GROUPE DE VACANCES 17 Ep 17 : ILS NE PENSENT QU'A ÇA

 GROUPE DE VACANCES 17

Ep 17 : ILS NE PENSENT QU'A ÇA



On ne bougeait plus … Je me décidait à répondre …


– C'est qui ? Demandais-je à Antoine.

– Tu as fermé la porte ?


La porte s'ouvrait … 


– Non, t'as pas fermé la porte !


La tête de Julien apparaissait avec timidité … Il entrait lentement, il ne nous voyait pas encore !


– Je peux entrer ?


Antoine pouffait de rire. J'étais allongé sur lui, un harnais accroché à mes reins, un gros gode fixé au harnais, le gros gode bien enfoncé dans le cul d'Antoine qui était allongé sur le sol … Une situation somme toute assez banale ! Non ?


Julien ne cachait pas sa surprise quand il nous apercevait ainsi.


– Je vous dérange !

– Mais non, viens donc nous rejoindre ! Mais qu'est ce qui te fais penser ça ?


Je lui faisais signe de la main, il s'approchait, il s'asseyait à coté de nous !


Je continuais à limer le cul de mon camarade Antoine qui aussitôt se mettait à gémir de plaisir et à en redemander. Julien nous regardait, il semblait subjugué, fasciné, il portait sa main à son dispositif, il devait se sentir à l'étroit là dedans. Il respirait déjà déjà très fort.  


Julien s'était rapproché, je sentais sa main me caresser les fesses, sa main descendait entre mes cuisses et rapidement me caressait les couilles. Je me relevais, passais une main sur sa nuque, je le tirais vers moi et l'embrassais. Il répondait à mon baiser et se rapprochait davantage. Je n'arrêtais pas mes mouvements de vas et viens dans le cul d'Antoine qui ne ratait rien de ce qui se passait et continuait à râler de plaisir. Je me retirais, Antoine se relevait. On se retournait vers le nouvel arrivé, je le prenais dans mes bras et continuais à l'embrasser, Antoine se plaçait derrière Julien et commençait à lui caresser le torse d'une main, de l'autre il lui caressait les couilles. 


J'embrassais Julien, je lui léchais le lobe de l’oreille, je lui pinçais puis lui mordillais doucement les tétons. Antoine lui glissait une main entre les cuisses, et commençait à lui masser l'anus. Je m'attendais à une réaction rapide. Antoine enfonçait un doigt dans le cul de Julien qui violemment poussait un cri et éjaculait … Antoine ne s'arrêtait pas pour autant … Il continuait … Je prenais un peu de recul toujours en caressant le torse de Julien … Antoine avait attrapé un petit gode, il poussait doucement Julien en avant pour qu'il se penche vers moi … Julien me mordillait le torse tout en me caressant … Je lui caressais la tête, les épaules et le dos … Antoine posait le gode sur l'anus de notre camarade et doucement, tout doucement commençait à l'enfoncer … Julien hurlait mais se laissait faire … Le gode était de petite taille mais au début ça fait toujours beaucoup d'effet surtout que Julien semblait très sensible de ce coté … Le gode était entièrement enfoncé, Antoine le retirait doucement, lentement puis le repoussait de nouveau … Je sentais Julien se crisper … Antoine effectuait des mouvements avec le gode, il l'entrait, le retirait, l'entrait de nouveau … Julien gémissait, il s'était tendu, il me tenait dans ses bras et sans même s'en rendre compte me serrait de toutes ses forces. Je sentait son souffle, son visage était devenu rouge, il grimaçait, il finissait par hurler au moment ou il éjaculait une seconde fois. C'était abondant … Antoine retirait totalement le gode, Julien se laissait tomber sur le sol, il se retournait sur le dos et nous regardait en nous souriant.


