GROUPE DE VACANCES 12 Ep 12 : LE CHATEAU ET SES HABITANTS

 GROUPE DE VACANCES 12

Ep 12 : LE CHATEAU ET SES HABITANTS 



– Vous connaissez Jean-François ? Nous demandait Greg. C'est le responsable de la sécurité ! Il m'a dit qu'il vous avait déjà rencontré. 

– J'espère que vous ne m'en voulez pas pour les gifles ? Sans rancune, je faisais mon boulot ! …


On lui serrait la main … Sans rancune !


– Alors M Le Conte c'est ton oncle ! J'étais sûr que tu étais dans ce coup ! … Et en plus tu fais partie de la noblesse … ! Demandais-je à Greg.

– En fait, c'est mon grand oncle ! C'est l'oncle de ma mère … Moi, je ne m'appelle pas Le Conte … Mon nom c'est Ducran et de plus, non je ne fait pas partie de la noblesse, mon oncle s'appelle Le Conte, en deux mots, c'est son nom, c'est pas un titre de noblesse …


On passait à table. Monsieur Le Conte savait tout de nous, il nous donnait des conseils, Jean François se proposait de prendre en main notre entraînement sportif. Greg, je me doutais dès que j'avais vu son dispositif à celui là qu'il avait un rôle important dans cette histoire … Le petit neveux de Monsieur Le Conte … Greg donc, cet enfoiré, se proposait de nous donner des cours, il ne maîtrisait pas que la philosophie. Il collectionnait les diplômes universitaires.  La bibliothèque était à notre entière disposition ainsi que toutes les installations sportives … 


On nous expliquait aussi le protocole … Charles était à notre service mais pas 24h / 24 … Il y avait des horaires pour chacun des employés … Ici, il n'y avait que des hommes …  Ils portaient tous un dispositif de chasteté et vivaient à demeure au château … Il ne pouvaient le retirer que quand il s'absentaient du château pour plusieurs jours … Certains avaient choisi de le porter en permanence … Charles, Jean François ou Greg ainsi bien sûr que Monsieur Le Conte … Certains le portaient depuis très longtemps … Chacun toutefois, je le répète, pouvait librement retirer leur dispositif s'il s'absentait du château plusieurs jours … ( Sauf nous ) !


On ne se baladait pas à poil ! C'est pas parce qu'on ne pouvait pas être vraiment à poil qu'on pouvait se balader à poil ! Sauf bien sûr à la piscine … A la piscine l'usage d'un vêtement aussi léger qu'un maillot de bain  n'avait finalement pas été jugé nécessaire ! On avait également le droit d'être nu dans certaines parties du parc à l'extérieur, dans la maison on se devait d'être décent !  Nous étions des invités mais nous devions mériter notre séjour … On était condamné à réussir brillamment notre examen de rattrapage autant que notre seconde année … Dans tous les cas on devrait porter notre dispositif pendant un an … 


Le repas était excellent … On préférait se retirer tôt dans notre chambre après s'être assuré auprès de Greg que ça ne provoquerait pas de scandale. Monsieur Le Conte comprenait très bien que nous ayons besoin de nous reposer … Ce qu'il ne comprendrait pas c'est qu'on traîne sans faire notre entraînement ni nos révisions, là on risquerait d'être viré du château avec notre dispositif sur nous ! Il comprenait parfaitement qu'après toutes nos émotions et le voyage on était un peu fatigué ! Il comprenait parfaitement que nous voulions nous coucher tôt, même tous les jours, pourquoi pas. Il ne comprendrait pas qu'on commence l'entraînement à six heures nous disait Greg et il rajoutait … '' Même pour la première journée … ''. L'entraînement commence à cinq heures !


De retour dans la chambre je me laissais tomber sur mon lit, Antoine faisait de même !


– Quelle journée ! M'exclamais-je .

– Que d'émotions !

– Je suis épuisé !

– Je suis mort !

– Je vais bien dormir !

– Je vais faire des cauchemars !

– Je ne pensais y revenir aussi vite ! Disais-je en secouant mon dispositif.

– Tu en rêvais ! Mais moi je ne pensais pas y revenir … !

