a peu de temps et c'est précisément le dernier modèle sorti …
Luc : Mais ! Jérémy, de quoi il parle !
Moi : Le modèle CTC s'est quasiment limité aux prototypes, la production était à peine lancée que le nom a changé il s'appelle désormais '' C PK C ''. Tu sais que '' PK C '' est le nom que nous avons imaginé Antoine et moi ...
Luc : ( à l'intention du vendeur ) Alors, je ne disais pas de conneries !
Alexandre : Mais vous êtes qui exactement tous les deux ?

Luc lui expliquait en quelques mots …

Alexandre sortait rapidement puis revenait quelques instants plus tard avec un emballage PK  dans les mains …

Alexandre : Mais vous avez raison jeune homme, je suis une bourrique, j'aurais dû vous reconnaître, il y a une photo de vous ( en me regardant ). Alors c'est vous le champion dont tout le monde parle au château !
Moi : Bein oui ! C'est moi !
Alexandre : Mais alors c'est quoi cette histoire de CTC ?

Luc et moi lui racontions en quelques mots la conception ( Ep 35 ) , il était l'heure de la pause de midi aussi on se retrouvait au restaurant juste à côté, son collègue Ethan s'était joint à nous. Pendant le repas on discutait longuement, je leur racontais plus en détail comment Antoine et moi avions mis au point le '' CTC '' il étaient impressionnés. Ils nous expliquaient en retour que plusieurs bureaux avaient ouvert un peu partout et que d'autres étaient en projet. 

Alexandre : Vous allez voir au Château c'est un peu la panique, nous étions tout un contingent il y a quelque mois et en ce moment c'est pareil … Il y a un monde fou en formation pour gérer des centres comme celui-ci …
Moi : Et les ventes ?
Alexandre : Elles explosent, régulièrement je fais des conférences ou des séances d'information et le carnet de commande est plein !
Luc : Tu vas être riche Jérémy !
Mois : Vous portez ce truc depuis longtemps ?
Ethan : Environ six mois !
Alexandre : Pareil !
Luc : Et aucun de vous ne craque ?

Les deux garçons échangeaient quelques regards complices … 

Moi : Je vois …

Ils semblaient, surpris de ma réponse, Ethan surtout qui semblait embarrassé et avait une légère petite tendance à devenir tout rouge … Un peu comme Bob mais … d'un rouge moins vif !

Luc me regardait.

Luc : Je paris qu'ils connaissent le grenier … 

Puis en les regardant …

Luc : Grenier, accès escalier nord, au fond du couloir qui part ver l'aile ouest, avant dernière porte à droite … Le gros tas de carton empilés contre le mur à gauche de l'entrée …

Je regardais Luc puis les deux garçons … Ils semblaient médusés en entendant Luc.

Alexandre : Tu connais le coin toi !
Luc : C'est mon frère, il faut qu'on monte au grenier à chaque fois qu'on va au Château !
Moi : C'est pas vrai, la dernière fois c'est toi qui voulait absolument y aller !
Luc : Et il fallait le voir … Opération ninja … 
Ethan : Raconte !

Je levais les yeux au ciel …

Luc leur racontait toute l'histoire ( Ep 34 ) et le repas se terminait par des éclats de rire et dans la bonne humeur. On retournait aux bureaux PK juste après le repas. On avait encore du temps avant que le bureau n'ouvre. Depuis un petit moment Alexandre et Ethan s'échangeaient des regard quand …

Ethan : On leur montre ?
Alexandre : Je ne sais pas ! ?
Luc : De quoi vous parlez les gars ?
Luc : Ils ont ramené des souvenir du grenier !

Les deux garçons cachaient leur gêne en rigolant.

Alexandre : Allez ! On leur montre !

Ethan disparaissait et revenait quelques instants plus tard avec une petite valise.

Alexandre : On a un logement de fonction juste au dessus !

Ethan ouvrait la valise et … En effet ! Ils avaient rapporté des souvenir du grenier. Une demie douzaine de godes de tailles raisonnables mais tout à fait satisfaisantes.

J'avais la tête en feu. Luc n'hésitait pas et attrapait un de ces trucs.

Luc : Vous voulez voir le modèle CTC ?
Alexandre : Fais voir !

Il n'est pas timide mon p'tit frère, il baissait son pantalon, les deux garçons examinaient l'objet.

Ethan : C'est le même modèle que le notre, le C PK C !
Luc : C'est le modèle qu'il a inventé avec un de ses amis l'été dernier.
Moi : Ils ont juste changé la référence, les lettres gravées sur le dispositif.

Alexandre commençait à caresser les fesses de mon frère, doucement, sans se presser. Il s'était rapproché de lui et leurs deux corps se frôlaient, d'une main il caressait les fesses de mon frère, d’où j'étais je devinais qu'un doigt se glissait entre ses deux fesses et semblait s'attarder en un point précis … 

Alexandre jetait un œil dans ma direction, sans doute pour se rassurer, sans doute pour s'assurer que je ne réprouvais pas. Puis rassuré il continuait, et rapprochait son visage vers mon frère pour finalement l'embrasser dans le cou.

Ethan ne bougeait pas, il avait un gode dans la main et regardait alternativement vers son camarade et vers moi. Je regardais à mon tour dans la petite valise et j'y trouvais un harnais … Cet espèce de petit truc qui sert à se fixer un gode à la ceinture … Amusé je le montrait à Ethan qui me répondait avec un grand sourire et en faisant oui de la tête, il me tendait le gode, semblait hésiter un instant puis ouvrais sa chemise, je le regardais faire puis j'en faisais de même. On se retrouvait rapidement torse nue, on ne se lâchait plus des yeux. Suivait les chaussure, les chaussettes, les pantalons et les slips … Enfin le sien … Je sais plus si je vous l'ai déjà dit mais … Bon … Je ne porte pas de sous vêtement … Eh, Eh !

Ethan était un peu surpris mais ça ne ne le perturbait pas. Il se mettait à genoux devant moi, il me caressait les couilles tout en examinant ( sans doute un réflexe professionnel ) la fameuse CTC. En me donnant des baisers sur le ventre, il me caressait les fesses et se relevait, toujours en me donnant des baisers sur tout le corps. Je lui caressais les cheveux, le cou, les épaules. Il se relevait encore et me caressait les tétons, m'embrassait partout sur le torse … 

Ma PK était sous pression, j'avalais ma salive et je lui rendais ses baisers dans le cou, sur les épaules, sur les yeux, sur la bouche … Je sentais sa PK contre moi, elle ne pendait pas mollement et tentait aussi de se relever, son souffle était fort, irrégulier et fort. D'une main il attrapait le harnais  et me le donnait dans la main. Je me le fixais, il y installait alors le gode qu'il avait choisi au début et qui était posé juste à côté de lui !

Je jetais un regard vers nos deux autres camarades. Mon frère était penché contre le mur et Alexandre lui enfonçait doucement mais fermement un gode dans le cul, il s'était déjà fixé un harnais autour de la ceinture et j'entendais Luc qui gémissait, ne cachait pas son plaisir. Luc invitait son compagnon à continuer, d'une main posée sur la cuisse de son camarade il le retenait ou l'invitait à continuer … Lentement je voyais le gode s’enfoncer dans le cul de mon frère …

Ethan me tenait dans ses bras, me caressait, m'embrassait, je luis rendais tous ses baisers, toutes ses caresses, ma cage était sur le point d'exploser mais … C'est vrai, elle est indestructible … Ethan se penchait en arrière, je le retenais pas les anches et l'embrassait dans le cou, sur le menton, sous l'oreille … Il se retournait m'offrant son cul, je le serrait dans mes bras, lui mordillait délicatement le haut de l'épaule, il me répondait par des soupirs et de tout petits gémissements, il penchait sa tête en arrière, la tournait vers moi et me donnait des baisers dans l'oreille, je retournait mon visage vers lui et tout en l'embrassant longuement sur la bouche je positionnait le gode juste sur son anus et commençait à pousser, au début ça résistait puis je le sentait se détendre son anus et lentement le gode s'enfonçait …

Ethan gémissait de plus sen plus fort, il hurlait au moment ou le gode arrivait bien à fond et que ses fesses s'écrasaient contre mon ventre. J'exerçais une forte pression, il hurlait de nouveau. Je recommençais encore plusieurs fois, il hurlait à chaque fois, il ne cherchait pas à se dégager, il ne me demandait pas d'arrêter !

Alexandre se retirait et revenait, à chaque fois bien à fond ! Luc regardait dans ma direction et les grimaces qu'il faisait montraient le plaisir, la jouissance qu'il devait éprouver … Alexandre accélérait le mouvement, un mouvement ample et rapide, par moment ample et violent. Luc criait de plaisir quand le ventre de son amant frappait ses fesses, il criait de plaisir même quand le choc semblait violent, et quelquefois il l'était !

Je me synchronisait sur les mouvements d'Alexandre, mes mouvements étaient violents, rapides, amples puis lents et doux. On se retirait complètement, et on revenait à la charge d'un coup rapide et d'une extrême violence. Nos partenaires hurlaient, aucun des deux ne demandait grâce. On recommençait. On faisait une pause, les godes bien enfoncés, bien à fond, on ne bougeait plus nos bassin et nous contentions à caresser chacun notre camarade en le tenant fermement dans nos bras, on échangeait de nombreux baisers, beaucoup de tendresse, beaucoup de douceur … Seuls leurs anus restaient sous tension, bien dilatés, et je sentais Ethan se crisper au moment ou je reprenais les mouvement de mon bassin.

Je me retirais entièrement, doucement mais totalement, je lui passais une main sur les fesses, un doigt puis deux et enfin trois dans le cul, il était bien dilaté. Je reprenais. Alexandre s'était à son tour synchronisé sur moi et suivait mes mouvements … Luc avait la tête penchée entre ses deux bras qu'il appuyait contre le mur, il semblait frissonner ou trembler, un instant j'ai cru qu'il pleurait ! Sa PK était sous pression et je devinais un filet blanc qui s'en écoulait et ne semblait pas vouloir s'arrêter. Je caressait le ventre puis la cage de mon partenaire, il était dans le même état, je le sentais frissonner entre mes bras, il tremblait, il gémissait.

Je revenais à la charge et enfonçais le gode sur toute sa longueur dans un mouvement rapide, pas violent mais rapide. Il hurlait, son souffle était irrégulier, fort et irrégulier, il râlait de plaisir, il était essoufflé. Je passais une main sur sa cage, il en coulait toujours ce liquide blanc clair puis je recevais sur mes doigts une giclée d'un liquide plus épais, Ethan avait le souffle coupé à ce moment précis, suivait un gémissement de plaisir puis une deuxième giclée. Je sentais alors tous les muscles de mon partenaire se détendre, il s'effondrait sur lui même ! Il avait le souffle court et semblait ne plus tenir debout …

Mon frère s'était déjà écroulé sur les genoux au moment ou Ethan se laissait tomber à son tour. Alexandre et moi nous regardions d'un air satisfait, il me faisait un grand sourire et avait l'air content du résultat. Ni lui ni moi n’avions joui, évidemment, mais ça faisait plaisir de voir nos deux partenaires sur le sol, ils se retournaient sur le dos, ils avaient une tête à faire peur, mais ils arboraient un grand sourire de plaisir satisfait. 

C'est toujours agréable de sentir un corps jouir dans ses bras, d'en être la cause. Depuis quelques mois c'était le corps de Léa que j'ai sentis frémir, c'est son souffle que j'avais dans l'oreille, ses cris, ses baisers. Depuis quelques mois, pour moi, c'est ceinture et ce jour là encore, pour moi, ce serait ceinture … Ma cage était sous pression, c'en était presque douloureux et sans l’extrême confort du nouveau dispositif il me semblait que je l'autre dispositif, l'ancien dispositif, n'aurait pas été supportable. 

Les PK de Luc et de Ethan pendaient mollement entre leurs cuisses la mienne et celle d'Alexandre se relevaient, elles étaient toujours sous pression !

Si j'avais le souffle court, ce n'était pas d'avoir joui, seulement pour en avoir envie, en avoir toujours envie … Et un petit peu aussi pour l'effort physique !

On reprenait tous les quatre nos esprits, nos deux camarades nous invitaient à prendre une douche chez eux, on ne traînait pas il était presque l'heure d'ouvrir le bureau. Quand on redescendait un peu plus tard Ethan et Luc avaient repris forme humaine, et la sale tête qu'ils avaient quelques instants plus tôt affichait désormais un grand sourire un peu béa, un air satisfait.

Je me sentais tendu, la pression dans ma PK ne descendait pas, et même au travers de mon pantalon on devinait une bosse, c'était obligé, ma queue protestait et protestait fermement même, le dispositif se relevait au maximum de ce qu'il pouvait ! Pourtant avec ma PK on ne voyait rien que cette bosse qui était finalement tout à fait normale  !

J'avais pris l'habitude de me contrôler depuis ces derniers mois ! J'avais même appris à en jouir, peut être pas de la manière que mon frère venait de jouir, mais j'en tirais un vrai plaisir, une frustration, une force, et même une satisfaction … Difficile à décrire, je devenais plus tactile, les caresses me faisaient frémir d'avantage, les baisers me transportaient, et sentir un corps qui jouissait contre le mien me transportait ! J'arrivais à prendre mon pied quand même ! Et ce ! Même si quelquefois … 

Mais pourquoi c'est pas lui qui m'a défoncé le cul ? Non de … !



Ep 59 : NOS VIEUX COPAINS 01



Le bureau ouvrait. Rapidement nos deux hôtes étaient sollicités … Un appel téléphonique … Un futur client accompagné de sa femme … Nous les quittions après les avoir salués.

Pendant le reste du trajet Luc ne disait plus rien, il était calmé. Moi j'avais l'air calme, je l'étais bien sûr mais il y avait toujours en moi une pression, une tension qui ne s’apaisait pas, la pression restait totale dans ma cage de chasteté, et elle se relevait toujours au maximum. Je gardais toujours cette bosse fière, et pas tout à fait discrète … En tout cas c'est l'impression que j'avais car malgré les sensations qu'on ressent, c'est totalement discret !

En fin d'après midi nous arrivions chez nos parents … C'était la joie des retrouvailles, notre mère en larmes, notre père plus contenu mais il n'en aurait pas fallu beaucoup pour qu'il fasse pareil, les voisins souriants …  Nos amis, nous ne les avions pas vus depuis un long moment mais plusieurs étaient là aussi. On échangeait les nouvelles puis tout le monde admirait cette nouvelle et magnifique voiture … Elle avait coûté le pris de la maison de nos parents, je pouvais déjà me la payer pourtant je n'avais vraiment commencé à travailler …  

Nous avions prévu de rester une semaine, elle passait vite cette semaine … Juste le temps de faire le tour de tous nos amis … A chaque fois nous étions accueillis avec beaucoup de chaleur par des visages souriants et sincères.

… Tu as bien réussi toi …
… Mais ça fait combien de temps que tu es parti …
… Tu ne travailles pas encore …
… Toujours à l'école ? …
… Et tu as déjà réussi à te payé une voiture comme ça ? …
… On a encore parlé de toi à la télé le mois dernier …

… 

Quand on dit que nul n'est prophète en son pays … Je ne sais pas mais moi j'étais reçu comme l'enfant prodige … Comme une star ! Le midi on dînait en famille mais le soir on soupait dans un restaurant, j'y invitais nos parents ainsi que des amis, on se faisait une sortie en boite de nuit au début du week-end suivant. Les filles tournaient autour de nous, je dis nous car mon frère et moi ne nous quittions pas, les filles donc tournaient autour de nous … C'était parce que j'étais célèbre ? Parce qu'on avait parlé de nous à la télé ? Le reportage réalisé quelques temps plus tôt, quand j'avais fait quelques conférences, avait été rediffusé peu avant ( Ep 46 à 50 ) ! Ou alors les fille nous tournaient autour parce que nous étions deux très beaux garçons ( bein oui il n'y a pas que mon frère qui est mignon … Moi aussi je suis à croquer … Je n'arrête pas de vous le dire!), parce que nous n'étions pas dangereux, on était sous contrôle au point que même les pères de famille n'étaient pas inquiets de nous laisser avec leur filles … ( A ceux là il ne fallait surtout pas leur révéler comment on s’éclatait entre nous ) … Et puis aussi, à voir notre voiture on pouvait facilement deviner qu'on était pleins aux as !

Ma copine de l'été dernier n'était pas là, elle était en fac elle aussi et s'était trouvé un nouveau petit copain, on me disait qu'il était lui aussi un porteur de dispositif de chasteté … Mais c'étaient des '' On dit ''.

Un soir je me retrouvais avec mon frère chez un de ses copains. Florian, tout comme mon frère terminait son second sicle, il avait décidé de postulé à l'université PK comme interne, précisément là ou je faisais mes études et là ou Luc se retrouverait l'année prochaine … 

Luc : On sera peut être ensemble alors !
Florian : On pourrait même se retrouver dans la même chambre, il n'y a que des internes on m'a dit !
Luc : Euh ! Oui ! Peut-être … Mais … Il y a quelques exceptions, Jérémy est externe et je serais externe moi aussi !

En fait Luc s'avançait un peu, il ne savait pas s'il serait externe ou pas, personne n'avait abordé le sujet … C'est vrai que Luc avait toujours la possibilité d'en parler à Mr Le Conte … On sais que celui-là, il ne peut rien refuser à mon frère !

Florian : Il y a des privilégiés alors !
Luc : Mais on se verra souvent, tous les jours.  On organise régulièrement des soupers à la maison, Charles cuisine comme un dieu, je te dis pas et en plus il me chouchoute !
Florian : Charles ? C'est qui ça Charles ?
Luc : Notre majordome !
Florian : Ah ! Parce que en plus tu as un majordome ?

Je les écoutais et rigolais en douce. Florian ne comprenait pas trop ce que lui racontait mon frère, si c'était des plaisanteries ou pas. En me voyant rire il se posait des questions. Et Luc me regardait …

Luc : Mais arrête de rigoler bêtement Jérémy et dis lui que c'est vrai tout ça !
Moi : Mais bien sûr que c'est vrai tout ça ! ( Sur un ton ni convaincu ni convainquant ! )

Florian éclatait de rire …

Florian : C'est des conneries, je te crois pas Luc ! C'est pas vrai tu n'as pas de majordome, ton frère est célèbre et je veux bien croire que tu seras externe mais pas plus !
Luc : Mais tu me crois si je te dis qu'il faut porter un dispositif de chasteté pour entrer dans cette université !
Florian : Ça je sais, je me suis renseigné, mes parents m'ont conseillé d'essayer avant … Au cas ou !
Luc : Et tu commence cet essais quand ?
Florian : Depuis trois semaines !
Luc : Tu portes un de ces trucs alors ! 
Moi : Tu as choisi quel modèle !
Luc : Attention Jérémy est un spécialiste, c'est lui qui à dessiné les derniers modèles !
Florian : C'est encore des conneries ça !

Je pouffais de rire ! 

Florian : J'ai un modèle anatomique en plastique ! 
Luc : En plastique ?
Moi : En fait c'est du polycarbonate, c'est très solide, ils ont la même forme que les modèles que  nous portons !
Florian : Vous avez les modèles en …
Luc : Titane !
Florian : Fais voir !

Luc se levait et baissait son pantalon !

Moi : Bravo Luc, alors tu ne portes pas de sous vêtements ! 
Luc : Tu peux parler toi, parce que tu en portes des sous vêtements maintenant toi peut être ?

Florian regardait ça d'un air pensif, il baissait lui aussi son pantalon puis d'un geste retirait son T-shirt. Les modèles sont identiques pour ce qui est de la forme, mais l'aspect est forcément totalement différent, Florian avait un modèle transparent jaune-orange, c'était pas trop voyant et de loin sur une plage par exemple, à poil avec le bronzage ça peut passer inaperçu, contrairement aux nôtres qui sont brillants et se voient de loin. Ma bite se manifestait encore, et encore, et toujours … C'était une habitude désormais, depuis plusieurs mois, privé de toute satisfaction, il ne me fallait pas grand chose pour que ma cage se redresse, pour que ma bite tente de bander. Et il était bien foutu le petit Florian … C'était sans espoir si ma prostate elle aussi frétillait de désir, nous n'avions pas de gode et aucune bite disponible …

Ça n'arrêtait pas les deux garçons, Luc retirait lui aussi sont T-shirt et repoussait du pied son pantalon, il passait une main sur le torse de Florian, doucement lui caressait les tétons puis descendait sa main jusque dans le bas de son ventre. La cage de Florian se redressait également, il y avait de la pression là aussi … On pouvait voir par transparence que le dispositif était bien plein … Je n'avais pas l'habitude de cette image, mais je trouvais cela très beau … Luc aussi était maintenant très excité et son dispositif se relevait également par secousses.

Florian n'attendait pas d'avantage pour caresser les couilles de mon frère qui ne protestait pas, bien au contraire il se rapprochait de son camarade, se collait à lui et l'embrassait dans le cou, là, juste entre le lobe de l'oreille et son épaule. Florian lui caressait alors les cheveux et … Mais c'est qu'ils m'avaient oublié ces deux là ?

Florian : Non ! Arrête Luc ! 

Non ils ne m 'avaient pas oublié !

Luc : Ça ne te tente pas ?
Florian : C'est pas ça mais c'est sans … On ne pourra pas conclure … Tu le sais bien ! Et après ce sera pire !
Luc : Tu veux que je te montre comment on peut conclure ?

Finalement si ! Ils m'avaient oublié !

Florian regardait Luc d'un air de ne pas comprendre, ou peut être qu'il n'osait pas comprendre … Luc ajustait un coussin sur le canapé et faisait signe à Florian de s'allonger. Doucement avec beaucoup de douceur, beaucoup de tendresse mon frère caressait et embrassait le corps de son camarade, glissant une main sur son torse, son ventre, ses couilles puis un peu plus loin, entre les jambes, un doigt entre les fesses, Florian sursautait mais laissait faire.

Je voyais le dispositif de chasteté de Florian qui était relevé et était animé de secousses régulières, comme si chaque battement de son cœur augmentait un peu la pression, j'étais dans le même état et je glissais une main dans mon pantalon pour réajuster tout ça, ça devenait inconfortable.

Les yeux de Florian s'ouvraient brusquement, tout rond ! Luc lui enfonçait un doigt dans le cul et ça devait être la première fois … Un long gémissement qui ne montrait aucune douleur, bien au contraire, lui échappait. Luc y allait tout doucement, je l'ai vu plus violent celui-là ! Mais là, c'était une initiation, une découverte et un plaisir qu'il offrait à son ami.