Antoine et moi reprenions ou nous nous étions arrêté … Je le prenais avec vigueur, lui limait le cul avec force comme si … Comme si j'avais besoin de me défouler et je me défoulais sur son cul en fait j'avais besoin de me défouler, j'avais l'impression que mon dispositif de chasteté allait craquer ou alors c'est moi qui craquait, je me sentais à l'étroit, il y a des moment comme ça ou on a l'impression que le dispositif est trop petit, des moment il est tellement remplis ... Je bandais et je n'avais aucun espoir de me libérer ... Aucun ! … Antoine gueulait de plaisir, je finissais par sentir des convulsions au niveau de son bassin, il jutait abondamment lui aussi !


Julien nous regardait. Nous restions un moment sans bouger. Antoine finissait par se relever il prenait un gode ceinture et me tendait la main pour me relever, il me retournait, me plaçant face à un mur, se plaçait juste derrière moi, me prenait dans ses bras, mes caressait doucement le ventre et m'enfonçait le gode jusqu'à la garde en un mouvement. Je voulais crier mai je le faisait mais sans faire aucun bruit, aucun son ne sortait. Voyant ma réaction, Antoine m'attrapait le visage et n’embrassait avec fougue, ma tête était retournée en arrière, il me limait le cul de plus en plus fort, de plus en plus vite, il devait avoir lui aussi besoin de se défouler et ne s'en privait pas ! Ses violents coups de bassin finissaient par produire leur effet, je jouissais, je jouissais comme un fou, je ne jutais pas mais je jouissais … Je demandais grâce, Antoine se retirait !


Julien nous regardait, il ne disait rien, on s'asseyait en cercle sur le sol, on se regardait un long moment avant de décider de rejoindre nos baraquements et d'aller se coucher … Une petite douche rapide puis on faisait route … 


Julien marchais à coté de moi, il n'évitait pas de me toucher bien au contraire … Juste avant de rentrer dans le bâtiment, il s'approchait de moi et me donnait un baiser … On entrait et on se couchait sans bruit, il était tard et les autres dormaient déjà. 


Au petit matin, je me réveillais le premier, pour une fois … Je me levais et trouvais les deux godes sur la table … Ils ont été sages hier soir … Tout va bien ! Je n'y touchais pas ! Quand les autres se réveillaient, ils ne semblaient pas gênés l'un d'entre eux me lançait : '' C'est cool ce truc , bien mieux que le bazar à pile qui sert à se vider la prostate … ''.  Plus tard Julien me racontait que c'était quand ils avaient commencé à jouer avec qu'il était sorti faire un tour, puis il nous avait  vu, Antoine et moi … La suite on la connaît ! Bon au moins, tout le monde était détendu et ça c'était une bonne chose … 


On réunissait tout l'encadrement comme d'habitude. Les autres baraquements évoluaient tous à peu près au même rythme … Même le coach nous avouait qu'il avait essayé ! Pas le dispositif de traite de la prostate mais le gode … Au moins avec le gode on peut prendre du plaisir alors que l'autre système, c'est nul ! 


Souvenez-vous, je vous l'avais dit que je le trouvais nul le dispositif de traite ! Alors que le gode …


Bien sûr le coach évitait de participer avec les jeunes, il lui semblait nécessaire de garder un certain recul, une certaine distance … Mais il n'interférait pas, il savait s'effacer, s'absenter au moment voulu et le temps nécessaire ! C'était pas toujours facile à gérer pour lui mais il n’hésitait pas à demander conseil aux spécialistes envoyés par Mr Le Conte … Je suis sûr que lui il sait qui est le psy !


La première semaine passée tout le monde avait essayé au moins le dispositif de traite. C’était un drôle de gadget de petite taille il y avait une pile dedans, certains disaient qu'ils ressentaient une sorte de décharge électrique, très faible, mais qu'ils ressentaient un petit quelque chose. Moi, c'est simple je ne ressentait rien ! Mais c'était efficace dans les secondes qui suivaient on relâchait du sperme, même sans érection, sur ce point c'était rigolo. Ceux qui l'essayaient et qui ne portaient pas de dispositif de chasteté étaient surpris par l'efficacité du truc, sans érection, sans sensation, sans éprouver aucun plaisir, ils jutaient en quelques secondes …


Bon mais moi je reste sur mes positions, on ne ressent rien, c'est nul !


