PHILIPPE EP 41 : PANIQUE A BORD

 PHILIPPE

EP 41 : PANIQUE A BORD



Dans la maison, c'était la panique. Étrangement mon père était calme, il était dans son bureau et s'était fait livrer les principaux journaux. Je ne sais pas ce qu'il cherchait, mais c'est vrai que comme sa confiance envers mes tontons était très limitée, il voulais sans doute s'assurer que l'information était sous contrôle.


Moi sur ce point je ne m'inquiétais pas du tout. Je savais parfaitement que mon tonton Luc ne ferait rien qui pourrait me nuire ou même seulement nuire à ma réputation. Tonton Luc c'est un amour.


Ma mère courait dans tous les sens, elle était suivie par sa secrétaire qui ne lâchait pas son carnet de notes et son téléphone. La pauvre, je lui donnait bien du travail.


Le majordome s'agitait lui aussi, il croisait ma mère …


– Madame j'ai installé le gouverneur à la table cinq. Il y sera avec Monsieur Bob, je crois qu'ils se connaissent déjà.

– Très bonne idée, Alfred. Je n'arrive pas à joindre le président de la fédération Européenne. Mon dieu, mon dieu, mon dieux, nous ne seront jamais prêts dans les délais.


Le régisseur arrivait. 


– Je pense que nous pourrions loger les cinq présidents au quatrième l'étage ?

– Non, lui répondait ma mère, le président Amérique du Nord ne restera pas il devra repartir au milieu de la nuit. L'hélicoptère devra … Mais ou est le responsable des vols, la sécurité aérienne je veux la sécurité aérienne. 


La secrétaire de ma mère s'activait sur son téléphone …


– Là madame, j'ai le responsable des vols en ligne.


Ma mère prenait le téléphone et repartait dans l'autre sens, sa secrétaire suivait comme elle pouvait. Et tout le monde continuait à courir dans tous les sens.


A ce moment arrivait comme une furie le chef cuisinier, il traversait la salle me bousculait sans même s'en rendre compte, je tombais par terre. 


– Madame il me faut le menu ! Je ne peux plus attendre une seconde de plus, il faut arrêter immédiatement le menu, sinon je ne réponds de rien !

– Mais voyez ça avec le chef cuisinier mon ami, j'ai autre chose à faire.

– Mais je suis le chef cuisinier !


Il avait répondu trop tard, ma mère était déjà repartie et sa secrétaire avait disparu aussi. Il était juste à côté de moi, je l'entendais râler. Il se retournait, me bousculait …


– Mais vas jouer ailleurs toi, on a du boulot, c'est pas le moment pour ça.


Il repartait.


– Ou est le marié, LE MARIÉ, j'ai besoin de voir le marié !

– Je … Je … Je … 


Il ne m'avait même pas reconnu et n'avait pas fait attention à moi. Mais enfin, c'est vrai quoi, c'était moi le marié !


Ma mère revenait, elle était toujours au téléphone et toujours suivie par sa secrétaire … 


– Mais enfin Philippe, tu n'as rien d'autre à faire que de rester assis par terre au milieu du passage ? Mais qu'est ce que j'ai fait au bon dieu pour avoir un fils pareil ?


Je ne savais plus quoi faire, c'est à peut près à ce moment que mon grand père est arrivé.


– Bonjours Philippe … J'ai compris tu t'es installé à la croisée des chemins pour superviser toutes les opérations ? Mais toutefois je ne suis pas convaincu par le résultat que tu vas obtenir.


Il s'asseyait juste devant moi. Et là comme par magie plus personne ne me bousculait, tout le monde nous contournait avec soin. Moi j'étais invisible mais lui, on le voyait.


– Il va falloir que je mettes le dispositif ? Dis Papy !

– J'en ai bien peur, il y a un minimum de protocole à respecter. Mais nous trouverons une solution, tu ne le garderas pas trop longtemps.

– Si je le retire, papa va me déshériter …

– Ça c'est sûr, mais j'ai déjà pris mes précautions. Tu ne manqueras de rien mon petit Philippe.

– J'espère parce que je suis un gosse de riche moi !