– Un an, ça va être long !

– Un an, mais j'ai des tas de copines moi !



– Mais pourquoi tu as voulu revenir ? S'énervait Antoine.

– Il me semble que l'idée venait de toi … de plus je ne connaissais pas la route !

– Tu aurais dû m'en empêcher !

– Je ne sais pas, je ne sais plus !

– On s'amusait bien ensemble !

– Pourquoi, on a voulu venir ?


Dans ma bouche le tu devenait ' on '.


– Tu étais en manque ! Me demandait Antoine.

– Et maintenant on va être overdosé pendant un an !

– Sans pouvoir toucher à une fille !

– On pourra toujours se faire enculer !

– Il n'y a que des mecs et ils portent tous un dispositif de chasteté ! 

– Et la salle de jeux ?

– On est passé devant et ce n'est plus la salle de jeux !

– Mais les jouets, ils sont toujours quelque part les jouets !

– Bon d'accord on s'encule ! Et pour tirer mon coup avec une fille, je fais comment !

– Il n'y a que des mec !

– Tu m'énerves !


On finissait pas s'endormir nu chacun sur notre lit, notre '' costume pour le souper '' soigneusement posé sur une chaise … 


Le lendemain ! Cinq heure moins le quart ! Charles frappait discrètement à notre porte. Sans même ouvrir les yeux je gueulait … '' Entrez '' … Il entrait, je relevais la tête pour voir qui c'était … Nous n'avions pas bougé depuis la veille, nus sur le lit les bras en croix … Il était en tenue de sport et il passait pour voir si on était prêt, pour être sûr qu'on ne se lèverait pas trop tard … Et très organisé qu'il était, il avait emmené des tenus de sport aux couleur du château pour chacun de nous … On se retrouvait vite en tenue et on descendait en suivant Charles …


Ici tous les employés faisaient plusieurs heures de sport tous les jours, ça faisait même parti de leur emploi du temps et les heures de sport étaient comptées dans les heures de travail … Il tenaient tous une forme olympique … Charles avait trente deux ans, il était plus vieux que nous mais nous n'étions pas capable de le suivre. Jean François en avait près de quarante et il nous clouait sur place, au niveau musculaire je préférais qu'on soit amis … J'avais goûté à sa gifle, il ne lui aurait pas fallu beaucoup plus pour m’assommer et m'envoyer à l’hôpital. Même Monsieur Le Compte, soixante dix ans passés et il faisait tous les ans son marathon terminant toujours à une place honorable, derrière des beaucoup plus jeunes mais devant de très nombreux beaucoup plus jeunes … Antoine et moi étions assez bon dans une ou deux disciplines mais eux, ils étaient bons dans toutes … !


Les entraînements sportifs commençaient vers cinq du matin et se terminaient un peu avant l'heure du souper. Les équipes se succédaient, à cinq heure une équipe préparait le petit déjeuner pour ceux qui étaient déjà à l’entraînement, ils feraient leur entraînement plus tard, après cette première équipe … Cet exemple valait pour tous les services du château … Il y avait donc toujours de nombreuses personnes à faire du sport. Un pause était respectée par toutes les équipes au début de l'après midi … l'heure sacrée de la sieste … C'est précisément à cette heure ci que nous étions arrivés la veille et c'est pour cela que le parc paraissait désespérément vide …


Au fil des jours, on prenait le rythme, Charles venait nous chercher tous les matins vers cinq heures moins le quart. Un premier entraînement jusqu'à sept heures trente, petit déjeuner puis une pause. Révision des cours jusqu'au dîner. Les repas étaient absolument délicieux, j'avais rarement mangé aussi bien, mais les repas restaient parfaitement équilibrés et adaptés à une activité sportive intensive. Venait la sieste suivie de deux heures et demie de sport sous la direction de Jean François, retour aux révisions puis détente en attendant le souper puis promenade dans le parc, soirées vidéo … C'était une vie d'ascèse et de privation … en tout cas au niveau sexuel !


Au bout de deux semaines Antoine craquait, on appelait Charles, on lui demandait de s'asseoir pour discuter …


– Dis moi Charles, tu as entendu parler du Groupe de Vacances ? Demandais-je.

