GROUPE DE VACANCES 25 Ep 25 : CHASTE

 GROUPE DE VACANCES 25

Ep 25 : CHASTE



On se retrouvait dans le salon pour le petit déjeuner … Charles était déjà levé et avait tout préparé, quatre petits déjeuners nous attendaient … Peu après, jean François nous rejoignait …


– Alors les jeunes on a fait la fête hier soir ? Faisait remarqué Jean François d'un air amusé.

– J'en ai encore mal à la tête !


Les deux autres rigolaient …


– Au fait, Charles, tu as toujours la clée ?


Il me la donnait et je la donnait à Jean François . En lui demandant de la ramener la ou elle devait être …


– Il faudra que je te parle avant de partir Djé ! Me disait Jean François.

– Je t'écoute !

– En tête à tête !


On prenait notre petit déjeuner, il y avait comme un froid … Charles était très … Protocolaire, un peu coincé, distant … En tout cas il n'était pas comme d'habitude !


Mes camarades me laissaient, ils n'avaient qu'une rue à traverser on se reverrait vite … Je restais avec Jean François !


– Tu sais Djé, tu ne seras pas toujours une étudiant … Tu es destiner à devenir un dirigeant. Tu m'as bluffé au moment ou tu as pris la direction des opérations avant d'aller au stade le premier matin, tu as bluffé Justine avec ta manière d'utiliser et de manipuler la presse, de lui faire savoir sans même le dire que t'a copine t'avait largué pour mettre fin au ragots sur une éventuelle dépression nerveuse … Si on rajoute à cela tes résultats dans tes études, ton charisme et ton charme qui font craquer tout le monde et pas seulement les filles … Tu sera un jour un dirigeant ! 

– J'adore quand on me parle comme ça ! Mais je sens qu'il va y avoir un 'mais' !

– Un jour tu seras peut être même mon patron, un jour, mais en attendant tu as des choses à apprendre !

– Je me disais aussi !

– Je pense à tes relations avec Charles !

– Pardon !?

– Je veux dire la manière dont tu te comportes avec lui et réciproquement, on dirait deux copains ! Il est là à ton service, tu es le boss, et du dois respecter une certaine distance avec lui !

– On reparlera de tout ça quand je serai le boss, quand je serai ton patron, mais pour le moment je suis un étudiant en commerce qui va passer sans problème en troisième année …

– Ça ne durera pas !

– … Charles est un homme adorable et très sérieux dans son travail, je lui fait confiance et je ne me vois pas lui parler ou le traiter de haut … Et si je dois devenir un jour un dirigeant, j'ai l'intention, en attendant, de diriger moi même ma vie quand je suis chez moi !

– Ne te méprends pas sur mes …

– Charles fait très bien son travail, même si je le tutoies, même si il me tutoies. Je l'ai vu à l’œuvre, il est disponible, efficace, très sérieux, de bon conseil, il ne laisse pas sortir sans que je sois impeccable, il veille à mon équilibre alimentaire, à ma tranquillité et fait largement tout ce qui rentre dans ses attributions … 



Suivait un long silence … Puis Charles arrivait …


– Monsieur Laclaque, votre taxi ne vas plus tarder, j'ai préparé vos bagages !

– Là tu vois de quoi je parle, je ne me vois pas, surtout quand on est en tête à tête …

– Monsieur Brosso, vous désirez quelque chose ?

– C'est bien ce je dis ! Charles, il faudra qu'on parle quand notre hôte sera parti ! Disais-je a l'intention de Jean François.

– Bon ça va, j'ai compris, je ne dis plus rien ! Bon je vais vous laisser ! Dis moi Djé, on te verra au château cet été ?

– Si je suis invité, pourquoi pas !

– Invité, mais tu l'es ! Tu te souviens du jour ou tu as débarqué avec ton amis Antoine l'été dernier ( je rigolais en revoyant la scène dans ma tête )( Episode 11 ), Mr Le Conte vous a dit '' On se revoit dans un an et on en reparle '' , vous êtes tout les deux invités ! Et puis il y la clé, là c'est moi qui l'ai mais, on te la restituera  si tu le désires !