Il rigolait à ma réplique et m'invitait à me réfugier dans ma chambre. Ma mère arrivait, elle était toujours aussi affolée. 


– Et toi Philippe, tu n'as rien d'autre à faire ? Remarque tu as raison, ne fait rien, surtout ne fait rien ! La dernière fois que tu as fait quelque chose ce n'était pas une réussite …  ( Enfin jusqu'ici ). Jérémy vous étiez là, je ne vous avais pas vu.Comme vous voyez ici c'est la panique.


Jérémy c'est mon Papy pour ceux qui ne connaissent pas. Je me réfugiais dans ma chambre. Un peut plus tard c'est Victor qui me rendait visite, il était accompagné par Gabriel. Je ne le connaissait pas vraiment celui-là. Je l'avais déjà vu de loin, il n'était pas dans mon école, il devait être en fac il me semble.


– Victor, mais qu'est ce que tu fais là ?

– C'est ton père qui m'a invité à ton mariage ! Alors c'est vraiment vrai, tu vas te marier ?

– Oui, comme tu dis, c'est vraiment vrai !

– Avec une fille ? Rajoutait-il en ricanant.

– Ne dis pas de conneries, tu connais mon père.

– Et si on se faisait un petit plaisir avant que …

– Avant que ? Répondais-je.


Et c'est à ce moment seulement que je réagissais. Eh oui dans la soirée je devrais mettre le dispositif de chasteté. C'était la solution la plus simple, avoir fait un gamin hors mariage était aux yeux de mon père quelque chose de très grave, et si je ne voulais pas que mon père ne m'empoisonne la vie pendant longtemps c'est ce que je devais faire. En échange il me laisserait tranquille. 


Victor me saisissait par la main, me tirait et me projetait sur mon lit. Je me laissais tomber sur le dos, les bras en croix, il me sautait dessus. Son copain Gabriel regardait la scène, il n'avait pas vraiment l'air surpris et gardait un sourire très large. 


Avec la panique qui régnait dans la maison, personne ne viendrait nous déranger, ça c'est sûr. Et puis de toutes façons, j'étais le premier concerné dans ce mariage, cette famille de fous ne penserait donc pas à moi !


Victor  m'ouvrait la chemise et se penchait sur moi pour me couvrir de baisers. Il est câlin Victor, et j'aime bien ça moi aussi. Je sentais d'autres mains qui me touchaient et me caressaient. C'est vrai qu'on était trois. 


C'est le visage de Gabriel que je voyais se pencher sur moi au moment ou je ressentais les lèvres de Victor se refermer sur ma queue. Il avait été rapide sur ce coup le petit Victor. C'est vrai que ce serait la dernière fois avant quelque temps. Je décidais d'en profiter.


Je posais une main sur la nuque de Victor et l'autre sur la nuque de Gabriel. Il embrasse bien Gabriel. Et Victor maintenant, il suce vraiment bien.


Je laissais Victor me retirer mon pantalon, je ne savais déjà plus ou était ma chemise. Gabriel était lui aussi torse nue. J'en profitait pour le caresser, il avait la peau douce et était totalement dépourvu de poil. Ce n'était certainement pas naturel mais c'était très agréable.


Ma main arrivait à sa ceinture, hésitait quelques instant puis glissait plus bas, toujours sur sa peau. D'une main il faisait sauter les boutons pour me donner un accès libre. 


Mon gland s'écrasait contre la glotte de Victor, son visage s'écrasait contre mon ventre. Il continuaient tous les deux à me couvrir de baisers, de caresses, de câlin. Je me laissais aller.


La peau de Gabriel caressait ma peau, il m'embrassait dans le cou, me mordillait les tétons, ses cheveux me chatouillaient. Je rigolais, j'étais bien.


On finissait par se retrouver nu, tous les trois. Et c'est sa queue que Gabriel me proposait. Je la prenais dans ma bouche. Victor se relevait il nous regardait, et reprenait son souffle. 


Un peu plus tard, Victor m'offrait son cul. Il écartait les jambes, se penchait en avant, s'appuyait sur le lit, je me plaçais juste derrière lui, il tournait la tête vers moi. Il avait changé Victor, il était plus ouvert. Je lubrifiait et sans attendre plus, je le pénétrais.