Les jours passaient vite au rythme des entraînements ! Natation, aviron, chasse au trésor, on inventait des jeux … Foot, on s'organisait des tournois … Il fallait  voire les joueurs ils étaient vêtus seulement d'un dossard pour savoir de quelle équipe ils étaient … J'avais la tête en feu quand je regardais un groupe de sportif et quelque soit l'endroit ou je regardais il y avait un groupe de sportif, il y avait un groupe qui s'agitait, qui exhibait ses muscles, ses fesses, son sexe sous clé ! 


Le soir, malgré la tension sexuelle, on dormait bien. On s'était tous dépensé toute la journée, et quand la tension sexuelle devenait trop forte je me retrouvais avec un de mes camarade, Greg, Mathias, Antoine ou un autre … Plusieurs fois j'ai retrouvé Charles dans le baraquement ou Greg nous avait emmené le premier jour. Quelquefois quelqu'un venait nous rejoindre et parfois plus. On s'est retrouvé jusqu'à six … Et si le lendemain on n'était pas en forme, il y avait la sieste, tous les jours après le repas on faisait sieste ! Quelques uns en profitaient pour se retrouver entre eux, à ce moment un gode disparaissait quelquefois … Plusieurs baraquements restaient négligemment ouverts et quand on passait à proximité on entendait des gémissements, des râles ou des cris de plaisir !


Le jour du retour approchait … Les garçons ne cachaient pas qu'ils auraient aimé que ça dure plus longtemps … Des liens s'étaient créés … Des rapprochements s'étaient fait … De nouvelles amitiés étaient nées, certains les qualifieraient de particulières mais pour les porteurs c'était permis ! La discrétion était de rigueur mais tant que les protagonistes restaient discrets, c'était permis. Une nouvelle morale était en train de naître ! 


On estimait que tous les participants avaient goûte aux gadgets qui avaient été distraitement autant que discrètement mis à leur disposition … Même le coach, c'est tout dire … Dans le bus pendant le retour je me demandait quel était le but que menait M Le Conte … Ce personnage était bizarre, Greg avait reconnu que son oncle avait un humour un peu spécial … Il était riche, on le devinait facilement à voir sa maison … Et à cette époque je n'avais pas tout vu ! … L'immeuble ou je vivais lui appartenait … C'est aussi lui qui commercialisait ces dispositifs de chasteté … J'étais perdu dans mes pensées quand Greg me tapotait l'épaule pour attirer mon attention sur un article de la presse. Nous avions passé deux semaines complètement coupés du monde.


– Tu n'as pas vu la presse ! On parle de nous, de notre dispositif ! Me disait Greg.

– Vas y raconte !

– Tu te souviens quand on est parti c'était l'euphorie, on disait que plus de la moitié des garçons portaient ce dispositif … 

– Oui, j'avais même du mal à le croire !

– Ces chiffres étaient exagérés, mais , rien que pour notre école on sait maintenant qu'un quart des garçons en portent un d'une manière régulière … Ce sont principalement les deux premières années qui sont concernées mais pas uniquement.

– C'est moi qui fait monter la moyenne !

– Tes récents résultats sportif n'y sont pas étrangers ! Mais pour ce qui est des filles, près de la moitié d'entre elles a rejoint une association qui soutient ce que certains nomment une  nouvelle mode !

– C'est  évidemment plus facile pour les filles !

– Ne sois pas cynique ! Tu étais volontaire … 

– On m'a un peu forcé la main !

– Tu le regrettes ?


J’hésitais un moment avant de répondre.


– Non, je ne pense pas. Je ne regrette pas qu'on m'ait un peu forcé la main. Je n'aurais peut être pas osé faire le choix mais, non, je ne le regrette pas ! 

– On m'a un peu forcé la main à moi aussi … Il y a bien longtemps !

– Et tu as confirmer ce choix ?

– Oui, je suis sûr que tu vas faire comme moi !