– Bien sûr Monsieur Djé !

– Et les jouets qu'il y avait dans la salle de jeux … ? Demandait Antoine.

– C'est moi qui les ai rangé la dernière fois !

– Ils sont ou ?

– Je comprends, j'en ai gardé un pour moi ! Vous savez Monsieur Le Conte n'a rien contre, à condition qu'il ne le sache pas, enfin, qu'on soit discret … Un massage de la prostate c'est bon pour l'hygiène mentale !

– On ne parle pas de massage de la prostate là ! Répondait Antoine, un peu tendu.

– On peut en récupérer un ou deux ? Demandais-je

– Ou trois ou quatre … Continuait Antoine.

– Il craque !

– J'en peux plus !

– Si vous voulez me suivre … 


Charles nous conduisait au grenier, sous les combles, c'était propre le château était parfaitement entretenu et même les combles étaient isolés et parfaitement habitables si on l'avait voulu … Mais comme il y avait de la place ailleurs … Tout un tas de cartons, classés par tailles, une montagne de godemichets !


Nous commencions à chercher la dedans … 


– Vous le voulez gros, très gros, long, très long, un plug … ?


On finissait par trouver quelque chose à notre goût, belle taille pour moi, plus modeste pour Antoine … Il y avait du gel, enfin tout ce qu'il fallait. On avait oublié la présence de Charles et on s'embrassait, on se caressait … On ne pouvait pas se sucer alors on passait directement à la phase suivante. Je retournais mon camarade lui lubrifiait le cul et lui enfonçait doucement mais fermement le gode qu'il s'était choisi ! Il gueulait de plaisir. Ce jeu durait un moment, puis se retournant il me dit …


– C'est pas pareil !

– Même pour moi c'est pas pareil ! 

– Je te sens bien dans mon cul mais je te sens pas contre ma peau … C'est bon dans le cul mais c'est pas pareil sur la peau … !

– Si vous le permettez Monsieur Antoine !


On l'avait oublié celui là … Il était toujours là. Il nous avait observé et se tenait debout, on voyait son ombre de profil qui exposait une magnifique érection … mais alors là, quelque chose d'impressionnant … ! Pourtant il me semblait que ici, c'était Érection interdite !


Charles se rapprochait et en fait il ne bandait pas, il ne pouvait pas avec son dispositif en métal, il portait un gode ceinture … 


– Alors ça c'est une trouvaille ! Faisais-je remarquer un peu étonné.


Il m'en donnait un, je le passais, et bien sûr, ça changeait tout. Je pouvais étreindre mon camarade, le caresser et en même temps l'enculer … Antoine s'était retourné et m'offrait ses fesses, je le pénétrait rapidement et instantanément il gémissait de plaisir, il était en manque et était demandeur. Moi aussi j'étais demandeur ...


– Charles, s'il te plaît tu  pourrais m'enculer ? Lui demandaist je gentiment.

– Avec plaisir Monsieur Djé !


Il se plaçait derrière moi et me pénétrait avec l'énorme bazar qu'il avait choisi pour lui ! Je l'ai senti passer. Doucement au début puis plus rapide, plus fort. Je faisais les mêmes mouvements dans le cul d'Antoine, quand je m'enfonçais Charles se retirait, quand je me retirais Charles me défonçait … 


On ne pouvait pas jouir avec notre bite et pour cause, mais on pouvait donner du plaisir au partenaire qu'on enculait sans risque de panne sexuelle, sans risquer de débander. C'est comme un don pour l'autre, c'est à l'autre qu'on donnait du plaisir on se concentrait sur ses sensations, on se donnait et on donnait ! Je finissait par jouir par le cul, je gueulais aussi fort qu'Antoine qui jouissait également, une rivière, un fleuve de sperme coulait de l'extrémité de mon dispositif de chasteté. Pour Antoine c'était pareil, lui aussi il jutait. Charles se concentrait sur mes réactions, il arrêtait, se retirait me laissant complètement vidé. Antoine était dans le même état que moi, on lui laissait le temps de récupérer puis il s'occupait du cul de notre valet de chambre … Je les regardais et j'appréciais le spectacle. Charles était vraiment beau quand il jouissait, ce jour là il n'éjaculait pas mais il jouissait comme un fou !