Le doigt était complètement entré et je devinais au mouvement de sa main que mon frère lui faisait un massage de la prostate dans les règles. On commence en douceur, puis un peu plus fort, un peu plus vite. Florian gémissait plus fort aussi. Il faisait une pause … Florian ne cachait pas un sourire en relevant la tête … Puis reprenait sans prévenir, tout de suite un peu plus fort mais pas trop … Florian poussait un cri de plaisir et laissait retomber sa tête ! Puis il recommençait  … 

A chaque fois qu'il reprenait c'est un peu plus fort que juste avant, à chaque fois un peu plus longtemps, il terminait par de rapides et fermes mouvement de son doigt contre la prostate de son camarade, il surveillait bien les réactions de Florian, elles étaient bonnes, en effet il gémissait et râlait de plaisir, il se tortillait tant le plaisir montait puis … Dans de nouveaux râles, avec un souffle fort et irrégulier, une puissante giclée d'un liquide blanc épais éjectée de l’extrémité de sa PK. Florian jouissait bruyamment juste avant de dire à Luc d'une voix qui manque de souffle …

Florian : Arrête ! Arrête tout ! Ne touche plus à rien ! 

Moi j'avais envie de dire '' Oh oui moi aussi j'en veux '' … Ma queue pressait de toutes ses forces contre ma cage et ma prostate protestait, réclamait.

A ce moment j'avais tellement envie de me faire défoncer le cul !

Après ça Florian paraissait plus détendu mais c'était bien le seul, Luc portait toujours bien relevé son dispositif de chasteté, la tension ne retombait pas et le dispositif se relevait par secousses avant de retomber juste un petit peu, puis recommençait. Le dispositif ne retombait pas complètement comme il le fait quand on est au repos et qu'il pendouille mollement entre nos cuisses. Je dis nous car j'étais dans le même état !

Florian : Je ne savais pas qu'on pouvait jouir comme ça !

Il était bien foutu le petit Florian et je lui aurais volontiers retiré son truc pour pouvoir goûter à sa bite, me l'enfoncer dans le cul, ça devait être bon, il porte un modèle de belle taille. Sans bouger je contemplait son torse lisse, sans rien dire je regardais la main de mon frère qui le caressait … Ils m'avaient de nouveau oublié … 



EP 60 : NOS VIEUX COPAINS 02



Un autre soir Luc et moi nous retrouvions avec deux amis, Grégoire que je connaissait depuis la maternelle et Michaël que mon frère connaissait lui depuis la maternelle … On se connaissait donc  depuis très longtemps tous les quatre ! Nous n'avions pas abordé le sujet du dispositif de chasteté ensemble, et de toutes évidences nos deux amis n'étaient pas porteur.

Moi : Alors toi Greg tes études ça se passe bien ?
Greg : Littérature dans une bonne université, ouai, ça se passe bien, j’adore ça et … J'ai une nouvelle copine !
Moi : C'est cool ça !
Greg : Mouai ! Pas tant que ça ! 
Moi : Des problèmes ? Vas y raconte ! 
Greg : C'est son père ! Il m'a vu venir de loin ! Dès le début il m'a pris à part, m'a fait la morale et m'a clairement présenté les choses …
Luc : Son père … Ohhh je redoute le pire !
Greg : Il m'a clairement dit : '' Si tu veux sortir avec ma fille, je te conseille d'être sérieux ! '' … Alors moi je lui ai répondu : '' Mais je suis sérieux M'sieu, je vous jure '' … Lui il a dit alors : '' Ouai je les connais les garçons comme toi, tu me le fais pas à moi ! J'étais pareil à ton âge et à dix huit ans j'étais déjà père de famille !'' … Moi je lui ai dit : '' Mais j'ai déjà vingt et un ans et je suis pas comme, ça moi '' 

On rigolait tous à cette histoire … Il continuait.

Greg : Sur ce il a rajouté : '' Ne me prend pas pour un blaireau ! Je les connais je te dis les garçons comme toi … A ton âge on est tous pareil … C'est les hormones qui commandent ! J'ai pas quarante ans et je me sens trop jeune pour devenir grand père !'' . J'essayais bien de lui expliquer que je savais rester sérieux que … Il me coupait la parole et me disait directe : '' Si tu es sérieux comme tu le dis … Tu vas porter une de ces nouveaux dispositif, je te l'offre, tu vas aujourd'hui dans un centre PK, il y en a un qui vient d'ouvrir pas loin, je vérifie que tout est en ordre et je garde les clés ! ''
Luc et Moi : Alors ?
Greg : Je porte ce truc depuis maintenant plus d'un mois …

Il se levait et baissait son pantalon pour nous montrer … C'était un modèle en titane … 

Luc : Et ta copine elle en pense quoi !
Greg : Elle ! Elle est très sage, trop sage … Elle est ravie que j'ai accepté, elle considère que c'est une marque d'amour et me montre beaucoup de tendresse maintenant … Mais !
Moi : Mais ?
Greg : C'est pas facile tous les jours !
Michaël : ( qui n'avait rien dit jusque là ) Moi aussi j'en porte un !

Il se levait lui aussi et baissait son pantalon pour faire comme Grégoire. Il avait choisi un modèle marron transparent en plastique. Quand j'étais venu l'été dernier, de tous les amis que j'avais ici il n'y en avait aucun qui portait ce genre de truc … On parlait déjà de ce dispositif mais j'étais le seul porteur. Aujourd'hui, en seulement quelques mois la situation avait bien changée. Plus d'un de mes amis me surprenaient. Pour Grégoire et Michaël par exemple, il y en a un des deux que je connaissais depuis ma maternelle et l'autre depuis que mon frère avait fait sa maternelle, c'est dire si je les connaissais depuis longtemps … Je n'aurais jamais imaginé qu'ils étaient porteurs …

Brusquement je me levais, je baissais mon pantalon, le repoussais du pied   me retrouvais entièrement nu et me laissais retombé sur le fauteuil !

Luc : Alors bravo Jérémy ! Tu ne portes toujours pas de sous vêtements !
Moi : La ferme ! 

La pression devenait folle mon dispositif se relevait, quand on ne bande pas il pendouille entre nos cuisses, mais là encore une fois il ne pendouillait pas mais pas du tout, j'étais sous tension, j'étais à cran, j'avais envie de baiser, de défoncer un cul, une fille à la rigueur, et j'avais une envie folle de me faire défoncer le cul par une grosse bite, un mec par exemple …

Luc se levait et retirait lui aussi ses vêtements.

Moi : Tiens tu as oublié de mettre un sous vêtement ?
Luc : Commence pas toi. Je suis le p'tit frère et je fais comme mon mon grand frère !

Nos deux camarades nous regardaient ils avaient l'air surpris mais il ne tardaient pas à faire comme nous. Tous les vêtements se retrouvaient en tas dans un coin de la pièce … 

On s'était rassis et on sirotait une bière …

Michaël : Oué !
Moi : Oué …  quoi ?
Michaël : Oué … je sais pas je dis ça comme ça !
Greg : Vous faites comment vous ? Pour tenir ?
Michaël : Oué parce que c'est pas toujours facile … Moi, ça fait un mois !
Moi : C'était ça le '' Oué !''
Michaël : Oué !
Luc : On a un truc pour tenir le coup nous !
Greg : Raconte !
Luc : On passe par derrière !

Ils nous regardaient sans trop réagir, sans comprendre.

Luc : Un petit massage de la prostate, c'est absolument divin !

Suivait un moment de silence … 

Greg : Et comment tu fais ça ?
Luc : Avec un peu de tendresse et un gros câlin, c'est le pied !
Greg : Gros câlin ! Pourquoi pas ! Je suis partant !

Sans hésiter d'avantage mon frère se levait, prenait la main de Grégoire puis le tirait vers lui. Grégoire se levait, un peu hésitant, Luc s'approchait, les deux corps se frôlaient, se touchaient, Luc penchait la tête sur la poitrine de Grégoire qui le laissait faire et lui donnait un baiser.

Je voyais les réactions immédiates qui s'en suivaient. Leurs dispositifs de chasteté se relevaient fièrement devant eux, le mien en faisait déjà de même depuis un bon moment. Je jetais un regard vers Michaël, il était dans le même état, et ne pouvait plus détacher son regard de nos deux camarades qui maintenant se tenaient enlacés, chacun caressait tendrement le dos de l'autre. J'entendais Michaël avaler sa salive avec un ''gloup'' bizarre, je tournais ma tête vers lui, il me regardait …

Ses yeux semblaient me dire … '' Fais quelque chose, j'en peux plus ''. J'attrapais son bras et le tirais vers moi, il ne résistait pas, je m'allongeait sur le dos, il s'allongeait sur moi, posait ses lèvres sur les miennes et je n'avais pas besoin d'insister pour partager avec lui un long moment de tendresse également.

La douceur de ses caresses, la chaleur de sa peau me transportait rapidement, ma bite tapait de plus en plus fort contre les parois de ma cage de chasteté, à ce moment précis je n'avais qu'une seule envie … Lui défoncer le cul avec ma queue, le limer sans ménagement, le faire gueuler de plaisir ou de douleur, m'en foutais, et enfin après l'avoir retourné dans tous les sens, jouir … Laisser exploser mon plaisir dans son cul avant de recommencer encore, encore et encore … Recommencer ça toute la nuit … Ne m'arrêter que quand j'en pourrais plus, sans m'inquiéter de ce qu'il en penserait … J’avais une énorme pression contre mon torse, une énorme pression qui poussait ver l'extérieure et me donnait l'impression que je pouvais exploser !

Michaël ne se retenait plus, il se lâchait, il se frottait contre moi, m'embrassait dans le coup, sur les épaules, sur le torse. Je luis mordillais doucement les tétons, il gémissait. Je le repoussais d'un geste rapide, il se laissait tomber sur le lit et je me laissais tomber sur lui. Des deux mains je lui maintenait fermement les poignée au dessus de sa tête et lui caressait la poitrine avec mon nez en lui donnant de temps en temps un baiser. Il se tortillait, gémissait mais ne résistait pas. Il se donnait à moi, à mes caresses. Je relevais la tête et encore une fois je sentais ma bite qui poussait de toutes ses forces pour sortir … Sans espoir, je le savais mais elle ne voulait pas le savoir elle ! Toujours pas !


Luc et Grégoire en était à peu près au même niveau, Luc avait passé une main sous les fesses de son camarade, et lui caressait déjà l'anus avec un doigt. Grégoire semblait un peu inquiet mais le laissait faire.

Tout en glissant une main sous les fesses de Michaël, je descendait mon visage vers son nombril, toujours en lui donnant des baisers et lui caressait doucement l'ouverture de son cul avec un doigt. Il faut y aller doucement toujours doucement, surtout au début, surtout la première fois. Une autre chose est très importante … Ne jamais essayé d'y glisser un doigt à sec, toujours lubrifier … Ça peut faire la différence entre le plaisir et la douleur gratuite et inutile ! Je lubrifiais avec un peu de salive ! 

Michaël se crispait et relevait son dos ! J'y allais doucement et l'embrassais avec beaucoup de tendresse pour le rassurer. Il me laissait faire . Lentement mon doigt entrait, le majeur, il est plus long. Le plaisir dans cette situation ne viendra pas ou peu du massage du muscle qui referme l'anus mais d'un long massage de la prostate. Quand on a l'habitude on profite des deux mais là … Chaque chose en son temps …

J'entendais Grégoire qui commençait à pousser quelques gémissements, Michaël suivait lui aussi à son tour. C'était le même mouvement qu'on fait quand on nage, on bats les jambes de haut en bas, mais là c'était avec un seul doigt et c'était contre la prostate. Il faut là aussi y aller doucement au départ, tout doucement puis plus fort, plus vite, puis plus lentement, tout doucement … Michaël cambrait son dos mais ce n'était pas par la douleur, il gémissait mais ce n'était pas pour se plaindre … Bien au contraire … je l'entendais murmurer …

Michaël : Ooooh oui … C'est bon … Vas y … C'est génial …

Il tremblait rapidement de plaisir, son souffle devenait déjà irrégulier. Je faisais une pause mais ne retirais pas mon doigt.

Michaël ne se relevait pas, il se laissait aller, il respirait doucement, il avait un grand sourire sur son visage. Grégoire devait être à peu près dans le même état, lui aussi restait allongé et pour lui aussi Luc gardait toujours un doigt dans son cul …

Grégoire : ( en relevant la tête ) C'était super ton truc !

Luc et moi nous regardions, je comptais … Trois … Quatre et ensemble nous recommencions à masser la prostate de nos camarades qui aussitôt poussaient un gémissement de plaisir … Grégoire laissait retomber sa tête, et je sentais Michaël détendre tous ses muscles, puis respirer fort, très fort …

Un moment plus tard, on faisait de nouveau une pause … Nos deux camarades gémissaient ensemble de plaisir, ils se répondaient l'un à l'autre …

… C'était bon …
… Oh oui, c'était bon …
… Super bon …
… Super,super bon …

On les laissait souffler un moment, puis encore une fois j’échangeais un regard avec mon frère et on reprenait ensemble le mouvement. Là ce n'était plus un simple petit gémissement de rien, mais un cri de plaisir que poussaient nos deux camarades. Un cri suivi aussitôt par des encouragement …

… Encore …
… Oui c'est bon … 

Leurs respirations devenaient irrégulières et fortes et rapidement anarchiques et violentes, les deux corps se crispaient, se contractaient. Quand Michaël relevait frénétiquement son bassin, il gueulait et je voyais une grosse giclée de sperme s'éjecter par l'ouverture de sa cage de chasteté, suivait une autre, les mouvements de son corps devenaient des convulsions, une troisième giclée, puis une quatrième et dernière … Le flot continuait encore mais rapidement le liquide blanc se tarissait … Je n'avait pas encore arrêter le massage et Michaël poussait un long gémissement qui ressemblait à une plainte, il se tordait dans tous les sens …

Moi : Tu veux que j'arrête ?
Michaël : Aaah … Aaaa rr êê … Aaaah !

Je n'arrêtais toujours pas, Grégoire jouissait également et poussait lui aussi des cris et gémissements du même genre …

Moi : Tu veux que j'arrête ?
Michaël : Aaa rr ! Oui ! J'en p … J'en peu … Plus … Arrête !

J'arrêtais et retirais mon doigt … Michaël était essoufflé, il retombait de tout son poids, il tremblait, je lui touchais doucement la cuisse et il réagissait pas une véritable convulsion … Grégoire était dans le même état, ils avait tous les deux une grosse tache de sperme sur le ventre …

Michaël : Oui arrête, j'en peux plus … C'est trop ton truc … Arrête !
Grégoire : Ouai t'as raison mais je sais pas si tu sais mais il a déjà arrêté !

Les deux garçons éclataient de rire. Luc et moi étions toujours tendus, nous on n'avait eu droit à rien du tout … Encore une fois … Les dispositifs de nos copains qui étaient sous pression et bien relevés retombaient et recommençaient à pendouiller mollement alors que pour Luc et pour moi … C'était pas ça … Mais pas du tout ça … Je me souviens que cette nuit là j'ai eu du mal à m'endormir … 

Je finissait enfin par trouver le sommeil et là je rêvais qu'on m'enculait mais que je ne ressentais rien, je rêvais d'un mec avec une bite géante qui voulait me prendre mais ça ne rentrait pas, ça résistait, je ne ressentais rien et je m'en inquiétais mais ça résistait et rapidement il laissait tomber en me disant que finalement je n'avais peut être plus de cul … Je me sentais désespéré et je me réveillais … J'avais éjaculé, sans aucun plaisir mais j'avais éjaculé … Je m'était vidé les couilles, je n'en avais pas profité, et je ne me sentais pas plus détendu pour autant. Ma PK gardait encore cette position redressée !

Le lendemain Luc me racontait que lui aussi avait éjaculé, sans s'en rendre compte, sans plaisir … Mais lui il était content de lui ! Et pendant qu'il me racontait ça je l'imaginais nus avec un gode ceinture en train de se masturber le gode … J'aurais aimé avoir un gode ceinture pour pouvoir me soulager, j'avais la cervelle en feu, le cul en feu, la bite en feu, le corps … Bref ! Je brûlais de l'intérieur !

C'est finalement frustrés comme jamais que nous quittions notre famille et nos amis. Enfin je rectifie, j'ai écrit 'frustrés' je devrais plutôt écrire 'frustré' car j'étais seul dans ce cas ! Luc le p'tit malin avait retrouvé une de ses anciennes conquêtes, il me racontait, un gars avec qui il était sorti plus d'un an plus tôt et qui ne portait pas de dispositif de chasteté. Le gars lui avait bien ramoné le cul et ça l'avait bien soulagé lui … Encore une fois il était content de lui le p'tit malin ! 

Il est futé mon p'tit frère !

On faisait route, Luc téléphonait au Château pour s'assurer qu'on serait reçus. On nous confirmait qu'il n'y avait pas de problème, c'était un peu la panique, il y avait une nouveau contingent de stagiaire en formation pour assurer la gestion des nouveaux bureaux de la PK ( épisode précédent ) … Mais on nous confirmait qu'on serait reçus. Nos amis Antoine et Mathias venaient d'arriver, on nous réservait à tous les quatre une grande chambre.

Moi : Une chambre pour quatre ?
Luc : Bein oui, c'est ce que Bruno m'a dit !
Moi : Ça doit vraiment être la panique alors !
Luc : Ça devrait être intéressant de voir comment se passe la formation des nouveaux vendeurs.


Moi : Et c'était un bon coup ? … Ce Bruno !
Luc : Djé ! ( sans cacher son agacement )

D'habitude mon petit frère m'appelle toujours par mon prénom entier … Jérémy … Mais si je le taquine un peu trop il m'appelle Djé. Mais uniquement quand je l'agace. C'est bien le seul d'ailleurs à ne pas m'appeler Djé. Tout le monde m'appelle comme ça maintenant, il y en a même qui ne savent pas que mon prénom c’est Jérémy !

L'arrivée au château se faisait comme d'habitude, la porte s'ouvrait devant la voiture sans que personne ne contrôle rien, on était à la fois connus et                                                                                                                 attendus ! Luc ne s'en étonnait plus, il savait ou on était et se sentait comme chez lui ! Je garais la voiture juste devant l'entrée principale et donnais la clé à un employé qui venait nous accueillir, un autre ouvrait déjà le coffre pour en retirer tous nos bagages, enfin, les deux sac à dos … On aime bien voyager légers !

Antoine était là bien sûr et arrivait vers nous les bras grand ouverts pour nous accueillir, juste derrière lui suivait Mathias qui avec un grand sourire ne  cachait pas le plaisir de nous revoir !

Antoine : Tu verrais comment on est reçus !
Mathias : N’exagère pas ! La chambre est confortable !
Antoine : Oui mais on va être quatre dans la chambre !
Mathias : Et alors on nous en a réservé une avec bain moussant !
Moi : Il y a tellement de monde ?
Mathias : Oui, c'est un peu la panique, je n'ai jamais vu ça !

En montant dans notre chambre, on racontait à nos camarades le passage dans ce bureau de la PK ( Ep 58), sans oublier les détails … On était entre intimes ! C'est vrai qu'on était quatre dans le chambre, mais il ne fallait pas exagérer, elle était de belle taille, on avait une grande salle de bain et un petit coin salon … Deux costumes avaient été délicatement posés sur nos lits ( pour Luc et pour moi, ici on s'habille toujours pour le souper ), des souliers au pied du lit … Le tout à notre taille bien sûr. 

Le château ne déméritais pas sa réputation et je savais qu'on y serait très bien pendant la semaine à venir !



Ep 61 : ON SE RETROUVE AU CHATEAU



Comme d'habitude nos bagages étaient montés et déposés sur nos lits, les lits étaient faits, on n'avait plus qu'à s'installer ... Sur ce point rien n'avait changé … Mon frère et moi étions dans même chambre qu'Antoine et Mathias.

Pour le reste on se serait cru dans une ruche au rez de chaussée du château, il y avait un monde fou ! Je retrouvait avec plaisir Jean François ( le responsable de la sécurité ), on se faisait l'accolade et on échangeait les nouvelles.

JF : Tu as vu ça ?
Moi : Mais c'est de la folie ! On nous avait un peu prévenu, Luc et moi nous somme arrêtés dans un bureau de la PK, c'est nouveau ça ?
JF : Oui, c'est nouveau ! Les ventes explosent. Toi et ton copain Antoine allez gagner beaucoup d'argent ... 
Moi : Dis m'en plus ...
JF : Pas question, je ne lui ai rien dit à lui alors tu n'en sauras pas d'avantage, Justine ne va pas tarder à vous contacter, et vous serez très contents c'est tout ce que je peux te dire, j'ai vu les résultats chiffrés ... 

La table de Mr Le Conte était toujours aussi savoureuse, mais la salle du restaurant était pleine. Mais quand je dis pleine, c'est simple de nouvelles tables avaient été rajoutée, il y avait la place mais je n'avais jamais vu cette salle aussi remplie. Nous étions installé à la table du big boss ... 

Luc se tournait vers moi ...

Luc : C'est de la folie, il y a un monde fou. Mais il faut tout de même que je parle au big boss ! 

A la fin du repas Luc demandait à Mr Le Conte s'il pouvait le voir rapidement pour régler un tout petit détail avant notre départ et c'est sans attendre que Mr Le Conte prenait mon frère à part dans la bibliothèque pour discuter  de ce … Petit problème …

Luc en ressortait moins d'un quart d'heure plus tard avec un grand sourire. En remontant dan notre chambre je regardais mon frère avec étonnement et interrogation !

Luc : Quoi ?
Moi : Tu lui voulais quoi au big boss ?
Luc : Rien de bien grave, et de toutes façons c'est réglé !
Moi : Mais qu'est ce qui est réglé ?
Luc : Bob !
Moi : Quoi Bob ?
Luc : Et bien si Bob porte le dispositif il logera avec nous !
Moi : Mais il n'y a que trois chambres et …
Luc : Et alors ? Il y a un grand lit dans ma chambre … Il sera externe, ce ne sera pas le premier !
Moi : Et Mr Le Conte est d'accord avec ça ?
Luc : Que ce ne soit pas le premier élève externe dans son école ? Bein oui !
Moi : Non ! Mais qu'il n'y ait qu'un seul lit dans ta chambre ?
Luc : Ça ! Oui pareil ! Pas de problème ! 

Je ne cachais pas ma surprise.

Luc : Allons Jérémy tu t'imagines sans doute qu'il ne sait rien de notre vie privée et de nos relations avec … Les mecs, le cul, les go... Pardon,  les jouets ?
Moi : Bien sûr, vu sous cet angle !
Luc : Au fait ! Ce soir opération commando … On monte au grenier … Ninja !

En entendant ça Mathias pouffait de rire.