On se saluait, et je me retrouvais seul avec Charles … Il était embarrassé, il s'était fait engueulé par Jean François à cause de la relation que nous avions … Il lui avait reproché de me tutoyé et de m'appeler par mon prénom … 


– Je pense qu'à la fin de l'année scolaire, ils vont me placer à un autre poste … Je le regrette mais il est probable qu'on ne se revoit plus très souvent ! Me disait Charles.

– On verra ça à la fin de l'année, je dois me rendre au château … On verra ça !



– Dis moi Djé, tu t'entends parler ? Tu as changé, tu as beaucoup changé depuis un an !

– Comment ça j'ai changé ?

– C'est plus un gamin, c'est plus un petit jeune que j'entends parler là, c'est un chef, c'est un dirigeant ! Tu sais ce que tu veux maintenant ! Même quand tu dis : '' On verra ça '' ! 

– Au fait, tu fais quoi toi pendant les vacances ?

– On a encore le temps d'y penser, c'est dans plus de deux mois … En tout cas, j'ai des vacances à prendre en retard, et je les passerai en dehors du château, histoire de changer d'air … Tu veux qu'on se voit, qu'on passe un moment ensemble ?

– Si tout se passe comme je l'espère, on devra se supporter encore un moment aussi il me semble que s'éloigner l'un de l'autre quelques semaines nous fera le plus grand bien !



Charles retrouvais son sourire. Dans les semaines suivantes le calme revenait, la presse, les médias n'osaient plus dire de mal de moi … Les ragots, les accusations, c'était du passé … Je reprenais le cours de ma vie, j'étais débarrassé de Nathalie … Je ne me sentais plus obligé de donner le change, je sortirai avec une fille quand je pourrai faire quelque chose avec elle … ! Dans ma situation, tout le monde trouvait finalement normal que je me consacre à mes camarades, mes amis et mes coéquipiers … Évidemment on n'entrera pas dans les détails … Surtout pas !


Le dernier trimestre avançait, j'étais redevenu le roi. Charles prenait soin de moi, je prenais du temps pour moi, quand je sortais j'étais toujours entouré d'une bonne cinquantaine de camarades , de suiveurs mais je le faisais plus rarement … Je privilégiais des soirées plus intimes entre proches, c'était plus reposant ! 


Mon nouvel appartement me permettait de recevoir mais c'était toujours un petit groupe, jamais plus d'une douzaine de convives. Greg en faisait souvent partie, Antoine, Julien aussi, ces deux là étaient mes plus proches amis mais Dominique ou Denis, mes deux premiers colocataires venaient souvent ainsi que Mathias, Tristan et Manuel …


Deux fois, quelquefois trois fois par semaines, j'organisais une soirée, un repas … Enfin quand je dis que j'organisais c'est Charles qui organisait d'ailleurs je ne savais pas qui finançait les repas, on ne me demandais jamais rien … En général il y avait trois habitués parmi les très proches les autres  ne faisaient pas partie de ce cercle restreint … Charles assurait le service dans une ambiance très détendue !


Les semaines qui suivaient, je restait chaste, je veux dire vraiment chaste … Les godes restaient dans leur tiroir. Charles me faisait régulièrement des massages, c'était chaud, vraiment chaud, ces soirs là, j'avais souvent la cervelle en feu, j'avais le feu au cul aussi … Mais cette tension me gardait mon esprit en éveille , autant dans mes études que dans le sport … Je continuais à progresser on me disait souvent qu'à ce rythme il faudrait envisager les Jeux Olympiques … 


Plus la frustration sexuelle s'accumulait plus mon esprit semblait s'éveiller. Je ressentais mon corps comme jamais. La tension dans ma cage devenait permanente et jouissive … Une jouissive frustration … Une énergie qui s'accumulait dans ma bite, dans ma tête et qui semblait se répandre dans chacun de mes muscles … Je gardais un contrôle parfait de mon corps, j'étais parfaitement zen !