– C'est addictif ce truc ! Il y a des jours ou j'aimerais pouvoir le retirer, des jours ou j'ai envie de le jeter de le détruire … Mais il y a aussi des jours ou je me demande comment je serais sans … Des jours ou, pour rien au  monde, je n'accepterais de m'en séparer !


– La presse n'est pas trop dure avec cette … Nouvelle mode ?

– Non, en fait l'accueil est plutôt positif , mais ça n'a rien d'étonnant !

– Ah oui et pourquoi ?

– Il y a les associations religieuses et morales qui encouragent l'idée, et puis …

– Et puis … ? … !

– Mon oncle possède plusieurs journaux !

– Je me disais aussi ! Mais dis moi Greg, qu'est ce que ton oncle ne possède pas ?

– Oh il y a plein de choses qu'il ne possède pas ! Mais c'est vrai qu'il est très riche !


… 


Je me disais que vraiment c'était un drôle de personnage … Ses employés ne portent tout de même pas tous un dispositif comme le mien ! ?


Je somnolais une bonne partie du retour. Le bruit, le cris, les chansons que les garçons braillaient plus qu'ils en chantaient ne parvenaient pas à me réveiller. Il y avait de l'ambiance et quelquefois, je ne sais pas si c'est le fait que je faisais partie des moniteurs, mais j'avais l'impression d'être plus vieux que cette bande de fous … Pourtant nous avions un an d'écart pas plus. A notre arrivée j'étais reposé, surtout que le voyage se terminait dans le calme. Tout le monde somnolait quand nous arrivions. On prenait nos bagages et retrouvions nos appartements . 


Dans le mien donc, nous portions tous un tel système. Chez Antoine, il y avait un colocataire qui avait refusé. Il subissait une grosse pression car, en plus, ses résultats sportifs n'étaient pas à la hauteur ! Le coach, ses camarades sportifs savaient lui faire remarquer. Le coach, lui, il était content il pouvait enfin retirer son dispositif … Il avait accepté d'en porter un mais uniquement à cause du séjour sportif … Tout le monde en portait un, il se sentait obligé de faire pareil ! 


Rapidement je remarquais que Julien cherchait ma compagnie … Il était toujours serviable avec moi. Toujours prêt à me rendre service. Ce garçon est absolument adorable. Depuis qu'il porte ce truc il a complètement changé. Il était effacé et discret avant … Il n'osait pas se déshabiller devant ses camarades et les douches communes était pour lui une véritable souffrance. Maintenant je ne le reconnaissais plus ! L'autre jour pendant l’entraînement, il fallait qu'il se change … Il l'a fait devant tout le monde, en extérieure, sans éprouver la moindre gène ! Pendant quelques instants il n'a pas hésité à montrer ses fesses et son sexe sous clé … C'était beau à voir, je me souviens que ça a provoqué chez moi une érection mais … C'est une étrange sensation que d'éprouver la sensation d'une érection contenue quand on est en public. Quand on est entre nous cette sensation est déjà presque jouissive mais en public, en extérieure, nus devant des passants ou des étrangers qui ne portent pas forcément ce truc, c'est … En y repensant il me semble que lui aussi il devait bander dans sa cage à ce moment … 


Quand on est parfaitement au repos le dispositif se balance mollement entre nos cuisses mais quand on a un peu de tension, quand le pénis tente de se relever, la pression provoque une érection, elle est contenue mais le dispositif se relève, il se balance beaucoup moins et se relève vers l'avant … En y repensant, c'est ce qui lui arrivait à ce moment là … Personne n'a fait la moindre remarque, c'est vrai qu'il n'était pas nu, il avait gardé son T-shirt. Il avait juste enlevé le bas ! Julien ne semble plus éprouver de gène avec la nudité, il semble même fier de porter ce dispositif !


Une semaine après notre retour, un soir après le repas, Julien venait me voir dans ma chambre …


– Salut, je peux entrer ?

– Bien sûr ! Entre installe toi !

– Djé, il faut que je te demande quelque chose …

– Je t'écoute !

– Tu sais, c'est pas tous les jours facile …

– Oh oui je sais ! Vas y je t'écoute !