Antoine : Ça te fais toujours rigoler cette  histoire toi ? ( Ep 34 )
Mathias : Franchement vous étiez trop drôles !
Moi : Et bien moi Luc m'a déjà refait le coup du ninja et je ne marche pas ! De plus nous ne sommes là que pour une semaine aussi je vais rester sage, je ne suis plus à une semaine près et à notre retour il y a la compétition Inter-Ecole. 
Antoine : On est les meilleurs, il n'y a pas de quoi s'inquiéter ! Tu as vu nos performances. Depuis un an la moitié des records de l'école ont été battus par les membres de notre équipe  … On est  des champions et toi Djé tu es notre Champion, dans toutes les disciplines que tu pratiques c'est toi qui détiens les records depuis la création de l'école il y plus d'un siècle …  

De retour dans notre chambre, Luc en rigolant enfilait une tenue moulante de couleur sombre, Mathias en rigolant également faisait de même … Antoine levait les yeux au ciel et en soupirant …

Antoine : Bon ça va ! On y retourne !

Ils s'étaient tous assis sur leur lit et me regardaient sans rien dire … 

Moi : Bon d'accord, mais c'est bien pour vous faire plaisir !

Ils poussaient tous un cri d’acclamation et on se retrouvait tous les quatre dans cette tenue moulante … Prêts pour la soirée spécial Ninja ! On continuait la soirée en discutant de tout et de rien, La compétition peu après notre retour, l'installation de Bob avec nous …

Luc : Dis moi Antoine ça ne te dérange pas si Bob s'installe avec nous à la rentrée prochaine ?
Antoine : Moi, non il est adorable … Mais dis moi Luc, ça a l'air de bien coller avec Bob ?
Luc : Ouai ! Je crois que je suis amoureux !

L'obscurité était tombé sur le château, les lumières étaient éteintes et le silence qui s'était installé nous indiquait que tout le monde devait dormir … Antoine sortait en premier … Rouler-bouler à la sortie de la chambre puis il prenait position à l'angle du couloir, Luc et Mathias qui avaient du mal à contenir un sérieux fou rire, Mathias surtout, il suivaient en se glissant le plus discrètement possible, dans l'obscurité on arrivait à peine à se voir l'un l'autre … Je suivais, pas convaincu, sans faire de manières particulières !

Jusqu'à l'escalier, je devinais leurs mouvements, on se distinguait à peine les une les autres. L'escalier était à peine plus éclairé par la lune, c'était pas la pleine lune mais elle nous donnait tout de même un peu de lumière … Nous entendions un bruit, quelques murmures !

Par réflexe on jouait les Ninja, éh, éh … Finalement le costume c'était une bonne idée, je me prenais au jeux … Les murmures devenaient plus précis, ils semblaient se rapprocher … On apercevait trois silhouettes qui s'approchaient de l'escalier … Ils s'arrêtaient, semblaient hésiter, on entendait …

… Escalier Nord …
… On y est à l'escalier Nord …
… Au fond du couloir qui part vers l'Ouest …
… C'est ou l'Ouest ? …
… Il faut d'abord monter au grenier …

On s’aplatissait contre le mur dans l'ombre … Je dis dans l'ombre mais il faut reconnaître qu'il y avait surtout de l'ombre … Enfin bref, un endroit encore un peu plus sombre et avec les tenues de couleur foncée nous étions invisibles, les trois garçons passaient à moins d'un mètre de nous sans nous voir. Je commençais à bien m'amuser moi et je ne regrettais plus du tout d'être venu !

Les trois garçons montaient lentement les escaliers, ils ne voulaient pas allumer la lumière pour ne pas se faire remarquer. A un moment le visage d'un d'entre eux, passait dans un filet de lumière lunaire, je le voyais bien, il devait être de mon âge, plutôt mignon … Il avait entendu un bruit derrière lui et se retournais, il regardait dans ma direction, mon sang se glaçait dans mes veine … Là je me prenais complètement au jeux … Ses yeux fouillaient dans l'obscurité, son regard croisait le mien, mais j'étais dans l'ombre et la faible lumière lumière de la lune suffisait à l'éblouir, il ne me voyait pas, il ne voyait rien, et comme il n'entendait plus rien et repartait, retrouvait les deux autres …

Nous prenions soin de ne pas passer dans la lumière de la lune et on restait toujours invisible …

… J'ai entendu un bruit … 
… Moi j'ai rien entendu ! …
… J'avais l'impression qu'on nous suivait …
… C'est une vieille bâtisse et il y a toujours du bruit dans ce genre de vieille maison …
… Ou des fantômes …
… Dis pas des trucs comme ça tu vas me foutre la frousse …

On avait du mal à retenir nos fous rires ! On les suivait, il se repéraient à nouveau quand ils arrivaient au grenier ! Avec quelques hésitations il prenaient le couloir Ouest, C'est aussi par là qu'on allait. Je ne retrouvais plus la silhouette de Luc …

… Aah ! … 
… Qu'est ce qui t'arrive ? …
… J'ai cru que quelqu'un me touchait, me frôlait …
… Tu rêves …
… Non je te jure …
… Un fantôme …
… Arrête ! Ça y est j'ai la frousse moi maintenant …

Antoine aussi avait disparu, enfin Antoine … Je suppose que c'était Antoine qui avait disparu … J'étais pas vraiment sûr … Un porte grinçait au fond du couloir, a peine mais on l'entendait tous …

… Là ! j'ai entendu un bruit ! …
… C'est normal dans ces vieilles maisons …
… Et me laissez pas tout seul les mecs …

Le groupe avançait, nous les suivions … J'avais l'impression que nous n'étions plus que deux, je ne savais pas qui était le deuxième … Ils arrivaient à la porte. On s'en doutait depuis un moment, ils cherchaient la même chose que nous …

… Eh les gars, la porte … Elle est ouverte ! …
… Et bien ça veut dire que la dernière fois personne ne l'a fermée …
… Ouai bein moi j'ai la frousse, on ferait mieux de redescendre …
… Et bien redescend …
… Pas tout seul, j'ai la frousse …

Je pouffais de rire, j’essayais bien de le faire en silence mais …

… J'ai entendu un bruit je vous dis …
… Tu rêves ! …

Les deux premiers entraient et le troisième qui avait la frousse les suivait pour ne pas rester tout seul … On entrait, la porte se refermait violemment, le bruit d'un souffle, d'un râle très fort se faisait entendre à l'autre bout du grenier, nos trois aventuriers étaient tétanisés … Les lumières s'allumaient, ils nous voyaient. Ils hurlaient !

Luc et Antoine étaient entrés en premier en se glissant devant eux, ils en avaient profité pour laisser la porte ouverte, moi j'avais suivi et Mathias derrière moi avait refermé la porte violemment et allumé la lumière … Mes trois camarades étaient pliés de rire, nos trois aventuriers étaient livides et tétanisés … Moi ? Finalement je rigolais bien aussi !

Les trois aventuriers continuaient à hurler encore quelques instants …

… On n'a rien fait …
… On ne le refera plus …
… C'est juré …

Je retirais ma cagoule.

… Mais c'est … 
… Oui c'est lui … 
… Djé ? ! …

Brian, Jean Louis, Fernand reprenaient leurs esprits. On leur avait fait une trouille bleue, ils finissaient par rigoler eux aussi mais pas avec autant de conviction que nous!

Moi : Alors c'est ça que vous veniez chercher !

J'attrapais un gode dans la première boite à ma portée.

Brian : Je vous jure qu'on ne le fera plus Msieu Djé.

Ce Msieu Djé faisait éclater de rire mes compagnons ! Le gode était énorme je le lançais à Brian en lui disant … '' Gourmand ? ''. J'en prenais un tout petit dans une boite et lui lançant aussi je rajoutais '' Ou plus timoré ? ''. Brian les attrapait tous les deux … Je les appelle par leurs noms, nous avons fait connaissance un peu plus tard mais j'ai trouvé plus simple d'utiliser leurs noms tout de suite.

Brian : Si tu as un truc entre les deux … Parce que là … 

Quelques instants plus tard on avait tous un gode entre les mains, nos trois nouveaux camarades ne réalisaient pas vraiment ce qui se passait mais … Ils étaient venu là dans un but bien précis … On se retrouvait tous à poil, Antoine venait vers moi et me tendait un harnais … En lui faisant un petit sourire du coin des lèvres je me l'enfilais et le fixais solidement. Il me prenait alors dans ses bras, on s'embrassait tendrement pour commencer, j'aime bien la douceur de la peau d'Antoine, je l'ai souvent pratiqué dans le passé ce garçon, et à chaque fois que je le touche c'est un plaisir de sentir la douceur de sa peau, la chaleur de ses baisers … 

Nos baisers devenait plus passionnés, plus intenses, on ne se caressait plus vraiment, on se serrait l'un contre l'autre on se frottait à l'autre avec force !

Antoine : Prend moi !

Il me donnait un gros gode. Je le fixais au harnais. Antoine se retournait et m'offrait son cul. Nous étions les premiers à passer à l'acte, et tous les yeux étaient fixés sur nous !

Antoine : Défonce moi le cul ! 

Je m’exécutais, je l'embrassais sur le haut du dos, je passais une main depuis ses épaules jusqu'à ses fesses puis sans hésiter je passais un doigt entre,  puis en le glissait dans son cul, il penchait la tête vers moi en poussant un petit gémissement de plaisir, il me regardait et m'offrait un grand sourire. Je passais alors les mains autour de son torse, le gode était en position et appuyait déjà sur son anus. Il passait une main par dessus sa tête et me touchait le visage, je l'embrassais dans le cou, il m'attrapait la tête avec sa main et me caressait les cheveux …

Antoine : Vas-y !

Je poussais, il râlait de plaisir, son anus se détendait tout de suite et le gode entrait doucement, lentement, sans rencontrer de résistance … Il y a des mois que je ne me suis rien pris dans le cul mais c'est pas le cas d'Antoine, il est entraîné lui. J'aurais aimé être à sa place, j'imaginais ce gros gode s'enfoncer en moi, je savais que je devais avoir perdu un peu l'habitude mais … J'aime bien quand ça résiste, quand ça fait un peu mal. Le gode était gros et il m'aurait certainement fait mal, je ne suis même pas sûr qu'il aurait passé … Mais là ça passait tout seul, Antoine gueulait de plaisir, ma bite manifestait comme tous les jours depuis des mois, plus que d'habitude même, je ne savais plus depuis combien de semaines. J'avais l'impression que ma bite protestait plus que d'habitude, depuis des semaines …

Avec Léa, depuis des semaines je n'avait que le rôle actif, et comme ma bite était sous clé, actif, c'était avec les doigts, la langue et un joli gode ceinture. Ce qui voulait dire que depuis des mois c'est pour moi que c'était ceinture … Aucune stimulation du cul, de la prostate depuis mon dernier passage ici, au Château trois mois plus tôt ! …

Dans dix jours à peine c'est la compétition aussi en même temps que mon gode s'enfonçait dans le cul d'Antoine je me disais que ... Une petite baise me ferait le plus grand bien, je me lâchais en me disant qu'après ce sera mon tour … 

Antoine râlait de plaisir, je voyais les regards des autres garçons, Luc faisait déjà un gros câlin à Jean Louis, il se caressaient l'un l'autre, Luc avait un harnais dans une main, et retenait son partenaire bien serré contre lui.

Mathias avait posé un gros gode sur le sol et commençait à s'empaler dessus, juste devant lui Fernand tentait de l'imiter. Le gode était trop gros ? Fernand manquait d'habitude ? Difficile à dire mais de toutes évidences il avait du mal et faisait une grimace à faire peur, il semblait crier mais sans émettre aucun bruit.

Tranquillement mon gode s'était entièrement enfoncé dans le cul d'Antoine qui s'était penché en avant et s'appuyait sur un carton devant lui. Brian ne loupait rien, il avait l'air fasciné, il regardait mon gode puis le visage d'Antoine en se caressant les couilles, ça devait être sous pression là aussi, je ne devais pas être le seul ! Brian manipulait le gros gode que je lui avais envoyé, il semblait ne pas savoir quoi en faire …

J'avançais puis reculais mon bassin, le gode entrait puis ressortait du cul d'Antoine qui en redemandait. Je me penchais sur lui, le prenais dans mes bras, je le sentais frémir, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas pris dans mes bras Antoine et j'en tirais un vrai plaisir, il tremblait dans mes bras, il faisait froid dehors mais ici, l’atmosphère était chaude … Très chaude !

Brian semblait se décider, il posait le gode sur le sol, le lubrifiait généreusement puis prenait position et commençait à s'appuyer … Il hurlait, il transpirait mais continuait à pousser. Apparemment ça ne rentrait pas … Il hurlait de nouveau puis ne bougeait plus, il avait le souffle court, et tentait de se calmer mais non sans mal, il grimaçait !

J'accélérais le mouvement et Antoine ne retenais plus ses cris de plaisir. Il en réclamait encore plus, je devenais plus violent ! Brian regardait avec  fascination, je voyais son visage se refermer, il serrait les dents et dans un mouvement bien décidé il poussait fermement en s'appuyant sur le gode. Il hurlait mais ce n'était pas de plaisir, ça faisait mal, il avait le souffle coupé et c'est en gémissant qu'il se relevait, le gode restait sur le sol, je remarquais à la marque laissé sur le gel qu'il ne se l'était enfoncé qu'à la moitié …

Il restait là, l'air bête, une main sur ses fesses à faire des grimaces. Mathias faisait le ressort avec ses genoux en se balançant de haut en bas. Il se laissait tomber le gode entrait presque en entier il se relevait le gode ressortait et s'il se relevait un peu plus il ressortait complètement. En face de lui Fernand suivait le mouvement et faisait de même, son gode était un peu plus petit mais il y allait de bon cœur le petit Fernand ( 1,95 m mais bon je dis le petit quand même ! ). Il avait l'air d'aimer ça Fernand, il se laissait tomber complètement sur le sol et allongeait les jambes, il se retrouvait alors totalement empalé, Surpris Mathias ne tardait pas à en faire autant, et son gode était plus gros !

Jean Louis avait enfilé le harnais que Luc tenait dans ses mains un peu plus tôt, un gros gode y avait été fixé, Luc était penché contre le mur et Jean Louis le limait joyeusement, je voyais le visage de mon frère, il était aux anges, il se laissait faire, il gémissait de plaisir. 

Je voyais Mathias se rapprocher de Jean Louis, il s'était enfilé un harnais et y avait fixé un gode de taille moyenne … Enfin … Quand je dis de taille moyenne, c'est selon notre propre appréciation … Pour certains ça peut déjà largement faire peur ! Tout en s'approchant Mathias lubrifiait abondamment son gode, se mettait en position derrière Jean Louis qui écartait bien les cuisses sans pour autant arrêter de limer le cul de Luc, il s'enfonçait bien, ne bougeait plus et laissait Mathias procéder … Je voyais Mathias enfoncer lentement en un seul  mouvement son gode jusqu'à la garde. Jean Louis relevais la tête et poussait une longue plainte, un long gémissement. Quand Mathias se retrouvait bien à font Jean Louis se retirait doucement du cul de Luc, Mathias restait bien collé et c'est seulement quand Jean Louis enfonçait à nouveau son gode dans le cul de Luc que Mathias se retirait avant de recommencer le mouvement. Les garçons continuaient ainsi le mouvement désynchronisé. Luc gémissait de plaisir, Jean Louis semblait jouir lui aussi et Mathias restait bien concentré !

Fernand arrivait à son tour, il s'était trouvé lui aussi un harnais et s'y était fixé un gros gode, il se plaçait derrière Mathias et l'enculait à son tour, il enfonçait rapidement le gode dans le cul de Mathias qui s'était déjà bien échauffé et était déjà très détendu, il suivait le mouvement, légèrement désynchronisé par rapport à celui qui était devant lui ! 

C'était un spectacle étonnant, je ne me souvenais pas avoir déjà vu ça. C'était beau, comme un mouvement de danse, comme les mouvement des pattes d'un mille patte qui avance chacun bougeait de la même façon que celui qui était devant mais très légèrement en retard.

Brian qui semblait avoir récupéré se levait et enfilait à son tour un harnais , il se plaçait à la suite du groupe et rejoignait le mouvement, Fernand gueulait de plaisir quand son copain lui défonçait le cul mais il s'était bien dilaté lui aussi. Je ne bougeais plus depuis un moment, je regardais le spectacle, Antoine également ne bougeait plus, mon gode était toujours bien enfoncé dans son cul …

D'un geste Antoine me faisait signe de me retirer, il attrapait alors un harnais à son tour, un gode et se plaçait juste derrière Brian qu'il enculait alors avec douceur mais avec fermeté … Brian hurlait mais continuait le mouvement de vas et viens du bassin. Je regardais un moment l'ensemble. C'était beau, ce mouvement d'ondulation, certains visages grimaçaient, d'autres ne cachaient pas un vrai plaisir … Je décidais de me joindre au groupe moi aussi !

C'est avec une certaine brutalité que je défonçais le cul d'Antoine … C'est pas ce qu'il m'avait demandé de faire au début peut être ? Je m'imaginais à la place d'un de ces garçons, en fin de cortège j'étais le seul à ne rien me prendre dans le cul, et je devais certainement être le seul autant en manque … Des mois pendant lesquels les seules stimulations n'avaient que provoqué le désir, des mois pendant lesquels j'étais resté sur ma faim … Frustration, c'était le seul mot qui résumait ma situation, je sentais ma queue qui protestait encore, ma prostate qui frémissait et réclamait, et une pression contre mon torse et me laissait l'impression qu'il pourrait exploser ! … 

J'avais tellement envie de me faire défoncer le cul, j'en avais même … Besoin !



Ep 62 : LES NOUVELLES EQUIPES



Les petits nouveaux ne perdaient pas le nord ! Ils s'étaient passé le mot et tous savaient ou trouver des godes et autres jouets de ce genre ! Je me demandais d'ailleurs si l'approvisionnement n'était pas assuré par la logistique du Château, il semblait que tous repartaient avec leurs petits souvenirs dans leurs bagages et le stock ne baissait pas …

Les jours qui suivaient on retrouvait nos trois aventuriers, pendant des séances de sport, au souper, pendant des moments de détente à la piscine … Ils nous présentaient au reste de leur groupe. Une centaine de candidats postulant à la gestion de centre de vente et d'information. On les formait à la comptabilité, à la vente, aux relations humaines, à la psychologie … Enfin ils apprenaient tout ce qu'il faut savoir pour faire fonctionner un de ces nouveaux centres.

On se retrouvait souvent à la piscine … 

Brian : Vous devez être fier de vous ? 
Moi : Euh pourquoi ?
Antoine : Ouai ! Pourquoi ?
Fernand : On nous a dit que c'est vous qui avez mis au point le dernier modèle de dispositif de chasteté !
Antoine : Ah oui, pour ça !
Moi : En fait, ça s'est fait tout seul !
Antoine : C'était pendant une stage, on s'est lancé dedans, on s'est passionné, on n'a pas vu le temps passé … et …
Moi : Les imprimantes 3D, c'est vraiment génial ! ( Ep 35 )

On leur racontait rapidement comment ça s'était passé.

Brian : C'est fou ça et maintenant on nous parle de plus d'un million de modèles vendus avant la fin de l'été prochain …
Fernand : Et si le prévisions de vente se confirment … Encore un million d'exemplaires est prévu pour la prochaine rentrée scolaire …
Brian : Les ventes se font sur toute la planète, c'est ce qui explique un nombre aussi important !
Fernand : Vous vous êtes fait avoir les gars, la PK se fait une fortune avec votre invention et vous … Que dalle !
Antoine : En fait on a une petite participation à la vente …
Brian : Non ! Combien ?
Moi : Ça c'est un secret!Mais si les ventes sont ce vous nous dites … C'est une somme non négligeable !
Brian : Vous ne connaissiez pas les chiffres ?
Antoine : En fait ! On a autre chose à faire et on ne s'en préoccupe pas vraiment !
Moi : De temps en temps notre avocate nous contacte et nous remet un chèque … C'est cool, on ne se prend pas la tête !
Fernand : Mais vous gagnez beaucoup ou pas beaucoup d'argent ?
Antoine : Quand on va repartir … Regarde la voiture qu'on vient de se payer, on a acheté la même et elle sont neuves ! Ça te donnera une idée !  Oui on s'est fait beaucoup d'argent depuis l'été dernier … 
Moi : Il y a aussi le contrat publicitaire …
Brian : Vos photos sur les emballages par exemple ?
Moi : C'est ça !
Luc : Moi aussi je voulait poser pour les photos mais ils ne voulaient pas à la PK !  

On rigolait à l'entendre …

Luc : Pourtant moi aussi je suis très mignon en photo !
Fernand : Mais oui tu es mignon, très mignon même ! Et pas seulement en photo !

Le week-end approchait, je me retrouvait seul dans la chambre mes trois colocataires avaient disparus, j'étais allongé sur mon lit, le feu au cul, je pensais aux sex-toys qu'il y avait au grenier, je me voyais les manipuler, il y en avait de toutes les tailles … Il y avait bien longtemps que je ne m'étais rien pris dans le cul. Bon la dernière fois qu'on est monté au grenier je n'en ai pas ramené pour moi mais … Mes trois autres colocataires, eux, ils en on ramené … 

Antoine comme a son habitude en avait récupéré un de très grosse taille … Peut être un peu trop gros … Je me disais que depuis ces quelques mois, j'avais probablement perdu l'habitude, et que je devrais voir ce que mes autres camarades avaient ramené du grenier … 

Mon frère Luc en avait choisi un gros également mais un peu plus raisonnable, je le revoyais un soir il y peu, nous avions reçu un garçon dans notre chambre. Luc affichait sur le visage une expression de … Plaisir … Une grimace de plaisir … Une monstrueuse grimace de plaisir … Un cri de douleur … Puis cette expression de jouissance, la tête penchée en arrière, la bouche ouverte comme s'il allait hurler, la bouche ouverte mais aucun son n'en sortait et le gode de belle taille posé sur le sol qui s'enfonçait doucement, lentement jusqu'à ce que ses fesse touche le sol également. Jusqu'à ce qu'il se retrouve assis, les jambes légèrement repliées posées devant lui, le dos cambré, le souffle fort. Empalé sur les vingt centimètres de son gode !

Je me revoyais, ce soir là je portais un harnais sur lequel était fixé un gode moyen. Le souvenir de cette soirée me revenait, le garçon que j'avais enculé … Il s'appelait comment déjà ? … Je ne sais plus … C'était un des stagiaire qui était en formation ici pour la gestion des centres de vente, on me l'avait présenté le jour même et il n'avait pas fallu longtemps pour qu'on se retrouve à trois avec mon frère dans notre chambre. 