Deux, trois, quatre semaines se passaient ainsi. Un soir ou seuls les plus proches, ceux que j'ai cité plus haut étaient autour de la table, nous étions entre intimes … Julien avait invité William, ils étaient toujours ensemble ces deux là ! Antoine était venu avec Romain, je vous ai déjà parlé de ce garçon, plus petit que moi, il est maçon, un visage franc, un large sourire, il était bien bâti, bien carré, bien musclé, et sur le dernier point je voulais bien croire Antoine … Bien monté !


Antoine me paraissait encore plus beau qu'il m'avait semblé plus tôt … Pourtant, je le connaissais bien, je connaissais bien son corps, mes doigts, mes lèvres l'avaient souvent parcouru dans ses moindres détails , dans les moindres recoins dans les recoins les plus intimes. Ce soir là, il portait une chemise, les boutons du haut étaient ouverts, je pouvais voir une partie de son torse. Ma mémoire caressait sa peau, celle que je ne pouvais pas voir ce soir là … Je lui caressais l'épaule, j'effleurais son bras, je redescendais le long de ces muscles si bien proportionnés jusqu'à son coude … Au passage, je donnais un baiser au creux de ce coude pour continuer en parcourant de mes lèvres son avant bras … Je sentais la douceur de sa main qui me caressait la joue. Cette main qu'il posait doucement sur l'avant bras dénudé de son voisin de table et amant le jeune et tout aussi beau Romain …


Je me sentais bien, je continuais à participer à la conversation, personne ne pouvait deviner le déroulement de mes pensées. Mon esprit était en éveil, parfaitement concentré sur la discussion, attentif à mes hôtes alors que pourtant mon esprit suivait la main d'Antoine qui caressait l'avant bras de Romain … Dans sa cage, ma bite se manifestait par une pression qui n'avait que le but de faire exploser cette cage, c'était doux, c'était fort, c'était dur ! C'était invisible !


Je suivais la main d'Antoine qui caressait doucement un court instant l'avant bras de Romain puis je continuait seul, les muscles de son bras … Il portait un T-shirt serré qui ne cachait rien de sa musculature parfaite … Je m'attardais un instant sur son épaule ou je déposais un baiser … Je caressais ensuite ses pectoraux, lui frôlais les tétons qui se dresseraient c'est sûr … Déposais un autre baisser au milieu de son ventre juste au dessus du nombril … Il était parfait, il avait une plastique de rêve ! Je comprenais Antoine ! 


Romain se levait pour aller aux toilettes, son pantalon moulant ne cachait pas cette bosse entre ses cuisses tout en laissant paraître leur musculature parfaite … De dos, ce sont ses fesses qui me laissaient rêveur … Était-il passif, avec un cul pareil … Était-il actif, avec la bite que cette bosse semblait promettre …  A cet instant, j'étais jaloux d'Antoine … Ma bite allait exploser ma cage … Je passais le sel à mon voisin de table sans qu'il ait besoin de me le redemander !


Julien semblait très amoureux aussi ce soir là. Je les revoyais sous la douche la première fois que j'avais vu William à l'appartement, ils étaient nus, je revoyais cette grosse bitte molle qui pendait entre ses cuisses … Je l'imaginais en érection … Ce devait être quelque chose … Finalement heureusement qu'il y a encore des garçons qui refusent de porter ce truc … !  Enfin, quand je dis heureusement , les porteurs ne représentent qu'une petite minorité des garçons et des  hommes , même si ce soir chez moi ce sont les non porteurs qui étaient en minorité  … Si un jour je deviens le patron de Jean François, comme il disait, il faudra organiser secrètement une résistance au port de ce dispositif … Un association par exemple … Ça serait vraiment dommage qu'on ne trouve plus de mec pour nous défoncer le cul !