– C'est ce qui s'est passé … Pendant les vacances … Tu sais … Toi et Antoine …

– Ça te pose un problème ?

– Oh non ! Non, au contraire. J'ai aimé … J'ai beaucoup aimé …


Je lui souriais. Il était trop mignon et j'avais envie de le prendre dans mes bras.


– C'est le truc qui sert à … Tu sais pour la prostate …


Je prenait un dispositif de traite dans le tiroir de ma table de nuit.


– Non pas ça, ça c'est nul … Non je te parle  de … 


Il semblait gêné. J'allais au placard et prenait un gode et un harnais … Je lui montrait …


Il me faisait un oui discret de la tête. Toujours un peu gêné. Je décidais de prendre les commandes. Je m'approchais de lui, j'approchais mon visage du sien, il me regardait dans les yeux, nos lèvres allaient se toucher, elles se touchaient, je l'embrassais, il ne résistait pas bien au contraire il me rendait un baiser enflammé ! Je lui caressais la nuque, il s'approchait de moi se collait à moi et me prenait dans ses bras … Et de nouveau cette pression dans ma cage de chasteté !


Je lui retirais sa chemise, il me retirait mon T-shirt, j'ouvrais son pantalon que je laissais tomber sur ses pieds. Il me poussait sur mon lit et se laissait tomber avec moi. Nous étions enlacés sur mon lit, il n'avait pas de sous vêtements pas de chaussettes, il était totalement nus allongé sur moi à me faire un câlin. Il me léchait les tétons, me mordillait doucement le torse en descendant vers le bas de mon ventre, il ouvrait mon pantalon, me le retirait avec mes sous vêtements. Il prenait le harnais et le gode, me le tendait … 


– Vas y prend moi !


Sans rien dire, je mettais le harnais, il me regardait attentivement. J'y fixais le gode … Il me prenait dans les bras … On s'embrassait, on échangeait des baisers passionnés … On se caressait avec passion. Et encore cette pression au niveau de ma bite !


– Dis moi, il y a de la pression la dedans ! ( en lui montrant sa cage de chasteté )

– J'ai l'impression qu'elle va exploser !

– Tu sais c'est du solide !

– Je sais, mais c'est bon, j'adore cette sensation !

– Retourne toi !


Il se retournait, je lui lubrifiais le cul, et je posait l'extrémité du gode juste sur l'ouverture de son anus … Il soupirait … Je commençais à pousser … Il poussait un râle suivi de '' doucement, vas y doucement '' … Je poussais plus fort … Ça rentrait … Il gémissait … Je poussais encore … Il semblait pousser une plainte, une plainte de douleur … Le gode entrait rapidement jusqu'à la moité de sa longueur … Julien poussait des cris de douleur suivis de '' Oui vas y prend moi, vas y doucement mais vas y '' … Le gode entrait totalement … Julien semblait sangloter, il avait replié ses bras et cachait son visage dans ses bras entre les deux oreillers … Je me retirais avant d'y revenir, à fond de nouveau … Julien serrait les dents et ne laissait entendre que quelques gémissements … Je continuais mes mouvements, plus rapide, plus lents, plus amples, plus courts … Il fallait plus  de temps à Julien pour éjaculer que la première fois … cinq minutes plus tard il gueulait de plaisir ou il gueulait de douleur … Il gueulait, il éjaculait, il jouissait, il souffrait peut être aussi, sûrement même ! J'arrêtais, je ne bougeais plus, Julien respirait fort, il était crispé, tendu, je me retirais. Julien se laissait tomber sur le lit, il se retournait, il avait les yeux rouges, il avait pleuré, mais il avait aimé !


Je m'allongeait à coté de lui, il tremblait, je tirais une couette sur nous. Rapidement je jetais le gode ceinture dans un coin de la chambre et me blottissais contre Julien qui me prenait dans ses bras. Il avait l'air apaisé, il avait une salle tête mais il avait l'air apaisé ! 


On finissait par s'endormir. C'est ensemble qu'on se réveillait le lendemain matin. On était toujours dans les bras de l'autre !


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

INDEX

                            Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D...