Il voulait un gode de grosse taille, on avait pris celui qu'Antoine avait descendu l'autre jour mais comme ça lui avait fait peur on s'était rabattu sur un modèle plus modeste. Il en redemandait le gars, il avait le feu au cul lui aussi …  Il était resté … Je ne sais pas, moins d'une heure, largement moins d'une heure et il était reparti calmé, je me souviens qu'il avait sa main sur ses fesses quand il est ressorti de la chambre, il l'avait senti passer et Luc rigolait en le voyant faire. 

On était chaud ce soir là, ça nous avait pris d'un coup mon frère et moi, on avait rencontré le gars et presque sans se parler on l'avait entraîné dans notre chambre, on s'était rapidement caressés, déshabilles. Luc avait sorti les godes, et le gars voyant le plus gros avait les yeux qui lui ressortaient de la tête, en rigolant j'avais passé le harnais, il s'était rapproché de moi, il avait le gode dans la main. Il m'embrassait dans le coup quand je le lui prenait, il baissait les yeux  pour voir comment je faisais quand je le fixais et se retournait, se penchait en avant en s'appuyant contre le mur quand je le lubrifiait. Finalement il avait les yeux plus gros que le ventre comme on dit … Même si c'est pas le ventre qui est en cause … 

Les souvenirs de cette soirée me stimulaient, j'étais seul, allongé sur mon lit et je sentais ma cage de chasteté qui manifestait une tension, elle se relevait sous la pression qui gonflait ma bite fermement enfermée. Aucune chance de bander, mais ça n'empêchait pas ma queue d'essayer. Il y a des jours comme ça ou malgré l'habitude, malgré le fait que je porte ce genre de truc depuis longtemps mon corps ne semble pas, toujours pas, s'habituer ! Ma queue proteste de ce qu'elle doit subir, c'est sans douleur, c'est quelquefois désagréable quand la pression, quand la tension sexuelle devient trop forte. J'ai alors du mal à m'endormir mais ça ne dure pas … Ça recommence simplement un peu plus tard !

L'autre soir le gars que nous avions rencontré n'était pas le seul à avoir le feu au cul. Mon frère avait posé le gode sur le sol et au moment ou j'enfonçais le mien doucement dans le cul du mec, Luc se positionnait au dessus du sien et s'appuyait dessus. Luc gémissait rapidement de plaisir avant de faire cette grimace monstrueuse, son gode s'enfonçait et le mec que je tenais maintenant par les hanches gémissait lui aussi je sentait au travers du harnais son anus qui se dilatait, qui ne résistait pas longtemps, mon gode lui entrait doucement dans les entrailles, je sentais les muscles de ses bras se contracter, il penchait la tête en avant et poussait un cris au moment ou mon ventre venait frapper contre ses fesses. C'est alors un bel objet qui était garé dans son cul.

J'étais en manque et j'avais envie d'en finir, j'avais envie d'inverser les rôles. Je me retirais peut être trop rapidement, et je revenais peut être un peu trop vite, un peu trop fort … Il gueulait le mec, il ne me demandait pas de ralentir ou d'arrêter, il gueulait. Il en voulait aussi et je lui en donnait, des coups de reins, des mouvements rapides, violents, de plus en plus rapides, de plus en plus violents … Il jutait, en gémissant, il jouissait en pleurnichant ! 

Il finissait pas se laisser retomber en avant, le gode lui ressortait du cul, je tombais en avant et me retenais avec une main contre le mur. En dessous de moi, le gars s'était replié, il respirait fort, il faisait une grimace lui aussi. Mon frère était assis, empalé sur son gode, je voyais du sperme couler de son dispositif de chasteté. Le gars en dessous de moi en faisait de même, il continuait à juter et à respirer fort …

Ma bite protestait de plus en plus dans sa cage de chasteté qui se relevait par a-coups produisant un balancement du gode qui était accroché au harnais. Déjà je sentais que ce ne serait encore pas pour ce soir là. 

Rapidement le gars nous laissait, il avait un cour de comptabilité, et c'est avec une main sur le cul qu'il ressortait de la chambre … Luc rigolait en voyant  ça !

Ce jour là pas le temps de me faire plaisir, Antoine et moi étions invité à une conférence sur le développement des produits de la PK … C'est vrai que nous contrairement aux autres habitants du château nous n'étions pas salariés de la '' Purity Keeper Companie '' ( la PK ), même si finalement nous étions peut être parmi les mieux payés de cette compagnie … 

Mais ce soir, le souvenir m'avait bien chauffé le cul. Ma cage se balançait devant moi, elle était sous pression depuis que j'avais commencé à me rappeler cette soirée … C'était, avant hier je crois, mais ce soir … Ce soir là ma cage se balançait au rythme des mes pulsations cardiaques.

Il l'avait rangé ou son gode, mon frère ? James ( le valet de chambre ) avait renoncé avec nous à faire un rangement trop sérieux … Il ne regardait plus ni dans nos armoires ni dans nos tables de nuit … Je m'imaginais, le gode, il était de belle taille, mais j'en avait tellement envie … Je l'imaginais pressant contre mon cul, poussant contre mon anus, j'imaginais la résistance de mon anus, plus de trois mois que je ne m'était pas fait défoncer le cul, je me souvenais de cette sensation, de ce plaisir … J'en avais tellement envie … Je me relevais …

La porte s'ouvrait violemment, avec un hurlement … '' Debout la marmotte, tu rêves ou quoi, c'est l'heure de manger … ''

Je vous laisse deviner …

Bein oui … C'était bien lui ! Mon frère arrivait, il entrait dans la chambre en pleine forme et comme souvent dans ces cas là … Il n'était pas discret ! Je sursautais avant de me laisser retomber …

Moi : Il y a des jours ou tu me fatigues toi !
Luc : Allez on se dépêche, on s'habille !

Antoine et Mathias suivaient quelques instants plus tard.   

Antoine : Tu est là toi ! Mais Djé tu roupilles depuis combien de temps ? Et tu ne t'es même pas habillé ? … On va passer à table !


Bon ! Je me disais que ce ne serait encore pas pour ce soir, on s'habillait et nous descendions tous les quatre vers la salle à manger, on y retrouvait nos nouveaux camarades, les stagiaires. 

Antoine : On mange toujours aussi bien ici, ça va me manquer !
Luc : Ah parce que on ne mange pas bien à la maison ? Charles il est pas bon cuisinier peut être ? Ça va lui faire plaisir ça ! Parce que bien sûr ça va lui être répété !
Moi : Déformé avant d'être répété je suppose …
Luc : Parfaitement !
Mathias : Moi j'ai toujours aimé la bonne fois dont tu fais preuve mon petit Luc !
Luc : Non mais c'est vrai, Charles cuisine comme un dieu. Au fait il fait quoi quand on n'est pas là ?
Antoine : Il glande !

Tout le monde rigolait à cette réponse.

Antoine : Plus sérieusement Djé, tu as vu les chiffres des ventes prévues, jusqu'à deux millions avant la rentrée prochaine …
Moi : Oui j'ai vu ça et ça me laisse pensif. Tu as investi dans quoi toi ?
Antoine : J'ai fait comme toi, j'ai acheté deux appartements … Et dans le même immeuble que toi en plus …
Moi : Et si on investissait ensemble …
Antoine : Dans le même immeuble ?
Moi : Par exemple !

On continuait la discutions encore un moment et on finissait par se décider, on achèterait ensemble un immeuble ce qui en simplifierait la gestion, il me confirmait que les autres appartements étaient ou seraient bientôt en vente .

On traînait un moment après le repas, pas trop, on était à la veille du week-end et on décidait de rentrer le lendemain pour avoir le reste du week-end libre à la maison. On aurait ainsi le temps de nous préparer pour la compétition … Il ne fallait pas oublier qu'au retour il y avait la compétition comme l'année précédente. ( Ep 22 et 23 )

Pour la première fois l'année passée la télévision locale s'était invité sous prétexte d'accusations de dopage et de tricherie qui s'étaient finalement avérées n'être que des accusations mensongères … Cette année c'était le succès d'audience qui incitait la télévision locale à s'inviter de nouveau et on se doutait que ça deviendrait un rendez-vous régulier …

Cette année il y aurait de nouvelles équipes à participer à la compétition sportive, il y avait aussi de nouvelles équipes au sein de la PK … Les gestionnaires des centres PK qui allaient ouvrir un peu partout dans le pays … 

On se couchait tôt et on se levait tôt également, on sautait la séance de sport du matin pour passer au petit déjeuner que nous allions prendre directement dans la cuisine, il n'était pas encore servi. Mais avec notre popularité on était très bien reçus. Les voitures avaient été emmenées dans la nuit et nous attendait devant l'entrée principale du château. Organisation toujours … Organisation irréprochables ! Luc montait avec moi et Mathias avec Antoine, on était pas venus ensemble et on avait donc deux voitures.

Un dernier tour pour dire au revoir, nos amis de la '' soirée ninja '' comprenaient mieux en voyant les voitures, le salaire qu'ils auraient dans leur travail était bon et ils voyaient que nous n'avions pas à nous plaindre non plus  … 

On faisait route. Luc assurait la liaison radio … Pardon je voulais dire téléphonique … Avec la seconde voiture et on se synchronisait pour la pause restaurant à midi. Encore une fois, c'est Luc qui s'était occupé de ce détail et il n'avait pas choisi un routier … Pas assez classe pour mon petit frère ça … Un routier ! … Pfffff ...

On arrivait finalement assez tôt à la maison. On y retrouvait Charles qui nous accueillait chaleureusement et comme il était encore tôt nous demandait si nous allions souper à la maison ou sortir.

Moi : A la maison !
Luc : On va sortir !
Antoine : ( qui n'avait pas suivi la discussion ) Euh Ouai ! Pareil … 


Charles : Je suis ravis de le savoir, je vais donc faire en conséquence !
Antoine : J'ai dit une bêtise ? Il demandait quoi au fait ?

Finalement Luc sortait avec Bob, Mathias venait souper avec nous ainsi que Greg ( le voisin du dessous ) il était professeur dans notre école et avait de ce fait été nommé volontaire pour participer à l'organisation du tournois sportif … 

Moi : Alors donc Greg … On t'a nommé volontaire !
Antoine : C'est une méthode de recrutement bien singulière !

Mathias rigolait …

Greg : Arrêtez de vous moquer de moi les gars, vous savez bien que j'ai pas le choix. Vous savez que je fais partie de la famille Le Comte qui fait construire cette école, qui dirige la PK Companie, et qui organise tous ces événements.
Antoine : Et toi Mathias tu en penses quoi ?
Mathias : Moi ! Je participe à la compétition … Donc … Mais sinon je pense que j'aurais aussi été nommé volontaire avec mon frère ( Mathias était le demis frère de Greg : Ep 36 ) … 

Le reste de la soirée on discutait de l'organisation.

Moi : Il y aura la télé ?
Greg : Apparemment ils ont aimé la dernière fois !
Antoine : Et la fameuse journaliste ?
Greg : Elle m'a déjà adressé une demande pour vous interviewer !
Moi : Elle a intérêt à se tenir bien cette fois ci !
Antoine : Ouai sinon on lui rentre dans les plumes.
Moi : Déjà, l'an dernier, j'aurais pas aimé être à sa place !
Greg : Quelque chose me dit que ce coup ci elle sera adorable !
Antoine : Tu sais des choses qu'on ne sait pas ?
Greg : L'an dernier elle a été ridicule, elle regrette certains propos qu'elle a tenu contre vous et … 
Moi : Et …

Mathias rigolait …

Greg : Notre oncle vient de racheter la chaîne de télévision !
Antoine : Il a acheté une chaîne de télé régionale ?
Mathias : Et il en fait une chaîne nationale ! Mais c'est qu'il a des sous notre tonton !
Greg : Je ne vous en dis pas plus, mais il doit téléphoner à ton frère Djé, je l'ai eu au téléphone dans l'après midi, il a eu une idée … Mais ça va dépendre de la réponse de Luc.

Antoine et moi nous retournions vers Mathias.

Mathias : Alors là moi j'en sais pas plus … 

On essayait bien de faire parler Greg mais sans succès. On était un peu fatigué, aussi la soirée ne traînait pas trop. Charles s'était porté volontaire pour soutenir notre équipe, vous vous rappelez sans doute que c'est un masseur exceptionnel. Le lendemain, dimanche, on prévoyait de retrouver toute l'équipe, Léa m'envoyait un message pour me souhaiter un bon retour et ne me cachait pas qu'elle avait hâte de me revoir … 



Ep 63 : EN SCENE



On était fatigué la veille, aussi on traînait tous au lit. Il était déjà neuf heures passées quand Léa arrivait et je n'étais pas levé. Elle s'était déshabillée  en seulement quelques secondes et s'était glissée contre moi sous la couette. D'une main rapide elle attrapait le harnais et le gode dans le tiroir … Pas dans mon tiroir, pas dans celui ou je cache mes jouets mais dans le tiroir de la table de nuit, c'est elle qui les y avait rangés … 

Érection du matin … Vous connaissez la suite ! Et bien moi c'était encore du lourd ce matin, la chaleur de ses seins, et la douceur de sa peau provoquaient une pression infernale dans ma cage de chasteté … Je soulevais le bassin pour que Léa puisse passer la sangle et pendant ce temps là elle ne disait plus rien. En fait ce matin là je n'avais pas vraiment envie de servir de sex-toy mais … Bon ! … Léa avait parfaitement compris comment ne pas me demander mon avis … Elle tenait ça de mon petit frère !

Elle s'allongeait sur moi et me caressait avec son corps. Elle me caressait avec ses seins, je sentais ses tétons se durcir contre ma poitrine, je sentais mes tétons se dresser et se durcir également .

Ses baisers étaient doux, ses cheveux me chatouillaient le visage, quelques mèches se glissaient dans mon cou et me faisaient sursauter et frémir. Je rigolais de ces chatouillis, Léa penchait son visage vers moi, elle me souriait  , me donnait de tendres, très tendres, baiser sur le visage , les yeux, le front,les joues, le cou et pour finir les lèvres bien sûr. Nos baisers étaient chauds, doux intenses … 

Je sentais le poids de son corps contre le mien, elle n'était pas bien lourde, elle passait ses bras autour de mon cou, je la prenais dans mes bras et on se laissait rouler, elle se retrouvait en dessous de moi puis de nouveau au dessus … Mes mains parcouraient sont dos, je m'attardais sur ses fesses, elle repliait une cuisse contre ma hanche et passait sa jambe derrière ma cuisse. 

Je la pénétrait doucement, le gode qu'elle m'avait posé s'enfonçait doucement en elle,  elle fermait les yeux et doucement s'abandonnait, sans dissimuler son plaisir. Je roulais sur le dos, elle me chevauchait et c'est elle qui désormais contrôlait le mouvement. Elle prenait position, ses jambes repliées, ses pieds contres mes genoux. Je lui caressais les cuisses. 

Elle se relevait, se laissait tomber. Le gode ressortait légèrement puis s'enfonçait complètement. Elle se cambrait, se redressait et je l'entendait gémir. Ses seins se balançaient devant moi, je lui caressais le ventre et remontais mes mains sur sa poitrine. Instinctivement je balançais mon bassin également, je suivais ses mouvements. Elle semblait en demander plus, je répondais dans la seconde. Elle se crispait, j'en faisais de même. 

Ça faisait un moment qu'on ne s'était pas retrouvé ensemble et elle donnait l'impression de vouloir rattraper le temps perdu. Elle se donnait, elle se lâchait et j'étais là pour la recevoir. Elle se laissait tomber sur moi, je la serrais contre moi. Je la retournais sur le dos et prenais le contrôle à mon tour. Je m'étendais sur elle de tout mon poids en prenant bien soin de ne pas l'écraser, en prenant soin de son confort …

Elle grimaçait, tremblait, se crispait. Elle était prise de véritables  convulsions, ne contrôlait plus sa respiration, je la sentais venir, je sentais le plaisir monter en elle, je la sentais jouir dans mes bras. Je la sentais vibrer, se tordre, gémir de plaisir. Je la sentais se convulser dans mes bras. Je continuait encore quelques instants les mouvements puis ralentissais puis me laissais tomber à côté d'elle.

Je la regardais, elle était belle, en sueur, elle tremblait encore pendant quelques instants, elle tournait le visage vers moi, me souriait, son sourire ressemblait encore à une grimace mais il y avait un reflet, un éclair dans ses yeux.

Moi ! Bien sûr je n'avais pas joui mais mon cœur battait fort, dans sa cage ma bite se contractait au rythme de mes pulsations cardiaques … J'étais en manque, j'allais exploser, le désir n'avait jamais été aussi fort qu'à ce moment précis. 

Je ne bronchais pas, ne râlais pas, ne réclamais pas. J'étais en sueur moi aussi et je lui souriais …

Après une bonne douche, un bon petit déjeuner et le temps nécessaire pour récupérer … Cinq minutes ! … Bein quoi je suis un grand sportif moi, je récupère vite ! …

Bref … Je retrouvait l'équipe dans les installation sportives de la fac … Les autres équipes arrivaient, s'installaient et se reposaient, on ne les verrait pas avant le début de la compétition, le surlendemain !

Tout le monde me traitait comme le capitaine de l'équipe sportive de notre école comme si c'était le cas, comme si ça allait de soi … Pour tout le monde c'était logique, depuis le temps que j'étais le champion, qu'on parlait de moi comme … Oui comme du Capitaine De L’Équipe.

Bon, j'étais pas vraiment mal à l'aise devant tous mes camarades, je les connaissais tous individuellement, et j'avais déjà pris la parole pour motiver tout ce joli monde. L'an dernier, pour ceux qui s'en souviennent, la situation était alors dramatique, on parlait de dépression, de dopage, de tricheries diverses. J'avais remotivé tout le monde et on avait fait un tabac … Cette année, la situation était plus facile. Tout le monde avait le moral, aucune suspicion de tricherie d'aucune sorte, dehors la ville entière nous soutenait, même la télévision nous soutiendrait cette année, on avait une forme à démoraliser un champion des Jeux Olympiques … Et pour ce qui est du dopage, le test était prévu et personne n'était inquiet !

Je prenais la parole, je les encourageais et en réponse il m'acclamaient. Luc faisait bien sûr le mariole en rajoutant toujours un '' Ouééé '' juste après tout le monde, histoire de se faire remarqué et finissait par faire rigoler toute l'équipe, même bob se marrait  sans se cacher pour une fois ! On organisait l'emploi du temps, entraînement pour être en forme au dernier moment et repos … Une partie de l'internat était réservé à l'équipe et une fois de plus je rentrais chez moi le soir, Antoine aussi … Personne ne s'en offusquait, on avait pris l'habitude l'année précédente, aussi … Mon appartement avait des allures d'état major … Tous les responsables des différents groupes s'y retrouvaient, les responsables de la fac aussi et c'est Luc qui semblait organiser tout ça … Je renonçais à comprendre ce qui se passait …

Charles avait laissé tombé la cuisine et commandait des plats préparés pour tout le monde … Des plats préparés peut être mais il les commandait chez un traiteur … On a une réputation à tenir et on n'a pas l'habitude de servir n'importe quoi à nos invités … Mon frère approchait, en se dandinant comme s'il préparait une mauvaise plaisanterie, ou … 

Luc : Dis moi Jérémy tu me prêtes ta voiture dis ?
Moi : Mais tu n'es pas un peu fou dans ta tête toi … Quand tu auras ton permis peut être mais pas avant …
Luc : Justement !

Je regardais Bob d'un air interrogateur, il me répondait en faisant oui de la tête !

Moi : Non ?
Luc : Si ! 
Moi : Mais il faut avoir 18 ans  pour le passer !
Luc : Bein justement !
Moi : Non ?
Luc : Si !

Bob nous regardait il était plié de rire. 

Bob : Je confirme, j'y étais !
Moi : Mais ?
Luc : Bein oui mon anniversaire c'était aujourd'hui et j'ai précisément passé et réussi mon permis de conduire aujourd'hui !
Moi : Mince ! Excuse moi Luc, je l'avait complètement oublié.  Il faut que je dise ça à Antoine … 

Je fonçais voir Antoine que ne cachait pas surprise … On revenait !

Antoine : Mais c'est que le petit il devient grand, c'est à peine croyable je ne l'ai pas vu grandir.
Luc : Bon ça va on se connaît depuis moins d'un an et tu me l'a déjà fait celle là  … Tu me prête ta voiture dis Antoine dis ?
Antoine : Non !
Luc : Pffff. Et toi Jérémy ? 
Moi : Tu sais conduire au moins ?
Luc : C'est malin ! Ça ne vous tente pas d'arriver à la compétition avec un chauffeur. Moi je conduit ta voiture et Bob conduira la voiture d'Antoine !
Antoine : Là pour moi ça va ! Bob on l'a vu conduire et il fait ça très bien ! Pour moi c'est d'accord .
Luc : En plus il faut que je sois aussi sur place en même temps que vous !
Moi : Pourquoi faire ?
Luc : Euh … Pour … Pour soutenir mon équipe pardi !

J'avais l'impression que mon petit frère me cachait quelque chose mais … comment le faire parler ? Je finissais par attraper Bob à la fin du repas, la veille de la compétition. 

Moi : Alors Bob, tu es prêt pour demain ?
Bob : Oui mais c'est pas moi qui vais concourir.
Moi : Certes mais avec Luc … Je suppose que tu vas le soutenir !
Bob : Le soutenir ?
Moi : Je pense que ça se passera très bien, tu sais comment il est !
Bob : Comment il est ?

Bob devenait tout rouge, mais quand je dis rouge, c'était presque rouge Bordeaux ( bon j'exagère un peu ). Je savais qu'on me cachait quelque chose !

Moi : Vous me cachez quoi tous les deux ?

Bob se mettait à crier.

Bob : Au secours Luc ! Ton frère veux me faire parler, il a deviner quelque chose !

Luc arrivait.

Luc : Bob tu ne dis plus rien, plus un mot ! Et toi Djé tu ne t'approches pas de mon doudou. 

Antoine qui avait vu la scène me regardait d'un air surpris ! Bob et Luc se retiraient dans leur chambre et Luc verrouillait la porte !

Moi : Mais qu'est-ce qu'il a encore inventé ?
Antoine : Et tu as vu il t-a appelé Djé !
Moi : C'est bizarre ça, il ne m'appelle jamais Djé …

Le grand jour était enfin arrivé. Antoine et moi nous étions bien habillé, costume, cravate … Luc arrivait, lui aussi s'était particulièrement bien habillé. J'y croyais pas !