Il était presque minuit quand on redescendait à notre chambre avec, Antoine et moi, un sac en plastique contenant un harnais et plusieurs godes et plugs chacun ! Dans ma tête je me faisait un cinéma en imaginant ce qui se passerait si quelqu'un trouvait ces trucs dans notre chambre … J'avais oublié que le seul qui risquait de ranger nos affaires, précisément, c'était Charles … J'aurais bien aimé voir sa bite à celui là, la sucer et me la prendre dans le cul ! Il nous laissait à la porte de notre chambre, il logeait au même étage que nous un peu plus loin au fond du couloir !


On s'endormait rapidement … Ça allait mieux … On était moins tendu et je me souviens avoir passé une très bonne nuit, Antoine aussi ! 


Au bout de deux semaines de révisions, d'entraînement et de nourriture délicieuse autant qu'adaptée à un sportif mes performances revenaient proche de mes records … Antoine n'avait jamais été aussi bon en sport ! Si on continuait on était désormais sûr de passer en seconde année ! On progressait aussi dans les autres matières plus intellectuelles … 


On téléphonait régulièrement à nos parents, ils ne comprenaient pas vraiment ou nous étions, chez qui, et ce qu'on y faisait. Un jour c'est une mauvaise nouvelle qui arrivait. La location de l'appartement n'était pas possible, un courrier m'avait été envoyé, à l'appartement justement, il avait suivi chez mes parents avec beaucoup de retard et comme je n'avais pas répondu, le propriétaire avait loué à quelqu'un d'autre ! C'était la tuile ! Antoine se trouvait dans la même situation. 


Le soir au souper M Le Conte nous voyant préoccupés nous demandait ce qui n'allait pas. On lui expliquait … Il nous répondait simplement qu'il allait voir ce qu'il pouvait faire, qu'il avait des relations sur  place … Trois jours plus tard, il nous confirmait que le problème était résolu ! Pour un loyer plus faible que celui que nous avions il nous avait trouvé un appartement en colocation, mais pas dans le même appartement, nous serions dans le même bâtiment au même étage … Nous aurions chacun des colocataires qui avaient une très bonne réputation, studieux et sérieux … Il n'en disait pas plus !


Dans les jours qui suivait on se demandait si on ne pourrait pas intervertir un logement avec un des colocataires pour se retrouver tous les deux dans le même appart. Greg nous disait que ce n'était pas possible … En fait les appartements appartenaient à son oncle et c'était un choix volontaire de placer un porteur par appartement ! ?


Notre séjour se continuait avec la même régularité, les jours passaient vite !


Je rencontrais à la piscine un petit jeune, Antonio, plus jeune que moi, il était beau comme un dieu, mais un peu maniéré, on devinait vite qu'il était gay, il travaillait aux cuisines. Son dispositif était plus petit que le mien. Il me racontait comment il était arrivé là.


– En fait tu as remarqué que je suis … Un peu maniéré … Commençait Antonio .Tout le monde se moquait de moi à cause de ça. Je recherchais un boulot ou on me respecterait, ou je ne serais pas le souffre douleur … Les mecs ne m'appréciaient pas, on m'insultait souvent, on me rejetait, j'ai même été frappé quelquefois et comme je suis pas des plus costaud … Un jour quatre pauvres cons m'avaient pris à parti et me tabassaient en riant … C'est alors que Jean François a débarqué de je ne sais ou … Il leur a d'abord gentiment fait la morale … Ils l'on envoyé braire en même temps qu'un des gars me balançait un coup de poing qui m'étalait par terre … La gaffe … ! Quand je me suis réveillé quelques instant plus tard les quatre gars étaient mal en point, ils pissaient le sang par le nez, ils étaient couvert de terre, couverts d’hématomes avaient du mal à marcher, ils se cramponnaient les uns aux autres pour pour s'éloigner au plus vite … Jean François n'avait même pas froissé sa veste et n'était pas non plus décoiffé !