On terminait la soirée dans la partie salon … Charles avait rangé la table en moins de temps qu'il ne faut pour le dire et venait me demander l'autorisation de disposer du reste de sa soirée … Je n'ai pas l'habitude de lui refuser quelque chose et je n'arrive pas à le traiter comme un employé … 


Nous étions samedi soir et la soirée traînait, mes hôtes me laissaient les uns après les autres , j'aurais bien retenu Romain, avec ou sans Antoine, quand ils sont venus m'embrasser pour me saluer … Je me retrouvais seul … Je me sentais bien, un peu fatigué mais bien ! Plus de cinq semaines d'abstinence totale … Je me sentais fort … Je me sentais tendu, mais calme … Tendu mais décontracté … Je me sentais comme un félin … Un félin parfaitement décontracté, qui peut en une fraction de seconde bander tous ses muscles et se transformer en une boule de nerf … 


Lors d'une course quand la détonation du starter se fait entendre, tous mes muscles se contractent alors et je fonce comme une fusée, je ressens la présences de mes adversaires, j'entends leurs souffles derrière moi … Et je fonce, rien ne peut me retenir, rien ne pleut me ralentir … Je passe la ligne d'arrivée, les autres me suivent, de peu, mais me suivent … Ils sont derrière, je suis devant ! Même si cet enfoiré d'Antoine est de moins en moins loin derrière … Mais bon lui c'est un ami alors il a le droit !


Ce soir là, je décidais de ne pas sortir et d'aller me coucher … Dans ma chambre, je prenais un plug de belle taille … Je me disais : '' Ça fait longtemps '' … Je devais m'y reprendre à deux reprise pour me l'enfiler … Aussitôt je me sentais bien rempli … Je m'installais un long moment dans le bain bouillonnant avant de m'asseoir en tailleur au milieu de ma chambre, le plug de vingt cm de long sur sept cm de diamètre bien planté dans mon culs !


Je restais là un long moment à méditer sur ces derniers mois, sur tout ce qui m'était arrivé depuis plus d'un an, sur ce qui pourrait se passer dans les mois à venir … Rapidement la présence du plug se faisait sentir, les contractions de mon ventre tentaient de le pousser vers l'extérieur, je serrais les fesses … Je le sentais bouger, il pressait contre ma prostate et provoquait un plaisir qui grandissait, une chaleur envahissait mon ventre, mon souffle devenait plus fort, le plug poussait vers la sortie de nouveau, je serrais les fesses plus fort. Je respirais fort, ma bite allait exploser la cage ne résisterait pas, c'était grandiose, c'était intense … 


Le plug poussait encore vers la sortie avec  plus d'insistance j'avais du mal à résister et je serrais les fesses de toutes mes forces … Elle lâchaient, j'éjaculais, une puis deux et encore deux autres giclées de spermes parvenaient à  la sortie de ma cage, elles étaient suivies pas un flot de ce jus blanc qui s'était montré si discret depuis plus de cinq semaines … Sans m'en rendre compte je râlais de toutes mes forces … Je jouissais par la queue, je jouissais pas le cul, je jouissais … C'était un plaisir intense qui se répandait dans tout mon corps, je tremblais, le plug sortait en dilatant mon anus, je jouissais encore par le cul … 


J'étais assis sur le sol, le plug reposait par terre et ne pouvait pas sortir totalement, mon anus restait dilaté à son maximum, un flot de liquide blanc clair continuait à couler de ma cage, j'avais le souffle court, je tremblais, j'avais chaud, j'avais froid et un râle de plaisir sortait de ma gorge à la manière d'une plainte … Je restais un long moment à trembler, sans parvenir à bouger … Je reprenais mon souffle !


Enfin, je me levais, le plug restait sur place. J'allais me laver, la tête me tournait. Je me sentais vidé, mais je me sentais bien, très bien ! Après ça, je ne tardais pas à m'endormir !


Je me levais en premier, préparais le petit dèj. Charles arrivait un peu plus tard. 


– Oh ! Je vous prie de m'excuser Mr Djé … S'exclamait Charles.

– Charles ! Ça va on se calme ! JF est pas là … Assis toi et prend ton petit dèj avec moi si tu le veux bien, sinon fais ce que tu veux, on est dimanche !


Je lui racontait ma soirée, puis me confiais à lui sur cette abstinence totale que je venais de vivre  …


– Je ne savais pas que tu avais passé une telle période dans la plus totale chasteté, surtout que tu es équipé avec des jouets pour te distraire ! J'avais bien remarqué que tu était tout calme sur ce sujet, mais je pensais que tu te défoulais au sport ! Dans les vestiaires, sous les douches !