Charles : ( il préparait le petit déjeuner ) Tu as vu ça Djé ? C'était quelque chose, je te dis pas ! Il m'a fait une comédie pour que je l'habille comme s'il allait rencontre le président de la république … Je ne sais pas ce qu'il a encore inventé … Mais … Tu n'aurais pas une idée sur le sujet ?
Moi : Je me doute bien qu'il a une idée derrière la tête mais …J'allais te poser la même question ! J'ai même essayé de faire parler Bob … 
Charles : Oui, on m'a raconté ! … 

On prenait le petit déjeuner, Luc me cachait quelque chose mais il n'y avait aucun moyen de le faire parler. Bob était tout rouge et n'osait ni parler ni même me regarder de peur d'en dire trop ! Finalement on faisait route, comme prévu, on arrivait, Antoine et moi dans notre voiture respective et avec un chauffeur. Quand je sortais de la voiture Luc me lançait …

Luc : Tu n'essayes pas de me contacter ! Si tu veux me parler tu contacte Bob, il fera suivre …

Je regardais Bob qui haussait les épaules sans rien dire l'air désabusé !

Moi : Mais qu'est-ce qu'il a encore inventé ?

Tout se passait comme prévu, nos deux voitures se suivaient, nos deux chauffeurs allaient garer les voitures … Finalement Luc conduit bien, au volant il ne fait pas le mariole … Ça change ! 

Antoine et moi entrions dans le bâtiment, il était tôt mais il y avait déjà du monde … La journaliste télé nous attendait avec son micro et son cameraman … Elle nous accueillait avec un grand sourire, et me saluait sans oublier de me présenter des excuses pour l'année passée ! J'en revenais pas ! Elle nous faisait promettre d'accepter un interview avant de nous laisser entrer et de nous encourager … 

La journaliste : … On sera tous avec vous à vous soutenir les champions !


Antoine : C'est la même journaliste que l'an dernier ? 
Moi : Elle a bien changé !

Je passerai rapidement sur les épreuves de cette compétition amicale. On ne s'en sortait pas aussi bien que l'année précédente … Non pas que notre niveau avait baissé mais c'est celui des nos adversaires qui s'était amélioré ! Il y avait un bon nombre de porteur de dispositif de chasteté chez nos adversaires et on sait, on est bien placé pour savoir que ça motive ! 

On n'avait toutefois pas à se plaindre, notre équipe raflait un pas loin des deux tiers des médailles  et coupes distribuées … Les deux autres équipes se partageaient le tiers restant … 

Mais il se passait autre chose … Luc et Bob avaient totalement disparu, Charles qui nous avait suivi et avait rejoint les masseurs de notre équipe ne savait pas non plus ou ils pouvaient être. Greg lui en savait plus qu'il ne voulait en dire et quand je lui demandais ce qu'était devenu mon petit frère il me répondait par un sourire farceur … 

Le premier jour, notre équipe se retrouvait au réfectoire pour le repas … Un écran télé géant y était installé, j'entendais la voix de Luc qui répondait à l'animateur. Je sursautais, me retournais vers la télé, c'était bien lui, le guignol ! Il n'était pas interviewer, il co-animait l'émission en direct !

Dans le réfectoire c'était la crise de rire …

… Regardez les gars … la télé …
… Tient il est là lui …
… Il est bien  habillé en plus …
… Luc , animateur télé … 
… C'est un clown, ça lui ira bien …

Et il s'en sortait bien en plus, Greg arrivait derrière moi.

Greg : Alors tu as compris ce qu'il te cachait ?
Moi : J'y crois pas, mais comment il a fait pour ne pas vendre la mèche ?
Greg : Il devient mature ! Il a passé 18 ans !
Moi : Il a peut être passé ses 18 ans mais mature … Ça c'est pas encore pour demain !

Un peu plus tard dans la journée alors que je n'étais pas en compétition, mon téléphone sonnait, numéro inconnu, je répondais … Une voix familière qui ne manifestait pas la moindre conviction dans sa façon de parler …

Téléphone : Allo ! Monsieur Brosso Jérémy service sportif de la télévision je vous téléphone pour vous demander si vous accepteriez un interview avec notre nouveau présentateur vedette ?
Moi : Allo … Bob ? C'est toi Bob ?
Bob : Bein oui c'est moi ! ( d'une voix totalement désabusée ) … 
Moi : Mais c'est quoi cette histoire ? Et ce bruit derrière toi ? On dirait que quelqu'un rigole …
Bob : C'est Luc !
Moi : Vous êtes vraiment des clowns tous les deux ! Passe le moi !
Luc : Salut Jérémy ! Dis tu es d'accort pour l'interview ? Dis ? Je commence moi dans le métier si je peux interviewer un champion ce serait bon pour ma carrière ! 
Moi : ( en éclatant de rire ) Mais tu es vraiment un clown toi !
Luc : Tu m'as vu à la télé ? Je suis comment ? Je suis mignon à la télé ? 
Moi : Je t'ai vu, tu es super …

On continuait la discussion quelques instants, il avait un direct … Mais il était content de son coup. Dans la fac on parlait encore plus de lui que de l'équipe … Surtout que, je ne sais plus si je vous l'ai dit mais la retransmission était nationale ! 

C'était une compétition sportive mais c'était aussi une fête, les supporters maquillés aux couleurs de leurs équipes faisaient beaucoup de bruit. Luc donnait de sa personne on le voyait sur le terrain avec son oreillette et son micro en direct ! Je ne participais plus à aucune compétition pour le reste de la journée aussi je passais rapidement à la douche pour être prêt et présentable.

Les douches étaient désertes à ce moment de la journée, évidement dehors c'était la fête … Mais dans les douches, une personne, un athlète, un seul prenait sa douche et profitait de ce moment de calme. Il était grand, finement musclé, les cheveux très courts, il bandait, il ne faisait pas partie de notre équipe !

J'avais retiré mes vêtements, ma bite manifestait dans sa cage, je sentais cette pression forte et douce à la fois. J’enclenchais ma douche, il sursautait, il ne m'avait pas entendu venir .

Lui : Oh ! Salut … 

Voyant mon dispositif …

Lui : Oh excuse moi mais … Je … Ça te dérange pas ? ( en montrant sa queue qui était bien droite ) 

Je lui répondais par un sourire et commençais à me savonner.

Lui : Dans mon équipe il y en a aussi qui portent ce genre de truc !
Moi : Et ils font partie des meilleurs ?
Lui : Ils sont bons, mais le meilleur … C'est moi !
Moi : C'est vrai que tu as l'air très en forme !

Il s'approchait, toujours en se savonnant.

Lui : Tu arrives à le supporter facilement ?
Moi : C'est très confortable.
Lui : Oui mais tu ne peux pas … 
Moi : Me frotter le dos ?

Il rigolait. Sa voix changeait.

Lui : Tu veux que je te frotte le dos ?

Je me retournais … Pour ceux qui prendraient l'histoire en cours de route, vous ne pouvez pas le savoir mais … Je ne suis pas farouche ! Je le laissait me frotter le dos … 

C'était plus une caresse dans le dos qu'une friction mais je le laissais faire.

Je le laissais faire quand il y mettait les deux mains, quand ses caresses descendaient sur les côtés de mon torse, sur mes reins, sur mes fesses …

Je le laissais faire quand un doigt se glissait entre mes fesses … Mais ça m'avait manqué ça ! Ça faisait des mois que je subissais une totale abstinence … Pour faire plaisir à Léa, pour préserver mon énergie, pour … J'en pouvais plus et … Je le laissais faire quand je sentais sa queue se glisser entre mes cuisse et quand il me prenait dans ses bras. Je le laissais faire et je passais mes mains dans mon dos pour le retenir !

Il me tirait vers lui, avançait son bassin et sa queue avançait et reculait entre mes cuisses, je tournais la tête. Il m'embrassait, il reculait un peu son bassin et quand il l'avançait de nouveau je sentais sa queue presser contre mon cul, me dilater l'anus et s'enfoncer doucement mais fermement dans mon cul. 

C'était bon, j'avais presque oublié combien c'était bon depuis tous ces mois ou je n'avais rien fait. C'était terriblement bon, un peu douloureux mais si peu. Il terminait pas un coup de bassin, il était bien en place et me caressait en me serrant contre lui. Il était câlin et m'embrassait dans le cou.

Il commençait à me ramoner doucement me cul, puis plus fort et finalement se laissait aller, ses coups de rein devenaient plus rapides et plus violents. D'un coup violent il me repoussait en avant des deux mains il me retenait et me ramenait vers lui . Rapidement je jutais, je jouissais peu après et continuais à juter. J'avais le souffle court. Depuis des moi j'en avais rêvé, j'avais attendu ce moment, c'était vraiment bon, le plaisir montait, ma prostate hurlait au secours c'était génial. 

Tous ces moments ou je m'étais fait défoncé le cul me revenais à la mémoire, un peu comme si toute ma vie sexuelle de passif défilait devant mes yeux. Je ne me contrôlait plus je hurlais de plaisir sans même m'en rendre compte. Il hurlait aussi dans mon oreille au moment ou il jouissait dans mon cul. Quelques convulsions de son bassin et il se retirait. 

Je me sentais vidé, bien, terriblement bien mais vidé. Lui il avait le sourire.

Lui : Tu sais ceux qui portent ce genre de truc ils sont comme toi eux aussi, ils aiment bien ma queue … Alors moi … Il n'est pas question que je porte un truc comme ça !



Ep 64 : LA FÊTE



La compétition s'était, comme je l'ai dit plus tôt, très bien passée. Mon petit frère avait un gros succès. Toutes les filles de son âge lui tournait autour le soir quand il sortait du studio. Évidemment il faisait le mariole et Bob préférait s’asseoir à côté de moi au restaurant … J'étais la vedette de l'équipe mais c'était malgré tout plus discret d'être à côté de moi !

le deuxième jours je ne concourrais pas et on m'invitait à passer au studio télé. C'était un studio installé dans la bibliothèque, dans un salon privé … Les fous, ils avaient installé un véritable mur d'écrans et on pouvait suivre toutes les compétitions depuis cette salle. Luc y passait ses journée, sauf bien sûr quand il descendait sur le terrain pour animer et toujours … Faire son mariole …

Bob n'avait pas de bureau, qu'en aurait-il fait ? Il avait un badge pass et on le laissait aller librement … C'était un privilège ! Sans badge je pense que Antoine et moi aurions été les seuls à pouvoir passer plus ou moins facilement ! On était célèbres ...

La journaliste me recevais, mon frère se mettait en place !

L'émission commençait et je pense que c'est à ce moment que j'ai eu l'idée de m'amuser un peu !

La journaliste : Nous recevons ce soir notre champion Jérémy Brosso …
Luc : Bonsoir Jérémy.
Moi : Bonsoir ! Mais dites moi, vous ne trouvez pas qu'il est mignon comme ça ! ( en montrant mon frère )

Là, il était déconcerté !

Lj :  Oui ! Notre nouveau co animateur est très mignon, il a un très gros succès ici, je ne vous dit pas Jérémy !
Luc : Ma … Je … 
Moi : Mais oui Luc tu est très mignon avec ton costume, ta cravate et tout. Tu devrais t'habiller comme ça tous les jours … 
Luc : M … J …
Moi : Et il s'en sort bien le stagiaire ? Je n'ai pas pu le suivre toute la journée ! Je ne l'ai vu qu'à quelques reprises !

La journaliste entrait dans mon jeu …

L j : Oh oui il s'en sort très bien. Il m'a dit qu'il en ferait bien sa profession …
Luc : Djé !
Moi : Oui ! ( me retournant vers la caméra ) C'est mon petit frère, vous savez ? Il est très mignon, un peu mariole mais adorable !

Bob s'était caché dans un coin derrière un projecteur mais c'est pas parce qu'il était tout rouge mais parce qu'il était plié de rire … Luc ne savait plus quoi dire et restait là, la bouche ouverte.

Luc : Djé !
Moi : Oui c'est comme ça que tout le monde m'appelle, je peux préciser que seul mon jeune frère m'appelle Jérémy … Sauf quand il est en colère contre moi !
Luc : DJE !!

La journaliste disparaissait, elle s'était jetée sous le bureau, elle était pliée de rire à voir la tête que faisait mon frère et préférait disparaître un moment … Elle ne réapparaissait que quelques instants plus tard pour annoncer une coupure publicitaire …

Mon frère me faisait les gros yeux, je rigolais comme un fou et dans la pièce il devait être le seul à ne pas rigoler … On respirait bien à fond et on reprenait … Je le laissais faire, il semblait y tenir, et finalement il s'en sortait bien. Il me connaissait bien et posait bien sûr des questions auxquelles je connaissais les réponses … Ma courte carrière de champion, mes études, mes projets qui pour le moment se limitaient à … Terminer mes études et … On verra plus tard … 

Il abordait le sujet du dispositif de chasteté, le sport, la transformation de l'école, les autres équipes …

La réunion durait presque une heure et on rendait l’antenne. On avait bien rigolé, tout s'était bien passé et mon frère avait oublié les petites taquineries que je lui avait lancé au début ! La journaliste n'était plus du tout comme l'année précédente et nous invitait pour le souper dans un restaurant. 

Ce soir là au restaurant toutes les filles que nous avons croisées nous faisaient des sourires, je leur rendais leurs sourires jusqu'au moment ou je me rendais compte que ces sourires ne m'étaient pas destinés … C'était pour mon petit frère … On s'est rendu compte par la suite que, en fait, peu de personnes savait que c'était mon petit frère, sauf les étudiants qui l'avaient côtoyé bien sûr ! Il est très mignon, je vous l'ai déjà dit il me ressemble, je suis très populaire. Il était donc le petit frère craquant du champion de la ville … Par la suite sa popularité n'a cessé d'augmenter. Il a reçu des milliers de lettres de ses admiratrices mais il n'a lu que celles de ses admirateurs et a laissé Bob lire les autres …  Il est comme ça mon petit frère !

Le test anti dopage était pratiqué et comme prévu il était négatif ! Pour tout le monde, pour toutes les équipes … Ce n'était pas vraiment une surprise on connaissait la réputation de nos adversaires, elle était irréprochable ! C'était une belle compétition et elle se terminait par une fête que plus d'un, et plus d'une, n'oublieraient pas de si tôt !

On se laissait un peu aller, on picolait … Léa avait envie de passer la soirée avec moi mais, elle est adorable cette petite et me laissait avec mes copains, je ne lui avait rien demandé mais elle m'avait dit … 

Léa : Trésor, tu sais que tu m'a manqué et je ne pense qu'à une chose … Me retrouver dans tes bras ! Je te laisse t'amuser avec tes copains mais attention il faudra rattraper ça !

Elle passait sa soirée entre filles …

Nous aussi ! D'une certaine manière ...

Sous la douche j'avais retrouvé Julien, il portait toujours son dispositif Julien mais il avait sympathisé avec un supporter d'une autre équipe. Un grand, bonne tête, belle carrure fine et musclée. Il m'invitait à les rejoindre dans un coin calme, une chambre de l'internat … Son copain n'était pas venu seul, il y avait avec lui un autre garçon … Un petit gros … Enfin quand je dis gros, je devrais dire bien carré, costaud, très musclé. Petit ! … Un peu plus petit que moi mais comme il était très large ça accentuait l'impression de petite taille. Une carrure de lanceur de marteau … Avec une bonne tête et un sourire malicieux.

Nous nous retrouvions tous les trois, on avait un peu picolé. Je prenais Julien dans mes bras, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas tenu dans mes bras celui là. Les deux autres nous regardaient faire en se déshabillant. Ils s'approchaient alors de nous l'un retirait la chemise de Julien pendant que l'autre me faisait la même chose, puis c'était le pantalon. Pour moi c'était rapide. Je vous l'ai déjà dit ? Je ne sais plus mais … Je ne porte pas de sous vêtement …

Nous étions nus tous les trois, le petit s'était approché de moi, il me tenait contre lui, tout contre … Je sentais son pénis se relever entre mes cuisses, il me donnait des baisers qui me chatouillaient au milieu du dos, une légère moustache me chatouillait et me faisait frissonner. Le grand derrière Julien lui faisait la même chose. Nous nous retournions et prenions nos partenaires dans nos bras. Il était large, massif, musclé il n'avait pas un poil de graisse. Que du muscle. Sa queue aussi était musclée, d'une longueur tout à fit normale mais massive, comme son propriétaire, bien large, bien lourde, bien ... massive …

Je n'attendais pas qu'il me le demande, je m'accroupissais devant lui et lui suçais la queue. En longueur ça ne posait pas de problème, mais pour la largeur, c'était du lourd. Il avait un énorme gland qui faisait envie. Il fallait que j'ouvre la mâchoire en grand pour le prendre dans la bouche. Déjà je me l'imaginait dans mon cul. Même si en longueur ça passait, en largeur je savais déjà que je la sentirais passer ...

Il me tenait la tête, enfonçait sa queue, ça passait. Ça passait mal mais ça passait. Je toussais, j'avais du mal … Je me relevais me retournais et me retrouvais face à mon camarade Julien. Il me souriait. M'embrassait les épaules, un moment je lui caressais les fesses et … Son partenaire avait déjà commencé à le pénétrer, je sentais sa queue qui entrait dans l'anus de Julien.

Julien se tenait à moi, et gémissait dans mon oreille, en réponse je lui mordillais le lobe, il gémissait encore plus fort. Le plus grand demandait à Julien de se pencher en avant contre le canapé. J'en faisait de même et me mettais à genoux. 
Sans attendre et sans me demander mon avis le gars que je venais de sucer se plaçait derrière moi et après m'avoir bien lubrifié le cul me plantait sa queue en un mouvement aussi rapide que violent. Je hurlais ! Je l'avais bien dit au niveau longueur ça ne posait pas de problème mais au niveau largeur … Il était trapu de la queue ce garçon … Et je le sentais bien, il me dilatait l'anus, au début ça faisait un peu mal mais rapidement c'était bon …

Il me limait ensuite rapidement, il y allait de bon cœur. Me tirait de toutes ses forces vers lui et il était costaud. Poussait avec violence son bassin en avant, son ventre frappait contre mes fesses, c'était bon, ma bite protestait, mon dispositif de chasteté se relevait et malgré les mouvements rapide ne se balançait pas vraiment tant il y avait de pression à l'intérieur. Je me cramponnais au canapé !

Il se retirait, je reprenais mon souffle. C'est le plus grand qui le replaçait Julien me regardait, son partenaire venait de se retirer il était aux anges. Les deux garçons échangeaient leurs positions. C'est une queue plus fine et plus longue qui me pénétrait alors. Je la sentais s'enfoncer doucement et longuement, je relevais la tête, il se penchait vers moi et me donnait un baiser. Je retournais la tête et on s'embrassait au moment ou il frappait contre mes fesses. Je ne pouvais retenir un gémissement sans pour autant arrêter de l'embrasser, il se retirait et revenait. Il continuait ce mouvement, doucement plus vite puis doucement encore …


Julien râlait de douleur autant que de plaisir, le '' petit gros '' se lâchait sur le cul de Julien après s'être lâché sur le mien. Le plus grand me limait le cul toujours de la même manière, avec des mouvements très amples, lents puis rapides mais pas trop … Toujours amples, sans s'arrêter … Le plaisir montait, le massage de mon anus me procurait un plaisir de plus en plus intense et les coups répétés sur ma prostate me faisaient trembler …

Un plaisir intense montait en moi ! Je me sentais rempli bien à fond, je me sentais sur le point d'exploser, le plaisir envahissait tout mon ventre et envahissait mon cœur, il remplissait tout mon corps. C'était bon, je ne jutais pas, mais j'étais pris d'un tremblement nerveux incontrôlable, je manquais d'air, je respirais fort mais je manquais d'air, je respirais fort, la bouche ouverte et sans m'en rendre compte je râlais, je criais, je hurlais de plaisir. Je jouissais sans juter mais je jouissais, ma prostate s'affolait, je ne tremblais plus c'étaient des convulsions, le gars me serrait dans ses bras fort, de toutes ses forces et il hurlait également quand il jutait dans mon cul …

Le petit continuait à se lâcher sur le cul de mon camarade Julien qui hurlait maintenant, son partenaire poussait des râles de plaisir et jouissait à son tour. Julien jutait, il n'éjaculait pas vraiment il jutait. Un flot de sperme coulait de son dispositif de chasteté, il n'éjaculait pas, il jutait, il jouissait … 

On était en sueur et on se laissait tomber sur le sol, sur le lit, sur un fauteuil … Le temps de récupérer et  on passait sous la douche avant de retourner faire la fête avec tout le reste de l'équipe …

Je me sentais bien vraiment bien et je me jurais que je ne passerais plus des semaines comme ces derniers mois … Des semaines sans toucher à un mec, des semaines à accepter de me priver de ce plaisir … A ne pas me faire défoncer le cul … Ça c'est clair ! Plus une semaine sans … !

On continuait la fête et je terminais un peu dans le même état que l'année passée, vous vous souvenez ? Je ne savais plus ou j'habitais ( Ep 24 ) Antoine et Julien m'avaient raccompagné et je ne voulais pas rentré chez moi, j'avais déménagé le jour même et je ne m'en souvenais plus je voulais rentrer dans mon ancien appartement … Ils avaient rigolé ce soir là et ce n'est pas par hasard si Antoine venait vers moi …

Antoine : Tu sais Djé que maintenant nous habitons ensemble …
Moi : ( en rigolant ) Oui je sais, mais pourquoi tu me dis ça ?
Antoine : L'an dernier tu te souviens ?

Je pouffais de rire.

Moi : Tu tu moques de moi ! Je sais ou j'habite maintenant !
Antoine : On verra bien !

Au retour on entrait à pied, on chantait sur la route, à pied bien sûr … Pas question de prendre les voitures … Elles étaient dans un parking bien tranquilles, en sécurité, on les récupérerait le lendemain … Nos chauffeurs étaient dans le même état que moi, aussi il n'était pas question de les laisser conduire. C'est donc une bande joyeuse et bruyante qui arrivait tard dans la nuit, Charles était avec nous, il nous laissait au rez de chaussée et préférait rentrer se coucher tout de suite. Nous on avait des bouteille de champagne et je me voyais déjà installé sur la terrasse à remplir les coupes … Ouai … Euh … C'est vrai qu'on est encore en hiver … Bon dans le salon, ce sera bien aussi dans le salon, et ce sera peut être mieux même en cette saison !

On était bien énervés tous. Je n'avais jamais vu Bob dans cet état ! Mais lui ne tardait pas à s'endormir, à un moment de la soirée il avait disparu, on ne savait pas vraiment à quel moment, et c'est en posant une bouteille de champagne vide dans un coin que Antoine le retrouvait. Le pauvre Bob s'était endormi derrière le canapé replié sur lui même … Le voyant ainsi Luc lui glissait tendrement un coussin sous la tête. Et on continuait à chanter … 

Un peut plus tard c'est Luc qui disparaissait à son tour, je le retrouvais rapidement, en voulant aller je ne sais plus ou, j'ai failli tomber en me prenant le pied sur sa jambe il s'était effondré à côté de son copain Bob, la tête posée sur le même coussin !