J’éclatais de rire …


– Je l'ai vu à l’œuvre, la première fois que je l'ai rencontré il m'a donné une gifle. Il est adorable mais il ne faut surtout pas l'embêter … 

– Ni s'en prendre à un plus petit que soi en sa présence ! En fait c'est un tendre ! Il est bâti comme un ours mais c'est un grand tendre ! 


Antonio reprenait son histoire …


– Il s'était penché sur moi et s'assurait que j'allais bien … Je lui racontais mon histoire et il me dit qu'il avait, peut être, une solution à me proposer … Il me donnait l'adresse d'ici et me dit de me présenter dès que je le pourrais ! Quelques jours plus tard j'ai revu les quatre cons qui m'avaient agressé … Ils portaient tous encore plusieurs bandages et deux d'entre eux avaient le nez cassé ! … Et tout ça en quelques secondes ! 

– Il est balaise Jean François !

– Je me présentais donc ici, et c'est lui qui me recevait ! Il avait un grand sourire me faisait entrer dans son bureau, nous discutions, j'avais déjà travaillé dans un restaurant … Rapidement on trouvait un accord au niveau travail … On arrivait au point délicat …

– J'ai compris, lui répondais-je en montrant du doigt mon dispositif, c'est ça le point délicat …


Antonio rigolait.


– C'est exactement ça ! Mais Jean François avait beaucoup de tact, il y venait en faisant de grands détours !

– Pour moi et mon copain, il nous a juste dit de baisser notre pantalon !

– C'est un marrant … Il te donne une gifle et te demande de baisser ton pantalon … Il ne devait pas être dans un bon jour !

– On était entré par effraction !

– Évidemment, si tu l'embêtes aussi ! C'est lui le chef de la sécurité tout de même !… Donc, il parlait d'abord d'une certaine rigueur morale à laquelle Monsieur Le Conte tenait beaucoup … Il finissait par me montrer une photo en m'expliquant qu'il fallait porter ce genre de truc en permanence si on voulait travailler et même séjourner ici ! J'étais fasciné ! J'en avait déjà vu, rêvé même, mais là … On me le  proposait ! On était d'accord pour le boulot, je n'avais qu'à dire oui à ça … Je lui demandais s'il en portait un lui aussi. Il me répondait que oui, bien sûr ! Et rapidement me le montrait !

– Ça aussi il me l'a fait après m'avoir demandé de baisser mon pantalon !

– On continuait à parler, sur les sensations qu'on éprouve, si on peut le retirer, quand, ou et finalement je lui répondais que … De toutes façons je suis passif, que j'ai une petite bite, et que j'en ai marre que les mecs se foutent de ma gueule … Alors avec ce truc on ne parle plus de taille ! J'étais prêt à signer pour une période d'essais !

– C'était quand ?

– Il y a un peu plus d'un an ! Le lendemain M Le Conte me recevait, il savait déjà tout de moi !

– C'est une habitude chez lui !

– Il confirmait mon embauche, je passais de nouveau dans le bureau de Jean François … Il me prenait mes mesures … '' En effet tu as une petite taille, mais tu sais c'est pas grave, une grosse ou une petite bite donne la même sensation à son propriétaire ''. Je ressentirais la même chose que tous les autres. Il ne se moquait pas. En érection dix centimètres ( à peine ) … Il me dit d'attendre en visitant les lieux … 

– Mais attention, ici c'est érection interdite !

– Exactement ! Je visitais le parc, il y avait tout un tas de gens qui faisaient du sport à poil, ils ne portaient que … J'avais la cervelle en feu ! Et de plus en plus envie de travailler ici ! Trois heures plus tard, mon premier dispositif en plastique était imprimé. Juste à ma taille ! Je le passais non sans difficultés car je bandais puis … J'ai validé mon contrat de  travail en fermant moi-même le cadenas … Depuis on m'en a donné un en métal … Je passais alors en contrat à durée indéterminée … J'ai pris des vacances depuis mon arrivée mais j'ai préféré ne pas le retirer … Voilà !


Je lui racontais à mon tour mon parcours, on riait beaucoup et on sympathisait !


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