Ma queue glissait dans son cul sans aucune résistance, il gémissait, il se penchait encore plus en avant. Gabriel se glissait devant Victor qui le suçait sans hésiter. Gabriel ne portait pas de dispositif, pourtant il était à la fac PK. Ça m'avait surpris au début mais je me souvenais que les étudiants étaient en vacance. Vous devez savoir qu'en vacances, les étudiants peuvent retirer leur dispositif et de toutes évidence c'était le choix de Gabriel. 


Il avait raison, il avait une grosse queue, et c'est toujours bon de s'en servir régulièrement. Sur ce point il faudra que je négocie avec mon père. Elle était bien longue et bien grosse mais Victor savait s'y prendre maintenant. Elle entrait dans sa bouche jusqu'au fond de sa gorge qu'on pouvait voir gonfler au moment ou le gland s'y enfonçait. 


Victor faisait des bruits bizarres, Gabriel gémissait de plaisir et je gémissais aussi, je poussais des cris de râles légers quand j'écrasais mon ventre sur ses fesses. 


Je m'énervais et mes mouvements devenaient plus intenses, plus rapides, plus violents. Gabriel se retirait  et glissait tout contre moi, ses bras me caressaient, son torse caressait mon dos et sans prévenir je le sentais s'enfoncer dans mon cul. Il y allait fermement, avec une certaine force. 


J'ai crié, ça m'a échappé, j'ai crié mais Gabriel n'a pas semblé entendre, en tous cas il n'en a pas tenu compte. Il se retirait rapidement avant de revenir avec force. Puis il se synchronisait sur mes mouvements. Quand je m'enfonçais il se retirait, et quand je me retirait il s'enfonçait en moi, c'est au moment ou son ventre s'écrasait sur mes fesse qu'il me donnait un violent coup de bite et que tout recommençait.


Je gémissais, Victor gémissait, Gabriel râlait. C'était des cris de plaisir, des râles de plaisir qui envahissaient la chambre. Chacun donnait tout ce qu'il avait, Victor encaissait tout ce qu'on lui donnait. J'ai joui dans son cul en premier. 


Après l'orgasme, ma queue reprenait sa taille habituelle, mais l'excitation baissait et c'est avec plus de difficultés que je recevais les coups répétés de Gabriel. Je râlais, c'était toujours un grand plaisir, c'était toujours jouissif mais là j'avais envie que ça s'arrête. Mais lui ne voyait pas les choses comme ça. 


Il continuait à me buriner tant qu'il pouvait, je râlais, c'était toujours de plaisir enfin, c'était aussi du plaisir. Victor se retournait sur mon lit, il me souriait, il avait l'air content, satisfait. Il avait joui, ça se voyait et maintenant il s'amusait de voir la situation.


C'est là que j'ai éjaculé,c'est là que j'ai joui. J'ai généreusement éjaculé sur Victor, trois grosses giclées atterrissaient sur son torse et étaient suivies par deux deux autres moins généreuses. Quelques instants plus tard, c'est Gabriel qui jutait en moi, je l'ai senti se contracter et me donner quelques coups particulièrement violents dans le cul. Ensuite il se détendait. 


Rapidement on passait sous la douche et on se rhabillait, on s'attendait bien à être dérangé à un moment ou à un autre, ainsi nous serions prêts. 


C'est bien plus tard qu'on frappait à ma porte. Ce n'était pas mon père, il n'aurait pas frappé, en plus il était occupé. C'était mon valet de pied. Il m'apportait le costume pour la cérémonie.


– Monsieur Philippe, vous n'avez pas oublier j'espère.

– Comment veux tu que j'oublie cette affaire ?

– Il faudra aussi habiller vos amis. Si vous voulez je vais m'en charger.


Je m'habillais, mes amis attendaient et mon valet de pied leur apportait des vêtement plus appropriés. Après nous passerions à table. Mes amis porteraient ce costume pour le mariage le lendemain.


Pour la soirée c'était la cérémonie de la mise en cage. Je connaissais j'avais déjà donné plusieurs fois mais cette fois c'était la bonne. Je me mariais le lendemain.



A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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