Antoine : Ils sont tout de même mignons quand ils dorment !
Moi : C'est vrai qu'ils sont … hips … mignons …

On terminait la bouteille entamée … Il ne faut pas que ça se perde … C'est du bon … C'est le même que celui que je sers à mes invités à chaque fois qu'on reçoit … Puis … Là ça devient un peu confus Romain le copain d'Antoine s'endormait sur un fauteuil, je m'allongeais dans un coin, un coussin sous la tête pour pouvoir discuter avec Antoine … Puis … Je ne sais plus … 

C'est l'odeur du café qui me réveillait … Charles était en train préparer du café, il avait posé un verre avec un cachet effervescent à côté de lui … Je me levait et en titubant j'allais comme je pouvais m'installer à la table de la cuisine … 

Charles : Ça s'est bien terminé hier ?
Moi : Euhhh …
Charles : Vous avez traîné tard ?
Moi : Euhhh … J'sais pas ! Dis tu en a d'autres ? ( en montrant le verre avec le médicament contre le mal de tête )

En quelques secondes il m'en préparait un également !

Charles : Je laisse la boite de comprimés juste là … Dis moi Djé, je peux te demander une faveur ?
Moi : Vas y toujours, dans l'état ou je suis je ne peux rien te promettre …
Charles : J'aimerais prendre ma matinée pour me reposer encore un peu plus … La soirée à été dure …
Moi : Vas y prend ta journée même je crois que personne sera trop vigoureux aujourd'hui, on devrait pouvoir se passer de toi ! Prend ta journée je passerai le mot pour que personne ne te dérange !
Charles : Je te remercie … Je prépare le petit déjeuner, vous pourrez le prendre quand … Quant tout le monde sera sorti du coma … Et je vous laisse alors … Encore merci !

J'avalais mon café et allais m'effondrer sur mon lit … Quand je me relevais beaucoup plus tard Antoine et Romain avaient disparu ! Luc avait un peu bougé, il s'était retourné … Bob dormait maintenant sur le dos … J'avais toujours mal à la tête … En fait non c'est pas vraiment la tête qui me faisait mal … C'était mes cheveux qui me faisaient mal, un peu comme s'ils avaient poussé trop fort cette nuit là … 

Progressivement vers treize heures du matin ... Oui je sais ! … Mes camarades arrivaient vers à cuisine l'un après l'autre. On avalait un café, deux aspirines, et trois bouchées du gâteau que Charles nous avait laissé et on continuait à comater devant la télé une bonne partie du reste de la journée … Malgré tout on était content, on avait encore fait une compétition qui ne nous ridiculisait pas, loin de la … 
Léa avait eu vent  de la soirée et quand elle me téléphonait c'était uniquement pour prendre des  nouvelles … Je lui racontais la fin de la soirée ce qui la faisait rire … Elle me disait qu'elle me réservait une petite surprise pour la prochaine fois qu'on se retrouverait ensemble … Mais elle ne voulait pas en dire plus …

Il fallait encore attendre le lendemain pour retrouver la forme … Charles avait préparé le petit déjeuner comme d'habitude, il était en forme, nous avions tous récupéré … Il était temps de retourner à l'école …

On ne parlait que de la compétition. Bob me racontait plus tard que Luc avait été reçu sous les ovations des élèves et le regard amusé des professeurs. Léa m'avait fait un gros câlin et Justine m'avait téléphoné !

Avec Antoine on se retrouvait dans son cabinet … Luc avait insisté pour venir avec nous, et quand il veut quelque chose celui là … On avait cédé pour avoir la paix … 

Justine : Je suis heureuse de vous voir tous les jeunes … J'ai de bonnes nouvelles pour vous …

Elle nous faisait un grand discours sur le développement de la PK … Ses ventes … 

Antoine : On se doutait un peu que ça marchait bien ce truc … 
Moi : En partant en vacances, avec Luc on a trouvé un bureau de vente de la PK …
Justine : On en ouvre régulièrement ! Les ventes on vraiment explosé, et les commandes viennent d'exploser encore depuis deux jours … La compétition … Je vais  donc vous remettre un versement assez considérable … Eh, éh, éh  …
Antoine : Mais parle … Deux cent, trois cent … ?
Justine : Oh non comment tu y vas toi ! 

Elle laissait monter le suspense, c'était son côté sadique … Puis reprenait …

Justine : Presque … Un million !

On restait pétrifié par la surprise, on savait que ça marchait bien cette affaire mais pas à ce point …

Justine : Si tout se passe bien on espère un montant similaire pour la prochaine rentrée … Mais bon comme chacun sait il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir mangé !
Antoine : Tu manges des ours toi maintenant!
Moi : C'est une avocate, elle a la dent dure et puis tu ne l'as pas vue avec son mari …
Justine : Djé !

Luc rigolait ! Ce montent n'incluait pas les contrats publicitaires qui nous étaient proposés … Si on les comptait tous ça doublait la somme … On passait un long moment à les étudier, Justine avait déjà tout décortiqué, négocié, écarter les proposition qui risquaient de nuire à notre image ou ne rapportaient pas suffisamment … On signait ! Les photos ou enregistrements vidéos seraient effectués dès la fin des cours … On en aurait pour un mois, mais un mois de travail pas trop fatigant pour gagner un million … 

Vous feriez quoi vous à ma place ? C'est facile de critiquer ! …

La réunion prenait fin Antoine et moi nous levions … Luc ne bougeait pas !

Justine : Bien, maintenant on va passer à toi Luc ! Tu as été remarqué pendant cette compétition, tu es très télégénique …
Luc : ( en rigolant )Vous pourriez me laisser, si ça ne vous dérange pas les vieux , j'ai une discussion d'affaire avec mon avocate …
Antoine : LUC !
Moi : BOURRIQUE !

Il rigolait et ne le cachait pas, Justine aussi … Bien sûr on restait ! On lui proposait à lui cinq contrat publicitaires pour un total de trois cent mille, les versements seraient étalés dans l'été, et un contrat pour co-animer une émission télé tous les dimanches pendant six mois sur les sport et les activités sportives dans le milieu étudiant pour un montant de deux mille DI (Dollars Internationaux) par émission … Il jubilait et bien sûr il signait …  Habituellement les prestations pour ce genre de travail n'étaient pas aussi élevées pour les animateurs débutants mais Justine ne nous cachait pas que cette émission était voulue par Monsieur Le Comte … 



Ep 65 : UN PROJET DE FOU



Nous étions cinquante ce soir là … Antoine et moi n'avions invité aucun étudiant, que des personnalité de la fac et de la ville, les enseignants, les deux directeurs, il y en avait toujours deux. Quelques membre du conseil d’administration de la mairie et le maire … Au dernier moment on apprenait que le gouverneur du district était encore en ville on le contactait et pour qu'il ne soit pas vexé on lui envoyait un message !

'' Monsieur le gouverneur  mon ami Antoine et moi organisons ce soir une réception à notre domicile, je vous présente pour nous deux nos plus sincères excuses de ne pas vous avoir contacté plut tôt mais nous venons seulement d'apprendre à l'instant que vous étiez encore en ville … Ce serait pour nous tous un honneur si nous pouvions vous compter parmi nos hôtes … Etc ''

On avait sauvé la situation … Si nous ne l'avions pas invité il aurait pu en prendre ombrage. Il nous répondait sans tarder qu'il serait heureux d'être parmi nous. Il ne manquait donc personne.  Greg bien sûr était là et Léa bénéficiait d'un passe droit, Romain le copain d'Antoine et Bob bien sûr étaient là eux aussi. Pour le reste aucun étudiant. On avait demandé à Stéphane, le majordome de Greg d'assister Charles, notre majordome et on avait fait appel à quelques extra … Cinquante, ça commence a faire du monde autour de la table ! J'avais prévu large pour le champagne nos invités savaient apprécier …

On parlait de l'avancée des travaux. J'apprenais que la PK se lançait dans la construction d'une série d'installations sportive dans la périphérie de la ville. 

Greg : Pour l'année prochaine nous organiserons une compétition qui durera deux semaine … Pendant les vacances d'hiver !
Moi : Deux semaines …
Greg : Le nombres de participants vas sérieusement augmenter !
Antoine : Du genre … ?
Greg : Cette année il y avait deux écoles invitées … Pour l'année prochaine on parle de vingt ou vingt cinq … 
Moi : vingt cinq … !
Greg : On prévoit jusqu'à deux mille participants …
Antoine : C'est énorme … !
Le Maire : Ma ville va devenir un centre universitaire et un centre sportif de réputation mondiale. Ce sera aussi un lieu de tourisme, les forêts seront préservées, la rivière aussi. La municipalité va invertir dans la création d'un étang artificiel, activités nautiques … Ça va être grandiose !

En disant cela il avait des étoiles dans les yeux !

Greg : Mon oncle vient d'acheter des terrains gigantesques, pour l'instant c'est une friche, le sol est trop pauvre pour l'agriculture, pas boisée … On ne peut rien y faire …
Le Maire :  Sauf construire, je viens de signer le permis de construire … Et ça va être magnifique …
Greg : Des logements pour les sportifs seront construits …
Le Maire : Et on organisera des activités sportives et touristiques pendant la belle saison …
Greg : Il y a beaucoup à faire …
Le Maire : Un centre de remise en forme …
Greg : Mon oncle achète tout ce qu'il peut dans la ville, il projette de raser la moitié de la ville …
Le Maire : Les maisons sont anciennes et au niveau architecture sans intérêt. On reconstruit dans la périphérie, des lotissements modernes, des commerces, des moyens de transport … 
Greg : Tout le monde y gagne ! Ceux qui vendent leurs vieilles maisons, en reçoivent un bon prix en plus de la possibilité d'acheter une nouvelle maison tout en faisant une belle plus-value.  
Antoine : Et les sommes mises en œuvre ?
Greg : On parle de plusieurs milliards ! …

Ce mot '' milliard '' était suivi d'un silence par toute l'assemblée … Il y a des sommes qui donnent le vertige … Il était donc si riche que ça ce monsieur Le Conte !

C'est dans la bonne humeur que se terminait ce repas, tous les invités étaient ravis de cette soirée. J'avais un peu le vertige, oh ce n'était pas l'alcool … La foule, il y avait beaucoup de monde ce soir là … Les sujets abordés, les projets … La ville serait entièrement redessinée … Et les montants investis … J'étais au milieu de cette tempête … Pas acteur de ce projet mais, comment dire, l'opinion public me considérait comme le centre de tous ces changements … 

Heureusement ce soir là il y avait Léa …

Elle m'entraînait dans ma chambre dès que le dernier invité était parti. Elle s'était absentée quelques instants plut tôt pour faire couler l'eau et quand on arrivait le bain moussant était plein et nous attendait. Elle laissait glisser sa robe sur le sol, et c'est entièrement nue qu'elle me retirait mes vêtements avec des gestes lents et calculés, un baiser après chaque vêtement …

La cravate, un baiser … La chemise, une longue et douce caresse sur mon torse et un baiser … Une chaussure, un baiser … L'autre et … Les chaussettes , pareil … Elle ouvrait mon pantalon qui tombait sur le sol, une étreinte et un long baiser amoureux et passionné … Mes sous vêtements … ? … J'aurais du en mettre pour une fois ! … Elle me prenait par la main et m'entraînait dans la salle de bain, je me laissait aller … 

Elle attrapait je ne sais ou un gode ceinture … Ça je connais, avec elle c'est pas la première fois … et un gode. Elle me le mettait dans la main et le mettait en marche. C'était un gode vibrant, c'était rigolo, ce genre de truc chatouillait, je n'avais jamais joué avec un truc comme celui là. Il était en caoutchouc doux et son contact avec la peau était agréable … Plus on le serrait fort, plus on sentait les vibrations. Je me disait qu'il faudrait que je me l'essaye un jour. 

Elle se levait devant moi, les jambes écartées, elle se caressait le sexe et se donnait du plaisir juste devant moi … Je sentais le désir monter en même temps que mon dispositif de chasteté se relevait sous sa pression interne !

Léa : Fait moi plaisir comme tu sais faire !

Sans aucune hésitation je m'approchais, lui donnais un baiser sur le sexe puis glissait ma langue dans tous les recoins accessibles, je savais ce qu'elle aimait ! Elle me caressait la tête, elle ne me guidait pas, je connaissais le chemin. Le chemin de son plaisir. Elle me caressait seulement les cheveux. Rapidement je la sentais frémir, je savais ce qu'il fallait faire pour cela. Elle me laissait faire un moment puis se retirait et me donnait un baiser passionné sur la bouche. Ma cage était sous pression maximale !

Elle était toujours devant moi, et doucement en me montrant bien ce qu'elle faisait, elle s'enfonçait le gode sur toute sa longueur …

Léa : Tu vois quand il est bien à fond et que j’appuie dessus comme ça, ça vibre juste au niveau de mon clitoris et très vite c'est … Wow … Divin … 

Elle passait de la théorie à la pratique et me montrait, elle se masturbait avec un gode juste devant moi … J'avais la tête en feu, le cul en feu, et une pression de dingue dans ma cage de chasteté ! Là elle commençait fort ! Je me disait que là elle abusait ! Je prenais le gode ceinture et relevais le bassin pour passer la sangle mais elle me le prenait des mains et se le fixait. Au moment ou elle le refermait elle levait la tête sans dissimuler son plaisir, elle avait appuyé sur le gode qui enfoncé dans son vagin ne ressortait presque pas. Ensuite elle fixait le gros gode sur le harnais et me regardait avec un regard de prédatrice devant son repas … 

Mon cœur frappait fort dans mon thorax.

Léa : Et si on changeait un peu les règles … ?

Je la regardais et mes yeux passaient de son gode qui se redressait fièrement devant elle, lui donnant une toute autre silhouette et son sourire, à ses yeux. 

Elle se penchait vers moi et me demandait de me retourner et de me pencher en avant … Mécaniquement je lui obéissais … Je me retrouvais le cul hors de l'eau et le reste du corps allongé sur le sol en dehors du bain bouillonnant … Mon cœur battait fort, comme jamais. Jamais avec un mec j'avais ressenti ça, ma bite ne frappait plus contre la cage de chasteté, elle semblait se ratatiner dans un recoin de la cage qui de ce fait me paraissait spacieuse comme ça ne lui était pas souvent arrivé.

Léa s'allongeait sur moi, me donnait des baisers dans le cou et caressait mon corps, mon torse, mes épaules, je sentais son gode qui se positionnait juste  contre mon anus. Elle glissait une main contre mes tétons que je sentais se durcir. Elle me pinçait doucement mon téton et je sentais alors à nouveau ma queue protester, elle se réveillait et reprenait de l'ampleur. La cage redevenait toute petite. La pression sur mon cul devenait plus forte, je respirait fort … Elle me mordillait dans le cou, je frémissais et poussait un léger gémissement, le gode rentrait dans mon cul, je hurlais … Le gode s'enfonçait lentement mais fermement, il glissait contre mon muscle anal qu'il détendait et je sentais chaque centimètre passer, c'était bon. Mon dispositif de chasteté était maintenant sous pression et totalement relevé, Léa passait sa main et s'en rendait compte. Elle poussait alors à fond et m'arrachait un cri de plaisir autant que de surprise …

Le gode me pénétrait sur tout sa longueur d'autant plus facilement qu'on ne l'avait pas choisi d'une dimension démesurée mais il faisait quand même ses dix huit centimètres … Il m'allait bien, je le sentais bien, c'était agréable Léa s'en rendait compte … Elle se penchait sur moi, je sentais ses seins qui s'écrasaient contre mon dos, la chaleur de sa poitrine, la douceur de ses mains de ses caresses, la force de ce gode ceinture et quand elle appuyait fort je l'entendais gémir et je sentais moi aussi la vibration du gode qu'elle avait en elle . Je sentais alors un léger chatouillis contre ma prostate.

Ce jeux durait un moment je tremblait, je frémissais elle me répondait en tremblant en frémissant elle aussi.  Elle se retirait, revenait et c'est quand elle revenait et que le gode s'enfonçait bien à fond que le plaisir était le plus intense,  pour elle aussi c'est à ce moment qu'elle gémissait, qu'elle gémissait plus fort et elle gémissait de plus en plus fort … Je jutais … Elle passait sa main sur mon sexe et le remarquait, je jutais et je jouissais …

Léa : C'est la première fois que je te sens vibrer comme ça !

J'avais le souffle court ! Elle se retirait. Je me retournais face à elle …

Léa : J'ai l'impression que tu as aimé !

Pour seule réponse, je la prenait dans mes bras et lui faisait un énorme câlin, je tremblais encore et elle tremblait contre moi. On restait encore  un long moment dans le bain bouillonnant, on ne parlait plus, on se touchait, on se caressait, on se murmurait des mots non prononcés … C'était bon, je me sentais bien et c'était la première fois avec Léa ! Enfin la première fois dans ce sens … 

Plus tard de retour dans ma chambre. Confortablement installée sur un fauteuil Léa se masturbait la bite en plastique qu'elle avait gardé fixée sur le harnais. 

Moi : Tu ressens vraiment quelque chose avec cette bite en plastique ?
Léa : Oui, comme je te le disais le gode que je me suis enfilé vibre et quand j’appuie comme ça, ça fait un bien fou !

Je me penchais vers elle et commençais à la caresser avec beaucoup de douceur, je l'embrassais sur tout le corps …

Léa : Assis toi dessus !

Sans aucune hésitation je m’exécutais. Comme elle l'avait si souvent fait avec moi, je la chevauchais, me penchais sur elle, la couvrais de baiser et m'enfonçais le gode doucement … Arrivé bien à fond je me lâchais et m'appuyais de tout on poids, elle poussait un cri de plaisir et se cramponnait à mes épaules, elle en redemandait et  moi aussi. Je faisais le travail, m'appuyais et me relevais avec rythme, avec vigueur, je relevais la tête, la penchais en arrière, mon souffle était fort, Léa respirait fort elle aussi.

J'accélérais le mouvement, Léa hurlais de plaisir, je hurlais moi aussi … C'est finalement ensemble qu'on devait jouir. Je la sentais trembler et se cramponner à moi et ma queue lâchait une deuxième fois un flot de sperme qui coulait à l'extrémité de ma cage. Ma queue restait à moitié molle, une grosse molle qui remplissait bien la cage mais sans exercer de pression. J'avais encore quelques convulsions au moment ou je me relevais puis me laissais tomber à côté de Léa. On se regardait et on se faisait un large sourire. Je l'avais souvent fait jouir mais c'était la première fois que le plaisir était partagé, en temps normal plus elle jouissait  plus je me sentais frustré …

On ne tardait pas à s'endormir. Ma nuit était bercée de plaisir, d'extases dans une ville nouvelle, moderne. Je me promenais dans un stade olympique tellement grand que les gradins semblaient s'éloigner le terrain était sans fin … Je courais et en quelques enjambées je me retrouvait de l'autre côté … On m'acclamait les gradins étaient vides mais on m'acclamait. C'était sans doute la discussion de cette soirée qui guidait ainsi mes rêves … 

Quelques jours plus tard je me rendais dans la concession automobile ou avec Antoine nous avions acheté notre voiture … J'avais demandé à Bob de m’accompagner sans lui en donner la raison … Ça ne prenait pas beaucoup de temps, le vendeur me reconnaissait, et venait tout de suite nous saluer.

Le vendeur : Monsieur Brosso, que nous vaut le plaisir de vous revoir ? J'espère que vous n'êtes pas déçu de votre voiture ?
Moi : Bien au contraire mais voyez vous, mon jeune frère vient d'avoir ses dix huit ans et il vient de réussir son permis !
Bob : Je rêve tu veux lui offrir une … ?
Moi : Oui c'est exactement ça et si ça ne te dérange pas, j'aimerais que tu la ramène à la maison, il ne sait rien !

La négociation était rapide, je choisissais un modèle début de gamme, il faut dire qu'un début de gamme dans cette marque vaut largement un bon moyen de gamme dans n'importe qu'elle autre marque … Au niveau du prix aussi … 

Bob : Il va certainement brailler que tu aurais pu choisir une Rolls …
Moi : Ça, c'est à prévoir ! On connaît le bestiau ! Ensuite il sera très content …
Bob : Ça c'est sûr !
Moi : Il me faut bien sûr toutes les options … 
Bob : Ça devrait le calmer un peu !


On réglait rapidement les formalités, assurance, carte grise, je faisait le chèque et on repartait … Bob était au volant de la nouvelle voiture …

Quand on arrivait à l'appartement Luc venait juste de sortir, il nous voyait arriver … On se garait …

Luc : Et bien dis donc Bob … Tu as une nouvelle voiture ?
Bob : Je lui dis ?
Moi : Si tu veux !
Bob : C'est pas ma voiture, c'est la tienne !

Luc ne comprenait pas tout de suite, il se retournait vers moi.

Moi : C'est pour ton anniversaire, je viens juste de te l'acheter !
Bob : Jérémy je t'adore ! Mais je peux l'essayer ?  On peut aller faire un tour ?

Bob lui tendait les clés, Luc prenait le volant, Bob s'installait à côté et on ne les revoyait que le soir … 

Charles avait mis la table, et voyant le nombre d'assiettes je réagissait que en fait Bob était parmi nous tous les jours … On était tellement habitué à le voir que personne ne s'était rendu compte qu'il s'était installé en permanence … Et je ne parvenais plus à savoir à quel moment ça c'était passé.

Moi : Dis moi Charles ! Combien sommes-nous à vivre dans cet appartement ?
Charles : Voyons vous êtes trois … Antoine, Luc et toi !
Moi : Et Bob ?
Charles : C'est vrai que en ce moment il est ici un peu en permanence, mais c'est pas grave. Il est adorable …
Moi : Il est tellement adorable qu'on ne s'en est même pas rendu compte …
Charles : Ils ne vont pas trop tarder j'espère …
Moi : J'espère, ils sont parti essayer la voiture !
Charles : Luc était content ?
Moi : Il en avait l'air !
Charles : Et il n'a pas braillé que c'était pas la bonne marque ?
Moi : Il a encore toute la soirée pour ça !

Décidément tout le monde connaît bien le bestiau, comme je disais plus tôt ! Charles rigolait en imaginant Luc, je rigolais aussi à cette idée.

Antoine ne tardait pas et les deux jeunes suivaient peu après … Luc avait un grand sourire, il me sautait au coup et m'embrassait sur la joue pour me remercier …

Luc : Toi tu es mon frère préféré !
Moi : Je suis ton seul frère et j'ai gagné beaucoup d'argent ces derniers jours …

A la fin du repas Luc décidait de sortir, en fait il ne voulait aller nul part il voulait juste rouler un peu avec sa superbe voiture neuve … Et je suis sûr d'une chose il ne donnera pas le volant à son copain Bob … Pas ce soir !