– Je n'aurais jamais cru ça possible il y a un an !

– Mais tu te sens comment ?

– Bien, je me sens bien ! 

– Pas de manque ?

– Si, certainement ! Mais je me sens bien ! Hier, à table, j'étais comment !

– Tu étais très en forme , attentif à ce qui se passait, tu participais à la discussion …


Je lui racontais mes pensées ! Il éclatait de rire.


– Oui, finalement, tu es en manque mais tu n'en soufre pas … Plusieurs amis m'ont déjà raconté de telles sensations … Le manque agit alors comme un stimulant … Mais je peux te garantir que personne ne pouvait rien voir … Tu avait vraiment l'air d'être présent avec nous !

– Mais j'étais présent avec vous ! Et toi, ça se passe comment ?

– Moi, ça se passe très bien, justement hier soir … J'avais un rendez-vous !

– Vas y raconte … Si c'est pas indiscret !

– Un prof de ton école !

– Lequel, je veux tout savoir ! 

– Tu sais le nouveau professeur de littérature qui donne des cours aux quatrièmes et cinquièmes années …

– Non, connais pas !

– Et bien, c'est lui ! Je te fais confiance, tu n'en parles pas !


… 


On recevait une note à l'école, on devait faire un stage en entreprise avant le début de l'année suivante … C'était la panique, à chaque fois c'est la panique, tous les ans les étudiants passaient des semaines à chercher, à faire des courriers, à téléphoner et si on en croyait les plus anciens, c'était vraiment la galère … Le directeur me demandait dans son bureau … Il me demandait, il ne me convoquait plus, les autres ils les convoquait mais moi … ! Il n'y a pas à dire, je suis le roi !


Ce n'était peut être pas une convocation mais j'y répondais sans attendre …


– Entrez, je vous en prie, installez vous ! Me disait le directeur.

– Que se passe-t-il Monsieur le directeur ?

– Rien de grave, je vous rassure ! Vous avez entendu parler du stage qu'il va falloir passer … 

– Comme tout le monde !

– Et bien cette année, rien ne se passe comme d'habitude ! Depuis votre dernière prestation devant les médias, notre école est devenue très célèbre … J'ai plus de quatre cent propositions … Évidement vous avez le privilège de choisir en premier … On effectue en ce moment une présélection pour retirer les sociétés qui ne serraient pas sérieuses  mais il devrait en rester au moins trois cent … Pour une fois, mes élèves n'auront pas à se fatiguer pendant des jours pour trouver un stage !

– J'en ai de la chance !

– Il faut aussi que je vous parle de quelque chose … L'année prochaine une nouvelle section sera ouverte, on agrandi ! Un cours pour les premières, seconde et troisième années ! Exclusivement réservés aux porteurs. Je suppose que vous serez candidat pour une place en troisième … 

– Évidemment, mais pour le moment je n'ai pas été contacté. Mais qui organise cela, c'est l'école ou bien …

– Ou bien ... Il s'agit d'un mécène qui a décidé d'investir !

– On connaît son nom ?

– Ça ne vous dira rien, c'est un industriel très riche, un noble, un certain compte …

– Mr Le Conte ?

– Oui, c'est comme ça qu'il signe … Ça vous dit quelque chose ?

– Oui, ce n'est pas un noble, c'est son nom, Le Conte en deux mots ! Je le connais très bien, il ne m'a pas encore contacté je pense qu'il ne va pas tarder mais, de toutes façons je dois le voir dans l'été !

– Vous m'étonnerez toujours mon jeune ami ! J'aimerais beaucoup rencontrer ce Mr Le Conte, vous pensez que ce serait possible ?

– Je ne sais pas, je vais lui en parler, c'est promis. Mais au fait vous vous souvenez de sa voiture, vous avez déjà circulé dans sa voiture …

– La Rolls ?

– On avait un petit problème de véhicule, il m'a prêté sa voiture personnelle ! C'est un étrange personnage ! Et si j'en crois certains, il est très riche !


Le soir, à la maison Charles m'informait que j'avais reçu une lettre de Justine !


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