Finalement il n'avait pas braillé comme on s'y attendait du genre … '' Ouai c'est même pas une Rolls, c'est bien, je dis pas, mais la prochaine fois, j'espère que … '' … Deviendrait-il mature ? 

Luc et Bob ne se rendaient plus à l'école avec nous, ils prenaient la nouvelle voiture à Luc, au début il ne voulait pas laisser conduire son camarade mais rapidement il lui passait régulièrement le volant, Bob conduit très bien comme vous savez et Luc aussi … Il n'y a guère qu'au volant qu'il ne fait pas le mariole, au volant il devient très sérieux, très mature … Les deux gamins faisaient partie des rares élèves de leur âge à avoir une voiture, ils en profitaient pour frimer surtout que c'était une très belle voiture … 

Quelques temps plus tard … De retour à la maison, Luc et Bob avaient l'air particulièrement contents …

Moi : Et bien les jeunes, on dirait que tout se passe bien pour vous …
Luc : Ouai c'était génial, c'était le jour de ma séance photo … 
Bob : Super, et pour un après midi de travail bien payé en plus !
Moi : Vous y étiez tous les deux ?
Bob : Oui Luc a réussi a m'avoir un petit contrat. C'est génial, j'ai jamais gagné autant d'argent … Et sans me fatigué en plus !
Moi : Mais dis moi Luc tu as fait comment ?
Luc : C'est simple, l'annonceur était une filiale de la PK, une marque de vêtements de sport … J'ai téléphoné au Big Boss … S'il ne pouvait pas … Un petit contrat … Bob … Et il a dit oui ! 
Moi : C'est vrai qu'il ne peut rien te refuser à toi … 

Il est comme ça mon petit frère, Bob venait de gagner un joli chèque en un après midi … Mais c'est pas pour ça qu'on allait lui demander de participer au frais de l'appartement … Là je crois que Luc me tomberait sur la couenne et que je l'entendrait vraiment brailler … Surtout qu'il savait combien j'avais gagné ces derniers mois … De plus personne ne payait de loyer, pas plus que les service de Charles notre majordome et c'était pareil pour les frais annexes, depuis l'électricité jusqu'aux réceptions trois fois par semaine … 

Bon, en tous cas ça semblait définitif, Bob logeait désormais avec nous ! Finalement on n'attendrait pas le prochaine rentrée ! Ce dernier trimestre allait se terminer tranquillement, tout le monde était content. Antoine et moi  étions  millionnaires, Luc allait gagner une très grosse somme et même Bob était content, il n'avait rien demandé à personne et il venait d'empocher dix mille DI presque sans rien faire … 

Mes relations avec Léa changeaient légèrement à partir de cette période, mes relations intimes je veux dire, on avait finalement trouvé une nouvelle manière d'utiliser les jouets … Les soirées en tête à tête seraient plus chaude, moins frustrantes pour moi et tout aussi plaisantes pour elle … Je m'en régalait d'avance rien que d'y penser …  



Ep 66 : UN EX A LEA



Les dernières morsures de l'hiver avait laissé place à un printemps très doux cette année là, dans la journée on avait souvent la baie vitrée ouverte dès que le soleil donnait. Il faisait encore un peu froid pour se faire bronzer mais c'était agréable de pouvoir sortir sans avoir besoin de trop se couvrir.

J'aime ces changements de saison, surtout celle là, le passage de l'hiver au printemps. Les corps emmitouflés pendant plusieurs mois se libèrent de leurs gangues de vêtements trop épais, les silhouettes s'affinent et plus de peau devient visible, les regards se perdent sur des décolletés plus ouverts ou des chemises plus légères. Des cheveux s'envolent au vent quelquefois encore frais de ces belles journées ensoleillées. Les pantalons aussi deviennent plus fins et ne dissimulent plus cette jolie bosse entre les cuisses des garçons pas plus que les chemisiers ne dissimulent les deux jolies bosses si voluptueuses qui rehaussent l'allure élancée des jeunes femmes …

Ou là là je deviens poète, il faut que je me calme moi … Bon avec les mecs ça ne change pas grand chose on se voit toujours à poil sous la douche … Et paf ! Ça c'est déjà moins poétique ! Ouf ! Je m'en sorts bien là … Et ça me fait ça tous les ans ! … 

Passons … En rentrant je prends une douche froide et si je ne vois pas Léa … Un gode. Et hop, après ça ira mieux !

Mais je me demande si le printemps lui faisait ça à elle aussi ou bien si c'était une impression … ? … Léa semblait devenir plus … Comment dire ? … Sexe … Plus chaude … Plus demandeuse de plaisirs, de ma peau, de ma bouche, de mes caresses, de mes mains, de mes tétons, de ma douceur … Bon laissez tomber, c'est peut être moi ! … Douche froide … ! Je me demande s'il en font avec des glaçons ? Vous savez un peu comme les distributeurs d'eau dans les réfectoires … Ça serait bien, en tous cas dans un état pareil ça ferait du bien. Mais toutes ces demandes érotiques que j'adressais à Léa … Et bien … Elle y répondait avec ardeur … Une chose est sûre … Elle était très sexe !

Un soir on se retrouvait dans un casino très sympa. Il n’y a pas de casino dans la ville, bon je suis sûr que c'est en projet. Avec le développement du tourisme on va certainement me dire bientôt que c'est prévu mais pour le moment il n'y en a pas … On s'était réfugié dans une ville à quelques kilomètres de la maison pour pouvoir sortir et être tranquilles. Je ne sais  pas si je vous ai dit que j’étais très populaire et que dès que je sors il y a facilement cent cinquante personnes autour de moi ? Enfin si vous ne le saviez pas c'est que vous avez loupé un épisode … Donc le seul moyen d'être tranquille c'est de sortir dans une autre ville ou je rencontrerais moins de personnes connues. Parce que autrement les soirées romantiques en tête à tête, je ne vous dis pas … Cent cinquante pèlerins à nous tenir la bougie, ça ne le fait pas vraiment. Heureusement j'ai les moyens de me cacher et pour ça rien de tel qu'une suite dans un bon hôtel. 

Au début ils me donnaient la clé d'un air complice, avec un petit sourire … Puis ils ont fini par remarquer que c'était toujours la même fille qui était avec moi et comme ils savaient que je n'étais pas marié … On leur a expliqué et depuis ils filtrent le passage, si vous me demandez dans l’hôtel j'en serai averti avant même que le réceptionniste n'ai le temps de vous répondre, et il répondra ce que je lui demanderai de répondre. Ils sont adorables et on est tranquille. 

Bien sûr on ne joue pas, dans un casino il y a d'autres distractions, une salle de danse, un salon dansant ( c'est presque pareil mais plus … chic ... ), bars, restaurants, sale de concert ( il y avait du jazz ce soir là ), saunât, hammam …

Nous prenions un digestif léger après avoir passé une soirée délicieuse au restaurant trois étoiles quand je remarquais un jeune homme dans mes âges. Je vous ai parlé de ces pantalons avantageux il y a quelques instants, et bien c'était un exemple qui illustre parfaitement le sujet … Mais quand je dis avantageux, le pantalon n'était pas seul en cause !

Il regardait dans ma direction, sa chemise était ouverte sur un torse musclé, fin et subtilement poilu qui ne dissimulait pas une certaine virilité. Un visage carré, un sourire ravageur un regard azur profond qui donnait le vertige. Il regardait dans ma direction, il me souriait, il venait vers moi …

Je paniquais! 

Je ne montrait rien à Léa mais je paniquais. Il était trop beau le mec ! La vache ! Dans ma tête les questions fusaient : '' C'est qui ? Mais c'est qui ! Non de dieu ! C'est qui, je ne me souviens plus ? Ça va me revenir mais c'est qui ? ''

Léa : Ça va chéri, tu as l'air bizarre d'un coup ?
Moi : Moi, oui, oui, ça va, euh, un petit coup de fatigue !

Il était juste derrière Léa, ça ne me revenais pas je ne savais pas qui c'était, j'étais tétanisé …

Lui : Léa ? C'est bien toi ?

Léa sursautait et se retournait. Suivait un cri de joie.

Léa : Jonathan ! Mais mon dieu, ça c'est une surprise, mais qu'est ce que tu fais ici ? Tu ne peux pas savoir comment ça me fait plaisir de voir !
Jonathan : ( on connaît son nom maintenant ) Je fais une sortie avec des amis du boulot. Je ne m'attendais pas à te trouver ici !

Ils se prenaient dans les bras et s'embrassaient ( sur la joue ), moi je restais là, probablement l'air un peu con … Mais, bon ... ! C'était Jonathan alors … !

Jon : Mais je ne te dérange pas j'espère, tu n'est pas seule !
Léa : Je suis avec mon fiancé, ( elle se retournait ) Je te présente Jérémy Brosso ! Tout le monde l'appelle Djé ! Djé je te présente …
Moi : Laisse moi deviner … Jonathan je présume …

Ils éclataient de rire … On se serrait la main et bien sûr Jonathan se joignait à nous.

Jon : Mais … Djé … C'est pas toi dont tout le monde parle, le champion régional de taille internationale ?

Je lui confirmais d'un mouvement de la tête.

On parlait de son boulot, il travaillait dans une banque de placement …

Moi : Placement mais le ciel qui t'envoie ! J'aurai des placements à faire moi … 

On parlait de moi et de ma célébrité !

Jon : Moi j'ai essayé de porter une fois ce truc, c'était un défi au boulot. Mais garder ma bite enfermée dans un de ces machins, c'est pas pour moi !

On parlait de Léa !

Jon : Nous nous connaissons très bien et de très longue date.
Léa : Mais nous n'avons été amants que très peu de temps !

Voilà une manière singulière de me présenter un de ses ex ! … 

On buvait un verre, puis un autre. Je n'avais pas cours lundi matin, on était samedi soir, on avait donc prévu de ne partir que lundi après le petit déjeuner … On buvait encore un verre !

Plus tard dans la soirée, on allait dans la boite de nuit, où, on buvait encore quelques verres … Il nous présentait ses camarades avec qui je buvais quelques verres … J'étais bien parti quand Léa se penchait vers moi et me glissait à l'oreille …

Léa : Tu as pensé à prendre les godes ?
Moi : Je me suis aperçu que je les avais oublié, mais il y a un sex-club pas loin, il ferme tard on peut y passer je suis sûr qu'il y aura tout ce qu'il faut !
Léa : On pourrait aussi inviter John ?
Moi : C'est qui John ?
Léa : Mais Jonathan voyons !
Moi : Tu lui a demandé ? Il a dit oui ?
Léa : J’attendais avant de t'en parler, mais je le connais bien et je sais ce qu'il va répondre !

J'avalais ma salive et regardais dans la direction de John ! Je me disais '' La vache, il est vraiment beau, et il a l'air bien équipé, ce serait bien mieux qu'un gode … '' . Ma bite ne tardait pas réclamer, elle hurlait … OUI ! … Mon cul se contractait et me disait : '' Ça va faire mal mai j'en veux '' et ma prostate me promettait déjà des plaisirs affolants !''

Moi : Euh … ! Pourquoi pas … ! Enfin … Euh … Je sais pas quoi t'en penses, toi ?

Elle me donnait un baiser brûlant sur mes lèvre et me répondait.

Léa : D'accord !

Elle prenait alors ma carte de crédit en me disant de l'attendre, elle revenait … De suite … Au passage elle passait à côté de John, le prenait dans ses bras et lui glissait un mot à l'oreille. Il tournait le regard vers moi et me lançait un grand sourire … Il venait s’asseoir à côté de moi …

Jon : Ça te dérange pas ? Tu es sûr ?
Moi : Non au contraire …
Jon : Tu l'as déjà fait à plusieurs ?
Moi : Oui, souvent à une époque !
Jon : Et ta cage de chasteté, ça ne gênait pas les autres ?
Moi : J'en portais pas à l'époque !
Jon : Oui je vois!
Moi : …
Jon : En fait je ne vois pas du tout ! Et comment tu fais avec Léa ?

Je lui racontait mais sans parler du dernier usage que nous avions trouvé au gode ceinture … Il avait l'air intéressé, très intéressé même … 

Jon : Et toi ? Ton plaisir ?
Moi : Moi ! Et bien … 

Il avait posé sa main sur ma cuisse. 

Jon : Je peux toucher ?
Moi : Oui vas y !

Doucement autant que discrètement il tâtait mon dispositif de chasteté. J'avais posé ma main sur sa cuisse et doucement je remontait vers son entre jambe prometteuse, quand j'y arrivais j'étais saisi. Ma queue protestait de nouveau, la pression devenait intense dans ma cage, il ne remarquait rien, ma prostate s'affolait et mon anus aussi … C'était pas du chiqué, c'était plus que prometteur, C'était énorme … Suivaient deux autres verres coup sur coup !

Léa ne tardait pas, elle me rendait ma carte de crédit en nous montrant un sac en plastique d'une belle taille qui dissimulait parfaitement son contenu. On montait dans la chambre. 

La porte était à peine fermée qu'elle me sautait dessus, me prenait dans ses bras et m'embrassait avec fougue, elle avait l'air chaude ce soir … John restait à côté de nous, juste à côté de nous, je ne comprenais pas mais quand elle se tournait vers lui pour l'embrasser à son tour je remarquais qu'elle le retenait par la main. Elle se retournait vers moi de nouveau, toujours des baisers brûlants, puis passait à John … 

Elle se retirait sans prévenir et …

Léa : A vous maintenant je vous regarde !

C'était clair, et c'est sans hésiter que John me prenait dans ses bras et m'embrassait avec le même vigueur que Léa quelques instants plus tôt, je me lâchais et lui rendait ses baisers, ses caresses. Ma tête était en feu, ma cage sous pression et je me demandais tant de choses … Léa à déjà fait ça ? … John à déjà fait ? … J'ai déjà fait ça ? … Bon là c'est une question idiote, je sais, je connais la réponse, mais j'avais bu ce soir là !

Léa se glissait entre nous et en glissant une main sous nos chemises elle nous disait simplement … '' Déshabillez-moi !'' … Je lui prenait la main, lui donnais un baiser sur la main, lui caressait le bras, ma main remontait à son épaule, se glissait doucement sous la petite lanière qui retenait son soutient gorge, de l'autre main j'ouvrais ce corsage, la main de John me caressait ma main, il avait la même idée que moi … Rapidement Léa n'avait plus que son soutient gorge puis rapidement plus rien, je me glissait derrière elle et lui caressait le corps, le torse, le ventre, les seins. Mes mains rencontraient les mains de John qui lui, devant Léa faisait comme moi.

Je l'embrassais dans le cou, elle gémissait, je lui mordillais l'oreille tout doucement, elle gémissait. John que je surveillais d'un œil lui embrassait les seins, il la chatouillait avec le bout de son nez, elle gémissait, il lui mordillait le bout des seins avec une extrême douceur. 

La technique est simple, les dents du haut, le téton, glissez ensuite votre langue puis enfin les dents du bas. Si vous mordez trop fort vous le sentez parce qu'alors vous vous mordez aussi la langue. ''. Il sait y faire le mec, j'aimerais bien qu'il me le fasse aussi '' ça m'aurait fait gémir mais là c'est elle qui gémissait. Ma cage se relevait elle était sous pression. 

Je me collait contre le dos de Léa, John se collait contre elle et ce sont les épaules de Jonathan que je caressais, c'était mon dos qu'il caressait. On se donnait du plaisir avec force, tendresse, douceur mais toujours virils. Je penchais ma tête par dessus l'épaule de Léa pour l'embrasser dans le cou, elle gémissait, je rencontrais la bouche de John, nous nous embrassions avec passion, il gémissait … 

Léa se retournait, je lui embrassais les seins, avec douceur. Jonathan lui caressait les épaules et glissait ses deux mains sur son ventre pour lui ouvrir la jupe, ( un joli petit bout d'étoffe de rien que je lui avait offert à prix d'or ). Comme par réflexe, je collais mon ventre contre le ventre de Léa comme pour empêcher Jonathan de parvenir à ses fins … Ça ne l'arrêtait pas, ne pouvant atteindre la jupe de Léa il ouvrait mon pantalon qui tombait sur mes chevilles. Vous savez que je ne porte pas de sous vêtements ! … D'un élégant mouvement de la jambe ( enfin j'espère ) je lançais une chaussure, puis la seconde, le pantalon suivait j'étais nu. 

Jonathan passait la tête pas dessus l'épaule de Léa pour admirer le résultat, il avait un petit sourire narquois. 

Moi : C'est moi qui ai gagné !

Il me répondait par le même sourire, la jupe de Léa tombait, il en avait profité … C'est moi qui en profitait alors, je tombais à genoux devant Léa et posais mes lèvres sur son sexe, il me laissait faire et pendant que je lui donnais du plaisir entre ses jambes, il lui en donnait sur le reste de son corps … Elle gémissait de plus en plus fort. Au bout d'un moment, fatigué de me voir ainsi, il se mettais à genoux lui aussi, à côté de moi et tranquillement venait m'embrasser  goulûment, il y avait toujours de la tendresse mais il y avait en plus de la passion, de la folie et quand il se retournait vers Léa, il prenait ma place et c'est lui qui alors lui donnait du plaisir !

Je me vengeais sur lui, le caressais, l'embrassais sur les épaules, le dos. Passais mes mains sur son ventre et lui ouvrait le pantalon. Je me relevais prenait la place qu'occupait Jonathan peu avant et caressais les seins de Léa, elle penchait la tête en arrière, on s'embrassait. 

Léa : Va voir dans le sac que j'avais en entrant, il y a un gode-ceinture !

J'enfilais le harnais et y fixais le gode. Léa s'écartait de Jonathan et se jetais sur le lit, allongeait sur le dos, les jambes et les bras écartés, elle nous regardait. Jonathan enlevais son pantalon … Il le jetait dans un coin avec le reste de ses vêtements. Sa queue se relevait, elle était énorme mais il bandait bien. J'avais presque peur. Ma queue protestait dans sa cage et poussait pour sortir, sans espoir mais elle ne renonçait pas. Nous nous retrouvions tous les deux nus devant Léa, moi avec une bite en plastique qui se redressait mécaniquement et Jonathan avec sa bite, sa vraie bite, énorme qui se redressait avec fierté … Je ne pouvais plus en détacher les yeux ! 

Léa le remarquait. Elle me lançait : '' Suce le ! ''. Je m’exécutais, mon cœur battait fort, j'avais l'impression qu'il battait au ralenti mais que chacun de ses battements était particulièrement fort et frappait aussi  mon thorax, ma bite poussait dans sa cage ! J'en menais pas large, je m'étais déjà enfilé des gode aussi gros, mais ça faisait longtemps, même si je m'y étais remis depuis peu, ça faisait un moment que je manquais d’entraînement. De plus quand tu t'enfiles un gode c'est toi qui contrôle. Là il n'y avait aucune chance, et il était costaud, il allait me défoncer le cul, m'éclater la rondelle … Je n'attendais que ça, me la prendre dans le cul, mais je le redoutais également !

Je me concentrait sur son gland, je le léchais, je le suçais. J'avais l'impression de me déboîter la mâchoire pour le faire entrer, mon cul se contractait. Sa queue s'enfonçait lentement, une contraction, un envie de vomir et je me retirais. Je reprenais mon souffle, avalais ma salive, me concentrais et je recommençais. Sa queue rentrait un peu plus profond. Il prenait ma tête à deux mains, mon cœur s’arrêtait, il appuyait d'un coup sec, sa queue entrait, il gémissait, j'avais du mal à me contrôler mais je la prenais sur la moitié de sa longueur. Ma prostate protestait, s’alarmait et mon cul se contractait, ils semblaient me dire qu'ils refusaient une telle matraque … 

Léa : Djé ! Viens sur moi et fait moi l'amour comme tu sais si bien le faire .

Jonathan se retirait, j'avais déjà mal à la mâchoire et une drôle d'impression dans la gorge … La vache il est vraiment bien monté ! Je m'allongeais sur Léa avec douceur, plaçait le gode en position et doucement la pénétrait, je la sentais se cambrer, relever le bassin, je sentais sa respiration, son souffle et quand j'étais bien à fond, je faisais une pose et …

Léa : Jon tu pourrais enculer Djé s'il te plaît, tu serais mignon !

Mon cœur s'arrêtait, mon cul se dilatait et se contractait, ma prostate paniquait, ma bite poussait pour sortir pour s'enfuir, j'avais envie de m'enfuir en hurlant que ça ne passerait pas, que c'était trop gros … J'avais envie mais je ne bougeais pas … Jonathan s'allongeait sur moi, j'étais tétanisé, je sentais sa queue s'appuyer doucement contre mon anus qui se contractais. J'avais l'impression que ce qui poussais était son genou … La pression augmentait, j'avais l'impression que rien ne rentrerait, trop large. La pression devenait plus forte et sans que je ne comprenne ce qui se passait mon anus se détendait et la queue de Jonathan s'enfonçait. A cet instant j'ai vu des étoiles !

Jon : J'suis pas mignon !

Tout le reste de mon corps se contractait, mon anus se détendait au point de me laisser craindre qu'il allait se déchirer mais tout se passait bien, ça faisait mal, je sentais chaque millimètres glisser contre l'entrée de mon anus. Je sentais ma prostate s'alarmer s'écraser contre cette pression interne qui me dilatait mes organes internes. Et ma queue ? Ma queue ne se faisait plus remarquer, de ce côté je ne sentais plus rien, plus aucune pression, elle avait sans doute réussi à s'enfuir !

Je me concentrais sur Léa, et commençais des mouvements de va et vient, Jonathan me suivait, quand j'avançais il avançais et quand je me retirait il suivait le mouvement et reculait. Il restait planté dans mon cul, bien à fond. Au bout de quelques mouvements, il se désynchronisait, doucement au début puis plus vite. Léa gémissait de plaisir, elle se cambrait et suivait mes mouvements. Jonathan était complètement décalé par rapport à moi. Quand je me retirait il s'enfonçait complètement, et se retirait quand mon gode entrait complètement en Léa … Je ne bandais pas, ma  queue s'était réfugiée dans un tout petit coin de sa cage. Je tremblais, j'avais du mal à respirer, j'avais l'impression que j'allais m'effondrer, mes bras tremblaient, j'allais craquer. 

Léa semblait aux anges, j'avais le vertige, quand Jonathan s'enfonçait dans mon cul, j'avais l'impression qu'il allait ressortir par ma bouche. Je gémissais … Je craquais, tout mon corps se révulsait, se contractais, mes intestins se contractais pour chasser tout ce qui était de trop, repousser Jonathan, l'expulser … Mais Jonathan résistait il ne voulait pas ressortir et il continuait à me buriner, je gueulais, il ne lâchait pas … je hurlais, je convulsais, je jouissais … Pas une goutte de sperme ne coulait mais je convulsais dans une plaisir infini
 … 

Le corps de Léa se contractait lui aussi sans contrôle, elle jouissais comme une folle. Elle jouissais comme je ne l'avais jamais vu jouir … C'était parce qu'elle me voyait là dans les bras de son ex et qu'il me défonçait le cul ? J'en pouvais plus, je me décidais enfin à demander à Jonathan de se retirer. Il me balançait encore quelque coups de reins puis se retirait … Je me retirais également et me laissait tomber sur le sol, j'étais vidé ! Je tremblais encore un moment, j'avais froid sur un coussin d'un hôtel de standing bien chauffé … J'avais froid, je finissait pas me lever m'enrouler dans une couverture puis je m'installais sur un fauteuil.

Sur le lit Léa et son ex se faisaient des câlin. Il s'allongeait sur le dos, et Léa s'empalait sur lui, elle le chevauchait et commençait à bouger son bassin d'avant en arrière … Mais rapidement il ne la laissait pas faire tout le travaille, il prenait les choses en main. Il prenait d'abord les hanches de Léa en main, il la maintenait pendant qu'il soulevait le bassin et se laissait retomber. Léa poussait un cri à chaque fois qu'il retombait, elle retombait alors elle aussi et s’empalait alors de tout son poids, elle gémissait alors, puis criait et enfin gueulait de plaisir. Ses seins se balançaient, Jonathan lui caressait alors les seins, il les attrapait avec force, elle semblait aimer, elle jouissait encore. Elle jouissait bruyamment, elle hurlait. Jonathan râlait de plaisir à sont tour, je devinais la conclusion il criait lui aussi, il hurlait au moment ou il jouissait et je voyais son corps se convulser, se contracter … Encore quelques mouvements désordonnés et il retombait sur le dos, Léa repliait ses jambes en arrière et se laissait tomber sur son ancien amant. Elle tournait la tête vers moi et me souriait.

Un peu plus tard elle se relevait, la queue de Jonathan se retirait enfin, j'allais mieux, je les retrouvais dans le lit, nous étions épuisés, j'avais un peu mal au cul mais le contraire aurait été étonnant. Léa s'endormait en premier, elle était entre nous, Jonathan regardait le plafond il avait le sourire. Je regardais son profil, il était vraiment beau, j'avais envie de m'amuser avec sa bite mais je n'osais pas … Et puis … Réveiller le loup … Mon cul me rappelait à chaque battement de mon cœur que ça pourrait faire mal … Pourtant j'avais envie, j'en avait encore envie …

C'est comme s'il avait deviné mes pensées … Il tournait son visage vers moi et me faisait un clin d’œil. Je me laissais aller et m'endormais rapidement !



Ep 67 : LENDEMAIN DE FÊTE



Léa se réveillait en pleine forme. J'étais un peu … Pas trop en forme … La tête dans le pâté, un peu mal au crane, et cette sensation pas vraiment désagréable de se sentir rempli, bien dilaté et agréablement rempli au niveau du cul … Je m'étais pris de quoi la veille au soir ! … 

Avant que j'ai eu le temps de réagir, elle s'était levé, douché, habillé et partait faire un petit tour. Je ne suis pas sûr d'avoir bien entendu,  elle me parlait d'un petit déjeuner, d'une galerie marchande, et de … Ah oui ça me revient maintenant … De ma carte de crédit … 

Je restais là, allongé sur le dos. Une main me caressait le torse, je me retournais, c'était Jonathan … Je l'avais presque oublié celui là mais au moment ou je le revoyais mon cul me faisait savoir que lui, il ne l'avait pas oublié !

Je lui caressait la main et le souvenir de son énorme matraque me réveillait la bite, elle se manifestais dans sa cage, je sentais la pression, je bandais, enfin j'essayais … Sa main me caressait le torse et descendait sur mon ventre pour finir sur ma bite en cage et mes couilles.

Jon : Ça va toi ?
Moi : Ouai ça va !
Jon : J'aime bien ton truc …
Moi : Tu en veux un  je peux t'avoir des prix !

Il rigolait. 

Jon : Non ça ira comme ça ! J'aime bien ce truc sur les autres, pas pour moi !
Moi : Ça fait moins de concurrence !
Jon : J'ai pas peur de la concurrence !
Moi : C'est vrai qu'il n'y en pas beaucoup à la hauteur !

Je me levais et me dirigeait vers la salle de bain. Au passage je contemplais son corps magnifique et surtout cette bite disproportionnée qui m'avait défoncé le cul la veille, j'en sentais encore sa présence en moi. C'était cette sensation agréable de se sentir encore un peu dilaté mais vidé après avoir été tellement rempli, si violemment rempli !

Je laissais l'eau couler sur moi, sur mon visage un long moment … Je commençais à me savonner quand Jonathan arrivait à sont tour dans la salle de bain, j'admirais sa démarche, il est vraiment beau ce mec, j'admirais aussi cette lourde saucisse qui se balançait mollement bien accrochée sur son entre jambes.

Il avait le sourire, et semblait fier de lui. Il me retrouvait sous la douche, me caressait le dos, l'épaule puis il glissait sa main jusque sur ma cage de chasteté, il la tripotait un peu la relevait pour pouvoir bien l'examiner. Elle se relevait déjà toute seule sous sa pression interne, elle était bien remplie, ma queue était maintenant bien réveillée et réclamait un peu d'espace et de liberté … Il ne faut pas rêver, il n'en était pas question, de toutes façons je n'avais pas la clé. Il n'en était pas question, c'est tout !

Jonathan m’agrippait les couilles fermement, il me faisait mal mais je le laissais faire, il me tirait fermement vers lui, je ne résistais pas. Il passait son autre bras autour de mon dos et me serrait contre lui. Ma bite palpitait au rythme de mon cœur qui frappait fort. Je prenais Jonathan dans mes bras et me serrais fort contre lui, il me serrait les couilles bien fort d'un coup ce qui provoquait un réflexe de recul de ma part et me les lâchait.

On se collait l'un à l'autre à nouveau ? Nous restions serrés l'un contre l'autre, l'eau coulait sur nous. Nous nous embrassions et après ce court intermède un peu … Viril … Ce n'était plus que tendresse, caresses et douceur … 

Je sentais sa queue se relever entre mes cuisses, elle glissait grâce au savon et se faufilait jusqu'à mes couilles qu'elle soulevait doucement …

Jonathan : Retourne toi ! 

Je me retournais et m'appuyais contre le mur de la douche. Jonathan me savonnait vigoureusement le cul, il y glissait un puis deux doigts. Savonnait abondamment avant d'y glisser, sans aucune douceur un troisième doigts qu'il agitait dans mon cul. Je gémissais déjà d'un plaisir douloureux. J'avais écarté les cuisses et me retenais, penché en avant, les deux mains appuyées sur le mur.

Jonathan se collait contre moi, la bite bien redressée entre mes cuisses.

Jonathan : Serre les cuisses !

J'hésitais, pas sûr de bien comprendre. Il reprenait sur un ton plus sec !

Jonathan : Referme tes cuisses, bien jointes …

Sa queue se retrouvait coincée entre mes cuisses, elle dépassait bien devant et poussait sur mes couilles, je me caressais les couilles et m'attardais sur la queue de mon partenaire qui dépassait ... Je la sentais bien, là, entre mes cuisses. Elle était énorme. Il faisait des mouvements d'avant en arrière, elle glissait sans résistance avec le savon. Je respirais fort ! Mon anus palpitait et ma prostate frétillait … Souvenirs de la veille … 

Avec sa queue Jonathan me caressait l'anus quand il reculait et me soulevait les couilles quand il avançait … Il s'attardait plus longtemps sur mon cul puis reprenait … Il s'attardait un peu plus longtemps sur mon cul à chaque passage puis reprenait. Il appuyait bien longuement sur l'ouverture de mon cul pour me détendre avant de recommencer ce mouvement puis, sans prévenir il appuyait plus fort et enfonçait son énorme bite bien à fond dans mon cul, me dilatait jusqu'à la limite de la déchirure et m'écrasait la prostate. Je hurlais !

Sans pitié, il appuyait bien fort m'obligeant à me relever sur la pointe des pieds, mes mains cherchaient quelque chose à accrocher, j'avais la bouche ouverte comme pour appeler à l'aide mais aucun son n'en sortait. Il me serrait bien fort contre lui, se retirait, juste un peu avant de s'enfoncer à nouveau, avec violence, j'entendais son ventre frapper contre mes fesses.

Dans mon corps, c'était la panique. Mon anus allait se déchirer, ma prostate écrasée appelait au secours avec une sensation de plaisir intense et de douleur. Avec un gode on contrôle mais quand c'est une bite et qu'il y a quelqu'un au bout … C'est lui qui contrôle ! … Il ne s'en privait pas … Il pensait à son plaisir, uniquement à son plaisir. J'étais un jouet, une sorte de sex-toy mais contrairement à ce qui se passait avec Léa, les sensations fortes étaient pour moi.

Je ne résistais pas, je me laissais faire. J'étais bientôt submergé de plaisir, je jouissais, je jouissais comme un fou. Quand il se retirait je jutais, quand il avançait et me remplissait plus rien ne coulait. A chaque mouvement le plaisir devenait plus intense, je frémissais, je tremblais, je convulsais, j'étais pris de mouvements incontrôlables … J'allais tomber mais il me retenait … Je me penchais complètement en avant et posais mes mains sur le sol, il me tenais par les hanches et me donnais de violents coups de bassin quand il me tirait vers lui. Il me poussait en avant m'obligeant à m'appuyer sur le sol pour ne pas tomber quand il se retirait. 

Je manquais d'air, je suffoquais, je voulais gémir mais aucun son ne sortait de ma bouche … J'aurais voulu gueuler, hurler mais je restais muet ! A peine une légère plainte sortait de ma gorge, une plainte comme celles qui précèdent une crise de larmes. Jonathan continuait ainsi encore un petit moment et ces mouvements devenaient plus rapides, plus violents encore, pour se terminer par quelques coups secs juste au moment ou il jouissait, il me relevait alors et me serrait fort contre lui. J'entendais son souffle contre mon oreille, je tremblais, je ne tenais plus debout et s'il m'avait lâché je serais tombé comme un poids mort. 

Il se retirait, un flot de sperme coulait de ma cage de chasteté, il semblait ne pas vouloir s'arrêter, je m'asseyais sur le sol, l'eau me coulait toujours sur le corps. Devant moi, gai comme un pinçon, Jonathan reprenait sa douche, il me regardait avec un petit sourire satisfait … J'étais mois aussi satisfait, le cul un peu endolori mais satisfait … Satisfait aussi qu'il se soit retiré …

Je reprenais mes esprits, puis je reprenais également ma douche. Ensuite je me laissais tomber mollement sur le lit, Jonathan y était déjà allongé, on récupérait … Pour lui je ne sais pas … Mais pour moi, je peux vous garantir qu'il faut de l'énergie pour encaisser tout ça … Remarquer pour lui aussi, je suppose que pour bander comme il le fait avec une bite pareil il faut aussi beaucoup d'énergie … 

On se faisait beau et on descendait au bar pour prendre notre petit déjeuner, il commençait à faire tard, on prendrait juste un café … On retrouvait Léa, elle était attablée devant un thé, quelques pochettes en papier décorée de la marque de l'hôtel, un peu comme celles qu'on vous offre généreusement quand vous achetez des vêtements de luxe par exemple …

Léa : Ah vous voilà … Je me suis occupé un peu en vous attendant !

Elle nous montrait une jolie robe en soie qu'elle venait de s'acheter …

Léa : Je n'ai pas pu résisté quand j'ai vu cette merveille. Comment tu la trouves Djé ?
Moi : Très joli !

Elle me rendais ma carte de crédit il y avait le ticket de caisse avec. Si le montant de  mon compte en banque ne s'écrivait pas avec sept chiffres je peux vous garantir que j'aurais convulsé … Mais c'est vrai ça ! C'est quoi cette manie de vendre des étoffes plus chère que leur poids en or, largement plus chère. Arrivé à ce niveau on pourrait en faire une monnaie de référence. Je me disais : ''Peut être que mon compte en banque ne s'écrit plus qu'avec six chiffres maintenant !'' . Je gardais le sourire, elle avait l'air contente, et de toutes façons il y avait encore un bon million de DI qui devaient arriver dans quelques mois … 

On prenait un café, en attendant de passer à table … Finalement il était presque l'heure du dîner déjà on préparait la salle à manger. Jonathan dînait avec nous, nous passions encore un moment à discuter après le repas puis il retrouvait ses camarades avec qui il était venu … Quand je le voyais partir, j'avais encore cette sensation au plus profond de mon ventre et je me demandais … Quand ? … Si ? … Et je savais que le souvenir de cette queue énorme me laisserait rêveur encore longtemps … 

Nous passions le reste de la journée à déambuler dans la ville, à faire du tourisme, à nous détendre … On se couchait tôt, je dormais bien cette nuit là, Léa était dans mes bras, détendue je la tenais doucement, détendu … On ne sortait pas les jouets et j'étais trop fatigué pour regarder de plus prêt la petite boite qu'il y avait aussi et que je n'avais pas ouvert … sur le couvercle ou pouvait lire '' GIGOTEUR '' … Se recharge par induction … Pilotable avec votre smart-phone … ?

On se réveillait tôt, on était en pleine forme. Rapidement on faisait les valise. Celle de Léa ne fermait plus …

Moi : Mais elle fermait sans problème quand on est arrivé !
Léa : J'ai fait quelques emplettes …
Moi : Oui mais enfin si tu parles de la petite robe … Ce genre de chose en prix ça se compte en kilos et en poids en grammes. C'est pas ça qui va prendre beaucoup de place …
Léa : Les jouets … 
Moi : Oui ça c'est vrai, ça c'est plus gros.

Elle me montrait un des godes qu'elle avait acheté, un gros, presque aussi gros que la bite à Jonathan …

Léa : Celui là, tu vas te le prendre dans le cul ! J'ai vu comment tu aimais ça !

Je restais penseur devant le truc, j'en avais un du même genre à la maison plus petit peut être ? Mais à peine, je ne suis pas sûr. En regardant de plus près sur l'emballage je remarquais un détail … Un logo … C'était un petit dessin qui représentait une maison bourgeoise ou un château et qui ressemblait étrangement au Château … Celui qu'on connaît …

Je lisais plus en détail. La marque était '' LE  MANOIR DU PLAISIR '', en tout petit on pouvait lire … '' Fabriqué pour le Manoir … Filiale de la société Le Château … 

Moi : Je rêve !
Léa : Tu disais Djé ?
Moi : Rien je pensais à haute voix … Une impression … Ça doit être une erreur !

On prenait la route … Je laissais Léa conduire, elle aime bien ma voiture et j'en profitais pour me reposer !

Moi : Mais tu as acheté beaucoup de gode, j'ai pas tout vu ?
Léa : Tu penses au gros que je t'ai montré ?
Moi : Oui … Il est balaise !
Léa : Je me suis dit que si tu pouvais te prendre la bite à Jonathan tu pourrais te prendre un truc de ce genre …


Léa : Avant qu'on commence à jouer comme on le fait … C'était pas la première fois pour toi ? 
Moi : Mais qu'est-ce qui te fait penser ça !
Léa : Jonathan à une bite hors norme, elle est énorme, et je sais par expérience que si tu n'est pas un minimum habitué … Ça peut faire des dégâts !
Moi : Bein disons que j'ai un peu tâté …
Léa : J'ai eu des échos …

On échangeait des regards et des sourires complices. Puis on roulait … Nous avions deux cent kilomètres à faire avant d'arriver. Léa arrêtait la voiture moins de cinquante kilomètre plus loin. Elle allait chercher quelque chose dans le coffre de la voiture et revenait avec la boite que j'avais remarqué … '' LE GIGOTEUR '' … j'examinais la boite toujours la même marque, Le Manoir , le Château … 

Léa : Ouvre !

Il y avait à l'intérieur un gode d'une forme un peu spécial, il avait la forme d'une saucisse de Toulouse mais parfaitement droit. Quatre centimètre de diamètre sur quinze de long. Le contact était agréable …

Léa : C'est télécommandé, ça se plie au milieu de quarante cinq degrés dans un sens et autant dans l'autre sens … C'est télécommandé par ton smart-phone, vitesse réglable, amplitude du mouvement réglable, c'est programmable et ça se recharge par induction … 

Je continuais à examiner le jouet, à une des deux extrémité il y avait une ficelle qui devait permettre de le récupérer plus facilement … Ça me faisait sourire, j'étais amusé par ce nouveau gadget. Léa sortait son téléphone et le dispositif commençait à bouger, il se repliait dans un sens puis dans l'autre, il pouvait vibrer aussi ...

Léa : Enfile toi le dans le cul !

Je sursautais à cette demande que je n'attendais pas, la regardais dans les yeux, elle souriait … Je sortais de la voiture disparaissait quelques instants derrière un buisson et revenait m'installer dans la voiture … Léa avait l'air vraiment amusée.

Léa : Je me l'étais pris pour moi,mais c'est pas grave la prochaine fois qu'on reviendra j'en achèterai un autre … 

Je m'installais bien confortablement, elle reprenait la route … 

Au bout d'une dizaine de minutes, le gigoteur se manifestait, il commençait par vibrer. Je fermais les yeux, c'était cool. C'était doux, rien de violent comme je l'avais un peu redouté, une vibration qui rapidement faisait réagir la prostate bien stimulée pendant ce week-end. Et le plaisir montait rapidement, sans m'en rendre compte je gémissais doucement !

Léa : Tu as l'air d'aimer ça dis donc ?
Moi : Qu'est ce qui te fait dire ça ?
Léa : Je t'entends gémir de plaisir ?
Moi : Mais non !
Léa : Mais si !

Finalement elle avait raison, je m'en rendais compte quand le petit truc ( enfin pas si petit que ça ) recommençais à vibrer mais un peu plus fort cette fois. C'était divin … Brusquement le dispositif se pliait, je sursautais … Il continuait à vibrer … Il se pliait brusquement mais dans l'autre sens cette fois ci . Je poussais un cri et me redressai. Il continuait à se plier mais doucement, la vitesse était raisonnable, je me laissais tomber sur le fauteuil. Le plaisir montait rapidement et là je gémissais mais je m'en rendais compte. Au bout d'une petite demie heure j'étais en transe … Je respirais fort, et je tremblais … 

Le dispositif s'affolait alors et il ne vibrait plus seulement a force maximale, il se pliait dans un sens et dans l'autre. C'est là que j'ai compris pourquoi on l'appelait '' LE GIGOTEUR '' ! Ses mouvements devenaient violents, rapides et violents ! Il suivait un programme partait en douceur augmentait en puissance, se ralentissait un peu puis plus fort et ainsi de suite jusqu'à atteindre une vitesse élevée, et une grande amplitude, il s'arrêtait totalement, je reprenais mon souffle, et sans prévenir il repartait encore un moment avec une vitesse et une amplitude de mouvement élevée … Il faisait alors une pause, là j'avais presque le vertige, et reprenait au début.

Arrivé à la fin du sicle je me cramponnais à mon fauteuil, j'avais envie d'éjaculer et le plaisir parvenait jusqu'à mon pénis, je sentais le plaisir jusqu'à l'extrémité de mon pénis tout au long de mon urètre, un peu comme quand on éjacule. C'était le pied … 

Un nouveau sicle reprenait, j'avais envie de crier '' NON '' mais je ne disais rien, je ne bronchais pas, je me cramponnais c'est tout. Suivait encore un sicle, je convulsais … Un orgasme qui durait dans le temps, j'en pouvais plus mais je ne pouvais pas me résigner à demander grâce et je laissais le truc continuer.

Une heure et demie plus tard, j'étais effondré sur le fauteuil, je convulsais, je jouissais, c'était un plaisir de dingue, un truc je vous dis pas j'avais jamais connu ça … Léa prenait son téléphone dans la main … Et le dispositif se calmait doucement au moment ou nous entrions en ville, je récupérais un peu. Si la voiture s'était arrêtée à ce moment je pense que je n'aurais pas pu tenir debout mais quand la voiture s'arrêtait devant la maison, je parvenais à prendre une valise monter dans l'appartement et j'allais me coucher avant que mes jambes ne me lâchent …

J'avais juste salué les colocataires d'un mot, avant de disparaître, Léa arrivait juste après moi.

J'entendais Charles qui lui demandait si tout allait bien, elle répondait juste : '' Grosse fatigue ''. Peu après je retirais le '' GIGOTEUR '' de mon cul, Léa venait s'allonger à côté de moi, je récupérais rapidement mais je gardais cette sensation de massage de la prostate, cette agréable sensation de me sentir vidé après avoir été tellement rempli, la bite à Jonathan puis le Gigoteur pendant une heure et demie … 

Avec Léa on s'amusait avec on le mettait en marche sur la table et il portait bien son nom. Il bougeait vite, il sautait sur place à la vitesse maximale … Et c'est ce truc que j'avais gardé dans mon cul pendant tout le retour …

Nos jeux érotiques avec Léa devenaient plus chaud. Il faudra acheter un autre '' GIGOTEUR '' et même plusieurs, ça devrait faire des heureux … 

Avec Antoine on investissait notre nouvelle fortune dans un immeuble, on en possédait chacun la moitié et on le mettait en location. Luc commençait une carrière d'animateur télé, il s'en sortait bien. Bob s'adaptait doucement au port du dispositif de chasteté, pour le moment il ne gardait jamais trop longtemps. Peut avant la fin de l'année scolaire il m'en parlait …

Bob : En fait Djé c'est pas si difficile que je le pensais, là ça fait deux semaines que je le porte … Tu avais raison on s'y habitue à ce truc … 

Le dernier trimestre se terminait. Les vacances arrivaient, Luc ne quittait pas l'appartement, il avait son émission. Il était prévu d'en enregistrer plusieurs pour lui laisser le deuxième mois des vacances tranquille il le passerait avec son amis Bob, et avait décidé de retirer le dispositif pendant cette période ... Antoine et moi restions aussi le premier mois était réservé aux contrats publicitaires, photos, enregistrement vidéo, essayage … Léa disparaissait dans sa famille pendant deux mois … Charles prenait le deuxième mois de vacances puisque nous devions tous rester pendant le premier … 

On faisait une super fête avant de partir en vacances, certains retiraient leur dispositif d'autres choisissaient de le garder encore jusqu'à la fin de l'année suivante … ( Encore un an ) ! Il n'y a pas si longtemps j'aurais eu peur d'une telle idée, mais maintenant je ne prévoyais pas de le retirer avant … 
Un an ? 

Non ! 

Certainement beaucoup plus !

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